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Monachisme chrétien
Le monachisme chrétien est pratiqué de l'Antiquité
jusqu'à nos jours. Il trouve son origine dans la tradition
évangélique et les pratiques spirituelles orientales. Les
moines et les moniales, au sein d'un ordre monastique,
suivent en général une règle dont la plus ancienne est la
règle de saint Augustin et la plus répandue celle de saint
Benoît ; ces deux règles, et leurs nombreuses
interprétations, ont justifié des modes de vie et
d'organisation variés.
Dans son Histoire ecclésiastique, l'auteur chrétien du ��e siècle, Eusèbe de Césarée, décrit les
Therapeutae (membres d’une secte juive hellénisée vivant dans des monasterium au voisinage
d'Alexandrie) de Philon comme les premiers moines anachorètes chrétiens, identifiant leur
renonciation à la propriété, leur chasteté, leurs jeûnes et leurs vies solitaires à l'idéal cénobitique
des moines chrétiens. Jean Cassien fait remonter à l'apôtre Marc les anachorètes dont les
1
Thérapeutes seraient les réalisateurs . Cette hypothèse de continuité historique entre les
Thérapeutes et les moines est invalidée car la communauté juive d'Alexandrie est détruite au début
2
du ��e siècle .
Une deuxième hypothèse formulée par Jean Cassien voit l'origine du cénobitisme dans la
communauté primitive de Jérusalem dans les Actes des apôtres. Cette hypothèse fragile repose sur
la vison idéalisée de cette communauté, les fondateurs du monachisme ayant voulu se placer dans
sa continuité pour retrouver l'idéal de sociabilité chrétienne. Or cette communauté à Jérusalem
était urbaine, mixte et missionnaire alors que les premières formes de communauté cénobitique
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étaient rurales, masculines et coupées du monde .
Une troisième hypothèse martyrologique veut qu'avec la Paix de l'Église les moines prennent le
relais des martyrs pour incarner, par l'ascèse, la sainteté. Cette filiation est difficile à établir car les
premiers moines apparaissent avant la fin de la persécution des chrétiens et font ce choix de vie
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alors que les martyrs subissent .
Une quatrième hypothèse voit dans la naissance du monachisme le développement d'une veine
ascétique attestée dans le christianisme dès l'origine, notamment dans l'encratisme gnostique.
Cette hypothèse séduisante soulève la question d'expliquer pourquoi le monachisme n'est apparu
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qu'au ���e siècle .
La dernière hypothèse, émise par Peter Brown en 1983 dans Genèse de l'Antiquité tardive, suggère
que les premiers moines ont exploité un dysfonctionnement des relations sociales et surtout du
rapport au sacré. Ils remplacent les prêtres dans leurs fonctions d'interlocuteurs directs de la
divinité. Paradoxalement, ils exercent un attrait croissant sur le monde (les gens venant les
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consulter) à mesure qu'ils cherchent à le fuir . Cependant, cette hypothèse explique plus l'essor du
monachisme que son origine.
moines.
Les bâtiments étaient indépendants, humbles et de petite taille. Selon Sozomène, chaque cellule
contenait trois moines. Ils prenaient leur repas dans un réfectoire commun ou dans une salle à
manger à 15 heures, heure jusqu'à laquelle ils restaient à jeun. Ils mangeaient en silence, avec leurs
capuches si baissées sur leur visage qu'ils ne pouvaient voir rien d'autre que la table au-dessous
d'eux. Les moines ne passaient pas leur temps à célébrer des offices religieux ou à étudier les
textes : leurs journées étaient essentiellement consacrées au travail manuel. Vers le ��e siècle,
Palladius, en visite dans les monastères égyptiens, y trouva environ 300 membres à Panopolis sous
la règle de Pacôme, quinze tailleurs, sept forgerons, douze conducteurs de chameaux et quinze
tanneurs. Chaque communauté séparée avait son propre oeconomus (économe ou intendant)
résidant dans l'établissement principal. Tout le produit du travail des moines lui était confié, puis
envoyé à Alexandrie. L'argent récolté par la vente de ces produits permettait d'acheter des
boutiques destinées à soutenir financièrement la communauté, les richesses en trop étant
distribuées à des fins charitables. Les supérieurs des différents coenobia se rencontraient deux fois
par an au monastère principal, sous la présidence d'un archimandrite (« le chef du troupeau », de
miandra qui signifie « berger »). Ils devaient en outre, lors de la dernière réunion annuelle, faire le
rapport de leur gestion pour l'année passée. Le coenobia de Syrie appartenait à l'institution
pâcomienne.
Nous avons appris beaucoup de détails concernant les communautés situées dans les environs
d'Antioche grâce aux écrits de saint Jean Chrysostome. Les moines y vivaient dans des huttes
séparées, les kalbbia, formant un hameau sur les pentes de la montagne. Sujets d'un abbé, ils
observaient la règle commune (ils n'avaient pas de réfectoire, mais ils consommaient une
nourriture commune limitée à du pain et de l'eau à la fin de la journée de travail, allongés sur de la
paille, parfois devant leurs portes). Ils ne se rejoignaient que quatre fois par jour pour prier et
réciter des psaumes.
Chenouté, abbé copte des ��e et �e siècles, joue un grand rôle dans le monachisme copte. Il a eu
jusqu'à deux mille moines et mille huit cents moniales sous ses ordres. La légende raconte qu'il
aurait tué un moine de sa propre main, pour cause de désobéissance. Chenouté durcit la règle
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pachomienne, la trouvant trop douce . Sa règle est la première à comporter une promesse écrite
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d'obéissance .
Dès le ��e siècle se développe également un système semi-cénobitique avec les laures en Palestine
ou dans le désert de Nitrie.
De même des formes extrêmes d'ascèse dans le désert apparaissent chez les ermites :
▪ stylite,
▪ dendrite dans les arbres,
▪ brouteurs d'herbes,
▪ reclus,
▪ stationnaires (passant leur vie debout),
▪ sidérophores (attachés à une lourde chaîne qui les fait se tenir courbés et se déplacer à
14, 15
quatre pattes), etc. .
Avec le soutien de Justinien Ier, le monachisme prend une grande importance en Orient. Refuge
moral, son pouvoir d'attraction est tel qu'il détourne de l'impôt et des fonctions publiques une
partie des forces de l'Empire et devient un véritable contre-pouvoir qui se manifestera lors de la
crise de l'iconoclasme.
Moines et moniales cherchent leur nourriture spirituelle dans la solitude, le silence, la méditation
et la prière, cependant, le déni de la vie urbaine et du Matérialisme ne peut jamais être complet : la
nourriture, les habits et les textes restent une forme de possession matérielle.
Dans l'ensemble, le monachisme chrétien oriental est plus tranché que sa version occidentale dont
il capture l'imagination et une forme d'admiration. Par exemple, Siméon le Stylite reste une
quarantaine d'années au sommet d'une colonne, s'excluant du village « en dessous » tout en
restant au centre. Benoît de Nursie proposa une classification des moines en quatre genres, en
considérant deux comme bons (les cénobites et les ermites) et les deux autres comme mauvais ; ces
deux derniers sont les gyrovagues, qui mendient et errent, et les sarabaïtes qui ne renoncent pas
complètement au principe de possession.
Étymologiquement, le moine est celui qui vit seul, mais le mot a pris un sens plus large et
s'applique à tous ceux qui se séparent de la société des hommes (le monde) pour se consacrer par la
prière au service de Dieu, qu'ils vivent isolés, « ermites » et « anachorètes », ou groupés dans un
monastère, « cénobites ». La diversité du monachisme occidental est donc très grande. Le
monachisme est la mise en pratique de la parole du Christ : « Si quelqu'un veut être mon disciple,
qu'il renonce à lui-même, qu'il se charge de sa croix et qu'il me suive ». Le Christ appelle tous les
hommes à la perfection, mais au Moyen Âge, on a tendance à estimer que les seuls qui répondent
pleinement à cet idéal de perfection sont les moines.
En Occident, dès les premiers siècles, des groupes de chrétiens fervents décidés à répondre
pleinement à l'appel de Dieu se retirent du monde. Mais l'historien manque de sources pour
connaître avec assez de détails la vie de ces ascètes, hommes et femmes. De ce fait, les historiens
ont tendance à privilégier le monachisme chrétien oriental qui dès le début a couché ses règles par
écrit. Les plus grands évêques de l'Antiquité tardive, Eusèbe à Verceil, Ambroise de Milan et
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Augustin d'Hippone, organisent la vie commune pour leurs clercs . Les premiers établissements
religieux apparaissent à l’Ouest de l’Empire à partir de la fin du ��e siècle : Honorat à Lérins et de
multiples fondations à partir du ��e siècle.
Benoît de Nursie (480-547) fonde un monastère au mont Cassin. Son monde est alors en proie à un
certain chaos dû à la chute de l'empire : les céréales ne viennent plus d'Afrique, l'économie est à
bout et la population se replie sur les montagnes, ce qui forme une sorte de retour à l'âge de fer.
Le pape Grégoire le Grand envoie en 596 des moines pour convertir l'Angleterre ; ils créent des
monastères pour assurer l'office dans les cathédrales. L'évangélisation des pays germaniques aux
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����e et ��e siècles est, elle aussi, l'œuvre des moines .
Dès le Haut Moyen Âge, les fondations se multiplient, dans les faubourgs des villes anciennes, dans
les campagnes. Certaines sont même à l'origine de la fondation de noyaux urbains nouveaux
comme à Saint-Gall. Les cénobites connaissent un prodigieux succès sur tous les plans. Cependant,
les ermites maintiennent la tradition d'une vie entièrement détachée des ambitions terrestres,
fidèle à la simplicité évangélique. À Camaldoli et à la Chartreuse, l'érémitisme est tempéré par
l'introduction de pratiques cénobitiques. L'austérité de vie des moines, n'atteint jamais les records
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de pénitence établis en Orient .
Au début du �e siècle, naît en l'Église catholique la volonté de réformer l'ordre monastique. Cette
restauration s'appuie sur la Règle de saint Benoît : inspirée par la réforme grégorienne, elle
promeut ascétisme, pauvreté, rigueur liturgique et érige, dans une certaine mesure, le travail
manuel comme une valeur cardinale. Ce renouveau monastique, symbolisé par l'Ordre clunisien,
l'ordre des chartreux, de Grandmont ou de Fontevraud, l'Ordre cistercien, se développe au ��e et
���e siècle. L'âge d'or du monachisme, en Occident, est ainsi le Moyen Âge qui voit la fondation de
nombreux ordres religieux ainsi que la construction de très nombreux monastères (ou abbayes).
Dotées de vastes territoires, ces communautés ont contribué de façon importante à façonner le
paysage rural par le défrichement des forêts (en particulier par les moines cisterciens), la mise en
culture... Le monachisme a été aussi un des vecteurs les plus importants de la culture, la plupart
des livres manuscrits étaient en effet, avant l'invention de l'imprimerie, recopiés à la main par des
moines. À la Chartreuse, à Vallombreuse et à Cîteaux, deux groupes distincts apparaissent à
l'intérieur du monastère, les clercs auxquels on réserve le nom de moines et les laïcs qui reçoivent
le nom de convers.
Le IVe concile du Latran de 1215 décide que toute nouvelle maison religieuse doit adopter une règle
déjà reconnue, celles de saint Basile, de saint Augustin ou de saint Benoît. Ceci n'empêche pas dès
le ����e siècle, le développement d'ordres nouveaux, les ordres mendiants, qui gardent des
anciennes règles, la célébration de l'office en commun et l'abstinence de viande. Ils bénéficient de
la bienveillance des anciens moines, qui les laissent volontiers s'installer dans leurs vastes
domaines. Par la suite, les ordres anciens, de tradition purement cénobites, et les ordres nouveaux,
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orientés vers des activités apostoliques ou charitables, ne cessent de s'influencer .
Le monachisme protestant
Au ��e siècle apparaît un mouvement cénobite dans le protestantisme. En 1940, Roger Schütz
fonde une communauté à Taizé, qui devient progressivement œcuménique. Dans son sillage en
1944, des sœurs fondent la communauté de Grandchamp. En 1950, Antoinette Butte fonde la
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communauté de Pomeyrol, dont est ensuite issue la communauté de Villeméjane . Ces
communautés sont reconnues par l'Église réformée de France.
Le Coran commente le monachisme chrétien en ces termes, mais le passage en italique est un ajout
au texte original du verset : selon Édouard-Marie Gallez, cet ajout apparaît au �e siècle, en plein
débat sur la tolérance envers le monachisme ; d'autre part, Emran El-Badawi suggère que les vv.
26-27 seraient une référence aux Actes des apôtres, avec une critique du rejet de la Loi juive par les
20
premiers chrétiens Gentils, notamment par l’Église d'Antioche fondée par Paul de Tarse .
Galerie
Notes et références
1. Marie-Madeleine Davy, Le Désert intérieur, Albin Michel, 2014, p. 47
2. Vincent Desprez, Le monachisme primitif : des origines jusqu'au concile d'Éphèse, Abbaye de
Bellefontaine, 1998, p. 53
3. Jacques Fontaine, Charles Pietri, Le Monde latin antique et la Bible, Éditions Beauchesne,
1985, p. 413
4. Jean-Marie Leroux, Le Temps chrétien de la fin de l'Antiquité au Moyen Âge, ���e – ����e siècles,
Éd. du CNRS
5. Vincent Desprez, Le monachisme primitif : des origines jusqu'au concile d'Éphèse, Abbaye de
Bellefontaine, 1998, p. 107
6. (en) Peter Brown, The Body and Society : Men, Women, and Sexual Renunciation in Early
Christianity, Columbia University Press, 1988, p. 229
7. Antoine Guillaumont, « La conception du désert chez les moines d'Égypte », Revue de l'histoire
des religions, vol. 88, 1975, p. 3-21
8. Mohamed Arbi Nsiri, « Les premiers moines chrétiens étaient… des Égyptiens » (https://thecon
versation.com/les-premiers-moines-chretiens-etaient-des-egyptiens-119688) , sur
theconversation.com, 18 juillet 2019
9. Philippe Escolan, Monachisme et église : le monachisme syrien du ��e au ���e siècle : un
ministère charismatique, Beauchesne, 1999, 410 p. (lire en ligne (https://books.google.fr/books/
about/Monachisme_et_%C3%A9glise.html?hl=fr&id=ptegw8KqRO4C) )
10. La légende raconte qu’Antoine s’est retiré dans le désert égyptien comme ermite pendant la
persécution de Maximien en 312. Sa renommée attire auprès de lui un grand nombre de
disciples imitant son ascétisme afin d’approcher la sainteté de leur maître. Plus il se replie dans
une région reculée et sauvage, et plus des disciples accourent. Ils construisent leurs huttes
autour de celle de leur père spirituel rompant ainsi son isolement. C’est ainsi que serait née la
première communauté monastique, composée d’anachorètes vivant chacun dans leur propre
maison.
11. Irénée-Henri Dalmais, Les Coptes, chrétiens de la vallée du Nil, clio.fr [lire en ligne (http://www.
clio.fr/BIBLIOTHEQUE/les_coptes_chretiens_de_la_vallee_du_nil.asp) ]
12. « Le couvent rouge Deir al-Ahmar », Encyclopédie de la langue française, [lire en ligne (http://w
ww.encyclopedie-universelle.com/abbaye-origines-orient-couvent-rouge.html) ]
13. Encyclopaedia universalis, thésaurus 1, p. 593
14. Histoire des religions en Europe : Judaïsme, Christianisme, Islam, De Boeck Supérieur, 1999
(lire en ligne (https://books.google.fr/books/about/Histoire_des_religions_en_Europe.html?hl=fr
&id=okBE1GVgOX8C) ), p. 81
15. Quelques ascètes mésopotamiens (http://www.scourmont.be/studium/dupont/vol2/chapv.html)
Voir aussi
Bibliographie
▪ Antoine Guillaumont, Aux origines du monachisme chrétien : Pour une phénoménologie du
monachisme, abbaye de Bellefontaine, 1979, 329 p., réédition Éd. du Cerf, 2019
(ISBN 978-2-2041-3621-1)
▪ Jacques Dalarun, Modèle monastique : Un laboratoire de la modernité, CNRS Éditions,
2019, 320 p.
▪ Michel Clément, Un monachisme protestant ? Spiritualités et règles de trois communautés
protestantes en France : Reuilly, Pomeyrol, Villeméjane, Paris, 2012, 156 p., voir en ligne (htt
p://www.adhuc.eu/monachisme.pdf)
▪ Katja Ritari, « Saints and Sinners in Early Christian Ireland : Moral Theology » in The Lives of
Saints Brigit and Columba, Brepols Publishers, Turnhout, 2009, (ISBN 978-2-503-53315-5) voir
en ligne (https://journals.openedition.org/crm/12195?lang=en)
▪ Marcel Pacaut, Les ordres monastiques et religieux au Moyen Âge, Nathan, 1993
▪ Jean Chélini, Histoire religieuse de l'Occident médiéval, Hachette, 1991
▪ Théodoret de Cyr ; introduction, texte critique, traduction et notes de Pierre Canivet et d'Alice
Leroy-Molinghen, Histoire des moines de Syrie (Histoire Philothée), Éd. Sources chrétiennes,
n° 234 et 257, 1977 et 1979, 528 p. et 468 p.
Articles connexes
▪ Monastères du désert de Juda
▪ Liste d'abbayes bénédictines
▪ Monachisme chrétien oriental (en)
▪ Monachisme chrétien oriental avant 451 (en)
▪ Monachisme copte (en)
▪ Pères du désert, Pères de Cappadoce (en)
▪ Philocalie des Pères neptiques
Liens externes
▪
▪
▪
▪ Notices d'autorité : Bibliothèque nationale tchèque (http://aut.nkp.cz/ph201896)
▪ Le monachisme chrétien (http://w3.multimedia.univ-tlse2.fr/medievale/UE5/ue5_med_cours/u
e5_med_4p.htm) , Université Toulouse II-Le Mirail
▪ Cours : Initiation au monachisme des premiers siècles chrétiens (http://eocf.free.fr/text_cours
_monachisme_egypte.htm) , Véronique Dupont o.s.b.
▪ Les origines du monachisme chrétien (http://users.skynet.be/bs775533/Armand/wri/origines.h
tml) , revue Louvain, no 97, avril 1999