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Notes James Webb

1. Introduction

Le James Webb est un télescope qui a été lancé le 25 décembre 2021 de Kourou en

Guyane française. C’est un type télescope appelé Korsch qui est un télescope

anastigmatique à trois miroirs. Son bouclier solaire est 22 x 12 mètres, sa masse est de 6,2

tonnes, son miroir primaire est de 6,5 mètres de diamètre et son miroir secondaire est de

0,74 mètres et son coût est d’environ 10 milliards de dollars américains. Il va pouvoir

commencer les expériences en juillet.

2. Son décollage

Le décollage se passa dans le Centre Spatial Guyanais (CSG). Il y a eu une grande

préparation pour l’installer dans la coiffe qui contient la charge utile du lanceur d’Ariane 5

ECA qui a duré plus 50 jours. La charge utile c’est ce qu’elle transporte. Il va prendre un

mois pour se satelliser et qui soit pleinement fonctionnel lorsqu’il y sera au point 𝐿 2
situé à

plus d’un 1,5 million de km. Son décollage quasiment parfait lui a fait en sorte qu’il sera en

surplus de carburant lorsqu’il sera au point 𝐿 2. Ce qui pourra lui multiplier par deux sa

durée qui passe de 5 à 10 ans et même que le déploiement de ses panneaux solaires à eu

lieu 1,5 minutes plus tôt que prévu. Sa première combustion de propergols se passe au

début pour corriger sa direction et n’a duré que 65 minutes pour une accélération de plus de

20 m/s de plus que sa vitesse. Sa seconde accélération lui a permis d’avoir un gain de

vitesse plus de 2,8 m/s. La mise en service du télescope intervient 6 mois après le

lancement. C’est le temps qu’il faut pour que l’ensemble optique et les instruments soient

descendus à la température compatible de fonctionnement. Après trois semaines la partie à

l’ombre du bouclier thermique, sa température est de 40K. Le MIRI doit être à la température

de 7K (7k=-266,15°C) et pour atteindre cette température il y a un système de

refroidissement mécanique fait exprès pour ça. À ce point ils alignent les miroirs primaire et
secondaire. Commence alors une période de 6 mois de vérifications et après ça le télescope

est opérationnel pour sa mission scientifique.

3. Histoire du James Webb

Tout commence en 1989, le STSI (Space Telescope Science Institute) qui est le centre des

opérations de Hubble qui va initier une nouvelle réflexion de télescope qui devrait prendre la

relève en 2005. Dû aux différents problèmes avec Hubble en 1990 ils devront mettre le

projet sur pause pendant au moins trois ans. En 1993, un comité est créé pour définir les

futurs astronomes. Ils proposent de prolonger la durée de vie de Hubble jusqu’en 2010.

L’administrateur de la NASA Daniel Goldin, c’est la personne qui à dit «Faster, Better,

Cheaper». À l’époque en 1995 ils doivent trouver des matériaux moins cher et le choix le

plus audacieux est le choix du miroir de 8 mètres. L’étude de faisabilité datant 1996 estimant

la construction à 500 millions de US$. Ils envisagent d’observer vers le rouge et l’infrarouge.

Entre 1997 et 2000, les scientifiques étaient en train d’établir les objectifs primaires. Une

caméra pouvant voir du rouge à l’infrarouge proche, un spectrographe multi objets lui aussi

dans l’infrarouge proche et un spectro-imageur pouvant voir jusque dans l’infrarouge moyen.

À l’époque la NASA, l’ASC et l’ESA sont pour une base d’une collaboration. Des études

primaires ont pour but de créer des miroirs de faible masse. En 2000, une étude dit que le

projet dépasse de plusieurs centaines de millions de dollars. Parallèlement en 2001, les

dimension sont réduites à six mètres de diamètre. Pourquoi le nom James Webb? Car c’est

le second administrateur de la NASA et c’est lui qui initie le projet Apollo en 1961. Le lanceur

Ariane 5. En 2003, la superficie des miroirs est réduite de 29,4 à 25 m2. La NASA choisit le

béryllium pour la fabrication du miroir principal. En 2004 le projet entre en phase B qui va

durer quatre ans. L’assemblage du James Webb commence en 2004 avec le miroir primaire,

les instruments. En août 2006, commence le NIRCam (Near-InfraRed Camera) et le MIRI

(Mid-InfraRed Instrument) fabriqué par ESA. La phase D commence en juillet 2008 le ISIM

(Integrated Science Instrument Module). Le NIRISS (Near-InfraRed Imager and Slitless


Spectrograph) et le FGS (Fine Guidance Sensor) produit et fabriqué encore par l’ESA

(Agence Spatiale Européenne). Ball Aerospace & Technologies livre les trois premiers

segments du miroir et ATK et Northrop Grumman finissent la structure du miroir primaire. Le

NIRSpec (Near-InfraRed Spectrograph) et le NIRCam sont livrés à l’université d’Arizona et à

l’ESA (Agence Spatiale Européenne). En octobre 2015, l’OTE (Orbital Telescope Element)

est assemblés avec les 18 segments du miroir et le support du miroir secondaire. En 2017

tout l’assemblage est terminé. Puis en 2020 son lancement à été retardé par la pandémie.

Et finalement après 30 ans de conception il sera lancé dans l’espace le 25 décembre 2021

si tout est conforme.

4. Ses capacités

Ses capacités actuelles est qu’il peut voir de l’orange à l’infrarouge moyen (0,6 à 28 μm). Le

télescope Korsch est un télescope de sous-type Cassegrain. C’est un type qui contient trois

miroirs et son plus gros avantage c’est qu’il limite la lumière parasite. Son orbite c’est le

point de Lagrange 2 dit 𝐿 2. Sa distance à la terre est de 1,5 millions de km. Cette orbite est

instable mais idéale pour observer l’espace lointain. Pour éviter que les mesures soient

faussées il sera maintenu en dessous de 55 K (idéalement 40K = −233,15 °C). Les

détecteurs doivent être maintenus à une température de 37 K = -236,15°C. Le télescope

sera dans l’ombre de la Terre en permanence. Son but primaire scientifique est d’étudier des

système planétaires et de la formation de vie extra solaire. Sa passe aussi par la

compréhension de la formation des étoiles appelé la stellogénèse. D’ailleurs il a comme

objectif de trouver de la lumière des premières étoiles/galaxies. Il peut détecter jusqu’à 0,1

seconde d’arc (2,778m de précision) lorsque observé dans la longueur d’onde de 2μm. Pour

simplifier il peut voir un ballon de football qui est placé à une distance de 550 km. Son poids

total est de 85,74 tonnes.


5. Son bouclier thermique

Déjà un bouclier thermique est bouclier qui est destiné à protéger un véhicule spatial

lorsqu’il entre dans l’atmosphère d’une planète. La vitesse d’entrée dans l'atmosphère est

entre 7 et 12 km/s. Son second objectif est de protéger la structure du véhicule car sinon le

véhicule se serait détruit et perdu. Il y a deux types de bouclier thermique. Il y a un bouclier

réutilisable qui est conçu pour ne perdre que très peu de matière. Il vont émettre l’énergie de

frottement en énergie de radiation et de convection même si la température atteignait

plusieurs milliers de degrés celsius. La convection d’un fluide dépend de la température, de

la masse volumique et dans le cas où c’est un objet entrant dans l’atmosphère la vitesse.

Les deux meilleurs exemples sont le manteau terrestre et les courants océaniques.

L’énergie émise sous forme de radiation est de l’énergie qui peut-être émise sous de chaleur

et de la lumière visible qui implique soit une onde ou une particule bien définie. Le bouclier

ablatif est un autre type de bouclier qui implique une certaine disparition du bouclier. C’est

dû au changement physico-chimique dans le bouclier qui fait en sorte avec la température

qui peut atteindre plusieurs milliers de degrés qui donne une protection qui se superpose

avec la radiation. J’ai un peu digressé pour expliquer c’est quoi un bouclier. Le bouclier du

James-Webb est long de 22 m et large de 12m (264m2). Son objectif est de préserver les

capacités des différents capteurs infrarouges qui sont destinés à l’observation de précision

d’objet très peu lumineux. Le bouclier doit être très efficace contre la chaleur car les

capteurs qu’il protège doit être maintenu minimalement 55K mais de manière idéale, je sais

que je me répète, c’est entre 37 et 40K (entre -233,15 et -236,15°C). Il faut qu’il résiste au

changement brusque de température car la différence de température entre la partie chaude

et froide est de plus de 300K (300K=300°C). Toute la plateforme qui contient l’électronique

du bouclier se trouve dans la partie la plus chaude du bouclier qui elle même une source

d’infrarouge. Il est constitué de cinq couches différentes. La première,celle qui est face au

soleil elle mesure 0,05 mm d’épaisseur et les quatres sont à 0,025mm d’épaisseur. En

remontant les couches externes vers internes sont de plus en plus froides. Ce qui est utilisé
c’est un polyimide de type kapton. Il a une plage de température qui se situe entre -269 et

452˚C (3,15K à 724,15K). Toutes les couches ont un revêtement en aluminium de 100 nm

d’épaisseur et en plus les deux couches les plus externes ont un revêtement en silicium de

50 nm d’épaisseur. Il va fonctionner comme suit. Les rayons du soleil sont bloqués par la

première couche et une bonne partie des rayons infrarouges sont réfléchis. Ceux qui va

entrer entre les couches vont passer dans l’autre couche va être évacué sur le côté et c’est

comme ça jusqu’à la dernière couche qui élimine le reste des infrarouges qui viennent du

soleil.

6. Plateforme

La plateforme est dans un angle de 20˚ sur le plan du pare-soleil. La précision de

l’orientation et pointage de cela est avec une précision de 5,729˚E-7 ou avec 0,01μrad. 1

degré c’est 17,5 mrad. Les communications sont relayées par une antenne parabolique

grand gain. Lorsqu’il est en mode survie il y a deux antennes omnidirectionnelles qui

prennent le relais. Le gain d’antenne dépend de sa surface, sa fréquence et sa directivité.

7. Ses constructeurs

Les principaux constructeurs du télescope seront à l’époque TRW/Ball Aerospace et

Lockheed-Martin. Jet Propulsion Laboratory est retenu pour créer le MIRI, le NIRCam par

l’Université de l’Arizona.

8. Ses restrictions de l’époque

En 2003, la fusée Ariane V sera utilisée eu lieu d’Atlas V. Son miroir sera réduit à 25m2

originellement 29,4m2. La NASA choisit le béryllium pour des raisons de coûts pour le miroir

primaire.
9. Ses futures découvertes

Le James Webb va pouvoir aider à l’observation de systèmes protoplanétaires avec une

finesse inégalée en tout point. Il pourra observer des galaxies jusqu’à 100 millions d’années

lumières après le Big Bang. Il va étudier les galaxies en formations et leurs évolutions. Les

galaxies spirales n’ont pas toujours leur forme. Ils se sont formés sur des milliards d’années

en se télescopent avec d’autres galaxies bien plus petites. Les galaxies lointaines sont

petites et ramassées dans des régions très dense en matière. La formation des galaxies

reste encore inconnue. Comment les nuages de gaz et de poussière s'effondrent-ils pour

former des étoiles ? Avec le télescope JWST il pourra répondre à 4 questions que se posent

les chercheurs «Comment les nuages de gaz et de poussière s'effondrent-ils pour former

des étoiles ?» «Pourquoi la plupart des étoiles se forment-elles en groupe ?» «Comment les

systèmes planétaires se forment-ils précisément ?» «Comment les étoiles évoluent-elles et

comment éjectent-elles les éléments lourds qu'elles ont produits en fin de vie et qui sont

recyclés par la génération suivante d'étoiles et de planètes ?». Le JWST doit contribuer à

répondre à de nombreuses questions sur l’étude des systèmes planétaires et recherche des

éléments propices à la vie «Quels sont les composants des disques protoplanétaires qui

contribuent à la formation des planètes ?» «Est-ce que les planètes se forment sur place ou

est-ce que leur orbite se déplace ?» «Quel est l'impact des planètes géantes sur les

planètes plus petites ?» «Existe-t-il des planètes situées dans la zone habitable de leur

étoile, là où de l'eau à l'état liquide (et éventuellement de la vie) existe ?» «Comment la vie

s'est-elle développée sur la Terre ?» «Y a-t-il eu de la vie sur Mars ?».

10. Le JWST en pratique

Le JWST est en pratique avec l’étoile HD 84406. La signification de HD veut dire Henry

Draper. Aujourd’hui, le catalogue Henry Draper est à un catalogue d'étoiles commençant par

HD. Il fût nommé en l’honneur d’Henry Draper car sa femme à légué une partie de sa

fortune à l’Université d’Harvard et la médaille Henry lorsqu’il est mort. Il était pionnier dans

l’astrophotographie. J’ai digressé pour dire c’est qui Henry Draper et le catalogue était sous

la main d’Edward Charles Pickering et l’a rempli d’étoiles entre 1918-1924 en tout genre (en
gros tout ceux qui commencent par HD). Les étoiles contenues dans le catalogue vont

jusqu’à magnitude 9 ou 10 et contient 359 083 étoiles dont 225 300 premières étoiles sont

sur l’ascension droite croissante et d’origine. Les étoiles 225301 à 359 083 sont des

suppléments ajoutés en 1949. L’ascension droite est l’équivalent de la longitude et la

déclinaison est la latitude. Pour calculer c’est 15 ̊ par heure, 0,25˚ par minute ou 1/60

d’heure et 1/240˚ par seconde ou 1/60 de minute. L’étoile HD 84406 est au degré

146.8772721° sur le plan d’ascension. Les ajustements se poursuivent jusqu’en avril pour

obtenir une image nette et qu’il fonctionne à pleine capacité en juin. Finalement ses images

qu’il donne sont très concluantes et sont ajustées pour former une seule et belle image. Ça

aura été un long travail car les miroirs n’étaient pas ajustés pour former une même image.

Sa première cible c’est l’étoile est 2MASS J17554042+6551277. Son résultat fascine

l’équipe de la NASA et va plus vite qu’ils ne le pensaient.

11. Ses innovations dans le monde technique et scientifique

Pour les objectifs fixés, les ingénieurs ont décidé d’aller vers l’infrarouge à la place de la

lumière visible car la lumière visible n’est visible que sur une mince partie du spectre de la

lumière. L'infrarouge permet d’observer plus loin que le rouge et de passer le décalage du

rouge des galaxies. Le spectre de l’infrarouge du JWST va de l’infrarouge proche à

l’infrarouge moyen (0,6μm à 28μm). La collaboration de plusieurs institutions internationales

notamment au Canada et en Europe. La liste des éléments est la suivante: la plateforme par

Northrop Grumman, l’optique par Ball, le bouclier thermique par Northrop Grumman, le

NIRCam par Northrop Grumman, le MIRI par JPL, les micro obturateurs du NIRSpec par

Goddard et le réfrigérateur du MIRI par Northrop Grumman sont américains. L’optique du

MIRI par Airbus, le lanceur Ariane V ECA par Arianespace et le NIRSpec par Airbus sont

européens. Finalement, ce qui reste c’est NRISS et le pointage FDS qui sont d’origine

canadienne et fabriqué par la même compagnie c'est-à-dire Honeywell.


12. Ses composantes en détail

Le miroir principal est fait de béryllium-or. Il est vraiment durable et résistant aux

températures extrêmes. Il est un excellent conducteur électrique, thermique mais un

mauvais élément magnétique. C’est un matériau de choix car il est léger mais à un gros

défaut, il est cancérigène et donc le manipuler de manière délicate. Les miroirs ne pèsent

guère plus de 20 kg chacun. Pour faire les miroirs en béryllium, il a fallu plus de 14 arrêts à

11 endroits différents. Le béryllium à été miné dans l’Utah. Ils ont bougé dans tout le pays

pour être polis et manufacturés. Les morceaux de béryllium ont été dans huit états différents

et certains plusieurs fois dans le même.

12.1 Le miroir

Le béryllium utilisé à été extrait des mines de béryllium de l’Utah. Ensuite à été purifié dans

l’Ohio par Brush Wellman. Le type de béryllium est le O-30 sous forme d’une poudre fine.

Ça a été pressé dans une forme plane. Lorsqu'ils ont retiré la boîte du dessus, ils ont coupé

le surplus sur le côté. Ils ont fait ce procédé 18 fois. Axsys Technologies a fait une première

inspection à Cullman Alabama. Ils ont fait entre-autre la forme actuelle des miroirs primaires.

Sur le côté arrière il y a des nervures de l’ordre d’un 1 mm d’épaisseur. Le poids de tout ça

c’est 20 kg et si l’on ajoute les actionneurs qui pèse eux aussi 20 kg. Le poids total c’est 40

kg pour un miroir. Le poids total des miroirs c’est 720 kg les 18 miroirs. Le polissage s’est

fait en Californie à Richmond par SSG/Tinsley. Ils les ont polis jusqu’à temps qu’ils sont

quasi parfait et ils les ont tous testés au Centre d’essais spatiaux Marshall de la NASA à

Huntsville en Alabama pour des tests cryogéniques. Lorsque les matériaux sont exposés à

des froids extrêmes, les matériaux ont tendance à se rétracter et peuvent se déformer. Ils

sont testé par le Complexe Marshall de cryogénisation et de rayons X et descendent vers

-400F° ou -240°C pour ainsi le mettre en vide spatial. Pour mesurer les changements de

forme, Ball Aerospace utilise un laser interférométrique. Ils sont retournés chez Tinsley pour

compléter le polisage. Il y a de l’or qui est utilisé en quantité ridicule. Il y a sur un miroir une

épaisseur d’or de 100 nanomètres. Pour les 18 il y a 1,8μm d’or au total. Il y a une couche
de verre qui les recouvre pour protéger la couche d’or qui est malléable. Ils ont mis l’or avec

un système d’aérosol pour l’or. Le dernier miroir à être placé, c'est en février 2016.

12.2 Détecteurs infra-rouges

Les miroirs du James Webb collectent la lumière du ciel et font un tir direct sur les

instruments scientifiques, par exemple le NIRCam et le MIRI. Les instruments filtre la

lumière et chaque instruments ont chacun leur détecteurs. Les détecteurs sont des endroits

où les photons sont transformés en électricité. Les détecteurs doivent être extrêmement

sensibles à la lumière.

12.3 Système de refroidissement cryogénique

La pièce primaire du système de refroidissement cryogénique c’est le CCA (Cryocooler

Compressor Assembly). C'est un échangeur de chaleur très efficace qui fait circuler de

l’hélium refroidi par conduction à des températures extrêmement basses avec le pré

radiateur qui va dans le MIRI. Le pré radiateur est accompagné de deux cylindres opposés à

une pompe et fait refroidir l’hélium sous forme gazeux en utilisant des tubes à battement. Le

CCA est situé dans le cœur du satellite. Le CCA est contrôlé par le CCEA (Cryocooler

Electronics Compressor Assembly). Le CCA est connecté au ISIM (Integrated Science

Instrument Module) par le CTA (Cryocooler Tower Assembly). Il est accompagné de deux

tubes de plaqué or inoxydable de 2mm de diamètre. Le CTA se connecte finalement sur le

CHA (Cryocooler ColdHead Assembly) qui est dans l’ISIM. Dans la plomberie du CHA il y a

deux tubes de plaqué or inoxydable de diamètre de moins de 1 mm d’où passe l’hélium

réfrigéré. Le refroidissement final de l’hélium est de 6K (6K=-267,15°C). L’hélium le plus

froid passe dans de la tuyauterie de 2mm de diamètre. Le MIRI doit être à 6,2K. Aussi, le

CHA contient des valves pour contourner le «JT restriction» quand le MIRI est à bonne

température. Le CCA, le CTA et le CHA ont des raccords 7/16 pouces (1,11125cm).
Les sources:
https://fr.wikipedia.org/wiki/James-Webb_(t%C3%A9lescope_spatial)
https://www.astronomes.com/histoire-astronomie/les-points-de-lagrange/
https://fr.wikipedia.org/wiki/T%C3%A9lescope_Korsch
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bouclier_thermique
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ablation_(astronautique)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Convection
https://fr.wikipedia.org/wiki/Rayonnement
https://fr.wikipedia.org/wiki/Radian
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ergol#Principaux_ergols
https://fr.wikipedia.org/wiki/Gain_d%27antenne
https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/james-webb-space-telescope-5-choses-
savoir-telescope-spatial-webb-95580/
https://fr.wikipedia.org/wiki/Catalogue_Henry_Draper
https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/telescope-spatial-james-webb-telescop
e-spatial-webb-livre-premieres-images-etoile-grande-ourse-96511/
https://blogs.nasa.gov/webb/2022/02/11/photons-received-webb-sees-its-first-star-18-times/
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ascension_droite
https://webb.nasa.gov/content/about/innovations/index.html

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