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Chapitre 1 - L’architecture de l’univers

Les géosciences s’intéressent à la terre, l’océan, l’atmosphère et leur évolution. Deux notions
particulière font apparaitre des changements importants. C’est le temps et l’espace.

Dans la notion de temps, des dates importante : La naissance de l’univers (13,9 Ga), la naissance du
système solaire (4,5 Ga), l’apparition de l’homme (2 Ma), 1 semaine pour l’homme = 1 Ma pour la
terre.

Dans la notion d’espace : L’année lumière (1 al = 9461.109 km = 9500 Gkm), l’unité astronomique
correspondant à la distance terre-soleil (1 ua = 150.106 km = 150 Mkm), le diamètre du soleil (1 400
000km) et de la terre (12 746km).

A savoir : L’eau est la première ressource minérale en France. L’Arctique est l’endroit ou l’on
observe le plus les changements climatiques, car il évolue très vite.

 Partie 1 - La notion de distance

Ce que l’on observe ce sont des points lumineux de différentes tailles et de différentes couleurs et
des intensités lumineuses variables. Entre ces objets lumineux, il y a un vide qui apparait noir, et
des choses un eu plus flous comme des gaz. Nous ne voyons pas les objets qui ne sont pas
lumineux.

Cette lumière qui nous parvient à une certaine vitesse, que l’on appelle la célérité, elle est de
l’ordre de 300 mille km/s. Ce que nous voyons c’est une lumière qui à été produite à un certains
temps qui s’est déplacé et qui nous arrive. Les lumières que nous percevons correspondent à des
lumières émises à un temps antérieur. Nous avons une représentation d’objet artificiels, car ce sont
des objets d’âge différent, certains n’existent plus quand on les voie. Cette notion de vitesse de la
lumière est importante et permet de calculer les déplacements des objets dans l’univers.

L’année lumière est la distance parcourue par la lumière pendant un an. C’est une unité utilisé en
dehors de notre système solaire. L’étoile la plus proche de nous est à 4,22 années lumière.

L’unité astronomique est la distance moyenne terre-soleil.

Le parsec est utilisée pour calculer la distance terre-étoile.


 Partie 2 - Un univers hiérarchisé

Les astronomes ont l’habitude d’observer le ciel, avec ces mouvements spécifiques. Au cours du
temps ils ont proposé une vision avec une certaine organisation des objets que l’on trouve dans
l’univers. Les objets sont hiérarchisés avec des démentions ou caractéristiques particulière.

Les planètes sont en général sphériques, ce sont des objets qui tournent sur eux même (comme
pratiquement tous les corps de l’univers) et surtout elles ont plutôt des corps céleste non lumineux.
Leur surface est plutôt froide, c'est-à-dire que la température à la surface de la planète est en
équilibre avec le rayonnement qu’elle reçoit d’une étoile. Dans notre système solaire Vénus ou
Mercure (proche du soleil) ont une température beaucoup plus élevé que les autres. C’est l’étoile
qui fournit l’énergie qui va donner la chaleur. Les planètes ne sont pas visible dans le ciel car elles
ne sont pas lumineuses, les astronomes ont longtemps considéré ne pas voir de planète.
Aujourd’hui les programmes de la naza lancent des satellites pour découvrir de nouvelle plantes.
Les planètes à l’extérieur du système solaires sont des exoplanètes, en les cherchant on en trouve
tous les jours dans d’autres systèmes. On peut les trouver par leur ombre qui passe devant les
étoile, parce que certain corps ont une constitution particulière et changement les trajectoires. Les
exoplanetes existent dans tous les systèmes. Les planètes décrites dans le système solaire ou
système proches sont en gravitation autour de leur étoile.

Les étoiles, sont des réacteurs nucléaires et produisent à leur surface beaucoup d’énergie sous
forme lumineuse que nous recevons et ce sont elles que l’on voie dans l’espace. Les étoiles sont
très bien connues dans le détail car elles sont bien identifiables par leur luminosité. Les étoiles sont
le cœur du système, c’es la ou la matière est produite. En les observant les astronomes ont vue
qu’elles n’étaient pas seules et qu’elles étaient regroupé ensemble dans les galaxies. C'est-à-dire
que l’univers n’est pas uniforme et la matière se regroupe dans la galaxie.

Ces galaxies elles mêmes ne sont pas répartie de manière aléatoires elles sont regroupé dans les
chambres appelés des amas de galaxie (notre galaxie s’appelle la voie lactée qui est regroupé arec
d’autres galaxies dans l’amas local).

Au-delà de ces amas de galaxie on s’est aperçus que ces amas de galaxie eux-mêmes étaient
organisés en super amas comportant des amas de galaxie et des galaxies (la voie lacté se trouve
dans le super amas de la vierge et depuis 2014 des chercheurs ont montré qu’elle pouvait être pris
dans le super amas Laniakea)
 Partie 3 - Les galaxies

Ces regroupements d’étoiles en galaxie (grec galactos qui veut dire les), les objets lumineux que
nous voyons sont à la fois les étoiles et les galaxies, ce sont les objets visibles.

Ces galaxies ont été observé et organisé et on à définis plusieurs types. Le 1er astronome à faire un
classement organisé est HUBELL. Les galaxies avec une certaines organisation tourbillonnaire son
des galaxies spirales.

Notre voie lactée est une galaxie spirale. Dans les années 1990 à été lancée un satellite avec un
capteur pour observer notre galaxie et il à été observer dans le visible et en proche IR pour avoir la
chaleur. On voie la structure avec une luminosité donnée par les étoiles présente avec au centre un
bulbe très lumineux et une sorte de disque coupé par sa tranche. Nous somme sur le bord de la
galaxie ce qui à permis d’en avoir des images. En diamètre la voie lactée fait environ 100 milles
années lumière avec un bulbe au milieu. Il y à certaines étoiles qui s’éloignent de la galaxie formant
un halo (bord non net) dont l’épaisseur fait environ 5 000 années lumière. Nous somme à 2/3 du
centre, sur la partie latérale de la galaxie.

En observant les différentes étoiles autour de nous on en à déduit une forme vue de dessus, on
voie 4 bras avec des concentrations d’étoile au milieu le bulbe. La galaxie est structurée, cet objet
tourne sur lui-même, il à un axe de rotation verticale qui passe par le bulbe. Cette rotation est très
lente et pour la voie lactée il revient sur lui-même environ en 200 millions d’année, c’est ce qu’on
appelle l’année galactique. Expérimentalement certains mécaniciens ont essayé avec des
équivalences de reproduire ces mouvements de rotation et ont réussit à refaire ces bras. On pense
que ces bras sont liés à la rotation.

Les galaxies spirale ne représentent que 25% des galaxies mais ce sont les plus emblématique,
généralement elles ont un bulbe, c’est un disque avec des bras plus ou moins marqué. Proche de
l’amas local une galaxie est souvent mis en avant c’est l’Andromède, c’est une belle galaxie spirale.
Il n’y à pas que des étoiles, il y à également de la poussière et du gaz qui donne la « vapeur ».

Les galaxies elliptique, représentent 65% des galaxies. C’est une boule lumineuse, il n’y à que des
étoiles et elles sont concentrés, le gaz à disparu transformé en matière. Ce sont les objets très gros
bien lumineux avec la particularité d’émettre des ondes radio (grande longueur d’onde) et qu’on
reçoit et écoute mais ce sont généralement des objets ancien mais très nombreux.

Les galaxies irrégulières, représentent 10% des galaxies, avec beaucoup d’étoile mais surtout du gaz.
 Partie 4 - Autres objets célestes

Les nébuleuses, constituées de gaz interstellaire. Elles sont visibles par différent moyen (optique
visible ou rayon x). On pense qu’elles sont issues de l’explosion d’étoile (explosion à leur stade
terminale). On pense que ces nébuleuses à un moment donné ont redonné des étoiles. Suite à
l’explosion, le gaz ne se disperse pas totalement dans l’univers cela reste un nuage de petites
particules qui s’attire par gravité a température basse, ce qui fait que ces particules de gaz s’attirent
les unes avec les autres sous forme de nuage. Contrairement à ce qu’on pense le gaz reste
concentré. Les images les plus fine sont celle du télescope HUBELL, télescope spatiale en orbite.

Les trous noirs, le problème est qu’il est noir, mais il à la propriété d’être une densité très élevé et
d’attirer la matière et la lumière. C’est par le mouvement autour des trous noir qu’on suppose leur
présence. Il faut imaginer des densité inimaginable. Ce trou noir attire de la matière, de la lumière
et de l’énergie qui y rentre. Depuis quelques années on observe de plus en plus de trou noir, on en
à dans notre galaxie et la communauté scientifique qui y travaille à plusieurs hypothèse. On sait
qu’ils doivent jouer un rôle très important compte tenue de leur densité, un rôle dans la formation
de l’univers et des rôles dans le futur. Mais un débat existe dans la signification et le rôle possible et
réel de ces trous noirs.

Les quasars sont des objets très gros, très énergique avec des rayonnements très fort et que l’on
trouve plutôt au confins de l’univers. Ce sont des radio-galaxies qui émettent des ondes radio très
importantes mais qui se trouvent très loin dans l’univers. Caractérisé par des énergies très fortes.
L’intérêt est leur énergie, leur puissance nettement supérieur aux autres, mais des objets ancien,
plutôt invisible à l’œil nu, il faut d’autre des autres longueurs d’onde pour les détecter.
 Partie 5 - L’observation

Comment observer tous cet objet et déterminer leur qualité/formation. Tout ce que l’on observe
est lié à la lumière que nous recevons, c’est donc une observation indirecte. Il va falloir travailler de
manière indirecte par rapport aux trajectoires et mouvements.

Parmi les rayonnements que nous recevons, il y à les rayonnements corpusculaires contenant deux
type de rayonnements :
- Le vent solaire, par son activité il émet un certain nombre d’élément, des électrons, des
photos, des ions, c’est-à-dire un gaz chaud ionisé qui va quitter le soleil et que la terre
reçois. Ce vent solaire composé de ces éléments ionisé à un ordre de 400 km/s, ce vent
tombe sur la terre (come une pluie) et est perturbateur des ondes électromagnétique, il est
la source des ororboréales.
- Le rayonnement cosmique (arrive de plus loin), ce sont des particules de plus grande énergie
qui se déplacent à la vitesse de la lumière, qui sont des noyaux d’atome issu de l’explosion
d’étoile, des éléments vont partir dans l’espace et nous en recevons certains. Ce
rayonnement cosmique est un rayonnement très énergétique qui à la propriété de casser
les molécules. Ce bombardement est dur et problématique dont on doit se protéger.

Ce rayonnement nous arrive aussi sous forme d’onde, c’est le rayonnement électromagnétique.
C'est-à-dire, un rayonnement qui va avoir une certaine longue d’onde, une certaine énergie
fonction de la fréquence. Ils se déplacent à la vitesse de la lumière (fréquence inversement
proportionnelle à la longueur d’onde). Ces ondes arrivant de l’univers entier vont des ondes radios
(km – m), micro-onde, IR (nm), visible (400-700 nm), UV, rayons X jusqu’au rayonnement gamma.
Sur terre on reçoit ces rayonnements caractérisé par ces différentes longueurs d’onde. Nous
voyons que le visible, pour le reste on s’adapte (pas d’appareille universel).

Différents outils utilisé : Les lunettes astronomiques, les télescopes terrestres ou spatiaux.

Certaines missions, dont l’objectif est d’observer, on émet des hypothèses sur la composition, la
structure, mais on veux vérifier on envoie donc des missions pour vérifier certain point.
- En 1957, le 1er satellite artificielle et explosion d’envoie de satellite pour la communication
- Photographie de la face caché de la lune en 1960
- Les missions Apollo, 1ère fois qu’on va chercher des échantillons sur les objets céleste pour
les observer, elles sont importantes car elles permettent d’avancer
- On est allé voir des planètes mars (proche terre) ou venus en 1970 et 1980
- Mission importante voyageur, l’objectif est de connaitre ce qui se passe à la limite de notre
système solaire, en 1977 avec un message graphique si les extraterrestres
- Galliléo sur jupiter, cassini sur saturne, new horizons sur pluton, corot sur les exoplanetes
- Un 3ème types de mission à la suite d’Apollo, pour avoir des échantillons, on envoie plus les
hommes car trop risqué, on envoie des robot sur mars

Ces explorations spatiale ont au niveau de la science fait avancé la technologie, car on doit mette
en place des appareils, des capteurs spéciaux, plutôt compact et pas lourd.
Parmi ces observation, la caméra hyperspectrale, camera qui permet de décrire sur tout le spectre
du visible et au delà de défaire la lumière qui nous arrive. A certaine longueur d’onde on à une
absorption car absorbé par l’élément chimique observé.

On dvp des méthodologie complexe pour comprendre la structure des planètes.

La 1ère zone observée est le visible. Dans cette bande on à seulement une petite information. Mais
cela permet de construire des télescopes qui rendent compte de la présence d’objet dans l’univers.
Observatoire à Hawaï car pour observer le ciel il faut et loin des sources lumineuse, loin de ville et
de pollution atmosphérique sinon perturbation dans l’atmosphère. On construit un réseau de
télescope avec une reconstitution d’image avec une plus grande qualité et précision et un champ
plus important. Si on observe mars on à une résolution de 20km, pour saturne 40km.

Le visible peut être combiné avec le proche IR, notamment pour avoir des aspects thermiques mais
aussi avec des rayons X (nébuleuses). On le retrouve sur le télescope HUBBLE, avec plusieurs
capteur, qui tourne autour de la terre, c’est un télescope international (seul) qui à produit des
images pas toutes étudié. Il voit partie de l’univers et fait des clichés, il va s’arrêter. On à trouver de
nouvelle chose grâce à lui, avec une grande précision, on à donc de meilleur cliché en dehors de
l’atmosphère.

Enfin (radiogalaxie), certain corps émettent des ondes particulières et donc on à construit des radio
télescope. Il en existe beaucoup, le plus gros est celui de Porto Rico, plus récemment le radio
télescope d’Atacama au chili, c’est un télescope a plusieurs antenne et on reconstitue l’image, il
faut le mette dans un milieu plutôt sec.
Chapitre 2 - L’histoire de l’univers

 Partie 1 - Des constats

Vue selon la théorie du big-bang qui s’appuie essentiellement sur la théorie de la gravitation et de
la relativité d’Einstein. Cette théorie essaie d’expliquer des phénomènes et de comprendre la
dynamique de formation de l’univers.

Nous avons un univers avec un point d’origine (le big-bang) et en extension, avec un étirement non
continue.

Aujourd’hui en physique nous identifiions des forces qui régissent de l’organisation de la matière, il
y en à 4 :
- La force électromagnétique, qui permet d’associer les électrons avec les protons. C’est
l’interaction des particules chargés.
- La force gravitationnelle, elle représente l’attraction des corps entre eux en fonction de leur
masse.
- La force nucléaire forte, associe les noyaux.
- La force nucléaire faible, c’est la radioactivité de type  qui transformer les protons en
neutrons, c’est la fusion nucléaire, celle que l’on retrouve au cœur des étoiles.

Ce sont des force reconnue et distinctes les unes des autres, mais on pense qu’à l’origine elle ne
s’exprimait pas. Cette expression est apparue au cours du temps avec les variations de
température. Dans la théorie de l’expansion on essaye de comprendre quelles forces apparaissent
les unes après les autres et pourquoi.

Pour observer les objets qui nous envoient de la lumière, on décompose la lumière pour obtenir un
spectre du visible. Mais si entre la lumière blanche et notre observation on met un gaz avec une
propriété particulière, dans le spectre on obtient des bandes d’absorption correspondant aux
éléments chimiques présent dans le gaz. Si l’on à un gaz chaud on aura plutôt des bandes
d’émission. Chaque émission ou absorption ont des raie particulière, leur largeur témoignent de
leur intensité. En faisant cette même expérience avec les étoiles on obtient donc des informations
sur les gaz que l’on trouve autour d’elle.

Dans ce spectre observé on à une valeur maximale d’intensité, cette valeur peut varier selon
l’élément observer. Selon cette longueur d’onde la loi de Wien permet de calculer la température
de l’objet que l’on observe.
- On utilise la relation T = 2,89 x 10-3 / Lmax (en m.K) avec :
 Lmax la longueur d’onde ou intensité lumineuse la plus forte (en m)
 T la température (en K)
- A savoir T (K) = T (C) + 273,15
 La récession des galaxies

Le 1er constat est la récession des galaxies, c'est-à-dire que les galaxies s’éloignent les unes des
autres (théorie d’expansion). En 1929, Hubble à découvert et à prouver que les galaxies
s’éloignaient les une des autres. On utilise les spectres et les rais d’absorption, si l’on observe un
objet lumineux qui ne bouge pas par rapport à nous on à un élément caractéristique qui ressort
sous forme de raie d’absorption, quand l’objet se déplace par rapport à nous, la fréquence de
réception sera différence de la fréquence d’émission. C’est l’effet doppler. Quand l’objet se
rapproche de nous, la longueur d’onde et de sa fréquence diminue, donc la raie d’absorption se
déplace vers le bleu, à l’inverse si l’objet d’éloigne nous avons une augmentation de la longueur
d’onde et de sa fréquence et la raie d’absorption de déplace vers le rouge. Plus les galaxies sont
éloigné de nous plus la vitesse de fuite est importante. La relation d’Hubble : v = cte x distance (en
année lumière), la représentation est log/log.

 Le rayonnement fossile

Le 2ème constat est le rayonnement fossile, dans le phénomène de dilatation on part d’un point
chaud, la théorie dit que le milieu refroidis en fonction de cette dilatation, et doit être est
homogène. On doit être capable sur terre de recevoir l’information, c’est une onde qui à la
particularité d’être la même dans tout les espaces.

L’antenne de Holmdel (corne), a sa création, les ingénieurs se concentraient sur l’étude des bruits.
Ils entendaient un bruit systématique, quelque soit les directions dans laquelle ils étaient. Cette
onde centimétrique était le bruit résiduel de l’espace et correspondant à un bruit de corps froid, ce
rayonnement correspond en fait à une température de 2,7°K qui est une température froide.

Vers 1990, on lance un satellite dont l’objectif est de cartographier l’espace pour savoir s’il y a des
différence de température, grâce à un spectromètre, on à pu observer l’ensemble de l’espace avec
une image qui représente le rayonnement fossile, plus c’est rouge plus la température est chaude.
On observa lors des micro-variations, et on remarque que la température est quasiment constante.

Aujourd’hui on lance des appareils beaucoup plus précis comme le satellite Planck qui à pour
objectif est d’avoir une cartographie plus précise pour observer l’homogénéité de la température.
On sait désormais que dans les lieux et les températures les plus éloignées on à un âge de 370 000
ans pour un objectif de 400 000 ans. Au-delà on ne voit plus, dans cette représentation il y à une
barre blanche au milieu, c’est notre galaxie qui nous gène.
 L’âge de l’univers

Le 3ème constant est l’âge de l’univers, il y à différents moyen de le calculer :


- A partir de la vitesse d’éloignement des galaxies (Hubble) on arrive à un âge de l’odre de
13,8 Ga (milliard d’années).
- Les physiciens qui s’intéressent à l’énergie et la consommation d’énergie des plus vielle
étoilent arrive à une estimation de 11 à 13 Ga.
- Ceux qui s’intéressent aux plus vieux atomes (loi de décomposition radioactive) arrivent à 12
à 16 Ga.

 L’abondance des éléments

En représentation semi logarithmique. Plus le numéro atomique est élevé plus l’élément est lourd
et moins il est abondant. Les deux éléments les plus abondant sont l’hydrogène (92%) et l’hélium
(7%). Il existe une anomalie sur 3 éléments légers (lithium, bore et hélium) qui devraient avoir une
plus grande abondance.
 Partie 2 - La période inflationniste et nucléosynthèse primordiale (formation 1er noyaux)

La phase cosmique, le temps 0 est très mal représenté :

- A 10-43s dans un espace très chaud, très réduit, les éléments sont très agités par la chaleur,
parmi elles des particules élémentaires tels que les quarks (donnerons les noyaux), des
électrons (donnerons les atomes), cela formera donc la matière, il y à également des
photons associé à des rayonnements lumineux et des nutrinots (émis par la radioactivité ),
qui apporterons de l’énergie. Avec ces éléments la dilatation de l’univers commence
entrainant un refroidissement.
- A 10-7 et 10-5 s, on à une inflation rapide, un refroidissement (1012°C), à ces températures les
quarks aidés par les gluons s’associent 3 par 3 et forment les protons et neutrons qui seront
à la base du noyau.
- A 102s, la température continue à diminuer, on passe à 109°C, l’agitation diminue, protons
et neutrons peuvent s’associer et former les 1ers noyaux, c’est la nucléosynthèse
primordiale. L’hydrogène sera dominant, présent à 90%. A ce stade il y aura saturation, la
formation de noyau va se stopper.

 Partie 3 - La période de recombinaison

En 180 000 ans après le big-bang les températures ont chuté, on est à 3 000°K, l’électromagnétisme
entre en jeux. Dans l’univers des noyaux qui se sont formé, c’est à ce moment que les électrons
vont être massivement capturés par les protons pour former les 1ers atomes, ce sont des molécules
d’hydrogène et l’hélium. Ce phénomène rend l’univers transparent en permettant aux photons
présent de pouvoir s’exprimer. Avec la formation de ces 1ers atomes et des molécules d’hydrogène
on arrive à une 2ème phase de blocage ou une autre force rentre en jeux.

La force suivante sera la gravitation, elle apparait avec la masse des atomes qui sont créés, ils vont
avoir la faculté par leur masse de s’attirer les uns vers les autres et constituer des nuages, des gaz à
partir d’hydrogène et d’hélium.
 Partie 4 - La phase stellaire

Ces 1ers atomes qui se réunissent en gaz s’attirent et vont concentrer cette masse de plus ne plus
forte (force gravitationnelle) et la matière va se concentrer et on aura un effet inverse c'est-à-dire
que la température au sein de ces nuages de gaz elle va augmenter au sein du système qui continue
à se dilater. La température augmenté de nouveau, elle va suffisamment augmenter pour
déclencher à nouveau des réactions nucléaires, on distingue 2 types d’évolution en fonction de la
masse des nuages
- Soit les nuages sont petits = petites étoile = 1 à 5 fois la taille du soleil.
- Soit les nuages sont gros = grosses étoiles = 25 fois le soleil.

Une concentration d’hydrogène et d’hélium vont être à l’origine de la formation des étoiles. La
masse se concentre, la température augmente et à un moment la température au cœur de ce
nuage on à des maximum à 15 Million de °C, l’hydrogène dominant va se transforme en hélium qui
lui-même va se transformer en carbone et dans les stades terminaux on voie apparaitre l’oxygène.
La fusion nucléaire se passe aux centre, les nouveaux éléments chimique y sont fabriqué, les
anciesn élémetns sont aux périphéries.

On à un phénomène de dilatation de l’objet quand la température augmente. Le soleil avec


l’augmentation de température aboutis à une géante solaire qui va s’éteindre par la suite, les
réactions nucléaires vont s’arrêter, la chaleur sera diffusé et on à la transformation en nébuleuse
planétaire.

Pour la grosse étoile, même système, on à concentration de la matière, avec une augmentation de
la température à l’intérieur du nuage. Puis arrivé au stade ou l’on était dans une petite étoile, on
aura assez de matière pour avoir la contraction qui continue, l’augmentation de la température
également on contracte du silicium, calcium, fer et par augmentation progressive de température
on forme tous les éléments chimiques que nous connaissons. Les éléments les plus lourds sont
fabriquées en derniers donc ce sont les moins abondant. Pour arriver à un max de 10 Milliard de °C
au cœur du système, la grosse étoile devenue géante rouge va éclater, ce sont des supernova
(explosion d’une grosse étoile qui atteint une température instable de 10 milliard de °C), la
température chute d’un coup, dans l’univers on retrouve les atomes fabriqués.

Dans les deux cas on à des éléments formés à l’intérieur qui se retrouvent dans l’espace dans un
nuage interstellaire, et le cycle recommence.

Lithium, du bore et du baryum n’apparaissent pas car ils sont instables.


 Partie 5 - La formation de molécules complexes

Les molécules complexes se forment à partir des atomes abondant c'est-à-dire hydrogène, carbone
azote (éléments léger) et se forment dans les milieux interstellaires. C’est un milieu froid, dans
lequel les réactions sont faibles. Les éléments sont éloignés, mais le nuage permet la probabilité de
rencontre plus forte car les éléments y sont plus grana. Les éléments sont dans ces nuages. Parmi
les rayonnements cosmiques issu des activités des étoiles, ils ont la faculté de casser les
molécules/éléments qui sont en train de se former, dans ce milieu froid/nuage interstellaire, les
éléments primaire vont pouvoir s’associer (H20, CH4) et former des molécules complexe mais a
cause de l’instabilité elles sont formé puis cassé.

Dans ces nuages on trouve des molécules notamment des acides cyanhydriques, différents types de
macro molécules et de molécules à base de C, N et H qui se forme et se déforment. Se forme du
lithium, du bore et du baryum, mais ce sont des processus très lents.

Le dernier milieu est le milieu planétaire, c’est un milieu froid, qui concentre la matière et qui peut
concentrer des macromolécules, c’est un milieu dense ou il peut y avoir évolutions de molécules et
qui peut être considéré comme protégé des bombardements cosmiques.
Chapitre 3 - Le système solaire

Observer depuis toujours, on connaît assez bien le système solaire. Mais jusqu’à récemment la
connaissance spécifique n’est pas totale. C’est une communauté ordonnée composé d’un élément
majeur qui est l’étoile du soleil en son centre, et il à la particularité de rassembler plus de 99% de la
masse de tous les objets présent dans ce système. Cette étoile nous fournis de l’énergie. Autour
d’elle gravite 8 planètes du système solaire parmi lesquelles des planètes naines, des satellites et
d’autres éléments appelé planétésimaux (élément divers parmi les astéroïdes, les comètes) et enfin
le milieu interplanétaire.

 Partie 1 - Le soleil

Le soleil est à 150 millions de km de la terre (1 année lumière) et le système solaire se situe sur un
bras de la galaxie. Le soleil est une étoile modeste en taille, le rayon est de 695 milles km. Lorsqu’on
l’observe il présente une surface très active avec des taches solaires (anomalies magnétiques) et
des jets de plasmas/protubérance présentes et de taille très importante (10 à 15 fois la taille de la
terre).

Le soleil à comme tous les objets céleste, il à un axe de rotation et tourne sur lui-même en 26,9
jours. Comme il à une masse importante il est sphérique. On lui définit un équateur (donc il à une
orientation par rapport à sa rotation).

C’est une étoile (petite) qui est à la moitié de sa vie, en son cœur l’hélium est fabriquée et
consommé. La température atteint environ 1 millions de °C sur la partie externe et en son cœurs
entre 10 à 15 millions de °C. On estime que sa composition est à 73% d’hydrogène, 25% d’hélium et
12% d’autres éléments. La densité (rapport de la masse volumique de l’objet sur la masse
volumique de l’eau) moyenne du soleil est de 1,41, (2,65 = quartz), elle à donc une densité faible
(éléments légers) mais elle n’est pas homogène, au cœur du système on trouve des densités
beaucoup plus forte car effondrement de ma quantité de matière (densité très forte au cœur du
système).

Au cœur du système on à un noyau (réaction thermonucléaire) la matière y est fabriqué et la


densité très forte, ces réactions fournissent la projection d’énergie (phonon, électromagnétisme et
neutrino) qui fournissent un vent solaire. L’atmosphère solaire (couches externes), contient une 1ère
enveloppe qui est la photosphère (caractérisé par des filtres et activité différente) c’est la partie la
plus froide de l’atmosphère solaire avec des températures de 4500 à 8000°C. Ensuite il y à la
chromosphère, complexe avec des couches fines successives, elle à une température supérieur
jusqu’à 1 million de °C. Enfin la couronne solaire peut monter jusqu’à 3 millions de °C dans les
protubérances. On retrouve les taches solaires (électromagnétisme) et les protubérances
(projection de gaz à haute température)

Les anomalies de surface sont observées lors des différentes observations, et elles sont importantes
car elles visualisent l’activité du soleil. Tous les 11 ans le soleil à un cycle ou il y à un maximum
d’activité qui se traduit pour nous à un vent solaire plus actif. Les protubérances sont observées
notamment pendant les éclipses.
 Partie 2 - La structure du système solaire

Le soleil à 5 milliard d’année et il lui en reste autant à vivre. Il va dans son cœur se fabriqué à un
moment donnée le carbone (quand hélium et hydrogène consommé) on aura à ce moment une
géante rouge, et la température et la taille augmentant, la terre sera pulvérisé par la chaleur qui se
dégagera à ce stade.

On à 8 planètes qui gravitent autour du soleil, selon une orbite elliptique et à partir du soleil on à :
Mercure, Venus, Terre, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune. On les connaît relativement
bien, on connaît leur mouvements tandis que les caractéristiques physiques sont en cours de
caractérisation. Pour la densité (soleil 1,41), pour les quatre 1ère planètes (Mercure à Mars) sont
entre 4 et 5 (densité importantes) elles sont dites planètes telluriques c'est-à-dire planète
rocheuses. Pour les quatre autres (Jupiter à Neptune) la densité est tout juste au dessus de 1, ce
sont des planètes gazeuses. Pour leur taille la terre est la plus grosse, de Jupiter à Neptune ce sont
des planètes géantes. Les planètes telluriques sont le système solaire interne et les planètes
gazeuses sont le système solaire externe.

Leur orbite est elliptique presque circulaire. Quand on regarde les traces des orbites, on observe un
paquet dans le même plan (externe) et d’autre très différente du plan. Ce plant est le plan de
l’écliptique, c’est le plan de révolution de la terre (qui est la référence). Ce plan de révolution est
presque perpendiculaire à l’axe de rotation du soleil.

Les planètes sur leur orbite tournent toutes dans le même sens, ce sont de révolution est le même
que le sens de rotation du soleil. Quand on s’approche du soleil par gravitation l’effet et la vitesse
de révolution augmente.

Les planètes sont en rotation sur elles-mêmes selon des axes de rotations, ils sont pour la plupart à
peut près perpendiculaire au plan de l’écliptique, mais pour quelques planète ce n’est pas le cas.
Leurs axe de rotation est identique à celui du soleil sauf pour Vénus et Uranus qui tournent dans le
sens inverse.

Pour les caractéristique de la rotation, pour la terre on à une rotation d’1jour mais les vitesses de
rotation ne sont pas identique, Vénus à une rotation de 248 jours, elle tourne donc très lentement
sur elle-même. En terme de révolution, la terre tourne autour du soleil en 365 jours, Mercure (la
plus prose) en 88 jours et pour Neptune la plus éloigné elle le fait en 247,7 jours.

Pluton est classé dans les planètes naines, c'est-à-dire qu’elle n’absorbe pas tous les corps qu’il y à
autour d’elle. (Une planète = masse suffisante pour devenir sphérique et absorbe tous les objets
autour et élimine les corps susceptibles d’être agrégé)

La distance au soleil, si l’on prend la distance en unité astronomique des planètes la Terre est à 1
unité astronomique et que l’écart est régulier, quand on passe d’une planète à l’autre on multiplie à
2 la distance à la planète suivante. Donc il y à une loi d’éloignement qu’on observe des différentes
planètes par rapport au soleil, c’est la loi de Bode. Et il existe un trou entre Mars et Jupiter, c’est la
ceinture d’astéroïde (objets présents qui ne se sont pas agrégé pour donner une planète mais qui
gravitent autour du soleil).
On à programmé des missions voyageur dont un des objectif était de connaitre mieux les planètes
externes. Ils sont passés proche des planètes externes, quand le satellite s’approche des planètes il
est accéléré ce qui permet de finir la course. On à eu connaissance en 1970 avec de nouveaux
satellites nouveaux (66). On trouve également que les planètes externes possèdent des anneaux
qu’on ne voie pas de la terre. Ce sont des fragments de poussières avec de la glace, des milliards
d’objets rassemblé sur 1km d’épaisseur, ils sont de concentration variable et en rotation autour de
la planète qui les portes.

Concernant les astéroïdes, ce sont des objets rocheux avec de la glace, ils sont plusieurs millions, de
taille et de forme très différentes. Ils sont en rotation sur eux-mêmes mais comme ils ne sont pas
sphériques elle est bizarre. Elle contient une planète naine, Cérès qui fait 950 km de diamètre, elle
est sphérique et s’est construite en recevant d’autres astéroïdes. Les astéroïdes ont des trajectoires
particulières et certains se heurtent et s’éclatent, dans ce cas ils peuvent rester dans la ceinture ou
être éjecté tout autour et nous en recevons des fragments (nous recevons aussi quelques
fragments de comètes). Les astéroïdes sont l’avant planète, on envoie en 2005 une sonde pour
connaitre la surface, les gaz, les molécules de ces astéroïdes. Ces fragments, nous les connaissons
sur terre arrivé sous forme de météorites, permettant l’accrétion de la terre. Aujourd’hui la terre
reçoit encore 100 mille à 200 milles tonne d’astéroïde par an, de petite taille. Les météorites sont
majoritairement sous forme de poussière et brûlé dans l’atmosphère et correspondent à des
évènements antérieurs. Elles étaient historiquement plus grosse, la terre en à reçus autant que la
lune, mais ces traces ont disparu au cours du temps car la surface de la terre est très dynamique
(tectonique des plaques, subduction et disparition) et avec la présence de l’eau (érosion). Il reste
quelques traces de cratères recouvert par la végétation, sédimentation. Il y à 7 chances sur 10
qu’un météorite tombe dans l’océan si elle doit arrivée sur la Terre. On à une estimation et une
reconstitution des impactes des météorites car on connaît bien leur composition chimique, il va y
avoir un dégazage qui donne de la vapeur d’eau (60 à 80%) et de CO2 (20 à 40%) et d’autres gaz
(eau et CO2 = volcanisme).

Les comètes sont des objets qui nous viennent du confins du système solaire. Pour ceux qui gravite
autour du soleil se sont des objets rocheux, couvert de glace et quand elles s’approchent du soleil
pour faire leur rotation il y à dégazage qui donnent des queues de comètes. Ils viennent d’au-delà
de Pluton tourner autour du soleil, peuvent passer prêt de la terre et ce sont des objets par leur
effet de dégazage qui ont été bien observé et bien remarqué. La comète de Halley est passé en
1066 et brodé, elles sont connu historiquement et on connaît son temps de retour, elle revient tous
les 76 ans. Elles tournent autour du soleil et repartent. Les comètes ont leur propre trajectoire
indépendante les unes des autres. Elles traversent tout le système solaire, elles sont donc une
source d’information. La comète Chury’ est créer pour se poser sur la comète, en 2004 il arrive sur
la comète en 2014 sur une comète de 5km de diamètre non sphérique. Une surface que l’on ne
connaissait pas, on obtient des images, et des informations sur la surface de l’objet.

On pense qu’au-delà de Pluton (47 à 50 ua) il existe une réserve d’objet divers et petits (météorite),
c’est la ceinture de Kuiper est dans le plan écliptique à 100 ua. Elles peuvent sortir de la ceinture et
aller vers le centre. Au-delà de cette réserve on à le nuage d’Oort à 40 000 à 150 000 unité
astronomique, c’est une réserve de météorite (pas d’accrétion pour former une planète).
 Partie 3 - La formation du système solaire

La genèse du système solaire doit reprendre les mouvements et faire référence à la composition
chimique d’un certain nombre d’objet solaire. Dans les objets décrit les plus important sont ceux
que l’on reçoit sur terre (météorites) car viennent du fon du système solaire qui nourrissent la terre
pour qu’elles grossissent et ce sont des objets que l’on à dans les mains, on ne fait pas d’analyse à
distance mais directement.

Ces objets sont comparé, elles sont constitué d’un minéral appelé une chondrite (roche), 85% de
ces météorites sont du type gris/rouge/blanc, point (minéraux) collés les uns aux autres et
mélangés, ces minéraux sont de deux types, les minéraux silicatés (contiennent du silicium,
oxygène) parmi eux les olivines et les pyroxènes que l’on trouve dans les minéraux commun de la
terre (olivines + pyroxène = basalte), ce sont des minéraux qui cristallise à haute température. On
trouve également des éléments métalliques, le fer et le nickel, la différence entre eux est la
densité/masse volumique, pour les silicates = 3g/cm3 pour les métaux = 8g/cm3. C’est un mélange
de minéraux silicaté et de métaux qui sont mélangé dans cette roche.

On pense que les météorites indifférenciés sont l’origine avec des minéraux de petite taille. Pour
avoir des minéraux de grande taille il faut une fusion qui puisse faire concentrer les éléments
chimiques pour obtenir les minéraux pure. En se heurtant par accrétion on forme un gros astéroïde
et à partir d’une certaine taille l’objet est en rotation et la gravitation fait que la température au
centre de cet objet qui doit avoir une certaine taille on à fusion de la partie interne (des minéraux)
et du dégazage. A ce moment in à une concentration au cœur des éléments les plus denses et à
l’extérieur des éléments les moins denses. On voie apparaitre un cœur constitué de fer et autour
des silicates qui cristallise. Pour arriver aux météorites que l’on à un autre astéroïde arrive, tout ce
qui avait été construit est cassé et tous les éléments sont dispersés pouvant arriver sur terre. Pour
passer de l’indifférencier au différencier on à donc une différenciation.

On fait une moyenne de la concentration des éléments des chondrites, l’oxygène est dominante
(car silicate), du fer et du silicium puis des éléments annexes présent dans les éléments (mg, ca, al,
na, k). La chimie moyenne de la terre on trouve majoritairement de l’oxygène, du fer et du silicium
puis des éléments annexes (mg, ca, al, na, k). C’est-à-dire que les astéroïdes qui nous arrivent sont
des éléments qui ont la même composition chimique de la terre. La matière principale est le soleil,
sa composition est majoritairement d’hydrogène et l’hélium puis des éléments hérité d’explosion
antérieur dans la partie externe, on observe que les éléments chimique sont quasiment identique
dans les chondrites (météorites) que dans le soleil, c'est-à-dire que les particules contenue par ces
planètes sont identiques. Donc l’origine de la matière pour ces éléments sont les mêmes.

L’âge estimé de l’univers, si on considère que les fragments de météorites sont les objets primitifs,
on mesure leur âge par radio-chronologie. L’âge maximum est de 4,56 milliard d’années. Nous
pensons que cela correspond également à l’âge du système solaire. C’est une mesure directe sur les
météorites.
Le scénario de la formation et la mise en place. A l’origine un nuage de nébuleuse (primitif)
constitué de supernova qui à explosé donc des atomes, des éléments chimique tous présent. Nous
avons donc une masse qui va petit à petit se concentrer par gravité, à ce stade le nuage entre en
rotation qui s’aplatit le nuage et constitue le plan de l’écliptique. La concentration au centre forme
notre étoile par gravitation, on à alors le démarrage de l’activité de fusion de l’étoile qui se fera en
10 million d’année. Une fois le soleil formé, et entré en activité, autour de lui par réaction iso-
thermique on à une augmentation de température et autour de lui les particules présentent vont
être gazéifié et quelques unes plus loin vont rester intactes. Autour du soleil cristallisent les
silicates, le fer (forte densité) tendis que l’hydrogène reste sous forme de gaz. Le soleil se met en
activité et le vent solaire s’élève. L’hydrogène est alors renvoyé très loin du soleil par ces vents
solaires. On pense que la solidification de l’eau sous forme de glace intervient à une distance de
750 millions de km du soleil, c’est la limite entre le système solaire interne et le système solaire
externe. On à dans ce système une partie interne et une partie externe, donc des objets qui par
accrétion dominantes se forme par agglomération des fragments. Cette formation de planète à
certainement été rapide et se fait en 100 millions d’années (fin d’agglomération de la matière). La
mise en route du soleil et accrétion des planètes sont très rapides.

La 1ère planète du système externe est Jupiter, c’est également la plus grosse planète. On pense
alors que c’est la 1ère à recevoir les gaz, elle en aurait donc capturé plus que les autres.

Cette accrétion s’arrête, mais la lune (notre satellite) à garde la trace de tous les bombardements
depuis l’origine, les missions Apollo ont apporté des informations importantes. Avec les analyses
effectués, on date des roches et on compte le nombre de cratère par unité de surface (densité),
plus la roche est ancienne plus le nombre de cratère est important. A partir de 3,8 Ga se situe
l’arrêt des bombardements. On considère les mêmes bombardements pour la terre et les autres
planètes qui se sont formé dans le même mouvement.
Différents types d’accrétion, soit hétérogène (d’abord des éléments les plus lourd puis plus légères
donnant un objet avec au cœur des éléments dense puis des éléments moins dense) ou homogène
(quelque soit la densité des objets et à une certaine taille la fusion qui entre en jeux puis
différenciation qui met au centre des éléments dense et les moins dense à l’extérieur)

Aujourd’hui on penche pour la 2ème solution (accrétion homogène avec différenciation dans un 2nd
temps) mais cela n’empêche pas que dans certains cas on trouve des accrétions hétérogènes.
Chapitre 4 - Les premiers temps de la Terre

 Partie 1 - La formation de la croute terrestre

Rappel : Age de La Terre = 4,56 milliards d’années

En 100 millions d’années, la Terre a pu atteindre sa taille actuelle a peu près 6 371 km. La surface
de la terre est chaude et visqueuse lié aux bombardements. Les corps les plus dense vont se
concentrés a l’intérieur de la terre (fer, nickel), la terre n’est pas encore crée mais elle devient de
plus en plus sphérique.

En 10 millions d’années on commence à voie apparaitre les couches internes. Les migrations de fer
et le nickel se fond lentement ainsi que le déplacement à l’intérieur des silicates.

Sur la lune, plus le basalte est ancien plus le cratère est important. Le bombardement sur la lune
s’est arrêté à 3,8 milliards d’années.

Si le bombardement s’arrête, la surface va se refroidir, une croûte va apparaître et va s’épaissir au


fur et à mesure. C’est cette croûte primaire qui va se différencier en croûte océanique et
continentale. En Australie on peut encore retrouver des résidus de cette croute primaire, par la
présence de fragment de Zircon âgé de 4,1 à 4,2 Ga.

 Partie 2 - La formation de l’atmosphère

Pendant le bombardement, à la surface il y à du magma qui est en mouvement et donc des


éruptions volcaniques de plus en plus quand la croute se durcit, ce qui entraine une émission de gaz
comme le dioxyde de carbone, azote, vapeur d’eau, et autres gaz et/ou de composés, riche en
souffre et chlore. Les gaz s’échappent dans l’espace mais sont retenu par la gravitation de la terre.
On imagine que la gravitation est supérieure à l’effet du vent solaire.

A 4,4 milliards d’années l’atmosphère est présente et dense, elle est de 1 bar actuellement. Elle est
comme collée à la terre par gravitation. L’atmosphère de Vénus est très dense de 95 bars (100 fois
supérieur) à celle de la Terre, constitué de CO2 à 95%, d’azote à 4%, de l’acide sulfurique et
chloridrique ainsi que de la vapeur d’eau, enfin sa température au sol est de 460°C. C’est comme
cela qu’on imagine la terre à 4,4 milliards d’années. Cependant Venus est plus proche du soleil que
la terre.

Comparaison de l’atmosphère entre Vénus et la Terre : La Terre est plus éloignées de la Terre pour
refroidir, et l’effet de serre est moins forte donc ces gouttelettes (formant les nuages) tombent sur
le sol et forment des flaques d’acides. Sur Venus la concentration d’acide ne tombe jamais sur la
surface donc les gouttelettes ne tombent jamais.
 Partie 3 - La formation des océans et le début de l’érosion

Vers 4 milliards d’années, à la surface de la Terre on à des températures inférieures a celle


présentes sur vénus, et les gouttelettes en altitudes vont commencer à tomber et la croute va se
solidifier.

Il y à une pluie acide qui arrive sur la croute t elle va attaquer les minéraux des roches, les dissoudre
et compléter les ions qui sont dans les flaques comme le calcium (Ca++) qui à la propriété en
s’associant avec le CO2 de former du CaCO3 (calcite) qui sont les minéraux des roches calcaires.
C’est la première pompe à CO2. Ce qui permet de diminuer l’effet de serre car on piège le CO2 donc
la température diminue et il pleut des gouttelettes d’eau ce qui va former des océans. Cependant le
CO2 est quand même présent car l’effet de serre est nécessaire à maintenir le liquide.

 Partie 4 - Zone d’habitabilité

Rappel : Distance Terre-Soleil = 1 ua.

On estime qu’il faut être à 0,95 ua pour que l’on puisse voie une condensation forte des
gouttelettes dans l’atmosphère. En effet Vénus se trouve à 0,7 ua et ces gouttelettes ne tombent
pas sur le sol.

Au-delà de 1,5 ua, l’effet de serre disparait donc il n’y à plus d’eau liquide en surface. Mars se situe
à 1,4 ua. De 0,95 à 1,5 ua on se trouve dans la zone dhabilité.

Sur Mars, on à l’impression de retrouver des réseaux de fleuves. Et on pense que cette eau liquide à
existé pendant 1 milliard d’années. La pression atmosphérique est de 6 millibars (mars à perdu son
atmosphère) donc il y à une atmosphère qui est composé de 80% de CO2 et 20% d’azote (même
élément que sur Vénus). On pense que l’atmosphère n’est pas restée car la masse de mars est le
dixième de celui de la terre. La gravitation n’est pas suffisante pour garder les éléments. De plus, les
activités volcaniques se sont arrêtés, il n’y à donc plus de production de CO2. La température sur
mars varie de 0 à -50°C. L’absence d’atmosphère fait que les bombardements cosmiques sont
présents.

Mercure représente 5% de la masse terrestre, proche du soleil donc il n’a pas pu avoir
d’atmosphère.

La lune à une composition équivalente à la Terre. Dans les minéraux, on à des groupements –OH
qui sont caractéristiques d’une atmosphère très sèche.

Théorie : Il y à un corps qui à percuté la terre, c’était un choc violent ce qui entraine une élévation
de la température et un morceau de la Terre (THEIA) s’est arraché qui s’est désagréger pour se
réunir ensuite en formant la lune.
 Partie 5 - Apparition des premiers organismes

Ces macromolécules doivent être protégées du rayonnement cosmique, c’est le meilleur moyen
d’être dans le sol ou dans les océans.

C’est dans ces derniers qu’il y à apparition des premiers organismes. L’atmosphère est très
ionisante donc on à des orages violents. Les molécules qui sont présentent dans cette atmosphère
sont recombinés, l’atmosphère est donc très dense.

Les météorites peuvent transporter des macromolécules.

Un océan ou il y à présence de macromolécule avec la présence d’ion qui viennent des roches sont
des soupes primitives. Ces globules de molécules vont évoluer pour devenir des bactéries.

Les premières traces de bactéries sont datées de 4 à 3,76 milliards d’années et retrouvé dans les
roches d’Isua.

L’apparition de l’oxygène :
- Vers 3 milliards d’années vont apparaitre les cyanobactéries et vont permettre de fabriquer
de l’oxygène.
- Vers 2,5 milliards d’années, c’est la période du proterozoïque avec l’apparition de l’oxygène.
- 2% d’oxygène à 1 Ga  5% d’oxygène à 500 Ma  10% à 400 Ma  21% à 100 Ma.

Bascule de l’oxygène dans l’air :


- L’océan est riche en Fer2+ soluble et en présence d’oxygène, il va y avoir une oxydation qui va
précipiter en hématie. Pendant la période du proterozoïque il y à des gisements qui sont
important.
- L’oxygène va arriver dans l’air et va être cassé et va former l’ozone. Aujourd’hui, on à une
couche d’ozone (à 25 km de la surface de la Terre) qui à la propriété de capter les
rayonnements cosmique. C’est grâce à la mise en place de cette couche (environ 1 Ga) que
nous n’avons presque plus de rayonnement cosmique sur terre. Ce qui permet aux
macromolécules de subsister. Cette couche d’ozone est un élément fondamental pour la sorti
des eaux des organismes.
 Partie 6 - Bilan des enveloppes terrestres

Au-delà de l’atmosphère, à partir de certaine distance de la terre la gravitation petit à petit diminue
et ne va plus être suffisante.

La magnétosphère (effet de rotation qui induit sa mise en place) est de 1 000 à 50 000 km, le vent
solaire va venir la percuter et va rebondir, glisser et s’échapper sur le bouclier. Dans la
magnétosphère, on se prendrait les projections su soleil.

Lorsqu’on regarde par ségrégation, on va regrouper des enveloppes terrestres en 4 types


d’enveloppes :
- Enveloppe externe (liquide ou gaz) : Elements atmophiles
- Première couche de la croûte : Elément lithophiles
- Manteau inférieur : Eléments chalcophiles (associé avec le souffre)
- Noyaux : Elément sidérophiles (associer avec le fer)

Evolution au cours du temps des paramètres orbitaux de la terre : Au cours du temps la révolution
de la terre autour du soleil à varié en fonction de :
- L’excentricité : Aplatissement ellipse  périodicité = 100 000 ans
- L’obliquité : Angle axe de rotation de la terre par rapport au plan orbital  périodicité =
41 000 ans
- La précession : Rotation perpendiculaire de la terre autour du plan orbital  périodicité =
23 000 à 19 000 ans.

Ces évoluions ont eu des conséquences sur le climat de la terre au cours du temps, il y à des
glaciations (4 importantes = formations de calottes glaciaires)

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