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PS8585AGA01
01/2002
LCAD-50190-501-04=02/FR
Page 2/98 29/01/02 PS8585AGA01
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SOMMAIRE
1. INTRODUCTION.........................................................................................................7
2. ABREVIATIONS .........................................................................................................8
3. REFERENCES..........................................................................................................11
Ce document est un guide destiné au personnel chargé d’assurer la maintenance du niveau 1 d’un
réseau multiservice d’entreprise M6500.
La maintenance de niveau 1 a pour but d’effectuer le dépannage simple et rapide d’un matériel
défaillant dans le réseau, afin de le rendre à nouveau opérationnel. Elle consiste, pour le technicien
de maintenance de niveau 1, à exécuter la procédure décrite dans le présent manuel, c’est-à-dire à
effectuer les différentes opérations adaptées à la faute qui a été signalée, afin de dépanner puis
remettre en service l’équipement défaillant.
La procédure de maintenance de niveau 1 fait appel à différentes notions explicitées dans les
annexes du présent document ainsi que dans les documents cités en référence.
Le "manuel d’exploitation" dans lequel sont décrites en particulier, les RHM, nécessaires à
l'exécution de la procédure de maintenance de niveau 1 :
1. EXPLOITATION :
SIL-EXPLOITATION (tomes 1 à 6) :
LCAD-50189-50X-19=03 X=1à6
et plus particulièrement :
Tome 1 : Configuration et Maintenance du système
LCAD-50189-501-19=03/FR
La façon dont se manifeste une alarme est décrite dans les deux paragraphes suivants.
♦ Si le synoptique est déjà affiché sur la console au moment de l'alarme, l'alarme se manifeste
de la même façon que sur la console en mode "maintenance" (cf. § 4.1.1).
♦ Dans le cas contraire (affichage sur la console du message "COMMANDE DESIREE :" : ou
"RHM EN COURS") seul le signal auditif apparaît dans cette console. L'exploitant devra alors
frapper sur la touche "RETOUR" afin de se placer dans le cas précédent et constater l'alarme.
Ce chapitre décrit la procédure que doit suivre le technicien de maintenance de niveau 1 lorsque
son intervention a été demandée à la suite de l'apparition d'une alarme dans le réseau (que celle-ci
s'accompagne ou pas d'une ou plusieurs plaintes d'utilisateurs).
Elle comprend les étapes successives suivantes précisées dans la suite de ce chapitre et
représentées dans les figures 2 à 6 :
1. Prise en compte de l'alarme réseau (§ 5.1 et figure 2).
2. Confirmation (§ 5.2 et figure 3).
3. Etablissement de la liste des éléments à incriminer (§ 5.3).
4. Préparation du dépannage (§ 5.4 et figure 4).
5. Dépannage et vérification (§ 5.5 et figure 5).
6. Remise en service (§ 5.6 et figure 6).
Note : Lorsque la console est configurée en mode "exploitation" et que seule le signal sonore
se fait entendre (RHM en cours ou message "COMMANDE DESIREE :"), le technicien
de maintenance (ou l'exploitant) devra faire apparaître le synoptique, accompagné du
message d'alarme, en frappant sur la touche "RETOUR" de la console lorsque celle-ci
visualise le message "COMMANDE DESIREE :"
Y = n° de boucle principale (0 ou 1)
Les champs UCBX, USB et UCGZZ n’apparaissent pas si le type de BLS est UCB ou UCG.
Le champ BCL Y n'est présent que si le type de BLS est SECT/BOU et si le champ précédent est
UCBX ou USB.
Le technicien doit se reporter à l'Annexe 1 qui donne la liste des types de BLS et la signification des
numéros de BLS associés à chaque type.
L'Annexe 1 précise également la catégorie à laquelle appartient l'alarme engendrée pour chaque
type de BLS en faute.
Note : Le message d'alarme constitue aussi la première ligne d'un "compte-rendu d'action de
défense" associé à l'alarme, qui est stocké dans le journal de bord du réseau.
"RETOUR"
de la console d'exploitation/maintenance.
Ceci fait apparaître la dernière page du journal de bord sur la console en mode maintenance, rend
à nouveau possible l'exécution de RHM sur la console en mode exploitation et fait disparaître le
message d'alarme.
Si plusieurs alarmes étaient présentes simultanément, l'appui sur la touche "RETOUR" provoque la
validation de toutes les alarmes.
Si l'exécution de cette étape permet le retour du BLS en faute à l'état "en service", le technicien
arrête la procédure de maintenance. Il s'agissait donc d'une faute fugitive. Celle-ci devra figurer
dans le carnet d'entretien.
Dans le cas contraire, la faute est confirmée et le technicien doit poursuivre la procédure de
maintenance.
Note : Lorsque le BLS en faute est du type UCB et que l'UCB n'est pas dupliquée (système
simplex), l'étape de confirmation est inutile car celle-ci a été faite automatiquement par
le logiciel opérationnel du réseau.
L'étape de confirmation n'existe pas pour les types de BLS suivants :
- SEC/REDR,
- BATTERIE.
Les éléments de cette liste peuvent être soit des éléments à vérifier (connexions, disjoncteurs
d'alimentation...), soit des éléments à remplacer. Seuls peuvent être remplacés les éléments
interchangeables faisant partie du lot de rechange :
Note : Lorsque plusieurs cartes d'un même type peuvent être présentes dans une grappe, le
numéro de la carte à incriminer s'obtient en décomposant le numéro du BLS en faute.
Cette décomposition a déjà été effectuée dans l'étape de prise en compte de l'alarme
réseau selon les indications de l'Annexe 1.
Un BLS SECT/BOU est identifié dans le message d'alarme par le numéro de BLS (A ou
B), le numéro de grappe aval (réceptrice) et éventuellement le numéro de boucle
principale (0 ou 1). Ces trois paramètres permettent, en se reportant au Dossier
d'Ingénierie du réseau d'identifier les cartes RMX et ROX (dans le cas de fibre optique)
situées aux extrémités du secteur de boucle en faute.
Le technicien de maintenance doit d'abord se reporter à l'Annexe 3 qui permet d'identifier, par son
type et son numéro, le BLD associé au BLS en faute.
Le technicien doit ensuite effectuer les opérations représentées dans la figure 4 qui correspondent
au type de BLD identifié.
Certaines opérations peuvent être effectuées "à distance" depuis le terminal d'exploitation du
réseau : il en est ainsi de toutes les opérations déclenchées par l'exécution de RHM.
Chaque fois que le technicien aura ainsi à se déplacer vers le matériel suspecté, il pourra, dans
certains cas, afin de préciser la liste des éléments à incriminer, effectuer quelques vérifications
visuelles sur le matériel, parmi lesquelles :
♦ les connexions,
♦ les voyants lumineux des alimentations et de certaines cartes (voir Annexes 7 et 8),
♦ les fusibles (voir Annexe 7),
♦ les clés UCB et UCG (voir Annexe 6).
La première opération de l'étape de préparation du dépannage consiste toujours à désactiver le
BLD identifié : le technicien suivra pour cela les instructions décrites dans l'Annexe 4.
Les opérations suivantes permettent au technicien d'affiner la liste des éléments à incriminer
précédemment établie.
Dans le cas où le BLD identifié est une grappe (UCB ou UCG) le technicien de maintenance
dispose pour cela de logiciels de test du matériel :
Toutefois, la méthode de mise en œuvre de ces logiciels de test diffère selon le type de BLD (UCB
ou UCG) et dans le cas du BLD UCG, selon le type de BLS en faute (UCG ou autre type).
♦ placer la clé CHARGEMENT de l'UCB sur la position MANUEL (voir Annexe 6),
♦ connecter la console mobile dont il dispose sur la prise DB9 du raidisseur de la
carte UTJ ou USJ de l'UCB (voir Annexe 6),
♦ contrôler les résultats d'exécution de ces tests au démarrage affichés sur la console
mobile (voir Annexe 9),
♦ si possible, exécuter le logiciel des programmes de test des systèmes TML/TMD relatif
aux cartes suspectées, la mise en œuvre de ce logiciel s'effectuant localement à l'UCB
depuis la console mobile (voir Annexes 10 et 12).
♦ connecter la console mobile dont il dispose sur la prise DB9 du raidisseur de la carte
USH ou USI de l'UCG (voir Annexe 6),
♦ contrôler les résultats d'exécution des tests au démarrage du matériel, affichés sur la
console mobile (voir Annexe 9).
b) En revanche, si le BLS en faute n'est pas du type UCG, la communication entre l'UCB et l'UCG
contenant le BLS en faute est généralement possible ; dans ce cas, le technicien peut mettre en
œuvre les logiciels de test appropriés relatifs aux cartes de l'UCG suspectées "à distance",
c'est-à-dire depuis le terminal d'exploitation du réseau.
Le technicien doit successivement :
♦ mettre en œuvre le système de test du matériel à distance (TMD) afin de placer l'UCG
"en communication" avec l'UCB (voir Annexe 11),
♦ visualiser et contrôler les résultats d'exécution des tests au démarrage du l'UCG (voir
Annexe 9), l'affichage étant dans ce cas, réalisé sur la console d'exploitation,
Note : Lorsque le BLS en faute correspond à une carte connectée au bus de commande
des équipements de lignes d'une UCG (ou que le BLS en faute est un sous-ensemble
d'une telle carte), le BLD associé, que le technicien doit donc désactiver, est la carte
elle-même et non pas l'UCG dans son ensemble.
Ce choix permet en particulier de n'affecter, lors du dépannage, que les abonnés ou les
liaisons dépendant de la carte à remplacer, la grappe poursuivant par ailleurs son
fonctionnement opérationnel. En revanche, cela interdit au technicien de maintenance la
mise en œuvre, aussi bien "à distance" que "locale", du logiciel de test relatif à la carte
suspectée, celui-ci ne pouvant coexister dans la grappe avec le logiciel opérationnel.
La console à connecter doit être une console de type VT100 présentant les principales
caractéristiques de configuration suivantes :
♦ SEC/REDR,
♦ BATTERIE.
Cette étape comprend deux phases qui doivent être répétées pour chaque élément de la liste des
éléments à incriminer, tant que les résultats ne sont pas satisfaisants :
♦ dépannage,
♦ vérification.
♦ soit à remplacer l'élément interchangeable par un élément identique pris dans le lot de
rechange (fusible, carte, convertisseur...).
Ces opérations sont précisées dans l'Annexe 5. Toutefois, la figure 5 correspond au cas de
remplacement d'un élément.
5.5.2 VERIFICATION
La seconde phase consiste à vérifier l'efficacité du dépannage en exécutant le logiciel de test se
rapportant au BLS en faute.
1. Lorsque le BLD identifié est du type UCB, la vérification du dépannage s'effectue en
réexécutant (toujours localement) des logiciels de test qui ont été exécutés dans la phase de
préparation du dépannage, à savoir :
Note : L'Annexe 7 décrit l'implantation physique des principaux éléments matériels constituant
un réseau M6500.
Après avoir, le cas échéant, déconnecté la console mobile de la grappe concernée, remis les clés
de la grappe en position correcte (voir Annexe 6), le technicien doit remettre en service le BLD
précédemment désactivé, puis vérifier l'état du BLS précédemment en faute.
Si le BLS concerné est toujours en faute, le technicien doit réexécuter les étapes de préparation du
dépannage puis de dépannage et vérification relatives à l'élément suivant de la liste des éléments à
incriminer.
Lorsque cette liste est épuisée, la procédure de maintenance de niveau 1 est considérée comme
ayant échoué, et le technicien doit alors faire appel au constructeur ou à son représentant qui
effectuera la maintenance de niveau 2.
L'étape de remise en service n'existe pas lorsque le BLS précédemment en faute était du type :
♦ SEC/REDR ou
♦ BATTERIE.
Ce chapitre décrit la procédure que doit suivre le technicien de maintenance de niveau 1 lorsque son
intervention a été demandée à la suite d'une ou de plusieurs plainte(s) d'utilisateur(s).
La procédure à suivre est résumée par la figure 7.
Si la plainte de l'utilisateur est accompagnée de l'apparition d'une alarme réseau, le technicien de
maintenance suivra la procédure relative à cette alarme (voir § 5).
Dans le cas contraire, la procédure à suivre consiste à effectuer successivement les opérations
suivantes :
1. Confirmation.
2. Identification des éléments matériels mis en jeu par l'utilisateur.
3. Exécution d'une première phase de dépannage.
4. Eventuellement, exécution d'une deuxième phase de dépannage.
Remarque : L'étape 1 peut éventuellement être exécutée par l'exploitant du réseau, l'intervention
du technicien de maintenance de niveau 1 n'étant alors demandée que dans le cas
où la faute est confirmée. Dans ce cas, le technicien exécutera la procédure de
maintenance à partir de l'étape 2 d'après les informations qui lui seront transmises
par l'exploitant du réseau qui lui-même les aura recueillies de l'utilisateur lorsque ce
dernier lui a formulé sa plainte (numéro d'abonné de l'utilisateur, manipulations
effectuées...).
6.1 CONFIRMATION
Dans un premier temps, cette étape consiste à essayer de reproduire la faute constatée par
l'utilisateur en effectuant, depuis son terminal, exactement les mêmes manipulations qu'il a
lui-même effectuées, ceci afin de s'assurer qu'il ne s'agit pas d'une faute fugitive.
Lorsque la faute est reproductible, le technicien de maintenance (ou éventuellement l'exploitant du
réseau) doit ensuite effectuer quelques manipulations susceptibles de préciser si la faute est liée
ou non aux équipements dont dépend l'utilisateur. Le contenu de ces manipulations varie selon la
nature de la faute constatée et les circonstances dans lesquelles cette faute s'est produite.
♦ effectuer, depuis le terminal de l'utilisateur, d'autres manipulations que celles qui ont
provoqué la faute (appel d'un autre abonné, accès à un autre service du réseau
M6500...),
♦ effectuer, depuis un autre terminal, exactement les mêmes manipulations que celles qui
provoquent la faute lorsqu'elles sont effectuées sur le terminal de l'utilisateur,
Elle consiste, pour les équipements suspectés à l'étape de confirmation (voir § 6.1) à effectuer les
opérations suivantes :
Elle consiste, successivement pour chaque abonné impliqué, et selon les priorités qui ont
éventuellement été établies à l'étape de confirmation (voir § 6.1), à incriminer les éléments
correspondant aux types de BLS CLX et/ou LAX dont dépend l'abonné (voir Annexe 2).
Sinon
Faire Appel à la Maintenance de niveau 2
Aller à Fin_Traitement
Fin_Si
Fin_Si
Fin_Si
Fin_Si
Fin
Les numéros de BLS sont donnés en hexadécimal (tels qu'ils apparaissent dans les messages
d'alarme).
CATEGORIE
TYPE DU BLS NUMERO DU BLS
D'ALARME
7 0
ABON/TEL n° LAB N NON URGENT
0 ≤ N ≤ 15
7 0
AB/TEL32 n° LAB N NON URGENT
0 ≤ N ≤ 31
7 0
**AB/NUM n° LAN N NON URGENT
0 ≤ N ≤ 15
7 0
AB/NUM32 n° LAN N NON URGENT
0 ≤ N ≤ 31
7 0
*ACC/ADP n° ADP N NON URGENT
N=0
7 0
*ACC/ATM n° carte N NON URGENT
0≤N≤5
7 0
*ACC/CCP n° CCP N NON URGENT
0≤N≤3
7 0
*ACC/CMA n° CMA N NON URGENT
0 ≤ N ≤ 15
7 0
*ACC/CPH n° CPH N NON URGENT
0 ≤ N ≤ 15
7 0
ACCES/IP n° PVI N NON URGENT
0 ≤ N ≤ 63
7 0
ACC/LASS n° LAS N NON URGENT
0≤N≤7
7 0
ACC/LAST n° LAS N NON URGENT
0≤N≤7
7 0
ACC/LDSS n° LDS N NON URGENT
0 ≤ N ≤ 7 (ou 15)
7 0
ACC/LDST n° LDS N NON URGENT
0 ≤ N ≤ 7 (ou 15)
ALA_ENT0
__________ URGENT
à
ALA_ENT7
7 0
******AP n° CCF N NON URGENT
0 ≤ N ≤ 15
*ARA_PDH 0 ≤ N ≤ 47 URGENT
*ARA_SDH 0 ≤ N ≤ 47 URGENT
7 0
*****AUX n° SGX N NON URGENT
0 ≤ N ≤ 15
7 0
*AUX/TMS n° TMS N NON URGENT
0 ≤ N ≤ 15
*****BDT A, B ou C URGENT
7 0
***BORNE n° LAC N NON URGENT
0 ≤ N ≤ 15
7 0
BORNDECT n° LAS N NON URGENT
0≤N≤7
7 0
BORN2LDS n° LDS N NON URGENT
0 ≤ N ≤ 7 (ou 15)
7 0
BORN4LDS n° LDS N NON URGENT
0 ≤ N ≤ 7 (ou 15)
7 0
******CF n° CCF N NON URGENT
0≤N≤7
7 0
**CF/TMS n° TMS N NON URGENT
0≤N≤2
*****CUH A, B ou C URGENT
*****CUS A, B ou C URGENT
*HOR/BDT A, B ou C URGENT
*HOR/CUX A, B ou C URGENT
7 0
*****JIA n° LIA N NON URGENT
0≤N≤3
7 0
****JPVI n° PVI N NON URGENT
0 ≤ N ≤ 63
7 0
*****JRA n° LRA N NON URGENT
0≤N≤7
7 0
*****JRN n° LRN, n° MIC N NON URGENT
0 ≤ N ≤ 31
7 0
*****JRP n° ADP N NON URGENT
0 ≤ N ≤ 31
7 0
LIAI/CLX n° CLX N NON URGENT
0 ≤ N ≤ 47
7 0
LIAI/CRI n° CRI N NON URGENT
0 ≤ N ≤ 15
7 0
LIAI/ITN n° ITN N NON URGENT
0≤N≤3
7 0
LIAI/ITS n° ITS N NON URGENT
0≤N≤3
7 0
LIAI/PCA n° PCA N NON URGENT
0≤N≤7
7 0
LIAI/PPA n° PPA N NON URGENT
0≤N≤7
7 0
LIAI/SIG n° SIG N NON URGENT
N=0
7 0
*****MIC n° LRN N NON URGENT
0≤N≤1
7 0
MPSC/CLX n° CLX N NON URGENT
0≤N≤7
7 0
PORT/PRA n° PRA N NON URGENT
0≤N≤4
SECT/BOU A ou B URGENT
(note 2)
***SYNCP A, B, C, D, E ou F URGENT
***SYNCT A, B ou C URGENT
******UCB A ou B URGENT
*VENTIL URGENT
Notes :
1) Les alarmes associées aux types de BLS "BOUCLEP" et "BOUCLET" sont considérées
comme urgentes car elles indiquent que l'ensemble d'une boucle "principale" ou
"téléphonique" est en faute.
Le dépannage d'une telle faute (souvent multiple) ne pouvant être du ressort de la
maintenance de niveau 1, le technicien de maintenance devra faire appel au
constructeur (ou à son représentant) dans les plus brefs délais.
2) Dans le cas d'une alarme sur un secteur de boucle (principale), l'identité de la grappe
(UCG, UCB ou USB) située en aval du secteur en faute, accompagnée éventuellement
du numéro de boucle principale, sont aussi indiqués dans le message d'alarme, ce qui
permet de repérer géographiquement le tronçon de boucle en faute.
Connexions du
terminal au répartiteur
Connexions du
terminal au répartiteur
*ACC/ATM
*****LAB Carte LAB Fusibles convertisseur Carte MCS, AMH Carte UTX, USH
ou AMI ou USI
*****LAN Carte LAN Fusibles convertisseur Carte MCS, AMH Carte UTX, USH
ou AMI ou USI
***LDS64
*****LRA Carte LRA, LRD ou Carte MCS, AMH ou Carte UTX, USH
LRF AMI ou USI
SECT/BOU Câble coaxial ou fibre Répéteur grappe Répéteur grappe carte SYNC
reliant deux grappes amont - partie aval - partie associée
(note 1) émission/décodage émission/décoda
des données ge des données (note 6)
transmises sur le reçues sur le
câble de la boucle câble de la
principale boucle principale
SEC/REDR Dispositif de
redressement du
secteur
*****SGT
*****UCG Disjoncteurs Carte UTX, USH ou Carte AMH, AMI, contrôleur de bus
(note 5) fusibles, USI RMX, MCS de chaque carte
convertisseur, ayant accès au
armoire d'énergie bus système
Position des clés sur le (cartes CLX)
bandeau
♦ Le type du BLD est donné par le tableau de correspondance suivant, dans lequel seuls
sont indiqués (par ordre alphabétique) les types de BLS pour lesquels une intervention
de la maintenance de niveau 1 est possible,
♦ le numéro du BLD est donné dans le message d'alarme (numéro de la carte figurant
dans le numéro du BLS en faute lorsque le BLD est une carte ou numéro de la grappe
contenant le BLS en faute lorsque le BLD est une grappe).
Sens de la boucle
N1 N N2
Fibre x
UCGn1 UCGn UCGn2
Secteur de boucle
en faute
La désactivation peut se faire de façon immédiate (désactivation forcée d'une grappe) ou peut être
précédée (quand cela est possible) par un temps d'attente de l'ordre de quelques minutes pour ne
pas couper brutalement les communications en cours (désactivation douce d'une grappe).
Pour procéder au dépannage d'un secteur de boucle, il est obligatoire d'isoler ce secteur ainsi que
les deux secteurs limitrophes (voir Annexe 3 - note 1).
Ainsi, les numéros des grappes à indiquer lors des trois exécutions de la RHM XETBLS sont
successivement :
Enfin, dans le cas où les équipements seraient alimentés par un atelier d'énergie
(redresseurs + batteries) des indications sont fournies pour le remplacement d'un redresseur.
♦ remettre une clé d'une grappe en position correcte (voir Annexe 6).
Dans le cadre de la maintenance de niveau 1, seuls peuvent être remplacés les éléments
interchangeables appartenant aux catégories suivantes :
♦ l’alimentation ADS850
♦ cartes de circuit imprimé,
♦ modules redresseur, si un atelier d'énergie est mis en œuvre.
♦ périphériques (consoles, imprimantes, clavier, écrans, PC portable, poste abonné).
L'Annexe 7 décrit l'emplacement de ces divers éléments dans une grappe.
Note : Lorsqu’on échange deux cartes avec une PROM, il faut récupérer la PROM de la carte
en panne et remettre cette PROM sur la nouvelle.
Le retrait d'une carte doit être effectué en utilisant un extracteur de carte après avoir au
préalable déverrouillé cette carte en plaçant en position horizontale la tête des 2 boutons situés
sur son raidisseur.
La carte de rechange doit ensuite être positionnée en lieu et place de la carte retirée, puis
enfichée avec beaucoup de précautions en s'assurant que les connecteurs mâle et femelle sont
bien en regard l'un de l'autre.
La carte enfichée doit enfin être verrouillée en plaçant en position verticale la tête des 2 boutons
situés sur son raidisseur.
E) REMPLACEMENT DES CARTES CCA, CCF, LAB, LAN, LAI, LIA, LRA, LRD ET RMX
Le remplacement de l'une de ces cartes s'effectue sans couper l'alimentation de la grappe dans
laquelle elle se situe (convertisseur).
Note : La désactivation du BLS LRN ou ADP nécessite un "rebouclage" du MIC sur le TNL
(alarme côté PTT).
Avant de procéder au remplacement d'une carte ROX, il est nécessaire de retirer la carte RMX
correspondante à l'aide d'un extracteur, sans oublier de la déverrouiller au préalable.
Il existe trois variantes de carte ROX suivant qu'elle est émettrice seule, réceptrice seule ou
émettrice-réceptrice.
La carte ROX qui est incluse dans le lot de rechange est une carte émettrice-réceptrice ; elle
peut donc être mise à la place d'une carte ROX de variante quelconque, à condition de veiller à
Fixer ensuite les autres câbles de transmission et le câble d'alimentation sur le connecteur de la
carte ROX.
Enfin, remettre la carte RMX en place (sous tension) dans son alvéole et la reverrouiller.
♦ désenficher la carte,
♦ mettre en place une nouvelle carte et appuyer sur le bouton-poussoir BDP.
Pour couper l'alimentation d'une grappe il faut agir sur l'interrupteur situé sur la face avant du
convertisseur qui alimente cette grappe.
♦ provoquer une interruption sur l'unité de traitement (bouton-poussoir INT ou NMI sur la
carte UTJ ou USJ),
En effet, certains circuits diffèrent selon les types de cartes et l'emplacement de ces cartes
(UCB ou UCG).
♦ remettre la grappe sous tension en agissant sur l'interrupteur situé sur la face avant du
convertisseur qui alimente la grappe,
♦ ou remettre l'UCB sous tension en mettant l'interrupteur de la carte ALC ou TAE sur
Marche ou ON.
Vérifier l'état des voyants lumineux (voir Annexe 8), en particulier vérifier que le convertisseur
n'a pas disjoncté ou que la carte ALC ou TAE est bien alimentée.
Si le convertisseur a disjoncté mettre son interrupteur sur la position ARRET, attendre quelques
secondes, puis le basculer sur MARCHE.
Toutefois, ces batteries nécessitent une vérification périodique consistant à mesurer leur tension à
vide.
La mise hors service de la batterie doit donc être précédée de la mise en maintenance
de l'UCB (ou des deux UCB).
On peut être amené à remplacer un module redresseur en panne. La procédure est la suivante :
Type MC 6550 : sur la carte MDV et la carte UTJ d'une UCB, sur la carte USH d’une UCG.
Type M6550-L/LC IP : sur la carte USJ d'une UCB, sur la carte USI d’une UCG.
Les procédures d’arrêt et de redémarrage d’une machine M6550 sont décrites dans le Manuel
d’Installation (Référence LCAH-50189) au chapitre « Arrêt et démarrage d’une UCB ».
♦ la clé d'interruption appelée INT ou encore NMI (pour Interruption Non Masquable),
réalisée en fait sous la forme d'un bouton poussoir,
♦ la clé "Mode de Chargement" CHG, avec deux positions MAN pour Manuel et NOR pour
Normal.
Remarque : On trouve également sur le raidisseur des cartes UTJ ou USJ un connecteur mâle
à 9 points permettant l'accès direct au processeur de la carte.
Sur cette même carte MDV il faut ignorer totalement la partie "bandeau" marquée UCG.
M
D
V
UCB
Connecteur Alarme
bus SCSI
(pour streamer
externe) Maintenance Hors/En
RAZ. UCB
UCG
Normal/Manuel Connecteur
9 points mâle
RAZ INT
FLOPPY
♦ la clé d'interruption appelée NMI (pour Interruption Non Masquable), réalisée en fait sous
la forme d'un bouton poussoir,
♦ la clé "Mode de Chargement" CHG, avec deux positions MAN pour Manuel et NOR pour
Normal.
U
S
J
Carte PCMCIA
de mise à jour
NMI
MAN
Clé chargement
CHG
NOR
RST
Clé Maintenance ON
OFF
Connecteur
9 points mâle
U
S
I
NMI
MAN
Clé Chargement CHG
NOR
RST
Connecteur
9 points mâle
Remarque : On trouve également sur le raidisseur des cartes USH et USI un connecteur mâle
à 9 points permettant l'accès direct au processeur de la carte.
Deux clefs-poussoir permettent d'interrompre et de réinitialiser l'UCB, comme il est montré dans le
tableau ci-dessous.
Deux clefs-poussoir permettent d'interrompre et de réinitialiser l'UCG, comme il est montré dans le
tableau ci-dessous.
Remarque : Les clefs de l'UCG ne sont pas à modifier dans le cadre de l'exploitation et de la
maintenance de niveau 1.
EN ou ON : UCB en maintenance
Chaque UCG possède une clé à deux positions dont les significations sont les suivantes :
Pour un fonctionnement normal du réseau, les clés UCB et UCG à deux positions doivent toutes
être en position basse, à savoir :
13.1 GENERALITES
La mécanique du M6550 peut être :
a) en baies pivotantes pouvant recevoir des alvéoles à 22 positions de carte.
Un seul type de baie câblée a été défini, la baie "L", utilisable comme "baie centrale" avec
l'alvéole FPH2B(I) ou FPHBG, ou comme "baie d'extension".
b) en coffret du type MC6540 (M6550-LC), pouvant recevoir les alvéoles prévues pour les baies.
Les différentes unités (USB, UCB et UCG) se présentent sous la forme d'alvéoles assemblées
dans des armoires (M6550, M6550-L) ou dans des coffrets (M6550-LC).
A
Unité de contrôle Unité de contrôle
USB de boucle L de grappe
UCB_A / UCB_B I (UCG 05)
M
A A
Unité de contrôle Unité de contrôle
L de grappe
L de grappe
I (UCG 02) I (UCG 06)
M M
A A
Unité de contrôle Unité de contrôle
L de grappe
L de grappe
I (UCG 04) I (UCG 08)
M M
Chaque machine M6550 X est ainsi constituée physiquement d'une armoire (ou coffret) centrale et
éventuellement de n armoires (ou coffrets) de grappes.
A A
Unité de contrôle Unité de contrôle
L de grappe L de grappe
I (UCG 03) I (UCG 07)
M M
A A
Unité de contrôle Unité de contrôle
L de grappe L de grappe
I (UCG 05) I (UCG 09)
M M
Armoire centrale
L'armoire centrale contient :
Armoires d'extension
Les armoires d'extension éventuelles ne se composent que des unités de contrôle de grappe en
commençant par l’UCG05 ou UCG06 et allant jusqu'à un maximum de 37 grappes.
FPH2B (40Méga)
FPH2BI (155 Méga)
A
L
FPT ou FPD
I
M
A
L FPT ou FDP
I Ou vide
M
A
L FPD ou FPT
I Ou vide
M
A
L FPHBG
I
M
A
L
FPT ou FPD
I
M
A
L FPT ou FDP
I Ou vide
M
A
L FPD ou FPT
I Ou vide
M
La baie L peut être équipée dans chacune de ses positions par les alvéoles FPT30 ou FPD30.
Les emplacements non utilisés sont vides (ALV) mais câblés au point de vue énergie 230 V AC et
– 48 V continu, et prêts à recevoir ultérieurement une alvéole en cas d'extension du système.
13.2.2 COFFRET
COFFRET MC6550 LC
A
L
FPT ou FPD
I
Ou vide
M
FPH2BI
A
L
FPD ou FPT
I
M
BASE
Remarques : Possibilité de superposer 3 coffrets au maximum pour les systèmes ou pour les
extensions (0, 1, 2).
Les UCG ajoutées en extension sont équipées au-dessus des UCG existantes (3
coffrets maximum) ou constituent un deuxième empilage.
A A
L L FPT ou FPD
FPHBG
I I
M
M
A A A
L L L
FPHBG FPD ou FPT FPD ou FPT
I I I
M
M M
BASE BASE BASE
A
L
FPT ou FPD
I
M
A A
L L
FPT ou FPD FPD ou FPT
I I
M M
BASE BASE
♦ +5 V 35 A
♦ -5 V 1,5 A
♦ +12 V 4,5 A
♦ -12 V 1,5 A
♦ 2 x 34 V 0,15 A
La tension -48 Volts est obtenue à partir du secteur. Les autres tensions sont obtenues à partir du -
48V.
Une batterie extérieure de 48 Volts assure l'autonomie du système en cas de coupure du secteur.
13.3.2.1 DESCRIPTION
Remarque : Lors de la coupure du secteur, les batteries alimentent les convertisseurs des
alimentations ADS850 jusqu'à une tension de coupure qui est de -43V environ.
Cette tension est contrôlée par les circuits des alimentations ADS850 et des
cartes ALC, TAE, CUH, CSH, RMF et RMH.
Lors du retour du secteur après une décharge profonde de la batterie, le courant de charge n'est
limité que par la limitation du courant redresseur.
Dans cette section on trouvera successivement une description des éléments suivants :
♦ l'arrivée sur les baies du secteur 230 V et du -48 V des batteries et le raccordement, au
niveau de chaque baie, des différentes sources de -48 V (celui des batteries et ceux
fournis par les alimentations présentes dans la baie),
♦ Le secteur 230 V arrive en haut et à gauche de chaque baie et aboutit en fond de baie
sur 3 prises ordinaires sur lesquelles viendront 3 cordons secteur pour les trois
alimentations (maximum) que l'on peut trouver dans une baie.
♦ Le -48 V des batteries arrive en haut et à droite de chaque baie et aboutit à un bornier en
fond de baie à partir duquel les câbles repartent vers les panneaux arrière.
♦ Les câbles reliés au panneau arrière transitent sur un rail de fixation. A ce niveau une
boucle est effectuée permettant de désenficher et d'enficher aisément les câbles.
VOIR VOIR
DETAIL 2 DETAIL 1 DETAIL 2
(Filtre 230V) (Filtre 48V)
(+48V) (0V)
DETAIL 1
en fond de Baie
en fond de Baie
PRINCIPES DE RÉALISATION
COFFRET DES PROTECTIONS 48 VOLTS DC
** G SECTIONNEUR GENERAL
INTERRUPTEUR BIPOLAIRE
G à définir en fonction de la puissance des
batteries et du nombre des ADS 850 utilisant
1 2 3 X
réellement le redresseur intégré
RT ** DISJONCTEUR DE BAIES
RT RÉPARTITEUR DE TERRE
(barre de cuivre, isolée du coffret)
MC 6550 UCG P1
P2 Prises MALES 230V MONO + TERRE 16 A
Baie d'extension
P3
filtre
48 DC 230 V P1 AC
ALI J1
J1 J2 BLOC 4 Prises FEMELLES 230 V
J2 J3 MONO + TERRE 16 A
48 DC ALI 230 V P2
J3
G Disjoncteur différentiel bipolaire 230V MONO
J4 Phase + Neutre + Terre
48 DC 230 V P3
ALI disjoncteur principal
M6550 IP UCG P1
Baie d'extension P2 Prises MALES 230V MONO + TERRE 16 A
P3
filtre
48 DC 230 V P1 AC
ALI J1
J1 J2 BLOC 4 Prises FEMELLES 230 V
J2 J3 MONO + TERRE 16 A
48 DC ALI 230 V P2
J3
G Disjoncteur différentiel bipolaire 230V MONO
J4 Phase + Neutre + Terre
48 DC 230 V P3
ALI disjoncteur principal
ENERGIE 230 V AC
PRINCIPES DE RÉALISATION
COFFRET DES PROTECTIONS 230 VOLTS AC
Le logiciel de test au démarrage du matériel, situé en mémoire PROM de chaque carte processeur
d'une UCB ou d’une UCG, s'exécute automatiquement chaque fois que l'un des événements
suivants se produit :
Note : Pour lancer l’exécution des tests au démarrage, appuyer sur le bouton NMI (INT) avant
d’appuyer sur le bouton RAZ ou RESET.
Les résultats des tests s'affichent sur la console mobile préalablement connectée à l'unité de
traitement de l’UCB ou de l’UCG.
Les tests au démarrage du matériel sont des tests sommaires, globaux et automatiques. Leur
composition, donc la présentation des résultats, diffèrent selon le type de grappe dans lequel ces
tests s'exécutent :
ROM-CARD USJ
ROM-CARD USI
ATTENTION : Les tests décrits dans ce chapitre concernent le matériel MC 6550. Pour le
M6550-L/LC IP, ces tests sont du ressort de la maintenance constructeur.
Le système de test du matériel en local (TML) est composé d'un moniteur de test dit "Moniteur de
Test autonome sur disquette ou sur disque dur" et d'un certain nombre de programmes de test dont
l'exécution est contrôlée par RHM au moyen de commandes de ce moniteur.
Ce système réside sur une disquette de dite "disquette de test" à placer dans le lecteur de
disquette de l’UCB ou sur disque dur.
Les commandes du moniteur de test sur disques sont communes à celles d’un autre moniteur de
test dit "Moniteur de Test à distance".
La présente annexe ne décrit que la procédure de mise en œuvre du moniteur de test autonome
sur disquette.
La mise en œuvre des programmes de test proprement dite est décrite dans l'Annexe 12.
Cette procédure ne s'applique pas dans le cas où le BLD associée au BLS en faute est du type
UCB.
♦ appuyer sur le bouton-poussoir RAZ de l'UCB lorsque l'alvéole UCB est déjà alimentée
ou remettre sous tension l'alvéole UCB dans le cas contraire,
♦ lorsque sur l'écran de la console mobile, après affichage des résultats des tests au
démarrage UCB, apparaît le caractère *
taper :
"RETOUR"
Cette commande a pour effet de charger en mémoire RAM de la carte UTX de l'UCB le logiciel du
moniteur de test autonome sur disquette à partir de la disquette de test ou du disque puis de lancer
l'exécution de ce moniteur.
Commandes : EXEC REEX. BILN AUTO EDIT TCHG LIST JOUR WMEM RMEM WPOR RPOR
DEMA
TACHE : On peut alors mettre en oeuvre, depuis la console mobile, les programmes de test
appropriés du Système de test du matériel autonome sur disques.
ATTENTION : Les tests décrits dans ce chapitre concernent le matériel MC 6550. Pour le
M6550-L/LC IP, ces tests sont du ressort de la maintenance constructeur.
Le système de test du matériel à distance (TMD) est composé d'un moniteur de test dit "Moniteur
de test à distance" et de différents programmes de test, l'exécution de ces programmes étant
contrôlée par RHM au moyen de commandes de ce moniteur.
♦ d'une partie "centrale", ayant une structure de RHM, donc résidant sur le disque dur de
l'UCB et chargée en mémoire RAM de la carte UTX de l'UCB sur demande du technicien
de maintenance,
♦ d'une partie dite "locale", téléchargée dans la mémoire RAM de la carte UTX de l'UCG
dans laquelle les tests doivent être mis en œuvre.
Le téléchargement de cette partie locale du moniteur ainsi que des programmes de test s'effectue
depuis la disquette de test placée dans le lecteur de disquette de l’UCB ou en l’absence d’une telle
disquette, depuis le disque dur de l'UCB.
Cette procédure ne s'applique pas dans le cas où le BLD associée au BLS en faute est du type
UCG et le BLS en faute n'est pas lui-même du type UCG (le BLD UCG ayant été préalablement
désactivé par RHM).
Dans cette procédure, les textes à entrer au clavier des consoles sont indiqués en caractères gras ;
ils doivent être suivis d'un caractère "RETOUR" (à l'exception des commandes comportant la
touche "CONTROLE").
On peut alors mettre en oeuvre "à distance" les logiciels de test appropriés.
A la fin de l'étape de préparation et donc avant de se rendre sur l'UCG pour procéder au
test, il faut impérativement rompre la communication entre UCB et UCG en tapant la
commande "." sur le terminal d'exploitation.
Une fois revenu sur la console d'exploitation, il faut sortir du système de test du matériel à
distance, c'est-à-dire de la RHM TSTDIS, en tapant :
"CONTROLE D"
sur la console d'exploitation.
ATTENTION : Les tests décrits dans ce chapitre concernent le matériel MC 6550. Pour le
M6550-L/LC IP, ces tests sont du ressort de la maintenance constructeur.
Lorsque la procédure de mise en œuvre du Moniteur de test adéquat a été exécutée, c'est-à-dire
lorsque le message "TACHE :" apparaît sur la console (voir Annexe 10 ou 11), le technicien de
maintenance doit, quand cela est possible, exécuter les programmes de test des cartes incriminées
puis remplacées.
Chaque programme de test comporte un certain nombre de tests identifiés sous la forme "TEST
X.Y".
Le programme de test est interrompu à la première erreur détectée ("XXXXXXXX" étant l'identité
de l'erreur).
♦ Quand une erreur est détectée dans une carte, le message ERREUR xy est affiché pour cette
carte. La liste des erreurs est indiquée dans le document .
♦ Lorsque l'affichage des résultats sur la console ne peut être obtenu, on doit vérifier la
connexion de la console à la grappe et, si celle-ci est correcte, procéder au remplacement de
la carte UTX de la grappe.
Les pages suivantes indiquent, pour chaque programme de test exécutable, les RHM nécessaires
à sa mise en œuvre ainsi que les résultats affichés sur la console dans le cas d'un bon
fonctionnement du matériel.
Les programmes de test exécutables dans une UCG (à distance ou localement) sont les suivants :
ADP
CCX (cartes CCA et CCF)
ITN
LAB
LAN
LAS
LIX
LRA (carte LRD)
LRN
LTC (cartes CLX)
LVX (carte LRV)
MCS
SDA (carte LRD avec SDA Analogique)
SGX (cartes SGN & SGT)
TACHE :
EXEC CAT
Taper des caractères puis RETOUR sur la console connectée à la carte "TAD" (console
Exploitation - Maintenance)
M
A Visualisation sur la console où a été initialisé le test, des
T caractères frappés sur la console d'exploitation/maintenance
R
A
TACHE :
EXEC CAT 2.4
Exécution du programme CAT
TACHE :
TACHE :
EXEC CCX DI, CE
Matériel équipé de MCS ou de CMT (M ou T) : M
Exécution sur BANC DE TEST (Oui ou Non) : N
Entrer numéro de carte CCX (0 à 1) : 0
la carte CCF ne doit pas être équipée de ses PROM d'annonces parlées
ERREUR PROPRE CCX32103
NUM IT 01H CODE LU DFH
TACHE :
TACHE :
TACHE :
TACHE :