Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
9
VOUS POUVEZ GUÉRIR DE
L’ ASTHME.
Vous savez sans doute ce qu’est cette affection !
Les bronches ne laissent plus sortir l’air des poumons, et on s’étouffe, on ressent la mort
présente, par asphyxie, comme si on se noyait ! Il n’y a pas de quoi sourire. On en connait
différents degrés de gravité, en général proportionnelle à l’ancienneté de l’affection et des
différents traitements que les thérapeutes successifs ont jugé bon d’employer. Les
surinfections fréquentes, en spirale d’aggravation par recours aux antibiotiques et cortisone,
dépresseurs immunitaires et fournisseurs de l’infection suivante, ne montrent pas l’avenir de
l’asthmatique sous un jour radieux !
On dispose aujourd’hui de remèdes puissants !
Certains sont des remèdes de crise, qui dilatent les bronches, comme les « bronchodilatateurs
d’action longue ou prolongée », les « théophyllines et dérivés », « anticholinergiques »....et on
en passe!....Les cortisones peuvent servir à traiter les crises, et aussi être proposées comme
« préventifs »,....On « passe à la cortisone » quand les autres moyens ont cessé d’agir. En effet, il suffit de
jeter un coup d’œil sur les effets secondaires de ces produits pour se rendre compte qu’ils peuvent provoquer des
soucis. D’autres produits « préventifs » sont utilisés en imprégnation du corps au long cours,
pour s’opposer aux effets biologiques des substances naturelles présentes en excès à
différentes étapes de la cascade de phénomènes aboutissant à la fermeture des bronches. On
utilise actuellement différents produits « anti-allergie », adrénaline, antihistaminiques H1...
etc. et les « anticorps monoclonaux », le top de la recherche.
Où est le problème ?
Le problème est que le traitement de la crise est très apprécié des malades mais qu’il a un
prix qu’il faudrait connaitre. Ce prix sera évoqué ici sous la forme interrogative...........!
-Dans l’ignorance officielle où nous sommes de l’origine de la maladie, et devant le constat
de l’aggravation progressive le l’état de santé des malades traités et de l’augmentation
habituelle du nombre et de la gravité de ces crises dans le temps, ces traitements « de crise »,
qui constituent l’essentiel de la conduite officielle, sont-ils seuls souhaitables ?
-L’asthme touchant en général des personnes allergiques ou « atopiques », donc très sensibles
aux différents toxiques naturels comme les pollens, les poussières, les moisissures...ou
artificiels comme les antibiotiques, les anti-inflammatoires, les solvants, les plastiques....la
prise régulière de produits chimiques « de crise » ou « préventifs », ne constitue-t-elle pas une
cause additionnelle de la dégradation de leur santé et de l’impossibilité où elles arrivent de
vivre sans eux ? L’état des autres organes est-il sans influence sur celui du poumon ?
-Quel espoir de guérison peut-on offrir si on ne prend pas en compte la dimension globale
fondamentale, ainsi quepsycho-affective et « diathésique » de la maladie ?
-Vouloir guérir un organe sans se préoccuper des cellules qui le composent est-il sensé ?
-Le résultat mécanique de fermeture spasmodique des bronches n’est-il pas obtenu par la
composition physico-chimique du milieu qui « baigne » leurs cellules ? Cette composition
n’est-elle pas sous dépendance des autres fonctions dont les commandes supérieures sont
avant toutmétaboliques et neuro-hormonales, mais aussiinformativeset donc vibratoires ?
Pourquoi écarter les seules médecines capables d’agir sur elles, comme l’Homéopathie,
l’Acupuncture, les techniques biophysiques modernes..........?