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Module structure de la matière Chapitre IV

Chapitre IV : La Structure électrique des atomes.

Plan de chapitre.
IV.1 Rayonnement électromagnétique et énergie
IV .1.1Ondes électromagnétiques
IV.1.2. Nature corpusculaire de la lumière
IV.1.3 Effet photoélectrique
IV.1.4 Interaction entre la lumière et la matière
IV.1.5 Spectre de l’atome d’hydrogène

IV.1.6 Energie d’ionisation


IV.2 Spectre atomique modèle de Bohr (modelé quantique)
IV.2.1 Niveau d’énergie et Rayon modèle atomique de Bohr
IV.3 .Modèle de la mécanique ondulatoire et de la mécanique quantique
IV .3.1 Principe d’incertitude de Heisenberg
IV.3.1.1 nombres quantiques
IV.3.1.2 .Les orbitales atomiques
IV.4. Configurations électroniques
IV.4.1 Valence et couche de valence.
IV.4.2 Couche électronique simplifiée
IV.4.3 Paramagnétique et diamagnétique,

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IV.1. Rayonnement électromagnétique et énergie


IV.1.1 Ondes électromagnétiques
Selon la théorie électromagnétique de la lumière développée par Maxwell, une onde
électromagnétique se caractérise par le déplacement simultané de champs électrique et magnétique
oscillants et perpendiculaires. Quatre paramètres en déterminent les propriétés :

-la longueur d’onde, λ (lambda) la distance entre deux points identiques situés sur deux ondes
successives. ; Elle s’exprime en mètre (m), en micromètre (µm) et en nanomètre (nm).

-la fréquence, ν (nu), qui correspond au nombre de longueurs d’onde passant chaque seconde en un
point donné ; l’unité de fréquence du SI est le hertz2 (Hz), qui vaut une longueur d’onde par seconde
(s−1).

-l’amplitude, ψ (psi), qui représente l’intensité du rayonnement ; elle correspond à la grandeur de la


variation (électrique et magnétique) qui compose une onde.

– la vitesse de propagation, c ; dans le vide, une onde se déplace à la vitesse de la lumière, soit à
3,00 × 108 m⋅s−1. La fréquence et la longueur d’onde d’une onde électromagnétique sont reliées à sa
vitesse de déplacement par l’expression suivante. λν = c

Figure. 1 : Représentation simplifiée d’une onde.

Figure. 2 : Aspect ondulatoire de la lumière d’une onde.


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Les rayonnements électromagnétiques occupent un champ très large, appelé spectre


électromagnétique. Ce spectre va de rayonnements de longueurs d’onde très courtes et très
pénétrantes, tels les rayons γ produits par les désintégrations nucléaires, jusqu’à ceux de longueurs
d’onde pouvant atteindre près de 1 km, comme les ondes radio. La figure 3 montre les principales
régions du spectre électromagnétique.

Figure. 3 : Régions du spectre électromagnétique.

IV.1.2. Nature corpusculaire de la lumière

Chaque composante de la lumière blanche est une radiation lumineuse caractérisée par une couleur
bien précise (constituée d’une infinité de couleurs ; rouge, bleu, violette, …) et à chaque couleur
correspond une énergie, une fréquence et une longueur d’onde. Sous son aspect corpusculaire une
radiation lumineuse peut être considérée comme constituée de très petites particules appelées

photons transportant une énergie lumineuse E suivant la relation E= hν


Avec h = 6.626. 10 -34 J.S: (constante de Planck), E : énergie lumineuse transportée par la radiation
en Joule

et  : fréquence de la radiation en s-1 (Hz).

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IV.1.3 Effet photoélectrique : L’effet photoélectrique a été découvert par Hertz vers 1885. Si on
éclaire une plaque métallique avec une lumière monochromatique de fréquence supérieure à la
fréquence du seuil, l’excès d’énergie par rapport à l’énergie caractéristique du métal E0= hυ0 est
dissipé sous forme d’énergie cinétique prise par les électrons

- Seule la lumière de fréquence υ > υ0 détermine une émission d’électrons ;

- Si un photon d’énergie (E=hυ ≥ E0= hυ0 ) est absorbé, l’électron émis atteindra une énergie

cinétique : Ec= E - E0

Figure.4 : Effet photoélectrique

IV.1.4 Interaction entre la lumière et la matière :

Des connaissances expérimentales sur le cortège électronique résulté de l’étude de l’interaction entre
la lumière et la matière par des techniques spectroscopique.

a) Qu’est-ce que la spectroscopie ?

La spectroscopie est l’étude des radiations émises ou absorbées par un échantillon de matière. on
distingue :

 Spectre continu.

Lorsqu’on décompose la lumière blanche (soleil) à l’aide d’un prisme on observe un éventail de
couleurs. On dit que la lumière blanche possède un spectre continu, car on passe d’une couleur à une
autre sans interruption dans la succession des couleurs. Expérimentalement, on constate que tout
corps (gazeux ou solide) sous haute pression et à haute température donne naissance à un spectre
continu de lumière, c'est-à-dire qu’il émet sur toutes les longueurs d’onde du spectre visible.

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 Le spectre de raie d’émission.


Un corps lumineux émet de la lumière sous la forme de raies discontinue, qui constituent un
spectre de raies.
 Spectre d’absorption : Si la lumière blanche traverse un gaz ce dernier peut entraine
l’apparition de raie noir constituent le spectre d’absorption.

Remarque. La matière restitue ce qu’elle a absorbé.

IV.1.5 Spectre de l’atome d’hydrogène

Lorsque la lumière issue d’un tube à décharges électriques contenant de l’hydrogène est analysée par
spectroscopie, on détecte quatre raies de longueurs d’onde caractéristiques dans la partie visible du
spectre. Ces raies étudiées appartiennent à la "série de Balmer".

L’énergie d’un l’atome peut changer, via des transitions électroniques. L’émission d’un rayonnement
lumineux correspond à un échange d’énergie : un photon est émis lorsqu’un électron de l’atome,
préalablement excité par le potentiel électrique, revient à un niveau d’énergie plus bas en rendant son
énergie.

Figure 5 : Spectre de l’atome d’hydrogène

Figure 6 : des transitions électroniques


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Par la suite, Johannes Robert Rydberg proposa l’équation empirique suivante qui relie les longueurs
d’onde (ou les fréquences) observées à des nombres entiers (niveaux d’énergie)

𝟏
= RH (1/n2 - 1/m2)
𝝀

Avec : n, m: numéros de la raie qui prend les valeurs successives 1 ,2,3, 4, 5, 6, …; n < m
m =n+1
λ : longueur d'onde correspondante
RH : constante de Rydberg pour l’hydrogène, trouvée expérimentalement =1.097. 107 m-1 .
Remarque
Loi de Rydberg pour les atomes hydrogenoides. Ces derniers sont des atomes ayant perdus tous ses
é sauf un exemple He+, Li+2, Br +5 …

𝟏 2 2 2
𝝀
= Z RH (1/n - 1/m )

Z : nombre atomique

Figure 7 : Absorption et émission de lumière.

Chaque série spectrale est un ensemble de raie, on distingue les séries de Lymen (n=1 émission
dans le UV), Balmer (n=2 dans le visible), Paschen ( n=3 dans IR), Brackett (n=4 dans IR),

Pfunds (n=5 dans IR)

La différente d’énergie entre les deux niveaux est reliée à la fréquence des photons émis
∆E = h ν = h c /λ ↔ λ = hc/∆E

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Chaque série est encore définie par les raies limités, les raies frontières 1er et dernière raie, elle est
calculer par

E min = hc / λ max 1/ λ max = Rh ( 1/ n2 - 1/ (n+1)2)

λ max = 1/ Rh ( n2 (n+1)2 / 2n+1)

E max = hc / λ min 1/ λ min = Rh ( 1/ n2 - 1/ɷ)

λ min = n2/ Rh

IV.1.6 Energie d’ionisation.


Ei énergie d’ionisation d’un atome est l’énergie nécessaire à apporter pour qu’un é puisse
s’échapper définitivement de l’attraction
Ei = Eɷ - E 1 = - E1 > 0 positif Eɷ = 0
Exemple l’atome H est ionisé H+ et é est libéré

H H+ + é
IV.2 Spectre atomique modèle classique de Bohr (modelé quantique).
L’énergie de l’atome est quantifie, elle ne peut prendre que certaines valeurs En fonctions du
nombre quantique principal n . n ≥ 1
IV.2.1 Niveau d’énergie et Rayon modèle atomique de Bohr.
IV.2.1.1 Calcule du rayon de l’atome
Bohr étudié l’atome d’hydrogène l’ é ce place à une orbite circulaire avec une vitesse constante.
é soumis à de force extérieurs.
-La force coulomb (force électrostatique) due à l’attraction par le noyau chargé positivement (Fa)
-La force mécanique (force centrifuge) Fc

Figure 8 : atome de Bohr


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Fa : la force d’attraction Fa= 𝑘 𝑒2 /𝑟2 , k= 1 /4𝜋𝜀0

𝜀0 :permittivité de vide = 8.85. 10 -12 Fm-1

e :la charge de é

r : rayon de l’atome

Fc : la force centrifuge Fc= 𝑚𝑣2 /r

m : la masse de l’électron

-D’après le premier postulat de Bohr, le système est en équilibre :

Fa= Fc => 𝑘𝑒2 / 𝑟 2 = 𝑚𝑣2 /r s oit 𝑚𝑣2 = 𝑘𝑒2 / 𝑟 ...(1)

-D’après le deuxième postulat de Bohr décrivant la quantification du moment cinétique

orbital, on a :

𝑚𝑣𝑟 = 𝑛ℎ / 2 soit 𝑣2 = 𝑛2ℎ2 /4𝜋2𝑟2 𝑚2 …..(2)

La combinaison de l’équation (1) avec (2) conduit à l’expression du rayon de l’orbite : et comme h,
π, k, m et e sont constantes alors r ne dépend que de la valeur du nombre positif n appelé nombre
quantique principal soit :

𝑟𝑛 = ℎ2𝑛2 / 4𝜋2𝑘𝑚 𝑒2 …….(3)

Avec k= 1 /4𝜋𝜀0 𝑟𝑛 = 𝑛2 ℎ24𝜋𝜀0/ 4𝜋2𝑚 𝑒2 = 𝑛2 ℎ2𝜀0/ 𝜋𝑚 𝑒2 = n2 a0

Ou a0 = ℎ2𝜀0/ 𝜋𝑚 𝑒2 = 0.529 A° = 0.53A°

rn = n2. a0

Pour n = 1, rn = r1 = 0,53 Å : premier rayon de Bohr pour l'atome d'hydrogène qu’on note a0.

Pour ion hydrogéoide rn = a0. n2/z

Remarque

1A° = 10 -10 m, 1 nm = 10-9 m, 1pm (pikomètre) = 10-12 m

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IV.2.1.1 Calcule Energie de l’atome d’hydrogène

L'énergie totale Et du système considéré est la somme de l'énergie potentielle Ep et de l'énergie

cinétique Ec :

Et= Ep+ Ec (1*)

Avec : Ec= 1/ 2 𝑚𝑣2 = 𝑘𝑒2 2𝑟 ……..(2*)

et Ep= − 𝑘𝑒2 /𝑟 ……. (3*)

D’après l’équation (1, 2, 3, 1*, 2* et 3*)

𝐸𝑛 = −2𝜋2𝑘2𝑚𝑒4 /ℎ2 𝑛2 = - 𝑚𝑒4 /8 𝜀02ℎ2 𝑛2


Pour n=1, E1= -13.6eV. cette valeur représente l (énergie de l’état fondamental de l’atome
d’hydrogène, d’où : En= E1 .1 /𝑛2 = -13.6 / n2

En = -13.6 / n2 pour l’hydrogène

En = -13.6 z2/ n2 pour l’hydrogènoide

Figure 9 : Diagramme d’énergie de l’atome d’hydrogène

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IV.3 .Modèle de la mécanique ondulatoire et de la mécanique quantique


Les insuffisances du modele de Bhor
-IL ne marche que pour les hydrogénoides et par pour les atomes poly électronique, car in ne tient
pas compte de l’influence d’un électron donné sue ses voisine.
-Il ne permet pas de décrire la liaison chimique.
Ces insuffisances ont conduit au développement d’un modelé plus avancé ‘le modelé quantique
ondulatoire de l’atome’ modelé de Schrödinger.
IV .3.1 Principe d’incertitude de Heisenberg
Selon Schrödinger pour un é il est impossible de déterminer avec précision simultanément la position
de la particule et sa quantité de mouvement. sauf si on résoudre une fonction appelle fonction d’onde
ou orbitale atomique Ψ (x,y,z) où x, y ,z sont les coordonnées cartésiennes de l’é dans un repère lié
au noyau.

Ψ (x,y,z) c’est une fonction qui n’a pas de signification physique sa seule signification est
mathématique │Ψ│2 dx dy dz = │Ψ│2 dv = dp

dp représente la probabilité de présence de l’é dans le volume dv à l’instant t

donc dv c’est le nuage électronique.

La fonction d’onde est la solution de cette équation

- ℎ2/8 𝜋2𝑚 [δ Ψ/ dx2 + δ Ψ/ dy2 + δ Ψ/ dz2] – 𝑒/4 𝜋 𝜀0 r Ψ = E Ψ

↔ H Ψ = E Ψ E : énergie totale, H : opérateur, Ψ : fonction d’onde

La solution est donné par 4 nombre quantique qui sont n, l, m, s

IV.3.1.1 nombres quantiques


1- Nombre quantique principale ‘n’

Valeur positif n = 1.2.3.4……. ɷ

*Détermine le niveau d’énergie ou la couche associée à l’é

*Donne le numéro de chaque période (ligne) de tableau périodique.

Valeur de n 1 2 3 4 5 6 7
Symbole de la couche K L M N O P Q

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2- Nombre quantique secondaire ‘l’

Caractérise le sous couche occupée par l’é sa valeur est on fonction de nombre quantique principale
n, 0 ≤ l ≤ n-1

Caractérise la forme de l’orbitale.

Valeur de n 0 1 2 3 4 5
Symbole de la couche s p d f g h

3- Nombre quantique tertiaire ou magnétique ‘m, ml’

Caractérise la case quantique occupée par l’é sa valeur est on fonction de celle de nombre quantique
secondaire l

Définit l’orientation la direction de l’orbitale atomique OA case quantique

-l ≤ m ≤ +l soit 2l+1 valeurs différentes

Valeur de m 0 -1,0,+1 -2,-1,0,1,+1,+2 -3,-2,-1,0,1,2,3


Présentation
des cases

4- Nombre quantique de spim ‘ms, s’

Il caractérisé le mouvement de l’électron sur lui-même et peut prendre seulement deux valeurs
différentes.

S =+½ S=-½

(n,l,m,s) décrit totalement la position d’un électron dans un atome.

IV.3.1.2 .Les orbitales atomiques


C’est un volume ou une région de l’espace près du noyau où la probabilité de présence de l’électron
est très grande 95%.

OA = n2

Le nombre de l’électron = 2n2

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Figure 10. Les Orbitales atomiques.

 Orbitale s l=m=0 forme sphérique Ψ (n,l,m) = Ψ (1,0,0)


 Orbitale p l=1, m= (-1,0,+1), Ψ (-1,0,+1) forme nœudal , un nœud

IV.4. Configurations électroniques.


La répartition des électrons dans l’atome est régie selon les nombres quantiques conformément à de
règles de remplissage :

- Règle de stabilité : les électrons occupent les niveaux d’énergie les plus bas.

- Règle de Pauli : principe d'exclusion : Deux électrons d'un même atome ne peuvent pas avoir
leurs quatre nombres quantiques tous identiques. Autrement dit, dans une case quantique, les
électrons doivent avoir des spins anti parallèles.

Faut vrai

- Règle de Hund : L'état électronique fondamental correspond à un maximum de spins parallèles.


La multiplicité des spins est maximale.

Faut vrai
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- Règle de Klechkowski : Le remplissage des sous couches se fait dans l’ordre de (n + l) croissant.
Si, pour deux sous couches, cette somme est la même, celle qui a la plus petite valeur de n se
remplit la première. Ordre de remplissage selon la règle de klechkowski représenté dans le schéma
suivant :

Règle de Klechkowski

Exemple 3d = (n+l) = 3+2 = 5

4s = ( n+l) = 4+0 = 4 orbitale 4s à le plus valeur elle se remplis le premier 4s > 3d

2p = (n+l) = (2+1) = 3

3s = (n+l) = (3+0) = 3 2p remplis avant 3s car n=2 < n=3 le plus petit valeur de n

remplit le premier.

Exemple Fe= Z= 26

Fe = 1s2 2s2 2p6 3s2 3p6 4s2 3d6

O= Z=8 1s2 2s2 2p4

IV.4.1 Valence et couche de valence.

*Valence, c’est la capacité de chaque atome à former une liaison sa valeur est égale au nombre d’é
célibataire

Exemple O= Z=8 1s2 2s2 2p4 V =2

2é célibataire

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*Couche de valence, c’est la dernière couche électronique c’est à dire la couche la plus éloignée du
noyau.

*électron de valence, c’est les électrons qui se trouvent dans la couche de valence et qui
interviennent dans la liaison chimique des atomes pour former des molécules.

Exemple Z=23 Na = 1s2 2s2 2p6 3s2 3p6 4s2 3d3

Couche interne couche de valence,


Couche de cœur couche externe

IV.4.2 Couche électronique simplifiée (configuration du gaz rare + la couche externe)

Les gaz rares sont chimiquement stables et ont une configuration électronique de la couche
périphérique ou de valence : ns2 np6 .Pour décrire rapidement la configuration électronique d'un
atome, on peut utiliser la forme condensée : Configuration du Gaz rare + couche de valence.
Exemple
33As : 18 + 15 = 33 ; 18(Ar) 4s2 3d10 4p3
IV.4.3 Paramagnétique et diamagnétique,
Si il y a des é célibataire on dit que l’atome est paramagnétique, et si il n y a pas on dit
diamagnétique.

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