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Pour John C. Maxwell, qu’il s’agisse de réussite ou d’échec, tout dépend du leadership.

Pendant que vous travaillez à bâtir votre organisation, souvenez-vous que :

(i) Le personnel détermine le potentiel de l’organisation ;


(ii) Les relations déterminent le moral des membres de l’organisation ;
(iii) La structure détermine la taille de l’organisation ;
(iv) La vision détermine l’orientation de l’organisation ;
(v) Le leadership détermine le succès de l’organisation.

Pour développer votre leadership, John C. Maxwell a écrit ces 21 lois. Ce résumé saura, je
l’espère, vous inciter à lire le livre au complet que vous pouvez commander ici auprès de la
Librairie EcoBook Line en format papier, PDF ou mp3.

1. La loi du couvercle
Tout ce que vous cherchez à accomplir sera limité par votre aptitude à être un meneur
d’hommes. Le talent de l’équipe est rarement un problème… le leader et les joueurs clés font
la différence. Plus le leadership est élevé, plus l’efficacité est grande. Plus l’impact que vous
voulez créer est grand, plus votre influence doit être grande. Reconnaissez vos talents et vos
limites.

2. La loi de l’influence
Être un leader, c’est exercer de l’influence, rien de plus, rien de moins. L’influence est reliée à
un seul objectif clair, limpide et mobilisateur. L’influence est centrée sur l’action et la
capacité à faire que les choses se réalisent. L’influence permet de mettre à l’ordre du jour les
choses importantes pour les bonnes raisons. L’influence n’est pas reliée à votre titre, elle se
gagne dans l’action et il faut travailler fort pour y arriver.

3. La loi du processus
Le leader développe ses talents jour après jour. Il distingue les leaders du commun des
mortels. Le leader a une vision à long terme pour faire fructifier ses avoirs. Le leader
développe sa conscience et son efficacité. Être un leader de demain c’est apprendre
aujourd’hui.

4. La loi de la navigation
N’importe qui peut barrer un navire mais pour tracer le cap il faut un leader. Le navigateur a
une vision de sa destination, il comprend ce que cela exigera et il sait de qui il a besoin pour y
arriver. Le navigateur sait que d’autres personnes dépendent de lui et de sa capacité à tracer
un chemin. Le navigateur écoute ce que les autres ont à lui dire. Ce n’est pas la dimension du
projet qui détermine son acceptation, son soutien et sa réussite, c’est la dimension du leader.

5. La loi d’E. F. Hutton


Quand le véritable leader parle, les gens écoutent, c’est lui qui détient le pouvoir pas
seulement le poste. Le leader se développe dans 7 domaines clés : qui il est, qui il connaît, ce
qu’il sait, ce qu’il ressent, ce qu’il a vécu, ce qu’il a fait et ce qu’il peut faire. Les véritables
leaders savent utiliser le leadership des autres.

6. La loi du terrain ferme


La confiance est le fondement du leadership. Les gens savent quand vous faites des erreurs,
inutile de les cacher. Pour développer la confiance, il faut développer ses compétences,
travailler ses relations et avoir un bon caractère. Le caractère rend la confiance possible et la
confiance rend le leadership possible.

7. La loi du respect
Les gens suivent naturellement des leaders plus forts qu’eux. Si on vous respecte comme
personne, on vous admire; si on vous respecte comme ami, on vous aime; si on vous respecte
comme leader, on vous suit. Les vrais leaders voient et respectent le leadership des autres. Le
respect se gagne en disant la vérité et en investissant du temps de qualité avec les autres.

8. La loi de l’intuition
Les leaders évaluent tout avec un parti pris envers le leadership. Un leader évalue la situation
et sait instinctivement quoi faire. L’intuition se développe avec une multitude d’expériences.
L’intuition permet de voir ce qui est possible. Les leaders qui veulent réussir maximisent
chaque atout et chaque ressource dont ils disposent au bénéfice de leur organisation. Sans
intuition vous risquez d’avoir des œillères, c’est une des pires choses qui puisse arriver à un
leader.

9. La loi du magnétisme
Ceux que vous attirez sont conformes à ce que vous êtes. Ce que vous obtenez est déterminé
par ce que vous êtes. Si vous pensez que vos collaborateurs peuvent être meilleurs, il est
temps pour vous d’être meilleur. Les gens sont attirés par des leaders qui ont des valeurs
similaires aux leurs.

10. La loi du contact


Les leaders touchent les cœurs avant de demander un coup de main. La force du contact, c’est
de faire en sorte que l’autre se sente heureux d’être avec vous. Pour vous conduire vous-
même, utilisez votre tête; pour conduire les autres, utilisez votre cœur. Plus la relation et le
contact seront forts, plus les gens vous suivront. Un grand leader qui se tient devant un groupe
de 40 personnes voit 40 personnes avec des aspirations, chacune voulant vivre et faire le bien.
Le leader a l’obligation de faire le premier pas pour établir le contact et le maintenir.

11. La loi du cercle rapproché


Le potentiel d’un leader est déterminé par ceux qui en sont le plus proche. Si une personne
part, cherchez quelqu’un de meilleur pour la remplacer. Le leader atteint sa force au sein d’un
groupe et il aide les personnes à trouver la force en eux. Investissez votre temps avec vos
meilleurs atouts et déléguez autant que possible. Gardez dans votre cercle ceux qui sont
capables d’élever les autres et vous aident à vous améliorer.

12. La loi de la délégation de pouvoir


Seuls les leaders sûrs d’eux délèguent leurs pouvoirs aux autres. Pour déléguer il faut croire
aux autres. La capacité des gens à réaliser des choses est déterminée par la capacité du leader
à déléguer. Si vous ne déléguez pas, vous créez des obstacles à l’intérieur de l’organisation.
La délégation du pouvoir permet l’arrivée de changements constants, car elle permet de se
développer et d’innover. On acquiert de l’autorité en en donnant aux autres.

13. La loi de la reproduction


Seul un leader peut engendrer un autre leader. 85 % des leaders le sont devenus grâce à
l’influence d’autres leaders. Pour vous développer, passez du temps avec d’autres leaders
meilleurs que vous. Créez un environnement où le leadership sera apprécié en lançant une
vision, en offrant des motivations, en encourageant la créativité, en autorisant les risques et en
responsabilisant.

14. La loi de l’adhésion


Les gens adhèrent à un leader, ensuite à la vision. Si vous estimez que le messager est
crédible, alors vous estimez que le message a de la valeur. Quand les gens n’aiment pas le
leader ou la vision, ils cherchent un autre leader. Pour que les gens adhèrent, ils doivent vous
comprendre, comprendre vos espoirs et vos rêves. Une vision ne s’impose pas.

15. La loi de la victoire


Les leaders trouvent le moyen de faire gagner leurs équipes. Les grands leaders n’acceptent
rien de moins que la victoire. C’est l’entraînement qui permet la victoire, pas juste le talent.
Quand la pression monte, les grands leaders sont au meilleur de leur forme, toutes leurs forces
remontent à la surface. Il y a trois composantes à la victoire : une vision unifiée, la diversité
des talents et un leader dédié à la victoire et à l’optimisation du potentiel de ses joueurs.

16. La loi du Big Mo (ou loi de l’impulsion)


L’impulsion est la meilleure amie du leader. Pour créer l’impulsion, il faut de la préparation et
de la motivation. Quand vous avez l’impulsion de votre côté, les ennuis sont de courte durée.
Quand il y a de l’impulsion, les gens sont motivés, inspirés et veulent élever leurs niveaux de
performance. Pour garder l’impulsion, il faut se concentrer sur ce qui est possible plutôt que
sur l’impossible, il faut fêter les succès si petits soient-ils.

17. La loi des priorités


Les leaders comprennent qu’agir n’est pas accomplir. En faire plus ne signifie pas que nous
faisons mieux ni que nous réalisons notre mission. Les leaders efficaces organisent leurs vies
en fonction de trois questions : qu’est-ce qui est requis, qu’est-ce qui donne le meilleur
résultat, qu’est-ce qui suscite la meilleure récompense et vous stimule le plus ? Il faut
constamment réexaminer et réorganiser les priorités. La réussite arrive à force de concentrer
ses collaborateurs sur les choses qui comptent.

18. La loi du sacrifice


Un leader doit être capable de renoncer pour montrer et saisir des occasions. Vous ne pouvez
demander de sacrifices si vous n’en faites pas. À mesure que vous montez en leadership, les
responsabilités augmentent et les droits diminuent. Plus le niveau de leadership que vous
voulez atteindre sera élevé, plus les sacrifices seront grands.

19. La loi du moment choisi


Il est aussi important de choisir le moment que de savoir quoi faire et où aller. La mauvaise
action au mauvais moment conduit au désastre. La bonne action au mauvais moment suscite
la résistance. La mauvaise action au bon moment est une erreur. La bonne action au bon
moment mène au succès.

20. La loi de la croissance explosive


Pour ajouter à la croissance, menez des disciples, pour multiplier la croissance, menez des
leaders. Les leaders qui forment des leaders veulent qu’on puisse leur succéder – ils se
concentrent sur leurs forces, traitent les leaders comme des personnes à part entière en
fonction de leur impact, délèguent le pouvoir, investissent du temps dans les autres, croissent
par multiplication et ont un impact sur les gens même sans les connaître.

21. La loi de l’héritage


La marque durable laissée par un leader se mesure à la succession qu’il aura laissée. Le
véritable leader crée une culture de leadership. Le véritable leader privilégie le leadership
d’équipe au leadership individuel.
Les Mardis du Leadership N°28 : Les lois irréfutables du leadership
selon John Maxwell (Loi N°12 : Loi de la délégation de pouvoir)

John Maxwell, comme Stephen Covey et ses 8 habitudes (cf. “Mardis du Leadership” N°7 à
16), pense foncièrement que le leadership se fonde sur des principes immuables à travers le
temps et les cultures, qu’il est nécessaire de respecter pour développer son influence. Ces
principes immuables, qu’il nomme les lois du leadership, possèdent les caractéristiques
suivantes :

 Elles peuvent être apprises et appliquées par tous ;


 Elles sont indépendantes l’une de l’autre ;
 Appliquée ou pas, chacune d’elle engendre des conséquences distinctes.

"Le meilleur dirigeant est celui qui a suffisamment de sagesse pour choisir des hommes
compétents pour faire ce qu'il veut faire, et suffisamment de maîtrise de soi pour ne pas se
mêler de leurs affaires pendant qu'ils le font." Theodore Roosevelt

Aujourd’hui, nous étudions la “loi de la délégation de pouvoir”.

1. La loi de la délégation de pouvoir : qu’est-ce que c’est ?

Nous l’avons vu à plusieurs reprises, une des finalités du leadership est de contribuer au
développement du potentiel des membres de son équipe. Pour ce faire, les moyens les plus
efficaces sont d’être à leur service, les encourager et les aider à atteindre leurs objectifs et
également de leur confier des responsabilités pour leur donner l’occasion d’étendre leurs
compétences et leur influence pour qu’ils deviennent à leur tour des leaders.

Néanmoins, à cause des 3 raisons suivantes, de nombreux leaders ont du mal à donner du
pouvoir à leurs collaborateurs : 
 Peur de perdre leur poste de leadership.
 Résistance au changement.
 Manque de confiance en soi et en ses propres compétences.

2. Comment mettre en pratique concrètement la loi de la délégation de pouvoir ?

Afin d’être capable de donner plus de responsabilités aux personnes autour de soi, John
Maxwell propose de :

 S’auto-évaluer en matière d’estime de soi en se posant les questions suivantes : “Suis-


je conscient de qui je suis ?”, “Qu’est-ce que je pense de moi ?”, “Quelles sont les
qualités que je possède ?” et agir en conséquence en rapport avec les réponses à ces
questions.
 S’auto-évaluer sur l’estime portée aux personnes qui nous entourent en faisant une
liste de ces personnes et en notant la perception que nous avons de leur potentiel
et de la manière dont ce potentiel pourrait se développer.
 Enfin, passer à l’action avec ces personnes en les formant, en leur donnant les
ressources nécessaires et en les mettant dans les conditions favorables en fonction
de leur potentiel pour qu’ils réussissent, en leur confiant des responsabilités et en
les aidant à mener à bien les missions confiées.

Augmentons l’influence des personnes autour de nous en leur donnant des


responsabilités et ainsi notre influence sera encore plus grande.

À la semaine prochaine pour une autre loi irréfutable du leadership !

Source : Maxwell, John C. (1998, 2007), Les 21 lois irréfutables du leadership Edition 10e
anniversaire, Éditions Thomas Nelson.
Les 21 lois irréfutables du leadership

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Résumé du livre : « Les 21 lois irréfutables du leadership » évoque les règles invisibles qui
régissent le leadership, ce livre permet de comprendre ce qu’est le leadership, dans quelles
conditions il émerge et pourquoi certaines personnes arrivent à fédérer autour d’elles et
accomplir leur projet alors que les autres échouent, pour les illustrer son auteur, John C
Maxwell, s’appuie sur son expérience de pasteur aux Etats Unis mais aussi sur de nombreux
exemples historiques.

Par John Maxwell, 2002, 346 pages

Titre original : The 21 Irrefutable Laws of Leadership (Follow Them and People Will Follow
You)

Note  : cette chronique est une chronique invitée réalisée par Vincent du blog ‘Destination
Leadership.’

Chronique et résumé de “Les 21 lois irréfutables du


leadership” :
Loi 1 du leadership : La loi du plafond

L’efficacité d’une personne dépend de ses capacités de leader. Elles agissent comme un
plafond: plus on est un bon leader, plus on est efficace.

Pour illustrer cette loi, l’auteur du livre Les 21 lois irréfutables du leadership John C Maxwell
raconte l’histoire des frères McDonald. Dans les années 30, ils ont ouvert un fast food qui a
vite connu un grand succès. Ils ont alors eu l’idée de développer le concept de leur restaurant
en franchise.

Mais, malgré le fait qu’ils étaient tous les deux d’excellents managers de restaurant, ils étaient
de piètres leaders, incapables de voir les choses en grand. Car malgré la forte demande
(certains mois ils recevaient plus de 300 appels et courriers demandant des informations sur
leur concept), ils ne réussirent à vendre leur concept qu’à une dizaine de personnes.

Ce n’est que lorsqu’ils vendirent les droits de leur franchise à Ray Kroc, que la chaîne de fast
food connût une expansion fulgurante. En effet, Kroc ouvrit 100 restaurants en quatre ans, et
plus de 500 en huit ans. Aujourd’hui la chaîne en compte des dizaines de milliers partout dans
le monde.

Kroc était un grand leader, un visionnaire. Il n’était peut-être pas un aussi bon restaurateur
que les frères Mc Donald, mais il possédait la capacité de porter un grand projet et de se
donner les moyens de le réaliser. Son niveau de compétence était peut-être plus bas que celui
des deux frères, mais son niveau de leadership était largement supérieur.

Loi 2 du leadership : La loi de l’influence

Sans influence, vous ne serez jamais capable de leader les autres.

Les gens se trompent souvent sur le leadership. Ils entendent que telle personne possède tel
titre, ou telle fonction et en concluent qu’il doit être un grand leader. Même si c’est parfois
vrai, la position d’une personne a peu de relation avec sa capacité à être un bon leader.

Dans Les 21 lois irréfutables du leadership, John C Maxwell évoque cinq mythes sur le
leadership qui persistent à tort dans les esprits:

 Le mythe du management : Beaucoup trop de gens pensent que le leadership et le


management sont la même chose. C’est totalement faux.  Un leader amène les autres à le
suivre, alors qu’un manager se concentre sur le maintien des systèmes et des processus, il
n’a pas d’influence.
 Le mythe de l’entrepreneur : Un entrepreneur n’est pas un leader s’il ne possède pas une
capacité à influencer et à transformer les autres (tant ses clients que ses salariés)
 Le mythe de la connaissance : Le leadership d’une personne ne dépend pas de son savoir. 
Vous pouvez rencontrer des grands chercheurs ou philosophes qui ne possèdent aucune
influence sur les autres.
 Le mythe du pionnier : Être le premier à faire quelque chose ne fait pas forcément de vous
un leader.
 Le mythe de la position: Ce n’est pas votre position dans une organisation qui fait votre
leadership. Certaines personnes ne possèdent pas de titres prestigieux et possèdent
pourtant beaucoup d’influence.
« Celui qui pense être un leader, mais n’a personne pour le suivre, est seulement quelqu’un
qui se promène ». Si vous ne savez pas influencer les autres, ils ne vous suivront pas, et s’ils
ne vous suivent pas vous n’êtes pas un leader. Le leadership c’est l’influence, rien de plus,
rien de moins.

Loi 3 du leadership : La loi du processus

Le leadership se développe au quotidien, pas en un jour.

Même s’il est vrai que certaines personnes naissent plus douées que les autres, le leadership
est un ensemble de compétences que l’on peut apprendre et développer. Mais cela prend du
temps, car c’est un phénomène complexe avec de nombreux facteurs.

Une étude a montré que c’est la capacité à apprendre et améliorer ses compétences qui
distingue les leaders des suiveurs. Les meilleurs leaders sont des élèves et apprennent en
permanence.

Les 4 phases de croissance du leadership:

 Phase 1- Ne pas savoir ce qu’on ne sait pas : La plupart des gens n’ont pas conscience de
l’importance du leadership, ils sont en phase 1
 Phase 2- Savoir ce qu’on ne sait pas: Nous entrons en phase 2 quand nous commençons une
fonction qui demande de faire preuve de leadership et que l’on s’aperçoit que personne ne
nous suit et que l’on doit apprendre
 Phase 3- S’améliorer : Le travail commence à payer et on commence à voir les premiers
résultats, c’est la phase 3.
 Phase 4- Savoir : Lorsqu’on en est en phase 3, on peut être un bon leader mais cela demande
de réfléchir à chacune de nos actions. En phase 4, tout devient automatique, et on devient
vraiment efficace.

Développer son leadership est un travail quotidien, cela demande discipline et consistance.
Quel que soit votre niveau aujourd’hui vous pouvez vous améliorer.
Loi 4 du leadership : La loi de la navigation

Un leader planifie attentivement comment il va atteindre son objectif.

Un leader visualise le voyage qu’il veut effectuer avant de se lancer, il sait ce dont il aura
besoin pour réussir et quels obstacles il rencontrera sur son chemin.

Il s’appuie sur:

 Ses expériences précédentes : Toutes les expériences passées peuvent être des sources
d’informations et de sagesse. Les succès montrent ce que l’on peut réaliser avec ses dons et
ses compétences ; les échecs, les erreurs à ne pas reproduire et les leçons à en tirer.
 Ce que les autres disent : On ne peut pas tout apprendre du passé, c’est pour cela qu’un bon
leader demande des informations à des personnes avec différents profils, à la fois au sein et
en dehors de son organisation.
 Les conditions : Conscient de ses responsabilités, le leader réfléchit attentivement avant de
prendre une décision. Il détermine le coût avant de s’engager.
 Son intuition et les faits : Le bon leader possède une attitude positive. Il a l’intuition qu’il
peut arriver à accomplir son projet, et sait qu’il doit y croire pour y réussir. Mais il doit aussi
faire preuve de réalisme et ne pas se faire d’illusions. Il comprend qu’il ne doit pas minimiser
l’importance des obstacles. Toute la difficulté est de trouver l’équilibre parfait entre
optimisme et réalisme.

John C Maxwell partage ensuite sa méthode de planification:

 Prévoir les actions


 Déterminer les objectifs
 Ajuster ses priorités
 Avertir les personnes clés
 Laisser du temps pour l’acceptation
 Partir à l’action
 Prévoir des problèmes
 Toujours montrer les succès
 Revoir quotidiennement son planning

Loi 5 du leadership : La loi de la parole

Quand le vrai leader parle, les autres écoutent.

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entreprise leader

La fonction ne fait pas le leader. Si lorsqu’une personne s’exprime, tout le monde se tait pour
l’écouter, c’est un signe de son leadership. Lorsque quelqu’un pose une question, c’est vers
elle que les regards se tournent.

Si vous devez dire aux autres que vous êtes le leader, c’est que vous ne l’êtes pas.
Pour devenir les « vrais » leaders au sein des groupes,  vous devez concentrer votre
attention sur 7 domaines:

 Votre caractère (qui vous êtes) : Le vrai leadership commence toujours avec une personnalité
qui attire les autres
 Vos relations (qui vous connaissez) : Vous êtes un leader uniquement si les autres vous
suivent, et cela demande toujours le développement des relations. Chaque fois que vous
commencez sur une nouvelle fonction qui demande du leadership, cherchez à
immédiatement développer vos relations.
 Vos connaissances (ce que vous savez) : L’information est primordiale pour un leader, elle lui
apporte la crédibilité nécessaire auprès des autres. Sans elle, aucun leadership n’est possible
 Votre intuition (ce que vous ressentez) : Le leadership a besoin de plus que de simples
données, il demande aussi de savoir « ressentir » les situations (voir la loi de l’intuition plus
bas)
 Votre expérience (ce que vous avez vécu) : Plus vous avez affronté de grands challenges par
le passé, plus vous aurez de chance d’être suivi. On vous donnera plus facilement votre
chance.
 Vos succès passés (ce que vous avez accompli) : Rien n’est plus parlant qu’un beau palmarès.
 Votre compétence (ce que vous pouvez faire) : Du moment que vos partisans pensent que
vous possédez les compétences pour réussir, ils continueront à vous suivre.

Loi 6 du leadership : La loi de la confiance

La confiance est la fondation du leadership.

Pour obtenir la confiance des autres, un leader doit posséder trois qualités : compétence,
connexion et caractère. On vous pardonnera les erreurs dues à des compétences, mais pas
celles dues à un mauvais caractère, dans ce domaine, la moindre erreur est fatale.

Quand vous leadez les autres, c’est comme s’ils consentaient à faire un voyage avec vous. Et
la façon dont ce voyage va se passer dépend de votre caractère.

Posséder un bon caractère, c’est être consistant. Les autres doivent savoir qu’ils peuvent
s’appuyer sur vous jour après jour.  Vous obtiendrez leur respect en prenant de bonnes
décisions, en admettant vos erreurs, et en faisant passer ce qui est mieux pour vos partisans et
votre organisation avant vos propres intérêts.

Ne brisez jamais la confiance de vos partisans, sinon vous perdrez votre influence auprès
d’eux.

Loi 7 du leadership : La loi du respect

Les gens suivent naturellement les meilleurs leaders.

Personne ne vous suivra par accident, mais parce qu’ils respectent votre leadership. Nous
sommes tous naturellement attirés vers ceux qui sont de meilleurs leaders que nous.

Bien sûr, dans certains cas des bons leaders suivront de moins bons leaders, par respect de la
personne ou de la hiérarchie. Mais cela reste peu commun et naturel.
Lorsqu’un groupe d’inconnus se rencontre, après une phase de découverte,  le meilleur leader
va naturellement prendre sa tête.

Loi 8 du leadership : La loi de l’intuition

Les leaders évaluent tout avec un biais de leadership.

De toutes les lois du leadership, c’est probablement la loi la plus difficile à comprendre.
Pourquoi ? Car elle explique que le leadership ne dépend pas juste des faits, mais aussi de
l’instinct.

L’intuition distingue les excellents leaders de ceux qui sont seulement bons.

Ceux qui la possèdent perçoivent savent instinctivement comment affirmer le leadership dans
les situations qu’ils rencontrent. Ils sont capables de déceler des signaux qui échappent aux
autres et de les lier à la situation. Ils savent déterminer instinctivement si leurs objectifs sont
atteignables avec les ressources matérielles et humaines dont ils disposent.

Certaines personnes naissent avec, d’autres la développent en s’entraînant.

Loi 9 du leadership : La loi du magnétisme

Votre personnalité détermine qui vous attirez.

La plupart des temps, nous aimons fréquenter des gens qui nous ressemblent, et donc
naturellement un leader attire à lui des personnes qui partagent son profil. Le groupe qu’il
mène deviendra donc l’extension de sa personnalité.

Évidemment, il faut aussi qu’il s’entoure de personnes différentes afin qu’il complémente son
profil, mais ceux-ci ne seront pas naturellement attirés à lui.

Il est certain que les personnes que vous attirez ne vous ressemblent pas à 100%, mais
vous partagez avec elles plus de similarités que de différences dans les domaines
suivants:

 L’attitude
 L’âge
 L’expérience
 Les valeurs
 Les capacités de leadership

Le recrutement de bon profil ne dépend pas seulement des ressources humaines, mais aussi de
vous et du type de candidats que vous attirez.

Loi 10 du leadership : La loi de la connexion

Il faut d’abord toucher le cœur d’une personne avant de lui demander de passer à
l’action.
L’émotion est le levier puissant pour faire passer les gens que vous rencontrez à l’action. Les
leaders efficaces savent qu’ils doivent d’abord toucher le cœur d’une personne avant de leur
demander de l’aide.

Développer une connexion émotionnelle avec les autres ne se fait pas seulement face à un
groupe mais aussi en tête à tête avec chaque individu. Plus la relation et la connexion sont
fortes entre les personnes plus les partisans voudront aider leur leader.

On développe une crédibilité auprès des autres en se connectant à eux et en leur montrant
qu’on veut vraiment les aider.

Vous n’avez pas besoin de posséder beaucoup de charisme pour y arriver.

Une des clefs pour se connecter aux autres est de savoir que même dans un groupe vous devez
vous connecter individuellement aux gens, comprendre que c’est un ensemble de personnes
uniques, chacun avec ses rêves et ses ambitions.

Beaucoup de leaders pensent à tort que l’effort de connexion doit provenir des partisans  »
C’est moi le chef, ce sont les employés, c’est à eux de venir avec moi ». Mais les bons leaders
savent que la responsabilité d’initier leur revient, et que c’est aussi à eux de continuer à bâtir
la connexion. Ce n’est pas toujours facile, mais c’est absolument nécessaire au succès d’une
organisation, d’où l’importance de développer une communication exceptionnelle.

Lorsqu’un leader a bâti un lien solide avec ses partisans, cela se ressent dans leur loyauté et
leur éthique de travail. La vision du leader devient l’aspiration des partisans.

Loi 11 du leadership : La loi du cercle

Le potentiel d’un leader est déterminé par ses proches.

Chaque leader efficace s’entoure de personnes intelligentes et compétentes. Il est toujours


mieux de faire de la promotion interne que du recrutement externe, mais ce n’est pas toujours
possible.

Au sein des organisations il y a toujours trois groupes de personnes:

 Ceux qui acceptent le leadership et font leur maximum


 Ceux qui sont sceptiques et demandent d’être convaincus
 Ceux qui sont négatifs et refusent le leadership

Inutile d’essayer de convaincre ceux du dernier groupe, il faut se concentrer en priorité


sur les premiers et deuxièmes. Il existe cinq types de personnes qui peuvent ajouter de la
valeur à votre cercle intérieur:

 Ceux avec du potentiel, qui essayent de s’améliorer


 Ceux qui sont positifs, et motivent les membres de l’organisation
 Ceux avec une valeur personnelle, qui améliorent le leader
 Ceux avec une valeur de production, qui améliorent les autres
 Ceux avec une valeur prouvée, qui élèvent ceux qui élèvent les autres
Loi 12 du leadership : La loi de l’émancipation

Les leaders confiants donnent le pouvoir aux autres.

Les leaders faibles pensent que s’ils font trop monter un subordonné en compétences, il ne
sera plus lui-même indispensable à l’organisation. Alors qu’en réalité c’est le contraire qui se
produit: plus on donne de pouvoir, plus on en obtient.

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en toute liberté

L’émancipation des subordonnés effraie, car elle est porteuse de changement.

Beaucoup de gens tirent leur estime personnelle de leur travail ou leur fonction, et quand on
menace de changer l’un ou l’autre on menace leur estime. En revanche, le changement
stimule les personnes confiantes car elles savent qu’elles peuvent s’adapter et que le
changement sera porteur d’amélioration. Ils savent que les meilleures choses arrivent quand
on donne du crédit aux autres.

Pour émanciper les autres il faut croire en eux.

Loi 13 du leadership : La loi de la reproduction

Il faut un leader pour élever un autre leader.

Plus de 80% des bons leaders ont été mentorés par un autre leader. Seuls les leaders sont
capables de développer d’autres leaders, car leur savoir est unique.

Mais tous les leaders ne le font pas, car ils n’en voient pas l’intérêt, n’ont pas le temps
nécessaire, ou ont peur d’émanciper les autres (voir loi précédente).

Si vous voulez développer votre leadership, passez du temps avec les meilleurs leaders que
vous connaissez.

Le domaine n’a pas d’importance, l’humain reste l’humain. Par exemple, un leader d’une
grande équipe sportive pourra enseigner le leadership à des leaders d’entreprise.

Quand on connaît cette loi, on reconnait ses effets incroyables. Si une entreprise a de mauvais
leaders, sa situation ne peut qu’empirer.
Loi 14 du leadership : La loi de l’adhérence

Les gens adhèrent au leader avant d’adhérer à sa vision.

Avant de vouloir présenter votre vision à vos partisans, demandez-vous s’ils vous apprécient
suffisamment. Les gens procèdent souvent à l’envers, ils pensent à tort que si leur cause est
bonne, on les suivra automatiquement.

En réalité, le leadership ne fonctionne pas comme ça, les gens ne suivent pas les belles causes,
ils suivent les bons leaders. Lorsqu’on sait cela, notre compréhension du leadership change
complètement.

Avant de penser à votre vision, demandez-vous : « Ai-je fourni à mes partisans des bonnes
raisons de me suivre ? »

Un leader incarne son message.  Si on pense que le leader est crédible, alors le message le
sera.

Si un groupe ne croit ni en son leader ni en sa vision, il cherchera un autre leader. S’il croit en
sa vision mais pas en son leader, il cherchera aussi un autre leader.

En revanche, s’il croit dans le leader mais pas en sa vision, il lui demandera de changer sa
vision. Et quand il croit dans le leader et dans sa vision il lui apportera son total soutien.

En leadership, il ne faut pas vouloir aller trop vite, et se faire accepter par le groupe avant de
lui présenter sa vision.

Loi 15 du leadership : La loi de la victoire

Un leader trouve toujours un moyen pour faire remporter la victoire à son équipe.

Chaque situation est différente, chaque crise est unique pourtant tous les leaders ont une chose
en commun : ils refusent d’abandonner.
Ils sont différents des autres : Ils brillent lorsque la pression est élevée. La gloire personnelle
ne les intéresse pas. Lorsqu’ils connaissent des échecs, ils ne se découragent pas et
persévèrent.

Que vous évoluiez dans une équipe sportive, dans l’armée, dans une entreprise ou dans
l’administration, vous devez rassembler trois composantes pour gagner :

 Une vision unie : Tout le monde doit chercher à accomplir le même objectif
 Des compétences variées : Les profils doivent être complémentaires.
 Un leader qui poursuit la victoire et aide les autres à atteindre leur potentiel : Un groupe
peut posséder les personnes les plus compétentes du monde, sans leader il ne remportera
pas la victoire, car c’est lui qui apporte la motivation, l’émancipation, et la coordination
nécessaires.

Un leader court après l’accomplissement de son objectif, il met son ego de côté pour
remporter la victoire.

Loi 16 du leadership : La loi de l’élan

L’élan apporte une aide précieuse au leader.

Chaque leader doit créer du changement dans son organisation, pour cela il doit s’appuyer sur
l’élan. Il sait qu’il doit d’abord commencer par des petites avancées pour initier un cercle
vertueux et amener des plus gros progrès. Car sans élan, même la plus petite des tâches peut
paraître insurmontable, alors que lorsqu’on a déjà connu des succès on se fait davantage
confiance et on se sent prêt pour abattre des montagnes.

Pour créer de l’élan, il faut rassembler deux éléments : préparation (rassembler les
compétences nécessaires) et motivation (donner envie au groupe d’accomplir les premiers
changements).

L’élan est un ingrédient magique, il donne une impression de pouvoir et rend meilleurs les
membres du groupe, c’est le plus puissant des agents du changement.

Loi 17 du leadership : La loi des priorités

Un leader comprend qu’être actif est différent d’être productif.

Toute sa vie, un leader doit prioriser, et ce quel que soit son milieu.

Pour cela, il doit se poser 3 questions :

 « Qu’est-ce qui est nécessaire ? » : Nous avons tous des obligations. Si quelque chose n’est
pas vraiment nécessaire éliminez-le de votre liste de priorités ou déléguez-le.
 « Qu’est-ce qui amènera les plus grands résultats ? » : En tant que leader, vous devez
travailler sur ce en quoi vous êtes le plus efficace. Si une tâche peut être réalisée aussi bien
par quelqu’un de votre équipe, déléguez-la.
 « Qu’est-ce qui amènera la meilleure récompense » : Un leader travaille mieux lorsqu’il
réalise quelque chose dont il sait que le résultat lui sera plaisant. La passion transcende.
Tous les grands leaders savent que ce n’est pas parce qu’ils travaillent qu’ils sont productifs,
la capacité d’identifier et réaliser les priorités leur est indispensable. Ils calculent le bénéfice
de la réalisation d’une action en fonction du temps qu’elle prendra.

Loi 18 du leadership : La loi du sacrifice

Un leader doit renoncer pour s’élever.

Un leader doit parfois faire des sacrifices pour accomplir les objectifs qu’il s’est fixés. Ce
peut être renoncer à son temps libre et moins voir sa famille, diminuer son propre salaire,
procéder à des licenciements, réduire drastiquement les dépenses de son organisation, traiter
avec des personnes qu’il n’apprécie pas. Tous ces comportements peuvent l’amener à être
impopulaire ou tourné en dérision.

Quand une situation semble bloquée, il faut sacrifier quelque chose pour la faire avancer.

Lorsqu’on choisit d’assumer une position de leadership, on doit arrêter de penser à soi-même.
Tout ce qui doit compter est l’accomplissement de la vision. Tous les grands leaders ont du
faire des sacrifices pour s’élever.

Il n’y a pas de succès possible sans sacrifices.

Loi 19 du leadership : La loi du timing

Le timing est tout aussi important que la vision et les actions.

Les grands leaders savent que le moment du leadership est primordial. À chaque action
d’un leader il ne peut y avoir que quatre résultats possibles :

 La mauvaise action au mauvais moment amène le désastre


 La bonne action au mauvais moment entraîne de la résistance
 La mauvaise action au bon moment est une erreur
 La bonne action au bon moment amène le succès

Il faut savoir saisir les occasions lorsqu’elles se présentent, même si on ne se sent pas
totalement prêt, car l’opportunité de victoire peut disparaître tout aussi vite qu’elle est arrivée.

En leadership, il ne suffit pas de savoir analyser la situation et d’établir un bon plan d’actions,
il faut aussi trouver le moment idéal pour agir.

Loi 20 du leadership : La loi de la croissance explosive

Pour croître, dirigez des partisans. Pour multiplier, dirigez des leaders.

La clé de la croissance est le leadership. Si vous ne pensez qu’à vous développer vous-
même, votre organisation ne grandira pas aussi vite que si vous développez aussi les autres. Il
faut toujours aider les autres à atteindre leur potentiel. Les leaders de demain se développent
aujourd’hui.
Les lecteurs de cet article ont également lu :   Tribus - Seth Godin

Pour évaluer l’efficacité d’une organisation, il faut compter le nombre de leaders qu’elle
possède et ne pas seulement s’arrêter à son nombre de salariés. Car les leaders ont la capacité
d’influencer ceux qui l’entourent et de créer une dynamique positive.

Et pour aller encore plus haut, une organisation doit créer des programmes pour développer
les leaders des leaders.

Développer des leaders n’est pas une tâche aisée, car ceux-ci sont difficiles à trouver et à
recruter. Ils sont aussi plus difficiles à retenir car ils possèdent une nature énergique et veulent
toujours aller de l’avant.

Loi 21 du leadership : La loi de l’héritage

La valeur d’un leader se mesure par l’héritage qu’il laisse à son départ.

Un bon leader doit faire deux choses pour bien préparer son départ :

 Rendre son organisation la plus forte possible


 Préparer un successeur pour reprendre son activité

Pour laisser la meilleure succession possible, un leader doit :

 Diriger avec une vision à long terme


 Créer une culture de leadership
 Faire des sacrifices pour gagner demain
 Privilégier l’esprit d’équipe sur l’individualité
 Quitter l’organisation avec intégrité

Ainsi il s’assure que l’organisation continuera de fonctionner tout aussi bien après son départ.

La succession est une des responsabilités clés du leadership, pourtant beaucoup trop de
leaders la négligent. La réussite vient quand un leader arrive à faire des grandes choses pour
lui-même. Le succès arrive quand il accomplit des grandes choses avec ses partisans.
L’importance découle du fait d’arriver à faire travailler des grands leaders pour soi. Mais une
succession n’arrive que quand une personne amène son organisation à créer des grandes
choses sans lui.

Tôt ou tard, un leader finit toujours par quitter son organisation, et il a le devoir de la préparer
à continuer sans lui.

Conclusion sur “Les 21 lois irréfutables du leadership” :


Lorsqu’on veut accomplir des grands projets, obtenir le soutien des autres et devenir un leader
est nécessaire, mais peu de personnes savent le faire naturellement car on ne nous apprend pas
le leadership à l’école.
J’ai beaucoup apprécié Les 21 lois irréfutables du leadership car il démonte beaucoup d’idées
reçues sur le leadership et permet de vraiment comprendre ce que c’est qu’être un leader. Les
histoires personnelles et historiques qu’utilise l’auteur permettent d’avoir des exemples de
comment ces lois fonctionnent dans le monde réel. À sa lecture, j’ai découvert que je
commettais certaines erreurs et j’ai compris pourquoi je devrais agir différemment dans le
futur.

Être un bon leader est difficile, et je trouve que Les 21 lois irréfutables du leadership transmet
tout à fait l’état d’esprit nécessaire : ambition, planification et connexion aux autres.

Il nous montre que le succès n’arrive pas par hasard et qu’il y a des règles à respecter pour
accomplir des grands projets.

En revanche, je lui reprocherais de manquer parfois de clarté et de ne pas donner assez de


détails. John C Maxwell présente une loi et donne quelques exemples mais dans certains cela
ne suffit pas à vraiment bien comprendre ce qu’il veut dire.

L’autre reproche que je peux faire est qu’il manque de concret. Il expose les principes mais
donne peu de moyens d’actions concrets. C’est un bon livre de théorie, mais il faudra le
compléter d’ouvrages plus pratiques pour utiliser efficacement les principes.

Points forts du livre Les 21 lois irréfutables du leadership :

 Permet de comprendre ce qu’est le leadership et comment il fonctionne


 Précieux exemples personnels et historiques
 Les 21 lois irréfutables du leadership est un livre bien écrit et accessible à tous

Points faibles Les 21 lois irréfutables du leadership :

 Manque parfois de clarté


 Manque de propositions d’actions concrètes

Note de Vincent du blog ‘Destination Leadership’

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