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d’éducation pour la santé visant à sensibiliser les jeunes aux risques comportementaux
(tabagisme, consommation excessive d’alcool, exposition prolongée au soleil, alimentation
déséquilibrée, sédentarité…) et environnementaux (tabagisme passif…). Le programme
d’intervention s’établit en fonction des objectifs de l’équipe éducative et du niveau d’âge des
jeunes.
Programme C BON POUR TOI : Théâtre interactif à destination des élèves de 6ème
dont l’objectif principal est la prévention des premières consommations.
EXPLO’TABAC : Ateliers participatifs à destination des élèves de CM1/CM2 à l’aide
d’un outil pédagogique développé par la Ligue nationale contre le cancer
Animations sur la prévention solaire dans différentes structures d’accueil d’enfants du
département
Concours scolaire de créations artistiques sur un thème différent chaque année à
destination des élèves de cycle 2 (CP, CE1, CE2) et 3 (CM1, CM2)
Projets personnalisés et adaptés à la demande sur l’alimentation, l’activité physique et
le sommeil
Facteurs de risque
Le cancer du sein est une maladie multifactorielle. Cela signifie que plusieurs facteurs influent
sur le risque de sa survenue. On parle de facteurs de risque.
Age
Antécédents personnels
Antécédents familiaux
Prédispositions génétiques
On connaît aujourd'hui un certain nombre de facteurs de risque du cancer du sein même s’il
existe encore des incertitudes quant à l’implication et au poids de plusieurs de ces facteurs.
Une personne qui possède un ou plusieurs facteurs de risque peut ne jamais développer de
cancer. Inversement, il est possible qu’une personne n'ayant aucun facteur de risque soit atteinte
de ce cancer.
On distingue :
Les facteurs de risque lié à l’âge. En effet, près de 80% des cancers du sein se
développent après 50 ans.
Les facteurs de risque liés à nos modes de vie tels que la consommation d’alcool et
de tabac, un surpoids ou encore pas ou peu d’activité physique peuvent favoriser
l’apparition d’un cancer du sein.
Les facteurs de risque liés à certains antécédents médicaux personnels et
familiaux.
Outre le sexe (plus de 99% des cancers du sein touchent les femmes), les quatre principaux
facteurs de risque de cancer du sein sont :
L'âge ;
Les antécédents personnels de maladie (par exemple cancer du sein, de l'ovaire et/ou de
l'endomètre) ;
Les antécédents familiaux de cancers (sein, ovaire, ...) ;
Les prédispositions génétiques au cancer du sein.
On estime à 3 159 le nombre de nouveaux cas en France en 2023 (source : Panorama des
cancers 2023).
Ce dossier web sera très prochainement mis à jour à partir des informations issues du
nouveau guide Cancer info, d’ores et déjà disponible au téléchargement.
Lorsque ce virus s’installe durablement au niveau du col de l’utérus, il peut provoquer des
modifications de l’épithélium, on parle de lésions précancéreuses. Dans de rares cas, il arrive
que ces lésions évoluent vers un cancer. Cette évolution est lente puisqu’un cancer apparaît
généralement 10 à 15 ans après l’infection persistante par le virus.
Pour établir le diagnostic, des prélèvements (biopsies ou conisation) sont réalisés au niveau des
lésions. C’est l’examen anatomopathologique de ces prélèvements qui confirme le diagnostic de
cancer du col de l’utérus. L’étendue de la maladie est ensuite déterminée grâce à des examens
d’imagerie et en particulier par une IRM du pelvis.
La chirurgie est principalement utilisée pour traiter les tumeurs limitées au col de l’utérus, de
moins de 4 centimètres. Elle consiste le plus souvent à retirer l’utérus, certains tissus et organes
voisins et les ganglions lymphatiques.
Dans le cas des tumeurs qui ont atteint des organes éloignés (métastases), le traitement repose
sur une chimiothérapie et/ou une radiothérapie (le plus souvent externe).
L’équipe spécialisée qui vous prend en charge est constituée de professionnels de différentes
spécialités : gynécologue, chirurgien, pathologiste, oncologue radiothérapeute, oncologue
médical, radiologue, psychologue, spécialiste de la douleur, infirmier, aide-soignant,
kinésithérapeute, diététicien, assistant social… Ces professionnels travaillent en collaboration au
sein de l’établissement de santé dans lequel vous recevez vos traitements et en lien avec votre
médecin traitant.
Même durant le parcours de soins, l’arrêt du tabac est toujours bénéfique. Il influence
positivement la tolérance aux traitements et le pronostic de votre maladie. Et cela que votre
cancer ait été diagnostiqué il y a longtemps ou tout récemment.
La pratique d’une activité physique adaptée contribue aussi à améliorer votre qualité de vie tout
au long du parcours de soins et la réponse aux traitements.
Par ailleurs, le cancer et ses traitements peuvent avoir des conséquences sur votre alimentation.
Un accompagnement nutritionnel peut vous être utile pour prévenir, dépister ou traiter
une dénutrition ou à l’inverse un surpoids.
À l’issue des traitements, des consultations médicales sont programmées régulièrement et selon
un rythme adapté à votre situation. Ce suivi a notamment pour but de déceler de façon précoce
une éventuelle récidive mais aussi de détecter et traiter les effets secondaires et de favoriser le
retour à une qualité de vie la meilleure possible.