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UNIVERSITE IBN ZOHR

École nationale des sciences appliquées

Polycopié d’exposé
SUR :

chauffage élément de
dimensionnement et notion de
confort

filière :
EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE ET CONTRÔLE DE BÂTIMENT

RÉALISER PAR :
CHAHID MERYEM
AMINI ALAOUI MOUHCINE

ENCADRE par :
PROF.TIHAL
2021/2022

;
Table des matières

1 Notion de confort thermique 4


1.1 introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
1.2 La température ambiante (ou de consigne) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
1.3 La température des parois . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
1.4 Le mode chauffage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
1.4.1 La production de la chaleur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
1.4.2 Les variations de températures . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
1.4.3 La distribution de la chaleur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
1.4.4 L’humidité relative de l’air (hygrométrie) . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
1.5 Les mouvements d’air . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
1.6 L’occupant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
1.7 Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6

2 Étude de cas 7
2.1 Le climat de ifran . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
2.2 plan de la maison avec autoCAD . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
2.2.1 autoCAD . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
2.2.2 plan 2D . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
2.3 plan de la maison en sketchup . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
2.3.1 plan 3D . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
2.4 calcul de déperdition avec excel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
2.4.1 matériaux de construction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10
2.4.2 calcul . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
2.5 besoin on chauffage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
2.6 calcul de déperdition avec trnsys . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
2.6.1 résultat . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
Introduction

Compte tenu des changements climatiques signalés ces dernières années et des conditions
météorologiques extrêmes dans les régions intérieures de notre pays ; Les gens souffrent du froid
extrême en hiver, car les anciens systèmes de chauffage (chauffage au combustible solide et / ou
liquide) ne sont plus en mesure de répondre à leurs besoins thermiques pour assurer le confort
des occupants des locaux résidentiels ou scolaires, administratifs ou autres. La politique maro-
caine pousse ses citoyens à adopter des systèmes de chauffage collectifs ou individuels récents
pour tout bâtiment d’habitation, administration ou d’éducation. Les systèmes de chauffage à
eau chaude à énergie solaire sont les plus favorisés dans notre pays. Ces systèmes peuvent sa-
tisfaire le confort thermique des occupants dans la saison hivernale, cela seulement si un bon
dimensionnement est élaboré. C’est dans ce contexte que la présente étude a été menée. Une
étude de conception d’un système de chauffage à eau chaude pour une habitat sera réalisée ce
qui permettra sans doute d’acquérir de l’expérience pour la réalisation d’installations de chauf-
fage basée sur le document technique réglementaire marocaine RTCM. Le calcul de déperditions
sera l’un des objectifs de ce travail. Ces dernières permettront le dimensionnement des radia-
teurs de chaque pièce. L’objectif principal de cette étude est de dimensionner un système de
chauffage à eau chaude d’une maison située dans région d’Ifran.

3
Chapitre 1

Notion de confort thermique

1.1 introduction
Le confort thermique est une sensation liée à la chaleur qui est propre à chacun. En hiver, un
bon confort thermique doit garantir une sensation suffisante de chaleur. En été, il doit limiter
cette chaleur pour éviter les surchauffes. Quels sont les différents critères qui influencent ce
confort thermique et comment obtenir un bon confort thermique ? Voici quelques éléments
de réponses.
— La température ambiante (ou de consigne)
— La température des parois
— Le mode chauffage
— Les mouvements d’air
— L’occupant
— Réponses à vos questions

1.2 La température ambiante (ou de consigne)


’est le premier critère qui vient à l’esprit, qui même s’il est déterminant, n’est pas le seul.
Pour obtenir un confort thermique satisfaisant, il faut paramétrer une température de consigne
suffisante. On a l’habitude de dire que la température ambiante de confort se situe entre 19C
et 20C. Attention à ne pas surchauffer car passer de 20C à 21C entraı̂ne une surconsommation
d’énergie d’environ 7%. La nuit et en période d’inoccupation, cette température pourra être
abaissée de 2 à 3C grâce à la régulation du chauffage.

1.3 La température des parois


La température des parois a une grande influence sur la température ressentie. Pour calculer
simplement la température ressentie, il faut faire la moyenne entre la température des parois
et la température ambiante. Par exemple, pour une température d’ambiance de 20C :
— Cas n1 : Température de paroi de 16C : la température ressentie sera de 18C
— Cas n2 : Température de paroi de 19C : la température ressentie sera de 19,5C

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ENSA-UIZ PROJET

Pour une même température de consigne, le confort thermique sera insuffisant dans le cas 1
et satisfaisant dans le cas 2. Pour augmenter la température des parois, il convient d’isoler
correctement son logement en limitant le plus possible les ponts thermiques. Il faut également
mettre en place des vitrages performants dont la pose aura été soignée.

1.4 Le mode chauffage


1.4.1 La production de la chaleur
Dans le cas d’un chauffage par convection, l’air en mouvement est utilisé pour transférer la
chaleur du système de chauffage vers les occupants. De fait, l’air chaud remonte et l’air froid
reste au niveau du sol. En conséquence, il se crée une stratification de l’air (plus chaud en
haut qu’en bas) qui provoque un inconfort thermique (froid aux pieds). De plus, le chauffage
par convection tend à assécher l’air, ce qui peut être désagréable. On trouve parfois un humi-
dificateur d’air accolé au convecteur pour limiter ce ressenti (réserve d’eau liquide). Aussi, les
convecteurs peuvent accentuer la sensation de courant d’air qui provoque de l’inconfort et oblige
à chauffer plus. Enfin, ces élément de chauffage sont très chauds (autour de 90C sur le corps de
chauffe), ce qui peut poser des problèmes de sécurité chez les enfants. Les  convecteurs  (ou
 grilles pains ) ou autres  soufflants  sont donc à éviter notamment quand les volumes à

chauffer sont importantes.


Dans le cas d’un chauffage par rayonnement, ce sont des ondes infrarouges qui sont utilisées
pour transférer la chaleur du système de chauffage vers les occupants. Il y a peu de stratification
de l’air et le confort thermique est meilleur. Parmi les chauffages par rayonnement, on peut
citer : le plancher chauffant, les poêles de masse (à restitution lente de la chaleur), les radiateurs
électriques à inertie et les radiateurs à eau.
Il existe des modes de chauffage qui utilisent à la fois la convection et le rayonnement, ils ap-
portent un confort thermique satisfaisant. On peut citer : les panneaux rayonnants et les poêles
à granulés.

1.4.2 Les variations de températures


Le confort thermique est meilleur lorsque l’amplitude des températures est faible. On peut
considérer qu’une amplitude de 1C est acceptable. Par exemple, vous réglez la température
de consigne à 20C. Le chauffage va produire de la chaleur jusqu’à atteindre 20.5C, puis ne se
remettra en route qu’à 19.5C. Pour lisser au mieux les températures, il faut mettre en place
une régulation efficace. Dans les faits, tous les modes de chauffage ne sont pas capables d’une
régulation si fine. Pour les poêles à granulés notamment, on accepte une amplitude de 2C. En
été, des protections solaires couplées à une forte inertie thermique évitent les surchauffes.

1.4.3 La distribution de la chaleur


Une bonne homogénéité de la température entre les pièces améliore le confort thermique.
Cette harmonie est plus facile à atteindre lorsqu’il y a plusieurs émetteurs de chaleur (des
radiateurs dans chaque pièce). Dans le cas d’un unique point chaud, comme un poêle à granulés,
les températures sont moins homogènes. De ce fait, il faut limiter la surface chauffée par ces
systèmes. A titre d’exemple, la Réglementation Thermique 2012 limite l’usage d’un poêle à
granulés à une surface de 100m afin d’obtenir une régulation correcte des températures.

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1.4.4 L’humidité relative de l’air (hygrométrie)


Un taux d’humidité situé entre 40% et 60% permet un bon confort thermique. Avec un taux
d’humidité élevé, on aura tendance a augmenté la température de consigne (surconsommation
d’énergie). A l’inverse, on aura tendance à diminuer la température de consigne dans un envi-
ronnement plus sec (maisons RT 2012 notamment) mais il n’est pas recommandé de descendre
en dessous de 40%. Pour réguler au mieux l’humidité, il est nécessaire de mettre en place une
ventilation mécanique contrôlée.

1.5 Les mouvements d’air


Les mouvements d’air accentuent les échanges de chaleur par convection. Par exemple,
quand la météo affiche une température réelle de 0C, la température ressentie peut être de -7C
sous l’effet du vent. L’homme perçoit les mouvements d’air à partir d’une vitesse de 0.2m/s
(0,7 km/h). Pour éviter ces flux d’air, on peut mettre en place une ventilation mécanique qui
assure une vitesse de l’air assez faible. Cette vitesse est plus difficile à gérer dans le cas d’une
ventilation naturelle. Le choix du chauffage est également important (les convecteurs renforcent
les mouvements d’air), de même qu’une bonne étanchéité à l’air du bâtiment, en particulier au
niveau des ouvrants.

1.6 L’occupant
En fonction de sa sensibilité, de son activité et de sa tenue, l’occupant va également avoir
une influence sur le confort thermique. Plus l’occupant a une activité physique soutenue et plus
il est habillé chaudement, plus la température de consigne pourra être faible. Portez des pulls
en hiver est donc un bon moyen de faire des économies d’énergie ! La sensibilité de chacun est
également à prendre en compte. L’âge est une variable importante de ce ressenti (jeunes enfants
et seniors notamment).

1.7 Conclusion
Comment obtenir un bon confort thermique ?
En définitive, c’est l’occupant du logement lui-même qui est le plus apte à définir le  bon
 confort thermique. Ce confort thermique résulte de nombreux paramètres comme les températures

d’ambiance et des parois, les modes de chauffage, le taux d’humidité ou les mouvements d’air.
Pour obtenir un confort thermique satisfaisant, il faut agir au niveau du bâti, des systèmes et
des occupants. Au niveau du bâti, une isolation suffisante et des fenêtres performantes évitent
le phénomène de parois froides et diminuent les mouvements d’air. Au niveau des systèmes,
une température de consigne autour de 19-20C couplée à une bonne régulation et l’utilisation
d’une VMC hygroréglable améliorent le confort thermique, tout en limitant les consommations
d’énergie. Enfin, au niveau des occupants, une tenue adaptée à la saison est indispensable.

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Chapitre 2

élément de chauffage

2.1 Introduction
Les différents types de chauffage, que choisir ?
Il est nécessaire de faire le bon choix pour tout propriétaire ou futur propriétaire, qui veut
pour son habitation, bénéficier d’un bon confort thermique. En effet, il existe plusieurs types
d’équipements énergétiques qui possèdent chacun des avantages et des inconvénients, et doivent
être adaptés à votre logement. Chaudière à gaz, au fioul, à bois, électrique, solaire, poêle à
pellets, à granulés, ou pompe à chaleur : quels avantages et inconvénients pour chaque formule.

2.2 Le chauffage au gaz : une installation économique


Avec environ 40 % des installations domestiques qui fonctionnent au gaz, ce type d’énergie
est la plus utilisée par les ménages français principalement pour des raisons économiques. En
effet, le gaz n’est pas aussi cher que les autres énergies et se révèle être plus propre.
Les modèles de chaudières fonctionnant au gaz assurent d’excellents rendements. Les typologies
d’appareils sont variées : à condensation, à basse température ou encore à haute performance
énergétiques (HPE) : il suffit de faire un choix. D’un point de vue économique, son coût moyen
de 0,066 /kWh en témoigne. Annuellement, le coût moyen en termes de consommation pour
les usagers est d’environ 1056 euros.
D’un point de vue écologique, étant du gaz naturel, son empreinte écologique est plus faible :
234 gCO/kWh.
Seulement, du point de vue du confort, le gaz de par sa combustion, génère une chaleur uni-
forme qui est facile à piloter. Toutefois, l’un des problèmes qui peut se poser avec un dispositif
au gaz est l’accessibilité au réseau. Bien que ce dernier s’étende chaque année, le réseau n’est
pas encore accessible à tous.
Si vous n’avez pas accès au réseau, il vous faudra acheter ou louer une citerne pour profiter
d’un chauffage au gaz.

2.2.1 Se chauffer au gaz naturel


Avantages
— Chaudière fonctionnelle, puisqu’elle se met en route instantanément.

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— Si un raccordement au gaz de ville est disponible, elle nécessite peu d’espace, puisqu’il
n’y a pas besoin de stocker le combustible.
— Convient aux appartements et aux maisons.
— Maintient une température constante dans l’ensemble des pièces à chauffer.
— Crédit d’impôt possible.

Inconvénients
— S’il n’y a pas d’arrivée de gaz naturel, une citerne doit être installée et remplie annuelle-
ment.
— Entretien annuel obligatoire.
— Abonnement à payer en plus de la consommation

Prix
— Le prix moyen d’une chaudière à gaz est de 4.250 .
— Le prix du mètre cube de gaz naturel est d’environ 0,6 .
— Coût moyen annuel des usagers : 1056 .

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Chapitre 3

Étude de cas

la maison étudier se situe dans la ville de Madrid. une maison 1 étage sur sol. 2 chambre
/ séjour / cuisine / salle de banne / toilette / garage / couloir. la température de confort est
22C.

3.1 Le climat de ifran


Le climat de ifran est légèrement continental, avec des hivers modérément froids et relati-
vement pluvieux, et des étés très chauds et ensoleillés.

Figure 3.1 – les températures moyennes

3.2 plan de la maison avec autoCAD


3.2.1 autoCAD
AutoCAD est un logiciel de dessin assisté par ordinateur (DAO) créé en décembre 1982 par
Autodesk. Bien qu’il ait été développé à l’origine pour les ingénieurs en mécanique, il est au-
jourd’hui utilisé par de nombreux corps de métiers. Il est actuellement, selon Forbes, le logiciel
de DAO le plus répandu dans le monde2. C’est un logiciel de dessin technique pluridisciplinaire :

industrie,
système d’information géographique, cartographie et topographie,
électronique,
électrotechnique (schémas de câblage),
architecture et urbanisme,
mécanique.

L’utilisateur peut créer ses propres menus et développer des applications grâce à son langage
Autolisp dérivé de lisp et grâce à VBA. La version allégée, dite LT (Lite) ne dispose toutefois

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pas de cette facilité, ni des fonctions de dessin en trois dimensions, telles que les objets volu-
miques ou surfaciques, ni de la programmation. Cette version simplifiée permet toutefois de les
visualiser.

AutoCAD se décline aujourd’hui en logiciels spécifiques métier ou logiciels  verticaux ,


dont :

AutoCAD Architecture dédié aux dessins d’architecture.


AutoCAD MEP dédié aux dessins d’architecture, mais aussi aux installations techniques dans
un bâtiment (ventilation, sanitaire, chauffage et électricité).

Si ces logiciels sont relativement bien aboutis pour réaliser en toute sérénité des dessins
d’exécutions, ils tendent également à intégrer quelques modules de calculs (pertes de charges
aérauliques...). Ils constituent un pas essentiel vers les outils de type Building Information Mo-
deling (Modèle d’information unique du bâtiment).

3.2.2 plan 2D

Figure 3.2 – plan 2D

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3.3 plan de la maison en sketchup


3.3.1 plan 3D

Figure 3.3 – plan 2D

Figure 3.4 – plan 2D

3.4 calcul de déperdition avec excel


les condition du local :
température extérieure 10C. température intérieur 18C. latitude 50 renouvellement d’air : 600

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m3/h deltaT intérieur = 5C le couleur du local est blanche donc une surface très claire. les
vitre son protéger aves interieur entierement baisses.

3.4.1 matériaux de construction


mur extérieur
mortier : e = 0.02m
briq : e= 0.2m
mortier : e = 0.02m
enduit pla : e= 0.005m
Km=1,24 W/m2.k

mur intérieur
enduit pla : e= 0.005m
mortier : e = 0.02m
briq : e= 0.15m
mortier : e = 0.02m
enduit pla : e= 0.005m
Km=1,48 W/m2.k

plafond
enduit pla : e= 0.005m
mortier : e = 0.02m
beton lourd : e= 0.3m
mortier : e = 0.02m
enduit pla : e= 0.005m
Km=2,47 W/m2.k

plancher bas
carrelage : e=0.02m
mortier : e = 0.02m
beton lourd : e= 0.3m
mortier : e = 0.02m
Km=2,58 W/m2.k

prote
Km=2,29 W/m2.k

fenêtre
Km=1.14 W/m2.k

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3.4.2 calcul
ch1

Figure 3.5 – ch1

ch2

Figure 3.6 – ch2

sejour

Figure 3.7 – sejour

salon

Figure 3.8 – salon

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cuisine

Figure 3.9 – cuisine

WC

Figure 3.10 – WC

SDB

Figure 3.11 – SDB

3.5 besoin on chauffage


le besoin total on chauffage 6333 W

3.6 calcul de déperdition avec trnsys


pour la simulation on trnsys on a commence par le studio.

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Figure 3.12 – trnsys studio

on suit on déclare les composons de chaque mur dans trnbuild.

Figure 3.13 – trnbuild

on suit on déclare les composons de chaque mur dans trnbuild.

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Figure 3.14 – les composons de chaque mur

Figure 3.15 – les composons de chaque mur

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Figure 3.16 – les composons de chaque mur

Figure 3.17 – les composons de chaque mur

3.6.1 résultat
pour la simulation on a chauffe 3 zones ch1 , ch2 , sejour. les graphes du température :

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Figure 3.18 – le graphe du température ch1

Figure 3.19 – le graphe du température ch2

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Figure 3.20 – le graphe du température sejour

pour le besoin de chauffage du trois zones.

Figure 3.21 – le graphe du besoin de chauffage

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conclusion

Une étude de conception d’un système de chauffage à eau chaude d’un habitat situé dans
Ifran a été réalisée, dans le but de fournir l’énergie nécessaire pour répondre aux besoins des
occupants. Il est a signalé que, cette étude été très bénéfique pour nous, car c’était une bonne
expérience pour la réalisation d’installations de chauffage à eau chaude basée sur la méthode
de calcul des pertes thermiques fournies par le document technique RTCM.
Le calcul des déperditions thermiques a permis de dimensionner tous les organes du système de
chauffage. Le travail effectué a permis la conception d’un système de chauffage compte tenu de
ces propriétés thermodynamiques et ces avantages précieux. Il convient de noter que la concep-
tion des éléments chauffants a été réalisée en majorant les pertes thermiques de chaque local .
Une telle augmentation compense sans aucun doute le mauvais dimensionnement des radiateurs
à installer, notamment en raison de la faible isolation de ces locaux.
Un bon contrôle de la température dans ces pièces permettra de réduire la consommation
d’énergie, permettant ainsi la protection de la chaudière et du brûleur de cette installation. En
perspective, l’étude et la réalisation d’un réseau de chauffage solaire sera une future solution
pour les bâtiments ; dont le seul inconvénient est la maintenance qualifiée de tel réseau.

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