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ABDELJALIL TADDIST
LYDEX-BENGURIR
MPSI 1
Definition 1
Definition 1
E est un K-espace vectoriel:
Definition 1
E est un K-espace vectoriel:
1 E est dit de dimension finie s’il admet une partie génératrice
finie.
Definition 1
E est un K-espace vectoriel:
1 E est dit de dimension finie s’il admet une partie génératrice
finie.
2 On appelle base de E toute partie génératrice et libre.
Definition 1
E est un K-espace vectoriel:
1 E est dit de dimension finie s’il admet une partie génératrice
finie.
2 On appelle base de E toute partie génératrice et libre.
Exemple 1
Proposition 1
Proposition 1
Soit B = (e1 , . . . en ) une famille d’un espace vectoriel E , on a
équivalence entre :
1 B est une base de E .
Proposition 1
Soit B = (e1 , . . . en ) une famille d’un espace vectoriel E , on a
équivalence entre :
1 B est une base de E .
2 B est génératrice minimale.
Proposition 1
Soit B = (e1 , . . . en ) une famille d’un espace vectoriel E , on a
équivalence entre :
1 B est une base de E .
2 B est génératrice minimale.
3 B est libre maximale.
Proposition 1
Soit B = (e1 , . . . en ) une famille d’un espace vectoriel E , on a
équivalence entre :
1 B est une base de E .
2 B est génératrice minimale.
3 B est libre maximale.
Preuve 1
Théorème 1
Théorème 1
Pour que B = (e1 , .., en ) soit une base de E il faut et il suffit que :
Théorème 1
Pour que B = (e1 , .., en ) soit une base de E il faut et il suffit que :
i=n
X
n
(∀x ∈ E )(∃! (x1 , . . . , xn ) ∈ K /x = xi .ei
i=1
Théorème 1
Pour que B = (e1 , .., en ) soit une base de E il faut et il suffit que :
i=n
X
n
(∀x ∈ E )(∃! (x1 , . . . , xn ) ∈ K /x = xi .ei
i=1
Théorème 2
Théorème 2
f ∈ L(E , F ) :
Théorème 2
f ∈ L(E , F ) :
1 L’ image par une surjection linéaire d’ une famille génératrice de
E est une famille génératrice de F .
Théorème 2
f ∈ L(E , F ) :
1 L’ image par une surjection linéaire d’ une famille génératrice de
E est une famille génératrice de F .
2 L’ image par une injection linéaire d’une famille libre de E est
une famille libre de F .
Théorème 2
f ∈ L(E , F ) :
1 L’ image par une surjection linéaire d’ une famille génératrice de
E est une famille génératrice de F .
2 L’ image par une injection linéaire d’une famille libre de E est
une famille libre de F .
3 L’image par un isomorphisme d’une base de E est une base de
F.
Théorème 2
f ∈ L(E , F ) :
1 L’ image par une surjection linéaire d’ une famille génératrice de
E est une famille génératrice de F .
2 L’ image par une injection linéaire d’une famille libre de E est
une famille libre de F .
3 L’image par un isomorphisme d’une base de E est une base de
F.
4 L’image par une application linéaire :
Théorème 2
f ∈ L(E , F ) :
1 L’ image par une surjection linéaire d’ une famille génératrice de
E est une famille génératrice de F .
2 L’ image par une injection linéaire d’une famille libre de E est
une famille libre de F .
3 L’image par un isomorphisme d’une base de E est une base de
F.
4 L’image par une application linéaire :
1 D’une famille génératrice de E est une famille génératrice de
Imf .
Théorème 2
f ∈ L(E , F ) :
1 L’ image par une surjection linéaire d’ une famille génératrice de
E est une famille génératrice de F .
2 L’ image par une injection linéaire d’une famille libre de E est
une famille libre de F .
3 L’image par un isomorphisme d’une base de E est une base de
F.
4 L’image par une application linéaire :
1 D’une famille génératrice de E est une famille génératrice de
Imf .
2 D’une famille liée de E est une famille liée de F .
Théorème 3
Théorème 3
B = (e1 , . . . , en ) une base de E et B 0 = (e10 , . . . , en0 ) famille de F ,
alors il existe une unique application linéaire u qui transforme la base
B = (e1 , . . . , en ) en la famille B 0 .
Théorème 3
B = (e1 , . . . , en ) une base de E et B 0 = (e10 , . . . , en0 ) famille de F ,
alors il existe une unique application linéaire u qui transforme la base
B = (e1 , . . . , en ) en la famille B 0 .
De plus on a :
Théorème 3
B = (e1 , . . . , en ) une base de E et B 0 = (e10 , . . . , en0 ) famille de F ,
alors il existe une unique application linéaire u qui transforme la base
B = (e1 , . . . , en ) en la famille B 0 .
De plus on a :
1 u est surjective ⇔ B 0 est génératrice de F .
Théorème 3
B = (e1 , . . . , en ) une base de E et B 0 = (e10 , . . . , en0 ) famille de F ,
alors il existe une unique application linéaire u qui transforme la base
B = (e1 , . . . , en ) en la famille B 0 .
De plus on a :
1 u est surjective ⇔ B 0 est génératrice de F .
2 u est injective ⇔ B 0 est libre dans F .
Théorème 3
B = (e1 , . . . , en ) une base de E et B 0 = (e10 , . . . , en0 ) famille de F ,
alors il existe une unique application linéaire u qui transforme la base
B = (e1 , . . . , en ) en la famille B 0 .
De plus on a :
1 u est surjective ⇔ B 0 est génératrice de F .
2 u est injective ⇔ B 0 est libre dans F .
3 u est un isomorphisme ⇔ B 0 est une base de F .
Corollaire
Corollaire
En dimension finie, une application linéaire est entièrement
déterminée par la donnée des images d’une base.
Preuve 2
Preuve 3
Preuve 3
Corollaire
Preuve 3
Corollaire
Si e = (e1 , .., en ) est une famille génératrice de E alors toute famille
libre est de cardinal inférieur on égal à n.
Preuve 3
Corollaire
Si e = (e1 , .., en ) est une famille génératrice de E alors toute famille
libre est de cardinal inférieur on égal à n.
Preuve 4
Proposition 2
Proposition 2
Le cardinal d’une famille libre est toujours inférieur au cardinal d’une
famille génératrice.
Proposition 2
Le cardinal d’une famille libre est toujours inférieur au cardinal d’une
famille génératrice.
Preuve 5
Proposition 2
Le cardinal d’une famille libre est toujours inférieur au cardinal d’une
famille génératrice.
Preuve 5
Proposition 2
Le cardinal d’une famille libre est toujours inférieur au cardinal d’une
famille génératrice.
Preuve 5
Preuve 6
Remarque 1
Remarque 1
1 Un espace vectoriel de dimension 1 s’appelle une droite
vectorielle.
Remarque 1
1 Un espace vectoriel de dimension 1 s’appelle une droite
vectorielle.
2 Un espace vectoriel de dimension 2 s’appelle un plan vectoriel.
Remarque 1
1 Un espace vectoriel de dimension 1 s’appelle une droite
vectorielle.
2 Un espace vectoriel de dimension 2 s’appelle un plan vectoriel.
3 dimR C =
Remarque 1
1 Un espace vectoriel de dimension 1 s’appelle une droite
vectorielle.
2 Un espace vectoriel de dimension 2 s’appelle un plan vectoriel.
3 dimR C =2 ,
Remarque 1
1 Un espace vectoriel de dimension 1 s’appelle une droite
vectorielle.
2 Un espace vectoriel de dimension 2 s’appelle un plan vectoriel.
3 dimR C =2 , dimC C =
Remarque 1
1 Un espace vectoriel de dimension 1 s’appelle une droite
vectorielle.
2 Un espace vectoriel de dimension 2 s’appelle un plan vectoriel.
3 dimR C =2 , dimC C =1.
4 On conclut de l’exemple précédent que
Remarque 1
1 Un espace vectoriel de dimension 1 s’appelle une droite
vectorielle.
2 Un espace vectoriel de dimension 2 s’appelle un plan vectoriel.
3 dimR C =2 , dimC C =1.
4 On conclut de l’exemple précédent que la dimension d’un espace
vectoriel dépend du corps de base !
Remarque 1
1 Un espace vectoriel de dimension 1 s’appelle une droite
vectorielle.
2 Un espace vectoriel de dimension 2 s’appelle un plan vectoriel.
3 dimR C =2 , dimC C =1.
4 On conclut de l’exemple précédent que la dimension d’un espace
vectoriel dépend du corps de base !
5 dimK ({0E }) =
Remarque 1
1 Un espace vectoriel de dimension 1 s’appelle une droite
vectorielle.
2 Un espace vectoriel de dimension 2 s’appelle un plan vectoriel.
3 dimR C =2 , dimC C =1.
4 On conclut de l’exemple précédent que la dimension d’un espace
vectoriel dépend du corps de base !
5 dimK ({0E }) = 0
Remarque 1
1 Un espace vectoriel de dimension 1 s’appelle une droite
vectorielle.
2 Un espace vectoriel de dimension 2 s’appelle un plan vectoriel.
3 dimR C =2 , dimC C =1.
4 On conclut de l’exemple précédent que la dimension d’un espace
vectoriel dépend du corps de base !
5 dimK ({0E }) = 0 , dont une base est
Remarque 1
1 Un espace vectoriel de dimension 1 s’appelle une droite
vectorielle.
2 Un espace vectoriel de dimension 2 s’appelle un plan vectoriel.
3 dimR C =2 , dimC C =1.
4 On conclut de l’exemple précédent que la dimension d’un espace
vectoriel dépend du corps de base !
5 dimK ({0E }) = 0 , dont une base est ∅ !!
Remarque 1
1 Un espace vectoriel de dimension 1 s’appelle une droite
vectorielle.
2 Un espace vectoriel de dimension 2 s’appelle un plan vectoriel.
3 dimR C =2 , dimC C =1.
4 On conclut de l’exemple précédent que la dimension d’un espace
vectoriel dépend du corps de base !
5 dimK ({0E }) = 0 , dont une base est ∅ !! ( c’est juste une
convention !!)
Preuve 7
Preuve 8
Preuve 9
tels que :
tels que :
(e1 , . . . , en )soit base de E
tels que :
(e1 , . . . , en )soit base de E
Preuve 10
Théorème 11
Théorème 11
E un K-espace vectoriel de dimension n, on a équivalence entre :
Théorème 11
E un K-espace vectoriel de dimension n, on a équivalence entre :
1 B base de E .
Théorème 11
E un K-espace vectoriel de dimension n, on a équivalence entre :
1 B base de E .
2 B libre de cardinal n.
Théorème 11
E un K-espace vectoriel de dimension n, on a équivalence entre :
1 B base de E .
2 B libre de cardinal n.
3 B génératrice de cardinal n.
Théorème 11
E un K-espace vectoriel de dimension n, on a équivalence entre :
1 B base de E .
2 B libre de cardinal n.
3 B génératrice de cardinal n.
Preuve 11
Preuve 12
Preuve 13
Preuve 13
Remarque 2
”Le” supplémentaire d’un sev n’est pas unique !
Preuve 13
Remarque 2
”Le” supplémentaire d’un sev n’est pas unique !mais ,
Preuve 13
Remarque 2
”Le” supplémentaire d’un sev n’est pas unique !mais ,tous les
supplémentaires du même sev ...
Preuve 13
Remarque 2
”Le” supplémentaire d’un sev n’est pas unique !mais ,tous les
supplémentaires du même sev ...ont la même dimension !
Proposition 3
Proposition 3
Si dim E = n:
1 Toute famille libre est de cardinal ≤ n,
Proposition 3
Si dim E = n:
1 Toute famille libre est de cardinal ≤ n, avec égalité ssi c’est une
base.
Proposition 3
Si dim E = n:
1 Toute famille libre est de cardinal ≤ n, avec égalité ssi c’est une
base.
2 Toute famille génératrice est de cardinal ≥ n,
Proposition 3
Si dim E = n:
1 Toute famille libre est de cardinal ≤ n, avec égalité ssi c’est une
base.
2 Toute famille génératrice est de cardinal ≥ n, avec égalité ssi
c’est une base.
Proposition 3
Si dim E = n:
1 Toute famille libre est de cardinal ≤ n, avec égalité ssi c’est une
base.
2 Toute famille génératrice est de cardinal ≥ n, avec égalité ssi
c’est une base.
Preuve 14
Proposition 4
Proposition 4
f ∈ L(E , F ) avec dim E = dim F , on a équivalence entre :
Proposition 4
f ∈ L(E , F ) avec dim E = dim F , on a équivalence entre :
1 f est un isomorphisme.
Proposition 4
f ∈ L(E , F ) avec dim E = dim F , on a équivalence entre :
1 f est un isomorphisme.
2 f est injective.
Proposition 4
f ∈ L(E , F ) avec dim E = dim F , on a équivalence entre :
1 f est un isomorphisme.
2 f est injective.
3 f est surjective.
Proposition 4
f ∈ L(E , F ) avec dim E = dim F , on a équivalence entre :
1 f est un isomorphisme.
2 f est injective.
3 f est surjective.
Preuve 15
Proposition 5
Proposition 5
1 Deux K -espaces vectoriels sont isomorphes si et seulement si ils
ont la même dimension.
Proposition 5
1 Deux K -espaces vectoriels sont isomorphes si et seulement si ils
ont la même dimension.
2 Tout K -espace vectoriel de dimension n est isomorphe à Kn .
Proposition 5
1 Deux K -espaces vectoriels sont isomorphes si et seulement si ils
ont la même dimension.
2 Tout K -espace vectoriel de dimension n est isomorphe à Kn .
3 E et F sont deux K-espaces vectoriels et B = (e1 , .., en ) et
B 0 = (f1 , . . . , fp ) deux bases respectives de E et F alors :
Proposition 5
1 Deux K -espaces vectoriels sont isomorphes si et seulement si ils
ont la même dimension.
2 Tout K -espace vectoriel de dimension n est isomorphe à Kn .
3 E et F sont deux K-espaces vectoriels et B = (e1 , .., en ) et
B 0 = (f1 , . . . , fp ) deux bases respectives de E et F alors :
1 E × F est un K-espace vectoriel de dimension n + p.
Proposition 5
1 Deux K -espaces vectoriels sont isomorphes si et seulement si ils
ont la même dimension.
2 Tout K -espace vectoriel de dimension n est isomorphe à Kn .
3 E et F sont deux K-espaces vectoriels et B = (e1 , .., en ) et
B 0 = (f1 , . . . , fp ) deux bases respectives de E et F alors :
1 E × F est un K-espace vectoriel de dimension n + p.
2 La famille E = ((ei , 0)i∈[1,n] , (0, fj )j ∈[1,p] forme une base de
E × F.
Proposition 5
1 Deux K -espaces vectoriels sont isomorphes si et seulement si ils
ont la même dimension.
2 Tout K -espace vectoriel de dimension n est isomorphe à Kn .
3 E et F sont deux K-espaces vectoriels et B = (e1 , .., en ) et
B 0 = (f1 , . . . , fp ) deux bases respectives de E et F alors :
1 E × F est un K-espace vectoriel de dimension n + p.
2 La famille E = ((ei , 0)i∈[1,n] , (0, fj )j ∈[1,p] forme une base de
E × F.
Preuve 16
Proposition 6
Proposition 6
(Ei )1≤i≤n une famille de sous espaces vectoriels d’un K-evdf E .
Alors:
1 Chaque Ei est un K-evdf.
Proposition 6
(Ei )1≤i≤n une famille de sous espaces vectoriels d’un K-evdf E .
Alors:
1 Chaque Ei est un K-evdf.
L
2 Si E = 1≤i<n Ei alors :
Proposition 6
(Ei )1≤i≤n une famille de sous espaces vectoriels d’un K-evdf E .
Alors:
1 Chaque Ei est un K-evdf.
Xi=n
L
2 Si E = 1≤i<n Ei alors :dim E = dim Ei .
i=1
Proposition 6
(Ei )1≤i≤n une famille de sous espaces vectoriels d’un K-evdf E .
Alors:
1 Chaque Ei est un K-evdf.
Xi=n
L
2 Si E = 1≤i<n Ei alors :dim E = dim Ei .
i=1
3 Si F est un sous espace vectoriel de E ,
alors:
Proposition 6
(Ei )1≤i≤n une famille de sous espaces vectoriels d’un K-evdf E .
Alors:
1 Chaque Ei est un K-evdf.
Xi=n
L
2 Si E = 1≤i<n Ei alors :dim E = dim Ei .
i=1
3 Si F est un sous espace vectoriel de E ,
alors:dim F ≤ dim E
Proposition 6
(Ei )1≤i≤n une famille de sous espaces vectoriels d’un K-evdf E .
Alors:
1 Chaque Ei est un K-evdf.
Xi=n
L
2 Si E = 1≤i<n Ei alors :dim E = dim Ei .
i=1
3 Si F est un sous espace vectoriel de E ,
alors:dim F ≤ dim E avec égalité ssi E = F .
Proposition 6
(Ei )1≤i≤n une famille de sous espaces vectoriels d’un K-evdf E .
Alors:
1 Chaque Ei est un K-evdf.
Xi=n
L
2 Si E = 1≤i<n Ei alors :dim E = dim Ei .
i=1
3 Si F est un sous espace vectoriel de E ,
alors:dim F ≤ dim E avec égalité ssi E = F .
Preuve 17
Proposition 7
Proposition 7
En dimension finie n, les hyperplans vectoriels sont exactement les
sev de dimension n − 1.
Proposition 7
En dimension finie n, les hyperplans vectoriels sont exactement les
sev de dimension n − 1.
Preuve 18
Proposition 8
Proposition 8
1 Si E et F sont deux K-espaces vectoriels de dimensions
respectivement p et n, et B = (e1 , .., ep ) et B 0 = (f1 , . . . , fn )
deux bases respectives de E et F alors :
1 LK (E , F ) ∼ F p
Proposition 8
1 Si E et F sont deux K-espaces vectoriels de dimensions
respectivement p et n, et B = (e1 , .., ep ) et B 0 = (f1 , . . . , fn )
deux bases respectives de E et F alors :
1 LK (E , F ) ∼ F p
2 dimK LK (E , F ) = n.p
Proposition 8
1 Si E et F sont deux K-espaces vectoriels de dimensions
respectivement p et n, et B = (e1 , .., ep ) et B 0 = (f1 , . . . , fn )
deux bases respectives de E et F alors :
1 LK (E , F ) ∼ F p
2 dimK LK (E , F ) = n.p
3 Une base de LK (E , F ) est (uij )1≤i≤n ,1≤j ≤p ou uij (ek ) = δjk fi .
Proposition 8
1 Si E et F sont deux K-espaces vectoriels de dimensions
respectivement p et n, et B = (e1 , .., ep ) et B 0 = (f1 , . . . , fn )
deux bases respectives de E et F alors :
1 LK (E , F ) ∼ F p
2 dimK LK (E , F ) = n.p
3 Une base de LK (E , F ) est (uij )1≤i≤n ,1≤j ≤p ou uij (ek ) = δjk fi .
Preuve 19
Definition 2
X = (xi )i une famille de vecteurs dans un espace vectoriel E . On
appelle rang de la famille X la dimension de l’espace vect(X ). On
note rg(X ).
Definition 2
X = (xi )i une famille de vecteurs dans un espace vectoriel E . On
appelle rang de la famille X la dimension de l’espace vect(X ). On
note rg(X ).
Exemple 2
Definition 2
X = (xi )i une famille de vecteurs dans un espace vectoriel E . On
appelle rang de la famille X la dimension de l’espace vect(X ). On
note rg(X ).
Exemple 2
E = R4 , x1 = (0, −1, 1, 2), x2 = (3, 1, 2, 0), x3 = (3, −1, 4, 4).
Definition 2
X = (xi )i une famille de vecteurs dans un espace vectoriel E . On
appelle rang de la famille X la dimension de l’espace vect(X ). On
note rg(X ).
Exemple 2
E = R4 , x1 = (0, −1, 1, 2), x2 = (3, 1, 2, 0), x3 = (3, −1, 4, 4).
rg(X ) =?
Proposition 9
Le rang d’une famille de vecteurs X = (x1 , . . . , xn ) est égale au
nombre maximal de vecteurs indépendants de X .
Proposition 9
Le rang d’une famille de vecteurs X = (x1 , . . . , xn ) est égale au
nombre maximal de vecteurs indépendants de X .
Preuve 20
Definition 3
u ∈ L(E , F ) , on appelle rang de u l’entier naturel dim Im(u) noté
rg(u).
Definition 3
u ∈ L(E , F ) , on appelle rang de u l’entier naturel dim Im(u) noté
rg(u).
Exemple 3
Proposition 10
Proposition 10
Sous les hypothèses de la définition (3):
Proposition 10
Sous les hypothèses de la définition (3):
Proposition 10
Sous les hypothèses de la définition (3):
Preuve 21
Preuve 22