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1.

Les satellite
Introduction

Un satellite de télécommunications est un satellite artificiel placé


dans l'espace pour des besoins de télécommunications. Selon le
besoin, il circule sur une orbite géostationnaire, une orbite terrestre
basse ou une orbite de Molnia d’où il relaie le signal émis par des
stations émettrices vers des stations réceptrices. Les
télécommunications par satellite constituent la première
application commerciale de l'ère spatiale avec le lancement
d'un premier satellite opérationnel (Intelsat I) en 1965.
Développé initialement pour les télécommunications
téléphoniques longue distance à une époque où seuls les câbles
sous-marins permettaient le transport à longue distance de la
voix depuis le milieu du XXe siècle, il a trouvé depuis d'autres
applications. Le gros de l'activité concerne la diffusion de
programmes de télévision. Pour des services fixes, les satellites
de communications apportent une technologie complémentaire
à la fibre optique. Ils sont également utilisés pour des
applications mobiles, comme des communications vers les
navires ou les avions.
Le développement des télécommunications spatiales est confié
initialement à des organismes internationaux (Intelsat et Inmarsat).
Les progrès techniques et la forte croissance de l'activité permettent
l'émergence dans les années 1970 de nombreuses sociétés d'envergure
régionale.
Le secteur des télécommunications spatiales fait vivre une poignée de
constructeurs de satellites qui se partagent un marché relativement
stable d'une vingtaine de satellites géostationnaires par an, et plusieurs
dizaines d'opérateurs de satellites.
Principe
Un satellite placé sur une orbite géostationnaire semble fixe à un
observateur à la surface de la Terre. Il fait le tour de la Terre
en 23 h 56 min, à vitesse constante, à la verticale de l'équateur. Ce
type d'orbite est très pratique pour les applications de communication
car les antennes au sol, qui doivent impérativement être pointées vers
le satellite, peuvent fonctionner efficacement sans devoir être équipées
d'un système de poursuite des mouvements du satellite, système
coûteux et compliqué à exploiter. Dans le cas d'applications
nécessitant un très grand nombre d'antennes au sol (comme la
diffusion de bouquets de télévision numérique), les économies
réalisées sur les équipements au sol justifient largement la complexité
technologique du satellite et le surcoût de la mise sur une orbite
relativement haute (près de 36 000 km).

Caractéristiques des satellite

Bien que les plates-formes terrestres ou aéroportées soient


utilisées, ce sont les satellites qui fournissent la majeure
partie des données recueillies par télédétection de nos
jours. Certaines caractéristiques propres aux satellites en
font des instruments particulièrement utiles pour
l'acquisition d'information sur la surface de la Terre.

La trajectoire effectuée par un satellite autour de la Terre


est appelée orbite. L'orbite d'un satellite est choisie en
fonction de la capacité des capteurs qu'il transporte et des
objectifs de sa mission. Le choix d'une orbite est déterminé
par l'altitude (la hauteur du satellite au-dessus de la surface
de la Terre), l'orientation et la rotation du satellite par
rapport à la Terre. Certains satellites ont une altitude très
élevée et regardent toujours la même région de la surface
de la Terre, ils ont une orbite géostationnaire. Ces
satellites géostationnaires ont une altitude d'environ 36 000
kilomètres et se déplacent à une vitesse qui correspond à
celle de la Terre, donnant ainsi l'impression qu'ils sont
stationnaires. Cette configuration orbitale permet au
satellite d'observer et d'amasser continuellement de
l'information sur une région spécifique. Les satellites de
communication et d'observation des conditions
météorologiques sont situés sur de telles orbites. L'altitude
élevée de certains satellites météorologiques leur permet
d'observer les nuages et les conditions qui couvrent un
hémisphère complet de la Terre.

D'autres plates-formes spatiales suivent une orbite allant


pratiquement du nord au sud ou vice versa. Cette
configuration, combinée à la rotation de la Terre (ouest-est),
fait qu'au cours d'une certaine période, les satellites ont
observé la presque totalité de la surface de la Terre. Ce type
d'orbite est appelé orbite quasi polaire à cause de
l'inclinaison de l'orbite par rapport à une ligne passant par
les pôles Nord et Sud de la Terre. La plupart des satellites
sur orbite quasi-polaires ont aussi une
orbite héliosynchrone; de cette façon, ils observent
toujours chaque région du globe à la même heure locale
solaire. Pour une latitude donnée, la position du Soleil dans
le ciel au moment où le satellite survole une certaine région
au cours d'une saison donnée sera donc toujours la même.
Cette caractéristique orbitale assure des conditions
d'illumination solaire similaires, lorsqu'on recueille des
données pour une saison particulière sur plusieurs années
ou pour une région particulière sur plusieurs jours. Ceci est
un facteur important lorsqu'on compare deux images
successives ou lorsqu'on produit une mosaïque avec des
images adjacentes, puisque les images n'ont pas à être
corrigées pour tenir compte de l'illumination solaire.

De nos jours, la plupart des plates-formes satellitaires sont


placées sur orbite quasi-polaire. Elles se déplacent donc
vers le nord d'un côté de la Terre, et vers le sud dans l'autre
moitié de leur orbite. Ces deux types de passage du satellite
se nomment respectivement orbite ascendante et orbite
descendante. Si l'orbite est aussi héliosynchrone, l'orbite
ascendante du satellite se fait du côté ombragé de la Terre,
tandis que l'orbite descendante se fait du côté éclairé par le
Soleil. Les capteurs qui enregistrent l'énergie solaire
réfléchie par la Terre ne recueillent donc de l'information
qu'au cours leur orbite descendante, lorsque le Soleil
illumine la Terre. Les capteurs actifs qui possèdent leur
propre source d'illumination ou les capteurs passifs qui
enregistrent l'énergie émise par la planète (l'énergie
infrarouge thermique par exemple) peuvent amasser des
données autant lors des orbites ascendantes que
descendantes de leurs satellites.

Lorsqu'un satellite est en orbite autour de la Terre, le


capteur "observe" une certaine partie de la surface. Cette
surface porte le nom de couloir-couvert ou fauchée. Les
capteurs sur plate-forme spatiale ont une fauchée dont la
largeur varie généralement entre une dizaine et une
centaine de kilomètres. Pour les satellites à orbite quasi-
polaire, le satellite se déplace selon une trajectoire nord-
sud. Cependant, vue de la Terre, la trajectoire du satellite
semble avoir une composante vers l'ouest à cause de la
rotation de la Terre. Ce mouvement apparent du satellite
permet à la fauchée du capteur d'observer une nouvelle
région à chacun des passages consécutifs du satellite.
L'orbite du satellite et la rotation de la Terre travaillent donc
de concert, permettant une couverture complète de la
surface de la planète après un cycle orbital complet.
Les points sur la surface de la Terre qui se trouvent
directement en dessous de la trajectoire du satellite sont
appelés les points nadir. On définit le cycle de passage du
satellite comme étant la période de temps nécessaire pour
que le satellite revienne au-dessus d'un point nadir pris au
hasard. Le satellite aura alors effectué un cycle orbital
complet. La période de temps nécessaire pour compléter un
cycle orbital complet varie d'un satellite à l'autre. La durée
du cycle orbital ne doit pas être confondue avec la période
de revisite. Avec les capteurs orientables, les instruments
peuvent observer une surface avant et après les passages
de l'orbite au-dessus de la cible, ce qui permet une période
de revisite beaucoup plus courte que le cycle orbital. La
période de passage au nadir est un facteur important pour
plusieurs applications de la télédétection, spécialement
lorsque des images fréquentes sont nécessaires (par
exemple : pour surveiller la dispersion lors d'un
déversement d'hydrocarbures ou pour mesurer l'ampleur
d'une inondation). Les satellites à orbite quasi-polaire ont
une couverture plus fréquente des régions de latitude
élevée par rapport à la couverture des zones équatoriales.
Cette plus grande couverture est due à l'élargissement, vers
les pôles, de la zone de chevauchement entre deux
fauchées adjacentes.

Bande de fréquence
La bande ka (kurz-above) correspond à une bande de fréquence
comprise entre la bande k et la bande Q, soit entre 26,5 et 40 GHz.
Elle est utilisée notamment pour l'internet par satellite. Pour les
télécommunications spatiales, elle s’étend en émission de 27,5 à 31
GHz et en réception de 17,3 à 21, 3 GHz.
Fréquence des services satellite dans la région 1 (Europe, Afrique et
Asie du nord )
Bande Sens montant Largeur de gamme
descendant
Bande c 6/4 GHz 1100 MHz
Bande x 8/7 GHz 500 MHz
Bande ku 14/11 GHz 1000 MHz
Bande Ku 14/12 250 MHz
Bande ka 30/20 GHz 2500 MHz
Bande L 1,6/1,5 GHz 29 MHz
Bande k 17/12 Ghz 800 MHz
 Services
Il existe également une réparation géographique en 3 régions :
 La région 1 ( Europe, Afrique, Moyen-Orient et la Russie)
 La région 2 ( Asie, Océanie)
 La région 3 (Amérique)
La bande C : la bande est utilisée par les satellites commerciaux pour
les services SFS, elle est aujourd’hui fortement encombrée. Cette
bande est divisé en deux sous bandes ; pour les flux descendant
( satellite/terre) la plus haute, pour les flux montant ( terre/satellite)
La bande Ku : n’est pas encore encombrée, est surtout utilisée pour
les SFS et exclusivement pour les SRS dans les bandes 12/11 GHz.
La bande L : est principalement destiné aux satellite en orbite basse.
Les bandes de fréquence de la bande L ont été définies par la
conférence modiale ( CAMR ) de 1992 par le service mobile par
satellite.
La bande X : est réservée aux applications militaires
Inconvénients
Les satellites bénéficient d'une forte immunité aux désastres naturels
et par rapport aux systèmes de communication terrestres, leurs coûts
sont faibles. Leurs principaux inconvénients ont trait à l'importance
des coûts de lancement et pour certains d’entre eux, aux délais de
transmission et aux phénomènes d’échos.
Avantages
Les satellites ne sont pas influencées par les conditions
météorologiques. Ils sont largement plus précis et plus rapides que
les anciens système de navigation (radionavigation par exemple)(une
précision de l'ordre de 15 mètre avec le GPS et 1 mètre avec Galiléo)
Utilisation
Ils sont généralement utilisés pour la télécommunication
comme la télévision, la radio ou les téléphones. Ce sont aussi
ces satellites qui permettent de suivre la météo et de prévoir le
temps qu'il va faire. Ils alertent également en cas d'orage ou de
canicule à venir.
L'usage des satellites s'est également démultiplié dans
beaucoup de domaines :
1. La défense avec la création de l'armée de l'air et de
l'espace.
2. L'environnement, la surveillance de la planète, du climat
et de son évolution dans le temps.
3. L'aide à l'agriculture.
4. Les transports et l'évolution des territoires.
5. La santé
2. La fibre optique
Introduction

Une fibre optique est un fil dont l’âme, très fine, en verre ou


en plastique, a la propriété de conduire la lumière et sert pour
la fibroscopie, l'éclairage ou la transmission de
données numériques. Elle offre un débit
d'information nettement supérieur à celui des câbles
coaxiaux et peut servir de support à un réseau « large bande »
par lequel transitent aussi bien la télévision, le téléphone,
la visioconférence ou les données informatiques. Le principe de
la fibre optique date du début du XXe siècle mais ce n'est qu'en
1970 qu'est développée une fibre utilisable pour les
télécommunications, dans les laboratoires de l'entreprise
américaine Corning Glass Works (actuelle Corning
Incorporated).
Entourée d'une gaine protectrice, la fibre optique peut être
utilisée pour conduire de la lumière entre deux lieux distants de
plusieurs centaines, voire milliers, de kilomètres. Le signal
lumineux codé par une variation d'intensité est capable de
transmettre une grande quantité d'information. En permettant
les communications à très longue distance et à des débits
jusqu'alors impossibles, les fibres optiques ont constitué l'un
des éléments clés de la révolution des télécommunications.
Ses propriétés sont également exploitées dans le domaine
des capteurs (température, pression, etc.), dans l'imagerie et
dans l'éclairage.
Caractéristiques

Les principaux paramètres qui caractérisent les fibres optiques


utilisées pour les transmissions sont les suivants :

1.Atténuation
L’atténuation caractérise l’affaiblissement du signal au cours de la
propagation. Soient  et  les puissances à l’entrée et à la sortie d’une
fibre de longueur L. L’atténuation linéaire se traduit alors par une
décroissance exponentielle de la puissance en fonction de la longueur
de fibre (Loi de Beer-Lambert) :  où  est le coefficient d’atténuation
linéaire.
On utilise souvent le coefficient  exprimé en dB/km et relié à  par .
Le principal atout des fibres optiques est une atténuation extrêmement
faible. L’atténuation va varier suivant la longueur d’onde. La diffusion
Rayleigh limite ainsi les performances dans le domaine des courtes
longueurs d’onde (domaine du visible et du proche ultraviolet). Un pic
d'absorption, dû à la présence de radicaux -OH dans la silice, pourra
également être observé autour de 1 385 nm. Les progrès les plus
récents dans les techniques de fabrication permettent de réduire ce pic.
Les fibres en silice connaissent un minimum d'atténuation
vers 1 550 nm. Cette longueur d’onde du proche infrarouge sera donc
privilégiée pour les communications optiques. De nos jours, la
maîtrise des procédés de fabrication permet d’atteindre couramment
une atténuation aussi faible que 0,2 dB/km à 1 550 nm :
après 100 km de propagation, il restera donc encore 1 % de la
puissance initialement injectée dans la fibre, ce qui peut être suffisant
pour une détection. Si l’on désire transmettre l’information sur des
milliers de kilomètres, il faudra avoir recours à une réamplification
périodique du signal, le plus généralement par l’intermédiaire
d’amplificateurs optiques qui allient simplicité et fiabilité.
Le signal subira des pertes supplémentaires à chaque connexion entre
fibres, que ce soit par des traverses ou bien par soudure, cette dernière
technique, la plus performante, réduit très fortement ces pertes.
Dispersion chromatique
La dispersion chromatique est exprimée en ps nm−1 km−1 et caractérise
l'étalement du signal lié à sa largeur spectrale (deux longueurs d'onde
différentes ne se propagent pas exactement à la même vitesse). Cette
dispersion dépend de la longueur d'onde considérée et résulte de la
somme de deux effets : la dispersion propre au matériau, et la
dispersion du guide, liée à la forme du profil d'indice. Il est donc
possible de la minimiser en adaptant le profil. Pour une fibre en silice,
le minimum de dispersion se situe vers 1 300–1 310 nm.
Débit de transmission
Le record actuel de débit de transmission a été établi par KDDI en
laboratoire en 2017. Il est de 10,16 pétabit par seconde sur une
distance de 11,3 km. Le précédent record est détenu
par NEC et Corning en laboratoire en septembre 2012. Il est
de 1 pétabit par seconde (1 000 térabits par seconde, soit un million de
gigabits par seconde ou, plus communément : 125 000 gigaoctets par
seconde) sur une distance de 52,4 km.
Vitesse de transmission
La notion de vitesse du signal dans une fibre est distincte de celle de
débit (vitesse de transmission des données), confusion largement
répandue dans la presse. La vitesse du signal dans la fibre est
globalement la même pour la fibre optique et le câble en cuivre; elle se
situe à environ 70 à 75 % de la vitesse de la lumière dans le vide,.
Certaines fibres expérimentales creuses, atteignent des vitesses
proches de 99 % de la vitesse de la lumière. Sur les transmissions à
grande distance, la vitesse de transmission est ralentie par la présence
de nombreux répéteurs nécessaires pour remettre en forme le signal,
même si les nouvelles technologies entièrement optiques limitent ce
ralentissement. Pour démonstration, la latence théorique d'une liaison
informatique Nouméa-Paris est de 90 ms. On la mesure en pratique
à 280 ms (en utilisant par exemple un mesureur de latence) après un
trajet sur plus de 20 000 km de fibre optique sous-marine, où le signal
est régulièrement ré-amplifié et remis en forme. L'éloignement
des serveurs joue donc de façon défavorable sur la latence.
Non-linéarité
Article détaillé : Optique non linéaire.
Un canal de transmission est dit non linéaire lorsque sa fonction de
transfert dépend du signal d’entrée. L'effet Kerr, la diffusion Raman et
l'effet Brillouin sont les principales sources de non linéarité dans les
fibres optiques. Parmi les conséquences de ces effets non linéaires, on
peut citer l'automodulation de phase, des mélanges à quatre ondes
intra- et inter-canaux.
Dispersion modale de polarisation (PMD)
La dispersion modale de polarisation (PMD) est exprimée en ps/km½
et caractérise l'étalement du signal. Ce phénomène est dû à des défauts
dans la géométrie des fibres optiques qui entraînent une différence
de vitesse de groupe entre les modes se propageant sur différents axes
de polarisation de la fibre optique.
Fibres spéciales
Il est possible de rajouter certaines caractéristiques aux fibres :
 les fibres dopées contiennent des ions de terres rares ;
 les fibres à maintien de polarisation ;
 les fibres photosensibles.

Bande de fréquence

C'est une mesure de la capacité de transport de données d'une fibre


optique. Par

exemple, une fibre peut avoir une bande passante de 400 MHz.km.
Cela signifie qu'elle peut

transporter 400 MHz sur 1 km. Elle dépend du type de fibre.

Avantages

Les fibres optiques présentent plusieurs avantages:

1. Vitesse

Comme nous l'avons amplement expliqué, la lumière qui voyage dans


la fibre se

propage à près de 300 000 km/s, ce qui crée une vitesse de


transmission relativement
instantanée. La seule restriction sur la vitesse se trouvant à être la
dispersion, la rapidité des

fibres reste incontestable plus grande que celle des fils de cuivre

2. Légèreté

Le deuxième grand avantage des fibres est la légèreté des matériaux


utilisés pour leur

conception. Un câble optique pèse beaucoup moins qu'un câble de


cuivre. Ceci, en

conjonction avec le type de matériaux utilisés, rend l'utilisation et la


manipulation des fibres

optiques énormément plus facile et avantageuse.

De plus, cette légèreté ne signifie pas nécessairement la fragilité. La


gain protectrice

du câble accomplit très bien sa tâche en rendant ce moyen de


communication très rigide et

très peu corrosif.

Il a aussi été observé plusieurs fois que la fibre optique est plus
rentable à long terme

que le fil de cuivre. La manutention est beaucoup moins nécessaire ce


qui donne la possibilité

d'établir un réseau plus fiable, plus rentable, et surtout plus efficace.

3. Insensibilité au bruit
Un troisième avantage majeur est que le signal qui voyage dans la
fibre est insensible

aux champs magnétiques ou divers bruits pouvant créer une distorsion


sur les signaux

voyageant dans des fils de cuivre.

Inconvénients

Fragilité : la fibre optique est plutôt fragile et plus vulnérable


aux dommages par rapport aux fils de cuivre. Vous feriez mieux
de ne pas tordre ou plier les câbles fibres optiques ; à vos
risques et périls. Attention, ça n'est pas le cas du câble
qui est beaucoup plus résistant.

Domaines d'application de la fibre optique

Les réseaux utilisent comme moyen de communication la fibre


optique, son utilisation

permet la réception et l'émission de données de manière très


rapide et avec une plus grande

sureté de transmission:

- En téléphonie, les câbles coaxiaux sont remplacés peu à peu


par des fibres optiques.

En effet, la fibre optique est plus économique sur longue


distances et le nombre de composant

est moins important. La fibre optique a également été retenu


dans ce domaine, car sur des

longues distances, son affaiblissement faible évite des


récepteur supplémentaires, à la
différence du coaxial et des liaisons hertziennes.

- La première utilisation d'envergure de la fibre optique fut en


médecine, domaine où

elle toujours grandement utilisée aujourd'hui. La fibre optique


est utilisée en médecine tant

pour diagnostiquer des problèmes de santé que pour traiter


certaines maladies. En chirurgie

associée à un faisceau laser qui permet de: pulvériser un calcul


rénal, découper une tumeur,

réparer une rétine... En endoscopie, pour éclairer l'intérieur du


corps et transmettre les images

jusqu’à la médecine.

- Avec la fibre optique on peut calculer la distance d'un objet par


rapport à un autre,

des vitesses de rotation, des vibrations. Mais tous ce petits


systèmes sont plus précis que les

autres systèmes de même utilité mais utilisant d'autre


technologie de détection;

- L'éclairage (muséographique, architecturale, espace


d'agrément publics ou

domestiques);

- La décoration/illumination de piscines, bassins, fontaines;

- La signalétique d'orientation et d'information (panneaux de


signalisation et
enseignes);

- la signalisation routière (rond-point, séparation de voies de


circulation).

- Capteurs (température, pression,..).

CONCLUSION GÉNÉRALE

En conclusion, Bien qu'une fibre optique dispose, en principe,


d'une bande passante potentielle bien supérieure à celle que
peut offrir un satellite, elle n'est malheureusement pas
accessible au commun des utilisateurs.

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