Vous êtes sur la page 1sur 52

*****

Les avantages à faire un stage en entreprise pendant ses études

Parfois facultatif, parfois obligatoire à chaque fin d’année comme à l’IPAG, le stage en entreprise
présente de nombreux avantages. Petit tour d’horizon de ce qui fait son succès auprès des étudiants…

Découvrir le monde de l’entreprise

Effectuer un stage en entreprise est d’abord l’occasion pour vous de découvrir le monde professionnel,
de comprendre comment fonctionne réellement une entreprise, d’appréhender ses codes, d’apprendre
à s’intégrer dans une équipe, de développer son savoir-être, etc.

Affiner son projet professionnel

En début de cursus, certains étudiants ont déjà une idée très précise de leur projet professionnel, le
stage en entreprise est une expérience qui permet parfois de conforter le stagiaire dans ses intentions
initiales ou au contraire qui le pousse à revoir ses projets. Pour les étudiants qui hésitent entre deux
secteurs d’activité, les stages en entreprise peuvent les éclairer. In fine, effectuer plusieurs stages au
cours de son cursus vous permettra d’affiner progressivement votre projet.

Passer de la théorie à la pratique

Sur les bancs des grandes écoles, les étudiants apprennent les théories et les principes incontournables
à l’exercice de différents métiers mais pour acquérir des compétences professionnelles, rien ne peut
remplacer un stage en milieu professionnel. Le stagiaire en voie de professionnalisation y apprend à
appliquer ses savoir-faire théoriques et à les confronter aux réalités du terrain.

Apprendre son futur métier auprès de professionnels aguerris

Sous l’autorité de leur tuteur, les stagiaires apprennent à exercer leur futur métier et à assumer de plus
en plus de responsabilités. Durant les quelques mois consécutifs que vous passerez dans votre
entreprise ou organisme d’accueil, n’hésitez pas à poser des questions, soyez curieux, nourrissez-vous
de l’expérience de votre responsable

Développer son réseau

Effectuer un stage en entreprise, c’est également l’occasion de vous créer un réseau professionnel.
Essayez de garder contact, au-delà de la période de stage, avec vos anciens collègues via les réseaux
sociaux professionnels (Viadeo, LinkedIn…). Si vous estimez avoir laissé une bonne image de vous lors de
votre passage dans telle ou telle entreprise, n’hésitez pas à solliciter une lettre de recommandation que
vous pourrez joindre à votre CV et lettre de motivation au moment de postuler pour un premier job.

Améliorer son employabilité

Les entreprises qui recrutent aujourd’hui exigent toujours des jeunes diplômés une certaine expérience
professionnelle. Vous pourrez sans doute vous en rendre compte dès votre premier entretien
d’embauche avec un recruteur : avoir effectué un stage chaque année au cours de votre scolarité dans
l’enseignement supérieur, avoir réalisé un long stage de fin d’études ou être parti faire un stage à
l’étranger sont des atouts majeurs pour réussir votre insertion professionnelle.

Percevoir des revenus pendant ses études

Être stagiaire, c’est également la chance de percevoir une gratification. Celle-ci peut dépendre de la
durée du stage (à partir de 308 heures, elle est obligatoire et son montant doit figurer sur la convention
de stage) et de la politique de l’entreprise d’accueil.  Pour les entreprises françaises (ou les entreprises
étrangères installées en France), le montant de la gratification est d’au moins 600,60€ mensuel (au 1er
janvier 2020). Bien sûr, certaines entreprises vont au-delà de cette somme, notamment si vous êtes
étudiant stagiaire en fin d’études à Bac+5.

Maintenant que vous savez tout sur les principaux avantages du stage en entreprise, à vous de jouer :
définissez votre projet de stage, consultez les offres de stage, ciblez les bonnes entreprises, préparez vos
lettres de motivation, mettez à jour votre CV, etc. N’hésitez pas à vous faire aider par le service Relations
Entreprises de votre établissement d’enseignement si vous ne savez pas comment trouver un stage

*****

Les arguments en faveur de l'interdiction des ordinateurs portables dans les salles de classe et de
conférence

Les preuves continuent de s'accumuler à l'appui de la politique autrefois marginale consistant à interdire
les ordinateurs portables, les tablettes et les téléphones cellulaires dans les salles de classe et de
conférence. De plus en plus, des études montrent que les gens absorbent moins bien ce qui est discuté
lorsqu'ils ont accès à des ordinateurs pendant les conférences, les formations et même les réunions sur
le lieu de travail.

L'effet n'est pas limité à l'individu qui utilise l'ordinateur portable. En effet, des études indiquent
désormais que les camarades de classe et les collègues qui se trouvent à proximité de l'utilisateur de
l'ordinateur portable se souviennent également moins bien de ce qui a été présenté, même s'ils
prenaient des notes à l'ancienne.

Susan Dynarski, professeur d'éducation, de politique publique et d'économie à l'université du Michigan,


a récemment cité trois études différentes dans un article intitulé article pour le New York Times qui
confirment ce que de nombreux professeurs et instructeurs croient depuis des années, à savoir que
l'autorisation des ordinateurs portables dans les salles de classe a un effet négatif sur l'apprentissage et
l'absorption des connaissances.

Dans chacune de ces études, les collégiens qui n'étaient pas autorisés à utiliser des ordinateurs
portables ou des tablettes obtenaient des résultats nettement meilleurs en cours et aux tests
standardisés que les étudiants qui avaient accès à des ordinateurs en classe. Mme Dynarski poursuit en
disant que, sur la base des résultats de ces études sur les classes des collèges, elle s'attend à ce que les
ordinateurs portables et les tablettes nuisent de la même manière à la productivité dans les réunions de
toutes sortes sur le lieu de travail.

Pourquoi l'utilisation d'ordinateurs portables pendant les cours nuit-elle aux résultats des étudiants ?

1. L'être humain ne sait pas faire plusieurs choses à la fois.

Notre cerveau n'est pas conçu pour absorber de nouvelles informations tout en tapant des notes. Au
contraire, nous changer notre attention de passer de l'écoute à la frappe et vice-versa à une vitesse
étonnante. Ce passage d'une tâche à l'autre nuit à notre concentration et nous empêche de retenir les
détails importants.

2. Le stylo est plus puissant que le clavier.

Les gens traitent mieux les informations lorsqu'ils prennent des notes à la main. Dans un série
d'expériences à l'Université de Princeton et à l'Université de Californie, Los Angeles, les étudiants qui
utilisaient un ordinateur portable comprenaient nettement moins bien le cours que ceux qui ne
l'utilisaient pas.

Avec un stylo et du papier, un étudiant ne peut pas suivre le rythme d'un conférencier. C'est en fait un
avantage pour l'apprentissage, car prendre des notes à la main oblige les gens à traiter et à résumer les
idées qu'ils entendent. À l'inverse, lorsqu'ils prennent des notes sur un ordinateur, les informations
entrent souvent dans une oreille et sortent par l'autre, les étudiants transcrivant sans réfléchir ce que
dit le présentateur.

3. Les écrans nous distraient et nous empêchent de nous connecter.

Kelly McGonigal, psychologue et conférencière à l'université de Stanford, affirme que le simple fait
d'avoir un téléphone portable sur la table est une distraction suffisante pour... réduire le rapport entre
deux personnes. Et établir un rapport par le biais du contact visuel est essentiel pour inciter un public à
apprendre ou à absorber de nouvelles informations.

4. Les écrans distraient aussi les autres.

Peut-être l'argument le plus fort contre l'autorisation des technologies connectées dans les
environnements d'apprentissage, selon plusieurs études, l'impact négatif que les écrans d'ordinateur
peuvent avoir sur les autres personnes présentes dans la pièce qui ne les utilisent même pas.

L'utilisation d'ordinateurs portables et de tablettes dans les salles de classe et de conférence peut
usurper l'attention des autres personnes se trouvant à proximité. M. Dynarski qualifie ce phénomène
d'"externalité négative", un peu comme la pollution ou le tabagisme. Pour le cerveau humain, la
lumière, la couleur et l'activité présentées à l'écran sont tout simplement trop tentantes, distrayant non
seulement l'utilisateur de l'ordinateur portable mais aussi les autres personnes à proximité. Cela signifie
qu'un seul ordinateur portable ouvert peut entraver l'apprentissage de plusieurs autres personnes dans
la pièce.
Supprimer la technologie pour activer l'apprentissage

Interdire la technologie en classe ne signifie pas que les instructeurs suppriment totalement la
technologie de l'apprentissage. En fait, certaines des méthodes d'enseignement les plus populaires
aujourd'hui, telles que la classe inversée, qui repose sur l'utilisation de la technologie pour améliorer
l'apprentissage et la compréhension en classe. Dans la classe inversée, les étudiants regardent des cours
enregistrés en dehors de la classe et passent du temps en classe à participer directement avec
l'instructeur et les autres étudiants par le biais d'activités ou de discussions.

De nombreux instructeurs estiment que la suppression de la distraction que représentent les


ordinateurs portables et les tablettes est une étape majeure pour activer l'apprentissage en classe.
Bronwyn Bleakley, généticienne de l'évolution et professeur de biologie au Stonehill College dans le
Massachusetts, déclare, "J'utilise la technologie dans ma classe pour faire sortir la technologie de ma
classe." En inversant les cours, ses élèves participent à d'autres types d'activités. apprentissage actif
pendant le cours. Et comme ils participent à des discussions de groupe, à des Q&As, à des jeux de rôle et
à d'autres activités d'apprentissage pratiques, leur ordinateur ne leur manque même pas pendant les
cours.

Regardez comment Bleakley active l'apprentissage dans sa classe :

Bleakley a trouvé un moyen intelligent de supprimer la technologie distrayante qui peut compromettre
l'apprentissage, tout en atténuant simultanément le repoussoir que les étudiants donnent souvent aux
instructeurs qui interdisent les ordinateurs portables et les tablettes en classe.

Et si certains professeurs qui ont choisi de bannir la technologie de leurs cours magistraux traditionnels
se sont heurtés à une résistance naturelle de la part des étudiants, ils ont systématiquement constaté
que les attitudes critiques s'adoucissaient lorsque les étudiants réalisaient à quel point ils apprenaient
mieux sans la distraction des ordinateurs portables. Jim Steyer, qui a commencé à bannir la technologie
de ses cours à l'université de Stanford dès 2000, affirme que les élèves expriment souvent leur gratitude
pour la police à la fin de ses cours.

Surmonter les objections des étudiants et des participants

Enregistrer les conférences et enregistrer les réunions est une façon de réduire la panique initiale que
les gens peuvent ressentir lorsqu'ils sont séparés de la technologie. Un logiciel de capture vidéo comme
Panopto permet d'enregistrer facilement les conférences et les réunions qui peuvent être référencées et
révisées ultérieurement à la demande. Ces enregistrements constituent alors une version améliorée des
notes traditionnelles - complètes de bout en bout, avec chaque élément d'information discuté prêt à
être examiné.

Mieux encore, lorsque les étudiants et les employés ont la certitude que la vidéo sera disponible s'ils ont
besoin de revoir des détails spécifiques, ils pourront s'engager et participer plus activement à l'écoute et
à l'apprentissage, ce qui rendra votre temps de classe et de réunion plus productif pour tous.
Apprenez-en plus sur la façon dont la technologie de Panopto plateforme vidéo peut contribuer à
améliorer l'apprentissage et la communication dans votre organisation. Contactez notre équipe pour
demander un essai gratuit . 

*****

Comment gérer un client difficile

Les gens sont l'une des choses les plus difficiles lorsqu'on travaille dans le service à la clientèle. Que vous
travailliez dans le domaine de l'alimentation, de l'habillement, de l'hospitalité, tôt ou tard, vous allez
devoir faire face à un client furieux, irrité ou incontrôlable. N'ayez pas peur, car il existe des méthodes
testées pour calmer la situation d'une façon qui vous profite, qui profite à votre compagnie, mais encore
plus important, qui profite au client. Cela vous permettra de satisfaire votre client en perpétuant l'adage
« le client est roi », de rester inflexible sur votre position ou simplement de trouver un compromis.

Méthode 1 sur 2:

Gérer des clients difficiles

(1) Sachez l'écouter.

Les clients difficiles ne s'attendent pas à la perfection, mais ils veulent savoir que vous prenez au sérieux
leurs problèmes. Soyez attentif et écoutez calmement le problème du client. Regardez-le dans les yeux
et ne souriez pas bêtement. Hochez de la tête lorsque le client énonce un fait que vous trouvez valide.

(2) Montrez de l'empathie pour le client.

La plupart des mauvaises interactions avec les clients empirent, car le client a l'impression que vous ne
faites pas d'efforts pour comprendre ses soucis. En communiquant votre empathie au client, vous
donnez le ton à toute l'interaction et vous lui montrez que vous êtes son allié pour trouver une solution
à son problème.

- Dites-lui : « je comprends tout à fait et je suis désolé de la gêne occasionnée. Trouvons une solution
ensemble ». En employant le « nous », vous lui indiquez que vous faites équipe pour trouver tous les
deux une solution.

- Si le client répète sa plainte, augmentez votre empathie. Répondez-lui par exemple : « cela a l'air
incroyablement frustrant » ou bien « à votre place, je ressentirais exactement la même chose ».

- N'oubliez pas que l'expression de votre empathie ne signifie pas que vous donnez au client tout ce qu'il
veut. Au lieu de créer une confrontation entre la société et le client, c'est vous et le client contre la
société.

(3) Souvenez-vous que d'autres personnes observent votre interaction.

En vous imaginant un public qui observe votre conversation, vous arriverez à rester calme. Vous ne
voulez pas que d'autres clients voient que vous vous comportez mal avec l'un d'entre eux. Vous devez
toujours croire que le client en question va aller raconter à d'autres personnes l'interaction qu'il a eue
avec vous.

- La façon dont vous interagissez avec les clients ne doit jamais causer du tort à la société, mais elle doit
être un exemple de la qualité du service que votre société propose.

(4) Parlez lentement et baissez le ton de votre voix.

Les émotions sont contagieuses. En baissant le ton de votre voix et en parlant plus bas, vous montrerez
au client que vous contrôlez la situation et que vous êtes calme. C'est d'autant plus important si le client
est très en colère et s'il parle fort. Vous ne devez rien faire qui puisse aggraver la situation.

(5) Excusez-vous.

N'importe quel employé peut s'excuser, quel que soit son rôle dans la société. Regardez le client droit
dans les yeux et assurez-vous de communiquer votre sincérité par le ton de votre voix et votre regard.
Dites-lui qu'au nom de votre société, vous êtes désolé qu'il ne soit pas satisfait et que vous allez faire
tout votre possible pour l'aider [6] .

- Ne soyez pas condescendant. Évitez de vous excuser d'une façon qui a l'air de rabaisser le client. Vous
devez toujours vous excuser pour ce que vous avez fait et pour ce que la société a fait, pas pour ce que
le client ressent ou pour son comportement. Par exemple, au lieu de lui dire : « je suis désolé que vous
soyez énervé, mais je ne peux pas vous accorder de remboursement », essayez de lui dire : « je suis
désolé de ne pas pouvoir vous aider en vous remboursant, y a-t-il quelque chose d'autre que je puisse
faire pour vous ? »

(6) Informez votre superviseur.

Le client pourrait vous demander de le faire de toute façon, mais même s'il ne le fait pas, cela reste une
bonne idée. Votre superviseur a plus de pouvoir pour arriver à résoudre le problème du client, que cela
se fasse au moyen d'une réduction, d'une compensation ou de toute autre concession. En plus, cela
permet de transférer la responsabilité de la satisfaction du client à une personne à un niveau plus élevé
dans la hiérarchie, ce qui aide le client à se sentir rassurer.

- Si vous devez demander au client d'attendre pendant que vous allez trouver votre superviseur, donnez-
lui un lieu confortable où attendre. Si vous pouvez lui offrir des rafraichissements comme de l'eau,
proposez-lui. Vous arriverez à calmer le client en le traitant avec gentillesse.

(7) Faites seulement des promesses que vous pouvez tenir.

Une des pires choses à faire est d'offrir une solution ou de faire une promesse que vous ne pouvez pas
tenir. Cela va rendre le client encore plus frustré. Si vous n'êtes pas sûr de quelque chose, demandez à
votre superviseur. Ne prenez pas une décision précipitée dans le feu de l'action.

- Vous pouvez toujours dire au client : « cela pourrait être possible, donnez-moi une minute pour vérifier
avec mon superviseur ».
(8) Mettez fin à l'interaction sur une note positive.

Même si vous avez trouvé la solution que le client espérait et s'il continue à être énervé, essayez de ne
pas le laisser partir dans cet état. Essayez plutôt d'exprimer votre gratitude pour sa patience et
promettez-lui que vous ferez tout votre possible pour que son expérience suivante se passe bien. Par
exemple, vous pourriez lui dire : « je vous remercie de votre patience pendant que nous trouvions une
solution à votre problème. Je me réjouirai la prochaine fois de m'occuper personnellement de votre
prochain contact avec notre société pour être sûr que tout se passe bien, n'hésitez pas à me
demander ».

- Si vous n'avez pas pu satisfaire le client, essayez toujours de créer un souvenir positif lorsque le client
s'en va en restant courtois et professionnel. Le client partira alors en pensant : « ils n'ont pas pu m'aider,
mais au moins le vendeur a été gentil ».

(9) Sachez à quel moment le comportement du client suffit.

Si le client commence à devenir violent ou montre des signes qui indiquent qu'il ne veut pas se calmer,
appelez la sécurité du magasin ou les urgences et demandez à la police de résoudre le problème. Si le
client fait une scène, s'il vous insulte ou insulte d'autres employés, s'il essaye de vous intimider
physiquement, appelez les services de sécurité. Vous êtes allé aussi loin que vous le pouviez, autant
pour votre propre bienêtre que pour celui de votre client.

- Si le client est ivre ou sous l'influence de drogues, ne perdez pas votre temps à essayer de le raisonner.
Appelez directement la sécurité pour vous assurer du bienêtre de tout le monde.

(10) Mettez de côté votre égo.

Préparez-vous à satisfaire le client même si vous croyez qu'il a tort. Vous allez devoir faire preuve
d'humilité en face du client ou vous excuser pour quelque chose que vous ne croyez pas être important.
Ne soyez jamais trop fier pour faire de votre mieux afin de satisfaire vos clients.

- Pensez à ce vieil adage du service à la clientèle : « le client a toujours raison ». Cela ne veut pas dire
que d'une façon objective, la plainte du client est juste et correcte. En gérant l'interaction d'une façon
positive qui apporte de la satisfaction au client, vous ne vous humiliez pas en tant qu'employé, vous
essayez simplement de conserver la fidélité de votre client.

(11) Voyez les clients difficiles comme des opportunités.

N'oubliez pas que des clients heureux vous permettent de voir votre commerce florissant. Un client
satisfait pourrait partager avec d'autres personnes son expérience positive, mais un client insatisfait va
surement en parler à d'autres. Cela signifie moins de revenus pour votre affaire. Pendant que vous
essayez de calmer les nerfs de votre client, voyez cette interaction comme une possibilité de conserver
un client futur que vous auriez sinon perdu.

(12) Ne prenez pas les plaintes personnellement.


Souvenez-vous que quoi qu'il se passe, cela n'a aucun rapport avec qui vous êtes en tant que personne.
Les plaintes des clients ne doivent jamais être prises comme des insultes personnelles, même si le client
vous insulte personnellement. Mettez de côté votre fierté et votre désir de favoriser votre égo à
l'expérience du client. Même s'il peut être tentant de vouloir prouver au client que vous avez raison et
qu'il a tort, résistez-y.

- Les clients difficiles sont une partie du service à la clientèle. Voyez ce genre de situations comme une
partie normale de votre travail.

Méthode 2 sur 2:

Gérer certains types de clients difficiles

(1) Sachez gérer un client en colère.

Les clients en colère sont d'autant plus difficiles. Vous allez devoir faire le tri parmi leurs émotions pour
trouver la source de leur problème. Restez positif pendant toute l'interaction, sachez reconnaitre ce que
votre client ressent et montrez-lui que vous êtes prêt à l'aider en travaillant ensemble pour trouver une
solution.

- Dites à votre client : « je sais que vous êtes vexé et j'aimerais beaucoup vous aider. Pouvez-vous
m'expliquer ce qu'il se passe ? » Ne lui dites jamais : « il n'y a pas de raison de se sentir vexé ».

- Restez calme et objectif pendant toute l'interaction. Ne faites pas de promesse que vous ne pouvez pas
tenir. Dites-lui que vous allez faire de votre mieux pour trouver une solution rapide au lieu de lui
promettre que cela peut être fait en une certaine période. Le mieux reste de ne pas trop promettre,
mais d'en faire toujours plus.

- Évitez d'interrompre le client lorsqu'il vous explique quelque chose, cela va le rendre encore plus agité.
Ne dites jamais « oui, mais ... » pendant que le client parle.

- N'oubliez jamais de faire un suivi avec le client pour être sûr qu'il est satisfait du résultat.

(2) Satisfaites les clients insatisfaits.

Vous pourriez rencontrer un client insatisfait qui a déjà eu une expérience négative avec l'un des
représentants de la société pour laquelle vous travaillez. Par exemple, vous pourriez être superviseur
dans un restaurant et vous retrouver face à un client qui n'a pas été satisfait par le service de l'un des
serveurs. Accueillez le client avec un sourire, dites-lui votre nom et offrez-lui votre aide. Pendant que le
client vous parle, assurez-vous de ne pas trouver d'excuses pour le mauvais service dont il se plaint.
Posez-lui des questions ouvertes, vérifiez les informations et prenez une décision qui va le satisfaire.

- Demandez au client de vous expliquer ce qu'il s'est passé.


- Pour continuer avec l'exemple du restaurant, une fois que le client a expliqué son problème, essayez
de lui dire : « je comprends ce que vous dites, n'importe qui dans la même situation ressentirait la
même chose. Nous pouvons vous proposer la solution suivante : _____. Qu'en pensez-vous ? »

(3) Aidez un client indécis.

Certains clients ont du mal à prendre la décision d'acheter un produit. Ces clients peuvent nécessiter
beaucoup de temps et vous empêchent d'aider d'autres clients. Soyez patient, posez-lui des questions
ouvertes, écoutez-le, offrez-lui des alternatives et essayez de le guider pour qu'il prenne la bonne
décision.

- Essayez de récolter le plus d'informations possible pour pouvoir aider le client à prendre une décision.

- De nombreux magasins proposent un remboursement ou un échange de produits. Si le client hésitait


entre deux différents produits, vous pourriez lui dire : « si vous trouvez que X ne fait pas l'affaire, vous
pouvez le ramener sous 30 jours ». Cela encourage le client à faire l'achat.

(4) Sachez gérer un client autoritaire.

Certains clients peuvent être très insistants et autoritaires. Vous devez trouver un équilibre entre être
courtois et ne pas laisser le client vous marcher sur les pieds. Soyez professionnel, montrez du respect
au client, soyez ferme et juste et faites savoir au client ce que vous êtes prêt à faire pour le satisfaire.

- Préparez-vous à ce que le client élève la voix ou vous insulte.

- Regardez toujours le client dans les yeux, excusez-vous si cela est nécessaire et rappelez au client que
ses besoins sont importants pour vous. Essayez de lui dire : « Mr X, nous apprécions beaucoup votre
loyauté et nous voulons trouver une solution. Avez-vous une suggestion ? »

- Si le client suggère quelque chose que vous pouvez faire, dites-lui : « c'est une excellente suggestion,
M. X et je pense que nous allons pouvoir le faire pour cette fois-ci ». Si sa suggestion est quelque chose
que vous ne pouvez pas faire, soyez honnête avec le client. Essayez de lui dire : « merci pour votre
suggestion, Mr X, mais je ne peux pas le faire à cause du règlement de la société. Pourrions-nous essayer
____ à la place ? »

- Une bonne connaissance de votre société et de son règlement peut vous aider à négocier avec ce
genre de client et vous offrir des solutions viables à ses problèmes [16] .

(5) Sachez gérer un client malpoli ou sans gêne.

Ce genre de client peut faire usage de gros mots, il peut vous couper la parole ou exiger votre attention
pendant que vous aidez quelqu'un d'autre. Il est important de rester professionnel et de ne jamais
entrer en compétition avec lui.

- Si un client vous interrompt pendant que vous vous occupez d'un autre client, souriez et dites-lui  : « je
suis à vous dans une minute lorsque j'ai terminé avec cette personne ».
- Vous devez toujours garder votre calme et vous souvenir d'être un représentant professionnel de votre
société.

(6) Sachez gérer les clients bavards.

Certains clients vont se mettre à parler avec vous et vont monopoliser tout votre temps. Ils pourraient
vous parler des évènements actuels, du temps qu'il fait ou de leurs expériences personnelles. Vous
devez rester poli et courtois tout en restant au contrôle de la situation. Les clients trop bavards peuvent
vous empêcher de remplir d'autres tâches que vous avez à faire ou d'interagir avec d'autres clients.

- Montrez un intérêt sincère par rapport à ce que vous dit le client. Vous ne devez pas avoir l'air d'être
malpoli.

- Si le client vous pose une question personnelle, répondez-y et demandez-lui si vous pouvez l'aider avec
autre chose.

- Ne posez pas de questions au client qui pourraient l'encourager à continuer la conversation.


Contentez-vous de questions auxquelles il peut répondre par oui ou par non.

Conseils

- Ne soyez pas condescendant. Rien ne peut faire empirer une situation qu'un employé qui a l'air malpoli
ou moqueur. Parlez d'une voix polie, mais sincère.

- Ne vous laissez pas marcher sur les pieds. Il existe une différence entre aider un client et laisser un
client vous marcher dessus. Informez le client de vos limites dès le début et restez poli, mais ferme.

- Évitez de répondre avant d'avoir écouté en entier ce que le client vous dit et assurez-vous de vous
démarquer de la solution au problème. Après avoir écouté, trouvez le courage et la force de garder le
silence après avoir posé d'une voix compatissante la question critique : « mais alors, que voulez-vous ? »
Souvenez-vous que dans la plupart des négociations, celui qui offre une solution en premier est
généralement celui qui perd.

- Certains clients peuvent être plus difficiles que d'autres. Ne laissez pas un client vous insulter ou vous
toucher. Appelez la sécurité ou un gérant.

- Appelez le client par son nom si cela est possible. Tout le monde aime entendre son nom et vous
pourriez lui donner l'impression de ne pas vous intéresser à lui en parlant de lui comme étant «  le
client ».

- Assurez-vous de ne dire que la vérité à votre superviseur, n'essayez pas de cacher ou de minimiser
quelque chose que vous avez fait. Informez directement votre superviseur que vous avez un problème
avec un client, même si c'est de votre faute. Il y a de bonnes chances que votre superviseur soit satisfait
que vous soyez arrivé à le gérer seul.

- Souvenez-vous que le client a toujours raison, mais seulement dans certaines situations !
- Faites-vous aider si vous en avez besoin. Appelez votre superviseur ou votre chef si vous êtes seul. Ne
vous débattez pas tout seul, vous ne faites qu'aggraver la situation.

*****

Comment trouver un emploi sans expérience

Les jeunes diplômés ont bien souvent du mal à trouver du travail, parce que beaucoup de postes, même
des postes pour débutants, requièrent une ou deux années d'expérience professionnelle. Ce que
beaucoup de gens ne réalisent pas, c'est que dans bien des cas, ils ont déjà l'expérience et les
compétences nécessaires. Ils pourraient les avoir acquises lors d'un emploi étudiant, d'un stage ou
même d'une expérience de bénévolat. Pour obtenir un emploi sans expérience, vous devrez vous
appuyer sur les expériences que vous avez, mettre vos compétences et vos réussites en valeur et
peaufiner votre méthode de recherche d'emploi.

Méthode 1 sur 3:

Développer son expérience professionnelle

1) Faites du bénévolat dans votre domaine de prédilection.

Si vous avez du mal à trouver du travail dans le secteur de votre choix parce que vous n'avez pas
suffisamment d'expérience professionnelle, faites du bénévolat dans ce domaine. Cela vous aidera à
acquérir de l'expérience sur le terrain et vous commencerez à développer des compétences qui seront
importantes aux yeux de vos futurs employeurs [1] .

Par exemple, si vous voulez devenir assistante sociale, vous pourriez faire du bénévolat dans un refuge
pour sans-abris ou parrainer un enfant issu d'un quartier difficile.

2) Postulez à un stage.

Les stages, rémunérés ou non, sont d'excellents moyens pour les débutants d'acquérir de l'expérience
dans un certain secteur. Recherchez des stages sur les sites d'emplois ou sur les sites des entreprises qui
vous intéressent.

Par exemple, certaines entreprises recherchent des stagiaires pour la période estivale, pour remplir des
tâches administratives telles que classer des dossiers, saisir des données et répondre au téléphone. Cela
vous apportera une expérience de travail dans un bureau et vous permettra de rencontrer des gens dans
ce secteur.

3) Développez votre expertise.

Si vous essayez de percer dans un secteur tel que l'écriture, le montage de film ou la décoration
d'intérieur, créez des échantillons de votre travail, que vous pourrez montrer à vos employeurs
potentiels. Par exemple, si vous voulez être écrivain, vous pourriez commencer un blog. Vous prouverez
ainsi que vous avez de l'expérience dans la création de supports écrits réguliers [2] .
Cela vous aidera aussi à développer votre portfolio personnel.

4) Acceptez un emploi à temps partiel.

Même si vous ne parvenez pas à trouver un emploi dans le secteur de votre choix, acceptez tout de
même un emploi à temps partiel. Les employeurs valoriseront généralement toute forme d'expérience,
même votre premier job étudiant. Cette expérience professionnelle pourra vous aider à démontrer que
vous avez de bonnes capacités de communication, un bon sens relationnel et des facilités à résoudre les
problèmes [3] .

Par exemple, postulez à des emplois à temps partiel en tant que vendeur, dans un fastfood ou même en
tant que serveur. Cette expérience pourrait s'avérer très valorisante.

Méthode 2 sur 3:

Mettre ses réussites et compétences en valeur

1) Faites la liste de toutes vos compétences.

La raison pour laquelle les employeurs mettent tellement l'emphase sur l'expérience professionnelle est
qu'ils veulent s'assurer que vous avez développé les compétences nécessaires pour assumer le poste.
Pour cela, il est très important que vous listiez clairement et mettiez en valeur vos savoir-faire
pertinents. Pensez par exemple aux points suivants [4] .

- Les compétences informatiques : elles incluent savoir travailler avec les systèmes d'exploitation
Windows et Mac, taper plus de 60 mots par minute, maitriser PowerPoint et autres programmes de la
suite Microsoft Office, avoir des bases en programmation informatique, savoir bloguer, gérer une base
client, gérer une base de données, avoir des bases en graphisme, etc.

- Des compétences en communication : il s'agit de tout ce qui a un rapport avec la prise de parole en
public, l'écriture, la formation et l'écoute, dans le but de faciliter le travail en équipe.

- Des compétences en résolution de problèmes et recherche : les étudiants et les blogueurs bénéficient
de compétences de recherche très aiguisées, qui peuvent être un véritable atout pour une entreprise.
Les gens ayant des compétences organisationnelles ou en gestion administrative s'avèrent souvent très
doués pour gérer les problèmes.

- Des compétences en management ou leadeurship : si vous avez déjà mené un projet dans le cadre de
votre emploi, pour une organisation caritative ou parmi vos amis, vous avez une expérience en tant que
leadeur.

2) Liez vos compétences à vos expériences.

Bien qu'il soit essentiel de connaitre et de comprendre toutes les compétences que vous avez
développées au cours des années, il est encore plus important que vous puissiez faire le lien entre ces
compétences et vos emplois ou expériences passées de bénévolat. Vous montrerez ainsi aux
employeurs potentiels que vous avez mis ces compétences en pratique [5] .

- C'est une chose de dire « j'ai d'excellentes capacités de communication écrite » et une autre, bien plus
impressionnante, de dire « j'ai 2 500 abonnés sur mon blog, qui se concentre sur l'écriture créative ».

3) Expliquez en quoi vos compétences sont applicables à l'emploi ou au secteur.

Vous avez probablement développé de très nombreuses compétences grâce à vos activités
extrascolaires, et le lien entre ces activités et l'emploi de vos rêves pourrait ne pas être évident. Par
exemple, peut-être jouez-vous au foot pendant votre temps libre. Ce sport n'a à priori rien à voir avec
un poste dans le secteur informatique, mais si vous avez entrainé une équipe de foot ou organisé un
tournoi, vous pourrez prouver que vous êtes capable de mener un projet à bien [6] .

4) Identifiez les prix que vous avez gagnés.

Les prix et les récompenses pourraient vous aider à donner du poids à certains points que l'on retrouve
très souvent sur les CV. Par exemple, vous pourriez préciser que vous êtes très travailleur. Vous pourrez
appuyer cela en prouvant que vous avez été désigné employé du mois dans le cadre de votre dernier job
étudiant. Sur votre CV, indiquez tous les prix et récompenses que vous avez remportés, d'employé du
mois, à meilleur vendeur de l'année. Vous prouverez ainsi que vous savez travailler dur et avez une
éthique de travail irréprochable [7] .

- Vous devrez également inclure les prix et récompenses qui vous ont été attribués dans le cadre de
bénévolat.

Méthode 3 sur 3:

Peaufiner sa méthode de recherche d'emploi

1) Créez un CV efficace.

Pour faire avancer votre recherche d'un emploi, vous aurez besoin d'un CV qui mette vos compétences
en valeur et les mette en liaison avec l'offre d'emploi. Vous pourrez classer vos expériences selon les
différentes compétences qu'elles impliquent. Par exemple, vous pourriez lister vos compétences en
communication, puis présenter des exemples des expériences qui vous ont permis de développer ces
compétences, que ce soit des emplois, des stages ou des occupations bénévoles.

- Adaptez toujours votre CV et votre lettre de motivation au poste auquel vous postulez. Vous montrerez
ainsi au recruteur que vous avez pris le temps d'analyser et de vous renseigner sur l'offre d'emploi.

2) Réseautez avec des gens de votre secteur d'activité.

Utilisez les réseaux sociaux, comme LinkedIn, pour entrer en contact avec des gens du secteur. Vous
pourrez également élargir votre réseau lors d'évènements communautaires ou de salons. Vous pourriez
ainsi rencontrer des gens en mesure de vous recommander certains employeurs, de vous aider à
développer vos compétences et de répondre aux questions que vous pourriez avoir sur le secteur
d'activité en question [8] .

2) Faites vos recherches sur les sites spécialisés.

Consultez les sites comme Monster.fr ou Indeed.fr, pour commencer à rechercher un emploi de niveau
débutant. Ces sites vous permettront de rechercher des postes précis ou d'effectuer une recherche plus
générale par secteur, par exemple dans le domaine de l'éducation ou de la publicité.

- Définissez votre recherche en paramétrant votre expérience sur 0 à 2 ans. Vous éliminerez ainsi les
emplois requérant davantage d'expérience.

4) Postulez à des emplois.

La plupart des moteurs de recherche spécialisés vous permettront de postuler à des emplois
directement via leur site. Vous devrez postuler à autant de postes que possible, même si vous n'avez pas
l'expérience demandée. Par exemple, l'offre pourrait préciser que les candidats au poste devraient de
préférence avoir 2 à 3 années d'expérience professionnelle. Cela signifie probablement que le recruteur
pourrait envisager des candidats n'ayant pas tout à fait 2 ans d'expérience.

5) Entrainez-vous à passer des entretiens.

Pour réussir un entretien, vous devrez faire des recherches approfondies sur l'entreprise. Ainsi, le
recruteur verra que vous avez une bonne connaissance à la fois du poste et des objectifs de l'entreprise.
Vous devrez également vous entrainer à répondre à des questions d'entretien avec un ami ou un
proche. Cela vous permettra de vous entrainer à parler à haute et intelligible voix et de déterminer avec
précision la façon dont vous répondrez à certaines questions [9] .

- Ce type de préparation vous aidera à paraitre sûr de vous et détendu lors de l'entretien.

Conseils :

Postulez à de nombreux emplois, même si vous ne remplissez pas tous les critères. L'ensemble de votre
travail, de vos études et de vos compétences pourrait faire de vous le candidat idéal.

*****

10 bonnes raisons d’apprendre une langue étrangère

Apprendre une langue étrangère demande du temps et de la persévérance, mais cela est devenu
quasiment indispensable de nos jours. Le fait de parler une ou plusieurs langues étrangères représente
un véritable atout qui permet de voyager, de découvrir de nouvelles cultures, de développer ses
opportunités professionnelles ou encore de s’ouvrir aux autres. Voici donc les 10 bonnes raisons
d’apprendre une langue étrangère.

Aller vivre dans un autre pays


Apprendre une ou plusieurs langues étrangères vous permettra de déménager dans un autre pays. Si
vous connaissez la langue locale, vous pourrez plus facilement préparer votre départ, vous informer sur
les démarches administratives à réaliser, réserver un logement, etc. Une fois sur place, il vous sera plus
facile de communiquer et de trouver un travail. Apprendre la langue du pays dans lequel vous projetez
de vivre marque votre intérêt pour ce pays et sa culture, les habitants apprécieront et il vous sera alors
plus facile de vous intégrer.

Voyager

Voyager est une des raisons principales qui nous pousse à apprendre une langue étrangère. En effet,
maîtriser une langue étrangère facilite les déplacements vers d’autres pays. Une fois sur place, et
particulièrement dans les zones peu touristiques, vous pourrez alors facilement vous faire comprendre,
partager avec les habitants et profiter pleinement de votre voyage.

Mieux connaître la culture d’un pays

Lorsque vous voyagez et que vous maîtrisez la langue locale, il vous sera plus facile de découvrir la
culture du pays. Vous serez en effet capable de communiquer avec les habitants et d’échanger avec eux.
Vous arriverez davantage à comprendre le mode de vie des locaux et pourrez découvrir tous les détails
qui font la richesse de leur culture.

Trouver un travail

Il n’est pas rare de nos jours de devoir voyager pour des raisons professionnelles. Qu’il s’agisse de
déplacements professionnels à l’étranger ou d’un besoin de changer de pays afin de trouver l’emploi
rêvé. Maîtriser une langue étrangère vous permettra dans ce cas d’établir plus facilement des contacts
professionnels sur place et de trouver un emploi. Vous pourrez également espérer une rémunération
plus élevée si vous maîtrisez la langue et cela vous ouvrira de nombreuses opportunités.

Développer les capacités de son cerveau

Il est reconnu qu’apprendre une langue étrangère permet d’entretenir et de booster les capacités de
son cerveau. Les personnes capables de parler plusieurs langues ont davantage de facultés cognitives,
leur cerveau est plus vif et réactif. De plus, de nombreuses études s’accordent à dire qu’apprendre une
langue étrangère permet d’éloigner la maladie d’Alzheimer.

Développer sa concentration

Lorsque l’on apprendre une langue étrangère, il est indispensable de fournir un véritable effort de
concentration et de mémorisation. Règles de grammaire, vocabulaire, prononciation et conjugaison,
tout ce qui implique l’apprentissage d’une nouvelle langue oblige à travailler sa concentration. Une
concentration développée qui pourra ensuite être utilisée dans d’autres domaines.

Prendre de meilleures décisions


Selon plusieurs études scientifiques, penser dans une autre langue permettrait de prendre de meilleures
décisions. Selon les chercheurs, penser dans une autre langue crée une distance avec les craintes et les
émotions liées à la prise de décision, ce qui permettrait donc de faire des choix plus réfléchis et
rationnels.

Améliorer ses résultats scolaires

Selon une étude du International Journal of Bilingualism menée sur 121 enfants, être bilingue permet de
développer ses capacités créatives et analytiques. Un enfant bilingue aurait plus de facilités à effectuer
des calculs mentaux et à reproduire à l’identique des schémas de couleurs et de blocs.

Avoir une meilleure vie sociale

Il est indéniable que l’apprentissage d’une langue étrangère permette une véritable ouverture sur le
monde. Maîtriser plusieurs langues aide à voyager mais également à faire de nouvelles rencontres.
Nouer des relations avec les gens est plus aisé lorsque l’on peut communiquer avec eux dans leur langue
maternelle. Cet échange avec des personnes aux cultures différentes permet de s’enrichir
intellectuellement et humainement.

Augmenter sa confiance en soi

Les psychologues affirment que maîtriser une langue étrangère permet de gagner en confiance en soi.
Les enfants bilingues auraient une meilleure estime de soi ce qui se ressentira lorsqu’ils deviendront
adultes. Cette estime de soi acquise grâce à l’apprentissage d’une langue étrangère aide à s’ouvrir au
monde et à de nouvelles opportunités.

*****

Quels sont les principaux troubles du voisinage ?

Habiter au sein d’un le voisinage s’avère être la situation de la majorité des français. Cependant, même
si des avantages existent il existe fréquemment des cas où des voisins ne respectent pas les règles et
principes du voisinage entrainant dès lors des conflits plus ou moins importants.

Nous allons lister les principaux troubles du voisinage puisqu’en avoir connaissance permet déjà dans
un premier temps de mieux les éviter.

Les troubles du voisinage relatifs aux animaux

Peu importe le type d’animal, le type d’habitation et le type d’environnement (rural ou urbain), les
animaux peuvent facilement porter atteinte au calme et à la tranquillité d’un voisinage.

Les animaux peuvent en effet aboyer à répétition sans répit, gémir ou crier selon le type d’animal. Ces
nuisances sonores peuvent effrayer et porter atteinte à la tranquillité de certains. De plus, l’intervention
de dommages corporels n’est pas rare suite à des morsures par exemple.
Même si aucune loi ni aucun règlement ne vient prohiber la possession d’animaux domestiques, même
au sein d’un voisinage, il est essentiel d’éduquer ses animaux, de les gérer afin d’être respectueux
envers les autres et leur bien-être. c’est en effet le maitre de l’animal qui causera un quelconque
dommage qui en sera pleinement responsale et devra le réparer.

Les troubles du voisinage relatifs à la présence de fenêtres, d’entrées de lumières

Faisant partie des troubles moins communs, le non-respect des distances minimales fixées lors de la
réalisation d’ouvertures qui donnent directement sur la maison de son voisin est prohibé. En effet, si un
voisin entreprend d’effectuer des travaux pour faire une ouverture qui donne sur votre habitation, vous
avez le droit de vous plaindre puisque des distances minimales sont régies par l’article 678 du code civil.

Afin de respecter l’intimité, la tranquillité et le confort de ses voisins, la distance à respecter pour une
vue qui serait linéaire est de 1,90 entre l’extrémité extérieure de la façade et la séparation des deux
habitations. Pour une vue dite « oblique », la distance est moins importante, 0,60m suffisent.

Les Troubles du voisinage provenant des nuisances sonores

Ce type de conflit est le plus courant. Une fête, une soirée entre amis, des bruits d’animaux, des cris de
bébés, une dispute violente ou encore des bruits d’appareils domestiques sont autant de facteurs qui
causent une gêne chez un voisin proche et qui sont susceptibles de causer des troubles plus ou moins
importants.

Afin de réduire au maximum les risques de conflits à ce sujet, l’Etat est venu poser un cadre, une
réglementation au niveau des horaires. Par exemple, de 22h à 7h du matin aucun tapage nocturne n’est
toléré. Les horaires de travaux ainsi que de tondage de pelouse suivent le même régime.

Les troubles du voisinage provenant de plantations gênantes

A la campagne comme à la ville, il existe des situations dans lesquelles un voisin souhaite planter des
fleurs ou des arbustes dans son jardin. Cependant, dans certains cas, les plantations viennent empiéter
sur le terrain du voisin ou bien leur hauteur n’est pas adéquate. En principe, une distance minimale est à
respecter entre la séparation de deux propriétés et la plantation. Cette distance fut fixée à deux mètres
pour toute plante de plus de deux mètres de haut et de 0,50m pour celles dont la taille est inférieure à
deux mètres.

Les problèmes entre voisins liés aux constructions

Un trouble du voisinage peut résulter d’une construction gênante, qui viendrait priver une habitation de
soleil, de bonne réception ou de vue par exemple. Même si parfois les règles d’urbanisme fixées ont été
respectées, en cas de gêne important les tribunaux peuvent être convoqués.

Lorsque votre voisin souhaite entreprendre une construction ou une ouverture dans un mur qui était
aveugle jusqu’à cet instant, il se doit de respecter des distances légalement régies.

*****
Pourquoi avoir un bon voisinage est-il important ?

Avoir un bon voisinage, c’est très important. En effet, en vivant avec de bonnes personnes autour de soi,
on peut s’échanger des services et de bons plans. Toutefois, pour avoir de bons voisins, il faut respecter
quelques règles afin de se faire respecter en retour.

Tout d’abord, accueillez aimablement vos nouveaux voisins en engageant une courte conversation
amicale avec eux.

Quotidiennement, dites bonjour à votre entourage et engager une petite discussion

Respectez les règles d’hygiène afin de garder votre village au propre et loin des parasites. Lorsque vous
avez abimé des matériels prêtés à votre voisin, remplacez-le même si ce dernier ne le demande pas.

Si vous décidez d’organiser une fête dans la soirée, prévenez vos voisins  et ne terminez pas trop tard
afin de respecter le repos des autres. Respecter les jours de repos pour effectuer des réparations dans  
votre maison ou tondre votre gazon et soyez attentif  aux bruits découlant de votre demeure.

En entretenant de bonnes relations avec votre voisinage, vous pouvez bénéficier de nombreux
avantages. Alors les bons voisins, çà sert à quoi ?

Tout d’abord, avoir de bons voisins apporte de la sécurité

En  côtoyant les  personnes qui habitent aux alentours de votre demeure, vous pouvez être tranquille
pendant vos sorties. En effet, même sans le faire, vos voisins apportent la sécurité dans votre maison.
Leur va et vient à proximité de votre maison,  ils auront une vision sur tout visiteur qui approche de
votre maison.

Echanger des services

Lors de vos déménagements ou vos changements de meubles, vous pouvez demander la main à vos
voisins pour installer vos nouveaux meubles dans la maison. Ces aides vous permettront d’économiser
de l’argent en évitant de recourir au service des spécialistes dans ce domaine.

Lors de vos fêtes d’anniversaire, baptême, communion,  ou tout autre évènement, vos voisins peuvent
vous donner la main pour la préparation du repas mais aussi pour la décoration et l’agencement de
votre maison. Avec cela, il n’est plus nécessaire de faire appel à un traiteur ou un décorateur.

Echanger de bons plans

Pendant les week-ends, vous pouvez discuter sereinement avec vos voisins dans vos jardins. Ces
discussions vous permettront de faire des échanges d’idées et de bons plans. Parlez de vos projets de
vacances, de vos rencontres avec vos époux, de vos succès à l’école ou au bureau, de l’éducation de vos
enfants, enfin de tout et de rien.

Garder vos enfants


Lors de vos petites escapades en amoureux ou lorsque vous êtes obligés de rester tard au bureau, vous
pouvez confier vos enfants à de bons voisins. Toutefois, il faut que ces derniers soient avisés à l’avance
et qu’ils soient d’accord. Ils devront également être aptes et libres de faire ce petit service pour vous.
Pas besoin donc d’appeler une nounou !

Garder vos animaux

Lors de vos départs en vacances, vos animaux pourront être gardés par vos soins. Cependant, vous
devez mettre à leur disposition le repas nécessaire pour nourrir vos bêtes durant votre absence.   Garder
les animaux exige beaucoup de temps et de volonté. Aussi, rares sont les voisins qui acceptent d’offrir ce
service  à leur  entourage. La plupart du temps, c’est  le retour d’un service rendu à autrui. En
bénéficiant de ces services, vous éviterez de payer les professionnels de garde d’animaux domestiques

Il est donc impératif de suivre les règles élémentaires de civisme et de respecter leur vie privée afin de
bénéficier des divers avantages issus d’une bonne relation avec son entourage. Enfreindre ces règles
pourront engendrer de grandes conséquences de la résiliation de votre contrat de bail à l’encours de
sanctions pénales.

*****

Quels sont les avantages et les inconvénients de la colocation ?

Tout savoir sur les avantages et les inconvénients de la colocation !

Voilà LA question à se poser avant de partager son logement avec d’autres personnes… Après tout, le
coliving est de plus en plus populaire en France. Du coup, de nombreux propriétaires profitent de cet
essor pour louer différents espaces de leurs maisons. Mais avant de sauter le pas, découvrez tous les
bons et les mauvais côtés de la colocation.

Qu'est-ce que la colocation ?

Quand on vit en colocation, on réside dans le même logement que d’autres personnes : soit des amis
soit des inconnus. Le plus souvent, chaque colocataire dispose de sa propre chambre et les autres
espaces (la salle de bain, la cuisine et le salon) sont partagés.

Monoparentale, étudiante, intergénérationnelle, communautarisme ou internationale : aucune


colocation ne se ressemble. Mais cette grande diversité, rendue possible grâce au coliving, n’est pas son
seul avantage...

Top 5 des avantages de vivre en colocation

1. Économiser de l'argent sur le loyer et les charges

L'un des avantages les plus importants de la colocation, c’est la possibilité de faire des économies. Pour
beaucoup de gens, c'est la raison qui les motive le plus à choisir ce type de location, notamment dans les
grandes villes comme Paris ou Bordeaux où les loyers sont souvent très chers. Au lieu de payer seul le
loyer et les charges de l'appartement ou de la maison, vous partagez ces frais avec vos colocataires.
Ainsi, vous pourrez dépenser plus d’argent dans vos loisirs ou épargner.

2. Faire connaissance avec des personnes de sa ville

Si vous emménagez dans une colocation, vous pouvez facilement vous faire un tas de nouveaux amis
sans aucun effort. Ainsi, ce type d’hébergement est une excellente idée lorsque vous débarquez dans
une nouvelle ville ou dans un nouveau pays. De plus, le fait d’habiter au même endroit crée une intimité
naturelle qui vous permet d'entamer une conversation plus facilement.

Bien sûr, tout le monde ne peut pas être ami avec tout le monde. L’important, c’est de maintenir une
ambiance positive entre tous les membres de la colocation.

3. Ne jamais faire bande à part

Lorsque vous vivez en colocation, vous n'êtes presque jamais seul. En fonction de votre personnalité,
cela peut être vu comme un avantage ou comme un inconvénient. Mais si vous ressentez le besoin de
vous sentir entouré, la colocation est une excellente solution.

En effet, il y aura toujours quelqu'un pour vous aider en cas d'urgence. Lorsque vous aurez besoin de
parler à quelqu'un, vous aurez de fortes chances de trouver un colocataire disponible. Et en plus de vous
donner de bons conseils, vos colocataires pourront réceptionner vos colis lorsque vous serez absent...

4. Affronter les problèmes à plusieurs

Dans cette liste des avantages et inconvénients de la colocation, ce côté positif est l’un des plus
importants. S’il vous arrive un pépin, vous serez plusieurs à y faire face. Et j’ai un exemple très concret à
vous donner. Un beau jour, alors que j’étais dans une colocation internationale à Budapest, une chauve-
souris a fait son apparition dans ma chambre. Heureusement que mes courageux colocataires étaient là
pour la faire sortir car je n’aurais jamais réussie toute seule ! Bien sûr, cela n’arrive pas tous les jours…
Mais être plusieurs à affronter certains problèmes peut être (très) pratique.

5. Partager les tâches ménagères

Quand on pense aux avantages et aux inconvénients de la colocation, on ne pense pas assez aux tâches
ménagères. Dans un couple, celles-ci sont généralement divisées par deux. Mais dans une colocation,
elles sont divisées par le nombre d’habitants. De ce fait, votre tour de ménage est beaucoup moins
récurrent.

Top 5 des inconvénients de la vie en colocation

1. Supporter les humeurs et les différents modes de vie de ses colocataires


Le plus gros risque avec la colocation, c’est la différence de mode de vie entre les locataires. C'est l'un
des inconvénients les plus importants du coliving car il a un impact direct sur votre qualité de vie et sur
l’ambiance de la colocation.

Si tout le monde est sur la même longueur d'onde, ou au moins respectueux, vivre en colocation peut
être une expérience formidable. Dans le cas contraire, cela peut devenir un véritable enfer. Alors, avant
chaque colocation, prenez le temps de discuter avec les locataires actuels. Si vous êtes plutôt du style
ayurvéda et que vos éventuels colocataires sont des fêtards invétérés, passez votre chemin !

Enfin, pensez à instaurer certaines règles une fois dans la colocation comme :

Faire sa propre vaisselle ;

Sortir les poubelles régulièrement ;

Trier ses déchets…

2. Avoir besoin de plus de sécurité

Vivre avec des inconnus peut également présenter des risques potentiels côté sécurité. Parfois, la porte
de votre chambre est équipée d'un verrou. Si ce n’est pas le cas, vous pouvez en ajouter un pour vous
sentir plus en sécurité si vous en ressentez le besoin.

En effet, vos colocataires peuvent éventuellement se faufiler dans votre chambre pendant que vous
n’êtes pas là pour vous voler quelque chose. Et comme il n'y aura aucun signe d'effraction, il sera difficile
de faire intervenir la police… Qui plus est, tous les locataires ont une clé de la propriété et peuvent faire
entrer qui ils souhaitent.

3. Changer de colocataire comme de chemise

Continuons notre liste des avantages et des inconvénients de la colocation avec un petit bémol : les
colocataires peuvent changer fréquemment. En tant qu'étudiant, vous ne cherchez généralement qu'un
endroit pour vivre un, deux ou trois ans.

Cependant, si vous souhaitez vivre en colocation sur le long terme, vous risquez de vous attacher à des
personnes et de les voir partir dans les mois suivants... Bien sûr, rien ne vous empêche de la revoir après
cette période. Mais une autre personne emménagera à sa place et vous devrez repartir de zéro.

Si votre propriétaire vous y autorise, vous pouvez tout à fait prendre en charge la recherche du nouveau
locataire. De cette manière, vous pourrez faire passer des entretiens pour vous assurer que la prochaine
personne s’entendra avec vous.

4. Manquer d'intimité

L'une des grosses problématiques de la colocation est que vous aurez moins d'intimité que si vous viviez
seul. Vos colocataires seront probablement capables d'entendre vos allées et venues, l'heure à laquelle
vous aimez vous doucher, prendre votre petit-déjeuner, etc. Ils peuvent donc facilement connaître vos
habitudes (même s'ils s'en moquent).

En outre, les murs et les portes des maisons ou des appartements ne sont pas forcément bien
insonorisés. Vos colocataires seront peut-être capables d'entendre vos conversations personnelles
lorsque vous serez au téléphone, par exemple. L’idéal, c’est d’habiter avec des amis ou des personnes
avec qui vous vous sentez parfaitement à l’aise.

5. Vivre dans un environnement plus bruyant que la normale

Si vos colocataires vous entendent lorsque vous parlez au téléphone, vous les entendrez aussi. Des
portes qui s'ouvrent et se ferment, des bruits de pas, quelqu'un qui prépare un repas ou joue de la
guitare… Tous ces sons peuvent être audibles dans votre chambre et vous empêcher de bien réviser
pour un examen, par exemple.

D’ailleurs, cela peut devenir l'un des principaux avantages et inconvénients de la colocation lorsque vous
essayez de dormir ou d'étudier, surtout si votre cycle de sommeil est très différent de celui des autres
locataires. Le bruit, même s'il n'est pas intentionnel, peut entraîner une perte de sommeil, de la
frustration et des disputes. Alors, instaurez des règles de bonnes conduites dès votre arrivée s’il n’y en a
pas déjà !

*****

L'été, une merveilleuse saison

Aujourd’hui nous allons vous donner 10 raisons d’aimer l’été.

Enfin du temps libre !

Ce sont les plus longues vacances de l’année, et avec des journées plus longues, vous aurez tout le
temps de vous consacrer à ce que vous voulez faire. Faites la grasse matinée, faites de longues
baignades dans la piscine, des marathons en série ou tout simplement ne faites rien.

Les jours sont plus longs

Le soleil se lève plus tôt et le soleil se couche plus tard, ce qui vous donne beaucoup plus d’heures de
lumière du jour, et cela se transforme en temps. Conclusion : le soleil nous donne plus de vie et de
bonheur !

Des vêtements décontractés

Il est temps de sortir tous les shorts du grenier, les hauts courts, les robes légères… et même, de se faire
plaisir avec des maillots de bain tout l’été.

La nourriture d’été, un réel plaisir


Des fruits frais comme la pastèque, le melon, les pêches jusqu’aux salades et gaspachos frais, en passant
par les glaces, tout est délicieux en été ! Par ailleurs, nous avons aussi beaucoup plus de temps pour
cuisiner.

Profitez de la mer et du soleil

Y a-t-il un meilleur plan, avec cette température, qu’aller à la plage, s’allonger sur le sable, se faire
bronzer ? L’eau en été, c’est la vie, où qu’elle se trouve, sur la plage, dans la piscine, dans un étang ou
sous la douche.

Il est temps de voyager

C’est la période de l’année idéale pour voyager. Vous aimez la chaleur ? Choisissez un endroit avec la
mer. Vous aimez le froid ? N’oubliez pas que la moitié du monde est froide, vous pouvez vous joindre à
leur plan en prenant un simple avion.

Profitez des nuits d’été

Vous pouvez vous rendre sur n’importe quelle terrasse de votre ville pour prendre l’apéritif, le dîner ou
quelques cocktails; vous promener à la lumière de la lune et des étoiles, respirer l’atmosphère chaude
de l’été ou en profiter pour vous baigner la nuit.

Du temps en famille

L’une des choses que nous aimons faire quand nous avons du temps est de profiter de notre famille et
de partager tout ce que nous pouvons avec elle. Des grands repas aux jeux de société en passant par
toutes sortes d’activités de plein air.

La sieste

Y a-t-il une meilleure habitude en été, qu’après un repas copieux, vous puissiez vous allonger pour vous
reposer à l’ombre et faire une sieste de 2 à 3 heures. Nous vous invitons à profiter de l’une des
meilleures traditions espagnoles de tous les temps : la siesta.

La joie dans l’air

En été, que ce soit à cause du soleil, du temps libre ou de tout ce que j’ai mentionné plus haut, on peut
respirer le bonheur absolument partout !

Après avoir lu cet article, vous aussi vous avez hâte d’être en été n’est-ce pas ?

*****

10 bonnes raisons d'aimer l'hiver


C’est l’hiver. Mais est-ce une raison pour se démoraliser et passer cette saison en serrant les dents ?
Certainement pas ! L’hiver n’est en rien détestable pour autant qu’on sache déguster les délicieuses
sensations qu’il nous offre. En voici un petit florilège.

1. L’offensive des boissons chaudes

L’hiver est la période idéale pour boire du thé comme nos amis anglais. Avantage : cela nous permet
d’atteindre les 2 litres d’eau conseillés par jour ! Le café a, lui aussi, subitement meilleur goût et on
réclame volontiers une seconde tournée de chocolats chauds.

Autre possibilité ? Les potages, les soupes et les veloutés qui remplissent nos étagères ou sont
concoctés maison… Parfait pour la santé !

2. Le fromage fondant dans la bouche

On ressort la machine à fondue et l’appareil à raclette : la danse des fromages est au rendez-vous !
L’occasion de redécouvrir une foule de saveurs oubliées pendant l’été. Petit plus : la création de
nouveaux gages pour ceux qui laissent tomber leur pain dans la marmite.

C’est un peu moins « diète » que le potage, mais en hiver, on peut se fait plaisir : les kilos, ça tient chaud
! (Et si on veut se rassurer : en hiver on dépense des calories pour se réchauffer…)

3. Le craquement du bois dans les flammes

Pour ceux qui ont la chance d’en posséder une, la cheminée devient une bénédiction ! Et si on en
profitait cette année pour faire quelques exercices de méditation en écoutant les crépitements du feu ?
Si vous tendez l’oreille et que vous vous laissez bercer par le bruit des flammes – comme on se laisse
bercer par le bruit des vagues en été – il est certain que vous entendrez une belle histoire…

Pas de cheminée dans votre studette du centre ville ? C’est le moment de rendre visite à vos grands-
parents, à vos oncles et tantes vivant à la campagne : ils vous garderont sans aucun doute une place au
coin du feu.

4. Les paysages en coton luisant

La grande invitée de cette saison est bien entendu la neige ! Plébiscitée par les petits et les grands, la
neige qui se dépose sur les toits est un spectacle des plus réjouissants. Qui n’apprécie pas les
empreintes fraîches laissées dans la poudreuse ? Une chute de flocons, et hop, un petit tour dehors
s’impose. Pour les amateurs de macrophotographie, le pari est lancé pour cette année : prenez la plus
belle image possible d’un indomptable flocon et partagez-la !

5. Les bras tendus et le cœur ouvert

Les fêtes de fin d’année sont une époque très particulière : il y règne souvent un air de compassion et
de solidarité entre les gens. C’est un temps propice pour cultiver la gratitude ! N’oubliez pas de dire
merci aux gens que vous aimez, et pas seulement quand on vous offre des cadeaux.
6. Le bain chaud fumant et parfumé

Les extrémités du corps (mains, pieds, bout du nez et haut des oreilles) sont forcément victimes de la
chute des températures. Se faire couler un bain chaud est un des premiers plaisirs d’hiver.
Agrémentons-le de notre savon favori (il faut que ça mousse !) et amusons-nous à faire un jeu d’ombres
et lumières avec des bougies parfumées. Une ambiance zen et tamisée pour réconforter des orteils
glacées.

Vous n’avez pas non plus de baignoire dans votre studette ? Faites les yeux doux à votre ami à la salle de
bain géante pour qu’il vous accueille le temps d’un bain (la question peut paraître saugrenue, mais
expliquez-lui sa chance de posséder une baignoire et votre besoin de relaxation !).

7. Le silence de la nature

En hiver, la nature retrouve un calme singulier. Les animaux hibernent et le monde paraît ralenti. En
vous habillant chaudement, rien ne vous empêche de faire de longues ballades le long des sentiers
gelés. Le bruit de la terre givrée qui craque sous les pieds est un pur régal ! Une saison de rêve pour se
recentrer sur soi-même et apprécier le silence. Attention toutefois au verglas et aux mauvaises chutes…

8. La douceur de la laine sur la peau

Ressortir les gros pulls de grand-mère est tout à fait charmant, pourvu qu’ils aient été tricotés dans une
laine douce qui ne pique pas. En hiver, on ne nous dit plus que le pull nous grossit, mais que le pull a l’air
tellement confortable.

Et si on n’a pas envie de paraître aussi large que le bonhomme de neige du jardin (admettons-le, notre
énorme pull over confortable est souvent difforme !), c’est l’occasion de mettre ces élégantes bottes
avec cette chaude jupe en velours tellement sixties !

9. La tête sous les couvertures

Rien de mieux que l’hiver pour savourer le bien-être que procure son lit. On s’enroule avec joie dans les
draps qui se réchauffent en quelques instants et on se laisse porter par les délices de la nuit. On n’hésite
pas à construire sa propre grotte avec les couettes pour y enfouir sa tête et garder le bout du nez au
chaud durant son sommeil.

Envie de commencer une série : on tient l’excuse idéal « De toutes façons, dehors, il pleut ».

En bref, l’hiver offre des opportunités infinies. Voyons cette saison autrement !

Et vous, quelles sont vos autres idées ?

*****

Avantages et inconvénients du printemps dans votre jardin


Dans de nombreuses régions du monde, le Quatre Saisons et quels sont les printemps, été, automne et
hiver. Bien sûr, la saison préférée de tout le monde est le printemps car nous pouvons observer
comment tout autour de nous fleurit, en plus du fait que le temps est parfait et idéal pour sortir.

Si vous avez un jardin ou si vous aimez le jardinage, il est fort probable que le printemps soit votre
saison préférée alors que vous commencez à voir comment chacune des fleurs et plantes renaît.

Le début du printemps

le début du printemps dans le jardin

El mars 20 le printemps a officiellement commencé dans le monde entier. Très probablement, vous
appréciez déjà le spectacle de votre jardin qui reprend vie et vous le verrez sûrement plus beau que
chaque année et c'est de nombreuses plantes fleuriront à nouveau et d'autres vont naître.

De plus, les arbres auront l'air plus feuillus que jamais et l'arôme sera certainement spectaculaire.

Si vous êtes un amateur de jardinage, vous savez probablement ce que avantages et les inconvénients
qui apporte chaque période de l'année à vos plantes, donc si vous êtes nouveau dans la région, laissez-
nous vous dire ce que le avantages et les inconvénients qui apporte le printemps à tout votre jardin.

Tout d'abord, laissez-nous vous dire que le meilleur moment pour apporter de nouvelles plantes dans
votre jardin est le printemps. C'est parce que le ressort fournit le des conditions climatiques adaptées à
la croissance de vos plantes rapidement et de manière appropriée.

Bien sûr, un autre des avantages du ressort est que vous pouvez améliorer l'apparence de votre pelouse,
car l'hiver fait des ravages sur votre pelouse car il peut flétrir plusieurs zones et lui faire perdre sa vie.

C'est pourquoi le seconde chance qui est fourni à votre pelouse se fait au printemps et c'est que durant
cette saison vous verrez surement qu'il y a différents taches blanches ou chauves sur votre pelouse et
pour le réparer, vous pouvez le faire grâce aux graines. Il vous suffit de niveler l'herbe avec un râteau ou
une pelle, puis saupoudrer les graines dans les zones sans herbe.

En deux à quatre semaines vous pourrez voir les résultats incroyables et pour les obtenir vous devez
vous rappeler que vous devez constamment garder la terre humide. Comme nous l'avons mentionné
précédemment, le printemps apporte également de nombreux inconvénients pour votre jardinn ainsi
que toutes les saisons de l'année.

croissance de l'herbe

Tout d'abord, il est important que vous sachiez que le forme esthétique de vos arbres Il s'en va. En effet,
si le printemps est propice à la croissance, le une croissance excessive de certaines branches fera
disparaître la forme de votre arbre. Bien sûr, votre pelouse sera également belle tant que vous la taillez
chaque semaine
N'oubliez pas que la chaleur provoquera la la croissance de votre pelouse est beaucoup plus accélérée Et
si vous ne faites pas particulièrement attention, il aura l'air totalement échevelé. Vous devez le faire
jusqu'à l'automne avec rigueur.

Le printemps peut engendrer des naissances de beaucoup d'insectes nuisibles qui peuvent endommager
votre jardin et est que le temps provoquera ces intrus ennuyeux des dommages irréparables à vos
plantes et c'est pourquoi vous devez également prendre soin et un système de prévention de tout type
d'insectes nuisibles qui peuvent endommager le jardin.

Une des choses que vous pouvez utiliser pour combattre ces intrus Ce sont des savons de potassium,
beaucoup plus sûrs que les insecticides et tout aussi efficaces.

Les champignons seront également vos pires ennemis au printemps car les champignons les
températures élevées entraînent une augmentation de l'humidité et c'est pourquoi beaucoup de ces
parasites peuvent être produits qui ne causeront que des maladies dans les plantes de votre jardin.

*****

Emploi en centre d’appel : avantages et inconvénients

Les annonces pour travailler dans les centres d’appels sont nombreuses. Ce travail attire beaucoup de
profils jeunes car il offre une certaine stabilité professionnelle et un salaire intéressant. Si cet emploi a
quelques avantages, il s’avère que les inconvénients se révèlent plus importants sur le long terme.
Faisons le point sur le travail dans les centres d’appel dans cet article.

Les missions d’un centre d’appel

Travailler dans un centre d’appel consiste à faire du service-client. Il faut trouver des solutions aux
problèmes rencontrés par les clients, gérer les transactions, mener des enquêtes de satisfaction et
effectuer les relances des échéances impayées.

L’objectif pour un salarié d’un centre d’appel est d’être toujours plus performant. La satisfaction de la
clientèle par rapport à ses demandes et sa fidélisation sont des indicateurs de la performance. Pour
répondre à cet objectif, il convient d’avoir un bon relationnel et des connaissances techniques pour
trouver des solutions aux urgences.

Les avantages d’un emploi en centre d’appel

Tout d’abord, les horaires de travail sont flexibles et l’employé peut gérer son emploi du temps selon ses
disponibilités. C’est donc un emploi qui peut convenir à des étudiants ayant besoin d’argent pour
financer leurs études.

Le salaire d’un téléconseiller ou téléenquêteur est aussi plus élevé par rapport à d’autres emplois du
secteur des TIC. Les primes peuvent être importantes et le salarié peut bénéficier de ticket restaurant et
d’un 13ème mois. La couverture sociale est également intéressante avec une complémentaire retraite
et une prise en charge partielle par l’entreprise.
C’est un emploi qui n’est pas physique comme d’autres qui demandent de porter par exemple de
lourdes charges. Il est en plus accessible même si vous n’avez pas de diplôme et il offre des perspectives
d’évolution. Il faut seulement quelques bases en informatique et parfois savoir parler deux langues
étrangères.

Les inconvénients d’un emploi en centre d’appel

Même si ce travail comporte quelques atouts, il faut noter toutefois que les inconvénients de travailler
dans un centre d’appel ne sont pas négligeables. Ils suffisent même à détourner beaucoup de personnes
de cet emploi.

Il s’agit d’un travail très répétitif dont les missions provoquent beaucoup de stress. Les procédures sont
toujours les mêmes : écouter et répondre aux demandes selon un ordre précis. Par ailleurs il faut
pouvoir supporter les plaintes et l’agressivité des clients au quotidien. Cela finit par peser sur le moral.

De plus, le téléconseiller doit toujours être à l’écoute et être poli, ce qui est éprouvant à faire sur toute
une journée. Il faut pouvoir se couper de ses émotions personnelles, ce qui a des conséquences sur
l’état psychologique. Il faut ajouter à cela la pression liée aux objectifs à atteindre qui ne finit jamais.
Cela cause une démotivation des salariés.

Pour finir, la position assise continuelle provoque des maux de dos et des douleurs à la nuque. L’audition
et la voix sont également touchées par le temps passé au téléphone. A ces problèmes de santés
physiques s’ajoutent des problèmes d’épuisement psychologique avec des déficits de concentration et
une augmentation de l’anxiété.

*****

Suppression des notes à l'école

Quel bilan faites-vous des notes ? Avantages et inconvénients.

A mon avis, il n’y a que des inconvénients. D’abord, elles dépendent beaucoup du correcteur: une copie
relue par plusieurs correcteurs obtient des notes différentes, voire très différentes. Ensuite, il existe des
biais sociaux de notation : le professeur est inconsciemment influencé par le statut de l’élève - fille ou
garçon, redoublant, enfant de milieux populaires ou de parents cadres. Enfin, la note crée une hiérarchie
entre les bons et les faibles. Or un élève catalogué faible a le sentiment de l’être. Ses capacités à
apprendre s’en trouvent largement réduites car l’évaluation a un effet retour sur l’apprentissage. Quand
on demande à un élève faible en maths de reproduire une figure géométrique en maths, il n’y arrive
pas. Si la même figure est proposée en dessin, il y parvient aussi bien que les bons en maths.

J’ajouterai que la note n’a jamais encouragé à bien travailler. Un bon élève travaille souvent pour avoir
de bonnes notes, et ne s’intéresse pas toujours aux remarques des professeurs sur sa copie.

Par quoi pourrait-on alors remplacer cette notation chiffrée ?


Deux possibilités. La première est l’évaluation par compétences, avec des couleurs, déjà à l’œuvre dans
80% des écoles primaires. Pour un devoir de français, l’élève n’a plus une seule note, mais plusieurs : en
orthographe, il aura orange car ce n’est pas terrible, en syntaxe jaune car ce n’est pas trop mal, et vert
pour les idées car c’est bien. Une note n’a pas de sens : elle n’indique pas à l’élève ce qui va bien et ce
qu’il faut travailler.

Seconde possibilité, utilisée par exemple en Finlande (lire page 5) : réduire le nombre de notes. Les
Finlandais ne vont pas en dessous d'un 4 sur 10 pour désigner l'échec. Puis il y a 5 pour suffisant, 6 pour
moyen, puis jusqu'à 10 pour très bien. L'idée est d'éviter le découragement et de donner le droit à
l'erreur, ce que notre système ne permet pas. Avec 4 sur 20, un élève français est quasi assuré de ne pas
avoir sa moyenne au trimestre. Or certains enfants comprennent tout de suite, d'autres mettent plus de
temps. Notre échelle de notes est absurde. Trop d'élèves sont en dessous de la moyenne. Et elle rend le
professeur schizophrène : en cours, il prépare ses élèves, il est comme un entraîneur ; puis, le jour du
contrôle, il glisse parfois des chausse-trappes et devient alors un sélectionneur.

Mais l’évaluation par compétences est très compliquée et souvent qualifiée d’usine à gaz…

C’est vrai. C’est d’ailleurs pour cela que la réforme a échoué au collège. Les enseignants devaient remplir
un livret avec jusqu’à 20 compétences à évaluer par élève - savoir construire une phrase, utiliser les
verbes au présent, au passé… -, et ils y passaient un temps infini. Il faut repenser et simplifier le système,
en le rendant plus léger.

C’est au collège que, selon vous, la réforme doit porter ?

Essentiellement, car c’est le maillon faible, là où le décrochage des élèves est important - chaque année
en France, plus de 17% de jeunes quittent le système scolaire sans diplôme et ce taux atteint même 20%
parmi les garçons. C’est catastrophique et coûteux.

Après la 3e, il y a le lycée, un niveau qui est forcément sélectif. Les élèves doivent s'orienter dans des
filières car il faudra plus tard des compétences variées sur le marché de l'emploi.

Si le bilan est aussi négatif, comment expliquez-vous que l’on n’ait pas touché aux notes depuis des
lustres ?

D’abord, le changement est coûteux pour les enseignants : actuellement, le professeur construit son
cours, fait son contrôle et note en fonction d’un barème qu’il s’est fixé. Tout cela est finalement quelque
chose de très privé. Passer à des évaluations par compétences implique tout un travail pour lui,
notamment la nécessité de repenser le contenu de ses cours. Ensuite, le système est certes désastreux
pour les élèves qui sortent sans diplôme, mais pour les vainqueurs de la compétition scolaire, ce n’est
pas un problème. C’est pour cela que ceux qui ont la parole publique le défendent.

Cette évaluation par notation, qui remonte à 1890, fut imaginée par les jésuites au XVIe siècle pour un
collège tourné vers la sélection des élites. Mais aujourd'hui, l'école est obligatoire jusqu'à 16 ans et le
but est qu'en fin de 3e, les élèves maîtrisent un minimum de connaissances et de compétences leur
permettant de s'insérer. On touche ici à la fonction de reproduction de notre système, qui décourage les
élèves faibles mais que les élites défendent car ce système leur a permis de réussir et, globalement,
favorise leurs enfants.

A quoi servent les notes si ce n’est à décourager une partie de la classe ?

Je ne nie pas que les élèves sont découragés, mais il faut remonter à la source de leurs difficultés :
l'absence de maîtrise des savoirs de base. Officiellement, 10% des élèves à l'entrée en 6e ne savent ni
lire ni écrire. Officieusement, selon les établissements, cela peut monter à 40%. Avec de tels taux, ils ne
peuvent pas avoir de bonnes notes. Supprimer les notes, c'est supprimer le thermomètre pour qu'on ne
sache pas qu'on a la fièvre. C'est aussi repousser le problème jusqu'au moment où il ne sera plus
soluble: l'examen final. Personne ne parle de supprimer les notes au bac. Donc on reste dans un monde
de sélection, mais pendant quinze ans, on fait semblant de l'ignorer, et on leur laisse se prendre le
retour de bâton de plein fouet à la toute fin.

Mais les notes créent des hiérarchies démotivantes…

Attention, il faut prendre la note pour ce qu’elle est : un indicateur à un temps t des difficultés et
objectifs de l’élève, pas une fin en soi. Quand je rends mes copies, je ne dis pas les notes à voix haute, je
ne fais aucun classement. Le but des notes n’est pas d’humilier ou de sanctionner mais de guider les
élèves. Rien de tel qu’une évaluation claire, franche, pour identifier les problèmes et aider à redresser la
barre. Cesser de noter les élèves parce qu’ils ont des difficultés, c’est se moquer d’eux. Si on ne leur dit
pas la vérité, on ne les emmène nulle part. Respecter les élèves, ce n’est pas leur éviter des
microtraumatismes, mais leur dire la vérité et leur tenir la main pour les aider à passer le gué.

Pourquoi ne pas évaluer en ayant recours à des systèmes plus nuancés ? Qui distinguent, par exemple,
les différentes compétences…

L'Education nationale, en 1969, avait mis en place une évaluation «à l'américaine» en ABCDE. Ce qui est
une base 5, comme si on notait de 4 en 4. Les professeurs, très vite, ont affiné le système, et noté en A +
A -. Ce qui devient une base 15, du coup, cela n'avait plus de sens, et on est repassé aux notes. Là, cela
va être pareil. On va accumuler les pastilles vertes, les pastilles rouges, se retrouver avec des copies
couvertes de pastilles auxquelles on ne comprendra plus rien. Les grilles d'évaluation à multiples cases
qui font perdre un temps fou ont déjà montré leur échec. On accole des microcompétences et on élude
la question du savoir.

Que dire de pays qui ont de très bons niveaux scolaires, comme la Finlande, et qui n’utilisent pas les
notes ?

La Finlande a toujours été citée en exemple par les opposants aux notes, quand bien même son niveau
scolaire est en train de s'écrouler. Mais passons. Est-ce que les partisans de la réforme citent la Corée du
Sud, la Chine, le Japon, Singapour ? Non, car ils ont des systèmes scolaires très durs, ultrasélectifs. Et
pourtant, ce sont eux qui arrivent en tête du classement Pisa [des élèves de 15 ans dans l'OCDE, ndlr].
L'exemple montre bien qu'il faut arrêter de comparer la France avec des pays qui n'ont rien à voir avec
elle. Nous n'allons pas faire comme la Finlande, petit pays à population homogène très différente de la
nôtre, nous n'allons pas faire non plus comme le Sud-Est asiatique.

*****

Suppression des notes à l'école

MM : Dans quel établissement et depuis combien de temps expérimentez-vous l'évaluation sans


notes ? 

Marlène : Je suis professeur d’histoire géographie dans un collège proche de Bordeaux, où j’enseigne
depuis six ans. Nous avons d’abord commencé à tester l’évaluation sans notes avec les élèves de 6ème.
Celle-ci est aujourd’hui appliquée à toutes les classes. Seuls les élèves de 3ème ont un système de
double notation, pour leur permettre d’avoir des notes dans le cadre du contrôle continu du brevet.  
Pour cela, je fais passer un contrôle type brevet blanc à mes élèves à la fin de chaque séquence. Puis, à
la fin de l’année, le relevé de compétences dont bénéficie tous les élèves de l'établissement
est accompagné, pour ceux qui s'apprêtent à entrer au lycée, d’un relevé de notes.

Concrètement, comment évaluez-vous les élèves ?

Pour chaque matière, une grille comportant l’ensemble des compétences que doit acquérir l’élève au
cours de l’année a été mise en place. Un système de couleurs permet ensuite d’indiquer si l’élève a
intégré, ou non, les compétences de chaque matière. Si la compétence n’est pas acquise, l’élève obtient
un rouge ; si elle est en cours d’acquisition, il obtient un orange ; si la compétence est presque acquise,
ce sera un bleu, et un vert si elle est totalement assimilée. A la fin de l’année, l’élève doit normalement
maîtriser une cinquantaine de compétences.

Plus spécifiquement, une compétence regroupe un savoir, une capacité et une attitude. Par exemple, la
compétence « je sais lire » regroupe la connaissance de l’alphabet, la capacité à assembler les lettres et
les syllabes pour former des mots et des phrases, et une attitude, celle de la compréhension. Ces
différents objectifs sont évalués individuellement grâce à une couleur attribuée. Résultat : l’élève sait
précisément quels sont ses acquis, ses lacunes et ce sur quoi il doit progresser.A contrario, le système de
notes donne une évaluation globale du niveau de l’élève et laisse moins de place à la nuance. 

Au-delà de cette "nuance", quels sont pour vous les avantages d'une évaluation sans notes ?

Sa principale force est de mettre en valeur les capacités de chaque élève et de moins plomber les
« mauvais élèves ». En effet, même si les élèves continuent à avoir le réflexe de se comparer les uns aux
autres quand ils reçoivent les résultats d’un contrôle, cela est bien plus compliqué avec les couleurs
qu'avec les notes. Du coup, il n’y a plus la notion de « dernier de la classe », très décourageant pour
certains. Rappelons que la plupart des décrochages scolaires ont lieu au collège. Il est donc capital de ne
pas décourager les élèves en difficultés. En mettant en valeur, ses points forts plutôt que ses points
faibles, le système d'évaluation sans notes est donc plus constructif !

D’autre part, ce système est très utile pour les enfants dys. Aujourd’hui, avec le système de notes, un
enfant dys qui fait une rédaction a beaucoup de mal à obtenir un bon résultat, car l’enseignant est
obligé de prendre en compte son orthographe dans la note finale. Avec le système de couleurs,
l’enseignant décortique les compétences de l’élève dans son évaluation. Il peut donc lui attribuer des
couleurs différentes pour l’imagination, la rédaction, le respect de la consigne et l’orthographe.
Résultat : il peut "nuancer" le travail de l’élève et lui permettre de repérer ce qu’il sait faire et ce qu’il ne
sait pas faire.

Enfin, l’évaluation sans notes n’est pas figée dans le temps et permet d’évaluer l’évolution de l’élève. A
la fin du trimestre, on ne fait pas des « moyenne de couleurs » pour chaque compétence. Non, on juge
de la progression de l’élève et on lui attribue une couleur en fonction de son acquisition de la
compétence. Ainsi, un élève qui, en cours d’année, a connu un coup de mou et a obtenu un rouge lors
d’un test, pourra obtenir un bleu ou un vert sur la compétence en cause en fin de trimestre s’il a
progressé. Ceci n’est pas possible avec le système de notes. Si un élève a obtenu un 5 en début de
trimestre, il aura beaucoup de mal à "se rattraper"par la suite, malgré un excellent niveau. Supprimer les
notes permet de mettre en valeur l’évolution de l’élève et non plus son travail global.

Si les élèves en difficultés ont tout à gagner avec la fin des notes, qu'en est-il pour les bons élèves ?

Ce système ne change quasiment rien pour les bons élèves, car ils continuent à avoir de bonnes
appréciations. Au lieu d’avoir une bonne note, ils ont un bleu ou un vert. Cela les motive d’ailleurs
davantage que les notes, car s’ils ont acquis toutes les compétences, ils peuvent avoir des « verts »
partout, alors qu’on ne met jamais de 20 de moyenne à un élève !

Vous semblez conquise... Mais la fin des notes doit bien avoir ses inconvénients !

Selon moi, le seul inconvénient de la mise en place d’une évaluation sans notes est le travail qu'elle
engendre pour le corps enseignant. L’enseignant doit se remettre en question, revoir l’organisation de
ses séquences et retravailler toute sa façon d’évaluer ses élèves. Il y a forcément une phase
d’adaptation qui demande un grand investissement personnel des professeurs. Mais, selon moi, le jeu
en vaut la chandelle ! Je suis en effet totalement convaincue par cette façon d’évaluer les élèves.
D’ailleurs, je n’aimerais pour rien au monde revenir à l’ancien système ! 

Comment les élèves ont-ils réagi au début à cette expérimentation dans votre établissement ? 

En 6ème, la réaction des élèves a été très différente selon l’école primaire dans lequel ils étaient
scolarisés. Si aujourd’hui, on ne donne normalement plus de notes en primaire, certaines écoles
continuent à le faire. Pour les élèves déjà habitués à ne pas avoir de notes, ce système d'évaluation n'a
pas posé de problème, car il s'inscrivait dans la continuité de leur formation.

En revanche, pour les élèves de 6ème habitués aux notes, ainsi que pour les 5ème, 4ème et
3ème provenant d’un collège avec notes, nous avons dû fournir un gros travail d’explications, aussi bien
auprès des élèves que des parents. Ce travail était nécessaire (et l'est toujours d'ailleurs) car l’évaluation
sans notes peut faire peur aux parents, qui ont eux-mêmes été habitués à être notés sur 20  au cours de
leur scolarité. Nous avons donc essayé de leur démontrer que ce système permettait de  mieux cerner
les compétences de l’enfant et de mieux cibler ses points forts et ses points faibles. Verdict :
globalement, la fin des notes a généralement été bien accueillie et appréciée de tous.

*****

Une question épineuse

Comment améliorer l'évaluation des élèves à l'école ? La question est posée et divise les parents et les
enseignants depuis déjà plusieurs mois.

Le rapport rendu en février 2015 à la ministre de l'Education Nationale préconise la suppression de


l'évaluation chiffrée jusqu'en classe de sixième incluse.

Mais, pour la ministre Najat Vallaud-Belkacem, il n'a jamais été question de supprimer totalement les
notes à l'école primaire ou au collège. Il faut dire que l'attachement des Français au système actuel de
notation reste très fort...

Les arguments pour les notes

Pour les parents comme pour les professeurs partisans des notes à l'école, la note sur 10 ou sur 20 offre
une évaluation fiable. Elle est le meilleur critère pour évaluer le travail de l'élève et permet aux parents
de savoir où en est leur enfant.

Elle a aussi pour avantage d'être simple, en comparaison des autres systèmes d'évaluation par
"acquisition de compétences" avec des codes de couleurs (rouge, orange, jaune, vert), de lettres (ABCD)
ou de chiffres (de 1 à 4).

Avec ces systèmes, il serait plus complexe pour les enseignants de mesurer ce qui est acquis et ce qui ne
l'est pas. Il y aurait aussi un risque que ces barèmes aboutissent à trop de laxisme.

Les notes peuvent inciter les élèves à travailler pour progresser, à condition que les professeurs
précisent ce qu'il faut améliorer et encouragent les élèves.

Les arguments contre les notes

Pour les opposants aux notes à l'école, la notation chiffrée est un outil de sélection plutôt qu'une simple
évaluation.
Les mauvaises notes (inférieures à la moyenne voire plus basses) délivrent un message décourageant,
qui démotive les élèves. A la différence du système français particulièrement sévère, en Finlande, la
note la plus basse est réglementairement un 4 sur 10.

Le stress d'obtenir une mauvaise note serait d'ailleurs un frein considérable à l’apprentissage.
Inversement, les encouragements favorisent les progrès. C'est pourquoi des systèmes d'évaluation
alternatifs seraient préférables pour les jeunes enfants (en particulier à l'école primaire).

Enfin, pour certains pédagogues, peu importe le système d'évaluation utilisé pourvu que l'enseignant
fasse preuve de bienveillance et que la notation soit perçue comme elle le doit : pas une sanction mais
simplement une évaluation à un moment donné.

Et vous, qu'en pensez-vous ?

*****

Qu’est-ce que le minimalisme?

Bien que ce blogue traite du minimalisme au quotidien, je n’avais jamais encore écrit d’articles par
rapport à ce style de vie. C’est un phénomène qui prend de plus en plus d’ampleur mondialement et qui
suscite un intérêt croissant par plusieurs personnes.

Après les nombreux articles que j’ai lus sur le sujet, je vais vous partager ma propre définition de ce
terme, ainsi que de mon point de vue. Le minimalisme peut être vu et appliqué de différentes façons
dans la vie de tous les jours, mais il en reste que sa racine est la même : vivre avec moins, vivre avec le
minimum.

Petit historique

Selon moi, le minimalisme comme nous le connaissons aujourd’hui, existe depuis plusieurs centaines
d’années. À l’époque, les gens travaillaient dur pour simplement se loger, se nourrir et se vêtir. Ils
n’avaient pas les moyens de s’offrir des petits plus, ou des produits qui n’étaient pas nécessaires à leur
vie.

Au début du 20e siècle, il n’y avait pas la télévision, l’ordinateur, et tous ces moyens de communication
que nous avons. Les gens se divertissaient autrement, et bien souvent, ces activités étaient gratuites,
très peu coûteuses ou servaient au bien-être de la famille. Un seul paquet de cartes pouvaient amuser
une famille au complet durant plusieurs heures!

J’aime tellement cette période de l’Histoire, mais je vais m’arrêter ici, parce que je pourrais en parler
pendant des heures. Je referai un article sur la première moitié du 20e siècle éventuellement!

Les personnes étaient les unes en face des autres, et se communiquaient de vive voix. Maintenant, les
rares fois que nous jouons aux cartes c’est contre une machine, qui est notre ordinateur. (J’exagère à
peine, j’en suis sure!)
Ma mère m’a conté, l’autre semaine, que dans les années 70-80, les épiceries étaient fermées les
dimanches. Les divertissements n’étaient pas nombreux non plus à cette époque et les gens se visitaient
durant cette journée de congé. Donc, le samedi, elle faisait des provisions, parce que c’était assuré que
des amis ou de la famille allaient téléphoner le dimanche pour passer rendre visite.

C’est assez fou non? Maintenant, nous n’osons plus appeler, excusez-moi, TEXTER quelqu’un pour lui
rendre visite, car nous avons peur de le déranger, ou nous allons avoir l’impression de déranger. De
toute façon, c’est plus le fun rester chez soi à regarder son actualité Facebook…

Bref

C’est avec l’industrialisation du 20e siècle que nous avons perdu cette notion de minimum.
L’industrialisation nous a permis d’acquérir des biens à de plus faibles prix qu’auparavant. Avec les
années, la qualité de vie des ménages s’est améliorée. Les salaires permettaient désormais aux familles
de s’offrir des biens de consommation plus diversifiés.

Maintenant, la base ne suffit plus. Nous avons besoin de plus. PLUS, PLUS, PLUS, PLUS.

TRAVAILLER. CONSOMMER. TRAVAILLER. CONSOMMER.

Je vous fais peur n’est-ce pas? Pourtant c’est vrai. Nous voulons toujours plus d’argent, pour nous
procurer plus de biens, que nous allons montrer sur les réseaux sociaux pour avoir plus de likes. Plus,
plus, plus.

Et si on arrêtait deux minutes?

L’essentiel

Le minimalisme est un style de vie qui repose sur les expériences, le partage et les relations. Les biens
matériels sont seulement présents pour assurer un confort minimum pour bien fonctionner.

Par exemple, dans ce style de vie, il est préférable de lire un livre, plutôt que de regarder la télévision
(où vous êtes dans un état passif). Vous devez utiliser chaque moment pour améliorer votre propre
personne, pour bâtir des projets et construire des relations avec ce qui vous entoure.

Dans cette prochaine partie, je vais vous décrire les différents styles de minimalisme qui peuvent exister.

L’extrême

À la base, le minimalisme extrême est le fait d’avoir très peu d’objets. Certains iront même à quantifier
cette manière de vivre à moins d’une centaine d’articles. Tout compris. De la brosse à dent, jusqu’aux
vêtements et ustensiles, en passant par les meubles.

Ces personnes sont souvent des globetrotteurs qui voyagent avec seulement un sac à dos. Avec
l’expérience, ils se sont rendu compte que de voyager avec un paquet de choses non vitales leur nuisait
dans leurs voyages. Ils perdaient du temps à emballer ces objets, les perdaient, ou encore leur sac à dos
devenait trop lourds et rendait leur parcours désagréable.
C’est extrême, je sais. Mais certaines personnes trouvent leur bonheur dans le peu d’objets qu’ils ont. Je
les félicite! Car c’est un exploit de vivre avec si peu.

Le minimaliste, point.

Ensuite, il y a le minimaliste. Celui qui a son logement, pas trop grand, et qui vit avec ce qu’il a de besoin,
point. S’il habite seul, il aura une petite table, avec une ou deux chaises, un canapé, un lit avec une
petite table de chevet. Dans ses armoires, il y aura le strict minimum pour se faire à manger. Quelques
assiettes, quelques ustensiles, un ou deux chaudrons, une poêle. Comme vêtements, des pantalons unis
et quelques t-shirts neutres, assez pour une semaine. Dans la salle de bain, une savonnette qui est
utilisée autant pour le corps que pour les cheveux.

Le minimaliste en devenir

Dans cette catégorie, j’y vois les personnes qui comprennent la psychologie et la pensée qu’il y a
derrière ce mouvement, et qu’ils l’appliquent. À ce stade, les personnes se rendent compte de tous les
objets matériels qui les entourent, qui les encombrent, et qui les dérangent. Ces futurs minimalistes
désirent changer leurs habitudes de consommation et modifient leur quotidien en fonction de cela.

Je me considère dans cette catégorie, mais je change mes habitudes, une journée à la fois, pour quitter
le monde matérialiste dans lequel nous vivons, pour faire des choix plus éclairés, réfléchis, écologiques
et durables.

Le minimalisme est un parcours de vie qui n’arrive pas du jour au lendemain. C’est un cheminement vers
la simplicité. Cela peut prendre plusieurs mois à partir du moment où vous savez que vous voulez faire
un changement dans votre vie.

Une chose qui est sure, c’est que vous verrez à quel point ce n’est pas les objets qui peuvent vous
apporter du bonheur, mais bien les relations humaines et les expériences que vous pouvez acquérir.
Une multitude d’évènements vous attendent dehors. Sortez!

*****

Avantages et inconvénients à être pauvre

Y a-t-il des avantages à être pauvre?

C'est peut-être une question étrange à poser. Être pauvre est difficile et vous avez souvent du mal à
prendre des décisions financières difficiles et à trouver le moyen de joindre les deux bouts. Vous devez
souvent vous passer de choses qui peuvent être considérées comme des nécessités par certains. La
plupart des gens vont penser qu'être ruiné est simplement horrible et qu'il n'y a aucun avantage.

Y a-t-il des avantages à être pauvre? Oui il y en a beaucoup.

 
Lorsque vous serez plus jeune, vous pourrez probablement obtenir de l'aide de différentes sources. Vous
pouvez obtenir de l'aide du gouvernement, d'organisations communautaires ou d'amis et de voisins. Les
gens pensent que tu vas avoir des tonnes d’aides mais ce n’est pas vrai, je fais la liste des gens qui
peuvent aider mais en fait c’est loin d’être aussi bien que d’avoir un salaire sauf si vous trichez et que
vous avez un travail au noir+ le chômage, malheureusement de nos jours même être salarié est
insuffisant.

 Aide gouvernementale

Quand tu es pauvre, tu es qualifié pour recevoir de l'aide. Vous pouvez demander de l'aide auprès
d'agences gouvernementales et de services sociaux. Si tu es au chômage pôle emploi peut t’envoyer des
offres. Vous pourrez peut-être recevoir des allocations mensuelles, de l’aide pour votre loyer, une aide
au chauffage et des coupons alimentaires. Vous pourrez peut-être obtenir des services médicaux
gratuits. Vous n'êtes pas obligé de produire une déclaration de revenus lorsque vous êtes pauvre. Ou
bien, vous pourrez peut-être obtenir le crédit pour revenu gagné et recevoir plus d'impôts que ce que
vous avez payé. Vos enfants peuvent avoir un repas gratuit ou réduit à l’école. Ils peuvent obtenir
beaucoup d’aide financière pour aller au collège ou dans une autre école. Vous pourrez peut-être aussi
suivre une formation professionnelle.

 Assistance des gens

Outre l'assistance du gouvernement, vous êtes également plus susceptible de recevoir l'aide des
membres de l'église, des voisins et des membres de la famille. Cela est particulièrement vrai si votre
pauvreté est due à une catastrophe ou à quelque chose qui n'est pas dû à vos propres erreurs. Si votre
maison est en flammes ou si vous avez un problème médical, d'autres voudront probablement vous
aider.

Parfois, cette assistance peut prendre la forme d’argent liquide, mais elle peut également revêtir de
nombreuses autres formes, telles que l’offre de vivre avec elles, l’assistance en matière de nourriture et
de transport. Il est presque toujours accompagné de conseils qui peuvent être utiles ou non.

 Assistance d'organismes communautaires

Certains organismes communautaires ont mis en place des programmes pour aider les personnes aux
prises avec divers problèmes. Il existe de nombreux types d’organisations et les programmes sont
encore plus variés.

 Trouver les organisations et les programmes qui répondent à vos besoins peut prendre un certain
temps, mais cela en vaut la peine. Centre d’aide local, l’annuaire local, le bureau du gouverneur, vos
amis et vos voisins peuvent également vous diriger vers les ressources.

Profiter de la pauvreté en développant ses compétences


 Compétences

Lorsque vous êtes pauvre, vous développez des compétences qu'une personne plus riche n'a pas la
possibilité d'apprendre. Vous savez comment cuisiner vous-même, nettoyer votre maison et effectuer
des réparations de base pour votre maison et votre automobile, car vous ne pouvez vous permettre
d'externaliser ce travail. Il y a beaucoup de choses que vous pouvez apprendre simplement en faisant, et
quand vous êtes pauvre, vous avez appris à faire beaucoup pour vous-même.

Vous avez peut-être appris à jongler entre les horaires lorsque vous avez plus d'un emploi à la fois.

 Vous savez où trouver de l'aide et comment coordonner les nombreuses ressources de la manière la
mieux adaptée à votre situation. Vous comprenez également l'importance d'un bon réseau et avez
probablement des liens étroits avec la communauté. Vous échangerez souvent des faveurs avec vos
amis et votre famille.

 Quand vous êtes pauvre, vous apprenez à vous débrouiller avec ce que vous avez. Vous êtes créatif en
trouvant des façons de faire les choses de manière économique. Vous savez aussi comment vous passer
de nombreuses choses que les autres considèrent comme des nécessités.

 Lorsque vous êtes pauvre, vous ne ressentez pas le besoin de suivre le rythme des Jones. Même si tu le
voulais, tu ne pouvais pas te le permettre. Vous achetez moins de choses, ce qui permet de garder votre
maison plus propre et facilite le déplacement de votre emplacement actuel vers un autre lorsque le
propriétaire menace d'augmenter le loyer.

Étant donné que vous achetez moins de choses et que vous utilisez moins d'énergie pour économiser de
l'argent, vous respectez mieux l'environnement et réduisez votre empreinte carbone.

 Lorsque vous êtes pauvre, vous développez votre force personnelle. Vous savez que vous êtes capable
de faire face à l'adversité, car vous avez eu beaucoup de pratique. Vous savez que vous pouvez gérer les
moments difficiles, car vous les avez traversés et avez survécu.

Si vous êtes au chômage, vous avez du temps libre. Même si vous vous sentez mal à l'aise de ne pas
travailler et coupable d'avoir du temps libre, le chômage vous donne le temps de passer avec vos
enfants, de nettoyer la maison, de poursuivre des études complémentaires et de pratiquer des loisirs
peu coûteux.

 Le plus gros avantage est que la gestion de l'adversité vous rend plus fort.

Vivre dans la pauvreté est très difficile, mais cela vous aide à développer vos compétences et à
développer votre force et votre endurance.  

Si vous prenez les choses en main vous passerez par des étapes précises

En général s’en sortir passe par trouver un emploi, gérer un budget et ensuite pour ceux qui poussent un
peu la choses investir. Peu importe où vous investissez, l’essentiel c’est que maintenant votre argent
travaille également pour vous
Quels sont les inconvénients d'être pauvre?

 Tout comme il y a des avantages, il y a beaucoup d'inconvénients à être pauvre.

 Vous pouvez devenir dépendant de l'aide que vous recevez. La plupart de l’aide utilise une fourchette
de revenus comme critère des personnes qu’elles sont disposées à aider. Si vous avez des revenus
proches de l’extérieur, il peut être effrayant d’essayer d’augmenter vos revenus car ils sont souvent
risqué (changer de job par exemple ou devoir refaire un dossier caf car il pourrait y avoir du retard, ce
que vous ne pouvez pas vous permettre), car vous savez que vous allez cesser d’obtenir de l’aide et que,
parfois, le montant de l’aide que vous recevez est supérieur à l’augmentation initiale de vos revenus.

 Certaines personnes vous mépriseront parce que vous êtes pauvre. Ils peuvent penser que vous êtes
paresseux, gros ou stupide. Beaucoup de gens se sentent honteux quand ils sont pauvres.

Lorsque vous êtes pauvre, vous pouvez renoncer à la nutrition simplement pour économiser de l'argent.
En mangeant beaucoup d'amidons (du glucose, du sucre quoi), vous pouvez prendre du poids (j’ai donné
15kg en 2 an de chomage). Vous pouvez également avoir des problèmes médicaux non résolus, car vous
ne pouvez pas vous permettre d'aller chez le médecin pour des examens préventifs.

Quand tu es pauvre, tu as tendance à avoir un réseau limité. Les pauvres ont tendance à vivre et à se
mêler à d'autres pauvres. Ces personnes ne peuvent pas vous aider beaucoup car elles essaient à peine
de joindre les deux bouts. Ils ne disposent pas non plus des compétences et du réseau nécessaires pour
vaincre la pauvreté.

Peut-être cela vient-il de la honte, et peut-être est-ce ce qui cause la pauvreté en premier lieu. On a
l'impression qu'il est plus difficile de sortir de la pauvreté, car vous n'avez pas de modèles positifs pour
vous montrer la voie. Si vous ne voyez pas les personnes qui occupent des emplois qui leur plaisent, qui
sont en mesure d'acheter les choses qu'elles veulent, vous ne verrez peut-être pas les avantages du
travail. Même si vous savez qu'il y a des avantages, vous aurez peut-être du mal à apprendre à rédiger
un CV ou à établir des liens qui vous aideront à trouver les ressources pour sortir de la pauvreté. Avec
l’aide d’Internet, j’espère que certaines de ces ressources seront plus disponibles.

 Être pauvre peut abaisser votre moral et vous faire sentir indigne. Lorsque les gens ne sont pas disposés
à vous donner un emploi ou à vous payer plus, vous pouvez penser que cela détermine combien vous
valez en tant que personne. Même si vous avez le temps de nettoyer votre maison, vous n’avez peut-
être pas la motivation pour le faire. Vous constaterez peut-être qu'il est trop coûteux de réparer et de
laisser aller beaucoup de problèmes qui se passent dans la maison. Avec le temps, vous apprendrez
généralement à vivre avec des problèmes, même abordables et faciles à résoudre. Vous pouvez
développer une mentalité qui oublie que la plupart des problèmes peuvent être résolus. Il est facile de
devenir déprimé dans ces circonstances.

Lorsque vous êtes pauvre, vous devez vous passer de beaucoup de choses que vous voulez et parfois
même de choses dont vous avez besoin. Votre crédit peut être mauvais parce que vous n'êtes pas en
mesure de payer vos factures à temps, ce qui vous oblige à payer des frais de retard et à augmenter les
intérêts sur les prêts, si vous pouvez même prétendre à un prêt. Vous devrez peut-être prendre des
décisions qui sont mauvaises pour vous à long terme, simplement pour obtenir de l'argent à court
terme, auprès de prêteurs sur salaire, de prêts à anticipation fiscale, de lieux d'encaissement de chèques
et de prêteurs sur gages.

La pauvreté est source de stress, et le stress est souvent perceptible dans les relations, alors que les
membres de la famille se disputent pour trouver le moyen de jongler avec les factures et de régler les
problèmes.

Conseils pour survivre à la pauvreté

Faire face à la pauvreté est difficile. Mais je sais par expérience qu'il est possible de s'en sortir. Voici
quelques conseils millionnaires sur la façon de sortir de la pauvreté.

Profitez des services. J'ai travaillé avec plusieurs agences gouvernementales qui ont été déçues de
constater que personne n'utilisait le nouveau service créé. Ces programmes sont là pour vous aider, et si
vous êtes admissible, vous devriez certainement en profiter. Il n'y a pas de honte à prendre ce qui vous
est offert.

Accrochez-vous . Vous vous sentez peut-être mal, indigne ou honteux, mais n'oubliez pas que vous
n'êtes pas une personne qui abuse des services. Il serait stupide de ne pas profiter des services offerts.
Ce que vous faites avec honnêteté et sincérité n’est pas faux. Vous obtenez simplement de l’aide pour
sortir d’un endroit difficile. Vous quitterez bientôt cet endroit et cesserez d'utiliser les services dès que
vous en aurez la possibilité.

Planifiez votre sortie. Obtenez une formation professionnelle. L'éducation peut être votre clé pour sortir
de la pauvreté. Concentrez-vous sur votre travail et cherchez à obtenir des promotions. Il est très
effrayant de sortir du cocon d'assistance, mais c'est une étape nécessaire. Exactement comme si vous
quittiez le domicile de vos parents était effrayant, parce que vous êtes dans le monde, peut-être même
sans filet, il en va de même pour vous. Oui, vous aurez du mal - vous aurez peut-être moins de
ressources pendant un certain temps, mais avec de la persévérance, vous pourrez arriver à un point où
vous pourrez être fier du fait que vous n'en avez pas besoin.

Prendre conseil. Demandez conseil à des personnes qui sont sorties de la pauvreté, qui occupent le type
de travail que vous souhaitez et même à des personnes qui ont réussi mais qui n’ont jamais connu la
pauvreté. Même si vous ne connaissez pas encore ces personnes, vous devriez essayer de les contacter.
La plupart des gens seraient honorés que quelqu'un recherche leur avis.

N'oublie jamais. Tu as appris beaucoup de choses quand tu étais pauvre. N'oubliez pas que vous n'avez
pas besoin de suivre les Jones, que vous avez une force que d'autres personnes qui n'ont pas eu votre
expérience n'ont pas. N'oubliez pas vos compétences pour économiser et vous débrouiller avec moins
d'argent. Vous pouvez tirer parti de vos compétences et de vos forces pour vous enrichir plus
rapidement. Puisque vous savez que le minimum d’argent dont vous avez besoin pour vous en sortir est
assez petit, vous pouvez économiser le reste et obtenir un compte d’épargne beaucoup plus rapide que
celui qui a l’habitude de vivre la vie dure. Devenir plus riche jour après jour pourrait en fait être plus
facile pour vous.

*****

Etudier à l'étranger : les pour et les contre !

Partir à l’étranger quand on est étudiant est une perspective séduisante. Les avantages sont nombreux :
vous parlez couramment une langue étrangère, vous vous imprégnez d’une culture… mais il ne faut pas
oublier qu’une telle expérience peut s’avérer déplaisante pour certains. Voici donc un article impartial,
qui vous permettra de peser le pour et le contre et de savoir si, oui ou non, vous êtes fait pour étudier
dans un autre pays !

Pour : vous parlez une langue étrangère tous les jours

C’est le but principal d’un séjour à l’étranger : devenir bilingue ou presque. Il faut dire que vous parlerez
une autre langue dans chaque aspect du quotidien. Vos cours ne seront pas en français, vous devrez
parler une autre langue en faisant vos courses, et pour peu que vous soyez dans une famille d’accueil, ce
sera la même chose à la maison ! Une immersion totale qui vous permettra d’assimiler rapidement un
nouveau langage. De retour en France, vous saurez couramment le parler !

Contre : le risque du « choc culturel »

Eh oui, on présente souvent les études à l’étranger comme une expérience géniale qu’on traverse dans
la joie et la bonne humeur. Pourtant, certains étudiants vivent assez mal leur voyage. A tel point que
certains expérimentent ce qu’on appelle « le choc culturel ». A savoir des symptômes d’angoisse très
intense provoqués par le fait de se retrouver à l’étranger, seul et loin de ses repères. Si certains
étudiants arrivent à les surmonter, d’autres préfèrent rentrer chez eux au bout de quelques semaines.
Le « choc culturel » est difficile à prévoir, mais il est cependant possible de l’éviter (ou de le limiter) en
se préparant psychologiquement à changer totalement d’environnement, et en restant ouvert d’esprit.

Pour : vous allez côtoyer des gens du monde entier

Vous ne serez certainement pas le seul dans votre future université à faire un échange universitaire. Si
vous logez sur un campus étudiant, vous allez être en compagnie d’étudiants venus des quatre coins du
monde. L’occasion ou jamais d’en apprendre plus sur d’autres cultures et d’avoir des échanges
passionnants ! Vous pourrez aussi vous serrer les coudes avec d’autres jeunes dans la même situation
que vous, et surmonter ensemble le blues des premières semaines.

Contre : le budget

Financer des études à l’étranger n’est pas chose aisée. Si votre université ou votre école finance une
partie de vos frais d’inscription, le reste est à votre charge. Et les différences de prix d’un pays à l’autre
concernant la nourriture, les objets ou les vêtements sont parfois drastiques ! Sans oublier le voyage
aller-retour en avion, si vous partez dans un pays éloigné. Ces trajets coûtant souvent très cher :
beaucoup d’étudiants renoncent à un voyage supplémentaire pour rentrer passer les fêtes dans leurs
familles. (Préparez-vous, par exemple, à fêter Noël loin de chez vous.) Il vous faudra bien anticiper vos
futures dépenses.

Pour : un sacré plus sur votre CV

Les recruteurs sont de plus en plus intéressés par un excellent niveau en langue étrangère. Un séjour à
l’étranger est un gros atout sur votre CV. Non seulement il prouve que vous maîtrisez une langue
étrangère, mais en plus il montre votre ouverture et votre esprit d’initiative. Eh oui, tous les étudiants
ne tentent pas l’aventure du séjour à l’étranger ! De plus, c’est une expérience qui vous permettra peut-
être d’élargir votre réseau, ce qui est là aussi un bon point.

Contre : la nourriture différente

Difficile de s’adapter à la nourriture dans un pays qui n’est pas le vôtre, où elle peut être différente.
Comment passer un petit déjeuner sans du bon pain frais dans des pays où il n’existe pas ? (La machine
à pain peut être une astuce. Cela dit, pas sûr que vous puissiez la transporter dans vos bagages jusqu’à
l’autre bout du monde.) C’est un fait, la France est mondialement réputée pour avoir l’une des
meilleures gastronomies. Aux Etats-Unis et en Allemagne, par exemple, les quantités de nourritures
distribuées dans les restaurants sont beaucoup plus grandes qu’en France ! Et la qualité culinaire ne sera
pas forcément équivalente à celle que vous connaissez selon les pays où vous vous rendez.

*****

Pourquoi apprendre l'anglais est-il important ?

Dans le monde actuel, le plurilinguisme est une compétence de plus en plus importante. En plus d’offrir
des opportunités d’embauches, être capable de parler une langue étrangère aide à établir une
connexion réelle avec les personnes et d’en apprendre plus sur les différents lieux, cultures, et façons de
vivre. Plus vous maîtrisez une langue et mieux vous saurez vous exprimer.

Parmi les 6 500 langues parlées dans le monde aujourd’hui, pourquoi choisir d’apprendre l’anglais ? En
tant que troisième langue la plus parlée à travers le monde, l’anglais est très répandu. Il est enseigné
dans plus de 118 pays et fréquemment utilisé comme langue commerciale ou diplomatique
internationale. C’est la langue de la science, de l’aviation, de l’informatique, de la diplomatie et du
tourisme. Mais c’est, par-dessus tout, la langue de la communication internationale, des médias et
d’Internet.

Que ce soit pour des raisons professionnelles ou personnelles, comprendre l'importance de l’anglais
vous aidera à atteindre vos objectifs. Voici quelques bonnes raisons de continuer à apprendre et à
pratiquer vos compétences en anglais.

1. L’anglais est la langue de la communication internationale


Bien qu’elle ne soit pas la langue la plus parlée dans le monde, l’anglais est la langue officielle dans
53 pays et est parlé comme première langue par environ 400 millions de locuteurs dans le monde. Mais
ce n’est pas tout, il s’agit aussi de la deuxième langue la plus commune au monde. Selon le British
Council, environ deux milliards de personnes dans le monde apprendront l’anglais d’ici 2020.

Par conséquent, il est fort probable que si vous rencontrez quelqu’un venant d’un autre pays, vous serez
tous les deux capables de parler anglais. Cela vous ouvre une porte sur le monde et vous aide à
communiquer avec les citoyens internationaux.

2. L’anglais donne accès à davantage de contenus sur Internet et de divertissements

Aujourd'hui, de nombreux films, séries télévisées, livres et musiques sont publiés et produits en anglais.
En comprenant l'anglais, vous ne serez plus dépendant des traductions et sous-titres. En accédant à ces
médias, vous améliorerez continuellement vos compétences en compréhension orale et écrite.

L’anglais est actuellement la langue d’Internet. Environ 565 millions de personnes utilisent Internet tous
les jours et environ 52 % des sites Web les plus visités sont affichés en anglais. Par conséquent,
apprendre cette langue vous donne accès à plus de la moitié du contenu présent sur Internet, ce qui ne
serait probablement pas disponible autrement. Que ce soit pour vos loisirs ou pour votre travail, si vous
comprenez l’anglais, vous serez capable d’échanger des informations avec plus de personnes en ligne et
d’utiliser beaucoup plus de ressources.

3. L’anglais rend le voyage plus accessible

Comme nous l’avons souligné auparavant, l’anglais étant parlé comme première langue dans 53 pays et
comme deuxième langue dans 118 pays, apprendre cette langue vous permet de voyager partout
beaucoup plus facilement. En effet, les annonces dans les aéroports, horaires de train, informations
d’urgence et panneaux de signalisation sont souvent en anglais, même dans les pays où la langue native
utilise un alphabet différent. Il va sans dire que, lorsque vous voyagez dans un pays dont vous ne parlez
pas la langue, vous êtes quasiment certain de trouver quelqu’un qui comprend un peu l’anglais.

4. L’anglais peut vous rendre « plus intelligent »

Apprendre une langue étrangère accentue vos capacités cognitives et analytiques. Apprendre une
nouvelle langue peut être difficile et implique beaucoup d’exercices mentaux. Une  étude Suédoise
menée en 2012 a démontré qu’apprendre une nouvelle langue modifie la structure du cerveau, ce qui a
un impact sur les parties du cerveau responsables de la mémoire, la pensée consciente et peut vous
rendre plus créatif. Sur le long-terme, le bilinguisme peut aider à maintenir un cerveau performant et en
bonne santé, à un âge avancé, et stimule les capacités de concentration et de mémoire. À l’échelle
individuelle, cela améliore la personnalité et l’estime de soi. En d’autres termes, apprendre une langue
étrangère rend le cerveau plus fort et polyvalent.

Apprendre l’anglais n’est pas seulement utile, cela vous apporte aussi une grande satisfaction et faire
des progrès vous fera vous sentir mieux.
*****

L’enseignement à distance: avantages et inconvénients

L’enseignement à distance peut-il remplacer l'école?

Toutes les écoles sont fermées, et tous les cours en salle de classe ont été transférés en ligne, dans le
cadre des mesures visant à contenir tout danger de propagation du COVID-19. Donc, l’école à distance
est une précaution importante pour s’assurer de limiter les possibilités de transmission du virus. C’est la
période de l’école à la maison pour de nombreux enfants. C’est-à-dire, que chaque famille a accès aux
ressources en ligne ou des cours à distance: des exercices et même des « classes virtuelles » en
visioconférence. Nous présenterons dans cet article la définition, les avantages et les inconvénients de
l’enseignement à distance face à l’enseignement traditionnel :

Définition de l’enseignement à distance

L’enseignement à distance, également appelé formation à distance, enseignement en ligne ou e-


learning, renvoie à une modalité d’enseignement qui « permet à une personne d’apprendre de façon
relativement autonome, avec des contraintes minimales d’horaire et de déplacement, et avec le soutien
à distance de personnes-ressources.

En plus, apprentissage à distance est accessible où que l’on se trouve, en présence des autres
participants ou non. L’éducation à distance s’est toujours développée en fonction des innovations
technologiques.

De surcroît, il existe différentes modalités et méthodes d’enseignement à distance :

L’enseignement synchrone à distance : les étudiants assistent en temps réel à des visioconférences selon
un horaire défini.

L’enseignement asynchrone à distance : les cours ont lieu en différé. Les étudiants ont accès  à tout
moment à leurs cours sous différents formats.

L’apprentissage mixte ou hybride fait référence à l’utilisation conjointe de l’apprentissage en ligne et le


mode d’apprentissage classique, souvent appelé en face-à-face. L’apprenant alternera entre des
sessions à distance en ligne et des sessions en face à face avec le formateur.

Par contre, l’enseignement en présentiel renvoie à une modalité d’enseignement où un professeur


échange en temps réel et en face à face avec ses étudiants.

Les avantages de l’enseignement à distance

Voici les avantages des cours en ligne :

Plus de flexibilité
Les cours en ligne permettent de les caser où on le souhaite dans son emploi du temps. Normalement,
ceux qui travaillent et qui veulent suivre des cours en plus de leur travail éprouvent des difficultés à
gérer leur temps. Les formations en ligne leur permettent de décider à quel moment ils sont le plus
disponibles pour étudier. Ils peuvent suivre leurs cours et leurs programmes en voyageant en bus, en
voiture, en train, ou en avion. Ce n’est évidemment pas possible dans l’enseignement présentiel, qui
nécessite un horaire prédéfini et un endroit fixe. Mais les cours en ligne vous donnent le temps de vous
gérer pour apprendre. 

Adapté à tous les rythmes

Chaque apprenant travaille à son propre rythme. Dans le cas où vous seriez plus rapide que les autres, il
n’y a aucunement besoin de les attendre. L’inverse est également vrai : si vous êtes plus lent, vous
pouvez prendre votre temps sans gêner qui que ce soit. Les formations peuvent également être
façonnées sur mesure en fonction du niveau d’apprentissage.  

Pratique

L’enseignement à distance, contrairement à l’enseignement en présentiel, permet de fournir une


formation en temps et lieu asynchrones.

de surcroît, les apprenants n’ont plus besoin de se déplacer aux établissements scolaires et de se
conformer à des horaires. En d’autres termes, on se forme où l’on veut, quand on veut. Il suffit de
disposer d’une connexion WI-FI et d’un ordinateur portable, d’une tablette, ou d’un smartphone.

Le e-learning permet à des apprenants qui veulent rester chez eux, par exemple pour des raisons
familiales, de mettre à profit leur temps libre pour continuer d’apprendre et d’évoluer au niveau
professionnel. Avec l’enseignement à distance, il est inutile de se déplacer ou de demander à un
professeur de venir à domicile, les cours auront la particularité d’être effectués en ligne. On peut
travailler dans un environnement familier qui permet de travailler facilement. De plus, un gain de temps
considérable est à prévoir.

Le e-learning, lorsqu’il est bien conçu, repose désormais sur des supports ludiques et variés : vidéos,
formats interactifs, podcasts, forums, questionnaires, diaporamas…

Choisir la formation de ses rêves

Suivre la formation de ses rêves nécessite souvent de se déplacer dans une autre ville ou dans un autre
pays. La formation en ligne facilite cette tâche pour plusieurs étudiants.

Les inconvénients de l’enseignement à distance

Moins d’interaction

L’enseignement en ligne facilite l’accès à distance à une salle de classe, à l’heure qui arrange
l’apprenant. Cependant, ce dernier peut éprouver un sentiment d’isolement, dû au format individuel de
ce type d’apprentissage, ce qui peut lui donner un sentiment de solitude. Mais avec les progrès
constants de la technologie, les apprenants peuvent s’engager plus activement avec des enseignants ou
d’autres étudiants, en utilisant des outils tels que la vidéoconférence, les médias sociaux et les forums
de discussion.

Problèmes de santé

Les apprenants qui suivent une formation en ligne passent énormément de temps sur leur ordinateur et
d’autres appareils de ce type ; ce qui peut entraîner de la fatigue visuelle, la survenue de mauvaises
postures ou d’autres problèmes physiques, qui peuvent affecter l’apprenant.

Moins d’engagements

Les apprenants les plus jeunes sont souvent ceux qui rencontrent le plus de problèmes d’autodiscipline.
Donc, ils seront moins motivés pour terminer leur formation en ligne, parce qu’il n’y aura pas eu
d’enseignant physiquement présent pour les motiver à étudier.

L’émergence de l’apprentissage en ligne

Pour imiter les aspects sociaux d’une salle de classe traditionnelle, il est préférable d’utiliser des outils
tels que des tableaux de messagerie, et des groupes Facebook. Ils donnent aux élèves l’impression qu’ils
ne regardent pas seulement un babillard vide, mais qu’ils parlent à des personnes réelles. Bien sûr, cela
ne remplace pas les pairs de classe.

Dans une classe traditionnelle, les élèves apprennent naturellement les uns des autres, tout en résolvant
des problèmes et en travaillant en collaboration. Ils sont encouragés par un enseignant qui ne parle pas
à travers une vidéo pré enregistré. L’apprentissage en ligne n’a pas encore trouvé de moyens d’imiter la
vie dans une classe réelle.

Par contre, l’apprentissage en ligne fournit aux enseignants une rétroaction précise et claire sur la façon
dont un étudiant interagit avec le matériel. En cliquant sur un bouton, ils peuvent voir les devoirs de
leurs élèves et les endroits où ils éprouvent des difficultés.

De surcroît, la réduction de la charge de travail permet aux enseignants d’adapter leurs compétences
par d’autres moyens, plus avantageux, pour les élèves et l’ensemble de la classe. En effet, moins
d’heures passées à classer les dossiers signifie plus de temps passé à engager chaque élève à un niveau
individuel. C’est cette combinaison de contenu personnalisé et de gestion des ressources qui permettra
aux enseignants de diriger nos salles de classe vers l’avenir.

Conclusion

Les avantages de l’apprentissage en ligne sont nombreux : avantages : efficacité, accessibilité et


polyvalence. Or, la formation à distance présente aussi certains inconvénients, notamment au niveau
technologique et humain.
Néanmoins, ce type d’enseignement continuera à évoluer, et l’apprentissage en ligne, malgré ses
avantages et ses inconvénients, fournit un cadre d’apprentissage idéal pour la plupart des domaines, des
apprenants et des professeurs.

*****

Quels sont les avantages du livre numérique et ceux du livre papier ?

Il n’y a rien de tel qu’un bon livre pour s’évader du quotidien et laisser vagabonder son esprit. Mais quel
format choisir pour des sessions lecture ? Livre numérique ou livre papier ? Pour vous aider à choisir,
voici les avantages et les inconvénients de ces deux formats ainsi que quelques données chiffrées sur le
comportement des lecteurs.

Livre papier : un objet passion

L’arrivée du livre numérique a quelque peu ébranlé le monde littéraire, mais le livre papier n’a pas dit
son dernier mot. Loin de là. Les avantages du livre papier sont encore nombreux.

LE LIVRE : UN OBJET SANS PAREIL

Un livre papier a une odeur, une texture. Tourner les pages fait partie intégrante du plaisir de lire, et
certains n’arrivent pas encore à s’en défaire. Le livre numérique n’offre pas le même ressenti. De plus,
on peut feuilleter un livre papier pour se faire une idée du contenu, ce qui s’avère presque impossible
avec le livre numérique. Enfin, un livre papier peut se prêter et s’offrir. Il existe un véritable plaisir à
partager un livre que l’on a aimé ou à en emballer un (pour le déposer sous le sapin par exemple). Il sera
plus difficile en revanche de prêter votre liseuse…

LIRE QUAND ON VEUT

Si les liseuses ont une bonne autonomie, il n’empêche que la batterie n’est pas éternelle. Il faut en effet
la charger régulièrement pour pouvoir accéder à votre bibliothèque. Pas idéal si vous êtes au fin fond de
la jungle amazonienne. En revanche, vous pouvez lire un livre papier où et quand vous voulez sans
risque de vous retrouver en panne.

LE LIVRE PAPIER FAVORISE L’ENDORMISSEMENT

Il n’est pas nécessaire d’allumer la lumière pour lire un livre numérique avant de dormir. Ainsi, vous ne
dérangez personne lorsque vous avez envie de finir ce dernier roman qui vous tient en haleine. Ce qui
semble être un gros avantage pour le livre numérique peut, en fait, être considéré comme un
inconvénient. La lumière émise par la liseuse ne favorise pas l’endormissement, contrairement à un livre
papier.

LE LIVRE PAPIER EST INTEMPOREL

Certes, le papier peut sembler fragile, mais les livres numériques sont quant à eux sujets à l’évolution
des supports numériques. Les logiciels et les formats utilisés aujourd’hui peuvent tout à fait évoluer,
voire disparaître à mesure que la technologie avance. En effet, que se passera-t-il si Amazon cesse de
produire sa liseuse ? Que deviendra votre bibliothèque numérique ? Autant de questions qui ne se
posent pas avec un livre papier.

LE LIVRE PAPIER POUR LES AUTEURS : UN MOYEN DE SE « SENTIR ÉCRIVAIN »

Pour un auteur, tenir son livre dans les mains est souvent indispensable. Cela lui confère un sentiment
incomparable et peut l’aider à se sentir véritablement écrivain. Les auteurs autoédités peuvent
aujourd’hui commercialiser leur livre en version papier, ce qui leur permet en outre de conserver leur
livre et d’en distribuer des exemplaires à leurs proches par exemple.

Le livre numérique : une bibliothèque de poche à emporter partout !

Si les avantages du livre papier ne font aucun doute pour les amoureux de la lecture, il n’empêche que le
livre numérique se défend aussi très bien sur de nombreux plans.

LE LIVRE PAPIER PREND DE LA PLACE

Une collection de livres papiers nécessite de l’espace. Si vous avez un petit appartement, vous risquez
vite de ne plus savoir où donner de la tête si votre collection est conséquente.

Et on ajoutera que les livres sont lourds à transporter. Dans le sac à main, en voyage, au moment de
déménager… c’est dans ces moments-là que l’on se prend parfois à rêver d’une liseuse. Elle permet en
effet de disposer d’une bibliothèque bien remplie et, en même temps, légère.

SE PROCURER DES LIVRES QUAND ON VEUT

Un avantage considérable des livres numériques est que l’on peut se les procurer à tout moment,
contrairement aux livres papier. En effet, lorsque l’on est à court de livres à lire, il faut mettre le cap sur
la librairie ou la bibliothèque pour trouver un livre papier. C’est d’ailleurs un véritable bonheur de chiner
dans ces lieux… à condition que la bibliothèque ou la librairie se situent à proximité et soient bien
ouvertes.

Les aficionados des e-books ne rencontrent pas ce problème : tous les livres numériques de leur choix
sont accessibles en quelques clics et de façon immédiate.

PRIX DU LIVRE : AVANTAGE AU NUMÉRIQUE

Côté livre papier, il existe des grands formats, dont le prix tourne autour d’une vingtaine d’euros et des
formats poche. Ces derniers sont moins chers mais il faut généralement attendre avant d’en profiter car
ils ne sont imprimés que dans un second temps. Si la patience n’est pas votre fort, la tentation d’acheter
un grand format sera sûrement forte, même si cela peut vite représenter un budget important.

En optant pour le numérique, vous pourrez acheter des livres moins chers sans délai !

LE LIVRE NUMÉRIQUE DONNE SA CHANCE AUX NOUVEAUX AUTEURS


Les maisons d’édition classiques reçoivent des milliers de manuscrits tous les ans et un faible
pourcentage est édité. Grâce à internet, de nouveaux auteurs peuvent s’auto-éditer et publier leur livre
au format numérique à moindre coût. Une occasion supplémentaire de faire des découvertes ou de se
lancer dans l’écriture.

DU CÔTÉ DES AUTEURS : LE LIVRE NUMÉRIQUE, UN MOYEN DE SE FAIRE CONNAÎTRE ET DE TOUCHER


UN VASTE LECTORAT

Le numérique a également de nombreux avantages pour les auteurs. La distribution d’un livre
numérique est beaucoup plus simple et rapide que celle d’un livre papier. En quelques jours, on peut
mettre son livre en vente sur des centaines de sites libraires et toucher un vaste lectorat. Le petit prix
des livres numériques permet de séduire des lecteurs qui auraient envie de découvrir un auteur inconnu
sans dépenser des dizaines d’euros. Autre avantage de taille pour un écrivain : la facilité de mise à jour
(alors qu’une fois le livre imprimé, difficile de le modifier !).

Livre numérique et livre papier : et s’ils étaient complémentaires ?

Lorsque les livres numériques ont commencé à affluer sur le marché, les amateurs de livre papier ont
craint de voir disparaître leur support de lecture préféré. Mais, finalement, ces deux modes de lecture
cohabitent très bien dans le monde littéraire. Le livre numérique n’a pas remplacé le livre papier. Au
contraire, il le complète.

UN LIVRE POUR CHAQUE PROFIL

De façon générale, le livre se décline sous plusieurs formats pour s’adapter aux différents profils de
lecteurs. Entre collectionneurs d’objets, lecteurs curieux et lecteurs boulimiques, il y a un format pour
chacun et pour chaque moment de la vie. On constate d’ailleurs que les « gros lecteurs » se mettent à
acheter plus de livres – numérique comme papier – une fois qu’ils ont découvert le livre numérique.
Bref, numérique et papier ne se cannibalisent pas car le mieux reste d’avoir des livres au format papier
bien au chaud dans une bibliothèque et des livres numériques prêts à faire le tour du monde dans un
sac. C’est même le meilleur moyen de profiter des avantages des deux supports…

QUELQUES DONNÉES CHIFFRÉES SUR LE LIVRE PAPIER ET LE LIVRE NUMÉRIQUE

Le SNE, la SOFIA et la SGDL se sont penchés sur l’évolution de l’usage du livre numérique, papier et
audio. Dans le Baromètre sur les usages du livre numérique (publié en 2021 et portant sur l’année
2020), on peut identifier plusieurs données intéressantes en tant qu’auteur mais aussi en tant que
lecteur. On retiendra ceci :

Les Français lisent-ils des livres numériques ?

Environ 26 % des Français déclarent avoir déjà lu un livre numérique. Dans le détail, la tendance prend
aussi chez les jeunes. 50 % des personnes dont l’âge est compris entre 15 et 24 ans ont lu un livre
numérique.
Qu’en est-il de la fréquence de lecture ?

La fréquence de lecture évolue de manière significative pour tous les types de support mais le livre
papier continue de dominer les tendances. 39 % des amateurs de lecture lisent a minima un livre papier
une fois par semaine.

Les supports de lecture

Pour ce qui est de la lecture des livres numériques, c’est le smartphone qui tire son épingle du jeu parmi
les supports puisqu’il est utilisé par 42 % des lecteurs.

Et on notera qu’un tiers des lecteurs de livres numériques possèdent une liseuse. L’outil gagne donc du
terrain.

Les achats de livres

Les achats de livres, tous types confondus, ont augmenté de manière significative. Nombreux sont les
lecteurs qui ont d’ailleurs acheté plus de 10 livres par an.

On retiendra de tout cela que les livres numériques et livres papier ont chacun des lecteurs qui y
trouvent leur compte. Les deux formats coexistent en harmonie et cela n’est pas près de s’arrêter

*****

Télétravail : avantages et inconvénients pour les employés

Votre entreprise vous propose de travailler de chez vous et vous hésitez ? Découvrez les avantages et les
inconvénients du télétravail.

En supprimant le temps passé dans les transports, le télétravail rend les salariés moins stressés et plus
productifs. Surtout, il permet de redonner de la place aux loisirs, au bien-être, à la famille... Bref, de
mieux gérer et vivre son quotidien. Pourtant, le travail à distance peut aussi présenter des inconvénients
non négligeables, surtout si les employés n'apprennent pas à concilier correctement vie professionnelle
et vie personnelle.

Les avantages du télétravail : gain de temps, flexibilité et motivation

Le télétravail est devenu partie intégrante du quotidien des Français depuis la crise sanitaire en ce début
d'année 2020. Rendu possible grâce aux nouveaux outils technologiques et numériques, il offre de
nombreux avantages aux employés.

Gagner du temps

Le télétravail est un mode de travail qui permet à une personne d’exercer son activité professionnelle en
dehors des locaux de la société : à domicile, depuis un espace de coworking, un café... La plupart du
temps, les employés télétravaillent de chez eux. Et l'avantage n°1 évoqué par les télétravailleurs, c'est le
gain de temps quotidien ! En supprimant les trajets pour se rendre au bureau, le télétravail permet de
dégager du temps à réinvestir sans sa vie personnelle !

Être plus efficace

La première conséquence de ce temps gagné, c'est une diminution du stress lié aux déplacements
(bouchons, transports en commun bondés...) et donc plus de concentration !

Parallèlement, travailler de chez soi offre un environnement plus calme que les open spaces ou les
bureaux. Moins de sollicitations, moins d'interruptions, moins de bruit et moins de réunions  : le
télétravailleur est plus productif !

Gagner en flexibilité et en responsabilité

Avec des horaires de travail plus souples, l'employé en télétravail peut organiser ses journées à sa guise
pour atteindre ses objectifs professionnels. Il acquiert une plus grande autonomie.

Améliorer sa qualité de vie

Moins de stress lié aux trajets et moins de bruit, on l'a vu. Mais aussi l'occasion de s'autoriser des siestes
ou des activités distrayantes/sportives au moment des pauses : travailler de chez soi est aussi bénéfique
pour sa santé !

Rester motivé

Avec du temps pour soi et pour sa famille, le télétravailleur parvient à concilier vie professionnelle et vie
personnelle : de quoi rester heureux et motivé dans son travail !

Les inconvénients du télétravail : isolement, sédentarité et surconnexion

Cependant, attention au revers de la médaille ! Chacun de ses avantages ne va pas sans son
inconvénient : tout est question d'équilibre. Travailler de chez soi, c'est savoir résister à l'appel de la
distraction, éviter la surconnexion, apprendre à être autonome... au risque de ne pas parvenir
télétravailler sereinement.

Se sentir isolé socialement

Probablement l'inconvénient au télétravail le plus souvent cité : la solitude ! De fait, certaines


entreprises proposent l'alternance entre travail à distance et travail au bureau. Cela préserve, en outre,
le sentiment d'appartenance à l'entreprise. Si ce n'est pas possible dans votre cas, pensez à récréer des
conditions d'interaction avec votre entourage : points réguliers avec les collègues, déjeuner à l'extérieur
avec un ami...

Se sentir à l'écart de l'entreprise

En travaillant à distance, vous pouvez avoir la sensation d'être moins accompagné par votre manager ou
votre équipe. De même, le manque d'échanges entre collègues peut être un frein à la créativité ou à la
résolution de problèmes pour certains télétravailleurs qui apprécient l'émulation de groupe. Enfin,
certains employés en télétravail peuvent se retrouver en marge d’importants développements de
l’entreprise et même avoir l'impression de passer à côté de certaines promotions.

Être trop connecté

L'autre risque courant du télétravail, c'est la surconnexion. Quand le bureau est aussi la maison, la
frontière entre travail et perso devient très fine. Le risque est de toujours trouver quelque chose à faire
ou à finir. Être tenté de regarder ses e-mails le soir ou le week-end...

Manquer de discipline

Mais ça peut aussi être complètement l'inverse ! Chez soi, on peut être tenté par ce qui nous entoure
(un livre, un jeu, plus de pauses...) et se laisser distraire. Si vous travaillez à votre domicile, il est
essentiel de poser un cadre clair dès le départ et de le respecter.

Devenir (encore plus) sédentaire

C'est évidemment formidable de ne plus avoir à courir après le bus ou d'être obligé de se garer à trois
kilomètres de votre lieu de travail par manque de stationnement... Néanmoins, la sédentarité guette
tout employé en télétravail. Profitez donc du temps gagné pour découvrir une nouvelle activité sportive,
par exemple.

Pour que le télétravail profite à votre carrière, il demande que vous fassiez preuve de rigueur et de
discipline, autant pour rester concentré, que pour savoir vous arrêter et profiter des avantages qu'il
propose ! Afin d'éviter toute dérive et trouver un sain équilibre, suivez nos 7 conseils pour être efficace
en télétravail.

Vous cherchez un emploi en télétravail ou compatible avec le travail à distance ? Contactez l'agence la
plus proche de chez vous !

Vous aimerez peut-être aussi