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Chapitre 4 : Choix énergétiques, développement et futur climatique

Introduction :

-Mettre en parallèle cette image d’un gros 4x4 américain et les données actuelles alarmantes
sur le réchauffement climatique pose question quant à nos choix énergétiques, nos habitudes de
consommation et l’avenir de notre planète et par extension notre avenir

En quoi nos choix énergétiques et nos pratiques de consommation seront-elles


déterminantes pour le climat futur et pour l’Homme ?

I. Origines et utilisation de l’énergie dans le monde

Activité 11 : Réaliser un schéma pour comparer les origines de l’énergie utilisées sur Terre
par l’Homme et ses modes de consommation

1) A partir des documents des pages 88 à 91 de votre manuel, représentez, sur un même
schéma comparatif, les différentes sources d’énergies utilisées par l’Homme, les différentes
domaines d’activités qui consomment principalement cette énergie, puis enfin où cette énergie est
principalement consommée.

(La taille des différents éléments que vous représenterez dépendra de la part qu’ils
représentent (exemple : part d’une source d’énergie par rapport à l’ensemble de l’énergie produite,
ou bien par de l’énergie consommée dans une région du monde, par rapport à l’énergie totale
consommée).

Bilan de l’activité 11 :

L’énergie utilisée dans le monde provient d’une diversité de ressources parmi lesquelles les
combustibles fossiles dominent.

La consommation en est très inégalement répartie selon la richesse des pays et des individus.

La croissance de la consommation globale (doublement dans les 40 dernières années) est


directement liée au modèle industriel de production et de consommation des sociétés.

En moyenne mondiale, cette énergie est utilisée à parts comparables par le secteur
industriel, les transports, le secteur de l’habitat et, dans une moindre mesure, par le secteur agricole.

Les énergies primaires sont disponibles sous forme de stocks (combustibles fossiles, uranium)
et de flux (flux radiatif solaire, flux géothermique, puissance gravitationnelle à l’origine des marées)

II. Les conséquences de l’utilisation des énergies fossiles

Activité 12 : Extraire des informations de documents afin de déterminer les conséquences
possibles de l’utilisation des énergies fossiles sur l’environnement et la santé humaine

Bilan de l’activité 12
La combustion de carburant fossiles et de biomasses libère du dioxyde de carbone mais
également des aérosols et d’autres substances (N2O, O3, suies, produits soufrés, particules fines), qui
affectent la qualité de l’air respiré et la santé.

III. La notion d’empreinte carbone

Activité 13 : Extraire des informations de documents afin de déterminer ce qu’est l’empreinte
carbone.

1) A partir des documents des pages 94 à 95 de votre manuel, déterminez ce qu’est


l’empreinte carbone

Bilan de l’activité 13 :

L’empreinte carbone d’un objet, d’une activité ou d’une personne est la masse de CO2
produite directement ou indirectement par sa consommation d’énergie et/ou de matière première
au cours de l’ensemble de son cycle de production et/ou d’installation

IV. Les transitions énergétiques et écologiques

Activité 14 : Extraire des informations de documents afin de mettre en évidence l’intérêt
d’une transition énergétique et d’une transition écologique

1) A partir des document des pages 96 et 97 de votre manuel, répondez aux questions 1 à 4
de la page 97 de votre manuel

Les scénarios de transition écologique font différents hypothèse sur la quantité de GES émise
dans le futur. Ils évaluent les changements prévisibles, affectant les écosystèmes et les conditions de
vie des êtres humains, principalement les plus fragiles. Les projections fournies par les modèles
permettent de définir des aléas et peuvent orienter les prises de décisions. Les mesures d’adaptation
découlent d’une analyse des risques et des options pour y faire face. Des stratégies d’atténuations
permettent également de tenter de limiter l’ampleur du réchauffement climatique.

Atténuation : Ensemble des mesures prises par l’Homme pour tenter de limiter l’ampleur du
réchauffement climatique.

Adaptation : Ensemble des mesures prises par l’Homme pour tenter d’adapter ses modes de
vie aux conséquences du réchauffement climatique actuelle et à venir.

Aléa : C’est la probabilité qu’un évènement naturel se produise dans une région donnée.

Enjeu : C’est l’ensemble des conséquences qu’un évènement naturel peut engendrer sur les
infrastructures et activités humaines.

Risque naturel : C’est la conjugaison d’un aléa et d’un enjeu liés à un évènement naturel.

Conclusion :

L’énergie actuellement consommée dans le monde l’est principalement par les pays
développés.
Elle provient, pour l’essentiel, de l’utilisation des énergies fossiles.

L’utilisation de l’énergie nécessaire aux biens et activités des individus constitue l’empreinte
carbone.

La nécessité de limiter l’empreinte carbone constitue un enjeu majeur dans l’atténuation du


réchauffement climatique.

L’Homme devra s’adapter piur faire face aux conséquences du réchauffement climatique et
aux risques associés.

Bilan de l’activité de 16 :

Il existe plusieurs méthodes permettant d’estimer l’effectif d’une population à partir


d’échantillons. La méthode de « Capture-Marquage-Recapture », dite méthode « CMR », repose sur
des calculs effectués sur un échantillon. Si on suppose que la proportion d’individus marqué est
identique dans l’échantillon de recapture et dans la population totale, l’effectif de celle-ci s’obtient
par le calcul d’une quatrième proportionnelle. (« règle de 3 » ou « produit en croix »).

C : Nombre d’individus réceptionnés

N : Effectif total de la population

M : Nombre d’individu marqués et relâchés

R : Nombre d’individus réceptionnés qui sont marqués

C) Echantillonnage et intervalle de confiance

Activité 17 : Utiliser un tableur-grapheur pour comprendre la notion d’intervalle de confiance


(TP) (page 198-199).

Mise en commun :

Pour des échantillons de 20 :

Ecart type mesuré : 0,096

Ecart type calculé : 0.110

Pour des échantillons de 100 :

Ecart type

Donc un écart type moins important pour des plus gros échantillons que pour des plus petits
échantillons : les résultats de l’échantillonnages sont moins dispersés pour des gros échantillons que
pour des petits échantillons.
Formules littérales Saisons humide Saisons sèche

Individus marqués et M 3407 5267


relâchés

Individus capturés et 5843 363


non marqués

Individu capturé et R 44 49
marqués

Total des individus C 5843+ 44 = 5887 363+49 = 412


capturés

Effectif de la N= MxC/R 3407*5887/44 = 455 5 267*412/49 = 44


population 841 285

Proportion d’individus Péch = R/C 44/ 5887 = 0,075 49/412= 0,119


marqués recapturés

Écart type calculé S= 0,00112 0,016

Intervalle de confiance (Pech-2S; Pech+ 2S) ( 0,0075- 2* 0,0112; (0,119- 2*0,016;


à 95% de la proportion 0,0075+ 2*0,00112) = 0,119+ 2*0,016) =
d’individus marqués ( 0,00526; 0,00974) (0,087; 0,151)

Intervalle de confiance (Nmin; Nmax) = (3 407/ 0,00974; 3407/ (5 267/ 0,151; 5267/
à 95% de l’effectif (M/Pech max; M/Pech 0,00526) (349 795; 0,087) = (34 881; 60
total de la population min) 647 718) 540)

On en déduit qu’il y a 95% de chances que l’effectif de la population soit dans


l’intervalle :

- [349 795 ; 647 718 ] lors de la saison humide

- [34 881 ; 60 540] lors de la saison sèche.

On constate donc que chaque intervalle de confiance à des bornes qui peuvent ici
varier quasiment du simple au double, ce qui traduit l’incertitude, considérable, sur la
mesure de la population des moustiques. Cette incertitude pourrait être réduite si l’on
augmentait le nombre de moustique

Bilan de l’activité 17 :

-Du fait de la fluctuation d’échantillonnage, un échantillon n’est pas forcément


strictement représentatif de la population totale.

-On peut alors calculer un intervalle de confiance au sein duquel on espère que
l’effectif réel de la population (ou qu’une proportion d’individus) se trouve.
-Pour un niveau de confiance donné, l’estimation sera d’autant plus précise (et donc
un intervalle de confiance d’autant plus restreint) que l’effectif de l’échantillon est grand.

II. Etude de la structure génétique d’une population : Loi de Hardy-Weinberg

Activité 18 : Etudier un cas théorique pour comprendre le principe de la loi Hardy-
Weinberg sur l’équilibre génétique des populations

Calcul des fréquences génotypique

F(R//R) = 5/10 = 0,5

F(R//B) = 4/10=0,4

F(B//B)= 1/10 = 0,1

Calcul des fréquence allélique

F® = 14/20 = 0,7

F(B) = 6/20 = 0,3

C’est la fréquence allélique. On constat que la somme des fréquence allélique est
égale à 1.

On en déduit que, selon la loi de Hardy-Weinberg, les fréquences alléliques restent


théoriquement stables au fil des générations et donc il est prévu une stabilité génétique des
populations au fil des générations.

Attention, la loi de Hardy Weinberg ne s’applique que dans des conditions précises.

Bilan :

Au cours du temps, de l’évolution biologique, la composition génétique des


populations est susceptible de changer au fil des générations, comme on peut le voit suite à
des opérations de recensement et de comptage des individus dans le milieu naturel.

Mais le modèle mathématique théorique de Hardy-Weinberg utilise la théorie des


probabilités pour décrire le phénomène aléatoire de la transmissions des allèles au sein
d’une population. En assimilant les probabilités à des fréquences alléliques sur des effectifs
de grande taille (loi des grands nombres), le modèle de Hardy-Weinberg prévoit que la
structure génétique d’une population de grand effectif reste stable d’une génération à une
autre, sous certaines conditions (pas de migration, de mutation, ni de sélection naturelle ou
sexuelle). Cette stabilité théorique est connue sous le nom d’équilibre de Hardy-Weinberg.

III. Causes des écarts à la loi de Hardy-Weinberg


Activité 19 : Etudier des cas concrets pour comprendre les causes des écarts
éventuellement observés avec la loi de Hardy-Weinberg.

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