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LES

L e FEMMES
s f e m m e s d DANS
a n s b e lBEL
a m i AMI

1 ) TITRE
2) SOMMAIRE

introduction :
Dans le roman Bel ami de Guy de Maupassant, l’auteur aborde deux sujet
importants : l’argent et les femmes.
Aujourd’hui nous aborderons le thème de celle-si. Les femmes jouent un
rôle essentiel dans le récit, elles y sont omniprésentes.
George Duroy, personnage principal, réussi à monter l’échelle sociale
grâces aux femmes mais elles sont interchangeables. C’est pour lui un objet
de désir et d’avancée.
En les séduisant, il se sert de leur grade social, leur richesse pour arriver à
ses propres intérêts personnels.

Plan :
Il existe beaucoup de femmes dans le livre mais nous parlerons des plus
importantes: Rachel, Mme de Marelle et sa fille, Mme Forestier, Mme Walter
et l’une de ses filles Suzanne.

3) Rachel  :
La première femme dont on entend parler dans le roman de Bel Ami est une
prostituée, rencontrée aux Folies Bergères.
Elle est appelée la " fille à un ou deux louis ". Elle est décrite comme une
brune bien en chair et fortement maquillé provoquant le désir. C'est un
personnage sans gêne et grossière, ce que l'on constatera dans sa
rencontre avec Madame de Marelle. Malgré son habitude des hommes,
Rachel tombe vite sous le charme de Duroy et se donne à lui, même pour un
louis. La première femme décrite dans ce roman est une femme facile, une
femme qui n'aidera en rien Duroy. Mais il cède à cet " amour " rapide et
facile même s'il cherche un autre amour et une autre sorte de femme.
Cette première relation donne la tonalité sur le faite que Duroy se sert des
femmes, c'est un rapace ainsi qu'un séducteur.
4) Clotilde De Marelle  :
Madame de Marelle est la première maîtresse de Du Roy. C'est une jeune
femme d'une trentaine d'années. Elle est décrite avec de longs cheveux
bruns, légèrement frisés, elle est petite, les yeux marrons foncés et une
peau très pâle.
Leur toute première rencontre se déroule chez les Forestiers.
Elle est mal marié à un homme plus vieux qu'elle et souvent absent. Elle a
une morale flexible de parisienne qui ne tiens pas sa langue et représente la
femme bohème qui aime fréquenter des lieux populaires pour s'amuser.
C'est une femme libre et passionné. Elle ne supporte pas que on lui résiste
chose que l'on voit quand, elle même prend la décision de louer un
appartement pour elle et son amant. Néanmoins elle pardonnera mainte
fois Duroy, l’aimant d'un amour sincère.
Elle permet à Duroy de fréquenter de nombreuses célébrités, et l’entretient
à ses frais.
Leur relation sera néanmoins fragilisé lorsque qu'il lui annonce son mariage
avec Madelaine. Et verra sa fin, lors de son remariage avec Suzanne.
Enfin, les dernières lignes du livre laisse croire que leur relation reprendra
par la suite.

5) Madeleine forestier  :
Madelaine Forestier, est initialement la femme de Charles Forestier, le
camarade de régiment de Georges Duroy qui lui offre un emploi au journal
La Vie Française, dans lequel il travaille.
C'est un personnage féministe, intelligente et surtout indépendante. C'est
une jolie blonde élégante, à la taille souple dotée d'un nez mince, des lèvres
fortes, d’un menton un peu charnu, d’une figure irrégulière et séduisante,
pleine de gentillesse et de malice.
Le compte de Vaudrec lui est comme un père pour elle.
On assistera au chapitre 8 à la mort de son mari, où elle sera soutenu par
George. Elle l’épousera quelques mois plus tard à la mairie. On découvre
alors qu'elle est responsable de la réussite professionnelle de ses deux
maris puisque elle rédige leur article régulièrement. Elle donnera également
des conseils avisés en politique à Duroy tout en le faisant profiter de son
réseaux. Elle considère le mariage comme une association et entend être
libre de ses actes dans cette unions.
Cette femme, se révèle être un personnage malicieux, qui elle aussi se sert
des hommes pour réussir, notamment lorsque elle hérite de Vaudrec et
devient la maîtresse de Laroche-Mathieu.
6) Laurine De marelle  :
C'est la fille de Clotilde de Marelle. C'est un personnage à l'allure de femme,
qui est drôle, pleine de vie et sincère. Elle crée une véritable relation avec
Duroy lors de ses entrevues adultères. C’est l’une des seules relations
différentes où la femme n'est pas présentée comme un objet. Elle est avec
lui bienveillante et insouciante. Duroy lui plaît beaucoup, elle le surnommera
même Bel-Ami.
Elle se montre jalouse face à la relation entre sa mère et lui et ne lui adresse
plus la parole lors de l'annonce de son mariage avec Madelaine.

7) Virginie Walter  :
Plus grande et beaucoup plus jeune que son mari, monsieur Walter patron
du journal, député et homme d'affaire juif. Virginie Walter est une belle
femme un peu grasse. Fille de banquier, elle est âgée d'une quarantaine
d'année. Elle a la réputation d'être une femme irréprochable, droite et
honnête. C'est alors une belle proie pour Du Roy. Repoussant son attirance
pour Georges pendant quelque temps, c'est a l'église quelle lui donne son
premier rendez vous.
De son coté cette relation tourne a l'obsession, cédant a ses pulsions et à
son grand désarroi. Très vite son amant va se lasser de ses mignonneries.
C'est une véritable amante puérile.
Elle souffre énormément quand Du Roy la quitte pour se marier avec sa fille.
Elle est fortement contre, mais n’a finalement pas le choix. Elle succombe
alors à une dévotion extrême, marquant la fin de ses beaux jours.

8) Suzanne Walter  :
C'est la plus jeune des filles des Walter. Elle est décrite comme la plus belle
femme du roman, blonde aux yeux bleu gris, mince et petite. Elle est souvent
comparée avec sa sœur par George qui, juge l’aînée horrible, accentuant la
beauté de Suzanne. C'est un personnage représentant la jeunesse et l'innocence
soit une personne sans défense. Elle se distingue par sa vivacité d'esprit. Elle aime
débattre avec Du Roy, et leur complicité se nourrit de leur plaisanterie sur leur
entourage et sur les prétendant qu’elle et sa sœur on à leurs pieds. Malgré tout
Suzanne reste une proue facile pour Duroy, qui la convaincra de s'enfuir avec lui
pour pouvoir l'épouser et accéder à sa fortune. De cette façon, il contraint ses
parents n'ayant pas d'autres choix que d'accepter leur union pour éviter tout
scandale. La scène finale du livre marque un véritable mariage par intérêt entre
un homme n'ayant plus de limite et une jeune femme naïve.
9) Conclusion  :

Ont peut alors dire, que ces femmes ont pour la plupart, toutes servit
d’objet et de moyens d’ascensions pour Duroy, le menant à devenir le Baron
Du Roy De Cantel. Il réussit à jouer de toute pour réussir son ascension dans
la société. Ainsi on peut dire que ces femmes sont victimes de Duroy,
profitant d’elles.

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