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Réfutation à l'ambiguïté concernant le

jugement avec passion ou le pot de vin


Par le shaykh Nasir al Fahd (qu'Allah le libère)

Il [shaykh Al Fahd] fut questionné :

Parmi la division connue du jugement par autre que ce que Allâh a révélé, figure le juge
lorsqu’il se conforme au jugement d’Allâh extérieurement et intérieurement mais qu’il
délivre un jugement par passion, par désir dans une affaire donnée, et ce, une fois ou
deux fois comme il est connu, il ne mécroit pas, telle est la doctrine des prédécesseurs.
Ceci est-il correct ? Et quel est le statut de celui qui lâche le verdict de mécréance sur lui
dans les affaires minimes [dans lesquelles il aura délaissé le jugement par la Loi d’Allâh
par passion, etc.] ?

Il (qu’Allâh le préserve) répondit : cette question est confuse pour de nombreux frères au
point que les murjites [soient parvenus] à avoir une emprise sur eux. De là, il y a le débat
dans l’audio entre : « (…) et l’autre d’entre ceux qui voient la mécréance de celui qui juge
par autre que ce que Allâh a révélé, il lui demanda (…) s’il juge dans une seule affaire ? »
Alors il répondit : « il ne devient pas mécréant. » Il dit : « et dans deux affaires ? » Il lui dit
: « il ne mécroit pas. » Et il poursuivit en ajoutant petit à petit jusqu’à l’embarrasser, il lui
dit : « donne-moi le nombre suite auquel il atteint la mécréance. » Il ne parvint pas à
répondre. Et les murjites comptèrent ce propos [comme étant un] coup fatal, décisif !
Alors qu’il est mauvais et faux.

Et la libéralisation de la parole est que le juge dans une telle situation est de deux sortes :

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