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Concours ENAM 2018-2019

Corrigé type
Partie A
1 : (02 pts)
Potentiels Identifications Valeurs (en mv)
O1 PPSE 12
O2 PPSE 18
O3 PPSI 8
O4 PPSE 10
2 : Nature des synapses : (01 pt)
Synapses Natures
N1-P Excitatrice
N2-P Excitatrice
N3-P Inhibitrice
N4-P Excitatrice
3 : (02 pts)
Expérience Natures du potentiel Justification
s
5 PA Sommation temporelle supérieure au seuil
6 PA Sommation spatiale supérieure au seuil
7 PPSE Sommation spatiale inférieure au seuil
8 PPSI Sommation temporelle inférieure au seuil
4 : Nombre minimale : au moins deux excitations (0,5 pt)
5 : Propriété du neurone P : propriété intégratrice de potentiels (0,5 pt)
Partie B
I/
1 : (02 pts)
Cellules Identification Justification
1 Ovocyte I Cellule en début télophase I
Cytodiérèse inégale
2 Spermatocyte I Cellule en début télophase I
Cytodiérèse égale
3 Spermatocyte II Cellule en début télophase II
Cytodiérèse égale
4 Ovocyte II Cellule en début télophase II
Cytodiérèse inégale

2 : Devenirs : (0,5 pt)

Cellules filles Devenir certain Devenir possible


Grosse Ovotide Ovule
Petite Globules
polaires
II/
1 : Analyse : (01 pt)
Femme A :
Le taux de LH est élevé et est presque constant.
Les taux des œstrogènes et de progestérone sont très faibles et presque constants.
Femme B :
Les taux de LH, des œstrogènes et de progestérone sont très faibles et presque constants.
Hypothèse : (01 pt)
Femme A : un faible taux d’hormones ovariennes entrainerait un taux élevé de LH.
Femme B : un faible taux de LH inhiberait la production des hormones ovariennes.
2 : L’injection de la Gn-RH stimule la production des hormones hypophysaires FSH et LH qui vont stimuler
l’ovogenèse et la folliculogenèse.
Chez la femme A, elle produit déjà les hormones hypophysaires mais pas d’hormones ovariennes : donc l’injection de
la Gn-RH n’aura pas d’effets sur son endomètre.
Chez la femme B, la FSH va stimuler la folliculogenèse entrainant la production des hormones ovariennes qui vont
agir sur le développement de l’endomètre.
3 : Schéma : (02 pts)

Partie C
1 : L’allèle de la maladie est dominant. (0,5 pt)
Justification : chaque enfant malade a au moins un de ces parents malades. (0,5 pt)
2 : mode de transmission : (1,5 pts)
- L’allèle n’est pas porté par Y car les filles sont malades.
- L’allèle n’est pas porté par X car le garçon II2 malade a sa mère saine.
- Comme l’allèle n’est pas porté par les gonosomes, alors il est autosomal.
3 : Choix des allèles :
A : l’allèle de la maladie ; a : l’allèle normal.
Génotypes : II1 et II 2: A//a ; III1 : a//a ; III2 : A//a ou A//A ; III8 : A//a. (1 pt)
a A
4 : III1 : x III8 : (1 pt)
a a
A a
a A a
a a
[A] [a]
[a] : ½ ou 50%
Concours sage femme 2018-2019
Corrigé type
Partie A
1 : Comparaison (02 pts)
Garçons X et Y Garçon normal
Points communs Cellules de Leydig 
Vaisseaux sanguins 
Cellules de Sertoli.
Paroi de tube Mince Epaisse
Différences Spermatozoïdes Absents Présents
Taille des cellules de Sertoli Petite Grande
Nombre des cellules de Moins nombreux Nombreux
Sertoli
Cellules de Leydig Peu développées Développées
2 : Analyse comparative :
Chez le garçon normal, on note une production de façon pulsatile de testostérone dont la valeur oscille entre 300 et
600 ng/dl alors que chez les garçons X et Y, le taux de testostérone est très faible. (02 pts)
3 : Le faible développement des cellules de Leydig entraine une fable production de testostérone. (01 pt)
4 : Trois causes : (01 pt)
- Absence ou faible production d’hormones hypophysaires.
- Absence ou faible production d’hormones hypothalamiques.
- Lésion du complexe hypothalamo-hypophysaire.
Partie B
I/
1 : (02 pts)
Cellules Identification Justification
1 Ovocyte I Cellule en début télophase I
Cytodiérèse inégale
2 Spermatocyte I Cellule en début télophase I
Cytodiérèse égale
3 Spermatocyte II Cellule en début télophase II
Cytodiérèse égale
4 Ovocyte II Cellule en début télophase II
Cytodiérèse inégale

2 : Devenirs : (0,5 pt)

Cellules filles Devenir certain Devenir possible


Grosse Ovotide Ovule
Petite Globules
polaires
II/
1 : Analyse : (01 pt)
Femme A :
Le taux de LH est élevé et est presque constant.
Les taux des œstrogènes et de progestérone sont très faibles et presque constants.
Femme B :
Les taux de LH, des œstrogènes et de progestérone sont très faibles et presque constants.
Hypothèse : (01 pt)
Femme A : un faible taux d’hormones ovariennes entrainerait un taux élevé de LH.
Femme B : un faible taux de LH inhiberait la production des hormones ovariennes.
2 : L’injection de la Gn-RH stimule la production des hormones hypophysaires FSH et LH qui vont stimuler
l’ovogenèse et la folliculogenèse.
Chez la femme A, elle produit déjà les hormones hypophysaires mais pas d’hormones ovariennes : donc l’injection de
la Gn-RH n’aura pas d’effets sur son endomètre.
Chez la femme B, la FSH va stimuler la folliculogenèse entrainant la production des hormones ovariennes qui vont
agir sur le développement de l’endomètre.
3 : Schéma : (02 pts)

Partie C
1 : L’allèle de la maladie est dominant. (0,5 pt)
Justification : chaque enfant malade a au moins un de ces parents malades. (0,5 pt)
2 : mode de transmission : (1,5 pts)
- L’allèle n’est pas porté par Y car les filles sont malades.
- L’allèle n’est pas porté par X car le garçon II2 malade a sa mère saine.
- Comme l’allèle n’est pas porté par les gonosomes, alors il est autosomal.
3 : Choix des allèles :
A : l’allèle de la maladie ; a : l’allèle normal.
Génotypes : II1 et II 2: A//a ; III1 : a//a ; III2 : A//a ou A//A ; III8 : A//a. (1 pt)
a A
4 : III1 : x III8 : (1 pt)
a a
A a
a A a
a a
[A] [a]
[a] : ½ ou 50%

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