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Méiose 2: / équationnelle
Gamètes et %
Méiose 1 : / réductionnelle séparation des
chromatides
Séparation des chromosomes
Cellule germinale homologues donnant 2 noyaux ¼ AB
haploïdes.
2n chromosomes 50% ¼ ab
Anaphase 1
Duplication ADN
n chromosomes
OU n chromosomes
¼ Ab
Homozygote Hétérozygote
OU OU
2n chromosomes
¼ ¼ ¼ ¼
4 gamètes équiprobables
¼ chacun
2
% de recombinés = Taux de recombinaison
Gamètes recombinés << Gamètes parentaux
Brassage intrachromosomique
se produit en prophase 1
(2n)
(n) Fin M1
M2: 2ème division méiotique
(n) Fin M2
Gamètes
1,2,3,4,5 et 8 gamètes de type parental: 90% Les crossing-over sont rares donc les
gamètes obtenus ne sont pas
6 et 7: gamètes de type recombiné : 10% équiprobables. 3
Brassage intrachromosomique
se produit en prophase 1
Crossing-over
Les crossing-over sont rares donc les
gamètes obtenus ne sont pas
équiprobables.
Hétérozygote
Homozygote Hétérozygote pour un gène
pour les deux gènes
pour les deux gènes et homozygote pour l’autre
Quatre types de gamètes
un seul type de gamètes Deux types de gamètes dans des proportions
𝟏 𝟏
dans les proportions : 𝟏 𝟏 𝟏 𝟏
𝟐 𝟐 différentes de : : :
𝟒 𝟒 𝟒 𝟒 4
Les gènes sont indépendants : Brassage interchromosomique
Production de gamètes équiprobables
Exemple: combien de types de gamètes produits par les souches ayant le
𝑫𝒑 𝒃𝒘 𝑯 𝑬 𝑽𝒆 𝒆𝒚
génotype suivant :
𝒅𝒑 𝒃𝒘 𝒉 𝑬 𝒗𝒆 𝒆𝒚
5
Pour 3 gènes hétérozygotes indépendants on aura 8 types de gamètes (1/8 chacun).
Notions fondamentales
Un allèle : formes que peut prendre un même gène. vg+ (allèle sauvage) ; vg (allèle mutant)
+ +
Un génotype chez un diploïde : ou ( ) (Chaque gène est représenté par ces deux allèles)
m1 m3
; : deux gènes sur deux chromosomes différents (gènes indépendants)
m1 m3
m1 m2 m1 m2 m1 m2+
ou ou deux gènes sur la même paire de chromosomes (gènes liés)
m1 m2 m1+ m2+ m1+ m2
Dans un génotype on écrit
1. Chaque gène est représenté par deux allèles chez les diploïdes.
2. Les allèles qui diffèrent de la souche de référence et
3. les allèles qui diffèrent de l’autre souche à laquelle on la compare
Différence avec
la référence Différence avec
L’écriture du une autre souche
génotype apporte
a1 b+ c+ à laquelle on la
Ploïdie compare
de nombreux a+ b1 c+
renseignements
Linkage des gènes (liaison Association
ou indépendance) parentale 6
Une drosophile (A) sauvage, porte deux une drosophile (B) sauvage, porte deux mutations
mutations autosomiques récessif indépendantes autosomiques récessifs liées se et sc . Les 2 mutations
vg et eb. La mutation vg est issue de l’un des sont issues d’un même parent. Le taux de
parents et eb est issue de l’autre parent. recombinaison entre se et sc est de 20 %.
+
Le génotype de la drosophile ‘A’ est + Le génotype de la drosophile ‘B’ est + +
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On a effectué le croisement ♂ A x ♀ B et le croisement ♀ A x ♂ [B]
Ecrire les génotypes de A et B et les gamètes produits.
25% + + +
40% + + se sc ;
25% vg+; eb ; + +
40 % + +; + +
Gamètes et %
25% vg ; eb ; + +
10% + + se + ;
25% + + + +
10 % + +; +sc
♀ A [+] x ♂B
+ +
+ + +
Génotypes + ; ; + + + + ; + +
50% + +
25% + + +; 25% vg+; eb ; + +
50% + + + +
25% vg ; eb ; + + et 25% + + + +
Back Cross : croisement d’un hétérozygote avec un individu de même génotype que l’un
de ces parents.
Première loi de Mendel ou loi d’uniformité : tous les hybrides de première génération issus
du croisement de deux lignées pures se ressemblent et présentent le caractère de l’un des
parents et de lui seul (descendance uniforme de même phénotype).
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Phénotypes : [Y] x [y]
P : Génération parentale
Génotypes :
Interprétation
Gamètes 100% 100%
[ ]
Tous jaunes 100% F1: 1ère génération
Le caractère jaune est F1 F1 ½ ½
F1 x F1 dominant donc on note jaune
F1 x F1 ½ ¼ [ ] ¼ [ ]
par (yellow) et vert par
2. F2 : ¾ graines jaunes et ¼ des graines vertes, un rapport phénotypique 3:1. on peut conclure:
• c’est un croisement entre deux hétérozygotes pour un même gène
• les deux phénotypes jaune et vert sont déterminés par les allèles d’un même gène
• les plantes de la F1 doivent avoir un génotype , où allèle dominant détermine la
couleur jaune et y allèle récessif détermine la couleur verte.
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Génération parentale (P) Hybrides de F1 Hybrides de F2
Graines jaunes × vertes Toutes jaunes 6 022 jaunes ; 2 001 vertes
Graines lisses × ridées Toutes lisses 5 474 lisses ; 1 850 ridées
Tiges longues × courtes Toutes longues 787 longues ; 277 courtes
Fleurs axiales × terminales Toutes axiales 651 axiales ; 207 terminales
Fleurs violettes × blanches Toutes violettes 705 violettes ; 224 blanches
Cosses vertes × jaunes Toutes vertes 428 vertes ; 152 jaunes
Cosses gonflées × étranglées Toutes gonflées 882 gonflées ; 299 étranglées
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Codominance Le phénotype de l'hétérozygote exprime à la fois le
phénotype des deux homozygotes.
Exemple 1 : le groupe MN est codé par un gène qui existe sous forme d’un couple d’allèles M
et N codominant au locus de la glycophorine A sur le chromosome 4.
M LMLM
N LNLN
MN LMLN
4 phénotypes sanguins : [A] (génotypes IAIA ; Iai) , [B] (génotypes IBIB ; IBi ) , [AB] (génotype
IAIB ), ert [O] (génotype ii ),
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Exemple 4 : Le gène C qui code la couleur de la fourrure, l’allèle C (coloré), cch: chinchilla : gris
clair ; ch : himalayen: albinos extrémité noir et c : albinos
Croisement 1 Croisement 2 Croisement 3
P1 lapin [Ch] X [h] P2 lapin [Ch] X [c] P3 lapin [h] X [c]
F1 Lapins [Ch] F1 Lapins [Ch] F1 Lapins [h]
Chinchilla domine Himalayen. Chinchilla domine albinos. Himalayen domine albinos.
F2 donne ¾ [Ch] et ¼ [h] F2 donne ¾ [Ch] et ¼ [c] F2 donne ¾ [h] et ¼ [c]
• Les individus croisés sont de races pures puisque F1 est homogène (à 100%) avec Cch domine ch domine ca
La première loi de Mendel est vérifiée.
• F1xF1 donne F2 donne ¾ du dominant et ¼ du récessif donc (hypothèse) Il s’agit d’un
monohybridisme autosomique. On a aussi confirmation de la dominance.
La deuxième loi de Mendel est vérifiée.
• La couleur du pelage est déterminée par 3 allèles différents Cch, ch et ca (pluri-allélique) avec
Chinchilla domine himalayen et albinos et himalayen domine albinos.
Interprétation chromosomique
X ½ ch ½ h
Phénotypes : [ch] x [h] F1 [ch] x F1 [ch] ch
ch ch ch ch ½ ch
¼ h [ch] ¼ ch [ch]
Génotypes : ch ch h h ch h
½ h
¼ h [ch] ¼ h [h]
Gamètes 100% ch 100% ch ½ ch ½ h ½ ch ½ h
ch F2 : ¾ Chinchilla et ¼ himalayen
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100% [ch] L’interprétation chromosomique confirment notre l’hypothèse
ch
1. Un gène autosomique
P : Drosophile sauvage ♀ aux yeux rouge brique X drosophile ♂ aux yeux rouge vif
(souches pures) F1: 100% de drosophiles sauvage
Le croisement réciproque : Sauvage ♂ aux yeux rouge brique X ♀ yeux rouge vif [rv]
Donne le même résultat : 100% phénotype sauvage
2. Mâles et femelles de la F1 sont identiques : donc le (ou les) gène(s) impliqué(s) est
(sont) autosomique(s).
Les points pour lesquels on n’a pas d’information :
♀[ +] X ♂[ ]
Génotypes
+ ½ + ½ 100%
+
♂ ♀ ½ rv+ ½ rv
Gamètes 100 % +
100% rv+ rv
100% rv ½ [rv+] ½ [rv]
+ rv rv
F1: 100% [rv+] (sauvage) 113 114
Test-cross
Fécondation
eb+
♀ X ♂ Diploïde
F1 [eb+] ♂
(♂ [eb+] et ♀ [eb+])
2. Mâles et femelles de la F1 ne sont pas identiques : Puisque les deux parents sont de
souches pures, cette différence ne peut être due qu’au mâle qui a fourni deux types de
gamètes l’un portant X et l’autre Y. donc le (ou les) gène(s) impliqué(s) n’est (ne sont)
autosomique(s). Dans ce cas, le déterminisme de la couleur des yeux est donc lié au
chromosome X.