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Exercices : les temps du récit

1-Indiquez si les verbes suivants sont conjugués au présent (P) ou à l’imparfait (I) de l’indicatif.
Nous buvions (I) Vous gagniez (I) Vous copiez (P) Nous essayions (I)
Nous crions (P) Vous brilliez (I) Vous jouiez (I) Nous payons (P)

2-Dans la liste suivante :


a) Soulignez les verbes qui sont conjugués au passé simple :
-j’allais ; j’appréciai ; il sauta ; tu tombas ; j’enchantai ; elle arrête ; je chanterai ; vous pensâtes ; nous
roulâmes ; tu marchas ; nous continuons
b) Pour les autres verbes, donnez la forme correspondante au passé simple.
J’allais (imparfait)  j’allai
Elle arrête (présent)  elle arrêta
Je chanterai (futur)  je chantai
Nous continuons (présent)  nous continuâmes

3-Réécrivez ces phrases au passé en utilisant les temps qui conviennent (imparfait ou passé simple).
*Le Petit Chaperon rouge entre (entra) dans la maison alors que Mère-grand prépare (préparait) un bon
repas.
*Les enfants jouent (jouaient) dans le jardin. Soudain, le loup arrive (arriva).

4-Changez les temps des verbes en gras en les mettant à ceux du récit (imparfait ou passé simple)

Il était une fois une belle princesse qui (vit) vivait avec ses parents, le roi et la reine d'un royaume
lointain, dans un somptueux château. La jeune fille (est) était connue pour sa beauté extrême et tous les jeunes
hommes (rêvent) rêvaient de l'épouser. Ses parents, très fiers d'elle, la (gardent) gardaient jalousement à
l'abri du palais. Le vieux roi n'(a) avait pas de fils et il (pense) pensait à un héritier mais aucun seigneur n'(a)
avait assez de valeur pour prétendre à la main de la belle. (Mise en place du décor dans la situation initiale)

Un soir, on (convie) convia cependant toute la noblesse du voisinage à un bal. (Elément


perturbateur) Les femmes (portent) portaient des robes magnifiques qui (font) faisaient comme un arc-
en-ciel de couleurs chatoyantes (description). Les invités (dansent) dansaient, (rient) riaient, (discutent)
discutaient (arrière-plan) lorsqu'un cri et un claquement de mains (interrompent) interrompit (Elément
perturbateur qui fait avancer l’histoire) la fête. Le maître avait suspendu les conversations et les chansons.
On avait enlevé la princesse ! Les gardes, les invités, personne n'avait vu l'auteur de ce crime. Il devait donc
y avoir eu quelque magie.

A quelques pas de là, un chevalier (porte) porta la belle jeune fille endormie par quelque breuvage et
la (conduit) conduisit vers un lieu inconnu (actions de premier plan). Il (a) avait un anneau qui le (rend)
rendait invisible (apporte précisions, description).
Le roi consterné (promet) promit à tous les braves du royaume une merveilleuse récompense : la main
de sa fille à qui la retrouvera. De nombreux nobles en armes se (présentent) présentèrent pour relever le défi
mais personne ne (peut) put (actions de premier plan qui font avancer l’histoire) découvrir où se (cache)
cachait l'infâme individu ni sa charmante captive.

Tout le royaume se (désespère) désespérait (arrière-plan) lorsqu'un cavalier (arrive) arriva


(premier plan) vêtu d'une armure étincelante. Ses manières et son courage (redonnent) redonnèrent quelque
espoir au pauvre roi. Le jeune homme (promet) promit de retrouver la belle princesse et de l'épouser. Il (part)
partit (actions très importantes qui font avancer l’histoire) sur le champ. C'(est) était le fils d'un roi qui
(erre) errait en quête d'aventures (arrière-plan, description). Comme il avait déjà aidé une vieille fée, celle-
ci lui (donne) donna une épée qui rendait invincible celui qui la (porte) portait et un bouclier magique. Elle
lui (révèle) révéla aussi l'endroit où (est) était emprisonnée la pauvre jeune fille.

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