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Chapitre II Atome de Bhor
Chapitre II Atome de Bhor
III- Introduction
La lumière est issue des atomes et des molécules qui se trouvent dans un état énergétique
excité. Un électron dans son état fondamental est stable, si on lui apporte de l’énergie, il passe
à état instable (état excité). Quand il retourne à l’état fondamental, l’électron perd cette
énergie qui est restituée souvent sous forme d’énergie lumineuse. L’étude de ces
rayonnements (radiations) est d’une importance énorme en physique et dans d’autres
domaines (imagerie médicales, chimie…..).
En 1864 Max Well publie une théorie mathématique remarquable pour décrire tous type de
radiation comme étant une propagation d’un champ électrique et d’un champ magnétique
oscillant à la manière de vagues. Toutes les radiations comme la lumière, les microondes, les
signaux radio et télévision, les rayons X sont appelés radiations électromagnétiques (ondes
électromagnétiques).
- Une longueur d’onde λ (lambda) : Représente la distance entre deux crêtes (ou deux creux)
consécutifs. Elle est exprimée en (m, Å, µm et nm).
30
Chapitre III : L’atome de Bohr et la mécanique quantique
-
- Figure III.1 : Spectre électromagnétique
La lumière visible ne représente qu’une très faible portion de tout le spectre qui est visible à
l’œil humaine. Elle s’étend du violet (4,0.10−7 m) au rouge (8,0.10-7 m).
III.1.2.1- Spectre de la lumière visible (lumière blanche)
Le spectre de la lumière visible est un ensemble de couleurs qu’on peut observer lorsqu’on
décompose la lumière blanche à l’aide d’un prisme. Les couleurs s’étalent comme suit :
violet- indigo- bleu - vert - jaune - orange -rouge. Le spectre visible se situe entre 400 nm et
800 nm.
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Chapitre III : L’atome de Bohr et la mécanique quantique
- Le spectre de la lumière visible est un spectre continu parce que les longueurs d’onde
forment une suite de couleurs.
La décomposition à l’aide d’un prisme de la lumière émise par des atomes laisse apparaitre un
nombre limité de raies colorées séparées par des zones sombres où aucune lumière n’est
détectée. Ce spectre est appelé spectre de raie ou spectre d’émission atomique. Chaque
atome produit un spectre de raie propre à lui.
- Le spectre de raie est un spectre discontinu parce que les longueurs d’onde ne forment pas
une suite de couleurs.
- Quand un spectre ne comporte qu’une seule raie, la lumière analysée est appelée lumière
monochromatique, elle ne peut être décomposée par un prisme.
Planck postule que l’énergie transportée par les ondes lumineuses est quantifiée. La lumière
ne peut être émise ou absorbée que par des quantités finie (déterminée) appelée quantum
énergétique (hν). A cette quantité d’énergie Einstein a associé une particule sans masse et
sans charge qui est le photon. Cette particule (photon) se propage à la vitesse de la lumière et
possède un quantum d’énergie (E). D’où la nature corpusculaire de la lumière.
c
E = hν = h
λ
E : Energie en joule
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v : Fréquence (s-1)
c : Vitesse de la lumière
L’effet photoélectrique est l’extraction (émission) d’électrons par un métal sous l’effet de la
lumière. IL a été découvert en 1887 par le physicien Allemand Hertz mais n’a été expliqué
qu’on 1905 par Einstein.
Expérience
Dans une ampoule vide (pas de gaz) sont placées deux électrodes dont l’une est une plaque
métallique. Lorsqu’on envoie une lumière sur l’électrode métallique on observe le passage
d’un courant électrique dans le circuit.
Le passage de courant dans le circuit est dû à la circulation des électrons éjectés de la plaque
métallique avec une certaine énergie cinétique. L’effet photo-électrique est donc le
phénomène qui transforme la lumière (rayonnement) en courant électrique.
Principe
Lorsqu’on envoie une lumière de fréquence (v) sur une surface métallique, cette dernière émis
des électrons qui sont déplacés avec une énergie cinétique (Ec). L’effet photoélectrique
apparait lorsque la, fréquence de la lumière incidente est supérieure la fréquence d’extraction
appelée fréquence de seuil, qui dépend de la nature du métal.
hν = hν0 + EC
hv : L’énergie d’irradiation.
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Chapitre III : L’atome de Bohr et la mécanique quantique
1
EC : L’énergie cinétique, 𝐸𝑐 = 𝑚𝑣 2 .
2
hν = hν0 + eU
e = 1,6.10-19 C
U : potentiel retardateur
Lorsqu’on excite un atome d’hydrogène sous faible pression, il émet un rayonnement rouge
qu’on peut décomposer à l’aide d’un prisme.
L’ensemble (le groupe) de raies obtenu est appelé série (domaine de longueurs d’ondes).
Le spectre de l’atome d’hydrogène est le plus simple, il comporte quatre raies dans le
domaine du visible (rouge, verte, bleue et violette)
Balmer (1825-1898) et Rydhberg (1854-1919) ont montré que les longueurs d’onde des raies
rouge, verte, bleue, et violet émises par l’hydrogène sont trouvées par l’équation dite Relation
de Rydberg :
1 1 1
= RH ( 2 − 2 )
λ 2 n
Exp :
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Cette relation a été généralisée par Ritz à toutes les raies du spectre d’émission de l’atome
d’hydrogène.
1 1 1
= R H ( 2 − 2 ) /n2 > n1
λ n1 n2
Pour élaborer son modèle, Bohr a utilisé la théorie des quanta de Planck et d’Einstein avec le
modèle planétaire de Rutherford où toute la charge et toute la masse sont concentrées dans le
noyau et les électrons sont situés dans l’espace extérieur au noyau.
Bohr propose un modèle plus simple de l’atome d’hydrogène : l’électron tourne sur une orbite
(trajectoire) circulaire autour du noyau.
- Pour éviter les contradictions avec la physique classique, Bhor propose les postulats
suivants :
Le 1er postulat
L’électron ne peut circuler que sur certaines orbites circulaires stationnaires correspondant à
des niveaux d’énergies définies où il est stable (énergie constante). Autrement dit l’énergie de
l’électron est quantifiée.
Le 2éme postulat
Le moment cinétique de l’électron ne peut prendre que des valeurs discrètes égales à des
ℎ
multiples entiers de la quantité (condition de la quantification de Bohr).
2𝜋
h
mvr = n
2π
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Le 3éme postulat
Lorsque l’électron passe d’une orbite stationnaire permise à une autre, la différence d’énergie
entre les deux orbites correspond à une émission ou à une absorption d’une radiation
électromagnétique dont la fréquence est donnée par la relation suivante :
∆E
υ=
h
ℎ2
rn = 𝑛2
4𝐾𝜋 2 𝑚𝑒 2
Avec :
r1 = a0 = 0,53 Å
L’orbite correspondant à n = 1 est la plus proche du noyau et l’énergie de cet électron est la
plus faible. Le niveau de faible énergie est appelé état fondamental.
2K 2 π2 e2 1
E1 = E0 = − × 2 = −13,6 eV
h2 1
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Lorsque l’électron occupe une orbite plus éloignée du noyau (n > 1), son énergie augmente et
l’atome se trouve dans un état excité.
Seuls certains niveaux d’énergie sont permis (l’énergie est quantifiée) et l’électron ne peut pas
occuper des niveaux intermédiaires.
Lorsqu’un électron passe de l’état fondamental (n =1) à l’état excité (n ≥ 2), l’atome absorbe
une quantité d’énergie. Cet électron excité retourne naturellement à son état fondamental en
émettant sous forme de lumière l’énergie initialement absorbée.
n ≥2 n ≥2 n ≥2
Absorption Emission
ΔE > 0 ΔE < 0
n =1 n =1 n =1
Etat fondamental Etat
37 excité Etat fondamental
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- Une transition électronique est le passage de l’électron d’un niveau d’énergie à un autre, elle
s’accompagne de l’émission ou de l’absorption d’énergie égale à la différence d’énergie (ΔE)
des deux niveaux.
1 1
∆E = Enf − Eni = E0 (n 2 − n 2 )
f i
- Un groupe de raie (transition) constituent une série et chaque série correspond à un domaine
spectral.
Série Lyman (K) Balmer (L) Paschen (M) Brackett (N) Pfund (O)
nf 1 2 3 4 5
ni 2,3,4…….∞ 3,4,5…….∞ 4,5,6……∞ 5,6,7……...∞ 6,7,8..…...∞
Domain spectrale UV Visible IR proche IR proche IR lointain
La raie limite λ∞ : (∞ n)
- Le passage de l’électron du premier niveau (état fondamental) vers l’infini est appelé
ionisation (extraction).
E0 E0
∆Ei = E∞ − E1 = −E1 = 13,6 eV, (E∞ = = = 0)
n2 ∞
Selon la quantité d’énergie reçue par un atome d’hydrogène, l’électron passe de niveau n =1
aux niveaux n = 2, 3, 4 ….∞. Ces électrons excités retournent naturellement à leur état
fondamental en une ou en plusieurs étapes en libérant sous forme de lumière leurs énergie
absorbée initialement « Ce phénomène est à l’origine des raies lumineuses observées dans le
spectre d’émission de l’atome d’hydrogène.
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Chapitre III : L’atome de Bohr et la mécanique quantique
Le dédoublement des raies qui apparait dans les spectres des atomes poly-électronique est
expliqué dans le cadre de la mécanique quantique ou ondulatoire. La mécanique quantique est
basée sur un certains nombres de principes et de lois.
La lumière est une onde électromagnétique d’après Planck et elle considérée comme un
corpuscule sans masse d’après Einstein.
E = hν (Planck)
E = mc 2 (Einstein)
h
D’où la relation suivante : λ = mc (dualité onde corpuscule)
A toute particule (corpuscule) de masse m et de vitesse v est associée une onde de longueur
d'onde λ. définit par :
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Chapitre III : L’atome de Bohr et la mécanique quantique
h
λ=
mv
h
λ=
me v
ℎ
∆𝑥. ∆𝑣 ≥ 𝑚
𝒉
h= ( h : Constante de Planck).
𝟐𝝅
Si on veut calculer avec précision l’énergie d’un électron dans un atome, il faut accepter
qu’on puisse seulement calculer la probabilité de trouver cet électron dans une région de
l’espace déterminée.
40
Chapitre III : L’atome de Bohr et la mécanique quantique
𝟐
𝚿𝒏𝓵𝒎 n’a pas de signification physique mais ( 𝚿𝒏𝓵𝒎 ) représente la probabilité de présence de
l’électron.
Le nombre quantique principal (n) peut prendre des valeurs entières de 1 à l’infini. Sa valeur
détermine l’énergie de l’électron et la taille de l’orbitale.
Valeur de n 1 2 3 4 5 6 7
La couche K L M N O P Φ
Le nombre quantique secondaire ou azimutale (ℓ) est un entier qui peut prendre des valeurs
l’orbitale atomique.
0 s
1 p
2 d
3 f
4 g
5 h
correspondant à la valeur de ℓ.
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Chapitre III : L’atome de Bohr et la mécanique quantique
Les valeurs de « m » permises donnent le nombre d’orbitales dans une sous couche. Ce
Le nombre d’orbitale dans une couche est donné par la formule n2.
Remarque : L’état quantique d’un électron est donné par le quadruplet quantique (n,l,m, et
s).
probabilité de présence de l’électron est identique dans tout point entourant le noyau. Le
diamètre de la sphère augmente avec la valeur de n.
Les orbitales « p » définis par ℓ = 1 ont toutes la même forme (forme de lobe). Trois valeurs
de « m » possibles m = -1, 0, +1, les trois orbitales sont nommées px, py, pz. L’orbitale « p »
est représentée par trois cases quantiques.
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Chapitre III : L’atome de Bohr et la mécanique quantique
L’orbitale px : la probabilité de présence est maximale selon l’axe x et nulle dans le plan (yz).
L’orbitale py : la probabilité de présence est maximale selon l’axe y et nulle dans le plan (xz).
L’orbitale pz : la probabilité de présence est maximale selon l’axe z et nulle dans le plan (yx).
Le plan où la probabilité de présence est nulle est appelé plan nodal.
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Chapitre III : L’atome de Bohr et la mécanique quantique
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Chapitre III : L’atome de Bohr et la mécanique quantique
Exercice supplémentaires
Exercice N° 4
Une cellule photoélectrique est éclairée par une lumière de longueur d’onde égale à 0,55 µm.
1- Que se passe-t-il si la cellule est au sodium ? Au césium ?
Données : λ0 (Na) = 0.5 µm, λ0 (Cs) = 0.66 µm, h = 6,62.10-34 J.s, c = 3 .108 m/s,
me = 9,1.10-31 Kg.
Corrigé
1- Le fonctionnement de la cellule
- Si la cellule est au sodium
λ0 (Na) = 0,50 µm
λ = 0,55 µm
λ > λ0 la cellule ne fonctionne pas (pas d’effet photoélectrique)
- Si la cellule est au césium
λ0 (Cs) = 0,66 µm
λ = 0,55 µm
λ < λ0 donc la cellule fonctionne (effet photoélectrique)
2- La vitesse maximale des électrons émis
Les électrons sont émis dans le cas où la cellule est en césium (effet photoélectrique)
1 2EC
Ec = m v2 ⇒ v =
2 e me
E = E0 + Ec ⇒ E c = E − E0
hc hc 1 1
Ec = − = hc ( − )
λ λ0 λ λ0
6,62. 10−34 × 3. 108 1 1
E0 = −19
= 6,62 . 10−34 × 3. 108 −6
−
3. 10 0,55. 10 0,66. 10−6
Ec = 6,02. 10−20 J
2 × 6,02. 10−20
v= = 3,64. 105 m/s
9,1. 10−31
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Chapitre III : L’atome de Bohr et la mécanique quantique
Exercice N°1
1- Calculer la fréquence d’une radiation ayant une longueur d’onde de 625 nm.
2- La longueur d’onde des rayons X est-elle plus élevée que celle de la lumière ultraviolette ?
3- Comparer l’énergie des photons de lumière bleue (λ = 400 nm) à celle des photons d’une
micro-onde de fréquence égale à 2.45 GHz. Par quel facteur l’une est-elle plus grande que
l’autre?
5- Cette cellule fonctionnera-t-elle si ce métal est éclairé par une radiation de longueur
350 nm?
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Chapitre III : L’atome de Bohr et la mécanique quantique
Exercice N°4
Les niveaux d’énergie en (eV) de l’atome d’hydrogène selon le modèle de Bohr sont donnés
par la relation :
−13,6
En =
n2
3- Que signifie « l’état ionisé » et quelle est la longueur d’onde susceptible d’ioniser cet
atome à partir de son état fondamental?
Exercice N°5
Dans le spectre de l’atome d’hydrogène, on trouve les trois raies suivantes caractérisées par
leurs longueurs d’ondes λ1 = 434,1 nm, λ2 = 486,1 nm et λ3 = 656,3 nm.
1- A quel domaine du spectre électromagnétique appartiennent ces rayonnements lumineux ?
2- Calculer les énergies correspondantes en joule et en eV.
3- Donner le diagramme des niveaux d’énergie de l’atome d’hydrogène, en précisant l’état
fondamental, les états excités ainsi que l’état ionisé.
4- Quel doit être l’énergie du photon pour faire passer l’atome d’hydrogène du niveau n = 1 à
n=4?
Exercice N°6
1- Un atome d’hydrogène dans son état fondamental absorbe un photon de longueur d’onde
égale à λ1 = 970,87 Å, sur quel niveau l’électron se trouvera-il après cette absorption.
2- A partir de ce niveau, l’électron émet un photon de longueur d’onde égale à λ2=18790 Å
sur quel niveau l’électron se trouvera-il après cette émission.
3- Représenter sur un diagramme énergétique les deux transitions correspondant à ces deux
raies.
Données : RH = 1,1.10+7 m-1.
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Chapitre III : L’atome de Bohr et la mécanique quantique
Exercice N°7
Quelles sont les valeurs possibles de :
a- ℓ et m lorsque n = 4
b- m lorsque ℓ = 2
Exercice N°8
1- Quelles sont, parmi ces combinaisons celles qui sont permises ?
2- Justifier les combinaisons qui ne sont pas permises.
a- n = 1, ℓ = 1, m = 0, s = +1/2.
b- n = 2, ℓ = 0, m = 0 .
c- n = 4, ℓ = 1 , m = -1, s = 0 .
d- n = 0, ℓ = 0, m = 0, s = +1/2
e- n = 3, ℓ = -2 , m = -1, s = + 1/2 .
f- n = 5, ℓ = 4, m = 3, s = -1/2
g- n = 2, ℓ = 1 , m = 0, s = +1/2 .
Exercice N°9
Donner la notation des orbitales atomiques suivantes :
1- n = 3, ℓ = 1
2- n = 4, ℓ = 0
3- n = 4, ℓ = 2
4- n = 5, ℓ = 3
5- n = 4, ℓ = 2 et m = -1
Exercice N°10
1- Quel est le nombre maximal d’orbitales sur le niveau d’énergie n = 4 ?
2- Combien d’orbitales d et f existent-ils ? Quelles sont les valeurs de m ?
3- Quel est le nombre maximal d’orbitales définies par les nombres quantiques suivants :
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Chapitre III : L’atome de Bohr et la mécanique quantique
a- n = 4 et ℓ = 3.
b- n = 3, ℓ = 2 et m = -2
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