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Le théâtre européen de la Seconde Guerre
mondiale est le principal théâtre militaire pendant la Théâtre européen de la
Seconde Guerre mondiale. La zone géographique Seconde Guerre mondiale
est le lieu de violents combats à travers toute
l'Europe pendant près de six ans, commençant par
l'invasion de la Pologne par l'Allemagne le 1er
septembre 1939 et s'achevant par la conquête de la
majeure partie de l'Europe occidentale par les Alliés
occidentaux, l'Union soviétique conquérant la
majeure partie de l'Europe de l'Est, aboutissant à la
capitulation inconditionnelle du Troisième Reich le
8 mai 1945 (Jour de la Victoire en Europe). Les
puissances alliées ont combattu les puissances de
l'Axe sur deux fronts majeurs (le front oriental et le
front occidental) ainsi que dans une offensive de
bombardement stratégique et sur le théâtre adjacent Carte animée montrant la séquence des événements du
de la Méditerranée et du Moyen-Orient. théâtre européen tout au long de la Seconde Guerre
mondiale. Rouge : Alliés occidentaux et Union soviétique
Événements précédents après 1941 ; Vert : Union soviétique avant 1941 ; Bleu :
Forces de l'Axe
Les Britanniques rejettent plusieurs tentatives allemandes secrètes de négociation de paix. L'Allemagne
masse son armée de l'air dans le nord de la France occupée par les Allemands pour préparer la voie à une
éventuelle invasion, nom de code Opération Seelöwe (« Lion de mer »), estimant que la supériorité aérienne
est essentielle pour l'invasion. Les opérations de la Luftwaffe contre la Royal Air Force sont connues sous le
nom de bataille d'Angleterre. Initialement, la Luftwaffe se concentre sur la destruction des bases et des
avions de la RAF au sol et dans les airs, se tournant ensuite vers une campagne de bombardement des
grandes villes industrielles britanniques sous le nom de Blitz. Constatant leur incapacité à vaincre la chasse
adverse et la destruction quotidienne des barges de débarquement dans les ports de la Manche, Adolf Hitler
reconnait son échec et renonce le 12 octobre à son projet d'invasion.
Pendant le Blitz, tous les principaux sites industriels, cathédrales et politiques de Grande-Bretagne ont été
lourdement bombardés. Londres a particulièrement souffert, étant bombardée chaque nuit pendant plusieurs
mois. D'autres cibles comprennent Birmingham et Coventry, et des villes stratégiquement importantes, telles
que la base navale de Plymouth et le port de Kingston upon Hull. En l'absence de forces terrestres en conflit
direct en Europe, la guerre aérienne attire l'attention du monde entier alors même que les unités navales
livrent la bataille de l'Atlantique et qu'un certain nombre de raids commandos britanniques touchent des
cibles en Europe occupée.
Guerre aérienne
La guerre aérienne sur le théâtre européen débute en 1939.
Après l'abandon d'une invasion du Royaume-Uni, la majeure partie de la force de la Luftwaffe est
détournée vers la guerre contre l'Union soviétique, laissant les villes allemandes vulnérables aux
bombardements aériens britanniques et plus tard américains. La Grande-Bretagne est utilisée par les États-
Unis et d'autres forces alliées comme base à partir de laquelle le débarquement du jour J sera planifié en juin
1944, libérant l'Europe occidentale occupée par les nazis. Néanmoins, les raids allemands se poursuivent
sur les villes britanniques, bien qu'à une échelle plus petite et moins destructrice pour le reste de la guerre,
en utilisant la bombe volante V1 et le missile balistique V-2. Le RAF Bomber Command gagnant en
puissance, l'équilibre du tonnage de bombes larguées s'est considérablement déplacé en faveur de la RAF.
Les bombardements britanniques de jour ont entraîné de lourdes pertes pour trop peu de résultats, et dans ce
contexte de changement de stratégie, les Britanniques décident d'opérer de nuit tout en renforçant leur force
stratégique avec des bombardiers plus gros. En 1942, le Bomber Command pouvait déployer 1 000
bombardiers sur une ville allemande.
Au début des raids de l'opération Barbarossa, la Luftwaffe anéantit la majorité des forces aériennes
soviétiques. Les Soviétiques ne retrouveront leur escadre aérienne que plus tard dans la guerre avec l'aide
des États-Unis.
À partir de 1942, les efforts du Bomber Command sont complétés par la 8e force aérienne de l'USAAF, des
unités de l'armée de l'air américaine étant déployées en Angleterre pour se joindre à l'assaut contre l'Europe
continentale le 4 juillet 1942. Le Bomber Command effectuait des raids de nuit et les forces américaines de
jour. Les raids sur Hambourg (24 juillet 1943 – 29 juillet 1943) provoqueront une tempête de feu entraînant
des destructions massives et des pertes en vies humaines.
Le 14 février 1945, un raid sur Dresde produit l'un des incendies les plus dévastateurs de l'histoire. Une
24, 25, 26
tempête de feu avec des vents de la force d'une tornade tue entre 18 000 et 25 000 personnes . Seuls
le bombardement de Hambourg, les bombardements incendiaires de Tokyo du 9 au 10 mars 1945 et les
attaques nucléaires sur Hiroshima (6 août 1945) et Nagasaki (9 août 1945) ont fait le plus de victimes en
une seule attaque.
Les combats en Europe du Sud ne reprennent que lorsque les forces de l'Axe sont vaincues en Afrique du
Nord. Après la défaite des forces de l'Axe en Afrique, les forces alliées envahissent l'Italie et, au cours d'une
campagne prolongée, se frayent un chemin vers le nord à travers l'Italie. L'invasion de l'Italie entraîne le
changement de camp de la nation vers les Alliés et l'éviction de Mussolini. Mais, malgré ce coup d'État, les
fascistes et les forces d'occupation allemandes conservent la possession de la moitié nord de l'Italie. Dans le
Nord de l'Italie, les occupants allemands installent Mussolini à la tête du nouveau gouvernement républicain
fasciste, la République sociale italienne.
De l'autre côté de la mer Adriatique, l'Armée de libération nationale alliée (et principalement pro-soviétique)
en Yougoslavie combat les puissances de l'Axe avec l'aide de fournitures des Alliés occidentaux. À la fin de
1944, ils sont rejoints par l'avancée de l'armée soviétique qui poussent les forces allemandes restantes hors
des Balkans.
En avril 1945, les forces allemandes se retirent sur tous les fronts du nord de l'Italie et de la Yougoslavie
occupée, à la suite d'attaques alliées continues. La campagne et les combats sur le théâtre méditerranéen et
moyen-oriental s'achèvent le 29 avril. Le 2 mai en Italie, le Generaloberst Heinrich von Vietinghoff,
commandant en chef des forces allemandes du pays, se rend au field marshal Harold Alexander,
commandant suprême des forces alliées dans la région méditerranéenne. Cependant, dans un contexte de
guerre froide, les combats se poursuivent en Grèce où une guerre civile éclate, s'achevant en 1949 lorsque
les troupes gouvernementales grecques, aidées par les États-Unis et la Grande-Bretagne, battent les
guérilleros communistes soutenues par le maréchal Tito et l'URSS.
Front de l'Est
Au cours de leur longue retraite, les Soviétiques appliquent une politique de la terre brûlée, en éliminant les
récoltes et détruisant les services publics, ce qui contribuera aux problèmes logistiques que l'Allemagne
rencontre. Plus important encore, les Soviétiques ont également réussi à déplacer massivement et sans
précédent leurs ressources industrielles de la zone de guerre menacée vers des zones protégées plus à l'est.
L'extension de la campagne au-delà de la durée prévue par l'Allemagne provoquera des centaines de
milliers de morts au sein de l'armée allemande, victimes des conditions hivernales et des contre-attaques des
unités soviétiques.
Même si leur avance s'arrête en raison d'un manque de ravitaillement et de l'arrivée de l'hiver, l'Allemagne
avait conquis un vaste territoire, dont les deux cinquièmes de l'économie soviétique. Les déloger s’avéra
être difficile, au prix d'un coût extrêmement élevé pour l'Union soviétique.
Quelques mois après le début de l'invasion, les troupes allemandes atteignent les approches sud de
Leningrad et assiègent la ville, également bloqué au nord par les forces finlandaises.Le maréchal finlandais
Mannerheim stationne le long des rives du Svir en s'abstenant d'attaquer la ville. Selon les ordres d'Hitler, la
ville doit « disparaître de la surface de la terre » en exterminant toute sa population. Plutôt que de prendre
d'assaut la ville, la Wehrmacht reçoit l'ordre de bloquer Leningrad afin d'affamer la ville à mort, tout en
l'attaquant avec des bombardiers et de l'artillerie. Environ un million de civils décéderont dans le siège de
Leningrad, dont 800 000 de faim. Le siège dura 872 jours. Le ravitaillement parviendra désormais aux
Russes par bateaux pendant une partie de l'année et chaque hiver, ils seront ravitaillés par le lac Ladoga
gelé, par la « route de la vie », ce qui leur permettra de tenir.
Lors de l'opération Uranus, les Soviétiques vainquent les forces de l'Axe alors qu'elles effectuent une
opération d'encerclement massive. Les troupes de l'Axe restées dans la ville sont piégées — coupées de
leurs lignes d'approvisionnement et affamées, au milieu d'un hiver rigoureux — recevant de la part d'Hitler
de continuer le combat jusqu'au dernier homme.
Après Stalingrad, le vent de la guerre tourne du côté des Soviétiques. Une contre-attaque désespérée au
printemps 1943 par les forces du maréchal Erich von Manstein stoppe temporairement leur avance. La
bataille de Koursk est la dernière grande offensive de l'armée allemande sur le front oriental. Les
Soviétiques étaient au courant de ce qui allait arriver et ceux-ci préparèrent des défenses massives en
profondeur dans le saillant de Koursk. Ils parviennent à stopper les assauts blindés allemands après une
percée d'un peu plus de 50 km. Après Koursk, l'Armée rouge prend définitivement le dessus en étant
généralement à l'offensive pour le reste de la guerre. La grande échelle de l'Union soviétique lui permet de
surmonter des pertes élevées de main-d'œuvre et d'équipement. Le succès soviétique suscita une initiative
alliée plus réussie sur le front occidental de l'Europe parce que l'Allemagne nazie s'enlisa dans une guerre
défensive coûteuse à l'Est, défendant son territoire occupé de plus en plus réduit.
Les pertes civiles soviétiques pendant la Seconde Guerre mondiale dépassent celles de tous les autres pays
européens réunis. L'idéologie nazie considérait les Slaves comme des « sous-humains » et les
Einsatzgruppen commettaient des meurtres de masse ethniquement ciblés. Des civils furent rassemblés et
brûlés vifs ou abattus en escouades dans de nombreuses villes conquises par les nazis. Au moins 27 millions
de personnes (civiles et militaires) ont péri pendant la guerre.
8 millions de soldats de l'Armée rouge sont tués au combat face aux Allemands et à leurs alliés sur le front
de l'Est. Les forces de l'Axe ont perdu plus de 6 millions de soldats, que ce soit au combat ou à la suite de
blessures, de maladies, de famine ou d'exposition ; beaucoup d'autres ont été faits prisonniers de guerre,
28
environ 10% d'entre eux sont morts en captivités .
Le prêt-bail du Royaume-Uni et des États-Unis ont eu un impact très important sur les forces militaires
soviétiques. Des convois de ravitaillement ont navigué vers des ports soviétiques traqués par des sous-
marins allemands.
L'opération Overlord est complétée par une invasion du Sud de la France le 15 août 1944, connue sous le
nom de code d'opération Dragoon. En septembre 1944, trois groupes d'armées alliées sont déployés en
ligne contre les formations allemandes à l'ouest. Certains espéraient par ces opérations de mettre
prématurément fin à la guerre d'ici la fin de 1944.
Dans ce contexte, l'opération Market Garden (17 septembre 1944 – 25 septembre 1944) est lancée. Les
Alliés tentent de s'emparer des ponts par un assaut aéroporté, afin d'ouvrir la voie vers l'Allemagne et de
libérer le nord des Pays-Bas. Cependant, l'opération échoue suite à l'excès d'optimisme des généraux
britanniques, qui ont sous-estimés les forces allemandes présentes dans la zone.
Le temps de 1944 combiné à une mauvaise situation pour les Alliés conduit à une situation stagnante sur le
front ouest, les Américains par exemple mènent une série de très durs combats contre les forces allemandes
lors de la bataille de la forêt de Hürtgen (19 septembre 1944 – 10 février 1945). L'Allemagne restant sur la
défensive, tout avance alliée se fait dans des conditions difficiles.
La donne change lorsque l'Allemagne tente une contre-offensive majeure le 16 décembre 1944. L'offensive
des Ardennes, également appelée bataille des Ardennes, repousse et encercle quelques petites unités
américaines. Les forces alliées parviennent finalement à refouler la Wehrmacht au-delà de leur ligne de
départ, dans ce qui s’avérera être leur dernière action offensive de grande ampleur de la guerre. La bataille
s'achève officiellement le 27 janvier 1945.
Le dernier obstacle rencontré pour les Alliés est naturel, le fleuve du Rhin. Le cours d'eau est franchit en
mars 1945, ouvrant la voie vers le centre de l'Allemagne. Les dernières grandes forces allemandes à l'ouest
sont encerclées et piégées dans la Ruhr.
Fin juillet et août 1945, la conférence de Potsdam dissous officiellement l'ancien État allemand nazi, annule
toutes les annexions allemandes et les territoires occupés. Le pays est alors placé sous le régime de
l'occupation militaire, avec à sa tête un Conseil de contrôle allié (installé le 5 juin 1945) qui assure les
fonctions gouvernementales, chargé également de dénazifier et de démilitariser cette Allemagne en ruine.
Notes et références
(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais
intitulé « European theatre of World War II (https://en.wikipedia.org/wiki/European_theatre_
of_World_War_II?oldid=1051644418) » (voir la liste des auteurs (https://en.wikipedia.org/wiki/Europe
an_theatre_of_World_War_II?action=history)).
Notes
a. à partir de 1941
b. à partir de 1941
c. jusqu'en 1940
d. à partir de 1940
e. à partir de 1943
f. à partir de 1942
g. jusqu'au 8 septembre 1943
h. jusqu'au 23 août 1944
i. jusqu'au 17 août 1944
j. 25 juin 1941-19 septembre 1944
k. à partir du 23 septembre 1943
l. Le Régime de Vichy poursuit officiellement une politique de neutralité armée et mène des
actions militaires contre les incursions armées des belligérants de l'Axe et des Alliés. Le
cessez-le-feu et le serment d'allégeance aux Alliés des troupes vichystes en Afrique du Nord
française lors de l'opération Torch ont convaincu l'Axe d'un besoin de changement de
politique, envahissant et occupant l'État fantoche français en novembre 1942. Des unités
collaborationnistes, comme la Milice française, ont continué à combattre aux côtés des
troupes allemandes contre les résistants français jusqu'à la libération de la France en 1944.
m. Le total des soldats allemands s'étant rendus à l'Ouest, dont 3 404 950 s'étant rendus après
la fin de la guerre, est de 7 614 790. Ajouté aux décès s'étalant de 263 000 à 655 000, soit un
total approximatif de 8 millions de soldats allemands ayant servi sur le front occidental en
1944-1945 4.
n. Ellis :
Danois : pas de chiffres
Norvégiens : 2 000 tués ou disparus sans aucune information sur les blessés ou
capturés
Néerlandais : 2 890 tués ou disparus, 6 900 blessés, aucune information fournie sur les
personnes capturées
Belges : 7 500 tués ou disparus, 15 850 blessés et 200 000 capturés
Français : 120 000 tués ou disparus, 250 000 blessés et 1 450 000 faits prisonniers
Britanniques : 11 010 tués ou disparus, 14 070 blessés (seuls ceux ayant été évacués
ont été comptés), et 41 340 faits prisonniers. 5, 6
o. Les chiffres d'Ellis :
Américains : 109 820 tués ou disparus, 356 660 blessés et 56 630 capturés ;
Britanniques : 30 280 tués ou disparus, 96 670 blessés, 14 700 capturés ;
Canadiens : 10 740 tués ou disparus, 30 910 blessés, 2 250 capturés;
Français : 12 590 tués ou disparus, 49 510 blessés, 4 730 capturés ;
Polonais : 1 160 tués ou disparus, 3 840 blessés, 370 capturés 4. Ainsi, selon les
informations d'Ellis, les Alliés occidentaux ont subi 783 860 pertes.
Répartition US Army / Air Forces :
Selon une étude de l'armée américaine d'après-guerre utilisant les dossiers de guerre,
l'armée et les forces aériennes de l'armée des États-Unis ont subi 586 628 victimes en
Europe occidentale, dont 116 991 tués au combat et 381 350 blessés, dont 16 264 sont
morts plus tard de leurs blessures 7.
Le nombre total de victimes américaines s'élève à 133 255 tués, 365 086 blessés, 73 759
capturés et 14 528 disparus, dont deux mille ont ensuite été déclarés morts.
p. 43 110 Allemands tués ou portés disparus, 111 640 blessés, aucune information n'est fournie
sur ceux ayant été capturés. Les pertes italiennes s’élèvent à 1 250 tués ou disparus, 4 780
blessés, et aucune information n'est fournie sur ceux ayant été capturés 5.
q. Le total des pertes allemandes entre septembre 1939 et le 31 décembre 1944, sur le front
occidental pour l'armée, les Waffen SS et les volontaires étrangers s'élève à 128 030 tués,
399 860 blessés. 7 614 790 étaient détenus dans des camps de prisonniers de guerre au
début du mois de juin 1945 (dont 3 404 950 ayant été désarmés après la capitulation de
l'Allemagne) 4. Voir également : Disarmed Enemy Forces (en))
r. Tous les totaux répertoriés n'incluent que les décès directs dus aux activités militaires et aux
crimes contre l'humanité, y compris la Shoah 11.
Allemagne : 910 000. 410 000 lors des les bombardements stratégiques alliés, 300 000
dans la Shoah sans compter les morts de civils autrichiens ou les morts de l'Aktion T4 12.
L'Aktion T4 a fait plus de 200 000 mort au total 13.
France : 390 000 14. Inclus 77 000 Juifs français morts dans la Shoah.
Pays-Bas : 187 300 15. Inclus 100 000 Juifs néerlandais morts dans la Shoah.
Belgique : 76 000 16. Inclus 27.000 Juifs belges morts dans la Shoah.
Royaume-Uni : 67 200 17. La plupart sont morts dans les bombardements allemands.
Norvège : 8 200 18. Inclus 800 Juifs norvégiens morts dans la Shoah 18.
Danemark : 6 000 19.
Luxembourg : 5 000. Inclus 2 000 Juifs luxembourgeois morts dans la Shoah 20.
Références
Voir aussi
Sur les autres projets Wikimedia :
Théâtre européen de la Seconde Guerre
mondiale (https://commons.wikimedia.or
g/wiki/Category:European_theatre_of_W
orld_War_II?uselang=fr), sur Wikimedia
Commons
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