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ORIGINE des églises rupestres.


Sul finire del III sec. nelle aree desertiche dell’Egitto, Palestina,
Siria, Cappadocia si formano le prime comunità di monaci guidate
da santi eremiti (“Padri del deserto”), insediate in grotte del tutto
isolate. In seguito, soprattutto dopo i crollo dell’impero romano
d’occidente, la pratica del monachesimo si diffonde anche in
occidente. S.Antonio Abate (Egitto, 251), nella tradizione latina e
bizantina, è ritenuto il fondatore delle più antiche comunità
monastiche cristiane. Altri precursori del monachesimo furono:
S.Paolo di Tebe, S.Pacomio (Egitto, 287), S.Ilarione (Palestina, 291),
S.Basilio (Cappadocia, 330); quest’ultimo fondò i suoi monasteri non
in luoghi deserti ma nelle città o nelle loro vicinanze, in modo che i
monaci vivessero inseriti nella comunità civile.
Jusqu'il y a quelques décennies on supposait que des moines et
des anachorètes byzantins avaient occupé les grottes locales
(abandonnées pendant la période classique) à la suite des
persécutions iconoclastes de la première moitié du VIII. De quoi
s'agit-il? L'empereur byzantin Leone (Lion) III Isaurico, préoccupé
surtout par la croissante influence des monastères sur le peuple,
décida d'interdire la pratique de la vénération des immages sacrées
et de les détruir; c'est comme ça que beaucoup de réligieux furent
obligés à s'enfuir et arrivés ici formèrent de nombreuses
communautés monastiques de rite grec entièrement isolées de la
vie civile. Plus récemment ce mhyte des établissements
érémitiques ou monastiques a été remis en question aussi parce
que nous n'avons pas de fresques ou d'autres trouvailles remontant
avant le X siècle (et le persécutions iconoclastes remontent à la
première moitié du VIII). Ce qui est certain, c'est que avec la
seconde domination byzantine (dès la deuxième moitié du IX) on
assiste à l'édification de nombreuses églises et monastères rurales
et rupestres (en grotte): ces lieux étaient souvent édifiés par un
pieux bienfaiteur, un commettant privé qui se consacrait à la prière
et à la pénitence en fondant une communauté monastique. Ce
réseau de lieux de culte gréco-latin fut utilisé à partir du XI par les
Normands pour restaurer le culte catholique dans les zones rurales
encore influencées d'une façon très forte par la culture de Byzance
(on rappelle que l'église orientale s'était divisé de l'église catholique
avec le schisme du 1054 de Michele Cerulario, patriarche de
Constantinople). Instrument de ce projet de "restauration" furent les
grandes abbayes des Bénédictins* dans l'Italie méridionale à
lesquelles les princes normands donnèrent la plupart de ces petites
églises; bientôt autour de ces lieux de culte des fermes et des
villages furent édifiés et peu à peu ces lieux se repeuplèrent.
* L’ordre des Bénédictins, est une fédération de monastères ayant adopté la
règle de saint Benoît de Nursie, qui donc est considéré comme le fondateur
(en 530). Ce n'est pas le plus ancien Ordre de l'Occident chrétien mais c'est
celui qui a connu le plus large succès. La communauté bénédictine est
fortement liée sous l'autorité paternelle de l'abbé, parole dérivée de l'araméen
(langue parlée en Israël à l'époque de Jésus) qui signifie "père" : cette
fonction correspond à celle de l'igumeno des communautés de rite grec. Tout
ce qui était consommé par la communauté était produit à l'intérieur du
monastère: en effet la vie à l'extérieur était considérée négative pour la vie
spirituelle des moines. En appliquant la règle de l'ordre "ora et labora" (prier
et travailler), les Bénédictins furent aussi importants pour le développement
économique: ils introduisirent pour exemple l'apiculture, la pisciculture
[pissiculture], les herbes médicinales. L'ordre fut important pour la conservation
de la culture classique au Moyen Âge et l'éducation.

STRUCTURE
La plupart des églises rupestres ne sont pas datables d'une façon
très précise vu que les fresques presque jamais sont datées et les
fouilles archéologiques en ce domain sont plutôt rares.
Il s'agit d'une "architecture en negatif" réalisée non pas en ajoutant
mais en soustrayant du matériau: on pourrait parler de sculpture
plutôt que d'architecture. L'architecture rupestre cherche à
reproduire l'illusion d'une église traditionelle de maçonnerie; en effet
l'utilise des arcs, des piliers et des colonnes est superflu étant
donné que la formation rocheuse n'a pas besoin de soutiens.Très
répandu l'utilise d'arcature aveugles qui abritaient un cycle pictural;
elles servaient à mouvementer la paroi rocheuse et en outre étaient
de facile réalisation. La décoration architectonique est complétée
par fausses cupoles, faux pilastres, plafonds travailles. Dans une
église rupestre nous trouvons le differentes zone d'une église
traditionelle de l'époque. Le narthex est un vestibule situé entre les
nefs et la façade qui avait la fonction d'abriter les publics pénitents
et les catéchumènes (à savoir ceux qui commencaient un percours
de foi pour etre admis au sacrement du Baptème). La zone
destinée aux fidèles présentait souvent des sièges en pierre, des
arcatures aveugles avec un cycle pictural; le naos était séparée de
la zone réservée au clergé (le bema ou sanctuaire) par une cloison,
un muret appelé iconostase. Elle peut être en général de deux
types: une simple balustrade (inspirée à la pergula paléochrétienne)
ou une parois qui arrive jusq'au plafond avec porte et arcades
laterale (inspirée au templon byzantin); ce dernier genre avait la
fonction de cacher l'action liturgique. Le bema ou sanctuaire est la
zone dédiée au clergé et se présente surélevée par rapport à la
pièce destinée aux fidéles (naos). La zone la plus importante du
sanctuaire est l'abside; en effet c'est dans cette zone ainsi cachée
qui se concentrent les fresques les plus significatives, les décorations
architectoniques les plus riches. Dans l'abside nous trouvons le
maître-autel qui peut être de deux types: à la grecque (à savoir un
bloc de pierre isolé) ou à la latine (le bloc est appuyé à la paroi); en
effet dans la tradition liturgique orientale le prêtre a l'habitude de
tourner autour de l'autel. L'autel représente un précieux instrument
de datation; en effet l'utilise de celui mural (à paroi, addossé à la
paroi) fut établi par un Concile du 1215 (donc ceux à la grecque
sont antérieurs à cette année). À gauche du maître-autel nous
trouvons souvent un plan d'appui appelé prothesis qui abritaiat les
offres du pain et du vin; à droite nous trouvons par contre un plan
d'appui appelé diaconicon utilisé pour abriter les parements d'autel.
LES FRESQUES: comment elles étaient réalisées.
Il est nécessaire de dire quelque chose pour expliquer la présence
de fresques très anciennes (quelquefois même d'un millenaire)
ainsi bien conservées malgré les conditions environnementales
plutôt difficiles. Cela est du à une tecnique particulière. Avant tout
les "Mastri frescanti" (maîtres des fresques) étendaient une couche
d'enduit très humide sur laquelle on appuyait un modèle en carton
(ou outre matériel) avec la silhouette du sujet à représenter
finement criblé de trous; ensuite on tamponnait le carton avec un
chiffon imbibé de poudre de charbon en laissant ainsi la trace sur
l'enduit clair: voilà pourquoi en quelque cas (souvent dans la même
église) nous trouvons deux fresques aux couleurs différentes mais
de forme identique, souvent en positif et négatif car on utilisait le
même carton tourné au contraire. Ensuite la fresque était
définitivement dessinée et colorée, en ajoutant des couleurs
obtenues en mêlant chaux, poudre de tufeau, poudres colorées
obénues par la trituration de minérales ou par substances
(matières) organiques végétales. Tout cela devait se dérouler tant
que le support était encore humide; c'est seulement ainsi que les
couleurs se fixaient d'une façon pratiquement indélébile et
pouvaient résister pendant des siècles.

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