Pr :Gamrani . Ab/ Sa3i .

M 2éme Bac( Pc-Svt) FONCTIONS NUMÉRIQUES Page : 1/3

Ensemble de définition Continuité d’une fonction Fonction réciproque • =∞ Fonctions exponentielles
→
Type Condition • est continue en si et • Si est continue et Si = →B.P de direction H × HE = H JE

/ ≠ seulement si : strictement monotone sur 0 →

K
l’axe des abscisses. H = HK ; H1 =
= alors elle admet une H
√ ≥ →
= ∞ →B.P de direction H
• limites usuelles des fonction réciproque 1 Si
→ =H 1E
> définie sur 2 = 0 l’axe des ordonnées . HE
fonctions trigonométriques :
ln| | ≠ • et 1 ont le même • Signe de H :
= = Si = et
Eléments de symétrie. →
;
→ sens de variations. → ∀ ∈ ℝ ,H >
• Axe de symétrie − − = ∞ → B.P de Equations : pour E >
= • 89 : et ;9 < = sont →
la droite ∆ : = est un → direction ∆ : y=ax • H = E ⇔ = OPE
• Continuité sur un intervalle : symétriques par rapport • = E ⇔ = OQRE
axe de symétrie de 9 si : Point d’inflexion
On utilise les fonctions usuelles à ∆ :A = • =E⇔ = S E
∀ ∈U : − ∈ U HV • ∈0 A∈2 : Si ′′ s’annule en changeant de
et les opérations sur les Limites usuelles
− = fonctions continues 1
=A⇔ A = signe en alors 0 , est un
H
cas particulier : = la 1 point d’inflexion de 9 H = +∞ ; = +∞
fonction est paire. 9 est
Dérivabilité d’une fonction • ′ E = F →J P →J
P
1
=O H = ; H =
symétrique par rapport à . Si :
→ 1 =E; ′ ≠ →1 →1
Fonctions logarithmes H −
l’axe des ordonnées. est dérivable en et =
• Centre de symétrie. W
=O Fonctions dérivées • E = + E →
K
Le point 0 , E est un centre Z[ W = ZW [ + Z[′ • = KOP Equations différentielles
89 : admet une tangente
de symétrie de 9 si : Z W ZW [ − Z[′ • ; ==− L’équation : AW = A + E
au point A ; ; = =
∀ ∈U : − ∈ U HV [ [ a pour solutions les fonctions
d’équation :
Z\[ W = Z′ [ × [′ • ;E= = − E E
− = E− A= W − + K W K1
A = `H − ; `∈ℝ
cas particulier : = E = la Z = KZ′Z • OP8√ : = OP ; OP W
=
1 Equation∶ A" + EA′ + _A =
Si : =∞ Z′ Z′
fonction est impaire . → 1
W
8√Z: =
P W
, 8 √Z: = P Signe de ( = Equation caractéristique
9 est symétrique par n’est pas dérivable en √Z P √ZP1 • > ⇔ > c ∶ K + EK + _ = K∈ℂ
8]^P Z :′ = Z′ × _Q] Z • < ⇔ < < e=E −f _
rapport à l’origine du repère. 89 : admet une tangente
verticale au point A ; 8_Q] Z :′ = −Z′ × ]^P Z Equations : • Si e > : A = `HK + gHK
Périodicité 8V P Z :′ = Z′ × + V P Z • = E ⇔ = HE `, g ∈ ℝ .
Si O = la tangente est ZW Z W Z 1E
• Le nombre k est une OP|Z| ′ = Z ; H = Z′ × H • OQR =E⇔ = E • Si e = : K = ;
horizontale au point A ; K
période de la fonction • S =E⇔ = E A = ` +g H
Théorème des valeurs Branches infinies
( `, g ∈ ℝ
= ∞ → = , A.V • S =
si : intermédiaires • • Si e < :
∀ ∈ U , + k ∈ U et →
• Si est continue et • = E → A = E , A.H Limites usuelles. 1EJ^√1∆
+k = → OP K = hhh
et K = K
• Les fonctions →
strictement monotone sur
• − +E = • OP =+∞ ; P =
[ ; E] et × E < →
→J K = i + ^j
→J
et → ]ont → A= + E A.oblique A = ` j +g Hi
l alors ∃! ` ∈ ] ; E[ ⁄ ` = . • OP =-∞ ; P
OP =
périodiques de période | | → Y → Y `, g ∈ ℝ
• Si est continue et strictement [ = et OP J
monotone sur 0 et ∈ 0
→ • = ; =
→ 1 →
E= − ]
alors ∃! ` ∈ 0 ⁄ ` = →
 Pr :Gamrani .Abd / Sa3i .M NOMBRES COMPLEXES -GÉOMÉTRIE DANS L’ESPACE 2éme Bac( Pc-Scvt) Page : 2/3
1⃗ ; ; ! , X
Soient les vecteurs 3 1⃗ Q
; Q
; !′ et les points
= + ∈ ℝ; ∈ℝ , Y , Z , , D Y , Z ,
Forme algébrique Formules d’Euler
*< = * *@ = *
• 9:; * = ; ;>? * = , , , D D D
= ; = 1⃗. X
3 1⃗ = ′ + ′ + !!′ ; ‖3
1⃗‖ = + +!
• = ⇔ = = (Utilisées pour la linéarisation ) Produit scalaire
1⃗ ⊥ X
3 1⃗ ⇔ ′ + ′ + !!′ =
∈ℝ⇔ = ; Q Q
′ 1R⃗
1⃗⋀X
• 3 1⃗ = ^⃗ − _⃗ +
Géométrie du plan et complexe
milieu de A ; B : = , D
<C
•
• ∈ ℝ⇔ = •
! !Q
! !
Q
′
Affixe de ,D 111111⃗ : 111111⃗ = D − , 111111⃗⋀,E
• Les pints ,, D, E sont alignés ⇔ ,D 11111⃗ = 1⃗
Produit vectoriel
• ,D
• = + = − F
Conjugué
Angle ,D 111111⃗ 11111⃗ :
, ,E Aire de ,DE l,DE = 111111⃗⋀,E
m,D 11111⃗m
• ∈ℝ⇔ = ; ∈ ℝ ⇔= =−
donc
•
− ,
• + = ; − = 111111⃗, ,E
),D 11111⃗+ = ,-. G ! H Le plan n oY + pZ + q + r = a pour vecteur
D− ,
•
• = + normal 1⃗ o, p, q
+ = + • n plan passant par , et de vecteur normal 1⃗
, , D , E sont alignés si ! , ∈ ℝ
@
• Alignement
1111111⃗. 1⃗ = (équation cartésienne de n )
•
= ×
;
D@ , 0 Y, Z, ∈ n ⇔ ,0
• Plan dans

• = ; = •
L’espace
• Le plan ,DE a pour vecteur normal ,D 111111⃗⋀,E
11111⃗
,D ⊥ ,E $ !@ ,
∈ ℝ • Le plan tangent à une sphère de centre S en , a pour
Perpendicularité :

= + = −
D@ ,
vecteur normal ,S111111⃗.
Module
Cercle : E ,,- J K0 ⁄| − , | = -M
une représentation paramétrique de la droite & passant
; •
•| | = √ = + • Y = Y, +
=|
| | &A,DB = K0 ∕ | − , | = | − D |M
Médiatrice :
•| × |= | |×| |; , et de vecteur directeur 3 1⃗est sZ = Z, + ∈ℝ
Droite dans
| = |O| = ,+ !
L’espace
!@ ,

•| | = | | •| | = ⇔ = • !@ ,
=O⇔P D@ ,
• ,D = Y, − YD + Z, − ZD + , − D
D@ ,
-. !@ ,
= -. O
|uvw <xyw <z{w <||
t),, n + =
D@ ,

+ + ! = ; , , ! des réels et
Equation du second degré •
u <x <z
• Translation de vecteur 31⃗
Transformations planes Distances
≠ $% & = −' !
111111⃗⋀,E
m,D 11111⃗m
t)E, ,D + =
1⃗ 0 = 0 ⇔ = + 31⃗
Q Q 111111⃗m
Si & < les solutions sont m,D
•
3
• Homothétie de rapport R , centre S L’équation cartésienne de la sphère de centre S ,
− + |&|
= ; = T 0 = 0Q ⇔ Q = R − S + S rayon est : Y − + Z− + −! = .
• Rotation d’angle * , centre S L’équation cartésienne de la sphère de diamètre A,DB et
Sphère

0 = 0Q ⇔ Q = * − S + S 1111111⃗. D0
,0 1111111⃗ = ( calcul à développer )
= | |)!% * + $ * +
Forme trigonométrique.

Réciproque ′ = + • Si t)S, n + > ; l ∩ n = ∅.

* = ,-. 1111111⃗, 3
= /0 1⃗ Si = : translation de vect 31⃗ = • Si t)S, n + < ; n coupe l selon un cercle de rayon- =
Si ∈ ℝ∗ − K M : homothétie de √ − t et de centre •.
= | | )!%$ * + $ * +
Formule de Moivre
• Si t)S, n + = ; n tangent à l en •
Si ∉ ℝ | | = : Rotation d’angle
rapport .
Y, Z,
d’une l et d’un
Position relative
• ,-. × ≡ ,-. + ,-. Y= + Y,
Argument et opérations
-.
• le triplet de coordonnées de H est solution de
plan n
• ,-. ≡ ,-. − ,-. oY + pZ + q + r =
sZ = + Z, ; oY + pZ + q + r = ,
= !+ ,
Le centre de la rotation ou d l’homothétie
• ,-. ≡ ,-. et le point S d’affixe S =
@
o + Y, + p + Z, + q ! + +r =
solution de L’équation :

5 = |5|6 78 ; * = ,-.
Ecriture exponentielle :
E
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CALCUL INTÉGRAL La valeur moyenne : de Limite d’une suite Probabilités Variable aléatoire.
Fonction primitive sur ; : • %&' () = * si − < ( < Formules > H = & étant la probabilité
W primitive de sur = si W est • ,- . () = +∞ si ( > • > ?∪A => ? +> A − de l’événement ≪ H prend la
Intégration par parties :
dérivable sur = et W = • Toute suite croissante > ?∩A valeur & ≫. La loi de
L’intégrale = − ′ é234&55 )67 et majorée • ? ∩ A = ∅ alors : probabilité de la variable
'&)43é7 est convergente > ?∪A = > ? +> A aléatoire H est donnée par le
= W D
Calcul d’aires :
• Partie délimitée par • Si ) ≤ ) ≤ 9) et • > ? = −> ? tableau :
Primitives des fonctions usuelles l’axe des abscisses et les %&' ) = %&'9) = % alors %&' ) = % (Utiliser dans avoir au moins
& $ …. )

3
droites = ; = : • Si | ) − %| ≤ )
une fois) > H= & > >$ >)
=X 3;
Y %&' ) = * alors %&' ) = %
)
= | | µ .
Equiprobabilité
3+ Et
2 3 ?
− • Si ) ≥ ) et > ? = K >&L
= [$√ \ , =X Y • Partie délimitée par
2 3 E
√ $
et les droite : = ; = %&' ) = +∞ alors %&' ) = +∞
&L
• Espérance mathématique
) ≤ ) et
• Probabilité conditionnelle :
∆ : = + ! est Si
> ?∩A E H = ∑)&L & × >&
= %)| | , 7 = 7 %&' ) = −∞ alors %&' ) = −∞ >? A =
= | − | µ • Suite définie par une fonction. > ? • Variance
)
= X %)| + !|Y ); = ) , ) ∈ = indépendance de deux
+! continue sur = si O H =K $
× >& − P H
$
Calcul de volumes : ) convergente événements. &

"=# $
µ
alors sa la limite est solution de ? et A sont indépendants &L
7 ;!
=X 7 ;!
Y l’équation de = si : > ? ∩ A = > ? > A • Ecart-type
SUITES NUMÉRIQUES Ou >? A = > A Q H = RO H
La récurrence PROBABILITÉS Arbre pondéré Loi binomiale
245 +! = 5&) +! • Pour ) = * , on * Dénombrement Soit une expérience aléatoire
• Supposons que ) … • Le nombre d’arrangements p 1-p consistant à répéter ) fois , de
et montrons que ); … avec répétition de > objets
− manières indépendantes une
5&) +! = 245 +! • Conclusion d’après le D même épreuve. F un
parmi ) est )> ? ?
principe de récurrence
∀) ∈ ℕ ) … • Le nombre d’arrangements événement de cette épreuve et
′ =
3 3; q 1-q r 1-r
3+ Suite arithmétique sans répétition de > objets parmi > sa probabilité
′ = +3
>
) est ?) . A D
A A D
A Soit H la variable aléatoire qui
= %) | | • ); )
• ) = >+ )−> 3 • Le nombre de permutations de ) > A = >( + − > 3 associe à chaque résultat de
7 = [7 \ ) >; ); > objets est )!. *épreuves répétées. l’expérience le nombre de fois
• ∑)> G = F un événement tel que de réalisation de l’événement F
$ • Le nombre de combinaisons
) );
• + $…) = de > objets parmi ) est ).
> > F = > dans un épreuve. On dit que H suit la loi binomiale
′ $
> Si on répète cette épreuve ) de paramètres ) et >
= $ ]R ^ Suite géométrique > ?) )!
R • =(× ) ) = = • > H = G = G) >G − > ) G
>! >! ) − > !
);
fois alors la probabilité de
= > × () > réalisation de F exactement G ∈ S*, , $, . . )V
• )  Tirage successif avec remise : )>
′ − ()y>z > G fois est : G) >G − > ) G • P H = )>
=X Y • ∑)GL> =
>  Tirage successif sans remise : ?)
$ G ( > *≤G≤) • O H = )> − >
()z
 Tirage simultané : )
• ∑)GL* (G = (