Vous êtes sur la page 1sur 19

Ahmad Ibn Hanbal

théologien sunnite (780–855)

Ahmad Ibn
Hanbal
Biographie
NaissanceDécembre 7
Bagdad (Irak
califat
abbasside)
Décès 2 août 855 (
74 ans)
Bagdad (Irak
el-Arab, calif
abbasside)
Sépulture Ahmad ibn
Hanbal
Mosque ( ) en

Nom ‫َأ ْح َم ُد ْب ُن َح ْن َب ل‬
dans la
langue
maternelle
Surnoms ‫أبو عبد اهلل‬, ‫مام‬
‫الُم بَّج ل‬, ‫شيخ‬
‫اإلسالم‬, ‫مام أهل‬
‫الُس َّنة والجماعة‬
‫عالم العصر‬, ‫اهد‬
‫الدهر‬, ‫ُم حِّد ث‬
‫الُد نيا‬, ‫َع َلم الُّس نة‬
Activités Muhaddith,
juriste,
ouléma, faqî
thinker
Mère Safiya bint
Maymuna ( ) d

Enfants Salih ibn


Ahmad ibn
Hanbal ( ) d

Abdûllâh ibn
Aḥmad ibn
ḥanbal ( ) d

Parentèle Hanbal ibn


Ishaq ( )
d

(cousin)
Ishaq ibn
Hanbal ( ) d

(oncle)
Autres informations
Maîtres Ash-Shâfi'î,
Mutammar
ibn
Sulayman
( ), Ibrahim
d

bin Saad al-


Zuhri ( ),
d

'Abd ar-
Rahman ibn
Mahdi ( ), d

Yahya al-
Qattan ( ), d

Yazīd ibn
Hārūn ( ), d

Wakee ibn
al-Jarrah
( ), аль-
en

Валид ибн
Муслим ( ), d

Hushaim
ibn Bashir
( ), Al-
d

Darimi ( ),en

Abu Dawud
at-Tayalisi
( ), ‘Abd
en

Arrazzâq
as-San‘âny
( ), Sûfyân
en

ibn
’unaynah
( ), Husayn
en

ibn Alí al-


Jufí ( ),d

Abou
Yoûsouf,
Bihz ibn
Asad ( ), Ibnd

Maīn, Isḥāq
Ibn-Ibrāhīm
Ibn-
Rāhwaih ( ) en

Titre honorifique
Imam ( ) d

0:04
Prononciation
Œuvres principales
Musnad Ahmad ibn
Hanbal, Fada'il Sahaba
( ), Usul al-Sunna ( ), al-
d d

Radd `ala al-Zanadiqa


wa'l-Jahmiyya ( ), al-
d

Aqida ( ) d

Aḥmad Ibn Muḥammad Ibn Ḥanbal Abū ʿAbdullāh Ash-Shaybānī


(arabe : ‫)احمد بن محمد بن حنبل ابو عبد اهلل الشيباني‬, né en Rabi’ al-Awwal
164 AH / novembre 780 à Bagdad, et mort le 12 Rabi’ al-Awwal
241 AH / 2 août 855 dans la même ville, souvent mentionné par
ses formes courtes Aḥmad ibn Ḥanbal ou simplement Ibn Ḥanbal
et l'imam Aḥmad par les sunnites, était un faqîh musulman arabe,
théologien, ascète, traditionaliste (muhaddith), précurseur de
l'école de jurisprudence (madhhab) sunnite hanbalite et martyr
pour sa foi[1]. Le hanbalisme compte parmi les quatre principales
écoles de jurisprudence (madahib) de l'islam sunnite[2] avec le
shafî'îsme, le malikisme et le hanafisme.

Un érudit très influent et actif au cours de sa vie[2], Ibn Hanbal est


devenu « une des figures intellectuelles les plus admirées » de
l’histoire de l'islam[3], qui a eu une « profonde influence sur
presque tous les domaines du traditionalisme (perspective axée
sur le littéralisme) » au sein de l’islam sunnite[4]. L'un des plus
grands partisans classiques de l'utilisation des sources
scripturaires comme fondement de la loi et du mode de vie
islamiques, l'imam Ahmad a rassemblé l'une des plus importantes
collections de ahadith sunnites : le Mousnad[5], qui continue à ce
jour d'exercer une influence considérable dans le domaine de
l'étude du hadîth[2].

Ayant étudié le fiqh et le hadîth auprès de nombreux enseignants


durant sa jeunesse[6], Ibn Hanbal devint internationalement
célèbre par la suite pour son rôle crucial dans la Mihna, inquisition
instituée par le calife abbasside Al-Ma’mūn vers la fin de son
règne, dans lequel le souverain donna son soutien officiel au
dogme mutazilite du Qorʾān créé. Cette conception est une
hérésie pure pour les sunnites et les chiites[note 1] selon qui le
Qor'an est la parole incréée d'Allah[2]. Souffrant de persécution
physique (flagellation notamment) sous le calife pour son
adhésion sans faille à la doctrine traditionnelle, le courage d'Ibn
Hanbal lors de cet événement particulier n'a fait que renforcer sa
« réputation retentissante » dans les annales de l'histoire
islamique[2].

Tout au long de l'histoire islamique, Ibn Hanbal a été respecté


comme une figure exemplaire dans toutes les écoles
traditionnelles de la pensée sunnite[2], à la fois par les oulema
exotériques et par les mystiques, ces derniers le désignant
souvent comme un saint parmi les saints dans leurs
hagiographies[7]. Le maître des ahadith du xive siècle, Al-Dhahabi,
qualifia Ibn Hanbal de « véritable cheikh al-Islam et chef des
musulmans de son temps, maître des ahadith et preuve de la
religion »[8].

Biographie

Famille

La famille d’Ahmad ibn Hanbal était originaire de Bassorah, en


Irak, et appartenait à la tribu arabe des Banu Shayban  (en)
[9]. Son
père était officier dans l’armée du califat abbasside au Khorassan
et s’installa plus tard avec sa famille à Bagdad, seulement
quelques mois avant la naissance d'Ahmad en l'an 164 AH /
780[10].
Ibn Hanbal eut pour première épouse Oumm abi 'Abbassa qui lui
donna un fils du nom de Sâlih (mort en 879). À la mort de sa
première épouse, il épousa Rayhânah. De cette union naît
Abdullah (mort en 903).

Éducation et travail

L’imam Ahmad étudia longuement à Bagdad avant de voyager


pour poursuivre ses études. Il a commencé à apprendre la
jurisprudence (Fiqh) sous l'autorité du célèbre juge hanafite Abou
Yoûsouf, étudiant et compagnon de l’imam Abû Hanîfa. Après
avoir terminé ses études avec Abou Yoûsouf, Ibn Hanbal a
commencé à voyager à travers l’Iraq, la Syrie, l’Arabie et le Yémen
pour recueillir des ahadith.

Ibn al-Jawzi affirme que l’imam Ahmad avait 414 maîtres dans la
science du hadith, desquels il narrait. Avec cette connaissance, il
est devenu une autorité dans le hadith, laissant derrière lui une
immense encyclopédie du hadith, le Musnad. Après plusieurs
années de voyage, il est retourné à Bagdad pour étudier le droit
musulman sous l'autorité d'Ash-Shâfi'î. Il devient mufti dans sa
vieillesse.

En plus de ses activités scolaires, ibn Hanbal était un soldat


(ghazi) aux frontières du Dar al-Islam (Ribat).
Mort

Ahmad Ibn Hanbal est décédé le vendredi 12 Rabi’ al-Awwal 241


AH / 2 août 855 à l’âge de 74-75 années juliennes à Bagdad, en
Irak.

Un rigoureux cheminement de science

Formation intellectuelle

L'imam Ahmad étudie dans un premier temps le fiqh et la science


du hadith sous différents maîtres à Bagdad. C'est dans cette ville
qu'il suit notamment les enseignements de l'imâm al-Châfi'î et
d'Abou Youssouf, lui-même disciple d'Abou Hanîfa. L'imam Ahmad
reçoit des hadîth écrits de Mouhammad Al-Shaybânî. Par la suite,
il entreprend des voyages en Syrie et au Yémen[1].
Progressivement, la méthodologie de l'imam Ahmad mène à la
création d'une école de pensée rigoureuse lui paraissant la plus
conforme au Coran et à la Sunna. Ibn Hanbal n'ayant jamais rédigé
de véritable traité de fiqh, cette école prit de manière posthume le
nom de hanbalisme, constituée formellement par les élèves de
l'imam Ahmad qui ont rassemblé ses enseignements à la suite de
sa mort[11].
Un ouvrage de référence : le Musnad

Questions de droit se rapportant à Ibn Hanbal, manuscrit daté (octobre 879).

On doit à l'imam Ahmad un important recueil de traditions, le


Musnad (littéralement le fondé). Dans cet ouvrage de référence,
les ahâdîth sont classés suivant les chaînes de transmetteurs,
remontant jusqu'à un des compagnons du Prophète de l'islam, et
en fonction de leur authenticité, selon que celle-ci appartienne à
l'une de ces trois catégories :

1. L'authenticité parfaite (sahîh);


2. L'authenticité bonne (hasan);
3. L'authenticité faible (da'îf).

Postérité

Ibn Hanbal a également écrit des ouvrages de commentaires sur


la Tradition et sur les principes moraux dans l'islam, ainsi que des
éloges des premiers califes rachidoune, "les bien guidés". On doit
enfin à ses disciples, dont l'un de ses fils, 'Abdullâh (mort en 903),
une compilation des réponses qu'il donnait aux questions qui lui
étaient posées sur les sujets les plus divers.

L'école hanbalite, attachée au strict respect du Coran et de la


Tradition, récuse la tentation de l'innovation (bid'a), le "stratagème"
(hîla), et condamne les déviations religieuses et/ou politiques
apparues dans l'histoire du califat, à commencer par le
kharidjisme et toutes les formes de chiisme, etc.

Parmi les élèves de Ahmad ibn Hanbal figurent ses deux fils ainsi
que l'imam Boukhari et l'imam Mouslim, grands savants du hadith
et compilateurs des recueils de ahadîth éponymes

Les enseignements de l'imam Ahmad mènent à la fondation du


madhhab hanbalite, qui est aujourd'hui prédominant en Arabie
saoudite, au Qatar, et aux Émirats arabes unis[12],[13],[14].
Contrairement aux trois autres écoles de jurisprudence islamique
(hanafisme, malikisme et shafî'îsme), le madhhab hanbalite est
demeuré largement traditionaliste ou Athari en matière de
théologie[15]. Cependant, il est arrivé que des fuqaha hanbalites
soient acharites dans la 'aqîda, comme ce fut le cas d'Ibn al-
Jawzi[16].

À l'époque contemporaine, le nom d’Ibn Hanbal est associé à


l'école de jurisprudence hanbalite. C'est dans ce madhab que naît
le mouvement de réforme connu sous le nom de wahhabisme l’a
cité comme son influence principale, au côté du réformateur
hanbalite du xiiie siècle Ibn Taymiyya. Cependant, certains savants
ont fait valoir que les croyances d’Ibn Hanbal n’ont en fait joué
« aucun rôle réel dans l’établissement des doctrines centrales du
wahhabisme »[17], car il y a des preuves, selon les mêmes auteurs,
que « les autorités hanbalites plus anciennes avaient des
préoccupations doctrinales très différentes de celles des
wahhabites »[17]. En témoigne la richesse de la littérature
hanbalite médiévale en référence aux saints, aux visites des
tombeaux, aux miracles et aux reliques[18]. À cet égard, les oulema
ont cité le propre soutien d’Ibn Hanbal à l’utilisation des reliques
comme étant simplement un des points importants sur lesquels
les opinions du théologien divergeaient de celles du
wahhabisme[19]. En outre, il s'opposait à la pratique de
l'excommunication (takfir) des croyants non-orthodoxes, arguant
du fait que seul Dieu peut être juge[20].

À ce jour encore, et pour ses efforts de préservation de l'islam[21],


l'imam Ahmad est considéré comme « le personnage le plus
remarquable dans le camp de l'orthodoxie musulmane » d'après
l'expression de Walter M. Patton[22].

Cependant, Hervé Bleuchot décrit ainsi sa doctrine : « C'est un


traditionniste qui ne voulut être que traditionniste », à l'opposé du
mu'tazilisme[20].
Sa croyance
Elle est le contrepoint du mutazilisme. Ibn Hanbal considère par
exemple le Coran comme la parole incréée de Dieu[23].

Notes et références

Notes

1. J'ai interrogé Muhammad al-Bâqir sur le Qorʾān. Il m'a dit : "Ce


n'est pas le créateur (Khaliq) et il n'a pas été créé (Makhluq)
mais c'est la parole du Créateur (al-Khaliq)."
Sources : Tafsir Ayyashi  , Vol.1, Pages 6-7 et Bihar ul-Anwar,
(en)

Vol.89, Page 120

Références

1. (en) « Aḥmad ibn Ḥanbal | Muslim scholar » (https://www.britan


nica.com/biography/Ahmad-ibn-Hanbal)  [archive], sur
Encyclopedia Britannica (consulté le 25 décembre 2020)
2. H. Laoust, "Ahmad b. Hanbal," in Encyclopedia of Islam, Vol. I,
p. 272-7
3. Mohammed M. I. Ghaly, "Writings on Disability in Islam: The
16th Century Polemic on Ibn Fahd's "al-Nukat al-Ziraf"," The
Arab Studies Journal, Vol. 13/14, No. 2/1 (Fall 2005/Spring
2006), p. 26, note 98
4. Holtzman, Livnat, “Aḥmad b. Ḥanbal”, in: Encyclopaedia of
Islam, THREE, Edited by: Kate Fleet, Gudrun Krämer, Denis
Matringe, John Nawas, Everett Rowson.
5. 1st ed., Cairo 1311; new edition by Aḥmad S̲h̲ākir in publ. since
1368/1948
6. Manāḳib, p. 33-6; Tard̲j̲ama, p. 13-24
7. Christopher Melchert, The Ḥanābila and the Early Sufis,
Arabica, T. 48, Fasc. 3 (Brill, 2001), p. 356
8. Gibril F. Haddad, The Four Imams and Their Schools (London:
Muslim Academic Trust, 2007), p. 301
9. Gibb, H. A. R. (Hamilton Alexander Rosskeen), 1895-1971. et
Bearman, P. J. (Peri J.), The encyclopaedia of Islam., Brill,
1960-2009 (ISBN 900416121X, 9789004161214 et
9004081143,
OCLC 399624 (https://worldcat.org/fr/title/399624) , lire en
ligne (https://www.worldcat.org/oclc/399624)  [archive]),
p. 272
10. Roy Jackson, "Fifty key figures in Islam", Taylor & Francis, 2006.
p 44
11. (en) Cameron Zargar, The Hanbali and Wahhabi Schools of
Thought as Observed Through the Case of Ziyarah, Columbus
(Ohio), États-Unis, Université d'État de l'Ohio, 2014, 98 p. (lire
en ligne (https://etd.ohiolink.edu/apexprod/rws_etd/send_file/
send?accession=osu1398829915&disposition=inlin
e)  [archive]), p. 20-21
12. « Imam Ahmad Ibn #longliveasaptia Hanbal » (http://www.isl
amawareness.net/Madhab/Hanbali/ahmad_ibn_hanbal.htm
l)  [archive], sur islamawareness.net
13. al-Dhahabi, Siyar A`lam al-Nubala’ 9:434-547 #1876 & Tadhkira
al-Huffaz 2:431 #438
14. « Islamic schools of thought (madhabs). » (http://suzyashraf.t
ripod.com/index.html_essays)  [archive], sur tripod.com
15. Jeffry R. Halverson, Theology and Creed in Sunni Islam: The
Muslim Brotherhood, Ash'arism, and Political Sunnism,
Palgrave Macmillan, 2010 (lire en ligne (https://books.google.c
om/books?id=IYzGAAAAQBAJ&pg=PA80&lpg=PA80&dq=#v=o
nepage&q=osama&f=false)  [archive]), p. 34 :
« "The Hanbalite madhhab, in contrast, largely
maintained the traditionalist of Athari
position." »
16. J.A. Boyle, The Cambridge History of Iran, Vol. 5: The Saljuq
and Mongol Periods (Volume 5), Cambridge University Press,
1er janvier 1968, p. 299
17. Michael Cook, “On the Origins of Wahhābism,” Journal of the
Royal Asiatic Society, Third Series, Vol. 2, No. 2 (Jul., 1992),
p. 198
18. Christopher Melchert, The Ḥanābila and the Early Sufis,
Arabica, T. 48, Fasc. 3 (Brill, 2001); cf. Ibn al-Jawzī, Manāqib al-
imām Aḥmad, ed. ʿĀdil Nuwayhiḍ, Beirut 1393/1973
19. Gibril F. Haddad, The Four Imams and Their Schools (London:
Muslim Academic Trust, 2007), p. 390
20. Hervé Bleuchot, Droit musulman, ch. II, section II, §6 : les
hanbalites, Presses universitaires d'Aix-Marseille, 2000 (lire en
ligne (https://books.openedition.org/puam/988)  [archive])
21. Mouline, Nabil., Les Clercs de l'islam Autoritéreligieuse et
pouvoir politique en Arabie Saoudite (XVIII, Presses
universitaires de France, 2011 (ISBN 978-2-13-058285-4,
2-13-058285-0 et 978-2-13-074127-5,
OCLC 1225096331 (https://worldcat.org/fr/title/1225096331) ,
lire en ligne (https://www.cairn.info/les-clercs-de-l-islam--9782
130582854-page-29.htm)  [archive]), p. 38
22. (en) Walter M. Patton, Ahmed Ibn Hanbal and the Mihna,
Whitefish (Montana), États-Unis, Literary Licensing, 2014
(1re éd. 1897), p. 2
23. Hervé Bleuchot, Droit musulman : Tome 1, chap. II, section II,
§6, Presses universitaires d’Aix-Marseille, coll. « Droit et
religions », 15 avril 2015 (ISBN 978-2-8218-5332-4, lire en ligne
(http://books.openedition.org/puam/979)  [archive])

Voir aussi

Bibliographie

Henri Laoust, Les schismes dans l'Islam, Paris, Payot, édition de


1977 (voir la bibliographie de l'article consacré à Laoust).
Louis Milliot, Introduction à l'étude du droit musulman, Paris,
Sirey, 1953.

Articles connexes

Hanbalisme
Abou Hanîfa
Al-Châfi'î
Mouhammad Al-Shaybânî
Abou Youss
Mâlik ibn Anas
Jurisprudence islamique
Droit au haut Moyen Âge
Liens externes

Notices d'autorité :
Fichier d’autorité international virtuel (http://viaf.org/viaf/9007212
·
International Standard Name Identifier (http://isni.org/isni/00000000
·
Bibliothèque nationale de France (http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/
·
Système universitaire de documentation (http://www.idref.fr/068966
·
Bibliothèque du Congrès (http://id.loc.gov/authorities/n82120532)  
· Gemeinsame Normdatei (http://d-nb.info/gnd/118885855)  ·
Bibliothèque royale des Pays-Bas (http://data.bibliotheken.nl/id/thes
·
Bibliothèque nationale d’Israël (http://uli.nli.org.il/F/?func=find-b&loc
·
Bibliothèque nationale de Suède (http://libris.kb.se/auth/191232)  
·
Bibliothèque nationale tchèque (http://aut.nkp.cz/pna20221139239)
·
WorldCat (https://www.worldcat.org/identities/lccn-n82120532)

Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :


Brockhaus Enzyklopädie (https://brockhaus.de/ecs/enzy/article/ib
·
Deutsche Biographie (http://www.deutsche-biographie.de/118885855
·
Enciclopedia De Agostini (http://www.sapere.it/enciclopedia/Ibn%2B%
·
Encyclopædia Britannica (https://www.britannica.com/biography/Ahm
·
Swedish Nationalencyklopedin (https://www.ne.se/uppslagsverk/enc
L’Imâm Ahmad Ibn Hanbal (http://www.islamophile.org/spip/L-I
mam-Ahmad-Ibn-Hanbal.html)  [archive]

Portail de l’islam Portail du haut Moyen Âge

Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?


title=Ahmad_Ibn_Hanbal&oldid=200476115 ».

La dernière modification de cette page a été faite le 15 janvier 2023 à 19:39. •


Le contenu est disponible sous licence CC BY-SA 3.0 sauf mention contraire.

Vous aimerez peut-être aussi