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VOUS POUVEZ GUÉRIR DE
L’ ASTHME.
Vous savez sans doute ce qu’est cette affection !
Les bronches ne laissent plus sortir l’air des poumons, et on s’étouffe, on ressent la mort
présente, par asphyxie, comme si on se noyait ! Il n’y a pas de quoi sourire. On en connait
différents degrés de gravité, en général proportionnelle à l’ancienneté de l’affection et des
différents traitements que les thérapeutes successifs ont jugé bon d’employer. Les
surinfections fréquentes, en spirale d’aggravation par recours aux antibiotiques et cortisone,
dépresseurs immunitaires et fournisseurs de l’infection suivante, ne montrent pas l’avenir de
l’asthmatique sous un jour radieux !
On dispose aujourd’hui de remèdes puissants !
Certains sont des remèdes de crise, qui dilatent les bronches, comme les « bronchodilatateurs
d’action longue ou prolongée », les « théophyllines et dérivés », « anticholinergiques »....et on
en passe!....Les cortisones peuvent servir à traiter les crises, et aussi être proposées comme
« préventifs »,....On « passe à la cortisone » quand les autres moyens ont cessé d’agir. En effet, il suffit de
jeter un coup d’œil sur les effets secondaires de ces produits pour se rendre compte qu’ils peuvent provoquer des
soucis. D’autres produits « préventifs » sont utilisés en imprégnation du corps au long cours,
pour s’opposer aux effets biologiques des substances naturelles présentes en excès à
différentes étapes de la cascade de phénomènes aboutissant à la fermeture des bronches. On
utilise actuellement différents produits « anti-allergie », adrénaline, antihistaminiques H1...
etc. et les « anticorps monoclonaux », le top de la recherche.
Où est le problème ?
Le problème est que le traitement de la crise est très apprécié des malades mais qu’il a un
prix qu’il faudrait connaitre. Ce prix sera évoqué ici sous la forme interrogative...........!
-Dans l’ignorance officielle où nous sommes de l’origine de la maladie, et devant le constat
de l’aggravation progressive le l’état de santé des malades traités et de l’augmentation
habituelle du nombre et de la gravité de ces crises dans le temps, ces traitements « de crise »,
qui constituent l’essentiel de la conduite officielle, sont-ils seuls souhaitables ?
-L’asthme touchant en général des personnes allergiques ou « atopiques », donc très sensibles
aux différents toxiques naturels comme les pollens, les poussières, les moisissures...ou
artificiels comme les antibiotiques, les anti-inflammatoires, les solvants, les plastiques....la
prise régulière de produits chimiques « de crise » ou « préventifs », ne constitue-t-elle pas une
cause additionnelle de la dégradation de leur santé et de l’impossibilité où elles arrivent de
vivre sans eux ? L’état des autres organes est-il sans influence sur celui du poumon ?
-Quel espoir de guérison peut-on offrir si on ne prend pas en compte la dimension globale
fondamentale, ainsi quepsycho-affective et « diathésique » de la maladie ?
-Vouloir guérir un organe sans se préoccuper des cellules qui le composent est-il sensé ?
-Le résultat mécanique de fermeture spasmodique des bronches n’est-il pas obtenu par la
composition physico-chimique du milieu qui « baigne » leurs cellules ? Cette composition
n’est-elle pas sous dépendance des autres fonctions dont les commandes supérieures sont
avant toutmétaboliques et neuro-hormonales, mais aussiinformativeset donc vibratoires ?
Pourquoi écarter les seules médecines capables d’agir sur elles, comme l’Homéopathie,
l’Acupuncture, les techniques biophysiques modernes..........?

Oscar Glutenberger- 1995 - 2019.


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Quelle direction prendre ?


-Pour conduire un traitement salvateur, ne conviendrait-il pas d’enquêter auprès de personnes
guéries, ou auprès de praticiens ayant guéri des asthmatiques, et essayer de les imiter ?
-Si l’on a constaté que certains patients asthmatiques ont été guéris par des méthodes
disqualifiées dans ce domaine par la Faculté, comme l’Acupuncture, l’Homéopathie, la
Phytothérapie informatisée, l’Oligothérapie, la Nutrithérapie, la Diététique...et autre
médecines « parallèles »...faut-il priver les malades d’une chance de guérir durablement en
tournant le dos à ces méthodes ?
Prendre le chemin pour guérir
-D’abord bien se persuader que respirer normalement est naturel, et que l’on doit restaurer
une fonction naturelle.
-Ensuite savoir que vous n’allez pas guérir demain matin grâce à des remèdes miracle.
-Plus ancienne est la maladie, plus longue sera la guérison. Tout dépend de votre patience, de
votre application, de votre sérieux et des efforts de compréhension consentis.
-C’est vous-même qui allez prendre en charge votre guérison.
-Vous allez recenser les facteurs cités à la rubrique suivante comme intervenant dans la
fonction respiratoire, et vous allez vous efforcer de les rendre favorables et convergents pour
vos intérêts de santé.
Concrètement
-N’arrêter jamais brusquement les remèdes chimiques habituels, votre vie peut se trouver en
danger, car aucun des traitements ou des mesures proposées ci-dessous ne peut espérer vous
avoir rendu capable de gérer seul la fonction respiratoire en quelques heures, quelques jours
ou quelques semaines, alors que cette fonction était « sous assistance » chimique depuis des
mois, voire des années, ce qui a « atrophié » ladite fonction. Il faut le temps de la
reconstruire....!
-Comprenez d’abord que la principale fonction dont dépende le poumon est celle de l’intestin.
Vous devez donc observer des conseils stricts en ce domaine. (*)
-Ensuite l’urgence est d’aider le corps à éliminer les toxiques accumulés depuis des années, en
favorisant le « drainage » par l’Homéopathie, l’Acupuncture, les Phytothérapies... etc.
(Personne ne vous empêchera de disposer de l’isothérapie urinaire, tellement efficace pour
guérir votre asthme allergique. – Plaquettes N°79 et 103.)
-Fournir les oligo-éléments nécessaires à l’optimisation des différentes fonctions
métaboliques, immunitaires, circulatoires, nerveuses et affectives, tenant compte des saisons.
-Veiller à des apports nutritifs optimum en vitamines, et minimum en toxiques
alimentaires.(La démarche Seignalet écarte laitages blancs, yaourts, pain blanc et farines blanches
« modernes »... etc.) (*)
-Suivre des traitement Phyto-Homéo « de fond », (**)et préparez votre organisme à utiliser
des remèdes « de crise », qui seront capables de remplacer progressivement les remèdes
chimiques dont vous usez depuis longtemps, sans avoir leurs inconvénients. Une bonne façon
de conduire votre thérapeutique est de faire des « profils biologiques », PRS ou autres. (*)
-Indispensable Thérapie séquentielle du Dr Elmiger, (*) pour retrouver l’harmonie des
« commandes supérieures », ces messages de la centrale énergétique qui commande tout.
-Veiller à ce que votre immunité soit « au top », pour que les surinfections s’espacent et que
vous soyez capables de vous en tirer sans antibiotique ni cortisone, qui retardent la guérison
du problème fondamental qui nous occupe.
-Consulter un psychologue qui vous aidera à surmonter les conflits qui sous-tendent la
maladie depuis ses débuts et dans son évolution. Gardez une activité sportive de plein air.
(*)Reportez-vous aux autres plaquettes de ce recueil.
(**) Consultez la plaquette « Ordonnance Asthme Allergique ». – N°102 -

Oscar Glutenberger – 1995 - 2019

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