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Résumé 

Denise est une jeune normande d'une vingtaine d'années. A la suite de la mort de ses parents,
elle arrive à Paris avec ses deux frères Pépé âgé de 5 ans et Jean de 15 ans . Elle admire les
richesses d'un grand magasin, « Au Bonheur des Dames », mais doit se rendre chez son oncle
Baudu qui donne la possibilité de travailler à Denise . Baudu tient une petite boutique de tissus
qui se trouve sévèrement concurrencé par Octave Mouret, le directeur du Bonheur des dames .
On découvre progressivement la vie du grand magasin dont le sort repose sur quelques grands
produits d'appel comme un tissu de soie, le «Paris-Bonheur», vendu peu chère . Beaucoup de
vendeurs et de vendeuses, des rayons nombreux, tout un monde très actif où Denise rêve d'être
engagée.
Chez Mme Desforges, la maîtresse d'Octave, une société bourgeoise et féminine discute des
marchandises offertes. Mouret vient y rencontrer un riche baron qui peut financer les
agrandissements qu'il souhaite. Il lui explique ses ambitions. Lors du grand jour où doit être
lancée la soie nouvelle, une marée d'acheteuses se précipite au magasin. Pendant ce temps,
Denise, qui a été engagée, ne parvient pas à s'imposer, victime des d'offenses de la part de ses
collègues. Consolée par son amie Pauline, Denise n'échappe pas aux soucis d'argent. En effet
elle ne peut s'occuper de Pépé donc elle le fait garder par une vielle femme et Jean , pour ce
sortir d'histoires suite à ses relations amoureuses , lui demande sans cesse des sommes
d'argents . D plus, elle est mal vue de ses supérieurs et sa vie est bien terne, malgré une sortie
où elle rencontre Deloche, un amoureux timide. À la morte-saison, les employés craignent pour
leur emploi , Denise est injustement renvoyée, en partie à cause de l'inspecteur Jouve à qui elle
a refusé des avances ( Elle se fait surprendre a discuter avec Jean par Jouve qui croit que c'est
son amant et qui ensuite ira en parler a Bourdoncle) . Elle s'installe alors chez le père Bourras et
qui l'engage par charité , un artisan lui aussi victime de Mouret, lequel s'emparera de sa maison. 
Malgré sa situation difficile, Denise défend les méthodes de Mouret qui éprouve des sentiments
pour elle. Les agrandissements énormes du « Bonheur » amènent les Baudu, cousins de Denise,
au désespoir, ils ne vendent plus rien, d'autant plus que leur vendeur, fiancé à la fille de la
maison, aime une vendeuse du Bonheur ! Dans le grand magasin, une débauche de
marchandises et de réclames attire une foule considérable, dont quelques voleuses. Denise,
réengagée après un an, va devenir seconde à son rayon. Au moment de l'inventaire, elle est
invitée par Mouret à diner . Cela se sait dans le personnel , mais, contrairement à ce qui se
raconte, elle n'a aucune relation amoureuse avec son patron. Elle va être humiliée en sa
présence par la maîtresse en titre de Mouret qui, devant la froideur de son amant veut lui faire
avouer les sentiments qu'il éprouve pour Denise . Mouret console Denise et s'en va avec elle,
c'est alors la fin de la relation entre Mme Deforges et Mouret . Denise devient alors la "reine du
magasin" et fait bénéficier le personnel de "privilèges" pour améliorer leurs conditions de travail .
C'est l'agonie des petits commerçants: morts, fermetures, expulsions, mais peut-être quand
même un progrès général.
Le triomphe de Mouret est complet dans un décor de «blanc» éclatant: cent mille clientes et un
million de recette dans la journée qui donnera suite à une demande en mariage que Denise
acceptera .
 Personnages principaux 
Denise : Une jeune Normande de 20 ans originaire de Valognes employée du Bonheur des
dames . On peut la considéré d'ailleurs comme une héroïne car elle a réussi a résisté au avances
"financières" de Mouret .Elle a gravit le monde du travail et a fini par trouvé l'amour , un amour
qui dépasse les classes sociale .
Pépé : Petit frère de Denise et Jean , il a 5 ans et c'est un enfant doux et affectueux
Jean : Frère de Denise et Pépé , il a 13 ans et est à un âge fleurissant il est beau et plait aux
femmes.
Mr Baudu : Patron du Vieil Elbeuf , oncle de Denise , Pépé et Jean . C'est un homme colérique
Mme Baudu : femme de Mr Baudu , une femme très pâle presque anémique
Geneviève Baudu : fille de Mr et Mme Baudu , ressemblant à sa mère ( très pâle )
Octave Mouret : Directeur du Bonheur des dames , veuf 
Mme Deforges : Veuve et maîtresse de Mouret .
Mr Bourras : Semble très désespéré par la concurrence du bonheur des dames à son magasin et
porte dans son physique sa colère et son désespoir .
Les clientes du Bonheur des dames
Les clientes du bonheur des dames se retrouvent pour discuter ensemble et s'entretenir sur les
meilleurs prix et la meilleure qualité pour des accessoires et vêtements . Zola écrit une scène
dans laquelle Mme Bourdelais, Mme Guibal,Mme de Boves et sa fille Blanche et Mme Marty
discutent et échanges leurs avis sur un éventail et les décrit physiquement et mentalement .
Mme Bourdelais
Elle est issue d'une famille bourgeoise , assez aisée mais pas vraiment riche et a le sens de
l'économie . Elle est également une ancienne amie de pension d'Henriette .
Les dialogues au discours direct et indirect-libre révèlent un caractère joyeux , énergétique,
bavardes et extravertie .
( points d'exclamations , "s'écria" , " se mit à rire" )
Ses traits physiques son en accord avec son caractère .
Elle semble épanouie dans son rôle de mère de famille .
Mme Guibal
Portrait inverse de Mme Bourdelais , parle peu , murmure . Elle semble avoir un caractère
méprisant et dédaigneux . Elle tire son caractère de frustrations et du fait qu'elle se sent seule ,
elle est malheureuse en ménage . C'est une grande femme mince , les yeux gris un visage qui
révèle de la dureté et de l'égoïsme avec des cheveux roux .
Elle est la femme d'un avocat réputé , à l'aise financièrement .
Mme Marthy 
Une femme qui parait plus jeune lorsqu'elle se sent bien et plus veille en état de stress . Elle a un
problème profond sur le plan mentale , elle semble gouvernée par ses nerfs , dominée par un
déséquilibre qui affecte son comportement . Mme Guibal a en plus des autres femme un objet ,
un sac de cuir rouge qui a une valeur symbolique à considérer . Il est considéré comme une sorte
"d'organe" ( " pendait ") et représente sa fièvre compulsive d'achat . Elle se distingue par son
élégance compliquée , elle cherche à obtenir les vêtements et accessoires de dernière mode ,
comme si c'était vital . On peut conclure qu'elle ne résiste pas à l'envie d'acheter tout nouveau
produit .
Chapitre 1:
Nous commençons ce livre en faisant la connaissance de Denise Baudu, une jeune
normande de 20 ans qui est originaire de Valognes. Denise arrive à Paris
accompagnée de ses deux frères de 16 et 5 ans. Il y a de cela un an leur père est
décédé de la même maladie qui a emporté leur mère un mois auparavant. Les
orphelins se dirigent au magasin de leur oncle "Au viel Elbeuf" qui se trouve situé
juste en face d'un autre magasin qui capte l'attention de Denise, le "Au bonheur des
dames". Son oncle avait assuré à Denise qu'il pourrait toujours l'embaucher,
cependant les affaires vont mal et il ne peut tenir sa promesse. Il essaye tant bien
que mal de la faire embaucher dans le magasin d'un ami mais cette tentative reste
sans succès. On lui conseille de postuler au magasin "Au bonheur des dames", son
oncle commence alors à lui raconter l'histoire de ce magasin. Il est tenu par Octave
Mouret qui est en est devenu le propriétaire en épousant Mme Caroline Deleuze
morte peu après d'une chute sur le chantier du magasin. M. Bardu est exaspéré par
l'accroissement constant de ce magasin qui absorbe et annihile petit à petit tous les
petits commerces. Denise ne se faisant embaucher nulle part, décide contre l'avis de
son oncle d'aller postuler chez "Au bonheur des dames". Dans ce chapitre, on
comprend déjà quel sera le thème principal de ce roman: la lutte entre les petits
commerces et les grands magasins.
Chapitre 2:
Denise se présente au bonheur des dames bien trop tôt, elle est obligée de patienter
à l'entrée alors que l'intérieur ressemble à une véritable petite fourmilière dans
laquelle toutes les personnes s'activent sous l’œil expert du patron (Mouret) et de
l'adjoint du patron (Bourdoncle). Denise se présente à l'embauche mais
malheureusement elle n'est pas aidée par sa mine pauvre et son apparence
provinciale, cependant, Mouret lui trouve un certain je ne sais quoi, un charme caché
et elle finit par être engagée. Grâce à ce chapitre Zola nous dresse un portrait
de Mouret et de sa manière de fonctionner.
Chapitre 3:
Mouret arrive chez sa maîtresse Henriette Desforges dans le but d'y rencontrer un
investisseur qui n'est rien d'autre que le Baron Hartmann. L'endroit dans lequel ils
sont réunis est fréquenté par beaucoup de clientes du Au bonheur des Dames,
Mouret y rencontre aussi un ancien compagnon d'études nommé Paul Vallagnosc.
Au début hésitant, le Baron Hartmann finit par accepter d'investir de l'argent en
voyant la fièvre acheteuse de laquelle sont atteintes les dames à la vue de quelques
pièces en dentelles.
Chapitre 4:
Dans ce chapitre, on retrouve Denise pour son premier jour de travail, elle est
engagée au rayon des confections. Les autres vendeuses n'arrêtent pas de se
moquer d'elle à cause de sa robe trop large et de sa chevelure impossible à dompter.
Les autres vendeuses ne lui laissent pas de vente importante, Denise se retrouve à
plier les habits et ranger, elle devient la risée du magasin lorsqu'elle manque une
vente d'un manteau. Mouret de son côté était inquiet en début de journée par le
manque d'affluence mais se frotte les mains face au chiffre réalisé l'après-midi.
Chapitre 5:
Dans le chapitre 5, Mouret convoque Denise afin de la conseiller sur sa tenue, elle
travaille d'arrache pied et supporte les persécutions des vendeuses qui empirent si
elle réussit une vente. Elle gagne peu, mange de la même manière, elle utilise son
salaire pour payer les dettes de son frère et la pension de Pépé (son plus jeune
frère). Sa seule amie au bonheur des dames est Pauline, cette dernière lui conseille
de prendre un amant, elle s'y refuse. En creusant un peu la question, elle se rend
compte qu'il s'agit là d'une pratique courante. Hutin qui est premier vendeur au
magasin la touche par sa galanterie, elle s'en croit amoureuse jusqu'à ce qu'elle
découvre qu'en réalité il se moque d'elle dans son dos. Lors d'une sortie à Joinville,
Deloche un commis du Bonheur des Dames lui déclare son amour qui n'est
malheureusement pas réciproque, elle le repousse. En rentrant de cette sortie, elle
croise le patron avec qui elle discute et on apprend ainsi que Mouret serait jaloux à
l'idée qu'elle puisse prendre un amant.
Chapitre 6:
C'est l'été, la saison morte et le personnel a peur des licenciements car chaque
année à cette époque le Bonheur des Dames vire un tiers de son personnel. Il y a
des rumeurs qui courent sur Denise, elle aurait un enfant (Pépé) ainsi qu'un amant
(Jean), elle nie mais la vérité a toujours plus de mal à se frayer un chemin que le
mensonge. Son frère Jean n'arrête pas de lui demander de l'argent, Denise décide
donc de prendre un second travail de soir dans la confection de nœuds de cravate.
L'inspecteur Jouve qui a écrit des rapports à l'origine de nombreux renvois a surpris
une conversation entre Pauline et Denise et compte obtenir ainsi les faveurs de
Denise. Cette dernière repousse les avances de Jouve mais celui-ci la surprend de
nouveau avec Jean. C'est ainsi que Jouve et Bourdoncle licencient Denise sans en
parler à Mouret. Denise voudrait expliquer à Mouret que Pépé et Jean ne sont que
ses frères mais elle y renonce. En apprenant le licenciement de Denise, Mouret
s'énerve contre Bourdoncle et veut réembaucher Denise mais y renonce finalement.
Chapitre 7:
Notre héroïne se loue une petite chambre chez Bouras (fabriquant de parapluies).
Elle croise des anciennes connaissances du Au bonheur des Dames, Colomban
l'entretient à propos de Clara. Mais Denise est dans une misère noire et n'est pas
loin de se prostituer. L'artisan de parapluie l'embauche par charité. C'est en 1866
qu'elle quitte Bourras car elle se considère une charge pour lui, elle commence à
travailler chez Robineau (ancien second à la soie du au bonheur des dames qui a
été renvoyé) qui a repris une boutique. Robineau aidé par Gaujean (tisserand
lyonnais) décide rentrer en compétition contre Au bonheur des dames, cependant
Mouret baisse les prix de sa soie et la vend à perte. Robineau suit la baisse des prix,
c'est finalement Mouret qui gagne la partie, Robineau est ruiné et Denise défend les
grands magasins qui, selon elle, sont le futur.
Le printemps venu, Mouret lance une offensive contre le petit artisan de parapluie,
rachète l'immeuble voisin et propose à Bourras de lui racheter son bail à un prix
avantageux, celui-ci refuse et rénove son magasin afin de concurrencer Au bonheur
des Dames.
Un soir en été, Mouret croise Denise et lui propose de réintégrer son équipe, cette
dernière refuse, Mouret est troublé par la femme qu'est devenue Denise et de sa
connaissance du problème des grands magasins contre le petit commerce. Il la
charge d'apporter à Bourras une dernière offre de rachat qu'il refusera. Denise se
réconcilie finalement avec son oncle.
Chapitre 8:
Le Bonheur des Dames n'arrêtent pas de s'agrandir, lors d'un repas de famille,
Denise défend les grands magasins, Geneviève (sa cousine) lui explique qu'elle est
triste de voir Colomban s'éloigner d'elle. Plus les travaux du Au bonheur des Dames
avancent, plus les petits commerces ferment et son oncle est obligé de vendre sa
maison de Rambouillet. En voyant que Robineau ne peut plus la payer, Denise
démissionne et accepte un emploi plus rémunéré au Bonheur des Dames. C'est au
cours d'une journée de travail plus que banale qu'elle apprend que Clara est l'amante
de Mouret, cette nouvelle la rend jalouse. Elle essaye de faire le jeu de sa cousine
en allant voir Colomban afin de l'inciter à tourner son affection vers Geneviève. Les
Baudu sont triste car ils ont l'impression que Au bonheur des Dames leur a
absolument tout volé, clientèle, fiancé de leur fille (Colomban), ainsi que leur nièce.
Image: undernierlivre.net
Chapitre 9:
En mars 1867 la croissance du au bonheur des dames est spectaculaire, Mouret
inaugure un nouveau magasin, il innove en mélangeant les rayons. Cette ouverture
remporte un succès phénoménal. Denise au travail a retrouvé un personnel très
respectueux. Mme Desforges vient au magasin afin de voir le "caprice de Mouret".
Mme Marty l'informe que Clara est l'amante de Mouret mais Mme Desforges
comprend très vite que le vrai danger vient de Denise, elle se venge d'elle en la
faisant tourner en rond dans le magasin. Après cette journée d'ouverture qui est un
véritable succès, Mouret promeut Denise au poste de seconde vendeuse du rayon
confection. Quand on lui amène la recette, Mouret tente de séduire Denise en lui
proposant une part, Denise est troublée de sentir le désir de Mouret, Bourdoncle
arrive et interrompt cet entretien.
Chapitre 10:
Au mois d'août, Denise qui se remet tout doucement d'une entorse à la cheville reçoit
une lettre de son patron qui lui propose de venir dîner. Et tout le monde sait ce que
ça veut dire, après le dîner, le dessert est toujours servi, Clara et d'autres vendeuses
y ont déjà eu droit. Mme Aurélie organise une entrevue entre Mouret et la lingère,
mais Denise qui aime vraiment Mouret en veut plus et ne peut pas se contenter de le
partager, elle refuse donc l'invitation.
Chapitre 11:
Mme Desforges se confie à Bouthemont (chef du rayon de soie) de sa frustration ne
pas arriver à avoir Mouret. Mme Desforges a organisé une rencontre entre Denise,
qui est venue chez elle afin de retoucher un manteau, et Mouret (à qui elle a dit que
le Baron Hartmann serait là). Mme Desforges a comme idée d'humilier Denise mais
malheureusement son plan se retourne contre elle quand Mouret prend la défense
de Denise, renvoie Bouthemon et quitte Mme Desforges.
Chapitre 12:
C'est en Septembre 1868 que démarrent les nouveaux travaux d'agrandissement du
magasin. Clara a comme idée de séduire Colomban afin de faire du mal à Denise.
L'adjoint au patron est inquiet de l'emprise qu'a Denise sur son patron et fait tout ce
qui est en son pouvoir pour essayer de la discréditer. Mouret ne pense plus qu'à
Denise et même son succès commercial ne parvient pas à la lui enlever de la tête. Il
la surprend en conversation avec Deloche et menace de renvoyer le commis. Mais
Denise annonce son désir de quitter l'entreprise, il la nomme première vendeuse aux
costumes pour enfants. Mouret et Denise conversent amicalement durant de longs
moments, pendant lesquels Denise propose des améliorations des conditions de
travail. Pauline, sa première amie, interroge Denise pour savoir quel est son but avec
le patron. C'est ainsi que naît l'idée d'un mariage.
Chapitre 13:
Quand se pointe l'hiver, Geneviève inconsolable car Colomban l'a abandonné, finit
par mourir de chagrin. Les funérailles de la cousine de Denise servent de prétexte
pour une manifestation des petits commerces contre le géant Au Bonheur des
Dames. Denise, qui se sent plus que coupable, arrive à obtenir des compensations
financières pour les faillites de Bourras et Baudu. Robineau, détruit par la faillite de
son commerce, essaye de se suicider en se jetant sous un bus. Bourras se trouve
chasser de chez lui mais fier comme il est, refuse les compensations financières de
Mouret. Par sa situation inconcevable (perte de sa fille et de son commerce), Mme
Bardu se laisse mourir et son mari finit par abandonner la boutique et s'exile dans
une maison de retraite.
Chapitre 14:
Tel le capitalisme naissant qui n'arrête pas de grossir, de se transformer et
d'annihiler les petits commerçants, le Bonheur des Dames connait un succès
démesuré, en février un nouveau magasin est inauguré, toutes les femmes sont au
rendez-vous. Afin de mettre fin aux rumeurs qui courent sur un mariage entre elle et
Mouret, Denise décide de partir afin de mettre fin à tous ces commérages. Une fidèle
cliente Mme De Boves a été attrapé en train de voler. Mouret a la sensation d'être le
maître de ses clientes, quand la recette arrive, sonnant son triomphe absolu, il
convoque Denise et lui demande sa main. Après quelques réticences, cette dernière
accepte.

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