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CHAPITRE 1 

ETUDE
BIBLIOGRAPHIQUE
1.Principe de l’osmose inverse :
Le procédé d'osmose inverse utilise une membrane semi-perméable afin de séparer
les solides dissous, la matière organique, les virus et bactéries de l'eau. Le procédé
est dit "inverse" car il nécessite une pression suffisante pour 'forcer' l'eau pure à
passer à travers la membrane.

2.Produit de l’osmose inverse :


En appliquant une pression supérieure à la pression osmotique. L’effet inverse se
produit. Les liquides sont refoulés au travers de la membrane, laissant les solides
dissous derrière.

Pour purifier l'eau à l'aide de membrane d'osmose inverse, l'effet d'osmose naturel
doit être inversé. Afin de forcer l'eau de la solution saumâtre (concentration en sels
élevée) à aller dans la solution douce (concentration en sels basse), l'eau doit être
pressurisée à une pression d'opération supérieure à la pression osmotique.

-Production ou perméat : Solution qui traverse la membrane.

-Rejet ou concentrat ou rétentat : Solution qui quitte l'osmoseur et n'a pas traversé la
membrane. Elle est enrichie en solutés et peut être soit rejetée vers le circuit
d'effluents. On ne s'intéressera par la suite qu'à la production d'eau osmosée et non
à l'enrichissement d'une solution peu concentrée (domaines pharmaceutique,
agroalimentaire, du traitements des métaux, …) On voit donc que la production d'eau
osmosée conduira forcément à une consommation d'eau (rejetée) : l'amélioration de
la qualité implique forcément un tribut à payer (énergie mécanique pour la pompe et
une part de l'eau d'alimentation), qui peut être réduit par divers types de montage.
Même avec cette solution il y a risque d'accumulation de solutés (et de matières non
dissoutes), au contact de la membrane : pour éviter ceci on essaiera de faire passer
la solution tangentiellement à la membrane ce qui aura pour effet de la "balayer" et
ainsi de limiter son encrassement.

3.Caractéristique de rejet :
4.Principe d’évaporation :
Les liquides peuvent également se changer en gaz à des températures inférieures à
leur point d'ébullition. La vaporisation d'un liquide au-dessous de son point
d'ébullition est appelée évaporation. Elle se passe à n'importe quelle température
lorsqu'un liquide est exposé dans un espace non confiné. Cependant, lorsque la
surface est exposée dans un espace confiné et que le liquide est en excès par
rapport à la quantité nécessaire pour saturer l'espace avec de la vapeur, un équilibre
est rapidement atteint entre le nombre de molécules de la substance sortant et
entrant à la surface. Un changement de température perturbe cet équilibre, par
exemple, il augmente l'activité des molécules à la surface et, par conséquent, le taux
auquel elles s'envolent.

Le mouvement thermique d'une molécule surmonte la tension superficielle du liquide


et elle s'évapore, c'est-à-dire, son énergie cinétique excède le travail de la fonction
de cohésion à la surface.
Lorsque la température est maintenue au nouveau point pendant une courte période,
un nouvel équilibre est établi rapidement.

La pression exercée par la vapeur d'un liquide dans un espace confiné est appelée
pression de vapeur. Elle diffère pour des substances différentes à une température
donnée, mais chaque substance a une pression de vapeur spécifique pour chaque
température. A son point d'ébullition, la pression de vapeur d'un liquide est égale à la
pression atmosphérique. Par exemple, la pression de vapeur de l'eau, mesurée en
hauteur de mercure dans un baromètre, est de 4.58 mm à 0°C et de 760 mm à
100°C (son point d'ébullition).

5.Paramètres d’évaporations :
*Vitesse du vent :

La vitesse à laquelle l'air s'écoule sur la surface de l'eau affecte le taux d'évaporation
de l'eau. Lorsque le vent souffle, il balaie les particules d'eau en suspension dans
l'air. L'humidité de l'air dans la région de cette évaporation est réduite, ce qui permet
à plus de molécules d'eau de se dissiper dans l'air. Le vent peut également modifier
la pression de vapeur en déplaçant l'air rapidement, provoquant ainsi son expansion.
Ce processus crée de la place pour la vapeur d'eau supplémentaire et l'évaporation
continuera de se produire pendant que le vent souffle.

*Surface et température :

La température et la surface de l'eau influencent également les effets de la vitesse


du vent et de l'humidité relative. Les molécules d'eau sont plus exposées à l'air et
plus influencées par la vitesse du vent et l'humidité relative, plus un plan d'eau est
étendu. La température de l'eau affecte la vitesse à laquelle les particules d'eau se
déplacent. Une molécule d'eau qui se déplace très rapidement est plus susceptible
d'éclater de la surface de l'eau dans l'air. L'air, étant un gaz, se dilate à des
températures plus élevées. L'air chaud est donc capable de retenir plus d'eau que
l'air froid.

*Humidité relative :

L'humidité relative se réfère à la quantité d'eau dans l'air, en tant que fraction de la
quantité totale l'air peut tenir, lorsqu'il est saturé. Une fois que l'air a atteint 100%
d'humidité relative, il n'est plus capable de retenir l'eau, qui se condense ensuite hors
de l'atmosphère. La quantité d'humidité dans l'air affecte directement la vitesse à
laquelle l'eau s'évapore. La vapeur d'eau dans l'air varie donc considérablement
selon l'emplacement.
*Pression partielle :

La pression partielle influence les effets de la vitesse du vent et de l'humidité relative


sur l'évaporation. La pression partielle d'eau dans l'air se rapporte à la quantité d'eau
contenue dans l'air. Lorsqu'une molécule d'eau qui est revenue à l'eau remplace une
molécule d'eau qui s'est évaporée, l'évaporation s'arrête, indépendamment du vent
ou de l'humidité relative.

6.Domaine d’application :
-Domaine industrielle :
7.Bassin de rejet :
8.Choix de serre :

Il existe différents types de serres. La serre-tunnel en film plastique est la solution la


moins onéreuse. Elle est facile à installer et à (dé)placer. La serre-tunnel présente
l’avantage que le sol se réchauffe vite au printemps. L’inconvénient réside dans la
faible protection contre le gel. Le film doit en outre être remplacé régulièrement pour
une absorption maximale de lumière.

Une construction en aluminium et en verre garantit une luminosité optimale. Les


gouttes d’humidité (condensation) ruissellent le long des vitres, ce qui limite les
risques que la récolte soit endommagée. Ce type de serre peut être utilisé tout au
long de l’année.

Une serre à parois obliques offre une stabilité accrue, une surface utile plus
importante, un volume supplémentaire et une température plus stable, une meilleure
absorption de la lumière et de la chaleur ainsi qu’une exposition réduite au vent. Une
serre à parois obliques est également meilleur marché au m².

Bon à savoir : plus la serre est grande, moins les températures fluctuent.

*Serre en forme tunnel :

Vous devez choisir un emplacement pour votre serre tunnel qui devra être dans un
endroit à l’abri du vent et des courants d’air. Elle devra être également bien exposé
au soleil. Ensuite, il vous faut choisir l’orientation sur votre terrain de votre serre de
jardin.
Si vous vous situez en zone tempérée, nous vous conseillons une exposition de
votre serre tunnel au sol au Nord/Sud. A contrario, si vous vous trouverez dans une
région plutôt ensoleillée, nous vous conseillons de placer les deux côtés de la serre à
l’Est et à l’Ouest, c’est à dire une face à l’est et l’autre à l’ouest.

9. Bâche de serre :
*Polyéthylène (bâche) :
Les films en polyéthylène sont couramment utilisés pour couvrir les serres tunnel.
Relativement bon marché, ces bâches sont faciles à entretenir, leur durée de vie est
d’environ 3 à 5 ans dans des conditions extérieures normales.
En cas de déchirure par le vent ou par des branches d’arbre, il est relativement facile
de les réparer à l’aide d’un ruban adhésif.

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