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Echec scolaire
Qu’est-ce qu’est un échec scolaire non spécifique ?
L’échec est un symptôme de dysfonctionnement spécifique où l’on pointe un
dysfonctionnement général touchant toutes les matières scolaires. Ce dernier est fréquent
et banal donc va se résorber. Quelles sont les causes :
- Facteurs psychodynamiques (intrapsychique) ponctuels (à un moment donné mais
laisse place à des moments de répit) ou récurrents (permanent) : ne concerne que
l’enfant tel que : la dépression, les traits autistiques, schizophrénie, troubles
neurologiques, …
Sous-stimulation du milieu
Pas de livre à la maison où bien aucun intérêt aux livres dès le
plus jeune âge
Pays où on ne met pas les enfants tôt à l’école
Parents n’ayant pas la langue où l’enfant apprend
Bain de langage pas assez présent
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Scolarisation lacunaire ou irrégulière
Passe d’un lycée à un autre
Maladie grave, hospitalisation
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ans passage à l’abstraction car est toujours dans le ici et maintenant dans le concret. Ne sait
pas utiliser l’argumentation verbale pour se décentrer et voir de l’abstrait
Si on a un problème de facteur g alors j’ai une déficience mentale. La déficience mentale se
caractérise par l’insuffisance des fonctions raisonnementales et logique (déficit en
catégorisation et conceptualisation) et du jugement.
Le langage permet de se projeter dans le temps.
Le problème d’apprentissage dans le cadre du TSA n’est que le symptôme (objet de la
plainte avancée par l’enfant les parent et ou enseignant).
Les mécanismes sous-jacents cognitifs atteints entraine une pathologie élective d’une ou
plusieurs fonctions intellectuelles.
Regard différentiel entre TSA et déficience mentale
TSA =
- Trouble électif (sélectionnel) et structurel
- Dissociations présentes : problème à un endroit mais pas partout
- Rééducation centrée sur les mécanismes pathologique (sous-jacents)
Déficience mentale =
- Trouble touchant l’ensemble des fonctions cognitive (intelligence générale)
- Rééducation menant à la synthèse et à la généralisation des données apprises.
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1ère plainte généralement entre la 1ère et 3ème primaire selon la vigilance des parents et
de l’enseignant et/ou appel émis par l’enfant.
Diagnostic tardif (ado) de plus en plus fréquent : posé sur base d’un échec scolaire
généralisé. Surcompensation menant cependant à un trouble important de la
compréhension écrite. (L2 bilinguisme intra langue possible car au sein de la même
langue on a le familier et le soutenu)
Le système à 2 voies
La lecture par assemblage
Code écrit appris en règles régissant les correspondances graphèmes/phonème (conversion
de segments orthographiques segments phonologique). C’est la fusion des sons et
syllabes obtenus pour produire en subvocalisation (lecture à voix basse ou lecture mentale)
les mots faisant partis du lexique phonologique de sortie (lexique auditif). Chez l’apprenti,
accès au sens aléatoire, lent et laborieux, couteux en fonction exécutives, MDT et attention
Séquence non familière et logatomes peuvent être lus.
Lecteur expert :
Est capable de prononcer tous types de mots ou séquences de lettre ne correspondant pas à
des mots familiers car a deux sources de connaissance : il connait les règles de conversion GP
mais sait prononcer spécifiquement des mots écrits non régis par ces règles. Ces deux voies
fonctionnent en parallèle. Cependant lire ne signifie pas comprendre je sais lire de l’italien
mais je ne le comprends pas pour autant.
Dans la voie d’assemblage on peut envisager une voie
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Une voie phonologique pure :
Et = et
Is = is
An = an
Une voie alphabétique relative à un code appris
Et = Ɛ
Is = i
An = ã
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représentations lexicales par segments orthographiques partagés avec d’autres mots
connus. Lorsque j’ai une structure irrégulière je le compare aux autres mots que je
connais déjà.
Modèle connexionniste
La lecture est un système qui ne fait pas appel à des règles de conversion GP ni au
lexique (adressage). Ce système dépend de l’organisation de réseaux de connections
crées à partir d’expositions nombreuses à des associations événements
orthographique/phonologique.
2. La démarche est très couteuse en mémoire de travail et à long terme degré peu
élevé de consistance (univocité faible : phonème peut être écrit de manière
plurivoque) donc utilisation prolongée de stratégies de conversion P/G en expression
écrite par rapport à la lecture.
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Probabilité faible d’écrire sans faute un mot par conversion P/G. la seule prise en compte
de la phonologie ne suffit pas à assurer la transcription. L’optimisation des
correspondances G/P même avec le respect des règles contextuelles, ne permettrait que
50% des transcriptions des unités lexicales. Opacité du système orthographique français !
4. Utilisation en français de marques n'ayant aucun référent oral : pluriels réguliers, ....
L'orthographe des mots présente des zones de fragilité qui affectent les sujets même
experts par rapport à certaines configurations, dans les situations de fatigue ou de
difficultés d'attention soutenue ! Ex : morphologie, homophones, correspondances
multiples
Parallèlement, apparaît l'idée que les représentations orthographiques ne seraient pas
seulement le fruit d'un apprentissage par cœur : leur construction impliquerait des
connaissances morphologiques expliquant une sensibilité à une autre forme de régularité de
la langue :
Les régularités lexicales dans les domaines sémantiques et orthographiques (constitution,
constitutionnel, anticonstitutionnel, constitutif, ...) morphologie : source de difficultés et de
connaissances. On utilise alors le modèle analogique
Production de mots écrits : proposition de modèle similaire à 2 voies
Procédure orthographique // voie d’adressage : récupération de la forme
orthographique à partir d'une représentation orthographique stockée en mémoire à
long terme
- Traitement premier d'extraction acoustico-phonétique
- Activation d’une entrée dans le lexique phonologique
- Récupération sémantique parmi les représentations stockées
- Récupération de la représentation orthographique dans le lexique
orthographique de sortie : sensible à la fréquence d’usage et au statut lexical
(logatome ou mot inconnu ne sera pas traité)
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Procédure phonologique // voie d’assemblage : utilisation d’un système sub-lexical
de règle de conversion P/G
Traitement premier d’extraction acoustico-phonétique
Segmentation en unité phonologique
Traduction en graphème
Assemblage de ces segments orthographiques : sensibilité au caractère
systématique des règles de conversion.
Exercice : quels types d’erreurs lors de la lecture ? détermine quelles voies est/sont atteintes
et quelles stratégies sont utilisées :
Pote pour porte
Voie d’assemblage touchée avec un rhotacisme donc atteinte du LO.
Ne sait pas lire le mot car ne sait pas bien le voir : hypermétrope
Problème de découpage de syllabe, segmentation et donc r non traité
(dyslexie visuo-attentionnel) = problème primaire
Traduction n’est pas erronée on ne transforme pas le graphème r en
phonème v problème = problème secondaire
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Assemblage erroné car en amont problème de segmentation donc ne peut
pas introduire le r s’il ne l’a pas segmenté. = problème secondaire
Soit alors le problème vient du système phonologique et donc PPS =
problème primaire
Voie d’adressage touchée : pote est un mot existant et peut être s’est
trompé dans le contexte ce mot pouvait très bien passer sémantiquement. =
stratégie d’adressage abusive.
Bégue pour bègue = mot régulier car gue possède une règle alphabétique
Confusion des accents mais à quel niveau
Problème visuel possible mais pas à nous d’en juger envoyer chez un opticien.
Segmentation non atteinte.
Traduction : il n’a pas bien pairé le è et là mis en é problème de mémorisation
et gestion du plan problème de visualisation du côté de l’accent= difficulté de
gestion spatio-temporel car problème au niveau du graphème et non du
phonème pb LE et pas LO. À mettre en lien avec des difficultés phonologiques
dû à l’appartenance à un autre système phonologique.
Assemblage : représentation phonologique imprécise avec PPS
Méti pour métis = mot irrégulier car is peut se lire « i ». nous ne pouvons pas suivre le
code alphabétique on doit sortir de la voix d’assemblage pour lire par voix
d’adressage.
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Souci typique de dyslexie : traitement visuel pose problème = problème
primaire
Traduction est donc erroné suite à la mauvaise segmentation = pb secondaire
L’assemblage est donc lui aussi en difficulté = pb tertiaire.
Problème phonologique : imprécision du système phonologique PPS
Posdu pour posbu = logatome donc uniquement par voie d’assemblage. On suppose
qu’il voit bien :
Segmentation : pas de perte de matériel syllabique
Traduction : chacun des graphèmes isolés n’a pas reçu son pair phonologique.
Hypothèse 1 : enfant pourrait voir un d mais prononcé un b car imprécision
phonologique = FAUX car d et b ne sont jamais confondus sur le plan
phonologique car aide avec la lecture labiale (d et b se distinctes fortement).
Hypothèse 2 : problème visuel, c’est acceptable
Vélo pour félo (logatome) uniquement par voix d’assemblage mais il utilise la voie
d’adressage. Ce n’est pas une stratégie d’adressage abusive car le mot de base félo
n’est pas signifiant. Mais on a à faire à une lexicalisation : passe d’un mot non
signifiant à un mot signifiant. Régulation : n’est pas possible car on part d’un
logatome et non pas d’un mot irrégulier.
Problème de segmentation : NON pas d’ajout, omission ou inversion
Traduction : on peut avoir une imprécision phonologique changement de f en
v car proche au niveau du LO mais pas au niveau de la lisibilité car v et f ne se
ressemblent pas visuellement donc pas de risque de confusion
Décroché pour décoché = mot régulier. Utilise une stratégie d’adressage abusive : car
connait les 2 mots. Si par contre il ne connait pas le mot = stratégie de lexicalisation
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Type d’erreurs lors de l’expression écrite
Résin pour raisin
Erreur orthographique car nécessaire de savoir que é peut s’écrire ai
Erreur phonologique car en Belgique on dissocie é de è
Stratégie de régularisation car é est plus courant que ai
Iliva pour il y va
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Erreur orthographique
1 oublie de l’espace = oubli de la césure
Y transformer en i
1 oubli de la césure
Régularisation
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La dyslexie/ dysorthographie développementale
A présent elle est définie par terme de manifestation. Plus comme avant par exclusion :
difficulté à développer la lecture ou l’orthographe malgré une intelligence normale, un
environnement socioculturel ajusté et un apprentissage conventionnel et en dehors d’une
déficience auditive ou visuelle ou d’un déficit neurologique ou encore d’un trouble
envahissant du développement. On parlait d’un trouble d’origine constitutionnelle. À
présent on parle d’origine neurobiologique voire génétique.
La dyslexie/dysortho peut cependant coexister avec
La surdité
Amblyopie (mal voyant)
Déficit neurologique
Valdois définit on identifie les dyslexies en lien avec la difficulté à mettre en place la
procédure lexicale (= adressage) ou la procédure phonologique (=assemblage) ou les deux
Lyon dyslexie développementale ou TSA affecte spécifiquement la capacité à acquérir le
LE de manière appropriée.
Les difficultés persistantes dans l'identification rapide et précise de mots écrits
familiers (adressage), dans le décodage de séquences non familières de lettres
(assemblage) et dans la production de l'orthographe correcte des mots
Origine génétique et la base neurobiologique, sous-tendue par un déficit
cognitif de nature phonologique ; association, dans certains cas, de déficits de
nature visuelle, auditive ou motrice
Conséquences secondaires :
Trouble de la compréhension et limitation de l’expérience de la lecture
Pauvreté dans le développement du vocabulaire
Restriction dans les connaissances
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Effet de lexicalité mots mieux lus que les pseudo-mots. Utilisation de la voie
ADRESSAGE
Effet de fréquence mots fréquents sont mieux lus que les mots moins fréquents =
utilisation de la voie d’ADRESSAGE
Effet de régularité mots réguliers ou consistants (immuable) sont mieux lus que les
mots irrégulier ou inconsistant (mouvant) utilisation de la voie d’ASSEMBLAGE
Ne pas oublier de garder en tête le temps que l’enfant met pour répondre. Sil est
rapide = ADRESSAGE, s’il est lent ASSEMBLAGE. Les dyslexiques sont censés
présenter des profils différents quant à ces paramètres.
Compréhension en lecture
L’objectif de la lecture = compréhension L = R X C (lecture = reconnaissance X
compréhension orale, sémantique et syntaxique (fond et forme))
On ne peut accéder à la compréhension que si l’on a automatisé la
reconnaissance des mots. Cette automatisation se met en place vers 8 ans
et demi (3ème P).
Mais lorsqu’on est confronté à un dyslexique
C’est un trouble durable qui gêne la reconnaissance des mots si bien que la charge
attentionnelle se répartit de manière inverse. Par contre si la reconnaissance est bonne mais
que seule la compréhension est altérée il faudra rechercher un problème linguistique :
bilinguisme, problème de déficience mentale.
Vignette clinique 1
Age : 9 ans. En fin CE2 ; changement régulier de lycée l’Apprentissage LE difficile d'emblée.
Bon niveau socio-culturel ; soutien parental et cadre éducatif +. Fratrie sans particularité.
Aime peu l'école, apprécie peu lire. Selon parents, « retient très bien les choses visuellement
»
Résultats psychométriques :
Langage écrit
Alouette : âge lexique de 7 ans et 10 mois : voie d’assemblage privilégiée.
Belec : MIM (assemblage) et REGUL (adressage) et Ortho3 (orthographe)
MIM =
RC: (réponse correcte) P25 (MF), P50 (MR), P25-50 (PM) pour CE1 = problème en adressage
Tps: P90 (MF), P90 (MR), P97 (PM) pour CE1 = temps rapide car se dépêche de faire la tâche
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REGUL =
R.C. : P25 (mots réguliers) et P10-25 (mots irréguliers) pour CE1 = mot irrégulier sont
beaucoup moins bien lus
Tps: P50 (mots réguliers) et P10-25 (mots irréguliers) pour CE1 = assemblage est davantage
compétente par rapport à la voie d’adressage.
BELO = graphie complexe (an, ouille, …) très déficitaire = système alphabétique, assemblage
La compréhension est donc altérée car la voie d’adressage et d’assemblage est atteinte.
Métaphonologie
BELO pour CE1 :
Découpage syllabique = P100
Jugement de rime : P100
Inversion syllabique : P100
Identification 1er phonème (en réalité première syllabe car utilise des mots
comme a-mi) : P100
L’enfant est donc compétent au niveau de la syllabe pour le niveau CE1. C’est censé
être acquis depuis longtemps donc heureusement.
BELEC pour CE1 :
Inversion syllabique : P50
Inversion phonémique : P25
Acronymes : P10
Phonologie
Discrimination auditivo-phonémique : EDP48 saturation donc invalidation des résultats
Clinique : confusions séquentielles et des paires minimales
Dénomination rapide : non testée (si jamais l’enfant répond juste mais
lentement alors cela signifie qu’il y a une alerte au niveau de l’aire de Broca
pour la phonologie)
Production phonologique (BELO) = P100
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Production est meilleure que la réception
Mémoire
MPT : (mémoire phonologique de travail) elle est incertaine donc la voie d’assemblage va en
subir les conséquences.
L’enfant à un empan endroit de 3 (faible). Empan envers de 3 (moyen).
Mémoire visuelle de travail et discrimination visuospatiale :
- (BEM144): incotable
- figure complexe de Rey en copie: sous P10
Mémoire visuelle long terme (Rey): sous P10
La voie d’assemblage nécessite la voie phonologique or celle-ci est altérée. Le
traitement visuo-spatial est à mettre en lien avec la voie d’adressage car il faut savoir
et retenir que monsieur se lit comme ça// en lien avec la voie orthographique. La
traitement visuel est catastrophique et pourrait expliquer les soucis de voie
d’adressage.
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Désamorcer pour dinamorcer = problème phonologique et donc voie d’assemblage
Beaucoup de stratégie de régularisation donc atteste d’un problème de voie d’adressage et
si bonne régularisation montre bonne compétence de la voie d’assemblage.
Quotidien codidin donc le qu remplace par c est une erreur de procédure orthographique
car garde même phonologie
Le t remplacer par le d est un problème phonologique et le in au lieu du ien est
phonologique car oublie même un phonème
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Conclusion : la voie d’assemblage et d’adressage sont déficitaires. Les procédures
phonologiques et orthographiques sont déficitaires. La compréhension à la lecture n’est pas
bonne. Le traitement visuel n’est pas bon, les gnosies auditives ont remarque beaucoup
d’erreur de voisement et de confusions séquentielles. Les compétences mnésiques sont
aussi faibles. Ensemble de fonctions cognitives
Le mauvais traitement visuel explique les erreurs de voie d’adressage et donc procédure
orthographique
Mauvais traitement phono explique erreurs de voie d’assemblage et donc procédure
phonologique.
Au sein des traitements phono et visuel il vérifier les sous-fonctions le mnésique, le gnosique
et la métaphonologiques.
Ordure
Est bien écrit parce qu’on lui demande de recopier. On ne sait pas ce que ça donnerait si on
lui avait dicté. On ne peut donc pas prétendre la bonne qualité des 2 voies Mais permet
d’expliquer un bon traitement visuel et de mémoire de traitement. Il faut évaluer comment
l’enfant recopie un mot : lettre par lettre mot par mot, … cela permet d’en savoir sur
l’empan.
Bartin
Il a bien prononcé le b mais écrit martin. Peut-être mauvais pairage entre le b et le m et donc
mauvaise traduction
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Vignette clinique 3 :
Enfant dans un type de pédagogie globale et donc voie d’adressage depuis début 1ère
primaire. Parents sentent que leur enfant ne lit pas bien
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Vignette clinique 4 : ado de 17 ans
Evalad
Lecture :
LE P varie en fonction des tests mais est généralement pathologique en dessous de P3
- mots réguliers : P12. Temps sous seuil pathologie. Voie d’assemblage faible
- lecture mots irréguliers : P27. Temps sous seuil pathologie
- lecture non mots : C100. Temps sous seuil pathologie. Voie d’assemblage bonne mais lente
il y a une faiblesse des voies mais elles ne sont pas déficitaires. Par contre le temps est
long et marque un inconfort. C’est typique des dyslexiques
Expression écrite :
- mots réguliers : P28
- non mots : P50
- mots irréguliers : P20
- dictée de texte : sous seuil pathologie trop d’information et comme il est trop lent le cout
est grand. De plus il y a les règles de grammaire qui rentrent en jeu.
Attention auditive : sous seuil pathologie
Mémoire phonologique de travail : sous seuil pathologie pour empans endroit et envers
Attention visuelle : P50
15 mots Rey : résultats pathologiques pour 1ère, 3ème et 5ème restitution. Présente aux
patient un mot avec des répétitions et doit redire les mots donc d’abord MCT auditivo-verbal
puis MLT pour restitution
Figure Complexe de Rey :
- Mémoire visuelle de travail : P60
- Mémoire visuelle à long terme : P60
Epreuve clinique de répétition de non mots : confusions on/an présente.
Conclusion : au niveau du symptôme pas de soucis mais inconfort lenteur. Dictée
pathologique. Les sous-traitements : mauvaise mémoire = DYSLEXIE COMPENSEE.
Reste un trouble et non un retard car les sous-mécanismes phonologiques sont
déficitaires.
Vignette 5 :
Erreur phonologique :
Désider = lié à une méconnaissance des graphies et aussi problème d’orthographe.
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Tréparé : dû au lieu d’articulation et donc pas dû à la segmentation ou au voisement
Aujour-hui, perparation, le faketre vin (le facteur vient inversion t et k) : le phonème du
graphème d est enlevé donc phonologie et dû à la segmentation
Des fere (verre) = problème de voisement
Procédure orthographique
Mélenge, larmoire (absence de césure), bere (beurre), pate, me pour met (qui peut aussi
être erreur phonologique car mauvaise discrimination entre e et è)
Nous est pluchon = 3 erreurs de types orthographique est pour é + césure inattendue +
manque du s de conjugaison
Lecture relativement préservée des mots réguliers (temps normal) car utilise
voie d’adressage et non la voie d’assemblage. Attention à ne pas faire : Les
mots réguliers ont tendance à traduire d’une bonne voie d’assemblage mais
dans ce cas-ci utilise adressage
Effet de fréquence : les mots souvent rencontrés sont mieux lus car reconnus
(à force de les voir s’installe en MLT)
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Effet de lexicalité + effet de fréquence MAIS pas d’effet de régularité l’enfant lit
par adressage. La voie d’assemblage est donc en difficulté.
Ainsi ces sujets dyslexiques phonologiques réussissent à élaborer des représentations
orthographiques à force de répétition. Utilise la voie d’adressage. L’enfant en difficulté va
éviter de lire et d’écrire car contourne la chose. Il faut donc essayer que le patient lise de
plus en plus mais sans trop le frustrer et donc il faut aménager : une fois c’est toi, une fois
c’est moi. Par contre si on ne met pas l’enfant dans la répétition et que l’entrainement est
lacunaire, on risque le profil mixte ! (Déficit alphabétique et déficit orthographique).
Difficulté symptomatique dans
Conversions graphophonologiques
La séquentialité : inversion (tra/rta)
La perception des espaces minimaux est mal traitée (rythme des bruits, phonèmes)
ex : il y a la perception de ms entre chaque phonème n’est pas bien perçu et
engendre difficulté de segmentation
Difficulté d’analyse segmentale (en syllabe et en phonème)
Peu d’erreurs dérivationnelles (vouloir/voulu) ou basées sur des indices visuels (d/b)
Traitement du trait de voisement (p/b, t/d, f/v, s/z, ch/j). Si l’enfant a des difficultés
avec phonème isolé alors d’office problème avec phonèmes en coarticulation.
Autres types d’erreurs
Mécanisme sous-jacents impliqués dans l’assemblage : État des lieux dans la dyslexie
phonologique.
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Schéma Mazeau
La gestion perceptive du voisement est plus ardue pour les groupes CCV (consonne
consonne, voyelle )ou syllabes simples avec explosives qu'avec fricatives.
o fra/vra plus facile que tra/dra
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2. Conscience phonologique (métaphonologie) = maternelle et naturelle= sensibilité
syllabique. Ensuite apparait conscience phonémique. Ensuite le plus dur consiste en
la manipulation. Déficitaire
L’enfant doit pouvoir analyser le flux temporel en une succession d’éléments qui sont
constitutifs de sa langue :
Discrimination des oppositions phonologiques (aptitude implicite et précoce)
est d’office bonne chez sujet sain.
Conscientisation des oppositions
Segmentation et manipulation (habiletés métaphonologiques) de ces unités.
La conscience phonologique
Est un prédicteur fiable et précoce (dès fin de maternelles) des habiletés en lecture.
Entrainement précoce : défi et enjeu il faut faire attention pour les enfants en 3ème
maternelle pour que ça se passe mieux l’année suivante si jamais n’arrive pas à bien
segmenter les syllabes.
La métaphonologie est une aptitude orale et non écrite !!! Elle fait donc partie du bilan de
LO et non écrit. Elle doit être présente en amont du processus de lecture de lecture : l'enfant
analyse, oppose et segmente avant de choisir le graphème approprié
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type d’items (longueur, statut lexical + d’erreur si le mot est long et
si c’est un logatome)
Lenteur dans la récupération de l'image phonologique des mots = l’enfant sait ce que
sait mais n’arrive pas à y accéder sur le bout de la langue (déficit dans l'accès aux
représentations phonologiques à partir du lexique auditif) (évaluation par épreuves
de dénomination rapide (Exalang, Bale, BELO)
Davantage un outil de travail mental qu'une unité de stockage n’est pas uniquement
un stockage car nécessite un travail ex quand retient numéro de téléphone utilise des
stratégies telle que : répétition subvocale, appel à la sémantique : se termine comme
le mien…
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Dans la dyslexie phonologique : corrélation nette avec :
Altération de la compréhension : proportionnelle à la longueur des phrases
(effacement progressif des infos)
Difficulté d’accès à la voie d’assemblage car déficits dans la procédure allant de la
conversion grapho-phonémique vers mise en mémoire du résultat phonologique et
vers l’assemblage conduisant au sens. = difficulté dans la révision continuelle du
contenu de la MPT à partir du déroulement séquentiel des entrées afin d’accéder au
sens.
Dans la dyslexie phonologique, trouble non récurrent mais ne pouvant être exclu ;
ces compétences font en effet partie des mécanismes sous-jacents (voir schéma).
Symptômes
Régularisation des mots irréguliers, même très fréquents : effet de régularité car
lecture par assemblage.
Temps : rapidité de lecture à prendre en compte car révélatrice des difficultés ! il est
très long.
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Procédure alphabétique probablement moins bonne que décrite même si le produit du
décodage est correct mais lecture des pseudo-mots plus lente que chez les enfants du même
âge. Lorsqu’on tient compte du temps des pseudo-mots il est hors norme, cela prend quand
même du temps + que les enfants de son âge. N’est pas non plus à l’aise dans voie
d’assemblage.
Mécanismes sous-jacents atteints dans la dyslexie de surface - état des lieux dans la
dyslexie de surface-
Intervient car
rapport avec les
sons phonèmes)
2. Lexique oral. KO
Pauvreté du stock lexical et de sortie orale ne permettant pas de construire le lexique
orthographique. Cette faiblesse renforce la dyslexie de surface qui par effet rebond participe
faiblement à l’enrichissement des représentations lexicales
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3. Mémoire phonologique de travail (faire des liens de sens entre les différents
éléments) : KO
Performances inférieures à celles des enfants du même âge. Ceci prouve un déficit
phonologique commun aux dyslexies phonologiques et de surface. Ceci tend à prouver qu’il
y a un déficit relatif (- sévère que dans la dyslexie phonologique) de la voie phono.
Ce déficit est « compensé » par le fait que la vitesse de lecture est peu prise en compte dans
l’évaluation (lecture correcte mais lente par la voie d’assemblage qui serait moins opérante
que décrit habituellement). Pas totalement vrai car n’est pas pris en compte dans ancienne
batterie mais dans les nouvelles SI.
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Prévalence des sous-types de dyslexie (de surface et phonologique):
Profil dissocié : fréquence peu élevée
Profil mixte : de 52 à 75% des enfants dyslexiques
Dissocié : performances très différentes dans les procédures alphabétique et orthographique
Mixte : déficit tant en logatomes qu'en mots irréguliers
Ces troubles visuo-attentionnels ne peuvent pas être imputables à (même si l’enfant ne voit
pas bien et qu’il aurait bien vu, il aurait tout de même eu une dyslexie):
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- trouble visuel (acuité et/ou champ) : lorsqu’on a des difficultés de champs central (n’arrive
donc pas à bien centré sur la cible à lire ) = difficulté de lecture mais si c’est le champs
périphérique qui est touché alors c’est moins embêtant
- trouble attentionnel général : envoyer chez neuropsy pour exclure trouble attentionnel
général
- trouble orthoptique : concerne les muscles oculomoteurs tels que : strabisme car du coup
les saccades seront mal maitrisées = problème primaire
- agnosie visuelle : non reconnaissance de l’info visuel en lien avec lésion cérébrale. Donc
mauvaise gestion primaire = problème primaire
- troubles oculo-moteurs (contrôle des saccades) : Si présence de trouble oculo-moteur
(longueur, durée et nombre de saccades atypiques) : conséquence d'un déficit de la FV
(fenêtre visuo-attentionnelle = fixe et repère qu’il y a un mot de 5 lettres, ensuite ferme la
fenêtre et la réouvre pour le mot suivant = Mémoire visuelle de travail)
Symptômes :
Pas d'effet de lexicalité : lit aussi bien les pseudo-mots que les mots réguliers car lit
par assemblage
Pas d'effet de fréquence car lit par assemblage (Ce n'est pas en lisant plus qu'il
apprendra à écrire mieux car mauvaise stratégie d'accès à la forme orthographique)/
Métode visuo-sémantique peut être utilisé pour l’aider
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Mécanismes sous-jacents impliqués dans la dyslexie visuo-attentionnelle- état des lieux
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Possibilité de double déficit phonologique et de l’empan VA.
Si trouble phonologique coexistant au déficit de la FV, il y a aggravation de la sévérité de la
dyslexie ; ce déficit de la FV persiste cependant même après rééducation de la FV
Si pas de trouble phonologique coexistant, la faiblesse de la FV est responsable des
difficultés en lecture
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Conclusion : l’enfant démarre en général avec une dyslexie phonologique ce surajoute des
mécanismes de surface non acquis. La plupart des dyslexies sont mixtes. Ça reste enraciné. Il
est tout de même possible d’avoir une dyslexie visuo-attentionnelle unique
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Dénomination rapide dégradée
Parfois dyscalculie
Syndrome visuo-attentionnel
*syndrome non verbal développemental= tout le nom verbal qui risque de coincer
*TDAH : déficit attentionnel dû à un cout cognitif tellement important du à la gnosie visuelle.
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Syndrome dyspraxique
Dyslexie visuelle et phonologique est à mettre en lien avec une dysgraphie et une
dyslatéralité, l’enfant ne sait pas trop comment son corps se comporte, est-il droitier ou
gaucher ? La dyschronie correspond à la compréhension et la manipulation du temps qui est
déficitaire. L’autisme, l’asperger.
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Le patrimoine génétique et neurobiologique prédispose à la dyslexie mais cette particularité
universelle ne se révélerait qu'à des conditions culturelles précises
Place sociétale de l’écrit : si n’apprend pas à lire et n’utilise pas la lecture on ne s’en
rendra jamais compte ex : Afrique et l’école.
Représentation par rapport à l’écrit (concept de performance et de compétitivité).
Beaucoup de dyslexie car chez nous la lecture est fort présente et nous sommes vites
inquiets
La dyslexie touche de 1 à 8% des enfants en âge scolaire quelle que soit leur appartenance
géographique ou raciale. 1% en Afrique et 8% en Belgique
En France, il y a environ 30% de lecteurs non experts :
5% sont dyslexiques
10% ont un retard d'acquisition
15% ont des problèmes de compréhension à la lecture souvent dû à une non
stimulation familiale ou un problème du langage oral.
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Signes précurseurs et facteurs de risque
Attention pas de consensus !
• Plus de la moitié des dyslexiques ont souffert d’un souci de développement de la parole et
du langage
• Non significatif : trouble articulatoire
• Significatif : trouble associant difficulté de parole et de langage
• Autres auteurs : troubles de la parole (annonce davantage un problème de lecture l’année
suivante et doit être compris comme trouble du traitement phonologique), sans problème
linguistique seraient de forts prédicteurs de troubles de la lecture ultérieurs
Certitude
• Anomalies du traitement auditif des phonèmes dès les premiers mois de vie (anomalies
PEA lors des changements de phonèmes = réaction neuronale face à des bruits = potentiel
évoqué auditif) Maurer et al, 2009
- retard dans combinaisons de mots, tâches phonologiques et lexicales à 2 ans alors
ils auront des soucis.
- faiblesses dans vocalisations, pauvreté du babillage
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Théorie phonologique
Cette théorie ne peut pas expliquer la dyslexie visuo-attentionnelle.
Les arguments :
- La faiblesse en lecture dans le traitement phono quand impossibilité de
s’appuyer sur mécanismes top down (part d’en haut pour arriver vers le bas,
d’abord le sens pour arriver à la compréhension. Difficulté du traitement
phonologique quand n’utilise pas adressage)
Contre-arguments :
- Traitement phonémique en lecture dépend de l’expérience en lecture et inversement. Cela
peut apparaitre par après.
- Rôle décroissant avec l’âge de la conscience phonémique sur l’efficacité en lecture
- Possibilité de développer la lecture avec une conscience phonémique moindre -
Développement possible de la lecture chez les dysphasiques (car utilise adressage)
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- Difficultés de perception catégorielle de sons non verbaux, pourvu qu’ils soient rapides et
brefs. Résulte d’un déficit de la représentation phonologique mais ne tient pas compte des
déficits associés
Cette théorie soutient que la dyslexie ne résulte que d'un déficit des représentations
phonologiques. Cette théorie est contestable car elle ne tient pas compte des déficits
associés (visuels et moteurs) et ne concernent pas tous les dyslexiques
Aptitudes cognitives associées (dénomination rapide) : corrélées avec traitement visuo-
attentionnel.
Difficultés dans les tâches de recherche d’une cible visuelle parmi les distracteurs
(problème de focalisation, de désengagement ou réduction du nombre
d’éléments pouvant être traités ensemble)
Miniéglignece, en particulier si trouble phonologique. L’attention est attirée vers
l’hémichamp droit.
Réduction de l’empan visuo-attentionnel entrainant un déficit du traitement, non
pas de lettres isolées mais d’un ensemble de lettres.
Contre-arguments :
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Théorie intermodalitaire
Pas à connaitre mais signifie qu’utiliser plusieurs systèmes perceptifs en même temps
(écouter et lire ce que j’écris, lire et entendre ce que je lis) entraine la PAGAILLE
Neurologie de la dyslexie
Lobe temporale gauche (région moyenne et inférieure) trop faiblement activé (cause
de la dyslexie ?) = région responsable du traitement des infos phonologiques.
Activation réduite des régions pariétales droites et gauches lors d’activité impliquant
la FV.
Cortex frontal inférieur gauche (aire de Broca) suractivité pendant les tâches de
lecture ou de phonologie.
Région occipito-temporale ventral gauche (siège de la forme visuelle des mots) sous-
activée (double déficit phonologique et visuel)
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Autres troubles de la lecture
1. Hyperlexie
Trouble de la lecture caractérisé par un très bon décodage accompagné d’un trouble
important de la compréhension.
- Enfant présentent des troubles du développement du langage oral
(dysphasique mais pas les phonologique car incapable de décoder mais les
dysphasique sémantique-pragmatique peuvent être hyperlexiques)
- Autistes
2. La dyssynopsie
Difficultés d’apprentissage de la lecture (autre que les dyslexies) soit 15 à 20% des enfants.
QI : non déterminant pour la lecture (peux avoir déficience mentale et on sait quand même
lire mais retard de lecture déterminant pour le QI et les habilités cognitives. Les facteurs
environnementaux semblent être essentiels dans le développement de la lecture.
Conséquences cognitives
Facteurs environnementaux :
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L’axe vertical = décodage qui peut être bon ou mauvais.
L’axe horizontal =processus linguistique et cognitifs non spécifiques (= intelligence générale)
La ligne des dyslexiques est amenée un peu vers la gauche car avec le retard de lecture cela
va avoir un impact sur ces compétences globales et il va avoir un retard cognitif secondaire
sur le long terme.
Les dyssynoptiques n’ont à la base pas de déficit cognitif mais dû à la sous-stimulation
drastique de leur milieu cela devient un déficit cognitif. (Souvent se situe vers le bas de la
ligne vertical).
Outils d’évaluation des dyslexies
Belec :
Bale :
Discrimination auditivo-phonétique : pas assez bien utiliser l’ELDP car ici on demande
paire minimale et pas des mots.
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MPT : empan de chiffre à l’endroit= voire boucle auditivo-phonologique subvocalisation
et empan de chiff à l’envers = Mémoire phonologique de travail.
Test des cloches, deux : perception gnosies visuelles mais surtout attention
Discrimination de contours (capacités visuo-constructives)
Reproduction de figures (discrimination mémoire de travail et capacités visuo-
constructives) = planification, praxie
Dyslexie visuo-attentionnelle :
1. Visuo-attentionnelle OK
2. Mémoire visuelle de travail : pas évalué
3. Mémoire visuelle à long terme : pas évaluée.
EXAMEN : 5 questions
1. QCM (10 items) = théorie est ce que l’effet de lexicalité est présent dans cette
dyslexie ?
2. Analyse d’erreur lecture et écriture : quelle voie est déficitaire et les stratégies
éventuelles (régularisation, lexicalisation, adressage abusif)
3. Situation clinique = quel diagnostic, manque résultats ?
4. 2 questions théoriques (2 et 3 points)
Compréhension à la lecture : ECOSSE mais seulement 10 items donc pas suffisant.
Alouette R
LMCR
L3
Vol du PC
Evalad
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