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UNIVERSITE IBN ZOHR

École nationale des sciences appliquées

Polycopié d’exposé
SUR :

chauffage élément de
dimensionnement et notion de
confort

filière :
EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE ET CONTRÔLE DE BÂTIMENT

RÉALISER PAR :
CHAHID MERYEM
AMINI ALAOUI MOUHCINE

ENCADRE par :
PROF.TIHAL
2021/2022

;
Table des matières

1 Notion de confort thermique 5


1.1 introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
1.2 La température ambiante (ou de consigne) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
1.3 La température des parois . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
1.4 Le mode chauffage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
1.4.1 La production de la chaleur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
1.4.2 Les variations de températures . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
1.4.3 La distribution de la chaleur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
1.4.4 L’humidité relative de l’air (hygrométrie) . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
1.5 Les mouvements d’air . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
1.6 L’occupant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
1.7 Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7

2 élément de chauffage 8
2.1 Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
2.2 Le chauffage au gaz : une installation économique . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
2.2.1 Se chauffer au gaz naturel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
2.2.2 Déperdition thermique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10
2.2.3 les déperditions par pont thermique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
2.2.4 mode de transfert de chaleur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
2.2.5 les déperditions par renouvellement d’air . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
2.3 Le chauffage au fioul . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
2.3.1 Se chauffer au fioul . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
2.4 Le chauffage électrique : l’équipement le plus adopté sur le marché . . . . . . . . 13
2.4.1 Se chauffer à l’électricité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14
2.5 Le chauffage solaire : une énergie inépuisable . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14
2.6 Le chauffage au bois : une énergie propre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14
2.6.1 Se chauffer au bois . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
2.7 - La Pompe à Chaleur (PAC) : une alternative économique et écologique . . . . 15
2.7.1 Les PAC Aérothermiques : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
2.7.2 Les PAC Géothermiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
2.7.3 Les PAC AquathermiqueS / Hydrothermiques . . . . . . . . . . . . . . . 16
2.8 Organes d’une installation de chauffage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16
2.8.1 Le générateur de chaleur : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16
2.8.2 Les radiateurs (corps de chauffes) : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16
2.8.3 Les chaudières : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17

2
3 Étude de cas 19
3.1 Le climat de ifran . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
3.2 plan de la maison avec autoCAD . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
3.2.1 autoCAD . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
3.2.2 plan 2D . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20
3.3 plan de la maison en sketchup . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
3.3.1 plan 3D . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
3.4 calcul de déperdition avec excel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
3.4.1 matériaux de construction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22
3.4.2 calcul . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23
3.5 besoin on chauffage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24
3.6 calcul de déperdition avec trnsys . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24
3.6.1 résultat . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27
Introduction

Compte tenu des changements climatiques signalés ces dernières années et des conditions
météorologiques extrêmes dans les régions intérieures de notre pays ; Les gens souffrent du froid
extrême en hiver, car les anciens systèmes de chauffage (chauffage au combustible solide et / ou
liquide) ne sont plus en mesure de répondre à leurs besoins thermiques pour assurer le confort
des occupants des locaux résidentiels ou scolaires, administratifs ou autres. La politique maro-
caine pousse ses citoyens à adopter des systèmes de chauffage collectifs ou individuels récents
pour tout bâtiment d’habitation, administration ou d’éducation. Les systèmes de chauffage à
eau chaude à énergie solaire sont les plus favorisés dans notre pays. Ces systèmes peuvent sa-
tisfaire le confort thermique des occupants dans la saison hivernale, cela seulement si un bon
dimensionnement est élaboré. C’est dans ce contexte que la présente étude a été menée. Une
étude de conception d’un système de chauffage à eau chaude pour une habitat sera réalisée ce
qui permettra sans doute d’acquérir de l’expérience pour la réalisation d’installations de chauf-
fage basée sur le document technique réglementaire marocaine RTCM. Le calcul de déperditions
sera l’un des objectifs de ce travail. Ces dernières permettront le dimensionnement des radia-
teurs de chaque pièce. L’objectif principal de cette étude est de dimensionner un système de
chauffage à eau chaude d’une maison située dans région d’Ifran.

4
Chapitre 1

Notion de confort thermique

1.1 introduction
Le confort thermique est une sensation liée à la chaleur qui est propre à chacun. En hiver, un
bon confort thermique doit garantir une sensation suffisante de chaleur. En été, il doit limiter
cette chaleur pour éviter les surchauffes. Quels sont les différents critères qui influencent ce
confort thermique et comment obtenir un bon confort thermique ? Voici quelques éléments
de réponses.
— La température ambiante (ou de consigne)
— La température des parois
— Le mode chauffage
— Les mouvements d’air
— L’occupant
— Réponses à vos questions

1.2 La température ambiante (ou de consigne)


C’est le premier critère qui vient à l’esprit, qui même s’il est déterminant, n’est pas le seul.
Pour obtenir un confort thermique satisfaisant, il faut paramétrer une température de consigne
suffisante. On a l’habitude de dire que la température ambiante de confort se situe entre 19C
et 20C. Attention à ne pas surchauffer car passer de 20C à 21C entraı̂ne une surconsommation
d’énergie d’environ 7%. La nuit et en période d’inoccupation, cette température pourra être
abaissée de 2 à 3C grâce à la régulation du chauffage.

1.3 La température des parois


La température des parois a une grande influence sur la température ressentie. Pour calculer
simplement la température ressentie, il faut faire la moyenne entre la température des parois
et la température ambiante. Par exemple, pour une température d’ambiance de 20C :
— Cas n1 : Température de paroi de 16C : la température ressentie sera de 18C
— Cas n2 : Température de paroi de 19C : la température ressentie sera de 19,5C

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Pour une même température de consigne, le confort thermique sera insuffisant dans le cas 1
et satisfaisant dans le cas 2. Pour augmenter la température des parois, il convient d’isoler
correctement son logement en limitant le plus possible les ponts thermiques. Il faut également
mettre en place des vitrages performants dont la pose aura été soignée.

1.4 Le mode chauffage


1.4.1 La production de la chaleur
Dans le cas d’un chauffage par convection, l’air en mouvement est utilisé pour transférer la
chaleur du système de chauffage vers les occupants. De fait, l’air chaud remonte et l’air froid
reste au niveau du sol. En conséquence, il se crée une stratification de l’air (plus chaud en
haut qu’en bas) qui provoque un inconfort thermique (froid aux pieds). De plus, le chauffage
par convection tend à assécher l’air, ce qui peut être désagréable. On trouve parfois un humi-
dificateur d’air accolé au convecteur pour limiter ce ressenti (réserve d’eau liquide). Aussi, les
convecteurs peuvent accentuer la sensation de courant d’air qui provoque de l’inconfort et oblige
à chauffer plus. Enfin, ces élément de chauffage sont très chauds (autour de 90C sur le corps de
chauffe), ce qui peut poser des problèmes de sécurité chez les enfants. Les  convecteurs  (ou
 grilles pains ) ou autres  soufflants  sont donc à éviter notamment quand les volumes à

chauffer sont importantes.


Dans le cas d’un chauffage par rayonnement, ce sont des ondes infrarouges qui sont utilisées
pour transférer la chaleur du système de chauffage vers les occupants. Il y a peu de stratification
de l’air et le confort thermique est meilleur. Parmi les chauffages par rayonnement, on peut
citer : le plancher chauffant, les poêles de masse (à restitution lente de la chaleur), les radiateurs
électriques à inertie et les radiateurs à eau.
Il existe des modes de chauffage qui utilisent à la fois la convection et le rayonnement, ils ap-
portent un confort thermique satisfaisant. On peut citer : les panneaux rayonnants et les poêles
à granulés.

1.4.2 Les variations de températures


Le confort thermique est meilleur lorsque l’amplitude des températures est faible. On peut
considérer qu’une amplitude de 1C est acceptable. Par exemple, vous réglez la température
de consigne à 20C. Le chauffage va produire de la chaleur jusqu’à atteindre 20.5C, puis ne se
remettra en route qu’à 19.5C. Pour lisser au mieux les températures, il faut mettre en place
une régulation efficace. Dans les faits, tous les modes de chauffage ne sont pas capables d’une
régulation si fine. Pour les poêles à granulés notamment, on accepte une amplitude de 2C. En
été, des protections solaires couplées à une forte inertie thermique évitent les surchauffes.

1.4.3 La distribution de la chaleur


Une bonne homogénéité de la température entre les pièces améliore le confort thermique.
Cette harmonie est plus facile à atteindre lorsqu’il y a plusieurs émetteurs de chaleur (des
radiateurs dans chaque pièce). Dans le cas d’un unique point chaud, comme un poêle à granulés,
les températures sont moins homogènes. De ce fait, il faut limiter la surface chauffée par ces
systèmes. A titre d’exemple, la Réglementation Thermique 2012 limite l’usage d’un poêle à
granulés à une surface de 100m afin d’obtenir une régulation correcte des températures.

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1.4.4 L’humidité relative de l’air (hygrométrie)


Un taux d’humidité situé entre 40% et 60% permet un bon confort thermique. Avec un taux
d’humidité élevé, on aura tendance a augmenté la température de consigne (surconsommation
d’énergie). A l’inverse, on aura tendance à diminuer la température de consigne dans un envi-
ronnement plus sec (maisons RT 2012 notamment) mais il n’est pas recommandé de descendre
en dessous de 40%. Pour réguler au mieux l’humidité, il est nécessaire de mettre en place une
ventilation mécanique contrôlée.

1.5 Les mouvements d’air


Les mouvements d’air accentuent les échanges de chaleur par convection. Par exemple,
quand la météo affiche une température réelle de 0C, la température ressentie peut être de -7C
sous l’effet du vent. L’homme perçoit les mouvements d’air à partir d’une vitesse de 0.2m/s
(0,7 km/h). Pour éviter ces flux d’air, on peut mettre en place une ventilation mécanique qui
assure une vitesse de l’air assez faible. Cette vitesse est plus difficile à gérer dans le cas d’une
ventilation naturelle. Le choix du chauffage est également important (les convecteurs renforcent
les mouvements d’air), de même qu’une bonne étanchéité à l’air du bâtiment, en particulier au
niveau des ouvrants.

1.6 L’occupant
En fonction de sa sensibilité, de son activité et de sa tenue, l’occupant va également avoir
une influence sur le confort thermique. Plus l’occupant a une activité physique soutenue et plus
il est habillé chaudement, plus la température de consigne pourra être faible. Portez des pulls
en hiver est donc un bon moyen de faire des économies d’énergie ! La sensibilité de chacun est
également à prendre en compte. L’âge est une variable importante de ce ressenti (jeunes enfants
et seniors notamment).

1.7 Conclusion
Comment obtenir un bon confort thermique ?
En définitive, c’est l’occupant du logement lui-même qui est le plus apte à définir le  bon
 confort thermique. Ce confort thermique résulte de nombreux paramètres comme les températures

d’ambiance et des parois, les modes de chauffage, le taux d’humidité ou les mouvements d’air.
Pour obtenir un confort thermique satisfaisant, il faut agir au niveau du bâti, des systèmes et
des occupants. Au niveau du bâti, une isolation suffisante et des fenêtres performantes évitent
le phénomène de parois froides et diminuent les mouvements d’air. Au niveau des systèmes,
une température de consigne autour de 19-20C couplée à une bonne régulation et l’utilisation
d’une VMC hygroréglable améliorent le confort thermique, tout en limitant les consommations
d’énergie. Enfin, au niveau des occupants, une tenue adaptée à la saison est indispensable.

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Chapitre 2

élément de chauffage

2.1 Introduction
Les différents types de chauffage, que choisir ?
Il est nécessaire de faire le bon choix pour tout propriétaire ou futur propriétaire, qui veut
pour son habitation, bénéficier d’un bon confort thermique. En effet, il existe plusieurs types
d’équipements énergétiques qui possèdent chacun des avantages et des inconvénients, et doivent
être adaptés à votre logement. Chaudière à gaz, au fioul, à bois, électrique, solaire, poêle à
pellets, à granulés, ou pompe à chaleur : quels avantages et inconvénients pour chaque formule.

2.2 Le chauffage au gaz : une installation économique


Avec environ 40 % des installations domestiques qui fonctionnent au gaz, ce type d’énergie
est la plus utilisée par les ménages français principalement pour des raisons économiques. En
effet, le gaz n’est pas aussi cher que les autres énergies et se révèle être plus propre.
Les modèles de chaudières fonctionnant au gaz assurent d’excellents rendements. Les typologies
d’appareils sont variées : à condensation, à basse température ou encore à haute performance
énergétiques (HPE) : il suffit de faire un choix. D’un point de vue économique, son coût moyen
de 0,066 /kWh en témoigne. Annuellement, le coût moyen en termes de consommation pour
les usagers est d’environ 1056 euros.
D’un point de vue écologique, étant du gaz naturel, son empreinte écologique est plus faible :
234 gCO/kWh.
Seulement, du point de vue du confort, le gaz de par sa combustion, génère une chaleur uni-
forme qui est facile à piloter. Toutefois, l’un des problèmes qui peut se poser avec un dispositif
au gaz est l’accessibilité au réseau. Bien que ce dernier s’étende chaque année, le réseau n’est
pas encore accessible à tous.
Si vous n’avez pas accès au réseau, il vous faudra acheter ou louer une citerne pour profiter
d’un chauffage au gaz.

2.2.1 Se chauffer au gaz naturel


Avantages
— Chaudière fonctionnelle, puisqu’elle se met en route instantanément.

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— Si un raccordement au gaz de ville est disponible, elle nécessite peu d’espace, puisqu’il
n’y a pas besoin de stocker le combustible.
— Convient aux appartements et aux maisons.
— Maintient une température constante dans l’ensemble des pièces à chauffer.
— Crédit d’impôt possible.

Inconvénients
— S’il n’y a pas d’arrivée de gaz naturel, une citerne doit être installée et remplie annuelle-
ment.
— Entretien annuel obligatoire.
— Abonnement à payer en plus de la consommation

Prix
— Le prix moyen d’une chaudière à gaz est de 4.250 .
— Le prix du mètre cube de gaz naturel est d’environ 0,6 .
— Coût moyen annuel des usagers : 1056 .

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2.2.2 Déperdition thermique

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Un échange de chaleur se produit entre deux milieux lorsqu’il existe une différence de
température entre ces deux milieux. La chaleur se propage d’un milieu chaud vers le milieu
froid par conduction, rayonnement et convection.
L’ enveloppe thermique  d’un bâtiment est la surface qui sépare le volume intérieur
chauffé du bâtiment de l’environnement extérieur. Elle est définie par les parois extérieures du
bâtiment. C’est autour de cette enveloppe qu’opèrent les échanges de chaleur, appelés aussi
transferts thermiques, qui influeront sur les besoins de chauffage ou de rafraı̂chissement du
bâtiment.
De manière générale, depuis le milieu intérieur, les calories atteignent les parois extérieures
par convection et rayonnement, passent au travers de celle-ci par conduction, et s’échappent à
nouveau par convection et rayonnement.
Déterminer les déperditions thermiques d’un bâtiment revient à calculer les flux thermiques
additionnés qui traversent ses parois.
Pour les murs :

Le mur transmet la chaleur par conduction dans son épaisseur entre l’intérieur et l’extérieur
du bâtiment. Le vent accélère l’échange thermique à la surface extérieure du mur par convec-
tion. Le Soleil chauffe le mur par rayonnement. Le mur chaud rayonne aussi la nuit vers le ciel.

Pour les fenêtres :

La vitre transmet la chaleur par conduction dans son épaisseur entre l’intérieur et l’extérieur
du bâtiment. Le vent refroidit la vitre par convection. Le Soleil chauffe l’intérieur de la pièce à
travers la surface transparente. L’intérieur de la pièce lui-même perd une partie de son énergie
par rayonnement vers l’extérieur. Mais la vitre bloque une grande partie du rayonnement in-
frarouge émis (principe de l’effet de serre).

Pour la toiture :

Le Soleil réchauffe le toit par rayonnement. La chaleur du Soleil est transmise à travers le
toit au reste du bâtiment. Le vent refroidit le toit avec un vent frais.

Pour le plancher :

La chaleur est échangée entre le bâtiment et le sol à travers l’épaisseur de la dalle par
conduction. Les échanges convectifs n’interviennent que si la dalle est située sur un vide sani-
taire ventilé. Il n’y a pas d’échange par rayonnement.

2.2.3 les déperditions par pont thermique


C’est environ 5% de la chaleur perdus totale, Le pont thermique désigne une zone qui se
trouve en contact direct avec l’extérieur, sans qu’aucune isolation ne vienne faire tampon ; il
s’agit par exemple du plancher de l’étage, qui s’appuie sur les murs extérieurs.

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2.2.4 mode de transfert de chaleur


conduction

Figure 2.2 – conduction

la conduction thermique est le mode de propagation de l’énergie thermique à travers les


matières. Les éléments qui constituent les matières reçoivent et transmettent l’énergie aux
éléments voisins par contact de molécules les plus chaudes avec les molécules les plus froides.

convection

Figure 2.3 – convection

: il y a convection lorsque les molécules se déplacent d’un endroit à un autre et échangeant


la chaleur qu’elle contienne. On parle généralement de la convection quand on a l’échange
thermique entre un fluide qui est mobile à une vitesse connue et un solide, dans notre cas on a
l’air avec les parois de local, plus l’air est immobile moins il y’a de convection.

rayonnement

Figure 2.4 – rayonnement

le rayonnement thermique est la transmission d’énergie thermique de surface à surface par


onde électromagnétiques sans un contact direct entre les deux éléments. Tout corps d’une
température supérieure au zéro absolu émet de tels rayons qui se propagent dans l’espace, y
compris dans le vide. Plus l’émissivité du corps est faible moins il y aura de rayonnement.

2.2.5 les déperditions par renouvellement d’air


Les fuites d’air et le renouvellement de l’air : un cinquième de pertes Les fuites d’air peuvent
être nombreuses dans une maison, et souvent mal prises en charge par les artisans et construc-
teurs ; elles proviennent des cheminées, hottes, serrures, gaines électriques ou encore huisse-
ries. Elles représentent à elles seules l’équivalent d’une fenêtre restant grande ouverte toute la
journée. Les vitrages : environ 15% de chaleur perdue finalement, les vitrages ne se placent
qu’en quatrième position de ce classement des sources de déperdition thermique dans une ha-
bitation ,en effet, aujourd’hui en France, les fenêtres répondent à des critères de fabrication
exigeants, avec des processus bien maı̂trisés, ce qui leur confère généralement une assez bonne
performance.

2.3 Le chauffage au fioul


La chaudière brûle du fioul pour chauffer de l’eau dont elle retransmet la chaleur. Les
modèles de chaudières à condensation récupèrent une partie de la chaleur avant son évacuation,

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ce qui permet un rendement supérieur de 20 % par rapport à un équipement classique.


Plus de 15% des ménages français l’utilisent encore aujourd’hui.

2.3.1 Se chauffer au fioul


Avantages
— Pas d’abonnement à payer, seulement la consommation.
— Crédit d’impôt possible pour la chaudière à condensation.

Inconvénients
Besoin d’espace pour installer la cuve.
Prix très fluctuant lié à l’évolution du prix du baril de pétrole.
Le chauffage au fioul étant générateur de CO2, l’état Français prévoit d’ici 2030 de diminuer le
nombre de chaudières au fioul en réduisant les aides.

Prix
— Le prix moyen d’une chaudière au fioul classique est de 3.850 .
— Le prix moyen d’un engin au fioul à condensation est de 7.500 .
— Le prix du kWh de fioul domestique est d’environ 0,089 .
Il existe des alternatives à cette énergie. Des chauffagistes agréés peuvent proposer de transfor-
mer votre installation en convertissant les cuves au fioul en cuves au gaz.

2.4 Le chauffage électrique : l’équipement le plus adopté


sur le marché
Le taux d’usage d’un dispositif électrique par les foyers français est de 29,5 %. Ceci le classe
à la seconde place des installations domestiques de chauffage central en France. L’électricité
propose le plus large choix d’appareils sur le marché.
Par ailleurs, que vous soyez en rénovation ou en construction, les mécanismes électriques sont
faciles à installer. De plus, ils sont pratiques pour les petits espaces et ne nécessitent aucun
type d’entretien.

En revanche, l’électricité pose un réel problème de consommation. C’est pour cela que l’on
le juge d’ailleurs trop onéreux. Pour pallier cela, il est possible de stocker la chaleur durant les
heures creuses pour la restituer en temps voulu.
Le problème est que les radiateurs à accumulation sont d’une taille assez importante. Il faut
donc disposer d’un espace suffisant pour ce type d’installation.

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2.4.1 Se chauffer à l’électricité


AVANTAGES
— Coût d’investissement faible. ( entre 100 et 2000 euros pour les machines les plus perfor-
mantes du marché).
— Utilisation facile et rapide

Inconvénients
— Abonnement à payer.
— Une des énergies les plus chères.
— Radiateurs électriques énergivores
— Radiateurs à accumulation encombrants.
— Nécessite d’avoir un logement bien isolé.

Prix
— 0.115 / kWh soit environ 1.800 par an.

2.5 Le chauffage solaire : une énergie inépuisable


Il existe plusieurs sortes d’énergies renouvelables utilisables pour produire de l’eau chaude
et du chauffage dans un logement. Le soleil est une source d’énergie dont les rayons permettent
de se chauffer gratuitement lorsque le logement est aménagé dans le respect de la conception
bioclimatique (orientation des pièces, emplacement des ouvertures, etc. . . ). En investissant
dans un dispositif écologique doté de panneaux solaires thermiques, vous pouvez obtenir de
l’eau chaude pour alimenter les radiateurs, les planchers chauffants et les ballons de stockage
pour la douche ou la cuisine. Il est à noter que ces installations sont différentes des panneaux
photovoltaı̈ques qui convertissent l’énergie captée en électricité.

2.6 Le chauffage au bois : une énergie propre


Ces dernières années, les ventes de ce type de produit ont connu une forte augmentation.
Le nombre d’appareils vendus est ainsi passé de 200 000 en 2004, à plus de 500 000 en 2019.
La raison de cette croissance s’explique parce que le bois a une efficacité supérieure, et que son
effet sur l’environnement est pratiquement nul.
Ainsi, selon le type de bois, le coût annuel pour se chauffer varie entre 0,026 /kWh et 0,068
/kWh, soit un coût entre 416 et 1088 euros.
Néanmoins, les chaudières représentent un investissement important que le crédit d’impôt de
25% essaie de compenser. De plus, selon votre région, l’approvisionnement en bois peut être
irrégulier. Enfin, le stockage du bois doit se faire dans un espace sec et couvert.
La chaudière à granulés est la dernière génération de chaudières à bois. Les pellets sont une
composition à base de poudre de bûches de bois de sapin ou d’épicéa, produits naturellement,
mélangés avec de la terre et de l’eau.
– On parle ici de biomasse : c’est l’ensemble des matières organiques qui peuvent être conver-
ties en énergie. En France, le bois demeure la première source d’énergie renouvelable utilisée.

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Les poêles à bois et les chaudières sont désormais alimentés avec des plaquettes, des pellets ou
encore des granulés fabriqués à partir de sciure de bois. Lorsque les combustibles utilisés sont
de bonne qualité, ce système se révèle être très écologique.
La performance des poêles à bois est élevée : elle couvre les 95 % des besoins du logement, son
utilisation exclusive peut donc être envisagée.

2.6.1 Se chauffer au bois


Avantages
— La répartition de la chaleur est homogène dans toutes les pièces de l’habitation.
— Il est écologique puisqu’il ne produit aucun gaz à effet de serre.
— Permet une économie sur les factures énergétiques d’environ 30 %.Crédit d’impôt possible.

Inconvénients
— La chaudière à bois doit être rechargée, tout au long de la combustion.
— Il faut prévoir à l’avance de se réapprovisionner régulièrement.

Prix
— Le prix moyen d’une chaudière à granulés de bois est de 13.500 .
— Le prix du kWh de granulés, ou de pellets est d’environ 0,073 .

2.7 - La Pompe à Chaleur (PAC) : une alternative économique


et écologique
Il existe plusieurs sortes de pompes à chaleur : aérothermiques, géothermiques et aquather-
miques.

2.7.1 Les PAC Aérothermiques :


-L’aérothermie consiste à récupérer les calories qui se trouvent dans l’air pour chauffer un
logement en installant une pompe à chaleur  air-air  ou une pompe à chaleur  air-eau .
• S’il s’agit d’un dispositif  air-air , les calories sont directement diffusées dans les pièces à
chauffer. La PAC  air-air  est également appelée climatisation réversible car elle produit de
l’air chaud et de l’air froid.
• Avec une pompe à chaleur air-eau, les calories captées alimentent un circuit chauffant qui
couvre jusqu’à 70 % des besoins d’une habitation. La PAC permet de chauffer ou de refroidir
son logement (par diffusion de chaleur au sol) et de chauffer son eau sanitaire.

2.7.2 Les PAC Géothermiques


– La géothermie : permet d’utiliser la chaleur stockée sous la croûte terrestre pour les be-
soins de chauffage d’une maison.

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La source de chaleur captée va alimenter un système de radiateurs ou de plancher chauffant et


produire de l’eau chaude. Cette alternative verte et économique se démarque par son efficacité
et vous permet de réaliser jusqu’à 70 % d’économie sur vos factures.
Ces dispositifs représentent des investissements relativement importants avec des spécifications
techniques particulières (le prix moyen d’une installation géothermique est aux alentours de 20
000).

2.7.3 Les PAC AquathermiqueS / Hydrothermiques


-L’hydrothermie, appelée également aquathermie ou encore pompe à chaleur  eau-eau
 est plus rare que les précédentes. Son coût d’achat est relativement élevé (23 000 euros en

moyenne), mais les économies sur votre facture énergétique seront conséquentes, c’est donc un
investissement sur le long terme.
Son installation nécessite que votre logement réunisse des caractéristiques particulières afin de
permettre son bon fonctionnement.
Son principe est de capter les calories présentes dans les nappes phréatiques pour les compresser
et les transformer en énergie dans la maison.

2.8 Organes d’une installation de chauffage


Un système de chauffage se compose d’éléments formant un circuit de chauffage et assurant
une distribution efficace de la chaleur dans les locaux, on cite :

2.8.1 Le générateur de chaleur :


Le générateur de chaleur représente le premier élément d’un système de chauffe. Il permet
le transfert de chaleur de la combustion vers l’eau de chauffage. Grace à des échangeurs de
hautes performances et d’excellentes isolations thermiques, ce générateur réduit au minimum
les pertes énergétique.

2.8.2 Les radiateurs (corps de chauffes) :


Le radiateur est un dispositif permettant l’échange de chaleur entre deux ambiances. Il
a pour fonction d’évacuer la chaleur d’un objet pour éviter la surchauffer, ou la fonction de
chauffer un espace.

Figure 2.5 – Radiateur à eau chaude

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Il existe plusieurs types de radiateurs sur le marché, on trouve :

Les radiateurs en fonte : Leur principal avantage est leur inertie thermique. La fonte
étant un matériau très dense, elle est capable d’accumuler de la chaleur pour la restituer plus
tard. Ceci permet de diminuer le temps pendant lequel le chauffage consomme du combustible.
En contrepartie, la montée en température d’un radiateur en fonte est longue. Parmi les in-
convénients, on peut également citer la masse importante du radiateur est son cout élevé. Le
radiateur en fonte était le radiateur de référence.

Les radiateurs en acier : Contrairement aux radiateurs en fonte, les modèles en acier sont
plus réactifs. La montée en température est plus courte, procurant ainsi un meilleur confort
plus rapidement. Parmi les avantages de ce radiateur est qu’il est léger et moins couteux qu’un
radiateur en fonte.

Les radiateurs en aluminium : Le troisième type de radiateur à eau est celui en alu-
minium, c’est un bon compromis entre l’acier et la fonte. Avec ce radiateur plutôt réactif, la
montée en température est rapide, ce qui accélère la mise en place d’une température de confort
dans les pièces. L’inertie est moyenne mais permet tout de même à la température du radia-
teur de redescendre progressivement une fois le chauffage coupé. Le radiateur en aluminium a
l’avantage d’être plus léger que celui en fonte et moins cher.

2.8.3 Les chaudières :


Les chaudières sont des équipements dans lesquels circulent de l’eau, appelée fluide calopor-
teur chauffée à une certaine température par le système de chauffe. Il existe une grande variété
de chaudière ; dont On peut classifier suivant les critères suivant :

Classification par la température de l’eau :


Chaudière à basse température : La chaudière à basse température est une chaudière
dite écologique. Elle fonctionne à une température d’eau très faible en se comparant à d’autres
systèmes de chauffe. Le but est de limiter la température minima pour rejeter les fumées à des
températures plus basses et assurer un meilleur rendement. Le rendement d’une chaudière à
basse température est un peu plus élevé de l’ordre de 90%.

Chaudière à haute température : Les chaudières à haute température sont les plus an-
ciennes. Elles fonctionnent avec une eau chauffée à 75 à 90C. Elles ne sont donc pas adaptées à
tout type d’installations. Les chaudières classiques sont tout à fait adaptées aux radiateurs de
hautes températures.

Classification par types de fluide caloporteur :


• L’eau chaude est utilisée dans les systèmes de chauffe de locaux d’habitation.
• L’eau surchauffée est utilisée dans les processus industriels.

La vapeur d’eau : • La vapeur saturée est utilisée dans les procédés industriels.
• La vapeur surchauffée sert principalement dans la production de l’électricité par des turbines ;

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Classement par type de circulation :


• A circulation naturelle : la circulation de l’eau dans une chaudière est très importante
pour éviter la formation des zones sèches ou le métal est susceptible de fondre et se déformer
sous l’effet de la chaleur.
• A circulation assistée : progressivement la pression de fonctionnement des chaudières s’élève,
pour obtenir de meilleurs rendements.
• A circulation forcée : on distingue les petites chaudières de chauffage central, de la chaudière
industrielle ou de centrales thermiques à haute pression.

Figure 2.6 – Radiateur à eau chaude

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Chapitre 3

Étude de cas

la maison étudier se situe dans la ville de Madrid. une maison 1 étage sur sol. 2 chambre
/ séjour / cuisine / salle de banne / toilette / garage / couloir. la température de confort est
22C.

3.1 Le climat de ifran


Le climat de ifran est légèrement continental, avec des hivers modérément froids et relati-
vement pluvieux, et des étés très chauds et ensoleillés.

Figure 3.1 – les températures moyennes

3.2 plan de la maison avec autoCAD


3.2.1 autoCAD
AutoCAD est un logiciel de dessin assisté par ordinateur (DAO) créé en décembre 1982 par
Autodesk. Bien qu’il ait été développé à l’origine pour les ingénieurs en mécanique, il est au-
jourd’hui utilisé par de nombreux corps de métiers. Il est actuellement, selon Forbes, le logiciel
de DAO le plus répandu dans le monde2. C’est un logiciel de dessin technique pluridisciplinaire :

industrie,
système d’information géographique, cartographie et topographie,
électronique,
électrotechnique (schémas de câblage),
architecture et urbanisme,
mécanique.

L’utilisateur peut créer ses propres menus et développer des applications grâce à son langage
Autolisp dérivé de lisp et grâce à VBA. La version allégée, dite LT (Lite) ne dispose toutefois

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pas de cette facilité, ni des fonctions de dessin en trois dimensions, telles que les objets volu-
miques ou surfaciques, ni de la programmation. Cette version simplifiée permet toutefois de les
visualiser.

AutoCAD se décline aujourd’hui en logiciels spécifiques métier ou logiciels  verticaux ,


dont :

AutoCAD Architecture dédié aux dessins d’architecture.


AutoCAD MEP dédié aux dessins d’architecture, mais aussi aux installations techniques dans
un bâtiment (ventilation, sanitaire, chauffage et électricité).

Si ces logiciels sont relativement bien aboutis pour réaliser en toute sérénité des dessins
d’exécutions, ils tendent également à intégrer quelques modules de calculs (pertes de charges
aérauliques...). Ils constituent un pas essentiel vers les outils de type Building Information Mo-
deling (Modèle d’information unique du bâtiment).

3.2.2 plan 2D

Figure 3.2 – plan 2D

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3.3 plan de la maison en sketchup


3.3.1 plan 3D

Figure 3.3 – plan 2D

Figure 3.4 – plan 2D

3.4 calcul de déperdition avec excel


les condition du local :
température extérieure 10C. température intérieur 18C. latitude 50 renouvellement d’air : 600

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m3/h deltaT intérieur = 5C le couleur du local est blanche donc une surface très claire. les
vitre son protéger aves interieur entierement baisses.

3.4.1 matériaux de construction


mur extérieur
mortier : e = 0.02m
briq : e= 0.2m
mortier : e = 0.02m
enduit pla : e= 0.005m
Km=1,24 W/m2.k

mur intérieur
enduit pla : e= 0.005m
mortier : e = 0.02m
briq : e= 0.15m
mortier : e = 0.02m
enduit pla : e= 0.005m
Km=1,48 W/m2.k

plafond
enduit pla : e= 0.005m
mortier : e = 0.02m
beton lourd : e= 0.3m
mortier : e = 0.02m
enduit pla : e= 0.005m
Km=2,47 W/m2.k

plancher bas
carrelage : e=0.02m
mortier : e = 0.02m
beton lourd : e= 0.3m
mortier : e = 0.02m
Km=2,58 W/m2.k

prote
Km=2,29 W/m2.k

fenêtre
Km=1.14 W/m2.k

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3.4.2 calcul
ch1

Figure 3.5 – ch1

ch2

Figure 3.6 – ch2

sejour

Figure 3.7 – sejour

salon

Figure 3.8 – salon

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cuisine

Figure 3.9 – cuisine

WC

Figure 3.10 – WC

SDB

Figure 3.11 – SDB

3.5 besoin on chauffage


le besoin total on chauffage 6333 W

3.6 calcul de déperdition avec trnsys


pour la simulation on trnsys on a commence par le studio.

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Figure 3.12 – trnsys studio

on suit on déclare les composons de chaque mur dans trnbuild.

Figure 3.13 – trnbuild

on suit on déclare les composons de chaque mur dans trnbuild.

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Figure 3.14 – les composons de chaque mur

Figure 3.15 – les composons de chaque mur

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Figure 3.16 – les composons de chaque mur

Figure 3.17 – les composons de chaque mur

3.6.1 résultat
pour la simulation on a chauffe 3 zones ch1 , ch2 , sejour. les graphes du température :

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Figure 3.18 – le graphe du température ch1

Figure 3.19 – le graphe du température ch2

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Figure 3.20 – le graphe du température sejour

pour le besoin de chauffage du trois zones.

Figure 3.21 – le graphe du besoin de chauffage

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conclusion

Une étude de conception d’un système de chauffage à eau chaude d’un habitat situé dans
Ifran a été réalisée, dans le but de fournir l’énergie nécessaire pour répondre aux besoins des
occupants. Il est a signalé que, cette étude été très bénéfique pour nous, car c’était une bonne
expérience pour la réalisation d’installations de chauffage à eau chaude basée sur la méthode
de calcul des pertes thermiques fournies par le document technique RTCM.
Le calcul des déperditions thermiques a permis de dimensionner tous les organes du système de
chauffage. Le travail effectué a permis la conception d’un système de chauffage compte tenu de
ces propriétés thermodynamiques et ces avantages précieux. Il convient de noter que la concep-
tion des éléments chauffants a été réalisée en majorant les pertes thermiques de chaque local .
Une telle augmentation compense sans aucun doute le mauvais dimensionnement des radiateurs
à installer, notamment en raison de la faible isolation de ces locaux.
Un bon contrôle de la température dans ces pièces permettra de réduire la consommation
d’énergie, permettant ainsi la protection de la chaudière et du brûleur de cette installation. En
perspective, l’étude et la réalisation d’un réseau de chauffage solaire sera une future solution
pour les bâtiments ; dont le seul inconvénient est la maintenance qualifiée de tel réseau.

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