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Les enjeux de la guerre civile

libyenne
Plan :
I/Intro :
1. Mednine : Ras jedir , ben gerdene , dhhiba
2. Libye : zouara , Nouyal , mashhad salih-tiji
II/ culture et tribus
3. Libye
4. Mednine
III/ politique
5. Bataille de ben gerdene
6. Libye : *intégration du mercenaire dans le conflit libyen
* l’immigration et le transfert de fonds
* les relations entre la Tunisie et la Libye
* l’impact du conflit en Libye sur économie tunisienne : politique
économique
le 24 février 2011, le camp de réfugiés de Choucha est ouvert entre le poste
frontière de Ras Jedir et la ville de Ben Gardane.
« crise » au niveau de la frontière tuniso-libyenne. Celle-ci a, selon les autorités
tunisiennes été franchie à partir du 20 février par 75 000 personnes fuyant la Libye,
en pleine révolte.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Fronti%C3%A8re_entre_la_Libye_et_la_Tunisie
https://fr.wikipedia.org/wiki/Deuxi%C3%A8me_guerre_civile_libyenne
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Benghazi_(2014)#cite_note-Obs180514-2
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ansar_al-Charia_(Libye)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Deuxi%C3%A8me_guerre_civile_libyenne
https://fr.wikipedia.org/wiki/Premi%C3%A8re_guerre_civile_libyenne
https://
www.middleeasteye.net/fr/reportages/la-frontiere-tuniso-libyenne-victime-des-com
bats-dinfluence-pour-louest-libyen
https://
www.lemonde.fr/afrique/article/2020/06/05/la-paix-incertaine-en-libye-malgre-la-fi
n-de-la-bataille-de-tripoli_6041939_3212.html
Frontière entre la Libye et la Tunisie

• La frontière entre la Libye et la Tunisie est la frontière


séparant la Libye et la Tunisie selon un tracé long de 459
kilomètres .le poste frontalier de Ras Jedir est le principal de
cette frontière. Situé dans le sud-est de la Tunisie, il est à 169
kilomètres de Tripoli.
Zouara
Zouara  est une ville portuaire de Libye , à 60 kilomètres de la frontière tunisienne
population parle le berbère de zouara . Pendant la deuxième guerre civile libyenne, la ville
est gérée par une milice amazighe et les autorités locales mènent une politique
d'autogestion. Elle connue par hostilité à son nationalisme arabe. Elle se rallie ensuite au
Gouvernement d'union nationale. La ville est également un lieu de passage des migrants et
des djihadistes étrangers .
Trop de morts, trop d'amertume. Dans cette ville où s'était rendu Le Monde en août 2011,
juste avant la chute de Mouammar Kadhafi, les combats avaient fait rage. Cinquante-cinq
jeunes y sont morts et plus de 700 autres ont été blessés.
Libérée le 19 août 2011, six mois jour pour jour après s'être soulevée le 19 février, la ville
porte toujours les stigmates de la guerre avec ses façades criblées de balles dans la rue
principale et ses bâtiments effondrés visés par des obus. Sur le port, d'où étaient partis la
plupart des bateaux transportant les rebelles blessés vers la Tunisie, des carcasses de
navires visés par les frappes aériennes de l'OTAN flottent, à moitié engloutis.
Sabratha
Sabratha est une des plus importantes villes de la Tripolitaine, située dans ce qui est
aujourd’hui la Libye occidentale.
****Bombardement par l'aviation américaine d’un camp de l’El faisant plus de 40
morts
La Libye est un pays fragmenté par de nombreux
clivages tribaux voire ethniques, idéologiques, religieux
et économiques. Déstabilisée dans son organisation
institutionnelle et politique depuis la révolution de
2011 inscrite dans le mouvement des printemps
arabes, elle est devenue le champ de confrontations, en
partie militaires, entre les multiples factions qui
s'appuient sur des groupes armés, pour l'accès au
pouvoir et aux ressources dont ce territoire est pourvu.
Bataille existentielle

À ce jour, selon des analystes, une solution à l’impasse libyenne passe par des pressions
exercées sur les Emirats. Mais les « Etats occidentaux ne sont pas prêts » et « tant que cela sera
le cas, les perspectives d’une solution politique sont pratiquement inexistantes », estime
Wolfram Lacher, chercheur à l’Institut allemand de politique internationale et de sécurité.
Dans le même temps, « l’incapacité de la coalition Haftar à entrer dans Tripoli » malgré le
soutien émirati et celui de centaines de mercenaires russes, a offert l’opportunité au
gouvernement turc de Recep Tayyip Erdogan « d’augmenter son influence dans la capitale
libyenne », relève Jalel Harchaoui.
Cette intervention turque a été significative : Ankara a signé un accord militaire avec le GNA
pour fournir armes et combattants, dépêchant des centaines de combattants syriens pro-turcs
en Libye.
À cela s’ajoute le soutien des groupes armés de l’ouest libyen, dont ceux de Misrata, qui veulent
« empêcher Haftar de prendre le pouvoir », dit M. Lacher.
Pour ces groupes, « il s’agit d’une bataille existentielle », car ils craignent des « crimes de guerre, des
châtiments collectifs sous un régime dictatorial ».
Les pro-Haftar usent eux de la carte « pétrole », en maintenant fermés les principaux sites. En
conséquence, la production est quasiment à l’arrêt, privant le pays de sa seule source réelle de revenu.

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