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1- Activité 1 

: a-  Le thème traité est :


 La solidarité universelle pour stopper la pauvreté dans le monde ?
 La solidarité universelle pour faire face au Covid-19 ?
 La solidarité universelle pour arrêter les guerres dans le monde ? Soulignez la bonne réponse
b- Complétez le tableau suivant :
Qui parle ? A qui ? (Destinataire) De quoi ? Comment ?
(Destinateur)

Activité 02 : 1- Que fait l'auteur dans le premier paragraphe ?


Dans le premier paragraphe, l’auteur : ………………………….
…………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………
2- Le lexique utilisé par l’auteur est –il péjoratif ou mélioratif ? justifiez par des éléments du texte ?
Le lexique relevé du premier paragraphe est …………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………….
3- Selon l'auteur, pourquoi faut-il stopper les guerres dans le monde?
Selon l’auteur, il faut …………………………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………………..
Activité 03 : L’auteur marque sa présence dans ce texte, relevez deux indices d'énonciation.
………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………
Activité 04: Classez les verbes soulignés dans le tableau suivant en précisant leurs valeurs :
 Il ne devrait y avoir qu’un seul combat dans le monde aujourd’hui
 D’autres facteurs encore pourraient contribuer à la montée du mécontentement et des tensions
politiques.
 Les voix pour la paix doivent être les plus fortes.
 Il faut agir. Nous devons faire tout notre possible pour apporter la paix.
Met l’accent sur
Le verbe
La capacité du destinataire. La nécessité de l’action L’obligation morale du destinataire

Ces verbes sont appelés … ……….


Activité06 : 
1- Que demande l'auteur dans le dernier paragraphe ? A qui le demande-t-il ?
Dans le dernier paragraphe, l’auteur ………………………………………………………………………..
………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………..
2- Voici des énoncés pris du texte, lisez-les puis répondez aux questions suivantes :
- " J’exhorte les deux parties et tous les autres acteurs….."
- " J’adresse un appel particulier à tous les pays….."
- " J’appelle tous les combattants du monde entier…"
 L'auteur dans ces énoncés : a) explique. b) Critique. c) Lance un appel. Qu'utilise-t-il ?
 Il utilise des verbes…………… / ………………….. ( exhorter / adresser / appeler)
……………………………………………………………………………………………………………

Activité 07: 
a- Identifiez le rapport logique exprimé dans les phrases suivantes :
1) « J’ai lancé un appel à un cessez-le-feu immédiat partout sur la planète en vue de renforcer l’action
diplomatique.. »
2) « Pour faire taire les armes, les voix pour la paix doivent être les plus fortes. »
3) « J’adresse un appel particulier à tous les pays qui ont une influence sur les parties en guerre afin que
ce cessez-le-feu soit une réalité. »
4) Nous devons mobiliser toutes les énergies pour la vaincre.
Le rapport logique exprimé dans les énoncés ci-dessus est celui………………..

b-Exprimez le même rapport (Phrase 1 -2) autrement.


« J’ai lancé un appel à un cessez-le-feu immédiat partout sur la planète ………… renforcer l’action
diplomatique.»
« …………. faire taire les armes, les voix pour la paix doivent être les plus fortes. »
c- Remplissez le tableau suivant en vous aidant des phrases ci- dessus :

outils introduisant le + proposition subordonnée + groupe nominal de + proposition


Phrase but de but (au subjonctif) but infinitive de but
1
2
3
4

La visée communicative du texte …………………………………………………………..

Activité de synthèse : Dégagez le plan du texte.

Parties du Contenu de chaque partie Fonction de chaque partie Moyens


texte linguistiques

Situation de
départ :

Partie
centrale :

Situation
finale  :
« Faisons taire les armes, les voix pour la paix doivent être les plus fortes »
Le monde entier affronte aujourd’hui un ennemi commun : la COVID-19. Le virus n’épargne aucune
nationalité, communauté ou religion. Il attaque tout le monde sur son passage, implacablement. Pendant ce
temps, les conflits armés continuent de faire rage dans le monde. Ce sont les personnes les plus vulnérables :
les femmes et les enfants, les personnes en situation de handicap, les personnes marginalisées et déplacées,
qui paient le tribut le plus lourd. Ces mêmes personnes courent également le plus grand risque de subir des
pertes dévastatrices à cause du COVID-19. N’oublions pas que dans les pays ravagés par la guerre, les
systèmes de santé se sont effondrés.
Il y a dix jours, j’ai lancé un appel à un cessez-le-feu immédiat partout sur la planète en vue de
renforcer l’action diplomatique, de créer les conditions nécessaires à l’acheminement d’une aide vitale et de
ramener l’espoir dans les endroits qui sont parmi les plus exposés à la pandémie de COVID-19.
Il ne devrait y avoir qu’un seul combat dans le monde aujourd’hui, celui que nous menons en commun
contre la COVID-19. Nous savons que la pandémie a de profondes répercussions sociales, économiques et
politiques, notamment en matière de paix et de sécurité internationales. Nous voyons, par exemple, que des
élections sont reportées, que des restrictions durables sont apportées aux déplacements, que le chômage explose
et que d’autres facteurs encore pourraient contribuer à la montée du mécontentement et des tensions politiques.
Par ailleurs, les groupes terroristes ou extrémistes pourraient tirer profit de l’incertitude créée par la
propagation de la pandémie. Nous avons besoin d’une action diplomatique vigoureuse face à ces difficultés,
toutefois, la distance est grande de la parole aux actes,  entre les mots et leur traduction concrète sur le terrain et
dans la vie des gens. Pour faire taire les armes, les voix pour la paix doivent être les plus fortes.
J’exhorte les deux parties et tous les autres acteurs directement ou indirectement impliqués dans les
conflits  à cesser immédiatement les hostilités pour permettre aux autorités de faire face à la menace que
constitue la COVID-19, à assurer un accès sans entrave à l’aide humanitaire. J’adresse un appel particulier à
tous les pays qui ont une influence sur les parties en guerre afin que ce cessez-le-feu soit une réalité. J’appelle
tous les combattants du monde entier à déposer les armes. La paix a une chance, mais nous en sommes encore
loin. Il faut agir. Nous devons faire tout notre possible pour apporter la paix et l’unité dont notre monde a
désespérément besoin pour combattre la COVID-19. Nous devons mobiliser toutes les énergies pour la vaincre.

António Guterres (le neuvième Secrétaire général de l’ONU), le 3 avril 2020.

« Faisons taire les armes, les voix pour la paix doivent être les plus fortes »
Le monde entier affronte aujourd’hui un ennemi commun : la COVID-19. Le virus n’épargne aucune
nationalité, communauté ou religion. Il attaque tout le monde sur son passage, implacablement. Pendant ce
temps, les conflits armés continuent de faire rage dans le monde. Ce sont les personnes les plus vulnérables :
les femmes et les enfants, les personnes en situation de handicap, les personnes marginalisées et déplacées,
qui paient le tribut le plus lourd. Ces mêmes personnes courent également le plus grand risque de subir des
pertes dévastatrices à cause du COVID-19. N’oublions pas que dans les pays ravagés par la guerre, les
systèmes de santé se sont effondrés.
Il y a dix jours, j’ai lancé un appel à un cessez-le-feu immédiat partout sur la planète en vue de
renforcer l’action diplomatique, de créer les conditions nécessaires à l’acheminement d’une aide vitale et de
ramener l’espoir dans les endroits qui sont parmi les plus exposés à la pandémie de COVID-19.
Il ne devrait y avoir qu’un seul combat dans le monde aujourd’hui, celui que nous menons en commun
contre la COVID-19. Nous savons que la pandémie a de profondes répercussions sociales, économiques et
politiques, notamment en matière de paix et de sécurité internationales. Nous voyons, par exemple, que des
élections sont reportées, que des restrictions durables sont apportées aux déplacements, que le chômage explose
et que d’autres facteurs encore pourraient contribuer à la montée du mécontentement et des tensions politiques.
Par ailleurs, les groupes terroristes ou extrémistes pourraient tirer profit de l’incertitude créée par la
propagation de la pandémie. Nous avons besoin d’une action diplomatique vigoureuse face à ces difficultés,
toutefois, la distance est grande de la parole aux actes,  entre les mots et leur traduction concrète sur le terrain et
dans la vie des gens. Pour faire taire les armes, les voix pour la paix doivent être les plus fortes.
J’exhorte les deux parties et tous les autres acteurs directement ou indirectement impliqués dans les
conflits  à cesser immédiatement les hostilités pour permettre aux autorités de faire face à la menace que
constitue la COVID-19, à assurer un accès sans entrave à l’aide humanitaire. J’adresse un appel particulier à
tous les pays qui ont une influence sur les parties en guerre afin que ce cessez-le-feu soit une réalité. J’appelle
tous les combattants du monde entier à déposer les armes. La paix a une chance, mais nous en sommes encore
loin. Il faut agir. Nous devons faire tout notre possible pour apporter la paix et l’unité dont notre monde a
désespérément besoin pour combattre la COVID-19. Nous devons mobiliser toutes les énergies pour la vaincre.

António Guterres (le neuvième Secrétaire général de l’ONU), le 3 avril 2020.


(Nom de l'auteur) est l'auteur du texte intitulé (titre du texte). Il est extrait de :(la source). Il comporte
(nombre de paragraphes). Le texte est de type exhortatif répondant à une stratégie, à la fois,
argumentative et incitative. L'auteur, tout au long de son exposé à trois temps (exposition, argumentation
et exhortation), traite du problème du/de la/des (problème ou idée générale du texte) dans le but de
D'abord, dans la partie expositive , l'écrivain expose la situation négative qui l'a poussé à
s'indigner, et partant, à adresser cet appel urgent aux lecteurs. Cette situation négative n'est autre que
(le/la/les+problèmes). Ensuite, dans la partie argumentative, l'écrivain tente de convaincre ses lecteurs de
la nécessité du changement de ce statu quo. Ainsi, et afin que son appel atteigne son objectif, l'écrivain
utilise les arguments suivants :
Premièrement, «...(argument)... ». §
Deuxièmement, « ...(argument).... ». §
Troisièmement, «.. .(argument).. ». §
Enfin, dans la partie exhortative, l'écrivain incite ses lecteurs à + infinitif (...) pour résoudre le
problème cité ci-dessus.

Notre texte portant comme titre (titre) a été rédigé par l’éminent auteur (écrivain, journaliste,
chercheur, etc.), et a été extrait de ( son fameux livre ; journal, revue, etc.), ce texte constitué de (X)
paragraphes est un appel qui évoque (le thème) dans le but d’incité le destinataire à (agir) / réagir et
entreprendre des actions pour changer la situation.
L'auteur commence par donner un aperçu général sur le sujet en exposant (dire la nature du sujet
/exposer la situation négative)..................... par la suite il étaye son argumentation en (montrer
l’argument le plus important / les solutions proposées), puis lance un appel aux(le destinataire .............)
pour les exhorter à ...................Il leur demande de.................il les pousse à (agir)...................

(Nom de l'auteur) est l'auteur du texte intitulé (titre du texte). Il est extrait de :(la source). Il comporte
(nombre de paragraphes). Le texte est de type exhortatif répondant à une stratégie, à la fois,
argumentative et incitative. L'auteur, tout au long de son exposé à trois temps (exposition, argumentation
et exhortation), traite du problème du/de la/des (problème ou idée générale du texte) dans le but de……
D'abord, dans la partie expositive, l'écrivain expose la situation négative qui l'a poussé à
s'indigner, et partant, à adresser cet appel urgent aux lecteurs. Cette situation négative n'est autre que
(le/la/les+problèmes). Ensuite, dans la partie argumentative, l'écrivain tente de convaincre ses lecteurs de
la nécessité du changement de ce statu quo. Ainsi, et afin que son appel atteigne son objectif, l'écrivain
utilise les arguments suivants :
Premièrement, «...(argument)... ». §
Deuxièmement, « ...(argument).... ». §
Troisièmement, «.. .(argument).. ». §
Enfin, dans la partie exhortative, l'écrivain incite ses lecteurs à + infinitif (...) pour résoudre le
problème cité ci-dessus.

Notre texte portant comme titre (titre) a été rédigé par l’éminent auteur (écrivain, journaliste,
chercheur, etc.), et a été extrait de ( son fameux livre ; journal, revue, etc.), ce texte constitué de (X)
paragraphes est un appel qui évoque (le thème) dans le but d’incité le destinataire à (agir) / réagir et
entreprendre des actions pour changer la situation.
L'auteur commence par donner un aperçu général sur le sujet en exposant (dire la nature du sujet
/exposer la situation négative)..................... par la suite il étaye son argumentation en (montrer
l’argument le plus important / les solutions proposées), puis lance un appel aux(le destinataire .............)
pour les exhorter à ...................Il leur demande de.................il les pousse à (agir)...................

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