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« Faisons taire les armes, les voix pour la paix doivent être les plus fortes »
Il ne devrait y avoir qu’un seul combat dans le monde aujourd’hui, celui que
nous menons en commun contre la COVID-19. Nous savons que la pandémie a de
profondes répercussions sociales, économiques et politiques, notamment en matière de
paix et de sécurité internationales. Nous voyons, par exemple, que des élections sont
reportées, que des restrictions durables sont apportées aux déplacements, que le
chômage explose et que d’autres facteurs encore pourraient contribuer à la montée du
mécontentement et des tensions politiques. Par ailleurs, les groupes terroristes ou
extrémistes pourraient tirer profit de l’incertitude créée par la propagation de la
pandémie. Nous avons besoin d’une action diplomatique vigoureuse face à ces
difficultés, toutefois, la distance est grande de la parole aux actes, entre les mots et
leur traduction concrète sur le terrain et dans la vie des gens. Pour faire taire les armes,
les voix pour la paix doivent être les plus fortes.
Déroulement de la séance
v Premier moment.
I. Observation
-Quels sont les éléments périphériques qui entourent le texte ?
Titre : « Faisons taire les armes, les voix pour la paix doivent être les plus fortes »
v Deuxième moment :
1. Hypothèse du sens :
-D’après ces éléments périphériques quel le problème posé ce texte ?
v Quatrième moment :
I. Lecture analytique.
Activité 1
2. Ce message s'adresse :
A. A tous les citoyens du monde ?
B. Aux pays en guerre ?
C. Aux puissances mondiales ?
Activité 2
2. Quel lexique a choisi l’auteur pour décrire cette situation (le lexique péjoratif ou
mélioratif) ?Pourquoi ?
-Le lexique a choisi l’auteur pour décrire cette situation est péjoratif. Parce que c’est
une situation négative.
3. L’auteur pense que nous devrions arrêter les guerres dans le monde, pour
quoi ?
-Selon l’auteur , nous devrions arrêter les guerres afin de créer les conditions
nécessaires à l’acheminement d’une aide vitale et de ramener l’espoir dans les endroits
qui sont parmi les plus exposés à la pandémie de COVID-19. (2ème §).