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En intégrant l’équation deux fois et en prenant en compte les conditions initiales Exercice 5 : Freinage et distance d’arrêt
#
on trouve x(t) = 12 g sin(α)t2 R»
m e#»y
On considère maintenant qu’il existe des frottements solides entre le mobile et le plan
incliné caractérisés par un coefficient de frottement statique µs et un coefficient de #» 1. Le PFD projeté sur l’axe Ox donne max = −F0 En l’intégrant une fois, on trouve la vitesse de la voiture en fonction
frottement dynamique µd P e#»x du temps : vx = v1 − Fm0 t. Le temps nécessaire à l’arrêt complet du véhicule est de T=7 s, donc vx (T ) = 0 = v1 − Fm0 T
α ce qui donne F0 = mvT ' 5160 N
1
θ(t) = ω t 5. La vitesse V , exprimée en km/h, est reliée à v1 en m/s par la formule : V = 3,6 .
v1
l’expression de d devient :
1. Voir graphique ci-contre. 2
1 mV 2 mV 2 V2
V
2. On commence par calculer l’accélération du point matériel : 180 0 d= = ' '
2 3,62 F0 2 × 3,62 × F0 103 10
#»
a = (r̈ − rθ̇2 ) #»
e r + (rθ̈ + 2ṙθ̇) #»
e θ = −Aω 2 (1 + 2 cos(ωt)) #»
e r − 2Aω 2 sin(ωt) #»
eθ
C’est la formule que l’on enseigne dans les auto-écoles.
D’après le PFD, la résultante des force subie par le point matériel est
225 315
#»
F = m #»
a = −mAω 2 (1 + 2 cos(ωt)) #»
e r − 2mAω 2 sin(ωt) #»
eθ 270
1. La goutte d’eau est soumise à son poids P~ = m~g et la la force f~ = −6πrη~v . Le Le graphique ci-contre représente l’énergie potentielle d’un 50
PFD donne donc m~a = P~ + f~, projeté sur l’axe z orienté par le vecteur ~ez dirigé point matériel M astreint à se déplacer suivant l’axe x.
vers le bas donne, il devient m ddt2z = −mg − 6πrη dz 40 1
dt .
2
Ep (J)
30
est nulle et f = mg. Ce qui donnc vlim = 6πrη
mg
. A.N : vlim ' 0,29 m/s
2. Les valeurs de x accessibles sont x ∈ [2 m, 6 m] 20
3. L’équation différentielle devient : d2 z
= −g − vlim dz dt soit dt2 + vlim dt
g d2 z g dz
= −g. 3. L’énergie mécanique de M est de 30 J.
dt2
v 10 2
On note v = dt et on résout l’équation différentielle dt + vlim v = g. Par
dz dv g
la mé- τ t 4. Pour que la trajectoire de M ne soit pas bornée en x > 0,
thode classique (equation homogène, solution particulière, conditions initiales) 0
il faudrait que son énergie mécanique soit supérieure à 0
on trouve : 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
46 J. Donc son énegie cinétique doit être plus grande que
26 J. x (m)
g t
v(t) = −vlim 1 − exp − t = −vlim 1 − exp −
vlim τ vlim
3. On considère que la vitesse initiale du saut est la même sur la Terre et sur la Lune, on la note v0 . La hauteur maximum
Exercice 9 : Luge sur un igloo v2
atteinte h est donnée par 12 mv02 = mgh (conservation de l’énergie mécanique). On a donc h = 2g0 . Et donc
#» #» #»
1. L’accélération normale de la luge est #»
a N = −Rθ̇2 #»
e r = − vR #»
e r . Le PFD donne m #»
a = P + F où F = F #»
e r est la force
2
2.000
Ep (J)
−2.000
−12 −10 −8 −6 −4 −2 0 2 4 6 8 10 12
x (m)
dE
2. On cherche les positions d’équilibre en cherchant les points pour lesquels dxp = 0, on en trouve 3 : x1 = −7,07 m,
x2 = 0 m, x3 = 7,07 m. On voit directement sur le graphique que x1 et x3 sont des positions d’équilibre stable et x2
est une position d’équilibre instable.
3. Il faut que le point M puisse franchir la barrière de potentiel, il faut lui donner une énergie cinétique supérieure à
Ep (0) − Ep (x1 ) = 1000 − (−1500) = 2500 J.
4. — La trajectoire 1 correspond à des oscillations anharmoniques dans le puits de gauche, sans frottements.
— La trajectoire 2 correspond à des oscillations anharmoniques dans le puits de gauche, avec amortissement dû aux
frottements, le point M se stabilise au fond du puits.
— La trajectoire 3 correspond à des oscillations anharmoniques dans les deux puits, avant que l’énergie du point
M soit suffisamment dissipée par les frottements et qu’il se stabilise au fond du puits de droite.
— La trajectoire 4 correspond à des oscillations anharmoniques dans les deux puits, sans frottements.
dV 1 d2 V
V (r) ≈ V (r0 ) + (r − r0 ) (r0 ) + (r − r0 )2 2 (r0 )
dr 2 dr
dV d2 V
Comme dr (r0 ) = 0, il reste à calculer dr 2 (r0 ). On trouve
d2 V
(r0 ) = 2β 2 V0
dr2
On peut dont modéliser l’interaction entre les deux atomes par la force de rappel d’un ressort de raideur k = 2β 2 V0 .
q
5. La pulsation des oscillations d’une masse m accrochée à un ressort de raideur k est ω0 = m k
. Donc la pulsation des
oscillations de la molécule de monoxyde de carbone est
r
2V0
ω0 = β
m
6. Si l’énergie mécanique de l’atome d’oxygène est supérieur à V0 , il peut s’échapper de l’attraction de l’atome de carbone
et la liaison C−O sera brisée.