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Document : Règles BF 88 (DTU P92-703) (février 1988) : Méthode de justification par le calcul de la résistance au feu des structures en bois +
Erratum (septembre 1988)
Règles BF 88
Février 1988
DTU P 92-703
Règles bois feu 88
Statut
adoptées par le groupe de coordination des textes techniques
Modifications
Erratum n°2 de septembre 1988 paru dans Cahier 2271 incorporé
Sommaire
Liste des auteurs
Note de présentation du rédacteur
I idées directrices
II bases scientifiques
III le document
IV remarques
Chapitre 1 domaine d'application
1.1 Objet de ces règles
1.2 Domaine d'application
Chapitre 2 terminologie - notation
2.1 Dimensions
2.2 Terminologie
2.3 Notation
Chapitre 3 matériaux
3.1 Bois
3.2 Panneaux contreplaqués
3.3 Panneaux de particules
3.4 Panneaux de particules agglomérés au ciment
3.5 Panneaux de fibres
3.6 Panneaux de fibragglos
3.7 Matériaux à base de plâtre
3.8 Isolants fibreux minéraux
3.9 Complexes d'isolation thermique intérieurs
3.10 Autres matériaux
Chapitre 4 évolution des caractéristiques physiques du bois, de ses dérivés, et des autres matériaux qui lui sont associés, en
fonction de la température dans un local en feu
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4.1 Notions générales sur la combustion du bois et de ses dérivés dans les conditions d'un incendie
4.2 Vitesse moyenne de combustion du bois et de ses dérivés utilisés en éléments de structure principaux
4.3 Effet d'angle
4.4 Revêtements de surface et traitements chimiques
4.5 Prise en compte dans les calculs de l'évolution des caractéristiques physiques et mécaniques du bois et des panneaux
4.5.1 Variations dimensionnelles
4.5.2 Variations des caractéristiques mécaniques
4.6 Prise en compte dans les calculs de la protection apportée aux éléments de structure principaux par les éléments de
structure secondaires à l'occasion d'un incendie
4.6.1 Protection des éléments en bois considérés individuellement
4.6.2 Protection des éléments en bois formant des ouvrages ou parties d'ouvrages avec cavité
4.6.3 Durée de la protection apportée par les matériaux en bois ou dérivés du bois
4.6.4 Durée de la protection apportée par les matériaux à base de plâtre
4.6.5 Protection apportée par les autres matériaux en plaques
4.6.6 Protection apportée par les matériaux de remplissage
Chapitre 5 principe de calcul des charpentes en bois en cas d'incendie
5.1 Principe de justification
5.2 Combinaison d'actions
5.3 Principe de calcul
5.3.1 Pièces exposées à l'incendie sans protection
5.3.2 Pièces protégées de l'action directe de l'incendie
5.3.3 Assemblages non protégés
5.3.4 Protection des assemblages
5.3.5 Exemple de calcul
Chapitre 6 ouvrages ou parties d'ouvrages avec cavité, murs ou planchers, ne nécessitant pas de calculs spécifiques de
résistance au feu
6.1 Principe de justification
6.2 Exemples de solutions pour les parois verticales
6.2.1 Éléments de murs porteurs ou non porteurs avec cavité
6.2.2 Éléments de murs constitués par un voile porteur en panneaux CTB-H
6.2.3 Éléments de murs intérieurs de degré CF/PF 1 h
6.2.4 Éléments de murs extérieurs permettant d'obtenir un degré pare-flamme 1/2 heure en fonction d'un feu situé à
l'extérieur du bâtiment
6.3 Exemples de solutions pour les parois horizontales
6.3.1 Parois horizontales dont le solivage est constitué par des éléments de bois massifs ou lamellés-collés et qui
comportent un plafond
6.3.2 Parois horizontales dont le solivage est constitué par des éléments porteurs composites et qui comportent un plafond
6.3.3 Parois horizontales dont le solivage est apparent
6.4 Exemples de solutions pour les parois inclinées
6.4.1 Les parois sous combles ventilés non accessibles ou accessibles mais non aménageables
6.4.2 Parois délimitant les combles ou parties de combles accessibles et aménageables
Annexe 1 essais de caractérisation des matériaux
1 Principe des essais
2 Description des maquettes typifiées
2.1 Mur type
2.2 Plancher type
2.3 Maquette essai d'approche »
3 Mesures et observations pendant les essais
4 Expression des résultats
Annexe II documents techniques unifiés (DTU) et normes cités dans le texte
1 Cahiers des clauses techniques
2 Règles de calcul
3 Normes
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Mme PERRON et MM. BIGER, GORDY, GRABER, MAJCHERCZYK, représentant le Bureau Véritas.
MM.
VIDON, représentant la SOCOTEC.
LOUVET, représentant le Centre d'Etude et de Prévention (CEP).
LOBEL, représentant le CETEN-APAVE.
AMBLARD, BIRAULT, de LADONCHAMPS, MESTRE, NOVE-JOSSERAND, RAVASSE, représentant le Syndicat Général
des Fabricants de Panneaux à base de bois et dérivés.
BROCART, représentant le Syndicat National des Fabricants de Matériaux Fibragglos.
De ST-QUENTIN, représentant l'Association France Promo Bois Construction.
SOUBRET, représentant le Centre d'Etude du Bâtiment et des Travaux Publics (CEBTP).
PARIS, SAGOT, SZTABHOLZ, représentant le Syndicat National des Fabricants de Charpente en Bois Lamellé Collé.
COMPIN, représentant l'Union Nationale des Chambres Syndicales de Charpente, Menuiserie et parquet.
BOULLOT, L'HENORET, MILLET, PARCILLIE, RICHARD, représentant le Syndicat des Constructeurs de Maisons à Ossature
en Bois (SYMOB).
BENICHOU, DALIGAND, DUFFY, HAMELIN, JUNALIK, KLEIN, RIBAS, représentant le Syndicat National des Industries du
Plâtre (SNIP).
BARBIER, CAMP, CRUBILLE, GOGER, LEROY, MARIA, MILLET, ROUGIER, représentant le Syndicat National des
Fabricants de Fibres isolantes Minérales et Manufacturées (FIMM).
DESBORDES, GERONDEAU, représentant le Syndicat National des Plastiques Alvéolaires.
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MOHRING, MONTHARRY, représentant la Société Centrale Immobilière de la Caisse des Dépôts (SCIC).
DALLEMAGNE, DELCOURT, GUERIT, représentant le Syndicat des Industries Françaises du Fibre-Ciment.
COMPAROT, TRUONG, représentant les Ingénieurs Conseils en Structure Bois.
BENHARROUS, BOIDRON, LACOUR, représentant le Syndicat National des Fabricants de Cheminées Décoratives.
Mme BONCOEUR et MM. ARNAL, BEGAUD, MARTINCOURT, représentant le Groupement Industries Françaises des Appareils
Electroménagers (GIFAM).
MM.
COIRIER, ROUSSELIN, représentant l'Association pour la Promotion des Conduits Industrialisés Métalliques.
HOCHEIM, représentant le Centre Technique de la Fonderie.
I idées directrices
Pour bien construire, il faut satisfaire à certaines exigences telles que :
confort (isolation thermique, acoustique...)
habitabilité (bonne disposition des locaux...)
rentabilité (rapport qualité/prix permettant une juste rémunération du capital investi...)
La sécurité incendie doit être pensée au moment de la conception du projet car, dans le cas contraire, elle justifiera des
transformations onéreuses, et pas toujours efficaces.
L'incendie d'un local est un feu dont l'occupant a perdu le contrôle.
Le passage du feu à l'incendie est un phénomène soudain, à caractère exponentiel. Il surprend toujours et l'on se trouve
brusquement placé devant une situation devenue dangereuse.
Les idées modernes relatives à la protection contre l'incendie reposent sur le principe de la nécessité de contenir le feu le plus
longtemps possible là où il a pris naissance, car c'est le seul endroit où l'on puisse s'en rendre maître tout en sauvegardant la vie
des occupants. Ensuite, il faut contrôler l'extension du feu hors du local ou du bâtiment.
Les règlements actuels, qui concernent la plupart des domaines de la construction, sont nombreux. Ils comportent des prescriptions
qui s'expriment en termes de performances.
Il était nécessaire de donner aux entreprises du bois la possibilité de justifier aisément du respect de l'exigence demandée.
II bases scientifiques
Les indications que nous donnons ici ont pour origine :
le rapport EUR 9485 (1985) de la Commission des Communautés Européennes : « Détermination du comportement au feu
des éléments de construction en bois et des panneaux dérivés du bois », présenté par la Confédération Européenne des
Industries du bois (CEI-Bois) ;
des essais ou travaux de recherche, effectués par les laboratoires agréés : Centre Scientifique et Technique du Bâtiment
(CSTB) et Centre Technique Industriel de la Construction Métallique (CTICM) ;
des travaux de recherche réalisés en commun dans les laboratoires du feu du CSTB et CTBA, avec le concours des
professionnels du bois et des matériaux qui lui sont associés.
Ils ont permis aussi d'améliorer les connaissances dans le domaine des constructions à structure en bois, notamment en soulignant
l'importance qu'il fallait apporter aux cavités et à leurs recoupements, ce que ne précisait pas le rapport de la CEE.
III le document
Nous avons estimé qu'il fallait laisser au concepteur et au constructeur toute latitude pour faire la preuve du respect des exigences,
et ne pas être restrictif dans les solutions proposées qui sont nombreuses.
On a imaginé, aussi bien en murs qu'en planchers les combinaisons de matériaux qui permettent d'améliorer la qualité des
bâtiments notamment en matière acoustique et thermique.
Nous étions par ailleurs, conscients que l'ensemble du document serait utilisé non seulement par des personnes, ou des
entreprises bien équipées en bureaux d'études et moyens de calcul, mais aussi par un grand nombre d'entreprises du bois ne
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disposant pas de ces moyens, auxquelles il était préférable de fournir des exemples de solutions.
De même, connaissant le domaine d'application des bâtiments à structure en bois, nous avons estimé qu'il fallait surtout envisager
de justifier ceux-ci en résistance au feu pour des durées de 1/4 h et 1/2 h, tout en ménageant une possibilité de calcul pour des
durées supérieures.
En ce qui concerne la résistance au feu, il convenait de faire la distinction entre les structures protégées contre le feu et celles qui
ne le sont pas :
a Les structures protégées, dans lesquelles les pièces de bois et leurs assemblages sont intégrés dans des parois avec cavités
ouvertes ou fermées mais dont le parement intérieur fait office de bouclier thermique (cas très fréquent des maisons et bâtiments
traditionnels à ossature en bois).
b Pour celles-ci, le concepteur et/ou l'entrepreneur peuvent, s'ils le souhaitent, se reporter directement au chapitre 6 .
s'ils choisissent des solutions avec écran total (référencées par le signe 0 dans les tableaux IV, V, VI et VII ), aucune
justification de stabilité au feu n'est nécessaire.
s'ils choisissent des solutions formant écran partiel (référencées par le signe + dans les tableaux IV, V, VI et VII ), il y a lieu
d'effectuer les calculs de stabilité à froid, en tenant compte d'une réduction de 20 mm en largeur des montants de murs et de 30
mm en hauteur pour les solives de plancher, mais aucune justification de stabilité au feu ne sera ensuite nécessaire.
Les solutions proposées sont variées, de telle sorte que l'on puisse rechercher aussi bien un critère économique qu'un critère de
performances (acoustiques...).
Elles comportent des indications pratiques sur ce qu'il convient de faire pour justifier un degré de résistance au feu de 1 h pour
certains ouvrages, murs séparatifs notamment ;
c Les structures non protégées dans lesquelles les pièces de bois et leurs assemblages seront directement sollicités par un
éventuel incendie.
d Celles-ci doivent être justifiées par le calcul. L'entrepreneur ou le concepteur se reporteront au chapitre 5 qui énonce des
règles simples, faciles à utiliser pour les durées de résistance au feu ≤ 1/2 heure, un peu plus complexes pour les durées
supérieures.
IV remarques
Le DTU aura avantage à être complété dans les domaines dans lesquels nos connaissances sont insuffisantes pour optimiser
économiquement les bâtiments. Celui par exemple des assemblages métalliques non protégés pour des degrés de résistance au
feu ≤ 1/2 heure. De même, on pourra être amené à ajouter d'autres exemples dans les tableaux IV, V, VI et VII .
Il apparaît souhaitable également que dans un but pédagogique soit réalisé rapidement un ouvrage intitulé « Document
d'application du DTU Règles Bois-Feu », qui proposerait des exemples de justification par le calcul de structures en bois non
protégées pour des degrés de résistance au feu ≤ 1/2 heure.
Un tel document montrera que certaines charpentes dites traditionnelles sont suffisamment surdimensionnées pour ne pas être
justifiées en stabilité au feu.
On observera enfin que le document actuel s'applique aux ouvrages neufs, mais que l'on pourra s'en inspirer pour justifier en
résistance au feu des ouvrages anciens à l'occasion d'une rénovation ou d'un changement de destination des locaux.
Michel CORNE
Centre Technique du Bois et de l'Ameublement
Toutefois, les dispositions préconisées et matérialisées par des croquis auxquelles il est fait référence dans le texte sont à
respecter.
On s'est préoccupé, dans le chapitre 6 , de présenter des solutions qui ne soient pas incompatibles avec la satisfaction d'autres
exigences : acoustiques, thermiques, et stabilité à froid.
Dans ce texte, l'état actuel des connaissances, tant du point de vue expérimental que théorique, permet, pour un certain nombre
d'éléments de construction en bois, de prévoir leur comportement au feu avec une précision et une sécurité jugées satisfaisantes.
Dans les cas particuliers non couverts par le présent document, il faut avoir recours aux essais, en conformité avec l' Arrêté du 21
avril 1983 ( cf. annexe I ).
2.1 Dimensions
Les dimensions (longueur, largeur, épaisseur) du bois et des produits dérivés du bois, dont il est fait état dans les présentes
Règles, sont des dimensions réelles en oeuvre.
Les appellations commerciales ne correspondent pas forcément aux dimensions réelles.
2.2 Terminologie
AIRE RESIDUELLE DE LA SECTION :
Partie intacte d'une pièce de bois ou d'un panneau, à l'issue d'une période d'exposition au feu.
Cette aire résiduelle est :
soit calculée en fonction d'une période déterminée en prenant en compte les vitesses de combustion moyenne o indiquées
dans les tableaux I et II ,
soit déterminée par un essai spécifique.
ELEMENTS DE STRUCTURE :
Par éléments de structure, on entend les éléments principaux et secondaires.
Les éléments principaux sont ceux dont la ruine totale ou partielle compromet la stabilité exigée d'une construction ou d'un ouvrage
sous les charges qui lui sont appliquées.
Un élément est dit secondaire si sa ruine n'a pas d'incidence sur la stabilité au feu de ces éléments de structure.
Les éléments principaux de structure comprennent habituellement : poutres, poteaux, portiques, systèmes de contreventement,
éléments d'anti-flambement, murs et panneaux porteurs, planchers et poutres supports, fermes et pannes lorsqu'elles sont prises
en compte dans la stabilité globale de la construction en tant que membrures ou montants de poutre au vent, etc.
Sont réputés ne pas faire partie de la structure : les remplissages, cloisons, couvertures et habillages. Néanmoins, ces éléments,
en plus de leur fonction, peuvent jouer un rôle protecteur des éléments de structure principaux et être pris en compte comme tels
dans la justification de stabilité au feu des éléments de structures. Ces éléments protecteurs, doivent avoir des caractéristiques
définies, selon les indications mentionnées au chapitre 4 .
CAVITE :
Volume compris entre les éléments de structure pouvant être ou non remplis par un isolant. On distingue :
les cavités ouvertes dans lesquelles il y a circulation d'air,
les cavités fermées dans lesquelles il n'y a pas communication entre l'air intérieur et l'air extérieur.
MATERIAU DE PAREMENT :
Matériau (fréquemment appelé parement) qui réalise le parement.
PAREMENT :
Surface visible extérieure ou intérieure d'un mur ou de l'une de ses parois. On distingue :
le parement brut, destiné à recevoir un revêtement : peinture, enduit, bardage, etc.
le parement fini, destiné à rester apparent.
pleines,
à cavité ouverte,
à cavité fermée.
On distingue aussi :
les parois verticales,
les parois horizontales,
les parois inclinées.
PLENUM :
Espace situé entre le parement inférieur du plancher et le parement supérieur du plafond.
REVETEMENT :
Ouvrage extérieur ou intérieur recouvrant une paroi et permettant de la consolider, de la protéger, de l'isoler ou de la décorer.
Les principaux revêtements sont :
enduits,
maçonnerie,
bardage,
peinture, etc.
2.3 Notation
L' arrêté du 21 avril 1983 fixe les critères permettant de déterminer le degré de résistance au feu des éléments de construction, les
méthodes d'essai et le programme thermique matérialisant l'action des incendies.
Les critères sont :
Critère n° 1 : résistance mécanique,
Critère n° 2 : étanchéité aux flammes, absence d'émission de gaz chauds ou inflammables hors de la face exposée.
Critère n° 3 : isolation thermique (échauffement moyen 140°C et maximum 180°C pour la face non exposée).
Dans chaque catégorie, le classement s'exprime en degré » en fonction du temps pendant lequel les éléments ont satisfait aux
essais définis dans l' arrêté .
Les critères et exigences sont définis par deux lettres et un nombre. Les lettres précisent la nature de l'exigence CF, PF, SF. Le
nombre précise sa durée exprimée en heures.
On a par exemple :
SF : 1/4 - 1/2 - 3/4 - 1 - 2 - 3 ou 4 heures
PF : 1/4 - 1/2 - 3/4 - 1 - 2 - 3 ou 4 heures
CF : 1/4 - 1/2 - 3/4 - 1 - 2 - 3 ou 4 heures
Chapitre 3 matériaux
Les matériaux utilisés dans les ouvrages sont prescrits dans les cahiers des clauses techniques les concernant, par exemple
: DTU 31.1, 31.2, 36.1, 51.3 etc.
Ces textes, ou les cahiers des clauses spéciales qui les accompagnent, précisent également leurs conditions de réception.
On définit seulement ici les principaux matériaux en bois, ou associés au bois, dont il est fait état dans les présentes Règles.
Les références aux normes en vigueur en 1987 dont il est fait état ici peuvent être complétées dans la suite du texte par des
spécifications particulières.
L'entrepreneur doit s'assurer que les produits qu'il met en oeuvre correspondent aux spécifications des présentes Règles. Il doit
être en mesure de fournir les éléments propres à justifier que les prescriptions énumérées sont respectées.
Pour les produits titulaires du droit d'usage d'une marque NF, ou d'un certificat émis par un organisme certificateur agréé, les
vérifications correspondant à ces prescriptions ont déjà été effectuées sous le contrôle du comité particulier.
Pour les produits cités dans le présent chapitre, mais non titulaires du droit d'usage d'une marque NF ou d'un certificat de
qualification, il y a lieu de justifier des performances du lot livré.
L'emploi de produits non énumérés ici est admis aux conditions de l' annexe I des présentes Règles.
Par exemple, les plaques de parement plâtre spéciales, les plaques de fibre-ciment ou de fibre-plâtre, etc.
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3.1 Bois
Les bois de structure sont définis par la Norme NF B 52-001 - 1re partie Règles d'utilisation du bois dans les constructions -
Niveaux de résistance des Pièces de bois » .
Pour les bois lamellés ou aboutés, il doit être fait utilisation de colles thermo-durcissables.
Pour l'application des présentes Règles, la norme NF B 52-001 Bois - Règles d'utilisation du bois dans les Constructions -
Qualité du bois et Contraintes admissibles » (mars 1946) est maintenue en vigueur tant que les Règles CB-71 ne seront pas
remplacées par les Règles CBEL .
Les bois de structure secondaires tels que parquets, lambris, etc. sont définis par les normes les concernant ( cf. annexe II ).
Les plaques de parement plâtre doivent satisfaire à la norme NF P 72-302 Plaques de parement en plâtre - Définition -
Spécification essais »
Le certificat de qualification NF plaque de parement plâtre » appliqué sur chaque plaque certifie la conformité à la norme.
Les plâtres pour enduits manuels ou projetés doivent satisfaire aux normes NF B 12-300 Plâtre généralités, clauses et
conditions générales » , NF B 12-301 Plâtres pour enduits intérieurs » .
Les carreaux de plâtre doivent satisfaire à la norme NF P 72-301 Carreaux en plâtre d'origine naturelle à parements lisses
pour cloisons de distribution ou doublage » .
D'autres types d'isolants fibreux minéraux en laine de verre ou de roche, en vrac, en flocons, etc. peuvent être utilisés mais ils ne
sont pas pris en compte pour la protection des structures en bois.
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Les complexes d'isolation thermique intérieurs - plaque de parement plâtre/isolant, font actuellement l'objet d'Avis Techniques.
A ces Avis, sont éventuellement attachés des certificats de qualification.
Ces certificats de suivi et marquage propres à chaque usine attestent de la conformité des fabrications à la définition qui en est
donnée dans l'Avis Technique.
Chapitre 4 évolution des caractéristiques physiques du bois, de ses dérivés, et des autres
matériaux qui lui sont associés, en fonction de la température dans un local en feu
4.1 Notions générales sur la combustion du bois et de ses dérivés dans les conditions d'un incendie
Le bois, matériau organique, est combustible. Il n'est pas possible de le rendre incombustible.
L'ignifugation limite le risque de démarrage du feu. Le classement en réaction au feu du bois ou de ses dérivés peut être demandé
par la réglementation incendie ( cf. annexe IV ).
L'ignifugation par sels, peintures ou vernis n'apporte qu'une contribution négligeable à la stabilité d'une structure en bois soumise à
un incendie.
Si l'on veut limiter la combustion du bois, il faut avoir recours à une protection thermique.
soit, par un enrobement (plâtre projeté, etc.)
soit, par un revêtement épais (plaque de plâtre, panneau, etc.).
4.2 Vitesse moyenne de combustion du bois et de ses dérivés utilisés en éléments de structure principaux
La vitesse moyenne de combustion o de chaque face d'une pièce de bois exposée au feu est exprimée en millimètres par minute.
Elle correspond à l'épaisseur de bois ou de panneau dégradé en une minute par la chaleur et ne présentant plus de tenue
mécanique. Elle peut être affectée d'un coefficient d'influence.
Les vitesses moyennes de combustion et les coefficients d'influence sont indiqués :
Pour les bois naturels ou lamellés ou aboutés, dans le tableau I
Tableau I Vitesse de combustion moyenne du bois à prendre en compte dans le calcul de la structure (taux d'humidité en
oeuvre inférieur à 17 %) sous réserve des indications des paragraphes 4.2 et 4.6.3
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Ces valeurs ne sont pas applicables aux éléments de bois d'épaisseur inférieure à 40 mm si l'on recherche une stabilité au feu
de 1/4 h ou 60 mm si l'on recherche une stabilité au feu de 1/2 h. Pour ces bois, on se reportera aux exemples de solutions du
chapitre 6 .
Ceci est notamment le cas des ouvrages en bois de petite section, tels que fermes industrialisées, murs de maisons à ossature
en bois ... qui doivent être complétés par une protection thermique.
Pour les panneaux dérivés du bois, dans le tableau II
Tableau II Vitesse de combustion moyenne des panneaux dérivés du bois à prendre en compte dans le calcul des structures
(taux d'humidité en oeuvre inférieur à 13 %) Sous réserve des indications des paragraphes 4.2 et 4.6.3
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La vitesse moyenne de combustion à prendre en compte est fonction d'un feu situé dans le local considéré.
Il en résulte que l'intensité de la sollicitation thermique d'exposition sera différente selon l'orientation de la face exposée.
La valeur moyenne est donnée pour une surface exposée verticalement.
Un coefficient majorateur K1 est à appliquer dans le cas des parois horizontales ou inclinées situées au-dessus du feu.
A l'inverse, un coefficient minorateur K1 est à appliquer aux parois horizontales situées sous le feu.
Pour l'application des coefficients d'influence K1, on considère par convention que la notion de face horizontale est applicable
jusqu'à un angle de 45° inclus, de l'axe de la pièce.
Figure 1 Au-delà de 45°, la face exposée est considérée comme étant verticale
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On manque d'expérience pour chiffrer l'influence de la hauteur au-dessus du sol de la pièce exposée sur le coefficient K1.
Un coefficient majorateur K2 est à appliquer si le début de l'exposition au feu du bois ou des panneaux dérivés du bois est
supérieur à 15 minutes.
Ceci est le cas des pièces protégées.
Les bois de construction ont un comportement différent des bois de menuiserie qui sont de droit fil et exempts de défauts
importants (gerces, noeuds, etc.) et sont utilisés pour les limons, marches d'escaliers, huisseries, etc.
Le mode de calcul de la perte de section due à cet arrondissement est indiqué au paragraphe 5.3.1
4.5 Prise en compte dans les calculs de l'évolution des caractéristiques physiques et mécaniques du bois et
des panneaux
4.6 Prise en compte dans les calculs de la protection apportée aux éléments de structure principaux par les
éléments de structure secondaires à l'occasion d'un incendie
Les éléments secondaires remplissent des fonctions variées dans l'ouvrage, telles que support de revêtements décoratifs
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Elle devra être au contact de la surface et ne présenter aucun interstice ou fente supérieur à 1 mm, localement sur des espaces
limités à 2 mm, susceptible de favoriser le passage du feu.
Il pourra s'agir de matériaux fixés mécaniquement par clouage ou vissage (bois, panneaux dérivés du bois, plaques de parement
de plâtre, etc.).
Il pourra s'agir aussi d'un enrobage (plâtre projeté ou taloché sur grillage ou treillis métalliques).
On considère que de telles solutions interdisent le passage du feu. Ces dispositions ont été approuvées à l'occasion d'essais
entrepris dans le cadre de l'étude CSTB - CTBA.
La durée de la protection thermique sera déterminée en tenant compte des indications des paragraphes 4.6.2 à 4.6.6 .
4.6.2 Protection des éléments en bois formant des ouvrages ou parties d'ouvrages avec cavité
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Erratum (septembre 1988)
Le comportement en oeuvre de l'ouvrage doit être tel qu'il n'y ait pas de création intempestive de fissures ou fentes qui détruiraient
l'étanchéité de la cavité.
Les panneaux de laine minérale semi-rigides doivent être serrés mais non comprimés pour protéger les pièces de bois d'une
attaque de flanc.
Figure 3
Une surcote de longueur du panneau de laine minérale de l'ordre de 3 à 5 mm par rapport à la distance entre faces parallèle des
montants répond a priori à cette prescription.
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Erratum (septembre 1988)
La protection thermique apportée par le parement intérieur doit avoir une durée au moins égale à la durée requise.
4.6.3 Durée de la protection apportée par les matériaux en bois ou dérivés du bois
On retient pour les matériaux en bois ou dérivés du bois utilisés en éléments de structure secondaires, les valeurs indiquées dans
les tableaux I et II qui permettent de déterminer la durée de la protection thermique en fonction de l'épaisseur du matériau
considéré, et des indications données dans les chapitres 5 et 6 .
Toutefois, l'épaisseur résiduelle non carbonisée du bois et des panneaux dérivés du bois, telle qu'elle résulte du calcul, doit être
suffisante pour assurer leur stabilité propre dans les conditions de mise en oeuvre.
L'utilisation de bois ou panneaux dérivés du bois en protection devant n'importe quel matériau nécessite une épaisseur minimale
non carbonisée de 3,5 mm.
Ceci est notamment le cas de la protection des pièces métalliques.
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Erratum (septembre 1988)
Les plaques de parement plâtre spéciales feu » et haute dureté », ainsi que les enduits spéciaux feu » doivent faire l'objet d'un
procès-verbal de caractérisation délivré par un laboratoire agréé ( cf. annexe n° 1 ).
On admet pour les calculs que, pendant la durée de protection spécifiée, la température de la face non exposée au feu des
matériaux à base de plâtre sera 140 °C.
La mise en oeuvre des joints doit être réalisée conformément aux DTU les concernant ; on ne tiendra pas compte de leur
présence.
Les dispositions des DTU concernés se sont montrées efficaces à l'occasion d'essais entrepris dans le cadre de l'étude
CTBA-CSTB.
On ne retiendra pas, à défaut de justification, la présence d'isolation de synthèse comme pouvant participer à la protection au feu
des structures en bois.
En cas d'exposition de la paroi à un incendie, ils resteront en place pendant un certain temps contribuant à la protection de la
structure bois, mais cela implique bien entendu que le constructeur utilise des isolants fibreux minéraux choisis en fonction de la
performance souhaitée.
En attente de l'ouvrage complémentaire intitulé Document d'application du DTU Règles Bois Feu 88 » , on admet que les
charpentes taillées, dites traditionnelles, comportant des assemblages à transmission directe, chevillés ou boulonnés dont le
schéma constructif ne crée pas de poussées horizontales sur les appuis, sont réputées satisfaire au critère de stabilité au feu de
1/4 h si les pièces de bois principales qui les composent ont une section ; 60 160 mm et les poteaux une épaisseur ; 100 100
mm.
Ne rentrent pas dans cette catégorie : les charpentes en pièces massives aboutées par collage, les charpentes lamellées collées,
les charpentes assemblées par des connecteurs métalliques, ou celles comportant des matériaux de structure autres que le bois
massif, ou des assemblages autres qu'à transmission directe chevillés ou boulonnés, dont la stabilité doit être vérifiée par le calcul
selon les indications ci-dessous.
Cette méthode de calcul ne permet pas de justifier au feu des pièces principales en bois massif non protégées exposées sur leurs
deux faces larges si elles ne présentent pas des épaisseurs d'au moins :
40 mm, s'il est recherché une stabilité au feu de 1/4 h,
60 mm, s'il est recherché une stabilité au feu de 1/2 h.
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Par ailleurs, pour les sections recevant des assemblages pris en compte pour la stabilité mécanique de la pièce, l'épaisseur
résiduelle ne devra pas être inférieur à 20 mm.
La valeur P pour un même immeuble peut être variable en fonction des locaux.
Lorsque le sinistre a pour effet de faire disparaître certaines charges, il en est tenu compte dans la vérification.
i
j
k
l - Que la perte de section due à l'arrondissement des angles est minime et ne sera prise en compte que pour t 30', avec une
valeur de rayon donnée par la formule :
m
n
o
p
q
r avec :
s t = temps d'exposition au feu en minutes,
t R = Rayon de courbure en millimètres,
u o = cf. tableau I .
v On peut adopter les valeurs approchées du tableau ci-dessous :
w
x
y
z
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aa
bb
cc
dd - Que la section réduite de bois ( cf. 3.1 ) est constituée de façon homogène par du bois intact qui a conservé ses
caractéristiques mécaniques initiales.
ee - Que pour les habitations individuelles isolées (stabilité 1/4 h), le contreventement de la pièce en feu puisse disparaître, car
les locaux adjacents continuent de remplir leur rôle de maintien de l'ouvrage.
ff Dans les autres cas (habitations ou bâtiments collectifs), cette tolérance n'est pas acceptée.
gg - Que les éléments de structure secondaire puissent perdre leur résistance pendant le délai imposé, sans que cela nuise à la
stabilité générale de l'ouvrage.
hh - Que l'on pourra tolérer dans les vérifications, en dérogation aux Règles CB 71 , des élancements supérieurs à 180 et des
rapports h/b supérieurs à 12.
ii En matière de flambement, on limitera l'effort appliqué à la force critique d'Euler divisée par 1,4.
jj Pour les éléments servant en contreventement, un coefficient de majoration des efforts admissibles en sécurité normale égal à
2,25 est admis, compte tenu des détériorations à l'échéance de la durée d'exposition au feu envisagée.
kk En pratique, cela revient à déterminer la résistance de l'élément de contreventement dans son état supposé après le temps
de stabilité requis, (déduction des zones carbonisées notamment), avec les règles de calcul à froid, et à majorer la résistance
résiduelle de sécurité du coefficient 2.25.
ll Dans le cas particulier d'une palée de stabilité, protégée pour toute la durée de stabilité requise par un écran approprié, c'est la
résistance admissible à froid déterminée par le calcul ou par des essais qui sera majorée du coefficient 2,25.
mm
nn
5.3.2.1 La durée d'efficacité de la protection thermique adhérente d'une pièce de bois sera :
soit déduite des données expérimentales fournies par un laboratoire agréé (et notamment de la connaissance du comportement
du matériau de protection, dans des conditions de mise en oeuvre comparables),
soit calculée lorsque le matériau le permettra.
Par exemple, dans le cas du bois et des panneaux, cette durée sera calculée sur la base des valeurs indiquées dans
les tableaux I et II et le paragraphe 4.6.3 ou dans le tableau III et le paragraphe 4.6.4 .
Ainsi, la durée de protection assurée à un assemblage par un panneau de particules CTB-H de 12 mm en protection verticale
bien adhérente pourra être prise égale à :
La vitesse de carbonisation de la pièce sera ensuite calculée avec le coefficient d'influence K2 = 1 (exposition au feu comprise
entre 0 et 15 min, soit 0,7 mm).
5.3.2.2 La durée d'efficacité de la protection thermique commune à plusieurs pièces de bois, par exemple un plafond
suspendu, devra être justifiée par un procès-verbal de classement délivré par un laboratoire agréé, au fabricant du
matériau
Toutefois, dans l'hypothèse où la ou les pièces de bois considérées sont intégrées à des ouvrages avec cavité, (ouverte ou
fermée), on pourra se reporter :
pour les parois verticales, au paragraphe 6.2 et aux tableaux IV et V , qui indiquent les combinaisons les plus courantes
entre parement intérieur et extérieur de mur avec cavité, en vue d'obtenir une stabilité au feu de 1/4 h ou 1/2 h, et précisent la
réduction de largeur des montants à prendre en compte,
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pour les parois horizontales, au paragraphe 6.3 et aux tableaux VI et VII qui indiquent les combinaisons les plus courantes
entre plancher et plafond en vue d'obtenir un degré coupe-feu de 1/4 h ou 1/2 h, et précisent la réduction de largeur des solives à
prendre en compte,
pour les parois inclinées, aux indications du paragraphe 6.4 .
De même, en l'absence provisoire d'essais justificatifs les plaques métalliques d'épaisseur e ; 6 mm, et les sabots métalliques de
fixation de pannes réalisés en tôle d'épaisseur e ; 4 mm sont réputés satisfaire à ce niveau de stabilité sous réserve qu'ils soient au
contact des pièces de bois qu'ils assemblent.
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essence : Résineux (Sapin, Epicéa, Pin Sylvestre), classe BS, selon Cahier n° 124 du CTB-A ,
section : 65 180 mm nominal, 63 170 réel en oeuvre,
portée de chaque solive : 4 mètres sur 2 appuis,
écartement des solives d'axe en axe : 0,35 m,
déformation admissible : 1/400,
charges et surcharges d'exploitation :
poids propre des solives 14 kg/m,
poids propre du panneau CTB-H 22 mm 13,2 kg/m
surcharge 150 kg/m dont 20 % permanente = 30 kg/m 80 % temporaire = 120 kg/m
Note 2
On peut utiliser aussi une protection partielle pour faire participer le panneau de plancher. Le calcul devra être réalisé en
conséquence, mais le critère d'isolation thermique ne sera pas assuré.
Le classement sera :
SF : 1/2 h,
CF : non classé.
CF : 1/2 h.
Note 1
Dans cet exemple le plancher flottant supporte les charges et surcharges, mais ne remplit pas un rôle de contreventement.
Note 2
On pourrait utiliser une plaque de parement plâtre plus faible, par exemple 9,5 mm qui apporterait une protection de 11 min
(20,5 min + 11 min = 31,5 min) pour un classement identique SF/PF = 1/2 h.
On pourrait aussi diminuer l'épaisseur du panneau inférieur et augmenter l'épaisseur de la plaque de parement plâtre, ou
toute autre solution assurant un résultat satisfaisant.
Figure 7
Figure 8
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Figure 9
Figure 10
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Ces exemples concernent notamment les ouvrages réalisés en application du DTU 31.2 Constructions de maisons traditionnelles
à ossature en bois » .
L'entrepreneur qui choisit d'utiliser une ou plusieurs solutions décrites ici est réputé avoir satisfait les conditions des chapitres
précédents du DTU.
On décrit ci-après un certain nombre d'exemples de solutions de conceptions et d'associations de matériaux de nature à apporter à
ces éléments de structure les degrés SF, CF ou PF indiqués sans nécessiter une justification par essais.
Ces dispositions du présent chapitre se sont montrées efficaces à l'occasion d'essais réalisés dans le cadre de l'Etude CTBA -
CSTB.
Les tableaux IV, V, VI et VII indiquent, en fonction du choix effectué, la réduction forfaitaire à appliquer sur la largeur de la pièce
de bois considérée, pour le calcul à froid ( Règles CB 71 ).
L'aire résiduelle d'un poteau en bois de faible section est irrégulière. La zone carbonisée est fonction de différents facteurs
impossibles à apprécier avec certitude.
C'est pourquoi, par dérogation aux chapitres 4 et 5 des présentes Règles , on indique une réduction forfaitaire de la section initiale
des éléments de structure (poteaux, solives, etc.) ( cf. fig. 11 ).
Figure 11
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Dans le cas de protection totale (solutions reprises par le signe O dans les tableaux IV, V, VI, VII ), il n'y a pas lieu d'effectuer
d'autres vérifications par le calcul.
Dans le cas de protection partielle (solutions référées par le signe + dans les tableaux IV, V, VI, VII ), le calcul et le
dimensionnement de la structure s'effectuent à froid ( Règles CB 71 ) sur des sections de bois réduites, et il n'y a pas lieu non plus
d'effectuer d'autres vérifications.
Si l'on a choisi une combinaison de parements intérieurs et extérieurs, nécessitant une réduction de section, il faut souvent prévoir,
dès l'origine du projet, un éventuel sur-dimensionnement de ces pièces.
Les montants verticaux peuvent être réalisés dans n'importe laquelle des essences prévues par la norme NF B 52-001, 1re partie
Règles d'utilisation des bois dans les constructions - Niveau de résistance de pièces de bois » .
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Le principe ( cf. fig. 12 ) consiste à réaliser des cadres dont la hauteur ne dépasse pas 2,80 m et la largeur entre montants
n'excède pas 0,60 m.
Figure 12 Définition des divers éléments constituant un mur avec cavité
Ils doivent être liés entre eux par boulons tirefonds ou pointes lardées en nombre suffisant et couronnés par un chaînage constitué
d'une sablière en bois de même nature.
Le remplissage doit être constitué par un isolant fibreux minéral semi-rigide.
Le plancher doit reposer sur ce chaînage et l'on doit utiliser les solutions marquées du signe + » ou O » dans les tableaux IV et
V . Dans le cas contraire, on doit, selon la durée de stabilité au feu requise, utiliser les solutions marquées du signe O » dans
les tableaux IV et V .
Il s'agit des planchers accrochés aux murs par des organes de fixation (sabots métalliques, ...). Ces organes de fixation doivent
être compris dans le plénum et être protégés de l'action du feu par le plafond.
Le cadre doit comporter un parement intérieur qui recevra ultérieurement une finition qui est négligée pour l'appréciation de la
résistance au feu, et un parement extérieur généralement un panneau ou une plaque rigide, qui peut remplir ou non un rôle
mécanique de contreventement.
On utilise pour la finition intérieure une grande variété de produits : papiers peints, tissus tendus ou collés, peintures, placages de
bois décoratifs vernis ou cirés, stratifiés haute pression, etc. Certaines de ces finitions peuvent avoir un comportement en réaction
au feu amélioré par l'ignifugation. Il n'en est pas tenu compte ici, sauf si leur épaisseur dépasse 5 mm (lambris, panneaux
décoratifs, etc. ; cf. tableaux IV et V ).
Le parement extérieur pourra recevoir par la suite n'importe quel type de revêtement extérieur prévu par le DTU 31.2 avec ou
sans lame d'air.
Il peut ne pas y avoir de parement extérieur lorsque le panneau qui assure le contreventement est reporté derrière le parement
intérieur ou si le contreventement est assuré par des guettes (pièces de bois inclinées) ou des organes métalliques.
Le parement intérieur en panneaux dérivés du bois s'il est directement exposé au feu doit être fixé sur la structure porteuse en bois,
par des pointes, agrafes ou vis d'un diamètre minimal de 1,8 mm. L'enfoncement dans le bois sous-jacent sera d'au moins 35 mm.
Le pastillage de la face du panneau par la fixation doit être limité. Les fixations horizontales et verticales sur les montants et
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traverses périphériques du cadre doivent être espacées au maximal de 15 cm. L'espacement maximal sera porté à 30 cm sur les
montants et les traverses intermédiaires du cadre.
Le parement intérieur en plaque de parement plâtre est fixé par des vis. Les fixations horizontales et verticales doivent être
espacées au maximum de 30 cm.
Pour les murs de hauteur 2,80 m, si un joint horizontal existe, il doit être supporté par une traverse.
Le cisaillement du carton par les fixations doit être limité.
La présence dans les murs remplis d'isolants fibreux des fourreaux usuels (électricité, téléphone, antenne télé), et des boîtiers de
petites tailles tels qu'interrupteurs, prises de courant, etc, est admise à condition qu'ils ne diminuent pas la continuité de l'isolant.
L'isolant peut être comprimé en cet endroit.
Les conduits plus importants tels qu'évacuation des eaux usées, VMC, etc., doivent passer dans des gaines ( cf. annexe III ).
La stabilité au feu des linteaux doit être justifiée, soit en application de la règle du chapitre V s'il s'agit d'un linteau en bois massif
ou lamellé collé, soit par une protection thermique appropriée.
Les éléments de murs intérieurs à ossature décalée sont considérés comme des éléments de murs intérieurs simples.
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Tableau V Combinaisons les plus courantes entre parements intérieurs et extérieurs de murs avec cavité en vue d'obtenir pour
l'ouvrage un degré SF 1/2 h
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On doit utiliser sur chacune de leurs faces un parement intérieur proposé dans le tableau V et repéré par le signe O ».
Le contreventement doit être assuré indépendamment des parements.
Outre le classement SF 1/2 h, les éléments de murs décrits ici sont réputés satisfaire au classement CF/PF 1/2 h, si la cavité est
remplie par un isolant fibreux semi-rigide en laine de verre ou de roche.
Il n'y a pas de réduction s'il est fait usage d'un complexe d'isolation thermique intérieur, plaque de parement plâtre e ; 9,5 mm/laine
de verre ou laine de roche vissé sur l'ossature, et sur des entraxes de 0,40 m.
Il n'y a pas de réduction non plus si la deuxième couche isolante en laine de verre ou de roche est maintenue entre un tasseautage
horizontal ou des lisses métalliques sur lequel sera fixé le parement intérieur du mur, sur des entraxes 0,60 m.
Les autres montages doivent être justifiés.
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Figure 13 b Exemples de murs à cavité fermée ou ouverte/mur simple avec double parement sur une face avec isolant en une
couche
Figure 13 c Exemples de murs à cavité fermée ou ouverte/mur simple avec double parement sur les deux faces et isolant en une
couche
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Figure 13 d Exemples de murs à cavité fermée ou ouverte/mur décalé avec simple parement et isolant en deux couches
Figure 13 e Exemples de murs à cavité fermée ou ouverte/mur décalé avec double parement avec isolant en deux couches
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Figure 13 f Exemples de murs à cavité fermée ou ouverte/mur double constitué de deux murs simples adjacents à cavité fermée
(solutions 1 et 2 des tableaux IV et V), avec espace entre les deux murs
Figure 13 g Exemples de murs à cavité fermée ou ouverte/mur double avec double parement à cavité ouverte sans parement
intérieur, avec espace entre les deux murs
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On doit utiliser pour la réalisation du parement intérieur l'une des combinaisons de choix prévues aux alinéas :
1 ou 2 du tableau IV , si la cavité est effectivement fermée,
3 du tableau IV , si la cavité est ouverte,
et avec réduction forfaitaire éventuelle de la section des montants en bois.
Le doublage isolant doit être protégé par le parement extérieur généralement avec lame d'air (bardage, ...).
Soit par des montants en bois massif ( cf. 6.2.1.1 ), dont la cavité est vide ou remplie par un isolant autre que fibreux minéral,
Soit par un treillis d'éléments porteurs en bois de petite section assemblés entre eux par des organes de liaison en bois ou
métal, ou par des montants évidés, dont la cavité est vide ou remplie par un isolant quelconque.
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La stabilité au feu des linteaux doit être justifiée, soit en application de la règle du chapitre V s'il s'agit d'un linteau en bois massif
ou lamellé-collé, soit par une protection thermique appropriée.
On doit utiliser sur les deux faces les solutions de parement repérées par le signe O » dans le tableau V sans réduction de la
section des montants en bois. Le contreventement doit être assuré indépendamment des parements.
Outre le classement SF 1/2 h, les éléments de murs intérieurs simples décrits ici, si le treillis a une épaisseur ; 80 mm, sont réputés
satisfaire au classement CF/PF 1/2 h, si la cavité est remplie par un isolant fibreux semi-rigide en laine de verre ou de roche.
Les éléments de murs doivent être assujettis par clouage sur une lisse basse et doivent être couronnés par un chaînage constitué
d'une sablière en bois.
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Les murs doivent être assemblés entre eux par rainure et languette.
Sur le côté intérieur du panneau, on doit rapporter un parement intérieur en plaque de parement plâtre.
Sur le côté extérieur, il est généralement mis en oeuvre une isolation complétée par un revêtement extérieur assurant l'étanchéité à
l'eau.
il peut s'agir d'un isolant fibreux (laine de verre ou laine de roche maintenue entre tasseaux ou fixée directement avec platine de
répartition et revêtement rapporté avec lame d'air).
Il peut s'agir d'un procédé d'isolation par l'extérieur faisant l'objet d'un avis technique, par exemple isolant de synthèse et RPE.
Les éléments de murs constitués par un voile porteur en panneaux composite isolant ne sont pas visés par les présentes Règles.
La stabilité au feu des linteaux doit être justifiée, soit en application de la règle du chapitre V , s'il s'agit d'un linteau en bois massif
ou lamellé collé, soit par une protection thermique appropriée.
Dans le cas des murs intérieurs, les plaques de parement plâtre sont fixées sur les deux faces.
Dans tous les cas, le degré CF ou PF 1/2 h est réputé satisfait.
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6.2.4 Éléments de murs extérieurs permettant d'obtenir un degré pare-flamme 1/2 heure en fonction d'un feu
situé à l'extérieur du bâtiment
La réglementation incendie peut exiger un degré pare-flamme 1/2 h pour le mur de façade, le feu étant considéré comme pouvant
provenir de l'intérieur ou de l'extérieur de la construction. Ceci est notamment le cas de l' article CO 7 de l'arrêté du 25 juin
1980 lorsque les plans de façade d'un établissement recevant du public et du tiers contigu (par exemple un bâtiment d'habitation)
forment entre eux un dièdre inférieur à 135°.
Seuls doivent être utilisés les murs à cavité fermée décrits dans le paragraphe 6.2.1.1, (alinéa 1 et 2) et isolation en laine de
verre ou laine de roche.
Ces murs réputés SF 1/2 h pour un feu situé côté intérieur sont également réputés PF 1/2 en fonction d'un feu situé à l'extérieur du
bâtiment, si l'on a adopté comme revêtement extérieur l'une des solutions suivantes :
1 Revêtements en maçonnerie : briques ou pierres hourdées, enduits sur bloc de ciment creux, e ; 100 mm mis en oeuvre
suivant les spécifications du DTU 20.1 Ouvrages en Maçonnerie de Petits éléments - Parois et Murs » .
2 Revêtements muraux attachés en pierre mince » mis en oeuvre en suivant les spécifications du DTU 55.2 .
3 Enduits aux mortiers de liants hydrauliques e ; 25 mm sur support fibragglo, mis en oeuvre suivant les spécifications du DTU
26.1 .
4 Enduits aux mortiers de liants hydrauliques e ; 25 mm sur support en treillis métallique, non adhérents à la paroi, soit par mise
en place d'un film de désolidarisation, soit en raison de la présence d'une lame d'air, et mis en oeuvre suivant les spécifications
du DTU 26.1 (additif n° 1) .
5 Panneaux de particules bois-ciment e ; 20 mm posés en bardage avec lame d'air, et recevant un revêtement plastique épais,
défini par le DTU 59.2 .
6 Si la quantité de RPE utilisée est inférieure à 3,5 kg/m humide, on admettra que le classement en réaction au feu du
revêtement extérieur est M.2. Dans le cas contraire, il y a lieu de procéder à un essai de classement.
7
8
le parement supérieur qui transmet les charges d'exploitation au solivage. Il peut comporter plusieurs couches (plancher
porteur en panneaux dérivés du bois et plancher flottant ...), et qui reçoit ou non un revêtement de sol.
le parement inférieur appelé aussi plafond constitué de un ou plusieurs matériaux fixés directement sur les solives, ou
suspendus à celles-ci.
On ne confondra pas :
les parquets ( DTU 51.1 ) qui remplissent un rôle mécanique en supportant les charges d'exploitation mais ont aussi une
fonction de résistance à l'usure.
les planchers en bois et panneaux dérivés du bois ( DTU 51.3 ) qui remplissent uniquement un rôle mécanique et supportent :
une stratification éventuelle d'autres matériaux,
le revêtement de sol.
Les planchers en bois ou panneaux dérivés du bois peuvent aussi constituer des voiles de contreventement horizontaux
(poutre au vent).
Le plafond peut être peint, ou recevoir tous types de revêtement décoratif tels que lambris ou panneaux décoratifs dont le
classement en réaction au feu devra être conforme à la réglementation en vigueur, à condition que leur accrochage se fasse
dans la structure et non sur le parement inférieur.
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Ce remplissage peut avoir une fonction d'isolation thermique ou acoustique et contribuer à améliorer le comportement au feu.
Quel qu'en soit le type, il peut s'agir de parois en grands éléments préfabriqués.
Il existe des planchers auto-portants en lamellé-collé assemblés par languettes vraies ou fausses. Leur stabilité au feu sera
déterminée en fonction des indications du chapitre V .
6.3.1 Parois horizontales dont le solivage est constitué par des éléments de bois massifs ou lamellés-collés et
qui comportent un plafond
Les étrésillons appelés aussi Croix de Saint-André » ne répondent pas à cette prescription.
La périphérie de la paroi horizontale doit être close, soit par la présence des solives, soit par des entretoises.
Le parement supérieur de la paroi horizontale doit avoir une épaisseur compatible avec l'entraxe des solives et être mis en oeuvre
en respectant les dispositions des DTU 51.1 Parquets massifs et contrecollés » ou 51.3 Planchers en bois ou panneaux
dérivés du bois » .
Le plafond doit être fixé :
soit directement sous les solives (fig. 14) ,
Figure 14 Solution a
soit suspendu à celles-ci (fig. 15) .
Figure 15 Solution a
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Il doit être raccordé latéralement aux murs, ou aux trémies d'escalier, pour le plénum compris dans la paroi horizontale forme une
cavité fermée.
En fonction du type de plafond et sauf justifications, les raccordements seront effectués soit sur une cornière métallique pour les
plaques de parement plâtre, soit sur tasseaux bois pour les plafonds en bois ou panneaux dérivés du bois.
Pour les plafonds en plaque de parement plâtre dont la cueillie est rebouchée avec bande de pontage, un porte-à-faux de 5 cm est
toléré entre le rail porteur et le nu du mur.
Perpendiculairement, l'ossature métallique doit reposer sur une cornière métallique en complément des dispositions du DTU
25.41 .
En ce qui concerne la mise en oeuvre des plafonds suspendus, on doit se reporter à l' additif n° 2 du DTU 58.1 Travaux de mise
en oeuvre des Plafonds Suspendus en matériaux fibreux d'origine minérale, en panneaux dérivés du bois et en métal » .
En ce qui concerne la présence d'un matériau isolant dans le plénum, deux cas peuvent se présenter :
A
l'isolant participe à la protection latérale des solives et de la sous-face du plancher.
L'isolant est pris en compte pour la justification de la stabilité au feu : solution repérée (1) dans les tableaux VI et VII . Il s'agira
d'une laine minérale monocouche, semi-rigide placée entre les solives. Les tableaux VI et VII précisent la nature de la laine, en
fonction de celle du plafond.
L'utilisation d'un isolant en deux couches n'est pas admis pour la réalisation des solutions proposées ici.
Le panneau isolant en oeuvre devra avoir une épaisseur telle que la hauteur de contact avec la solive mesurée à partir du bas de
celle-ci soit d'au moins 100 mm.
Il devra :
soit affleurer la face inférieure des solives. Dans ce cas, si le plafond est suspendu, le maintien mécanique devra être réalisé :
solution a des tableaux VI et VII .
Tableau VI Combinaisons les plus courantes entre plancher et plafond de paroi horizontale en vue d'obtenir pour l'ouvrage un
degré coupe-feu 1/4 h
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Tableau VII Combinaisons les plus courantes entre plancher et plafond de paroi horizontale en vue d'obtenir pour l'ouvrage un
degré coupe-feu 1/2 h
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soit reposer sur les lisses métalliques du plafond suspendu, mais dans ce cas, la hauteur du contact de l'isolant avec le bois
entre les solives ne doit pas être inférieure à 100 mm, la laine doit être légèrement comprimée : solution b des tableaux VI et
VII .
Figure 16 Solution b
Cette dernière solution ne sera retenue que si la distance entre la sous-face des solives et les lisses n'est pas supérieure à 50 mm.
Dans le cas contraire, l'épaisseur de l'isolant doit être augmentée en conséquence.
Le cheminement des canalisations sèches ou humides doit être tel que l'intégralité de la fonction de l'isolant soit respectée.
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Les traversées verticales de la paroi horizontale doivent être prévues dans les trémies ou dans des gaines protégées ( cf. annexe
1 ).
B
l'isolant ne participe pas à la protection latérale des solives et de la sous-face du plancher.
L'isolant n'est pas pris en compte pour la justification de la stabilité au feu : solution c des tableaux VI et VII .
Figure 17 Solution c
On peut utiliser des feutres de laine minérale souple, revêtus ou non, en rouleaux ou en bandes, posés directement sur le plafond,
d'une épaisseur minimale de 60 mm.
6.3.2 Parois horizontales dont le solivage est constitué par des éléments porteurs composites et qui
comportent un plafond
Il s'agit notamment des poutres treillis assemblées par des connecteurs : bois, métal, etc.
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6.3.3.2 Parois horizontales avec plafond et solives apparentes sur le 1/3 de la hauteur
Le plafond doit être vissé sur des tasseaux. Il supporte un isolant.
On doit respecter les dispositions du paragraphe 6.3.1.1 , mais le plafond sera surélevé par rapport au nu inférieur de la solive
d'une hauteur n'excédant pas le 1/3 de la hauteur des solives.
Figure 18
La stabilité de la paroi horizontale est vérifiée par le calcul ( Règles CB 71 ) avec une réduction de la hauteur des solives
correspondant à la hauteur apparente sous le plafond.
Figure 19
On distingue :
a Les parois sous combles ventilés non accessibles ou accessibles mais non aménageables.
b Les parois délimitant les combles ou partie de comble accessibles et aménageables.
c Les parois rampantes à faible pente.
Ce dernier, selon le cas, peut obturer une cavité fermée, ou avec lame d'air.
Les charpentes pour combles accessibles aménageables réalisées avec des bois de charpentes d'épaisseur supérieure à 40 mm,
lorsque l'on recherche une stabilité 1/4 h ou 60 mm, lorsque l'on recherche une stabilité 1/2 h ou plus, peuvent être justifiées par le
calcul en application des indications du chapitre 5 .
6.4.1 Les parois sous combles ventilés non accessibles ou accessibles mais non aménageables
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1 plaque de parement plâtre de 12,5 mm mise en oeuvre dans les conditions du DTU 25.41 supportant un feutre de laine
minérale souple ; 60 mm,
1 panneau de particules CTB-H ou CTB-S, e ; 19 mm supportant un feutre de laine minérale souple, e ; 60 mm,
Parquet 23 mm supportant un feutre de laine minérale souple, e ; 60 mm,
Plâtre manuel ou projeté sur lattis métalliques ou fibragglos, e; 12 mm exécuté dans les conditions du DTU 25.1 et supportant
un feutre de laine minérale souple, e ; 60 mm.
ou toute autre solution pouvant justifier d'une protection thermique similaire, et se prévaloir d'un procès-verbal de classement de
plafond sous plénum infini ».
Cette trappe mise en feuillure de 15 mm minimum doit reposer sur un joint en compression pour assurer l'étanchéité à l'air entre le
local sous-jacent et le comble.
La trappe d'accès au comble, placée dans un chevêtre, doit être réalisée dans un matériau dont le temps de percement calculé
devra être 30 min, majoré de 5 mm.
Il peut s'agir d'un panneau de particules CTB-S. Son épaisseur minimale sera :0,7 1,3 = 0,91 30 = 27,3 + 5 = 32,3 mm
soit en pratique, 35 mm.
Cette trappe, mise en feuillure de 20 mm minimum, doit reposer sur un joint en compression pour assurer l'étanchéité à l'air entre le
local sous-jacent et le comble.
Les trappes dont l'ouverture se fait vers le bas, qu'elles supportent ou non un escalier escamotable, doivent assurer la continuité de
résistance au feu de plafond.
Il s'agit en général :
de fermes à entraits porteurs,
de fermes pour combles aménageables reposant sur un plancher.
Que la couverture soit posée sur panneaux dérivés du bois ou sur liteaux, en dehors de la partie habitable, le comble est ventilé.
L'isolant, s'il existe, est disposé en un ou deux lits :
entre les solives ou les entraits,
entre les arbalétriers,
entre les poteaux verticaux délimitant la partie habitable :
entre arbalétriers et entraits,
en pignon ou en joue de lucarne.
e
f
g
h Selon que l'on recherche une performance coupe-feu de degré 1/4 h ou 1/2 h, on se reportera, pour le choix du matériau utilisé
en plafond, aux solutions proposées dans les tableau VI pour la performance 1/4 h, et VII pour la performance 1/2 h.
i Le parement supérieur du plancher du comble ne recouvre que la partie habitable. Il n'y a pas de plancher dans la partie non
habitable.
j On considère dans ce cas que la cavité de la paroi horizontale n'est fermée que de manière discontinue ( cf. fig. 21 ).
k Figure 21
l
m
n
o
p
q La protection thermique du bois de structure constituant l'entrait de ferme est apportée par le plafond seul.
r Selon que l'on recherche une performance coupe-feu de degré 1/4 h ou 1/2 h, on se reportera, pour le choix des matériaux
utilisés en plafond, aux solutions proposées aux paragraphes 6.4.1.1 et 6.4.1.2 .
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Selon que l'on recherche une performance SF ou CF de degré 1/4 h ou 1/2 h, on se reportera aux indications du paragraphe
6.2 et aux tableaux IV et V qui indiquent les combinaisons entre parements intérieur et extérieur de murs avec cavité selon que
celle-ci est ouverte ou fermée.
Le parement intérieur doit être mis en oeuvre directement sous la structure en bois, ou par l'intermédiaire de tasseaux en bois ou
de rails métalliques eux-mêmes fixés au contact de la structure en bois.
Selon que l'on recherche une performance SF ou CF de degré 1/4 h ou 1/2 h, on se reportera, soit aux indications du paragraphe
6.3 et aux tableaux VI et VII , soit aux indications du paragraphe 6.4.1 , selon qu'il s'agit de parois à cavité ouverte ou fermée.
Par dérogation aux règles usuelles, l'essai est arrêté au temps de classement choisi et la combustion propre des éléments est
éteinte le plus rapidement possible pour effectuer les mesures des sections résiduelles non carbonisées.
Des essais typifiés ont été définis pour les murs et les planchers ainsi que pour les essais d'orientation et complémentaires (dits
d'approche).
Si les structures sont de conception différente de celles de montages typifiés, celles-ci sont à mettre en oeuvre selon leurs
particularités.
Les essais d'approche ont pour but de permettre une présélection des matériaux ou d'obtenir des informations complémentaires
aux essais de référence en vue d'élargir le domaine de validité sur la gamme dimensionnelle des montages analogues pour
lesquels le comportement en grandeur, en situation à déjà été essayé dans une mise en oeuvre similaire. Ces essais d'approche
peuvent être effectués également au laboratoire du Centre Technique du Bois et de l'Ameublement (CTBA) dans les conditions
identiques à celles de la recherche préalable à l'établissement des présentes Règles. Ces essais peuvent être pris en considération
par le laboratoire agréé pour l'établissement du procès-verbal de caractérisation.
Le laboratoire doit préciser le nombre d'essais nécessaires, qui pour les essais d'approche, ne saurait être inférieur à deux essais
pour un même montage.
notamment l'épicéa, (appelé pour certaines provenances : sapin blanc du nord), les divers pins, notamment le pin sylvestre
(appelé pour certaines provenances : sapin rouge du nord).
Débit : sur quartier.
Usinage : rabotage 4 faces.
Classement : BS suivant NF B 52-001, partie I .
Section : 38 80 mm.
Taux d'humidité : 12 % 2 %
Chaque élément de structure est constitué de trois montants et deux traverses de section 38 80 mm (sauf demande particulière) -
dimensions d'un élément de structure 1,20 2,50 mm :
le parement extérieur type est un panneau de particule CTB-H de 12 mm cloué,
l'isolation est au choix du demandeur,
le parement intérieur est au choix du demandeur (matériau et mise en oeuvre).
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Pour l'essai d'un isolant, le panneau intérieur type est une plaque de parement plâtre de 12,5 mm (voir description de principe
au paragraphe 2.3 ).
Dimensions finies du mur : 2,40 2,50 m.
Chargement d'essai : 470 daN/poteau 38 80.
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Erratum (septembre 1988)
Dans le cas de maquettes à cavité ouverte, la mise en oeuvre de la laine de verre ne doit pas entraver la circulation verticale de
l'air.
Les conclusions du procès-verbal de caractérisation seront établies pour apporter les indications caractéristiques citées à
l'introduction et au paragraphe 1 de la présente Annexe I et devront préciser le domaine de validité d'application de ces résultats
et rappeler leur exclusion à l'extérieur de ce domaine.
DTU 25.1
Enduits intérieurs en plâtre (DTU P 71-201) ; Cahier des charges (juillet/août 1985) ;Additif n° 1 (mai 1978) ; Additif n° 2
(janvier-février 1980) ; Cahier des clauses spéciales (janvier/février 1980) ; Mémento (janvier/février 1980)
DTU 25.31
Ouvrages verticaux de plâtrerie ne nécessitant pas l'application d'un enduit au plâtre (cloisons en carreaux de plâtre à
parement lisse) (DTU P 72-202) (juin 1985) ;Cahier des clauses techniques ; Cahier des clauses spéciales ; Mémento
DTU 25.41
Ouvrages en plaques de parement en plâtre (plaques à faces cartonnées) (DTU P 72-203) ; Cahier des charges (septembre
1981) ; Erratum au Cahier des charges (mars 1982) ; Cahier des clauses spéciales (septembre 1981)
DTU 26.1
Enduits aux mortiers de liants hydrauliques (DTU P 15-201) ; Cahier des charges (septembre 1978) ; Erratum (novembre
1978) ;Additif n° 1 (avril 1985) ; Cahier des clauses spéciales (septembre 1978)
DTU 31.1
Charpente et escaliers en bois (DTU P 21-203) (juin 1983) ; Cahier des clauses techniques ; Cahier des clauses spéciales
DTU 31.2
Maisons traditionnelles à ossature en bois (DTU P 21-204) (juin 1972) ;Cahier des charges
DTU 36.1
Menuiserie en bois (DTU P 23-201) ; Cahier des clauses techniques (décembre 1984) ; Cahier des clauses spéciales
(décembre 1984) ; Annexe commune aux DTU 36.1/37.1 (janvier/février 1985) ; Erratum (juin 1985) ; Erratum (septembre 1986)
DTU 40.11
Couverture en ardoises (DTU P 32-201) (janvier/février 1977) ; Cahier des charges ; Cahier des clauses spéciales
DTU 40.12
Couverture en ardoises d'amiante-ciment (DTU P 32-302) (novembre 1985) ; Cahier des clauses techniques ; Cahier des
clauses spéciales
DTU 40.14
Couverture en bardeaux bitumés (DTU P 39-201) (mai 1977) ; Cahier des charges ; Cahier des clauses spéciales
DTU 40.2
Couverture en tuiles canal (DTU P 31-201) ; Cahier des charges (décembre 1966) ; Additif n° 2 (avril 1968) ; Cahier des
clauses spéciales (décembre 1966)
DTU 40.21
Couverture en tuiles de terre cuite à emboîtement ou à glissement (DTU P 31-202) (juin 1979) ; Cahier des charges ; Cahier
des clauses spéciales
DTU 40.23
Couverture en tuiles plates de terre cuite (DTU P 31-204) (avril 1977) ; Cahier des charges ; Cahier des clauses spéciales
DTU 40.24
Couverture en tuiles en béton à glissement et à emboîtement longitudinal (DTU P 31-205) ; Cahier des charges (juin 1979) ;
Modificatif n° 1 au Cahier des charges (mars 1982) ; Cahier des clauses spéciales (juin 1979)
DTU 40.25
Couverture en tuiles plates en béton (DTU P 31-206) ; Cahier des clauses techniques (décembre 1984) ; Cahier des clauses
spéciales (décembre 1984) ; Erratum au CCT et au CCS (mai 1985)
DTU 40.31
Couverture en plaques ondulées d'amiante-ciment (DTU P 33-201) (novembre 1979) ; Cahier des charges ; Cahier des
clauses spéciales
DTU 40.32
Couverture en plaques ondulées métalliques (DTU P 34-201) (avril 1967) ; Cahier des charges ; Cahier des clauses spéciales
DTU 40.35
Couverture en plaques nervurées issues de tôles d'acier galvanisées prélaquées ou de tôles d'acier galvanisées (DTU P
34-205) (septembre 1983) ; Cahier des clauses techniques ; Cahier des clauses spéciales
DTU 40.36
Couverture en plaques nervurées d'aluminium prélaqué ou non (DTU P 34-206) ; Cahier des clauses techniques (octobre
1984) ; Cahier des clauses spéciales (octobre 1984) ; Erratum (juin 1985)
DTU 40.41
Couverture par grands éléments en feuilles et bandes en zinc (DTU P 34-211) (juin 1987) ; Cahier des clauses techniques ;
Cahier des clauses spéciales
DTU 40.42
Couverture par grands éléments en feuilles et bandes en aluminium (DTU P 34-212) (juin 1965) ; Cahier des charges ;
Cahier des clauses spéciales
DTU 40.43
Couverture par grands éléments en feuilles et bandes en acier galvanisé (DTU P 34-213) (juin 1965) ; Cahier des charges ;
Cahier des clauses spéciales
DTU 40.44
Couverture par grands éléments en feuilles et bandes en acier inoxydable (DTU P 34-214) ; Cahier des charges (juin 1965)
; Additif n° 1 (octobre 1972) ; Cahier des clauses spéciales (juin 1965)
DTU 40.45
Couverture par grands éléments en feuilles et bandes en cuivre (DTU P 34-215) (juin 1965) ; Cahier des charges ; Cahier
des clauses spéciales
DTU 43.4
Toitures en éléments porteurs en bois et panneaux dérivés du bois avec revêtements d'étanchéité (DTU P 84-207)
(janvier/février 1985) ; Cahier des clauses techniques ; Cahier des clauses spéciales
DTU 51.1
Parquets massifs et contrecollés (DTU P 63-201) (octobre 1983) ; Cahier des clauses techniques ; Cahier des clauses
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Erratum (septembre 1988)
spéciales
DTU 51.2
Parquets collés (DTU P 63-202) (octobre 1963) ; Cahier des clauses techniques ; Cahier des clauses spéciales
DTU 51.3
Planchers en bois ou en panneaux dérivés du bois (DTU P 63-203) ; Cahier des clauses techniques (janvier 1983) ; Erratum
au CCT (mars 1984) ; Cahier des clauses spéciales (janvier 1983)
DTU 58.1
Mise en oeuvre des plafonds suspendus en matériaux fibreux d'origine minérale, en panneaux dérivés du bois et en
métal (DTU P 68-203) ; Cahier des charges (octobre 1975) ; Modificatif n° 1 (novembre 1983) ; Additif n° 1 (novembre 1983) ;
Additif n° 2 - Protection contre l'incendie (décembre 1985) ; Cahier des clauses spéciales (octobre 1975)
DTU 59.1
Peinturage (DTU P 74-201) ; Cahier des charges (novembre 1978) ; Additif n° 1 (novembre 1979) ; Cahier des clauses spéciales
(novembre 1978) ; Mémento (novembre 1978)
DTU 59.2
Revêtements plastiques épais sur béton et enduits à base de liants hydrauliques (DTU P 74-202) (décembre 1980) ; Cahier
des charges ; Cahier des clauses spéciales
DTU 70.1
Installations électriques des bâtiments à usage d'habitation (DTU P 80-201) ; Cahier des charges (décembre 1980) ; Erratum
(juin 1981) ; Cahier des clauses spéciales (décembre 1980)
2 Règles de calcul
Règles CB 71
(DTU P 21-701) ; Règles de calcul des charpentes en bois et modificatifs 1975 (juin 1980)
Règles FA
(DTU P 92-702) Méthode de prévision par le calcul du comportement au feu des structures en acier et Annexe (Méthodologie de
caractérisation des produits de protection) (avril 1983)
Règles N 84 »
(DTU P 06-006). Actions de la neige sur les constructions (fascicule n° 61) 1 (février 1986) ;Complément à l'annexe 1 relatif à
l'utilisation de la carte neige » seule (juillet/août 1986)
Règles NV 65
(DTU P 06-002) 1 Règles définissant les effets de la neige et du vent sur les constructions et annexes (1980) ; Modificatif n° 1
relatif à la France d'Outre-Mer (février 1987) 1
Les Règles N 84 sont applicables en remplacement de la partie relative à la neige des Règles NV 65 pour les constructions
relevant des Règles BAEL ou des règles BPEL. Pour les autres constructions, seule, la carte neige » est applicable en
remplacement de celle figurant les Règles NV 65.
3 Normes
NF B 50-001
Bois - Nomenclature (janvier 1971)
NF B 50-002
Bois - Vocabulaire (août 1961)
NF B 50-003
Bois - Vocabulaire (seconde liste) (avril 1985)
3.2 Normes concernant les panneaux
NF B 54-050
Panneaux de fibres - Définition - Classification - Désignation (octobre 1985)
NF B 54-100
Panneaux de particules - Définition - Classification - Désignation (octobre 1985)
NF B 54-154
Contreplaqué à plis, types de collage - Définitions - Essais - Qualification (octobre 1978)
NF B 54-155
Contreplaqué à plis d'usage général - Spécifications générales (janvier 1971)
NF B 54-161
Contreplaqué à plis - Panneaux extérieurs - Spécifications (octobre 1978)
NF B 56-010
Panneaux fibragglos - Définition - Désignation (octobre 1980)
3.3 Normes concernant les autres matériaux
NF B 12-300
Plâtres - Généralité - Clauses et conditions générales (août 1963)
NF B 12-301
Plâtres - Construction (août 1963)
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Document : Règles BF 88 (DTU P92-703) (février 1988) : Méthode de justification par le calcul de la résistance au feu des structures en bois +
Erratum (septembre 1988)
NF B 20-001
Produits isolants à base de fibres minérales - Vocabulaire (décembre 1982)
NF P 72-301
Carreaux en plâtre d'origine naturelle à parements lisses pour cloison de distribution en doublage (décembre 1983)
NF P 72-302
Plaques de parement en plâtre - Définition - Spécifications et essais (octobre 1981)
3.4 Normes concernant le bâtiment
NF B 50-005
Parquets, lambris, et frises brutes - Vocabulaire (novembre 1985)
NF B 52-001
Règles d'utilisation du bois dans les constructions - Qualités des bois et contraintes admissibles (mars 1946)
NF B 52-001
Règles d'utilisation du bois dans les constructions (1987) ; Partie 1 : Niveaux de résistance des pièces de bois
NF B 52-001
Règles d'utilisation du bois dans les constructions (1987) ; Partie 2 : Méthodes d'essais
NF B 53-510
Bois de menuiserie - Nature et qualité (novembre 1954)
NF B 54-000
Lames à parquet en bois massif - Caractéristiques de fabrication (juillet 1974)
NF B 54-001
Classement des lames à parquet en chêne massif (décembre 1978)
NF B 54-002
Classement des lames à parquet en châtaignier massif (juin 1966)
NF B 54-003
Classement des lames à parquet en pin maritime (septembre 1970)
NF B 54-004
Fabrication et classement des lames de lambris en pin maritime (juillet 1974)
NF B 54-005
Classement des lames à parquet en sapin et épicéa massifs indigènes (juin 1966)
NF B 54-009
Classement des lames à parquet en hêtre massif (avril 1980)
NF C 15-100
Installations électriques à basse tension - Règles (février 1981)
NF C 73-200
Appareils électrodomestiques chauffants - Règles générales de sécurité (avril 1975)
NF C 73-255
Appareils électrodomestiques chauffants - Appareils de chauffage des locaux à accumulation - Règles de sécurité (décembre
1981)
NF P 06-001
Bases de calcul des constructions - Charges d'exploitation des bâtiments (juin 1986)
NF P 23-101
Menuiseries bois - terminologie (novembre 1983)
3.5 Normes concernant le feu
NF P 92-501
Bâtiment - Essais de réaction au feu des matériaux - Essai par rayonnement applicable aux matériaux rigides ou rendus tels
(matériaux de revêtement) de toute épaisseur et aux matériaux souples d'épaisseur supérieure à 5 mm (décembre 1985)
NF P 92-503
Essai au brûleur électrique applicable aux matériaux souples d'une épaisseur inférieure ou égale à 5 mm (décembre 1985)
NF P 92-504
Essai de propagation de la flamme applicable aux matériaux non destinés à être collés sur un subjectile (essai complémentaire)
(décembre 1985)
NF P 92-505
Essai de goutte, au radiateur, applicable aux matériaux fusibles (essai complémentaire) (décembre 1985)
NF P 92-506
Essai au panneau radiant pour revêtement de sol (décembre 1985)
NF P 92-508
Réglage du brûleur électrique (décembre 1985)
NF P 92-509
Réglage du radiateur (décembre 1985)
NF P 92-510
Détermination du pouvoir calorifique supérieur (décembre 1985)
NF P 92-511
(Annexe aux normes de méthodes d'essais) - Détermination des essais à réaliser suivant la nature et l'utilisation des matériaux -
Supports types - Modèles de fiches d'information (décembre 1985)
P 92-507
Sécurité contre l'incendie - Bâtiment - Matériaux de construction et d'aménagement - Classement selon leur réaction au feu
(décembre 1985)
NF P 92-512
Sécurité contre l'incendie - Bâtiment - Essais de réaction au feu des matériaux - Détermination de la durabilité des classements
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Document : Règles BF 88 (DTU P92-703) (février 1988) : Méthode de justification par le calcul de la résistance au feu des structures en bois +
Erratum (septembre 1988)
Annexe III informations relatives aux dispositions particulières en vue de limiter les clauses
de départ ou d'extension des incendies
Cette annexe n'est pas contractualisable. Elle est donnée à titre d'information.
L'objet de cette annexe est de définir ou de rappeler les dispositions constructives générales souhaitées ou nécessaires pour limiter
les risques d'éclosion et d'extension d'un incendie.
Elle attire l'attention des concepteurs sur les points de la construction des ouvrages nécessitant une protection spéciale et soignée.
2 Conduits de fumée
Les exigences relatives aux conduits de fumée des bâtiments d'habitation font l'objet d'un arrêté du 22 octobre 1969 auquel on se
reportera.
Les conduits de fumée métalliques à double parois isolées se distinguent des conduits de fumée en maçonnerie, en ce qu'ils sont
souvent suspendus à la structure, et non auto-portants.
Bien qu'ils dérogent à l' arrêté du 22 octobre 1969 , ils conviennent dans les bâtiments à structure en bois, étant entendu qu'ils
doivent faire l'objet d'un Avis Technique.
L'Avis Technique précise les conditions dans lesquelles de tels conduits peuvent être raccordés à des cheminées à foyer ouvert ou
fermé.
L'Avis Technique demande aussi qu'un habillage soit réalisé autour des conduits pour assurer à ceux-ci une protection mécanique
dans la traversée des parties habitables.
L'ossature de cet habillage peut être en bois ou métallique. Si l'ossature de l'habillage est en métal, le parement intérieur n'est pas
nécessaire. Le parement extérieur devra être réalisé dans l'un des matériaux ci-dessous :
Plaque de parement plâtre, e ; 12,5 mm,
Panneaux de particules agglomérés au ciment, e ; 12 mm,
Panneaux dérivés du bois classés M.1 en réaction au feu, e ; 12 mm
D'autres matériaux peuvent être utilisés, mais ils doivent faire l'objet d'un procès-verbal de caractérisation délivré par un
laboratoire agréé ( Cf. Annexe I ).
Si l'ossature de l'habillage est en bois, un parement intérieur est obligatoire. Celui-ci devra être réalisé dans les mêmes matériaux
que ci-dessus. Il n'y a pas d'exigence sur la nature du parement extérieur.
Pour les maisons individuelles de la première famille ou les bâtiments de deux niveaux au plus, le recoupement de la traversée des
parois horizontales n'est pas obligatoire, mais une plaque de garde au feu est recommandée.
Pour les bâtiments d'habitation de la deuxième famille ou les bâtiments de plus de deux niveaux, il devra y avoir un recoupement
par une plaque de garde au feu.
On appelle plaque de garde au feu un matériau plan incombustible qui maintient le conduit à distance de l'habillage. On peut utiliser
des panneaux rigides de laine de roche d'épaisseur au moins égale à 50 mm, supportés par des éléments incombustibles (pointes
lardées, profils métalliques, etc.), ou tout autre matériau présentant une sécurité similaire.
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Document : Règles BF 88 (DTU P92-703) (février 1988) : Méthode de justification par le calcul de la résistance au feu des structures en bois +
Erratum (septembre 1988)
Dans tous les cas, les conduits traversant une paroi doivent être d'une seule pièce.
Quel que soit le type de conduit utilisé, l'échauffement de la structure en bois, protégée par la gaine, ne doit pas être supérieur à 60
K.
3 Gaines et conduits
Pour les gaines et conduits, on doit respecter les spécifications du règlement de sécurité applicable à l'ouvrage (habitation, E.R.P.),
( Cf. annexe V ).
Lorsque cela n'est pas prévu dans la réglementation, les documents particuliers du marché pourront prescrire leur réalisation en
matériaux peu combustibles, tels que plaques de parement plâtre, panneaux de particules bois-ciment, panneaux dérivés du bois
classé M.1, en réaction au feu.
4 Traversée de plancher
Lorsqu'un conduit (ventilation, descente d'eau, etc.) traverse un plancher résistant au feu, il y a lieu de réaliser dans l'épaisseur du
vide une gaine ou un autre dispositif, rétablissant la continuité de la résistance au feu.
6 Installations électriques
Il faut respecter les normes en vigueur ( NF C 15-100 Installations Electriques à basse tension - Règles » ).
La norme C 15-100 fait référence à des constructions combustibles. Cela s'applique particulièrement aux constructions à
habillages intérieurs en bois et dérivés du bois sur lesquels seront fixés les équipements électriques.
7 Recoupement des cavités dans l'épaisseur des parois ou entre deux parois
Les cavités de construction devront être compartimentées. Ce compartimentage peut être obtenu par une planche de bois ou tout
autre matériau rigide visé au paragraphe 3.2 des présentes Règles ayant une épaisseur minimale de 12 mm :
horizontalement à tous les niveaux dans les vides de construction séparant deux logements,
horizontalement à tous les niveaux dans les vides de construction comportant des équipements électriques,
horizontalement à tous les niveaux dans les vides de construction situés en façade,
verticalement à chaque angle de la construction et à la jonction en parci séparative de logements et façade extérieure.
8 Blocs-portes
Les blocs-portes pour lesquels un degré coupe-feu est demandé, devront être mis en oeuvre dans les conditions du DTU 36.1 .
Figure 28
A classements conventionnels
Les matériaux à base de bois ( annexe 21 ) sont classés conventionnellement comme indiqué ci-après :
1 Bois massif non résineux :
2 Epaisseurs supérieures ou égales à 14 mm : M.3
3 Epaisseurs inférieures à 14 mm : M.4
4 Bois massif résineux :
5 Epaisseurs supérieures ou égales à 18 mm : M.3
6 Epaisseurs inférieures à 18 mm : M.4.
7 Panneaux dérivés du bois :
8 Contreplaqués, lattés, particules, fibres.
9 Epaisseurs supérieures ou égales à 18 mm : M.3.
10 Epaisseurs inférieures à 18 mm : M.4
11 Parquets en bois massif collés :
12 Epaisseurs supérieures ou égales à 6 mm avant ponçage : M.3.
13 Epaisseurs inférieures à 6 mm avant ponçage : M.4.
Les classements conventionnels M.3 et M.4 des bois et des panneaux dérivés du bois ne sont pas modifiés par les revêtements de
surface bien adhérents suivants :
a Placage bois épaisseurs inférieures ou égales à 0,5 mm ;
b Tout autre revêtement dont le dégagement calorifique surfacique ne dépasse pas 4,18 MJ/m (1 000 kcal/m)
Les plaques de stratifiés décoratifs haute pression conformes à la NF T 54-301 et d'épaisseur inférieure à 1,5 mm sont classées
en catégorie M.3.
L'application de produits de traitement (fongicides, insecticides,...) du bois et des panneaux ne modifient pas le classement en
réaction au feu des bois et panneaux en oeuvre.
Les produits de protection du bois tels que peintures, vernis, lasures, sealers, etc., quelle que soit leur nature, ont, même s'ils ont
été appliqués en plusieurs couches, un extrait sec dont le dégagement calorifique surfacique est inférieur à 4,18 MJ/m. Le
classement conventionnel du bois et des panneaux n'est donc pas modifié par rapport à l' arrêté du 30 juin 1983 .
Toutefois, les produits de protection du bois et des panneaux dérivés du type Revêtement Plastique Epais (RPE) peuvent avoir un
dégagement calorifique surfacique excédant 4,18 MJ/m susceptible de modifier les classements conventionnels ci-dessus. Il y a
lieu de justifier du classement en réaction au feu du couple bois ou panneaux/RPE par un essai réalisé dans un laboratoire agrée.
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Document : Règles BF 88 (DTU P92-703) (février 1988) : Méthode de justification par le calcul de la résistance au feu des structures en bois +
Erratum (septembre 1988)
En l'état actuel des techniques, les divers procédés d'ignifugation ne concernent que les bois massifs ou les panneaux dérivés du
bois utilisés à l'abri des intempéries, sauf justification particulière.
Le classement est déterminé dans un laboratoire agréé à la suite d'un essai effectué en application de l' arrêté du 30 juin 1983 .
La durée de validité des procès-verbaux de classement est de 5 ans. Au moment de sa mise en oeuvre, un matériau doit avoir fait
l'objet d'un procès-verbal de classement en cours de validité ou du marquage NF Réaction au feu.
Certaines fabrications de panneaux dérivés du bois bénéficient d'un marquage NF Réaction au feu qui certifie le classement obtenu
par le matériau considéré lors de l'essai et dispensent de la présentation d'un procès-verbal en cours de validité.
Il est fréquent que la Marque NF Réaction au feu soit appliquée sur les panneaux conjointement avec une autre Marque de Qualité
(contreplaqué NF extérieur CTB-X, CTB-H, ...)
La durabilité des classements obtenus par les matériaux en bois ou dérivés ignifugés peut être augmentée si ceux-ci ont fait l'objet
de l'épreuve de vieillissement accéléré définie dans l' annexe 22 de l'arrêté .
Ces matériaux sont alors considérés comme ayant une durabilité de classement égale à la durée de vie du matériau dans le local.
Sont considérés a priori comme ayant une durabilité de classement égale à la durée de vie du matériau dans le local et dispensés
de l'épreuve de vieillissement accéléré ( annexe 22 de l'arrêté ) :
les panneaux dérivés du bois ignifugés en fabrication par l'un des procédés ci-dessous ;
panneaux de particules de bois agglomérés, ignifugés dans la masse par apport d'agents ignifuges incorporés à la colle et/ou
mélangés aux particules avant encollage :
contreplaqué ignifugé dans la masse par apport d'agents ignifuges incorporés à la colle ;
contreplaqué ignifugé dans la masse par absorption de sels ignifuges dans les plis avant contre-collage en cycle sous vide et
pression ;
contreplaqué et panneaux de particules de bois agglomérés ignifugés par les procédés décrits aux trois alinéas précédents et
revêtus d'un placage décoratif lui-même revêtu d'un vernis ignifuge ou non ignifuge ;
panneaux de particules de bois agglomérés par un liant minéral dit bois-ciment ;
panneaux de fibragglos comportant un liant minéral.
Les autres modes d'ignifugation sont passibles de cette épreuve pour être reconnus durables.
longues feuilles en zinc - Partie 1 : Cahier des clauses techniques (Indice de classement : P34-211-1)
#61 - NF P34-211-2 (DTU 40.41) (septembre 2004) : Travaux de bâtiment - Couvertures par éléments métalliques en feuilles et
longues feuilles en zinc - Partie 2 : Cahier des clauses spéciales (Indice de classement : P34-211-2)
#62 - DTU 40.42 (DTU P34-212/CCH) (juin 1965) : Travaux de couverture par grands éléments métalliques en feuilles et bandes
en aluminium - Cahier des charges (DTU retiré) + Erratum (avril 2000)
#63 - DTU 40.42 (DTU P34-212/CCS) (juin 1965) : Couverture par grands éléments métalliques en feuilles et bandes en
aluminium - Cahier des clauses spéciales (DTU retiré)
#64 - DTU 40.43 (DTU P34-213/CCH) (juin 1965) : Couverture par grands éléments métalliques en feuilles et bandes en acier
galvanisé - Cahier des charges (DTU retiré)
#65 - DTU 40.43 (DTU P34-213/CCS) (juin 1965) : Couverture par grands éléments métalliques en feuilles et bandes en acier
galvanisé - Cahier des clauses spéciales (DTU retiré)
#66 - NF P34-215-1 (DTU 40.45) (mai 1993) : Couvertures par éléments métalliques en feuilles et longues feuilles en cuivre -
Partie 1 : Cahier des clauses techniques + Amendement A1 (septembre 2001) (Indice de classement : P34-215)
#67 - NF P34-215-2 (DTU 40.45) (mai 1993) : Couvertures par éléments métalliques en feuilles et longues feuilles en cuivre -
Partie 2 : Cahier des clauses spéciales (Indice de classement : P34-215)
#68 - NF P84-207-1 (DTU 43.4) (mai 1993) : Toitures en éléments porteurs en bois et panneaux dérivés du bois avec
revêtements d'étanchéité - Partie 1 : Cahier des clauses techniques + Amendement A1 (décembre 1995) (Indice de classement :
P84-207-1)
#69 - NF P84-207-2 (DTU 43.4) (mai 1993) : Toitures en éléments porteurs en bois et panneaux dérivés du bois avec
revêtements d'étanchéité - Partie 2 : Cahier des clauses spéciales (Indice de classement : P84-207-2)
#70 - NF P63-202-1 (DTU 51.2) (août 1995) : Parquets collés - Partie 1 : Cahier des clauses techniques (Indice de classement :
P63-202-1)
#71 - NF P63-202-2 (DTU 51.2) (août 1995) : Parquets collés - Partie 2 : Cahier des clauses spéciales (Indice de classement :
P63-202-2)
#72 - NF P74-201-1 (DTU 59.1) (octobre 1994) : Peinture - Travaux de peinture des bâtiments - Partie 1 : Cahier des clauses
techniques + Amendement A1 (octobre 2000) (Indice de classement : P74-201-1)
#73 - NF P74-201-2 (DTU 59.1) (octobre 1994) : Peinture - Marchés privés - Travaux de peinture des bâtiments - Partie 2 : Cahier
des clauses spéciales + Amendement A1 (octobre 2000) (Indice de classement : P74-201-2)
#74 - NF P80-201-2 (DTU 70.1) (mai 1998) : Installations électriques des bâtiments à usage d'habitation - Partie 2 : Cahier des
clauses spéciales (Indice de classement : P80-201-2)
#75 - Règles FA (P92-702/ANN) (décembre 1993) : Méthode de prévision par le calcul du comportement au feu des structures en
acier - Annexe : Méthodologie de caractérisation des produits de protection
#76 - Règles N84 modifiées 95 (DTU P06-006) (septembre 1996) : Action de la neige sur les constructions + Erratum 2 (août
1997) + Modificatif 1 (CCTG Fascicule 61) (Cahiers CSTB 3214 avril 2000)
#77 - NF B50-001 (janvier 1971) : Bois - Nomenclature (Indice de classement : B50-001)
#78 - NF B50-002 (août 1961) : Bois - Vocabulaire (Indice de classement : B50-002)
#79 - NF B50-003 (avril 1985) : Bois - Vocabulaire (seconde liste) (Indice de classement : B50-003)
#80 - NF B50-005 (novembre 1985) : Bois - Parquets, lambris et frises brutes - Vocabulaire (Indice de classement : B50-005)
#81 - NF C15-100-00 (mai 1991, décembre 1994 et 1995) : Installations électriques à basse tension - Avant-propos (Indice de
classement : C15-100)
#82 - P23-101 (décembre 1987) : Menuiseries en bois - Terminologie (Indice de classement : P23-101)
#83 - Arrêté du 22 octobre 1969 relatif aux conduits de fumée desservant des logements
#84 - NF DTU 24.1 P1 (février 2006) : Travaux de bâtiment - Travaux de fumisterie - Systèmes d'évacuation des produits de
combustion desservant un ou des appareils - Partie 1 : Cahier des clauses techniques - Règles générales (Indice de classement :
P51-201-1)
#85 - Arrêté du 31 janvier 1986 modifié relatif à la protection contre l'incendie des bâtiments d'habitation
#86 - Arrêté du 23 juin 1978 modifié relatif aux installations fixes destinées au chauffage et à l'alimentation en eau chaude
sanitaire des bâtiments d'habitation, de bureaux ou recevant du public
#87 - Arrêté du 2 août 1977 modifié relatif aux règles techniques et de sécurité applicables aux installations de gaz combustible
ou d'hydrocarbures liquéfiés situés à l'intérieur des bâtiments d'habitation ou de leurs dépendances
#88 - Arrêté du 21 mars 1968 modifié relatif aux règles techniques et de sécurité applicables au stockage et à l'utilisation des
produits pétroliers dans les lieux non visés par la législation des établissements dangereux, insalubres ou incommodes et la
réglementation des établissements recevant du public
#89 - Circulaire du 13 décembre 1982 relative à la sécurité des personnes en cas de travaux de réhabilitation ou d'amélioration
des bâtiments d'habitation existants
#90 - Instruction technique 249 modifiée du 21 juin 1982 relative aux façades
Figure 11
Figure 12 Définition des divers éléments constituant un mur avec cavité
Tableau IV Combinaisons les plus courantes entre parements intérieurs et extérieurs de murs avec cavité en vue d'obtenir pour
l'ouvrage un degré SF 1/4 h
Tableau V Combinaisons les plus courantes entre parements intérieurs et extérieurs de murs avec cavité en vue d'obtenir pour
l'ouvrage un degré SF 1/2 h
Figure 13 a Exemples de murs à cavité fermée ou ouverte/mur simple extérieur ou intérieur avec isolant en une couche
Figure 13 b Exemples de murs à cavité fermée ou ouverte/mur simple avec double parement sur une face avec isolant en une
couche
Figure 13 c Exemples de murs à cavité fermée ou ouverte/mur simple avec double parement sur les deux faces et isolant en une
couche
Figure 13 d Exemples de murs à cavité fermée ou ouverte/mur décalé avec simple parement et isolant en deux couches
Figure 13 e Exemples de murs à cavité fermée ou ouverte/mur décalé avec double parement avec isolant en deux couches
Figure 13 f Exemples de murs à cavité fermée ou ouverte/mur double constitué de deux murs simples adjacents à cavité fermée
(solutions 1 et 2 des tableaux IV et V), avec espace entre les deux murs
Figure 13 g Exemples de murs à cavité fermée ou ouverte/mur double avec double parement à cavité ouverte sans parement
intérieur, avec espace entre les deux murs
Figure 14 Solution a
Figure 15 Solution a
Tableau VI Combinaisons les plus courantes entre plancher et plafond de paroi horizontale en vue d'obtenir pour l'ouvrage un
degré coupe-feu 1/4 h
Tableau VII Combinaisons les plus courantes entre plancher et plafond de paroi horizontale en vue d'obtenir pour l'ouvrage un
degré coupe-feu 1/2 h
Figure 16 Solution b
Figure 17 Solution c
Figure 18
Figure 19
Figure 20
Figure 21
Figure A.1 Maquette d'essai de mur type
Figure A.2 Maquette d'essai de plancher type
Figure A.3 Maquettes à cavité fermée pour essais d'approche
Figure A.4 Maquettes à cavité ouverte pour essais d'approche
Figure A.5 Maquettes avec doublage pour essais d'approche
Figure 28
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