1.

) Le problème relatif au dépistage du cancer du sein en Vendée est que le taux de dépistage du cancer du sein soit
supérieur à la moyenne nationale, à 52%, seulement 58% des femmes âgées de 50 à 74 ans se font dépister tous les deux
ans, ce qui indique une stagnation de la participation. La Ligue souligne qu'une femme sur huit risque d'être confrontée
au cancer du sein au cours de sa vie, ce qui est alarmant étant donné les 49 000 nouveaux cas et les 1 900 décès
enregistrés chaque année en France. Dans la région de la Loire, environ 230 femmes âgées de moins de 65 ans meurent
chaque année d'un cancer du sein. Pour réduire la mortalité due au cancer du sein, il faudrait que 70 à 80% des femmes
se fassent dépister tous les deux ans. Les raisons pour lesquelles les femmes évitent le dépistage peuvent être liées à la
négligence, à la peur ou à une perception erronée des progrès de la médecine en matière de traitement du cancer.

2.) Les deux structures doivent chercher des informations sur les raisons pour lesquelles les femmes ne se font pas
dépister, telles que la négligence, la peur ou une perception erronée des progrès de la médecine en matière de traitement
du cancer. Ils pourraient également chercher des informations sur les obstacles physiques ou logistiques qui pourraient
empêcher les femmes d'accéder au dépistage, comme les coûts ou la distance géographique. Donc, ils pourraient
examiner les initiatives qui ont réussi à augmenter le taux de dépistage du cancer du sein dans d'autres régions ou pays
pour identifier des solutions adaptées au contexte local.

3.) -> Qui ? La Ligue contre le cancer de Vendée et le Centre de coordination des dépistages des Pays de la Loire.
Quoi ? Une enquête sur le dépistage organisé du cancer du sein.
Où ? En Vendée et dans les Pays de la Loire.
Quand ? 3 Février 2019 à Février 2021
Pourquoi ? Pour comprendre les raisons pour lesquelles les femmes ne se font pas dépister et identifier des solutions
pour permettre à toutes les femmes concernées d'accéder au dépistage du cancer du sein.

-> L'étude "Dépistage organisé cancer du sein" peut apporter des informations concernant les raisons pour lesquelles
les femmes ne se font pas dépister ainsi que des solutions pour augmenter le taux de participation au dépistage du
cancer du sein. Cependant, cette étude est limitée aux données collectées dans la région de Vendée et ne peut donc pas
prendre en compte les différences régionales ou nationales qui pourraient influencer les raisons de la non-participation.
Il serait donc prudent de mener des enquêtes plus larges et plus diversifiées pour compléter cette étude et obtenir une
vision globale du problème ainsi que des solutions possibles.

-> Le contexte institutionnel de l'étude peut avoir une influence sur l'objet d'étude. En effet, le contexte institutionnel
peut déterminer les moyens et les ressources qui sont accordées pour l'étude ainsi que les méthodes qui sont employées
pour collecter les données.Par exemple, si l'étude est financée par une institution publique, cela peut limiter les moyens
financiers disponibles pour l'étude. De même, si l'étude est menée en collaboration avec des professionnels de la santé
locaux, cela peut influencer la méthodologie de l'étude ou les conclusions qui sont tirées de l'analyse des données. Par
conséquent, il est important de prendre en compte le contexte institutionnel de l'étude lors de l'analyse des résultats de
l'étude.

-> Les hypothèses possibles pour l'enquête "Dépistage organisé cancer du sein" sont :

• Les femmes ne se font pas dépister à cause d'un manque d'information sur l'importance du dépistage du cancer
du sein.

• Les femmes ne se font pas dépister à cause de la peur de la douleur ou de la gêne associée à l'examen de la
mammographie.

• Les femmes ne se font pas dépister parce qu'elles pensent que les progrès de la médecine ont rendu le cancer
du sein moins mortel.

• Les femmes ne se font pas dépister à cause de contraintes financières liées aux coûts du dépistage.

• La peur de recevoir un diagnostic de cancer peut décourager les femmes de se faire dépister, même si cela peut
conduire à un diagnostic précoce et à un traitement plus efficace.