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Mâlik ibn Anas

Imam Malik
Biographie
NaissanceVers 711
Médine
(Hedjaz,
Califat
omeyyade)
Décès 7 juin 795
Médine
(Hedjaz,
califat
abbasside)
Sépulture Al Baqi
Nom ‫َم اِلِك ْب ِن َأ َن ٍس‬
dans la ‫ْب ِن َم اِلٍك ْب ِن‬
langue ‫َأ ِب ي َع اِم ٍر‬
maternelle ‫اَأْلْص َب ِح ُّي‬
‫اْلِح ْم َي ِر ُّي‬
‫ْل‬
‫ا َم َد ِن ّي‬
Surnoms ‫إمام دار‬
‫الهجرة‬, ‫شيخ‬
‫اإلسالم‬, ‫ُح َّج ة‬
‫اُألَّم ة‬, ‫ُم فتي‬
‫الحجاز‬, ‫فقيه‬
‫اُألَّم ة‬, ‫سِّي د‬
‫األئَّم ة‬, ‫أبو عبد‬
‫اهلل‬
Activités Muhaddith,
faqîh,
ouléma
Autres informations
Maîtres Nâfi’ Mawlâ
ibn ’amr ( ), en

Humeyd al-
Tawil ( ),
d

Thawr ibn
Yazid ( ),
d

ʻAbd al-
Raḥman ibn
al-Qāsim ( ), d

Rabi'ah bin
Farrukh ( ), d

Yahya ibn
Saïd al-
Ansarí ( ), d

Hishâm Ibn
'Urwah,
A'isha ibn
Sa`d ibn Abi
Waqqas ( ), d

Àmir ibn
Abd-Al·lah
ibn az-
Zubayr ( ), d

Abdullah ibn
Zakwan ( ), d

Ibn Húrmuz
( ), Ja'far al-
d

Sâdiq, Ibn
Shihab al-
Zuhri, Zayd
ibn Aslam ( ), d

'Abd ur
Rahmân al
Awzâ'î,
Mohamed
bin Yahya bin
Haban ( ),
d

Ayoub al-
Sakhtiyani ( ), d

Ibrahim ibn
Abi 'Abla ( ),
d

Mohammed
bin
Abdulrahman
ibn Nofal ( )d

Titre honorifique
Imam ( )
d

0:04
Prononciation
Œuvres principales
Al-Muwatta

Mālik ibn Anas (en arabe : ‫)مالك بن أنس‬, de son nom complet Abū
ʿAbd Allāh Mālik ibn Anas ibn Mālik ibn Abī ʿĀmir ibn ʿAmr ibn al-
Ḥārithb Ghaymān ibn Khuthayn ibn ʿAmr ibn al-Ḥārithal-Aṣbaḥī
est un imam, théologien et juriste arabo-musulman, traditionaliste,
né entre 708 et 716 et mort en 796[1]. Appelé par les musulmans
sunnites l'imam Malik, il est également connu sous les
dénominations d'imam dar al-Hijrah ou l'imam de Médine. Son
enseignement constitue le fondement juridique et dogmatique de
l'école malékite, l'une des quatre grandes écoles de jurisprudence
en droit islamique sunnite.

Très respecté parmi les savants musulmans, l’œuvre de l'imam


Malik compte à ce jour parmi les plus importantes contributions
dans les domaines de la jurisprudence, de la collection d'hadiths
et du dogme islamique. Il est l'auteur du livre Al-Muwatta, ouvrage
qui jette les bases de l'étude des enseignements et actions du
Prophète de l'islam ainsi qu'une approche sociologique de la
civilisation islamique. Les travaux de l'imam Malik ont été salués
par ses contemporains ainsi que par les savants qui le suivirent.
Pour les malikites et nombre d'autres auteurs, Al-Muwatta compte
parmi les Kutub al-Sittah, les six ouvrages considérés par les
savants sunnites comme les livres les plus authentiques. Ainsi,
l'imam Ash-Shâfi'î écrit au sujet de l’œuvre de l'Imam Mâlik[2] :

« L'ouvrage le plus authentique après le Livre de


Dieu est le Muwatta de Malik »
— Ash-Shâfi'î

Biographie

Naissance dans une famille religieuse

Malik ibn Anas naît au début du viiie siècle de l'ère chrétienne


dans la ville de Médine. La naissance de Malik ibn Anas prend
donc place au cours d'une période de transition entre l'ère des
califes omeyyades et celle des abbassides. Cette période
d'expansion de l'empire musulman voit apparaître la forte
nécessité de juridiction, en particulier dans les nouveaux
territoires conquis.

L'imam Malik nait dans une famille comptant certains grands


noms de l'érudition islamique. Son père est Anas bin Malik
(homonyme du sahabi) et sa mère Aaliyah bint Shurayk al-Azdiyya.
Originaire du Yémen bien que son arrière-grand-père, Abu 'Amir,
s'installa à Médine deux ans après l'exil du Prophète de l'islam, sa
famille appartient à la tribu Al-Asbahi[3]. Le grand-père de l'imam
Malik est Malik ibn Abi Amir. Celui-ci fut copiste du Coran et
compte parmi les tabi'un[4], ces savants qui ont hérité
d'enseignements directement de la part des compagnons du
Prophète de l'islam. De plus, le nom de son oncle Abu Suhayl
apparait dans plusieurs chaînes de transmission de hadiths, que
cela soit dans Al-Muwatta ou d'autres ouvrages de la tradition
islamique.

Apparence physique

Selon Al-Muwatta, livre dont il est l'auteur, l'imam Malik était grand
de taille, robuste, au teint clair, des cheveux blonds avec une barbe
importante et des yeux bleus[5]
Instruction et enseignement religieux

Malik commença son apprentissage (Al-Adab) auprès de Rabî’ah


ibn Abdir Rahman (Al-Ra’y), qui avait étudié auprès des sept
fuqaha de Médine.

Très jeune, Malik apprend et mémorise le Coran auprès d'Abu


Suhail an-Nafi' ibn 'Abd ar-Rahman (homonyme du rapporteur de
hadith Nafi'). C'est de ce professeur que Malik reçoit l'ijaza,
l'habilitation à enseigner la science islamique.

Par la suite, il étudie le hadîth aux côtés du prestigieux rapporteur


de hadîths Ibn Shihab al-Zuhri; sous Naafi', l'esclave affranchi de
Abdullah ibn Omar ; ainsi que de Ibn Hurmuz, connu comme
rapporteur d'Abu Huraira, pendant huit années.

La « chaîne d'or » de la transmission

L'authenticité et la rigueur de la méthodologie de la chaîne de


transmission de l'imam Malik lui vaut d'être érigée par des savants
tels que Bukhârî au rang de « chaîne d'or » (Silsilat al-Dhahab) de la
narration. Cette chaîne consiste en Malik, qui rapporte de Nafi`
Mawla ibn `Umar, qui lui-même rapporte de 'Abdullâh Ibn 'Umar,
qui a côtoyé le Prophète de l'islam. Ainsi, la traçabilité jusqu'aux
enseignements et sagesses prophétiques est un gage
d'authenticité lorsqu'il s'agit de narrer un hadith.
Al Hâfiz Abou Dawoud parle de la chaîne d'or comme la
transmission de hadiths la plus sûre[6], avis également partagé par
l'Imâm al-Bukhârî.

Malik ne se déplaçait pas beaucoup en dehors de Médine excepté


pour le pèlerinage à La Mecque, et se confina donc largement à la
connaissance de Médine. D'autres desquels il apprit furent
Hisham ibn Urwah et Ja'far al-Sâdiq[7]

Relation avec le pouvoir abbasside

Les historiens s'accordent sur le fait qu'il fut impliqué dans le


soulèvement en 762 du descendant d’Ali, Muhammad b. Abd Allâh
al-Nafs al-Zakiyya, contre le calife abbasside Al-Mansûr. Il ne
participa pas activement au soulèvement, mais lorsque
Muhammad b. Abd Allâh s'empara de Médine, il rendit avis dans
une fatwa que le serment fait au calife Al-Mansûr pouvait être
rompu puisqu'il avait été obtenu sous la contrainte[8] que ce soit
religieuse ou fausse interprétation tout en respectant les
modalités et ulterances [Quoi ?] du format législatif du fait précis de
la fatwa.

En l'an 763, Djaʿfar ibn Sulaymān, alors gouverneur de Médine,


sanctionna Malik à la flagellation, en raison d'une fatwa émise par
l'imam qui contestait la licéité de l'allégeance envers le calife al-
Mansur. De plus, l'homme était accusé par le gouverneur de
supporter la rébellion des Alides. Les coups de fouet répétés ont
causé la dislocation de l'épaule de l'imam Malik. Cette sentence a
accru la popularité et le prestige de l'imam[3].

On raconte que ses bras étaient devenus incapables de tenir sur


sa poitrine ; ceci est une des raisons qu'avancent certains pour sa
façon de prier pendant le qiyam. Mais la réalité est autre puisque
le Sadl (prier avec les mains le long du corps dans le qiyam) est
une sunna pour Mâlik et ses disciples qui fut héritée du Prophète
de l'islam et des 4 Califes[9]. Il semble qu'il se soit plus tard
réconcilié avec le calife[8]. On raconte que quand Al-Mansur apprit
la nouvelle il se rendit à Médine pour présenter ses excuses à
l’imam et ajouter qu'il n'avait pas donné un tel ordre au
gouverneur. Il dit même par la suite à ce gouverneur de ne pas
instaurer de lois sans consulter l’imam Malik.

Il commença sa compilation de hadiths à la requête du calife


abbasside Abu Ja'far al-Mansoor, [754-775 ] qui, selon la
légende[8], voulait un code de lois basé sur la sunna du Messager
de Dieu Muhammad qui pourrait être appliqué dans tout le califat.
Toujours selon la tradition[8], l'imam Malik aurait refusé une fois
qu'il l'eut terminé arguant que les Sahaba (compagnons du
Prophète) s'étaient dispersés dans tout le califat et avaient pris
avec eux d'autres actes de la sunna non répertoriés par lui, qui se
devaient d'être considérés dans toute loi devant être imposée à
tous. Le calife Hâroun ar-Rachîd aurait fait la même requête, en
vain.

Décès

L'imam mourut en 796 à l'âge de 85 ans à Médine après une


courte maladie. Il fut enterré au cimetière Al Baqi de Médine, la
prière funéraire (janâzah) fut prononcée à cette occasion par le
gouverneur 'Abd Allâh b. Zaynab. Son tombeau fut surmonté d'une
coupole (kubba)[8], détruite par les Saoudiens en 1802 en raison
de l’interdiction, rapportée par plusieurs récits prophétiques, de
construire sur les tombes, afin d’éviter toutes formes de
polythéisme[10],[11].

Son œuvre et sa doctrine

Droit (fiqh)

Son œuvre principale, le Kitab al-Muwatta, recense l'ijmâ'


(consensus) médinois au niveau de la loi, du droit, du rite et de la
pratique et entend servir de correctif pour ce qui n'était pas encore
fixé par l'ijma et la Sunna[8]. Dans la Muwatta il ne prend pas la
peine de critiquer l'authenticité des traditions (hadîth) rapportées,
qui ne seront remises en question que par des auteurs ultérieurs.
De la même façon il omet de citer les chaînes de transmission
(isnâd)[8].
Le Muwatta ne fut pas directement fixé en une version définitive, il
en existe différentes recensions qui varient du fait que l'imam
Malik n'a pas toujours exactement donné ses enseignements
oraux de la même façon et parce qu'on accordait peu
d'importance à une reproduction fidèle à l'époque et que l'on
préférait laisser une certaine liberté aux variations[8].

L'imam Malik admet, et son école à sa suite, outre le Coran et la


sunna, la « coutume » (urf ou Bil Ma'rouf) médinoise (point sur
lequel il est en désaccord avec son ami Al-Layth ibn Sa’d), le
consensus des "gens de Médine" (désignant les savants) et le
principe de l’utilité générale (istislâh).

Il considère que les exemples de législation coutumière en cours


à Médine du temps du prophète sont des sources de droit
musulman à codifier et systématiser[8].

En matière de droit pénal, Malik est plus sévère que Abu Hanifa,
permettant jusqu'à quatre amputations pour le voleur récidiviste,
et la peine de mort pour les libres penseurs (zindiq). En revanche,
il est plus libéral à l'égard des femmes que les autres fondateurs
de madhhab puisqu'il autorise la femme maltraitée à demander le
divorce[12].

Lousi Gardet résume ainsi la position de Malik : il « maintient la


tradition mais accepte l'interprétation personnelle dans la mesure
où elle favorise le bien public (istislah) »[13].
Interprétation du Coran

Concernant les versets équivoques (moutachâbihah) dont le sens


apparent pourrait laisser penser qu'Allâh aurait une ressemblance
avec sa création, l'Imâm Mâlik disait : « Citez les comme ils sont
parvenus, sans attribuer de comment (bilâ kayfiyyah)»[14] c'est-à-
dire en niant toutes les caractéristiques des créatures.

Ibnou Kathîr a mentionné semblable à cela dans son tafsîr. Il a


dit : « Nous citons ici la voie du Salaf vertueux de Mâlik, de Al-
Awzâ’i, de Ath-Thawri, de Layth Ibnou Sa’d, de Ach-Châfi’i, de Ahmad
ibnou Hanbal, de Is-hâq ibnou Rahawayh et d’autres qu’eux parmi
les imams musulmans du passé et contemporains et plus récents, à
savoir de lire ces versets (c’est-à-dire les versets moutachâbihah)
comme ils sont parvenues. Sans attribuer le comment (min ghayri
takyîf), ni d’assimilation, ni annulation de ces versets. Et le sens
apparent qui vient à l’esprit des assimilateurs est nié au sujet d'Allâh
ta’âlâ. Car Allâh n’a pas de ressemblance avec quoi que ce soit de
Ses créatures. Rien n’est tel que Lui et Il est Celui qui entend et qui
voit.»[15]

Et l’Imâm Ibn Hajar Al-‘Asqalâni a également rapporté pareil à


cela, en disant : « Certains sont passés sur ces textes comme ils
ont été révélés, en y croyant dans leur globalité et en exemptant
Allâh du comment (kayfiyyah) et de toute assimilation (tachbîh), et
ceux-là sont la majorité des savants du Salaf. Cela a été rapporté
par Al-Bayhaqi ainsi que d’autres, [comme étant la voie] des quatre
Imâm (C’est-à-dire : l’Imâm Aboû Hanîfah, l’Imâm Mâlik, l’Imâm Ach-
Châfi’i, et l’Imâm Ahmad Ibn Hanbal), des deux Soufyân (C’est-à-
dire : Soufyân Ath-Thawri et Soufyân Ibn ‘Ouyaynah), des deux
Hammâd (C’est-à-dire : Hammâd Ibn Zayd et Hammâd Ibn
Salamah), de Al-Awzâ’i, de Al-Layth, et autres qu’eux.»[16]

Ainsi lorsqu'il fût interrogé sur le comment de l'istiwâ de Allâh sur


le trône, l'Imâm Mâlik n'a pas répondu en disant qu'Allâh serait
assis ou établi mais il a dit : « Le comment [au sujet de Allâh] est
inconcevable (al-kayf ghayrou Ma’qoûl)»[17],[18],[19],[20] et selon une
autre version proche de celle-ci : « Dire “comment” est exclu à Son
sujet (wa kayfa ‘anhou marfoû’) »[21].

L'Imâm Mâlik a également eu recours au ta-wîl (interprétation


détaillée). En effet il a été rapporté de l’Imâm Mâlik qu’il a
interprété le hadîth du nouzoûl (qui commence par yanzilou
rabbounâ) par la descente de la Miséricorde d'Allâh et de Son
Ordre ou de Ses Anges, tout comme l’on dit « Le roi a fait telle
chose » c’est-à-dire que ce sont ses subordonnés qui l’ont fait sur
son ordre[22],[23].

L'Imâm Mâlik était fortement opposé à la croyance des


corporalistes (moujassimah), Il a d’ailleurs été rapporté que
l’Imâm Mâlik considérait mécréants ceux qui ont pour croyance
qu'Allâh serait dans une direction ou qu’Il serait un corps[24],[25],[26].
L'Imâm Mâlik était également favorable au tawassoul. Lorsque le
Calife Aboû Ja’far Al-Mansoûr effectua le pèlerinage et visita la
tombe du Prophète, il demanda à l'Imâm Mâlik : « Ô Abâ ‘Abdi l-
Lâh, est-ce que je m’oriente vers la Qiblah pour faire des invocations,
ou je m’oriente vers le Messager d'Allâh ? » L’Imâm Mâlik lui a
répondu : « Pourquoi détournerais-tu ton visage de lui, alors qu’il est
ta waçîlah (le moyen grâce auquel tu espères être exaucé) par Allâh
ta’âlâ et la waçîlah de ton père Âdam le Jour du Jugement ?!
Oriente-toi plutôt vers lui et demande son intercession, Allâh le fera
intercéder. Allâh ta’âlâ dit (ce qui a pour sens) : { Si, ayant été
injustes envers eux-mêmes, ils venaient auprès de toi pour
demander le pardon à Allâh, et le Messager demandait le pardon
pour eux, ils sauraient qu'Allâh est Celui Qui accepte le repentir et
Qui fait miséricorde }»[27].

Disciples
L'imam Malik eut de nombreux disciples dont les plus célèbres
furent :

'Abd Ur Rahmân Ibn Al Qâssim


'Abdullâh Ibn Wahb
Ash-hab Ibn 'Abd Il 'Azîz Al 'Âmirî
Asbagh Ibn Al Faraj
Asad Ibn Furât Ibn Sinân
'Abd Ul Mâlik Ibn Al Mâjishûn
'Abdullâh Ibn 'Abd Il Hakam Ibn A'yun
(Malgré l'idée reçue, les sources s'accordent à dire que l'Imam
Ach-Chafi'i n'a jamais été son élève.)[28]

Ouvrages
Al-Muwatta (anglais) (http://qibla.com/academics/search?q=m
uwatta&category=all)  [archive] (arabe) (http://www.islamweb.n
et/hadith/display_hbook.php?bk_no=19)  [archive]
Tafsîr Gharîb Al-Qur’ân Al-Karîm : Interprétation des singularités
du Noble Coran
Kitâb As-Surûr : Le livre de la félicité.
Kitâb fî An-Nujûm wa Hisâb Dawrân Iz-Zamân wa Manâzil Il
Qamar : Livre des étoiles, du calcul du temps et des positions de
la lune
Risâlah fil Aqdiyah : Traité sur les jugements.
Risâlah ilâ Ibn Wahb fil Qadar wa Ar Radd 'alal Qadariyyah :
Lettre à Ibn Wahb concernant la prédestination et la réfutation
des qadarites.

Al Imâm As Suyûtî rapporta que l'Imâm 'Abdu Llâh Ibn Wahb


écrivit un livre exclusivement composé de paroles de l'Imâm Mâlik
intitulé Kitâb Ul Mujâlasât 'An Mâlik[29].

Notes et références
1. Schacht, J. "Mālik b. Anas." Encyclopédie de l'Islam. Comité de
redaction: P. Bearman; Th. Bianquis; C.E. Bosworth; E. van
Donzel; H.A.R. Gibb (Volume I: 1-320); W.P. Heinrichs; J.H.
Kramers; G. Lecomte; E. Lévi-Provençal; Bernard Lewis; V.L.
Ménage; Charles Pellat; Joseph Schacht. Brill, 2011. Brill
Online. SCD PARIS III SORBONNE NOUVELLE. 17 February
2011.
2. Gibril F. Haddad, The Four Imams and Their Schools (London:
Muslim Academic Trust, 2007), p. 121
3. (en) Joseph Schacht, Encyclopaedia of Islam, Second Edition,
Brill, 2012 (lire en ligne (https://referenceworks.brillonline.co
m/entries/encyclopaedia-of-islam-2/*-COM_0649)  [archive]),
« Mālik b. Anas »
4. (en) Cenap Çakmak, Islam: A Worldwide Encyclopedia [4
volumes], ABC-CLIO, 18 mai 2017, 1813 p.
(ISBN 978-1-61069-217-5, lire en ligne (https://books.google.c
o.uk/books?id=JSHFDgAAQBAJ&pg=PA976)  [archive]),
« Malik ibn Anas », p. 977
5. http://www.sunnah.org/publication/khulafa_rashideen/malik.h
tm  [archive]
6. Voir la biographie de l'imam Malik écrite par le shaykh
Muhammad Abu Zahrah
7. http://muslimheritage.com/topics/default.cfm?
ArticleID=471  [archive]
8. Schacht, J. "Mālik b. Anas." Encyclopédie de l'Islam. Comité de
redaction: P. Bearman; Th. Bianquis; C.E. Bosworth; E. van
Donzel; H.A.R. Gibb (Volume I: 1-320); W.P. Heinrichs; J.H.
Kramers; G. Lecomte; E. Lévi-Provençal; B. Lewis; V.L. Ménage;
Ch. Pellat; J. Schacht. Brill, 2011. Brill Online. SCD PARIS III
SORBONNE.
9. http://www.doctrine-malikite.fr/forum/Poser-les-mains-sur-la-
ppoitrine_m47174.html  [archive]
10. http://www.hadithdujour.com/hadiths/hadith-sur-Le-Prophete-
a-interdit-de-platrer-les-tombes--_999.asp  [archive]
11. « Le pacte de Najd, ou comment l'islam sectaire est devenu
"l'islam" » auteur Hamadi Redissi, éditions Seuil.
12. Hervé Bleuchot, Droit musulman. Chap. II, section I, §6,
Presses universitaires d’Aix-Marseille, 2000 (lire en ligne (http
s://books.openedition.org/puam/979?lang=fr)  [archive])
13. Louis Gardet, Introduction à la théologie musulmane. Ire partie,
ch. I, Vrin, 1948 (lire en ligne (https://www.google.fr/books/edit
ion/Introduction_%C3%A0_la_th%C3%A9ologie_musulmane/H
w_YAAAAMAAJ?hl=fr&gbpv=1)  [archive]), p. 44
14. Par Sunnite, « L'Imâm Al-Bayhaqi rapporte la voie des imâms
Al-Awzâ'i, Mâlik, Ath-Thawri et Al-Layth Ibn Sa'd concernant
les textes équivoques (moutachâbihah) » (http://islamsunnit
e.net/imam-bayhaqi-imam-awzai-malik-ath-thawri-layth-ibn-sad
-bila-kayfiyyah/)  [archive], sur Islam Sunnite, 6 octobre 2017
(consulté le 5 décembre 2019)
15. Par Sunnite, « Ibn Kathîr parle de l'istiwâ de Allâh » (http://isla
msunnite.net/ibn-kathir-parle-de-listiwa-de-allah/)  [archive],
sur Islam Sunnite, 21 juin 2012 (consulté le 5 décembre 2019)
16. Par Sunnite, « L'Imâm Ibn Hajar Al-'Asqalâni explique le Hadîth
du Nouzoûl » (http://islamsunnite.net/imam-ibn-hajar-asqalani
-explique-hadith-nouzoul/)  [archive], sur Islam Sunnite,
21 mars 2016 (consulté le 5 décembre 2019)
17. Par Sunnite, « L'Imâm Mâlik dit que l'istiwâ de Allâh est sans
comment (rapporté par Al-Bayhaqi) » (http://islamsunnite.net/
limam-malik-dit-que-listiwa-de-allah-est-sans-comment-rapport
e-par-al-bayhaqi/)  [archive], sur Islam Sunnite, 25 juin 2012
(consulté le 5 décembre 2019)
18. Par Sunnite, « L’Imâm Mâlik dit que l’istiwâ de Allâh est sans
comment (rapporté par Al-Qayrawâni) » (http://islamsunnite.n
et/imam-malik-istiwa-de-allah-sans-comment-qayrawan
i/)  [archive], sur Islam Sunnite, 18 mars 2013 (consulté le
5 décembre 2019)
19. Par Sunnite, « L'Imâm Al-Qourtoubi explique le verset de
l'istiwâ. » (http://islamsunnite.net/limam-al-qourtoubi-explique-
le-verset-de-listawa/)  [archive], sur Islam Sunnite,
11 juillet 2011 (consulté le 5 décembre 2019)
20. Par Sunnite, « Le Chaykh Al-'Azzâmi explique la parole de
l'Imâm Mâlik sur l'istiwâ de Allâh » (http://islamsunnite.net/le-
chaykh-al-azzami-explique-la-parole-de-limam-malik-sur-listiwa
-de-allah/)  [archive], sur Islam Sunnite, 29 septembre 2013
(consulté le 5 décembre 2019)
21. al-bayhaqi, Al asmâ-ou wa s-sifât
22. Par Sunnite, « L’Imâm Mâlik interprète le Hadîth An-Nouzoûl
(rapporté par Az-Zourqâni) » (http://islamsunnite.net/limam-m
alik-interprete-le-hadith-an-nouzoul-rapporte-par-az-zourqan
i/)  [archive], sur Islam Sunnite, 9 août 2011 (consulté le
5 décembre 2019)
23. Par Sunnite, « L'Imâm An-Nawawi explique le Hadîth du
nouzoûl » (http://islamsunnite.net/limam-an-nawawi-explique-l
e-hadith-an-nouzoul/)  [archive], sur Islam Sunnite,
19 mai 2012 (consulté le 5 décembre 2019)
24. Par Sunnite, « Les quatre Imâms déclarent mécréants ceux
qui attribuent la direction ou le corps à Allâh » (http://islamsu
nnite.net/les-quatre-imams-declarent-mecreants-ceux-qui-attri
buent-la-direction-ou-le-corps-a-allah/)  [archive], sur Islam
Sunnite, 31 mars 2012 (consulté le 5 décembre 2019)
25. Par Sunnite, « Les savants du salaf et du khalaf déclarent
mécréant ceux qui attribuent une direction à Allâh » (http://isl
amsunnite.net/les-savants-du-salaf-et-du-khalaf-declarent-mec
reant-ceux-qui-attribuent-une-direction-a-allah/)  [archive], sur
Islam Sunnite, 7 juin 2012 (consulté le 5 décembre 2019)
26. Par Sunnite, « Les savants du salaf et du khalaf déclarent
mécréants ceux qui attribuent une direction à Allâh (2) » (htt
p://islamsunnite.net/les-savants-du-salaf-et-du-khalaf-declaren
t-mecreant-ceux-qui-attribuent-une-direction-a-allah-
2/)  [archive], sur Islam Sunnite, 24 septembre 2012 (consulté
le 5 décembre 2019)
27. Par Sunnite, « L'Imâm Mâlik confirme qu'il est permis de
s'orienter vers la Tombe du Prophète pour faire des
invocations » (http://islamsunnite.net/limam-malik-confirme-q
uil-est-permis-de-sorienter-vers-la-tombe-du-prophete-pour-fair
e-des-invocations/)  [archive], sur Islam Sunnite,
11 décembre 2011 (consulté le 5 décembre 2019)
28. Michel Galloux, L'Imam Mâlik sa vie et son époque : ses
opinions et son fiqh, Ed. Al Qalam, dl 2007
(ISBN 2-909469-41-7 et 978-2-909469-41-6,
OCLC 834767809 (https://worldcat.org/fr/title/834767809) ,
lire en ligne (https://www.worldcat.org/oclc/83476780
9)  [archive])
29. Tazyîn Ul Mamâlik
Voir aussi
Droit au haut Moyen Âge

Liens externes
Notices d'autorité :
Fichier d’autorité international virtuel (http://viaf.org/viaf/3401446
·
International Standard Name Identifier (http://isni.org/isni/00000001
· CiNii (http://ci.nii.ac.jp/author/DA04532045?l=en)  ·
Bibliothèque nationale de France (http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/
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