Les meilleurs experts de la santé s’ invitent chez vous
ÉDITORIAL
Vivre connecté,
est-ce sans danger ?
Pourrions-nous imaginer une vie
sans téléphone portable, sans
applications, sans WhatsApp,
sans Instagram, sans recevoir nos
mails au moment où ils nous sont
envoyés ? Peut-on vivre sans être connecté ?
Pour la plupart d’entre nous, cela paraît
aujourd’hui impossible. Pour les personnes
électrosensibles, c’est devenu une obligation.
D’ores et déjà, certains d’entre nous doivent
faire des cures régulières de détox aux ondes.
Car l’exposition aux ondes n’est pas neutre. Il
serait naïf de croire qu’elle le soit. Les ondes
sont comme une charge d’information qui
vient se stocker dans nos cellules. Attention à
la surcharge !
Or, on se prépare en France à déployer le plus
large réseau électromagnétique jamais conçu
sur Terre. C’est la 5G. Elle est imposée à marche
forcée sur le territoire, alors même qu’aux États-
Unis, les experts estiment que les tests sur
cette technologie ne sont pas concluants…
C’est un débat délicat. Personne ne voit les
ondes. Une minorité seulement en ressentent les
effets négatifs tandis qu’une majorité de per-
sonnes rêvent d’être ultra-connectées et que de
nombreux intérêts commerciaux sont en jeu.
Que doit-on faire en attendant ? S’informer. Et
commencer dès maintenant à opter pour des
pratiques protectrices au quotidien que vous
allez découvrir dans ce dossier de la Gazette.
Une fois informé, il est peu probable que vous
soyez favorable à la 5G !
Naturellement vôtre,
Augustin de Livois
Dossier
L’invasion des ondes électromagnétiques
Interview Dr Béatrice Milbert
« Notre environnement électromagnétique
devient toxique »
Protocole
Limiter votre exposition aux ondes
n° 11 • avril • 2019
DOSSIER
L’invasion des ondes
électromagnétiques
Les ondes électromagnétiques artificielles ou de synthèse
ont envahi nos vies en moins d’un siècle. À l’échelle de l’évo-
lution humaine, c’est très court. Ces ondes de synthèse
sont aux ondes naturelles du corps ce que la chimie de
synthèse est à la chimie naturelle du corps. Croire qu’elles
n’ont aucune interférence avec les ondes naturelles du
corps humain, des animaux et de la Terre est terriblement
naïf. Et pourtant il règne une très grande ignorance sur ce
sujet. Voici quelques pistes pour mieux les appréhender.
Élise Giradi
Élise Giradi travaille dans le domaine des produits
naturels depuis 2001. Elle enseigne l’hygiène
électromagnétique en école de naturopathie.
Conférencière, elle a rédigé de nombreux articles
sur les ondes. Biologiste de formation, elle a été
enquêtrice médicale pendant plus de dix ans et a
interviewé des centaines de médecins, de toutes
spécialités, sur des sujets très variés. Passionnée
par le théâtre depuis son plus jeune âge, elle a
récemment créé des sketchs sur l’addiction au portable, les OGM,
les nanotechnologies, et réalisé un clip « Créateur d’avenir » avec le
musicien Martin-Mojust, tous visibles sur Internet. Elle propose ré-
gulièrement différentes activités dont des ateliers de théâtre à Paris.
Pour tous renseignements : https://atelierstheatrelyris.jimdo.com/
La force des ondes qui vous traversent
Une onde est un déplacement d’énergie et d’informations sans dépla-
cement de matière. Il y a deux types de mesure pour les caractériser :
l’intensité et la fréquence.
• L’intensité est une mesure spatiale. Pour l’électricité, ce sont des
volts/m ; pour le magnétisme, des watts/m2 ou watt/kg ou gauss
ou teslas. C’est une mesure quantitative.
• La fréquence est une mesure temporelle en hertz. Elle correspond
au nombre de cycles ou de mouvement par seconde (oscillation, ro-
tation…). 1 Hz = 1 cycle par seconde. C’est une mesure qualitative.
Il est possible de faire une analogie avec le son : l’intensité corres-
pond au volume sonore, et les fréquences correspondent à toute
la gamme de sons, des graves aux aigus. Ainsi pour les basses fré-
DOSSIER
quences, ce sont comme des sons graves qui nous traversent
et pour les très hautes fréquences, des sons aigus. Les ondes
utilisées par nos technologies ne cherchent pas à être mélo-
dieuses. De plus, elles ont un volume sonore très conséquent.
Par exemple, le champ magnétique du cerveau est de 100
femtoteslas, celui du cœur 100 000 femtoteslas et celui d’un
téléphone portable 1 000 000 000 femtoteslas ! Notre exposi-
tion à ces ondes n’est pas sans conséquence, même si nous
n’avons pas de sens pour les entendre.
Fig. 1 : Onde électromagnétique
Les ondes de Mère Nature
La Terre, à sa surface, est chargée négativement. En haute
atmosphère se trouve une couche chargée positivement, la
ionosphère. L’électricité naturelle terrestre circule à travers
les éclairs. La Terre génère ainsi des ondes électromagné-
tiques naturelles. Celles-ci circuleraient à travers les réseaux
telluriques, constitués de métaux conducteurs. L’onde princi-
pale de la Terre a été mesurée par Otto Schumann dans les
années 1950 : elle était alors de 7,83 Hz. N’étant plus soumis à
cette fréquence, les premiers astronautes envoyés dans l’espace
tombaient malades. Pour pallier ce problème, des appareils
émettant cette fréquence ont été installés dans les navettes spa-
tiales. La fréquence de la Terre est donc une fréquence de santé.
La fréquence de votre cœur
Tous les organes humains et les oligoéléments (calcium,
magnésium, potassium, chrome…) génèrent des ondes électro-
magnétiques naturelles. Ils fonctionnent avec des fréquences
spécifiques. Il est remarquable de constater que cerveau et
cœur fonctionnent notamment avec une fréquence de 7,8 Hz,
proche de la résonance de Schumann. La technique bioélec-
tronique mise au point par Louis-Claude Vincent pratique des
mesures sur le sang, l’urine, la salive. Ces dernières intègrent
la concentration en électrons et en protons pour définir par
exemple le terrain d’un individu. Il a identifié les terrains
favorables à la santé, à tel ou tel type de pathologie (cancers…)
mais aussi au développement de telle bactérie ou virus… Les
ondes électromagnétiques jouent un rôle dans le dévelop-
pement des différents terrains, et par conséquent de ce qu’il
induit comme état de santé et développement de tel ou tel germe.
2
L’invasion des ondes électromagnétiques
Les ondes artificielles
Les ondes de synthèse se sont développées en deux grandes
étapes. La première concerne l’électricité domestique, pour
une utilisation énergétique. Elle utilise des basses fréquences.
Elle s’est généralisée après la Deuxième Guerre mondiale.
Ces ondes sont localisées aux endroits où il y a production,
acheminement ou consommation d’électricité. Dans notre
lieu de vie, c’est comme si notre corps écoutait en perma-
nence des sons très graves.
La deuxième concerne le transfert de données, fonctionnant
essentiellement sur les hautes fréquences. À la fin des années
1990, avec l’arrivée du numérique, ces dernières ont prolifé-
ré. L’information circule à travers des ondes qui sillonnent
l’espace, c’est-à-dire notre air environnant. Les téléphones
portables, tous les objets connectés (bluetooth…), le wifi, les
micro-ondes, les antennes-relais, le téléphone sans fil do-
mestique, les compteurs à télé-relevés… fonctionnent sur ce
principe. C’est comme si vous écoutiez des sons aigus, en per-
manence, véhiculant de l’information.
En quoi les fréquences des ondes électro-
magnétiques sont-elles dangereuses ?
Ces fréquences peuvent représenter un danger parce
qu’elles interfèrent avec le mode de fonctionnement
cellulaire qui lui aussi a un mode de fonctionnement
électromagnétique. Nous avons donc un impact des
champs électromagnétiques. Ceux-ci vont modifier le
fonctionnement cellulaire en créant ce qu’on appelle
un stress oxydant. Ce stress oxydant répété va créer
un état inflammatoire et des phénomènes différents
selon les tissus, comme des phénomènes d’apoptose,
de cancérisation, etc.
Dr Béatrice Milbert
Matrix, fiction ou réalité ?
Aujourd’hui notre environnement est entièrement
baigné de 0-1.
Quand vous appelez avec votre téléphone portable, vos
paroles sont décomposées en 0-1. C’est ce qu’on appelle le
numérique. Ces 0-1 vont être transportés par des ondes
à travers l’air, vers l’antenne-relais la plus proche, puis
d’antenne-relais à antenne-relais, jusqu’à celle qui est la plus
proche de votre interlocuteur. Pour finir, les 0-1 sont retra-
duits en parole au niveau du téléphone appelé. Même si nous
ne les voyons pas, ils sont néanmoins présents. Ils se super-
posent à l’atmosphère terrestre. Dans ce sens, le film Matrix
sorti en 1999 nous donne une image saisissante et effrayante
de cette matrice invisible qui se déploie.
L’invasion des ondes électromagnétiques
Nous sommes traversés par de l’information sans en
avoir aucune conscience.
Est-ce grave docteur ? Pour répondre à cette question, ima-
ginons que votre adolescent regarde un film d’action en wifi
sur son ordinateur. Si vous êtes sur le passage des ondes
qui véhiculent toutes ces informations, elles vont vous tra-
verser. Or notre corps est constitué majoritairement d’eau :
environ 70 % en masse, et 95 % au niveau moléculaire. Et que
nous disent les scientifiques les plus en pointe sur le stockage
de l’information électromagnétique, au niveau physique ?
Jacques Benveniste, Marc Henry, Luc Montagnier nous
parlent de la mémoire de l’eau1. L’eau stocke les informations
électromagnétiques pendant quatre semaines environ2. C’est
dire si toutes ces informations qui nous traversent, peuvent
nous habiter pendant plusieurs jours.
L’invasion des ondes
En 2009-2010, des mesures faites en Suisse ont montré que
les ondes artificielles de notre environnement ont été multi-
pliées par 10 en 15 ans, sachant que la TNT et les compteurs
à télérelevé type Linky n’étaient pas encore développés3.
C’est énorme. 90 % de cette multiplication vertigineuse pro-
venait, lors de ces mesures, des téléphones mobiles. Tout ce
déploiement des ondes artificielles par des sociétés commer-
ciales mais surtout l’engouement pour les objets à « ondes »,
relèvent donc de la responsabilité de chacun.
Le compteur Linky est une technologie qui n’aurait
jamais dû être introduite en France : les Canadiens, les
Américains n’en veulent plus. Pourquoi récupère-t-on des
technologies obsolètes et les impose-t-on par la force ?
B. M.
L’utilisation du téléphone portable a impliqué le déploiement
des antennes-relais. Le portable est devenu indispensable aux
yeux de la société. Il y a environ 7 milliards d’abonnements à
travers le monde. Or aujourd’hui, se profile le déploiement
1. Documentaire « On a retrouvé la mémoire de l’eau » : https://www.youtube.com/watch?v=_2xInJFD23k / https://youtu.be/z5_SPltPuJg
2. Cyril Smith et Simon Best, L’Homme électromagnétique, Éd. Marco Pietteur, coll. « Résurgence ».
3. Conférence de Maxence Layet, membre fondateur du Criirem : https://www.youtube.com/watch?v=vVkea7JB7kw
4. French5GSpaceAppeal.
DOSSIER
des antennes 5G ou cinquième génération de standard pour
la téléphonie mobile. La 5G va se cumuler avec la 2G, la 3G,
la 4G. Le but de la 5G est le tout-connecté, les objets intelli-
gents. Il est prévu 200 milliards d’objets émetteurs d’ici 2020.
Si elle n’est pas stoppée, tout être vivant sera exposé 24h/24 et
365 jours par an, à des niveaux de rayonnement des dizaines
voire des centaines de fois supérieurs à ceux d’aujourd’hui4 !
Les appareils émetteurs de votre maison :
Dans votre environnement proche, se trouvent de
nombreux appareils émetteurs d’ondes : les télé-
phones DECT (sans fil), le téléphone portable, box wifi,
le four à micro-ondes, les ampoules fluocompactes,
les babyphones, les compteurs communicants
d’électricité, d’eau, de gaz, les plaques à induction...
Actions possibles des ondes
artificielles
Il est beaucoup question de l’action des ondes générant
des tumeurs.
Téléphone portable : Attention, danger !
Les personnes qui téléphonent en tenant leur portable
contre leur visage n’ont aucune conscience du risque
qu’elles prennent. Pourtant, c’est la cause d’un grand
nombre de cancers. Si par exemple vous arrivez dans
un service de cancérologie avec un cancer au niveau
du cerveau, de la langue, de la mâchoire ou de l’œil,
on vous demandera de quel côté vous écoutez votre
portable !
B. M.
Mais il y a aussi beaucoup d’autres maux parfois quotidiens
(maux de tête, troubles du sommeil, stress…), où les ondes
jouent un rôle. Il n’est pas toujours évident de faire le lien
entre les troubles dont on souffre et les ondes. Et pourtant !
Si on considère que l’être humain a un corps physique-
énergétique, une psyché (pensée-sentiment-volonté) et un
esprit, les ondes et les nouvelles technologies ont une action
aux trois niveaux.
3
DOSSIER
Il existe aujourd’hui un corpus de plus de 10 000 études
publiés dans des revues dotées de comité de lecture, sur l’effet
des ondes RF. En voici quelques résultats :
• altération de l’expression génique – lésions de l’ADN ;
• altération du métabolisme ;
• altération du développement des cellules-souche ;
• cancers ;
• maladies cardiovasculaires, palpitations cardiaques ;
• multiplication de nombreux radicaux libres, stress oxydant ;
• déficience cognitive, difficultés d’apprentissage et pertes
de mémoire, dommages neurologiques ;
• infertilité et altération de la qualité du sperme, fausse couche ;
• obésité et diabète ;
• pour les enfants : autisme, troubles d’hyperactivité avec
déficit de l’attention (THADA), asthme…
Action sur les trois cerveaux
Tout le monde connait le cerveau et les intestins, notre
deuxième cerveau. Il en existe un troisième : le cœur. Celui-ci
a en effet un système nerveux autonome. Et le cœur est l’or-
gane qui produit le plus d’ondes électromagnétiques !
Cerveau embrouillé
Le Pr Pierre Aubineau, directeur de recherche au CNRS-
université de Bordeaux 2, a mis en évidence la perméabilisation
de la barrière sang-cerveau par les micro-ondes des téléphones
portables5.
Le professeur Belpomme et son équipe ont mis en place
des consultations de médecine environnementale. Ils ont
diagnostiqué et pris en charge plus de 1 400 patients. Et que
constate-t-il chez les électrosensibles ? Une diminution de l’irri-
gation sanguine au niveau du cerveau limbique6. Or c’est à ce ni-
veau que se rattache la contrepartie physiologique des émotions
(agressivité, peur, plaisir…) ainsi que la mémoire (hippocampe).
Les adolescents sud-coréens, grands utilisateurs des nouvelles
technologies, développent la « démence digitale » : troubles
de la mémoire, sous-développement émotionnel et premiers
signes de la folie. « Selon le docteur Byun Gi-won, les utilisa-
teurs outranciers de smartphones ne développent que la partie
gauche de leur cerveau, laissant la partie droite sclérosée7. »
L’étude Cérénat montre qu’1/2 h de téléphone portable par
jour multiplie par deux ou trois le risque de tumeurs agres-
sives au cerveau. Des études récentes8 montrent que l’action
des champs magnétiques sur une zone située derrière l’oreille
brouille notre capacité de distinction entre le bien et le mal,
augmente la tendance à mentir et étiole notre sens moral.
Les effets du portable sur le cerveau sont donc multiples.
Pour l’aider face à cette agression, vous pouvez l’alimenter
avec des omégas 3 et 6, du ginkgo biloba, du lithium…
5. Aubineau, Sciences et Avenir, décembre 2002.
6. http://www.ehs-mcs.org/fr/criteres-diagnostiques-du-sicem_82.html
7. https://etudiant.lefigaro.fr/les-news/actu/detail/article/coree-du-sud-les-jeunes-risquent-la-demence-digitale-2294/
8. Recherche menée par les chercheurs estoniens Inga Karton et Talis Bachmann/ Behavioural Brain Research, par Liane Young et ses collègues du Massachu-
setts Institute of Technology (MIT).
9. Dysbiose, vit D Immunol Res. 2 016 Jul 13 (Epub ahead of print).
10. Zhonghua Nan Ke Xue. 2010 Jan (1) : 103. (Microwave radiation decreases the expressions of occludin and JAM-1 in rats), Gao XF1, Wang SM, Peng RY, Zuo
HY, Wang LF, Gao YB, Dong J, Su ZT.
4
L’invasion des ondes électromagnétiques
Maladie de Lyme, autisme : un lien
avec les ondes
En réalisant une étude avec le professeur Belpomme,
j’ai identifié des personnes souffrant de la maladie de
Lyme et me suis demandé si des bactéries pouvaient
générer une électrosensibilité. Les bactéries barton-
nelle ou borrelia donnent la maladie de Lyme mais
elles ne sont pas les seules à être toxiques pour le
cerveau. C’est donc plutôt l’ouverture de la barrière
hémato-encéphalique causée par l’environnement
électromagnétique qui va occasionner les problèmes !
Ainsi ouverte, elle laisse passer les bactéries toxiques
dans le cerveau, ce qui va générer les problèmes de
neurobelliose. Cette ouverture peut laisser passer les
métaux lourds tels que le cadmium, le mercure pré-
sents dans les amalgames dentaires. Tous les métaux
en bouche peuvent interférer avec l’environnement
électromagnétique et créer pour certaines personnes
des douleurs atroces.
En ce qui concerne l’autisme, le professeur américain
Martin Pall, expert dans le domaine des nuisances de
l’environnement électromagnétique, dit que l’aug-
mentation de fréquence de cette maladie est liée au
développement exponentiel de la 2G, 3G, 4G.
B. M.
Intestins poreux
Les micro-ondes perturbent le fonctionnement des
récepteurs de la vitamine D, ce qui mène à l’apparition de
la dysbiose9. D’autres éléments comme les jonctions serrées
peuvent être endommagées par les micro-ondes10…
Or la plupart des gens gardent leur téléphone portable dans
leur poche, proche des intestins. Même non utilisé, le télé-
phone recherche en permanence les antennes-relais les plus
proches. Le but est d’être localisé en cas d’appel. Cela signi-
fie que les ondes de la fréquence des micro-ondes traversent
quasi en permanence leurs intestins pendant plusieurs mois
ou années.
Les conséquences possibles d’un intestin poreux sont les
diverses intolérances (gluten…), les intoxications, les troubles
neuropsychiatriques, les maladies auto-immunes… Le
téléphone portable ne s’est-il pas développé à partir de 1998,
période d’essor des rayons sans gluten ? Bien évidemment
d’autres facteurs peuvent générer la porosité intestinale.
L’invasion des ondes électromagnétiques
Pour rééquilibrer cela, il est possible d’éteindre son téléphone
portable quand on ne s’en sert pas. Pour autant, la meilleure
solution est de ne pas avoir de téléphone portable. De plus en
plus de gens franchissent le pas.
Pour rééquilibrer les intestins, en plus d’une alimentation
saine et bio, le pollen frais de ciste, des gélules de propolis, le
plasma marin isotonique sont intéressants.
Tous inégaux face aux ondes
Nous sommes tous impactés mais réagissons diffé-
remment aux ondes. Les personnes qui ressentent
physiquement l’environnement électromagnétique
vont tout faire pour s’en préserver. Celles qui ne le
ressentent pas et ne s’en protègeront pas, auront des
risques de développer des pathologies type cancers
ou Alzheimer. En Corée, on voit même apparaître des
« démences digitales » (dégénérescence du cerveau) !
B. M.
Cœur emballé
Les téléphones sans fil DECT et le wifi provoquent des
irrégularités cardiaques : arythmie et/ou tachycardie — sou-
vent accompagnées de sentiments de douleur ou de pression
dans la poitrine et d’anxiété apparaissant, disparaissant sans
aucune raison apparente. Certains enfants dans des écoles
équipées de wifi sont diagnostiqués et traités avec des médi-
caments contre les irrégularités du rythme cardiaque.
Atteinte des métabolismes par phénomène de
résonance
En étudiant les métabolismes, les biologistes et médecins
pensent association calcium-magnésium, potassium-sodium…
Mais les mouvements présidant à ces échanges ne sont pas pris
en compte. Cela relève du domaine de la physique. Et pourtant,
les ondes artificielles aujourd’hui changent la donne. En effet,
elles bouleversent probablement les mouvements de nos ions
par des phénomènes d’interférences. Pour exemple, la résonance
est un phénomène de physique élémentaire. Elle intervient dans
les perturbations induites par les ondes artificielles. Elle se pro-
duit quand les fréquences d’excitation extérieures sont proches
des fréquences naturelles du système. Il y a alors un transfert
d’énergie qui va amplifier le mouvement de l’onde. Prenons
l’exemple des tremblements de terre. La fréquence des ondes
sismiques peut être de 10 Hz. Chaque bâtiment possède sa fré-
quence d’oscillation propre, même si on ne le voit pas osciller.
11. https://www.cem-vivant.com/userfiles/file/1474.pdf - Dayanithi G – Univ. Montpellier – Youbicier BJ – Tecnolab (étude exploratoire).
DOSSIER
Si cette fréquence est d’environ 10 Hz, quand l’onde sismique
traverse le bâtiment, il se produit un phénomène de résonance.
L’onde sismique va transférer son énergie au bâtiment. Son
oscillation accrue peut provoquer son écroulement.
Or nos appareils peuvent entrer en résonance avec certains
oligo-éléments. Les oligoéléments sont des éléments clés
pour le bon fonctionnement des métabolismes et systèmes
du corps humain (nerveux, hormonal, immunitaire…).
De plus, ils interagissent entre eux. Si l’un deux est touché,
d’autres vont l’être. Par exemple, le calcium interagit avec le
fer, le zinc, le souffre…
Les résonnances des ondes sur
le corps humain
• Fréquences des téléphones portables : électronique
de l’appareil 30-40 Hz / Ion sodium (Na) en rotation :
30 Hz - Ion calcium (Ca) en rotation : 35 Hz.
• Ondes porteuses des téléphones portables : 0,9-
2,6 Ghz / Oscillations des ions Ca et magnésium
(Mg) : 1 à 2 GHz.
• Fréquence d’un écran : 60-100 Hz / Ion lithium en
rotation : 100 Hz. Électricité domestique : 50 Hz /
Ion Mg en rotation : 55 Hz.
Divers phénomènes de résonance peuvent se produire avec le
téléphone portable sur les ions Ca, Mg et Na. Ces oligo-éléments
auraient alors un mouvement amplifié. Leur concentration dé-
séquilibrée impacteraient ainsi toutes les réactions biochimiques.
De fait, sous l’action du téléphone portable, la concentration
intracellulaire en ion Ca est multipliée par plus de deux au
niveau de l’hypophyse11. 
Pour aller plus loin sur le sujet et en savoir plus,
découvrez votre supplément numérique
Institutions : des mesures divergentes
au lien suivant :
https://bit.ly/2HGUgsj
Élise Giradi
5
INTERVIEW
« Notre environnement
électromagnétique devient toxique »
Être hypersensible aux ondes électromagnétiques peut vous rendre la vie impossible. Les problèmes de
santé ne sont pas tout, faut-il déjà qu’on ne vous prenne pas pour un fou. Véritable pionnière dans ce
domaine, le docteur Béatrice Milbert, au plus près ses patients, ne cesse d’alerter et d’informer quant aux
dangers de notre vie ultra-connectée.
Dr Béatrice Milbert
Médecin généraliste, acupunctrice et
phytothérapeute, spécialiste de la
maladie de Lyme, des co-infections et de
l’électro-hypersensibilité. Béatrice Milbert
est vice-présidente de Chronimed,
association qui réunit des médecins sous
le parrainage du Pr Luc Montagnier afin
d’étudier et de faire avancer la recherche
sur les maladies chroniques.
Comment en êtes-vous venue à vous
interroger sur les problèmes soulevés par les
ondes électromagnétiques ?
Dr Béatrice Milbert - Tout a commencé par une rencontre
avec la Canadienne Hulda Clark, en 1993. Ce docteur en physio-
logie cellulaire avait mis au point un petit appareil de thérapie
électromagnétique appelé zappeur, dont les résultats m’ont
vivement intéressée. Puis, lors d’un congrès à Dallas en
février 1997 avec Jacques Benveniste, j’ai rencontré les premiers
électro-hypersensibles américains : ces personnes qui travail-
laient à la Silicon Valley ne supportaient plus l’environnement
électromagnétique de leur lieu de travail. La même année,
à l’occasion du deuxième Congrès mondial sur les thérapies
électromagnétiques à Bologne, j’ai assisté à un rapport d’experts
américains sur l’influence des champs électromagnétiques des
téléphones mobiles sur les cancers du cerveau. Constatant de
grosses divergences avec les rapports européens de l’époque,
j’ai décidé d’informer Michèle Rivasi, Madeleine Niemand et le
professeur Cornillot. C’est ainsi que fut fondé en 1999 le Centre
de recherche et d’information indépendant sur les rayonnements
électromagnétiques non-ionisants (Criirem), et que je commen-
çais à recevoir les premiers patients électro-hypersensibles.
Comment peut-on diagnostiquer les effets
négatifs de ces champs électromagnétiques ?
Il y a plusieurs façons de travailler auprès des personnes qui
souffrent d’hypersensibilité électromagnétiques. Nous avons
tout d’abord le recueil clinique des symptômes, en parti-
culier les douleurs, qui n’apparaissent que sous exposition
aux champs électromagnétiques. Cela peut être des maux
de tête, des vertiges, des troubles cognitifs, des difficultés
pour se concentrer, etc. On parle par exemple de brain fog
(cerveau embrumé). Certaines personnes subissent des
6
troubles cutanés, ont des rougeurs sur le corps, parfois
des cloques comme si elles avaient été brûlées, d’autres
ont des problèmes cardiaques, souffrent de palpitations
ou de troubles ophtalmiques ; ce peut être des acouphènes
(sifflements d’oreille) et toutes sortes de troubles, des insom-
nies, etc. Chez les enfants, nous rencontrons par exemple
des troubles digestifs dues aux tablettes portées sur les ge-
noux, en contact avec le ventre. Il peut y avoir aussi les effets
d’exposition très forte au téléphone portable pendant des
conversations d’une heure ou deux, avec des acouphènes stri-
dents ou des difficultés neurologiques, comme une difficulté
à s’exprimer : cela ressemble à un accident vasculaire cérébral,
avec un temps de récupération plus ou moins long.
Avez-vous d’autres types de mesure ?
Au-delà de l’aspect purement clinique, nous pratiquons
des tests biologiques avec les protéines de choc thermique,
l’histamine, la myéline (indiquant l’endommagement de la
gaine de myéline), la protéine S-100B qui est un marqueur
d’ouverture de la barrière hémato-encéphalique et le pro
NTT qui est un marqueur important d’ouverture de la bar-
rière hémato-encéphalique, la CRP ultra-sensible qui est un
marqueur des problèmes circulatoires, la mélatonine urinaire
intéressante à mesurer chez les personnes électrosensibles
ayant des troubles du sommeil.
Nous avons également des tests radiologiques, comme
l’encéphaloscan qui montre la diminution de la circulation
dans le cerveau chez les personnes électrosensibles. Un autre
examen est le PET scan, pour Positron Emission Tomography :
utilisé habituellement pour localiser les cellules cancéreuses,
il met aussi en évidence une éventuelle baisse importante de
la circulation du cerveau (au Japon, on l’a utilisé pour explo-
rer les syndromes de fatigue chronique). Malheureusement,
les personnes électrosensibles ne peuvent pas trop s’y sou-
mettre car ce genre d’examen les perturbe beaucoup. Nous
avons encore un examen pour mesurer l’électro-sensibilité :
le Doppler transcrânien. Grâce à ces examens, nous pouvons
faire la différence avec d’éventuels troubles psychiatriques.
Au début, certaines personnes électrosensibles ont pu être
psychiatrisées voire même internées mais les psychiatres
ont vite identifié que leurs plaintes n’avaient rien à voir avec
celles des personnes paranoïaques.
« Notre environnement électromagnétique devient toxique »
L’électrosensibilité est-elle réversible ?
L’électrosensibilité est réversible dans la mesure où vous
faites attention à votre environnement. En Suisse, en Suède,
la prise de conscience de devoir protéger l’habitat des ondes
électromagnétiques existe déjà. Il est capital de nous protéger
à la maison, en ne laissant pas par exemple le wifi allumé la
nuit et en mettant les ordinateurs ou les tablettes des enfants
en filaire. Mais je suis aussi préoccupée par la mise en place
de la 5G, dont Martin Pall, chercheur américain à Washing-
ton, dit que les tests d’autorisation d’utilisation n’ont pas été
suffisamment prolongés.
Quelle est la proportion de personnes
électrosensibles aujourd’hui en France ?
Les Allemands parlaient de 8 % de la population il y a
quelques années. Vu l’explosion de personnes électrosen-
sibles, surtout chez les enfants, je pense que nous sommes
plus près des 20 %. Il y a aujourd’hui trois millions de per-
sonnes électrosensibles en France, sans compter les enfants.
Pour moi, les électro-hypersensibles sont ce que j’appelle
des « sentinelles environnementales ». Elles nous disent
que notre environnement électromagnétique est en train de
devenir toxique, voire très toxique.
Comment peut-on se protéger des ondes ?
Existe-il encore aujourd’hui des zones sans ondes ?
Le chercheur Jacques Surbeck est un précurseur. À la suite de
Madeleine Bastide, professeur à l’université de Montpellier,
il a démontré l’impact du rayonnement électromagnétique
sur le fœtus et a inventé des protections pour les femmes.
Beaucoup de femmes qui n’arrivaient pas être enceintes ont
pu mener une grossesse à terme, dès lors qu’elles ont pro-
tégé l’écran de leur ordinateur. Aujourd’hui des bandeaux
sont vendus pour protéger la grossesse. Il existe actuellement
quantité de systèmes de protection utilisés par les électrosen-
sibles et vendus par exemple chez Études & Vie et Air Quality
en Belgique, ou dans d’autres centres spécialisés comme Na-
voti, CMO, Bio Shield en France.
Quant aux zones sans ondes, l’une devrait être mise en place
à Durban (Hautes-Alpes). Il existe aussi des zones blanches
naturelles. Au fond de la vallée du Bec Hellouin (Eure) par
exemple, il n’y a aucun champ magnétique pour le moment.
Existe-t-il des pistes pour des traitements
à l’hypersensibilité électromagnétique ?
Dans quelle mesure sont-ils efficaces ?
En dehors du fait de s’éloigner des ondes, l’eau est un traitement
très intéressant car elle est une mise à la terre naturelle. Il est
essentiel de se passer fréquemment les mains sous l’eau et de bien
s’hydrater. On peut aussi prendre des bains. L’eau a d’ailleurs été
la première ressource utilisée par électro-hypersensibles améri-
cains : dormir près de leur piscine ou d’une baignoire remplie
d’eau les apaisait ! Il existe d’autres possibilités. J’ai souvent utilisé
une technique du docteur Jean-Pierre Maschi, médecin niçois
auteur d’un livre extraordinaire, Un combat pour une idée, la pollu-
tion électromagnétique (France Europe Editions). Dans les années
soixante, il est le premier à avoir parlé d’électro smog le premier
et à avoir utilisé des mises à la terre.
INTERVIEW
Outre l’eau, on peut aussi employer l’argile. Je l’utilise en
local, en plaçant une petite pastille d’argile à la base de la
colonne vertébrale. Il existe aussi des sacs de couchage
reliés à la terre ainsi que de nombreux autres systèmes, mais
ils sont efficaces à condition que la prise de terre soit de bonne
qualité, or beaucoup d’habitations aujourd’hui n’ont pas de
prise de terre correcte ! À ce sujet, je conseille le livre de
David Bruneau, Protéger son habitat des champs électromagné-
tiques (Terran). Sa deuxième édition est vraiment excellente.
Un autre traitement intéressant est Équilibre-Énergie, du
laboratoire Biophœnix : il bloque les récepteurs des canaux
calciques voltage dépendants, et donc l’impact des champs
électromagnétiques sur la cellule. Il existe d’autres produits
comme le Polypodium leucotomos, un excellent produit
antioxydant. J’adapte les traitements en fonction de la per-
sonne. Si son cerveau fonctionne très mal, je vais lui donner
des produits fluidifiants et reminéralisants comme le gink-
go-biloba, le resvératrol, l’ubiquinol, des omégas 3, le sérum
de Quinton. Je regarde aussi les intrications avec les métaux
lourds. J’ai recueilli à ce sujet le témoignage d’un patient belge
qui n’a plus souffert d’hypersensibilité électromagnétique
quand tous ses amalgames dentaires lui ont été retirés (il en
avait quatorze).
Il faut garder espoir. Les possibilités de se soigner existent.
La difficulté est plutôt dans le manque de médecins formés
en toxicologie, en médecine environnementale (le professeur
Belpomme vient de proposer un enseignement sur cette matière).
La Suède a reconnu l’hypersensibilité aux ondes
comme une maladie. Est-ce justifié ?
C’est justifié car des personnes souffrent et dépensent des
fortunes pour se soigner. On les traite en général avec des
antidépresseurs, des anxiolytiques, des somnifères etc. qui
n’ont aucun effet sur leur pathologie. Il est important de la
reconnaître, de continuer les recherches et surtout, d’appli-
quer le principe de précaution, à commencer par la 5G. On ne
peut pas mettre en vente une technologie, certes attrayante,
sans avoir un recul de plusieurs années sur son utilisation. 
Propos recueillis par Philippe de Saint-Germain
7
PROTOCOLE

Limitez votre exposition aux ondes

Face à l’invasion des ondes électromagnétiques dans votre quotidien, il semble raisonnable de prendre
ses précautions et de limiter au maximum votre exposition. Des gestes simples et faciles à mettre en
œuvre peuvent vous y aider.

Des gestes simples pour limiter son exposition
chez soi1
• La mise à la terre de tous vos appareils.
• Placer vos appareils électriques contre les murs
donnant sur l’extérieur.
• Éviter les lampes basse consommation bon marché
dites « fluocompactes ».
• Refuser tous les compteurs à télérelevé.
• Privilégier le filaire au sans fil (téléphone, souris,
claviers, enceintes…).
• Préférer des prises Ethernet au wifi.
• Faire de votre chambre un sanctuaire pour vous ré-
générer la nuit : y bannir portable, TV… Les ondes font
chuter la mélatonine jusqu’à 80 %2.
• Ne plus avoir de portable ou l’éteindre le plus souvent
possible…
• Ne pas téléphoner en se déplaçant : le téléphone cherche
sans arrêt des antennes-relais, d’où un afflux d’ondes
plus important. Dans les transports, s’ajoute un phéno-
mène de cage de Faraday : tout le monde en profite !
• Si vous avez un ordinateur portable, ne le posez pas
sur vos genoux ou contre vous. Utilisez un clavier,
une souris et si possible un écran externe quand vous
pouvez. Utilisez au maximum la batterie.
l’enseignement du Maître Peter Deunov de Boyan Boëff.
Il y précise que « la narine gauche reçoit davantage le
courant magnétique ou négatif… tandis que la narine
droite reçoit de préférence le courant électrique ou
positif… ». Par exemple, vous pouvez respirer sur le
rythme 1 temps d’inspiration/4 temps de rétention/
2 temps d’expiration, en alternant l’inspiration et
l’expiration au niveau des deux narines. Chaque temps
peut durer plusieurs secondes : par exemple : 4-16-8.
• Diffuser des huiles essentielles comme de la lavande
calme l’émotionnel. Les ondes multiplient par 4 le taux
d’ACTH, hormone du stress5.
• Pratiquer le sport, la méditation…
Les protections
Différentes protections existent. Trois critères en per-
mettent une évaluation :
• leur principe d’action,
• les études et mesures sur leur efficacité,
• sa propre sensibilité à exercer.
Il y a les protections qui agissent sur les ondes physique-
ment par déphasage, par exemple celles qui agissent sur
l’information, et tout ce qui est pierres, plantes…

Se reconnecter à la Terre par les 4 éléments Celles qui agissent sur l’information sont novatrices. Elles se
basent sur la mémoire de l’eau. Là aussi, il y a plusieurs caté-
Marcher pieds nus sur la terre ramène la charge du corps à gories : celles qui ont en mémoire les fréquences des appa-
zéro, du fait des électrons à sa surface — des tapis, draps, reils pollueurs avec une action de type homéopathique, tels

crédits photos : © Cristelle Viviant | udaix – Oleksii Lishchyshyn/Shutterstock.com

sur-matelas de mise à la terre3 —, pratiquer des exercices
méditatifs d’ancrage, de déchargement dans la terre, de
rechargement4…
• Boire environ 1,5 l d’eau de qualité pour drainer l’infor-
mation, si vos reins le permettent, prendre des bains…
• Suivre des exercices de respiration : vous en trouverez
d’excellents dans le livre La Respiration dans
les oscillateurs magnétiques de compensation. La deuxième
catégorie sont celles qui ont en mémoire des plantes, miné-
raux, lieux sacrés… comme les correcteurs d’état fonction-
nel, développés par des Russes, avec une action vibratoire.
À vous d’individualiser le sujet et de faire vos choix… 
Élise Giradi

1. Carl de Miranda, Réduire les ondes électromagnétiques, c’est parti ! Éditions Jouvence, 2016.
2. https://www.cem-vivant.com/userfiles/file/1474.pdf
3. Clinton Ober, Connectez-vous à la Terre.
4. Pierre Lassalle, Natura.
5. Dayanithi G – Univ. Montpellier – Youbicier BJ – Tecnolab (étude exploratoire).

Les informations contenues dans cette revue sont publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux
personnalisés. Il existe des contre-indications possibles pour les produits cités. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur
le contenu de cette revue, et il est fortement recommandé aux lecteurs de consulter des professionnels de santé dûment accrédités auprès des autorités
sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être.

La Gazette de la Santé Naturelle - n° 11 -avril 2019 - Directeur de la publication : Augustin de Livois - Rédactrice en chef : Victoire Malard
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