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États de la région Afrique parties à la Convention de 1972 pour la protection du patrimoine mondial,
culturel et naturel
ICOMOS
Département fédéral des affaires étrangères DFAE
Federal Department of Foreign Affaires FDFA
ICCROM
ÉCOLE
DU PATRIMOINE
AFRICAIN
Convention France-UNESCO
pour le patrimoine
Les appellations employées dans cette publication et la présentation des éléments qui y figurent n’impliquent de la
part de l’UNESCO aucune prise de position quant au statut juridique des pays, territoires, villes ou zones, ou de leurs
autorités, ni quant au tracé de leurs frontières ou limites.
L’auteur est responsable du choix et de la présentation des faits figurant dans ce document, de même que des opinions
qui s’y expriment, qui ne coïncident pas nécessairement avec celles de l’UNESCO et n’engagent pas l’Organisation.
CLT-2011/WS/11
Patrimoine mondial
dans la région Afrique
TABLE DES MATIÈRES
2 INTRODUCTION
12 REMERCIEMENTS
2
INTRODUCTION
Cette brochure présente les principaux États parties à la Convention
2002 2007 2011 Évolution
résultats du second cycle de soumission du patrimoine mondial
des rapports périodiques pour la
région Afrique. L’exercice a concerné 37 44 45 +21,6 %
les 44 États parties qui avaient ratifié la
Convention concernant la protection du Biens 57 74 78 +34,5 %
patrimoine mondial, culturel et naturel t $VMUVSFMT 25 38 42 +68 %
de 1972 et les 78 biens du patrimoine
mondial qui étaient inscrits sur la t /BUVSFMT 30 33 32 +6,7 %
Liste du patrimoine mondial lors du
lancement de l’exercice en janvier 2010. t .JYUFT 2 3 4 -
suivant :
whc.unesco.org/fr/sessions/35COM.
Patrimoine
mondial dans
la région Afrique
LA RÉGION AFRIQUE
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Gj
G ersssttad
S. Gjerstad
rrst ad
Les prem
LLes premières propositions d’inscription de biens africains sur la Liste du patrimoine
m S.
iim
Kim
mondial
m ondial datent de 1978, avec l’inscription de 4 biens (sur un total de 13 propositions
©K
d’inscription)
d ’inscrip sur la Liste. Les quatre biens inscrits en 1978 sont les suivants : l’Ile
de
d e Gorée (Sénégal), la Zone de conservation de Ngorongoro (République Unie de
Tanzanie),
T anzanie les Églises creusées dans le roc de Lalibela (Éthiopie), et le Parc national du
Simien
S imien (Éthiopie).
(É Depuis cette date, 74 nouveaux biens du patrimoine mondial ont été
iinscrits
in scrits sur
s la Liste. Les 42 biens culturels, 32 biens naturels et 4 biens mixtes situés à ce
jjour
our dans
dan la région Afrique représentent moins de 9 % des biens inscrits sur la Liste du
patrimoine
p atrimoi mondial qui, en mai 2011, en comptait 911.
Biens culturels de ces biens, et contribuent à leur (critère ix) et contiennent « les habitats
Les biens culturels sont inscrits en revitalisation spirituelle et culturelle. naturels les plus représentatifs et les
application des critères qui les décrivent Leur signification n’a cessé d’évoluer plus importants pour la conservation
comme représentant un « chef-d’œuvre au fil des siècles pour s’adapter aux in situ de la biodiversité biologique »
du génie créateur humain » (critère i), modes de vie successifs, tout en (critère x). Les biens naturels dans
témoignant « d’un échange d’influences servant de marqueurs historiques de la région, d’une grande diversité,
considérable » (critère ii), ou apportant l’identité, de l’appartenance religieuse comprennent des montagnes, des
un « témoignage exceptionnel sur une et de l’appartenance nationale. Sur les déserts, des littorals maritimes, des
tradition culturelle ou une civilisation » 42 biens culturels de la région Afrique, forêts, des savanes, des zones humides,
(critère iii). D’autres offrent « un exemple deux sont actuellement inscrits sur la des lacs et des réseaux fluviaux. Ils
éminent d’un type de construction Liste du patrimoine mondial en péril :
ou d’ensemble architectural ou les Ruines de Kilwa Kisiwani et de Songo ] Réserve de faune à okapis, République
technologique » (critère iv), souvent Mnara (République Unie de Tanzanie) et démocratique du Congo
situés dans un contexte spectaculaire les Tombes des rois du Buganda à Kasubi T Robben Island, Afrique du Sud
« d’établissement humain traditionnel, (Ouganda).
d’utilisation traditionnelle du territoire ou
de la mer » (critère v) et « associés à des
événements ou des traditions vivantes, des Biens naturels
idées ou des croyances » (critère vi). Les 32 biens naturels du patrimoine
mondial situés dans la région Afrique
Certains biens culturels africains représentent une superficie totale de
comportent des éléments 28 720 049 hectares (287 200 km²).
archéologiques et sont uniques Ces biens du patrimoine naturel
© UNESCO/Francesco Bandarin
en ce qu’en même temps, ils sont des aires « d’une beauté naturelle
témoignent d’activités humaines exceptionnelle » (critère vii), « des
et de civilisations anciennes dans exemples éminemment représentatifs
ces domaines, ils demeurent une des grands stades de l’histoire de la
réalité très présente dans la vie Terre » (critère viii), « des exemples
quotidienne des communautés qui éminemment représentatifs de processus
vivent à l‘intérieur et aux alentours écologiques et biologiques en cours »
Patrimoine
mondial dans
la région Afrique
© Martin Gray
4 revêtent une grande importance de Cette catégorie de biens représente 5 %
par la biodiversité, souvent de nature des biens inscrits en Afrique et 14 % de
endémique, qu’ils renferment. Ils leur nombre total dans le monde. Ces
sont aussi des témoignages uniques biens sont répartis dans toute la région :
des changements survenus dans l’Écosystème et paysage culturel relique
les caractéristiques géologiques et de Lopé-Okanda (BCPO
MFTFalaises de
biologiques de la Terre. Bandiagara (pays Dogon) .BMJ
MBZone de
conservation de Ngorongoro (République
Bon nombre de ces biens sont de Unie de Tanzanie), et l’uKhahlamba/
plus en plus menacés par les conflits Parc du Drakensberg (Afrique du Sud).
armés et les pressions dues au Ces biens couvrent de multiples
développement. Actuellement, 12 des utilisations des sols et contiennent
32 biens naturels en Afrique (38 %) des espèces endémiques de faune et
sont inscrits sur la Liste du patrimoine de flore. La répartition géographique
mondial en péril. des biens est représentative de la riche
mosaïque des paysages africains, allant
de falaises et de plateaux sablonneux,
Biens mixtes d’un grand intérêt archéologique et
L’inscription des quatre biens mixtes de géologique, où se conjuguent éléments
la région Afrique répond à des critères architecturaux, diversité biologique et
qui conjuguent notamment le génie peintures rupestres historiques, à des
créateur humain et des phénomènes forêts tropicales ombrophiles denses
naturels remarquables ou des aires et parfaitement conservées et des
d’une beauté naturelle et d’une environnements de savane relique qui
S Sanctuaire Binu, Falaises de Bandiagara importance esthétique remarquables, renferment la trace du passage successif
(pays dogon), Mali
qui contribuent à la compréhension de des différents peuples ayant vécu dans
l’histoire de la Terre. ces environnements.
(VJOÏF$ÙUFE*WPJSF 3ÏTFSWFOBUVSFMMFJOUÏHSBMFEV.POU/JNCB /
1992
/JHFS 3ÏTFSWFTOBUVSFMMFTEFM"ÕSFUEV5ÏOÏSÏ /
1992
Sénégal 1BSDOBUJPOBMEV/JPLPMP,PCB /
2007
Sous-région Afrique de l’Est
Éthiopie 1BSDOBUJPOBMEV4JNJFO /
1996
$/
République Unie de
3VJOFTEF,JMXB,JTJXBOJFUEF4POHP.OBSB $
2004
Tanzanie
Ouganda Tombes des rois du Buganda à Kasubi (C) 2010
C = Bien culturel
/#JFOOBUVSFM
Patrimoine
mondial dans
la région Afrique
© UNESCO/Junko Okahashi
valeur universelle exceptionnelle. Heroes’ Acre lors
de la réunion
sous-régionale
Formation du coordonnateur à Windhoek,
Namibie
régional et de mentors (Paris,
France, 10-11 septembre 2009)
Des cadres juridiques qui, bien faire face à de nouveaux défis et instaurer et gérer des projets de nature
souvent, comportent des similitudes améliorer la protection des sites du à la fois à contribuer à la conservation
et concernent plusieurs secteurs, sont patrimoine culturel et naturel. La prise des biens et à fournir des moyens
en place pour assurer la protection en compte de la Convention dans les d’existence aux communautés locales.
du patrimoine mondial dans la législations nationales applicables,
région. Toutefois, dans bien des cas, la mise à jour et l’harmonisation des Des inventaires du patrimoine culturel
ces cadres juridiques sont inadaptés législations nationales (si besoin est) et naturel dans la région, qui servent
FUPVPCTPMÒUFTFUMFT²UBUTQBSUJFT et sa traduction dans la ou les langues de base à l’élaboration des Listes
indiquent que les capacités de mise locales, facilitera son intégration dans indicatives nationales, n’ont été
en œuvre et d’application sont le cadre général de la planification dressés que par un nombre modeste
limitées. Il est généralement admis nationale. Il est important que les d’États parties. Bien que 37 États
qu’une mise à jour périodique de la institutions nationales responsables parties déclarent posséder des Listes
législation est indispensable pour de la mise en œuvre de la Convention indicatives, la quasi-totalité des États
aient connaissance des autres parties de la région prévoient de mettre
législations nationales susceptibles à jour leurs Listes indicatives dans les
d’être applicables à la protection du six prochaines années. Les inventaires
patrimoine (telles que textes de loi en nationaux et les Listes indicatives
matière d’urbanisme, d’exploitation doivent être complétés et mis à jour
forestière, d’exploitation minière, de régulièrement, conformément aux
planification de l’environnement, orientations fixées. La mise à jour des
etc.) pour garantir la meilleure Listes indicatives devrait être effectuée
protection possible de biens du en tenant compte des initiatives
patrimoine. Il est nécessaire de mettre d’harmonisation régionale, ainsi que des
en correspondance ces législations analyses thématiques et des analyses
complémentaires et la législation EFTMBDVOFTSÏBMJTÏFTQBSM*$0.04
© Ole Søe Eriksen
© Eric Lodé
© UNESCO/Ishanlosen Odiaua
région doit aller au-delà des inventaires la majorité des 14 biens inscrits sur
de base et reposer sur des recherches cette liste en Afrique sont situés dans
menées à tous les niveaux et en tenant des zones de conflit ou de post-conflit.
compte des lacunes identifiées lors Des recommandations doivent être
d’activités antérieures. formulées et des efforts déployés en
coordination avec les organismes
Patrimoine mondial et besoins politiques de la région qui contribuent
de développement : La région au rétablissement de la paix dans
Afrique connaît actuellement une les pays concernés, afin d’assurer la
Engagement des communautés et évolution considérable en matière protection appropriée des biens en
avantages du patrimoine mondial : de développement. Il est urgent cause et leur conservation à long terme.
Les systèmes de gestion traditionnels que des solutions soient apportées,
facilitent considérablement la à l’échelon politique et à l’échelon
] Port de la ville de pierre de Zanzibar, Tanzanie
conservation, la protection et la gestion opérationnel, aux problèmes de gestion
de biens du patrimoine mondial et de conservation du patrimoine T Citerne d’eau, l’île de Mozambique,
Mozambique
dans la région, et les communautés mondial résultant des pressions liées
locales et les populations autochtones au développement dans la région. Les
devraient être étroitement associées études d’impact sur l’environnement
à ces activités en vue de garantir conduites en lien avec des projets
la durabilité à long terme des sites. de développement et d’utilisation
Qui plus est, leur participation de ressources matérielles doivent
devrait se traduire par des avantages porter une attention particulière aux
économiques et sociaux tangibles, ce incidences de ces activités sur les biens
qui implique aussi un engagement du patrimoine. Une réunion spéciale sur
accru de la part des acteurs du secteur la coexistence du patrimoine mondial,
privé en tant que partenaires dans la des activités de développement et de
gestion et la conservation efficaces du l’extraction des ressources physiques
patrimoine mondial. Les universités dans la région Afrique devrait être
régionales devraient se voir confier un organisée. Il est nécessaire que les
rôle essentiel dans le développement gouvernements des États de la
de programmes de recherche sur le région adoptent une stratégie plus
patrimoine mondial, auxquels devraient rationnelle en matière d’urbanisme et
participer les communautés locales et d’aménagement du territoire afin de
les populations autochtones en tant parvenir à un meilleur équilibre entre
© UNESCO/Carole Darmouni
10
BESOINS DE RENFORCEMENT
DES CAPACITÉS
© UNESCO/Lazare Eloundou
Mobilisation des
pour les membres des communautés
communautés locales sur les lieux et à proximité
La participation des communautés des biens. Le renforcement des
locales à la gestion des sites est capacités doit prendre en compte les
reconnue par les États parties comme avantages socioéconomiques directs
essentielle pour l’application des de la conservation du patrimoine pour
législations en vigueur, la conservation les communautés, en affrontant le
des sites et la documentation des dilemme que constitue le choix à faire
pratiques de gestion traditionnelles. Les entre les avantages procurés par de
systèmes d’apprentissage traditionnels grands projets de développement et les
disparaissent progressivement, ce avantages à long terme découlant de
TTS Tombeaux des rois du Buganda à Kasubi, qui se traduit par une discontinuité mesures de conservation.
Ouganda (avant et après mars 2010)
dans les techniques, connaissances et
compétences locales. Il faut combler
cette lacune de toute urgence, car ces Préparation aux risques
systèmes de savoir sont cruciaux pour Les graves dégâts causés en 2010
assurer des pratiques de conservation par un incendie aux Tombeaux
efficaces, et les jeunes membres des rois du Buganda, en Ouganda,
des populations locales doivent être mettent en évidence l’importance
impliqués. Il est fortement recommandé de la préparation aux risques. Les
© UNESCO/Lazare Eloundou
© UNESCO/Bénédicte Leclercq
11
© Thierry Joffroy
sont des risques auxquels il faut se sur les besoins du patrimoine mondial.
préparer et qui doivent être pris en Les gestionnaires de site doivent être
considération dans la planification à dotés des moyens leur permettant
moyen et long terme. La préparation d’appliquer comme il convient les
aux risques devient aussi de plus résultats des recherches de haut niveau
en plus importante à mesure que effectuées sur des biens du patrimoine
le changement climatique pose mondial à des fins de gestion. Le
de nouveaux défis en termes de personnel des sites doit en outre être
conservation et de gestion des biens. capable d’effectuer des recherches de
Les efforts de renforcement des niveau peu élevé propres à faciliter
capacités à cet égard doivent faire appel la prise de décisions en matière de
à la participation pleine et entière des gestion, sur la base de faits scientifiques.
communautés locales. En dehors de ce qui doit être fait au
niveau institutionnel, les communautés
locales et autochtones peuvent
Application des cadres jouer un rôle considérable dans la S Réunion de consultation dans la vieille ville de Djenné,
Mali
législatifs et des politiques conservation des biens du patrimoine
Les moyens d’appliquer et de faire mondial s’appuyant sur des pratiques T Parc national de Kahuzi-Biega, République
démocratique du Congo
respecter les cadres législatifs doivent ancestrales.
être renforcés. Au niveau législatif et
politique national, il est absolument
indispensable de revoir les cadres Questions diverses
existants à la lumière des problèmes Des besoins existent aussi touchant
que rencontre actuellement la gestion l’éducation, l’interprétation des sites,
du patrimoine. Les capacités de mise la promotion, la gestion des visiteurs
en œuvre des cadres législatifs et et le tourisme. Les questions liées à la
des mesures de sécurité doivent être sortie d’un conflit et au genre dans la
renforcées avec la pleine participation gestion des biens du patrimoine naturel
des organes de sécurité et des et culturel de la région sont aussi
communautés locales. importantes. La création de réseaux
© UNESCO/Guy Debonnet
12
REMERCIEMENTS
Le Centre du patrimoine mondial souhaite institutions régionales de formation –
exprimer sa gratitude aux États parties de la le Centre pour le développement du
région Afrique ayant participé à cet exercice, patrimoine en Afrique (CHDA, Centre for
pour la diligence, les efforts, l’engagement Heritage Development in Africa) et l’École
permanent et l’assiduité au travail dont ils ont du Patrimoine Africain (EPA) – pour leur
fait preuve pour le mener à bonne fin. participation active et pour la stratégie de
renforcement des capacités qu’elles ont
Le Centre du patrimoine mondial exprime élaborées sur la base des résultats du second
TBSFDPOOBJTTBODFBVY(PVWFSOFNFOUT cycle de soumission de rapports périodiques.
du Sénégal, du Kenya, du Cameroun, de
MB/BNJCJFFUEFM"GSJRVFEV4VEQPVS Le Centre du patrimoine mondial tient,
l’hospitalité chaleureuse et généreuse en outre, à saluer le rôle particulièrement
qu’ils ont réservée aux participants des utile joué par le coordonnateur régional et
diverses réunions régionales et sous- les quatre mentors sous-régionaux dans la
régionales qu’ils ont accueillies. Il salue tout coordonation de cette activité et qui ont
particulièrement l’initiative spéciale qu’a garanti le plein succès, ainsi que la précieuse
QSJTFMF(PVWFSOFNFOUEFM"GSJRVFEV4VE
contribution des points focaux nationaux et
en dehors du Plan d’action de Dakar, en des gestionnaires de sites, durant la mise en
accueillant une réunion de la sous-région œuvre de l’exercice.
Afrique australe en mars 2010.
Il y a lieu enfin de mentionner l’esprit
Le second cycle de soumission des rapports d’équipe dont l’Unité Afrique du Centre du
périodiques pour l’Afrique a été possible patrimoine mondial a fait preuve au service
grâce aux généreuses contributions de l’actualisation du Rapport périodique.
mOBODJÒSFTEFT(PVWFSOFNFOUTEFMB4VJTTF
EFT1BZT#BT
EFMB/PSWÒHFFUEFMB'SBODFFU t -B[BSF&MPVOEPV$Ief de la Section
EV'POETQPVSMFQBUSJNPJOFNPOEJBMBGSJDBJO Afrique, Centre du patrimoine mondial
t *TIBOMPTFO0EJBVB4QÏDJBMJTUFEV
Le Centre du patrimoine mondial adresse programme, Section Afrique, Centre du
ses remerciements aux organisations patrimoine mondial
consultatives auprès du Comité du t 0MF4F&SJLTFO$POTFJMMFS
'POEBUJPO
patrimoine mondial – le Conseil international nordique du patrimoine mondial
EFTNPOVNFOUTFUEFTTJUFT *$0.04
t /BOB5IJBN%JBSSB"TTJTUBOUF
le Centre international d’études pour la administrative, Section Afrique, Centre du
conservation et la restauration des biens patrimoine mondial
DVMUVSFMT *$$30.
FUM6OJPOJOUFSOBUJPOBMF t -BVSB'SBOL$POTVMUBOUF
4FDUJPO"GSJRVF
QPVSMBDPOTFSWBUJPOEFMBOBUVSF 6*$/
o Centre du patrimoine mondial
pour leur soutien continu et leur participation t #FBUSJ[*HMFTJBT4UBHJBJSF
4FDUJPO"GSJRVF
active tout au long de l’exercice. Centre du patrimoine mondial
t #ÏOÏEJDUF-FDMFSDR$POTVMUBOUF
4FDUJPO
Il tient à remercier tout spécialement la Afrique, Centre du patrimoine mondial
'POEBUJPOOPSEJRVFEVQBUSJNPJOFNPOEJBM t +VOLP0LBIBTIJ4QÏDJBMJTUFBEKPJOUFEV
qui a fourni son assistance technique durant programme, Section Afrique, Centre du
la totalité de l’exercice et a, en particulier, patrimoine mondial
apporté sa contribution inestimable à la t ,BEFS0VFESBPHP$POTVMUBOU
4FDUJPO
mise en forme définitive de l’analyse des Afrique, Centre du patrimoine mondial
données recueillies dans le Questionnaire t +BOB8FZEU4QÏDJBMJTUFBEKPJOUFEV
de rapport périodique et du rapport final. programme, Section Afrique, Centre du
Sa reconnaissance va également aux patrimoine mondial
© UNESCO/Benedicte Leclercq
dans la région Afrique
PRINCIPAUX RÉSULTATS : SECOND CYCLE DU RAPPORT DU SUIVI PERIODIQUE
COUVERTURE
QUATRIÈME DE COUVERTURE