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est
Antoine LOUIS,
d'après les travaux de G. Bossuet et F. Ferreira.
Principes généraux de restitution, méthode et postulat :
Le but de la présente étude est de générer, à partir des données existantes, une restitution du plan du
théâtre du sanctuaire suburbain d’Augustodunum au lieu dit La Genetoye.
Il ne s’agit pas de restituer à proprement parler le plan de l’édiice dans son détail, comme cela peut ce
faire en in de campagne de fouilles, lorsque les données sont le plus exhaustives possibles1. Cete
rélexion architecturale a plutôt pour but de générer un modèle cohérent, logique, qui puisse
reprendre de manière logique et scientiiquement argumentée un maximum des données déjà
acquises sur le bâtiment depuis 1976, date de sa découverte par R. Goguey2.
Il devrait aussi permettre fournir des précisions quant à certaines caractéristiques du théâtre, comme
ses dimensions générales et celles de ces diférentes parties, ainsi que des rélexions sur son
fonctionnement, sur la cohérence et la typologie de son plan et de sa structure. P. Nouvel
Cete restitution sera de plus utile à la stratégie d’implantation des futurs sondages, ain d’éclaircir
certains points d’ombre.
Il s’agit donc bien de construire d’un modèle théorique, conceptuel, qui devra être confronté, au fur
et à mesure de l’avancement des recherches, à la réalité excavée lors des futurs sondages.
La méthode de restitution repose sur la recherche des axes et des entraxes. Ce choix permet de ne pas
a avoir à prendre en compte les variables que sont les épaisseurs des murs, et permet de s’approcher
au plus près du travail de tracé et d’implantation de l’édiice, à l’origine de sa conception et de sa
réalisation.
Comme cela se fait habituellement3, toutes les cotations présentes sur les plans seront données en
mètre (police noir), et en pieds romain (police mauve), exprimé en fraction4.
La construction du modèle et l’obtention de cotes précises se font avec l’aide d’un logiciel de CAO de Géocarta
type Autocad, ce qui permet d’approcher une grande précision, tant pour la conception et le traçage,
que pour les cotations.
Les détails de la méthode, la progression du travail et ses résultats sont présenté dans la succession de
plans annotés qui suit, en commençant par la présentation des données anciennes. Ce choix de
présentation s’est opéré car, lorsqu’il s’agit de géométrie et de forme, les descriptions litéraire
peuvent être assez laborieuses, voire abscondes.
Au format originel de ce document, A3 paysage, tous les plans sont présentés au 500è, avec deux
Repères de géoréférencement dans le système RGF 93 / Lambert 93.
1
Pour les principes de restitution : J.C. Golvin et P. Aupert 2010. SAVA, redressement A. Tisserand
2
Rebourg 1993.
3
Méthode de présentation de M. Wilson-Jones, Wilson-Jones 2000.
4
Pour les aspects d’unité de mesure et de comptages de distance, voir Chouquer, Favory 2001.
1
Les données "anciennes", une photographie aérienne (cliché P. Nouvel) :
Sur ce cliché, retouché numériquement pour en augmenter les constrastes, apparaîssent plusieurs caractéristiques architecturales utiles à la restitution. Il en efet possible d'y distinguer :
2
Les données récentes, une campagne de prospection magnétique (2012, société Géocarta) :
Les résultats de la campagne de prospections géophysiques réalisée en 2012 par la société Géocarta viennent conirmer les caractéristiques visibles sur les clichés de R. Goguey et P. Nouvel.
Quelques données présentées dans cete planche reprennent en partie le travail d'interprétation de G. Bossuet1, notamment pour :
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lacunes par symétrie, de discerner
La localisation des volées d'escaliers. le nombre totale de ces anomalies
L'image géophysique en fait apparaître sur la totalité de l'édiice, soit 33
deux de plus, ce qui permet d'en piles (ou autres) sur les 180° de
connaitre le nombre exact sur l'hémicycle.
la moitié de l'hémicycle, soit quatre
et peut-être un cinquième,
donc 8 sur la totalité
de la cavea.
La prolongation des caissons de support de l'ima cavea par delà les aditus, d'une manière
rectiligne et perpendiculaire à l'axe longitudinal. une interprétation possible de cete caractéristique serait
que les gradins ( et par conséquent leurs systèmes de soutien) se prolongent de l'autre coté des grands couloirs,
classant d'une manière quasi certaine cet édiice hors de la catégorie des théâtres classiques2, bien que cela
1 : Bossuet 2012
puissent paraître évident au premier abord. 2 : Comme dans le cas du théâtre de Marcellus à Rome, ou les descente de charges sont en grand appareil de travertin,
tandis que les cloisons architectoniquement neutres sont en tuf ou en brique. Voir Coarelli 1994.
3
Les données récentes, la fouille de 2013 (reponsable F. Feirrera) :
Le récollement du plan de la fouille sur l'image géophysique permet d'intégrer précisement les structures isolées excavées dans l'ensemble du bâtiment. Cete opération permet de voir si les axes et entraxes
observables à la fouille correspondent à certains axes observables sur l'image géophysique.
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Il semble que la direction générale des murs et des piles ne corresponde ni au rayon de l'hémicycle,
ni à sa tangente à l'axe longitudinale. Il s'agit peut-être d'une erreur d'implantation lors de la construction.
En revanche, l'angle sud du théâtre constitué de bloc de grand appareil de grès, ainsi que l'embrasure de la première
porte de la façade diamétrale, correspondent à cete tangente, ce sont les parements du mur périmétral et des piles qui sont décalés.
4
L'extraction des axes et des cotes précises, qui serviront de bases à la restitution par extrapolation.
L'extraction des axes et des centres des structures permet d'obtenir des cotes précises en mètres, et d'observer leurs équivalences en pieds romains. La longueur de cete unité
est ixée par postulat à 0,296 m (0,2958 m). Cete longueur du pied antique se retrouve sur d'autres vestiges monumentaux d'Augustodunum, dont le grand monument du boulevard F. Latouche1,
ou le portique du site du pavillon Saint-Louis2.
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12,50 distance en mètres
de
nt
de la faça
Pareme
12,50 distance en pieds antiques
0 5m
çade
Axe du pr
La position théorique précise
58,27 56,79 51,17
du centre du théâtre est 197 192 173
obtenue grâce à l'intersection de
l'axe du premier "mur" interne Axe du mur ouest de
l'aditus restitué par symétrie
et de l'axe longitudinal de l'édiice.
Il suit de chercher sur cet axe 10
5,28 Axe longitudinale
une longueur "ronde" en pieds, dont 17 3/4 du théâtre
l'extrémité s'approcherait au mieux 2,96
Axe de la façade
diamétrale
1,48
5
2,36 8
1 : Rebourg 1986.
2 : Labaune et alii 2013
5
La restitution du canevas de l'édiice : les axes constructeurs.
L'axe du mur périmétral ainsi que celui du premier Les axes rayonnants sont obtenus par la division de l'hémicycle
"mur" interne sont restitués en déployant les rayons selon les rythmes observés sur les resultats de la prospection
observés en fouille sur le reste de l'hémicycle. géophysique, soit 33 secteurs pour les media et summa cavea
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et 19 (20-2*1/2) pour l'ima cavea.
Cependant, le report de la largeur du couloir entre les deux
piles internes vues en fouille créé un décalage trop important 0 10 m
avec les traces visibles sur l'image géophysique. Il ne ne semble
par conséquent pas s'agir du bon rythme, les maçonneries
concentriques ne forment alors pas des couloirs de 4 m
L'incompabilité entre ces deux valeurs non
(13 pied 1/2), mais des couloir plus étroits.
divisibles entre elles est visuellement lagrante.
S'il pourrait s'agir d'une caractéristique voulue dès la
Comme cela a été vu précédement, l'image conception de l'édiice, les écarts générés,
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géophysique du bâtiment montre une inconstants angulairement et linéairement,
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succession de 4 couloirs a priori de même 797800 Lambert 93 semblent peu compatible aux notions d'eurythmie
largeur. En restituant le rayon du mur
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correspond au volées d'escalier avec l'axe de la grands couloirs d'accès, correspondent aux intersections
façade diamétrale est équivalent à l'intersection avec des droites passant par le centre de l'édiice et par les jonctions L'axe de la façade périmétrale correspond à
entre le diamètre de la troisième section de la façade des axes concentriques avec celui de la façade diamétrale. Ainsi, dans cete l'outrepassement de deux
périmétrale et l'axe de la façade diamétrale. hypothèse, et par la géométrie régulière de l'édiice, sections angulaires sur l'axe de la façade périmétrale
ces intersections forment des caissons de 9 pieds d'entraxe.
1 : Sur ces notions, voir Gros 2001 et Wilson-Jones 2000
6
La simpliication du canevas : la localisation hypothétique des murs / supports.
Le canevas fait apparaître une coniguration hypothétique où tous les axes constructeurs sont représentés. Cependant, à chacun de ces axes ne correspond pas forcément
un mur ou une pile, ils ne sont qu'un support permetant de disposer les superstructures à certains endroits stratégiques de la construction, tous liés entre eux par une logique
géométrique commune. Il est donc possible de supprimer, de manière argumentée, certains axes qui ont une faible probabilité de correspondre à une maçonnerie.
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d'escaliers desservant la media cavea
d'escalier de la cavea dans la plupart 797800 Lambert 93
débouchent sur la précinction, qui est toujours,
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On obtient alors une série de 7 grands compartiments constitués chacun de trois caissons. Deux autres de ces superstructures sont
tronquées par la présence des aditus, n'étant alors constituées que d'un caisson et demi. Ces caissons ont une forme proche de celles de dipositifs existants
dans les édiices à structure creuse, notament pour les amphithéâtres2 où ils correspondent au système d'accès de la summa cavea. Leurs emprises au sol sont importantes,
car comme il desservent les parties sommitale de l'édiice, ils doivent contenir plusieurs volées d'escalier séparées par des murs d'échifres.
Étant donnée la largeur des travées constituant ces caissons, il paraît peu probable, dans ce modèle théorique, que la façade périmétrale ait été
doté d'une double couloir interne, comme au théâtre d'Arles ou à l'amphithéâtre Flavien2. En efet, dans cete hypothèse, les escaliers, concentrés sur une travée
de faible longueur, devraient gravir au minimum 5 mètres de hauteur d'une seule volée, sur une longueur au sol de moins de 4 m, ce qui génère une forte pente de plus de 45°, ce qui paraître important. 1 : Gros 1996.
2 : Golvin 1994.
8
La dernière étape de la restitution consiste à redonner de l'épaisseur à l'ensemble,
en tentant de restituer les volumes de maçonneries.
Cete étape est la plus hypothétique de toutes, elle est fondée sur les épaisseurs
observées à la fouille et lors du sondage de J.P. Guillaumet et G. Vuillemont, et leurs projections radiales vers le centre du théâtre. Le parti pris est de considérer
qu'aucune superstructure ne peut être plus large que celle située devant elle, ain de ne pas dépasser et être vue
par un observateur se trouvant devant la façade périmétrale.
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Dans cet esprit, les entraxes d'une majorité de couloirs étant de 15 pieds, les largeurs réelles, dont celle de la préciction, sont de 10 pieds, soit 2,96 m.
Les deux portes, atestées par la fouille et perçant la façade diamétrale, sont igurées. Une troisième est restituée, par volonté de symétrie de part et d'autre
d'une porte centrale1, la porte restituée donnant directement sur la précinction.
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Premier degré de restitution,
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Le mur périmétral a été restitué avec une
Superstructure très probable, 797800 Lambert 93
épaisseur de 10 pieds. Cete valeur a été
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Les anomalies de construction observées lors de la fouille sont ici particulièrement lagrantes, notamment
au niveau des 4 piles. Si cet espace architectural peut correspondre au "basilique" que l'on trouve dans certains théatres classiques2,
est
les travées ne sont pas bien alignées , n'étant pas perpendiculaires à la façade diamétrale. Il semble en revanche
qu'elles s'alignent sur les piles du premier mur rayonnant, c'est cet alignement qui trouble
toutes les structures, jusqu'au parement interne du mur périmétral.
9
Le résultat :
12,50 distance en mètres
12 1/2 distance en pieds antiques
9° 5,45°
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56,79 113,58
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192 384
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51,17 102,34
173 346
46,74 93,48
158 316
37,86 75,72
128 256
33,42 66,84
113 226
24,55
83
31,96
103
75,42
255
116,54
394
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Conclusion :
Grâce à la synthèse des nombreuses données existantes, il est possible de construire un modèle théorique complet de ce théâtre. Si
l’image générée par ce modèle peut être assez séduisante, il convient d’en rappeler le caractère éminemment hypothétique.
Ce caractère hypothétique est du à la nature même de l’exercice, qui exige un travail interprétatif nécessairement subjectif. Un de ces
partis pris considère, après analyse des diférentes images disponibles de l’édiice, que sa structure portante est exclusivement creuse.
Bien que cela ne soit pas formellement atesté, ce choix est appuyé sur un faisceau d’indices convergent, permetant de privilégier une
solution structurelle certes de manière subjective, mais néanmoins argumenté.
En efet, les deux images disponibles avant l’ouverture du sondage archéologique, les clichés de prospections aériennes et l’image
géophysique, montrent des formes et des caractéristiques architectoniques très proches du système de structure creuse. Si les 19
caissons supportant l’ima cavea peuvent servir à compartimenter des remblais, leurs formes très allongées peuvent aussi évoquer une
série de supports de voûte rampante1.
Cependant, La prospection géophysique montre des zones du théâtre que la nature du substrat empêche d’analyser par photographie
aérienne, comme la zone de support de la media et de la summa cavea, cet endroit ne semble pas particulièrement densément occupée
par de fortes descentes de charges. Pourtant, au nord de l’édiice, 5 grands murs (ou autre, comme des successions de piles) annulaires
sont remarquables. Cete coniguration correspond peu avec l’image que devrait générer une structure pleine, qui serait plutôt divisée
en grands compartiments séparant clairement des couloirs de précinctions et d’accès. L’interprétation des experts de la société
Géocarta, conirmé par G. Bossuet, montre de nombreux murs rayonnants qui n’évoquent clairement pas un remblai massif2. Par
ailleurs, les premiers clichés aériens de R. Goguey3, montrent aussi quelques maçonneries rayonnantes, sous la media cavea.
Le fait que ces murs, rayonnants comme concentriques, disparaissent des images sur de grandes parties de l’emprise de l’édiice,
pourrait aussi vouloir dire que la conque des gradins de ce théâtre repose sur une structure semi-creuse, cependant la grande disparité
de la qualité de ces échos peut tout autant être le marqueur d’une grande variété d’encaissant, de substrat, ou la marque d’une
démolition partielle de l’édiice. Il faut aussi rappeler que la zone d’ouverture du sondage 2013 est vierge de toutes formes clairement
interprétables, alors que la fouille y a dégagé des élévations importantes.
C’est pourquoi, après avoir sous peser le poids de ces diférent arguments, et ayant conscience du fait que ce parti pris fait de ce théâtre
un unicum, le choix s’est orienté vers une structure creuse, comme dans le cas des grands théâtres de l’Urbs, ou de celui d’Arles, ce qui
est de plus compatible avec la grande platitude de la plaine de la Genetoye. La conception de ce type de superstructures, dont les
premiers exemples italiens remonte au 2ème siècle av. J.C. était déjà largement connus des ingénieurs antiques, en Gaule Narbonnaise, le
théâtre d’Arles semble construit durant l’époque julio-claudienne4.
Toutes ces questions relatives à la structure de l’édiice ne pourront être clairement résolues que par la fouille, la rélexion architecturale
ateint ici les limites des données disponibles. Le choix de la localisation des futurs sondages sera de ce point de vue essentielle, sachant
que de petites emprises localisées peuvent à elle seules résoudre cete question.
Dans le même ordre d’idées, il est diicile d’expliquer à la lumière des données existantes les deux rythmes incompatibles de
fractionnement de la cavea. S’il se vériie lors des prochains sondages, le choix d’une façade partagé en 33 sections est original et
audacieux, au regard de la complexité géométrique qu’implique sa construction. Cete caractéristique est elle voulue dès le départ, est
elle le fruit d’un agrandissement de l’édiice ? La reconstitution du tracé, qui n’est sûrement pas la seule possible, et qui mérite d’être
approfondie voire démontrée, montre que dans cete hypothèse de méthode, les deux rythmes sont nécessaire l’un et l’autre pour Évocation du théâtre selon le modèle théorique hypothétique,
construire l’ensemble, il semble donc bien contemporain. sans son environnement.
Structure creuse ou pas, nous avons ici afaire à un grand monument, de 116,50 m de diamètre, en considérant une épaisseur de 3 m
pour la façade périmétrale. Malgré ces dimensions honorables, le système scénique semble réduit à sa plus simple expression, voir Bibliographie :
inexistant. A la vue des résultats de cete petite expérience de restitution – et en considérant ses limites – une grande impatiente quant Aupert 2010 : AUPERT (P.), Barzan II le sanctuaire au temple circulaire ("Moulin-du-Fâ") : tradition celtique et inluences gréco-romaines,
. légitime
aux nouvelles explorations et découvertes semblerait bien Pessac, 2010 (Aquitania, suppl. 22).
Blin et Marc 2011 : BLIN (S.) et MARC (J.Y.), Le Théâtre de mandeure, restitution, fonction, datation, dans Theatra et spectacula :
Les grands monuments des jeux dans l'Antiquité, Université de Lausanne, 2011.
Chouquer, Favory 2001 : CHOUQUER (G.) et FAVORY (F.), L'arpentage romain. Histoire des textes, Droit, Techniques, Errance, Paris, 2001
1
Voir le théâtre intra-muros d’Autun, dans Rebourg 1993. Durant leurs observations J.P. Guillaumet et G. Coarelli 1994 : COARELLI (F.), Guide archéologique de Rome, Hachete, Paris, 1994.
Vuillemot n’ont pas vu d’amorce de voûte. Cette absence pourrait être expliquée par la localisation de leur Golvin 1988 : GOLVIN(J.C.), L'amphithéâtre romain. Essai sur la théorisation de sa forme et de ses fonctions, De Boccard, Paris, 1988
sondage, en bord externe des caissons, à l’endroit ou une voûte rampante serait la plus haute, et la plus Golvin 2013 : GOLVIN (J.C.), Le théâtre romain et ses spectacles, Archéologie Nouvelle, 2013
sucesptible d’être arrasée, voir Rebourg 1993. Gros 2001 : GROS (P.), L’architecture romaine, T. 2 : maison, palais, villas et tombeaux, Paris, 2001 (Les manuels d’art et d’archéologie antique).
2
Comme dans le cas du théâtre d’Aubigné-Racan, voir Golvin 2013. Gros 1996 : GROS (P.), L’architecture romaine, T. 1 : les bâtiments publics, Paris, 1996 (Les manuels d’art et d’archéologie antique).
3
Rebourg 1993 Rebourg 1986 : REBOURG (A.), Autun, fouille du Pavillon Saint-Louis, rapport inal d’opération, 1986, SA Bourgogne
4
Gros 2001, et Golvin 1994 Rebourg 1993 : REBOURG (A.), Carte Archéologique de la Gaule : Autun, Paris, 1993 (CAG 71/1).
Wilson Jones 2000 : WILSON JONES (M.), Principles of roman architecture, New-Haven, 2000.
12