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Chapitre 4

88 – C’était les premiers jours : - de l’hiver – du printemps –de l’été.


89 – Lalla Zoubida et son fils ont rendu visite à : Lalla Aicha – Lalla Khadija – Lalla Salama.
90 – Sa mère avait : - 22 ans – 32 ans – 42 ans.
91 – Les enfants ont joué : - aux cartes – au Ballon – à la mariée.
100 – Le jeu a été terminé par : - des applaudissements – des compliments – une dispute.
101 – Fatma Bziouiya avait : - un tatouage sur le menton – une balafre sur la joue – une cicatrice
sur le front.
102 – Le Mari de Lalla Aicha s’appelle : - Allal – Moulay Abdelkader – Moulay Larbi.
103 – Quelle était la formule sacrée employée par les hommes ? : - Puis-je entrer ? – Puis-je
passer ? – Puis-je sortir ?
104 – En attendant le retour de Lalla Aicha, Lalla Zoubida se leva pour : - revenir à sa maison –
regarder par la fenêtre – préparer le déjeuner.
105 – Après être revenue, Lalla Aicha commence à : - Rire – sourire largement – pleurer.
106 – Dans la conversation des deux femmes, l’enfant a entendu le mot : - Ogre – Voleur – Pacha.
107 – Moulay Larbi a été trahi par son associé : Abdelkader – Abdeslam – Abdennabi.
108 – quelle est la somme que Moulay Larbi a versé à son associé Abdelkader ? : 60 Rials – 70
Rials – 80 Rials.
109 – le chat de Zineb est décrit comme : maladif – méchant – doux.
110 – la boite à merveilles permet au narrateur de : s’évader du monde réel – de jouer avec ses
camarades – de s’évader du monde invisible.
111 – Abdellah était : fabricant de charrues – épicier –tisserand.
112 –Lahbib a jeûné plus d’une semaine : pour se purifier de son mensonge – pour se purifier de
sa colère – pour l’amour d’Allah.

Chapitre 5 :

113 – le maître du Msid est heureux car : c’est le jour de Achoura – il ira au pèlerinage – la fête de
Achoura approche.
114 – à son retour, sa mère était : absente – malade – malheureuse.
117 – Lalla Aicha, pour aider son mari : a fait une dette de son ami Zoubida – a visité Sidi Ali
Boughaleb – a vendu ses bijoux et son mobilier.
118 – le narrateur relate le souvenir de la mort de : Sidi Mohammed Ben Tahar – Lahbib et
Abdennabi – Abdellah l’épicier.
119 – le défunt était : babouchier – coiffeur – Fquih.
120- Lalla Zoubida a donné à son fils : un soufflet – un cadeau – un beignet.
121 – Sidi Mohamed a envoyé à Zineb un coup de poing : sur le front – sur les yeux – sur le nez.
122 – « des torrents de larme lui inondèrent le visage » est : une hyperbole – une comparaison –
une synecdoque.
123 – Moulay Abdeslam a raconté une histoire à son fils pour : lui décrire une tombe – pour le
consoler – pour lui faire découvrir les secrets de la mort.
124 – la nuit, le narrateur : a bien dormi – a veillé tard – avait de la fièvre.
125 – le cadeau offert par la mère à Sidi Mohamed était : un cabochon – un clou taillé – une
chaînette de cuivre.
126 – le chat de Zineb : a volé la chaînette du narrateur – a griffé le narrateur – a dormi sur les
genoux du narrateur.
127 – une dispute s’est éclatée entre : Lalla Zoubida et Rahma – Zineb et le narrateur – Moulay
Larbi et son associé

Chapitre : 6
128- le nombre des marches du Msid est : 2 – 3 – 4 marches.
129 – le narrateur relate le souvenir de : - la fête de sacrifice – la fête du trône – la fête de
Achoura.
130 – le narrateur se sent : - d’une tristesse profonde – très heureux – d’une inquiétude
incomparable.
131 – Sur la terrasse, l’enfant a joué : - avec une baguette – avec chaînette – avec ses objets.
132 – La mère a traité son fils de juif et de chien galeux car : - il s’est disputé avec Zineb – il n’a
pas voulu aller à l’école – il s’est tardé en jouant sur la terrasse.
133 – Le narrateur n’est pas allé au Msid car : - il irait avec sa mère au marché des tissus – car il
était malade – car c’était un jour de congé.
134 – La mère a acheté à son fils : - une chemise neuve et un gilet – une Djellaba blanche et un
gilet – une chemise neuve et une Djellaba.
135 – Le narrateur rêve de devenir : - un roi – un instituteur – un prince.
136 – Le narrateur s’est disputé avec Zineb car : - elle lui a fait une grimace – elle lui a volé sa
chaînette – elle lui a volé son gilet.
137 –La femme qui chantait les lambeaux d’une cantilène s’appelait : Fatma Bziouiya – Lalla
Khadija – Rahma.
138 – L’oncle Othman est le mari de : Salma – La vieille négresse – Khadija.
139 – Qui a raconté l’histoire de l’oncle Othman : - Fatma Bziouiya – Lalla Khadija – Rahma.
140 – Oncle Othman traite sa femme Khadija comme : - sa sœur – sa mère – sa fille.

Chapitre 7

141 – La mère du narrateur a fait l’acquisition : - d’un tambour – d’une taârija – d’une trompette.
142 – Le narrateur a comparé Zineb à : - une aveugle – une muette – une sourde.
143 – La figure de style employée dans cette expression : « Ma mère me pria de monter sur la
terrasse, braire tout à mon aise », est : - une hyperbole – une métaphore – une comparaison.
144 – L’élève envoyé par le Fquih s’appelle : Sidi Mohamed – Lahbib – Azzouz.
145 – Sidi Mohamed doit aller au Msid : - pour travailler – pour jouer – pour lire le Coran.
146 – La mission accomplie par les enfants au Msid correspond à : - La préparation du chaux – la
préparation des mattes – la préparation des lustres.
147 –L’enfant qui s’est coupé le pouce avec une lamelle s’appelle : - Sidi Mohamed – Lahbib –
Azzouz.
148 – Le narrateur a trouvé sa mère très ennuyée car : - Mâalem Abdeslam est malade – Elle a de
la migraine – il n’y avait plus de pétrole dans la lampe.
149 – Qui a rendu service à Lalla Zoubida : - Allal le jardinier – Driss El-Aouad – Driss le
teigneux ?
150 – Lalla Kenza a demandé à Lalla Zoubida : un brin de menthe – une poignée de thé – une
bougie.
151 – Lalla Kenza a donné au narrateur : - une poignée de grains de sésame – un radis – une
orange et un œuf dure.
152 – Qu’est-ce qui inquiète le narrateur dans sa sortie avec son père ? : - La séance du Coran – la
séance du coiffeur – la séance du bain maure.
153 – Le père a acheté à son fils : - 1 jouet – 2 jouets – 3 jouets.
154 –« Je lui posais mille questions » est : -une métaphore – un oxymore – une hyperbole.
155 – Le coiffeur s’appelle : - Si Abderrahmane – Si Ahmed – Oncle Hammad.
156 –Bnou Achir est : - un babouchier – un coiffeur – un tisserand.
157 – Le cierge acheté par le père à son fils était destiné : - à la mère – à Lalla Kenza – au Fquih.
158 –L’oncle Hammad était : - malade – heureux – ennuyé.
159 – « Elles nous conseillèrent d’aller sur la terrasse charmer les oreilles des voisins » est : - une
anaphore – une périphrase – une antiphrase.
160 – Le cadeau offert au Fquih était : - un cierge et deux francs – un cierge et cinq francs – un
cierge et sept francs.
161 – « Les petites flammes dansaient » est : - une personnification – une métaphore – une
hyperbole.
162 – Qui a rendu visite à la mère du narrateur ? : - Fatma Bziouiya – Rahma – Lalla Aicha.

Chapitre 8

163 – Les insectes et les mouches ont envahi la maison à cause de : - la saleté – la chaleur – la
pollution.
164 – L’école fut installée dans : - un village plus proche – une Zaouiya – un sanctuaire.
165 – Les jeunes filles visitaient le mausolée (où s’est installée l’école) pour : - se marier – se
débarrasser de leurs maux – faire des invocations.
166 –« La petite fontaine circulaire chantonnait dans un coin » est : - une métaphore – une
anaphore – une personnification.
167 – Le père a emmené sa femme et son fils au : - Souk des tissus – Souk des bijoux – Souk des
épices.
168 – Le jour où le narrateur est sorti avec ses parents était : - Lundi – Mardi – Jeudi.
169 – Le père est sorti avec sa femme et son fils pour acheter : - une chemise à son fils – des
épices et des provisions - Un bracelets à sa femme.
170 – Le père annonce la mort de : - La mère de Allal – La mère de Driss El-Aouad – La mère de
Driss le teigneux.
171 – « Les bijoux, c’est beau comme les fleurs » est : - Une comparaison – Une hyperbole – Une
personnification.
172 – « Le souk des bijoutiers ressemblait à l’entrée d’une fourmilière » est : - Une comparaison –
Une hyperbole – Une personnification.
173 – Qui est sortie avec le narrateur et ses parents : - Rahma – Fatma Bziouiya – Lalla Aicha.
174 – Le malheur du jour était : - la ruine du père – la dispute du père avec un courtier – la
maladie de l’enfant.
175 – La mère a refusé ses bracelets car : - ils sont de mauvaise augure – ils sont moins chers – ils
ne sont pas de bonne qualité.
176 – Zoubida a pensé que les bracelets achetés par son mari sont : - des bijoux fabuleux – des
porte-malheur – le meilleur cadeau qu’on lui a offert.
177 – Moulay Larbi (le mari de Lalla Aicha) : - a épousé une seconde femme – s’est disputé avec
son associé Abdelkader – a perdu tout son capital.
178 –Le père de la nouvelle épouse (de Moulay Larbi) s’appelle : - Oncle Othman –
Abderrahmane – Si Allal.
179 – Le narrateur Sidi Mohamed : - a dormi profondément – est tombé malade – s’est cassé le
doigt.

Chapitre 9

180 – La mère a préparé à son fils : - un plat de ragoût – un bol de bouillon – des beignets.
181 – Le malheur de la famille du narrateur est : - la ruine du père – la maladie de Sidi Mohamed
– la dispute de la mère avec les voisines.
182 – La mère se lamente parce que : - son fils est malade – Rahma l’a insulté – son mari s’est
ruiné.
183 – Le père a perdu son capital : - dans la cohue des enchères aux haïks – au souk des bijoux –
sur son chemin à la mosquée.
184 – Que décide le père : - travailler comme ouvrier dans un atelier – travailler comme
moissonneur – vendre tout le mobilier de la maison.
185 – La mère a considéré ses bracelets comme : - bénis – précieux – maudits.
186 –Le père quitterait sa famille pendant : - un mois – 2 mois – 3 mois.
187 – Le père a quitté sa famille : - à l’aube – à midi – à minuit.
188 – Fatma Bziouiya a donné à Sidi Mohamed : - 2 beignets – un beau radis – un bol de potage.
189 – « Le bruit de ses narines me rappela le son de la trompette du Ramadan » est : - une
hyperbole – une comparaison – une métaphore.
190 – Sidi Mohamed est allé avec sa mère à : - Sidi Ahmed Tijani - Sidi Ali Boughaleb – Sidi Ali
Bousserghine.
191 – Sidi Mohamed, sa mère et Lalla Aicha ont visité : Sidi Ahmed Tijani – Sidi Ali Boughaleb
– Sidi El-Arfi.

Chapitre 10

192 – « Lalla Aicha se mit à respirer comme un soufflet de forge » est :- une comparaison – Une
métaphore – Une personnification.
193 –« Sidi El-Arfi » était : - sourd – muet – aveugle.
194 – Sidi El-Arfi a conseillé au narrateur de réciter souvent : - Le premier chapitre du Coran – Le
verset du trône – Le chapitre de « ELBAQARA ».
195 – La femme de Sidi El-Arfi parlait avec l’accent de : - Tafilalet – Jbala – El Khmissat.
196 – Sidi El-Arafi a demandé à sa femme : - un panier – une bol – un œuf et une assiette.
197 –Sidi Mohamed met la main dans le panier de Sidi El-Arfi et fait sortir : - une perle noir – une
boule de verre – un minuscule coquillage.
198 – Lalla Aicha a fait sortir (du panier) : - une perle noir – une boule de verre – un minuscule
coquillage.
199 – Lalla Zoubida a fait sortir (du panier) : - une perle noir – une boule de verre – un minuscule
coquillage.
200 – L’enfant s’est caché dans les plis du haïk de sa mère car : - il a vu passer le Fquih –il avait
peur d’un aveugle – il peur de la femme de Sidi El-Arfi.
201 – « mon teint rappelait l’écorce de grenade » est : - une comparaison – Une métaphore – Une
personnification.
202 – Le messager envoyé par le père apporte : - une lettre et un poulet – des provisions et de
l’argent – une bouteille d’huile et des œufs.

Chapitre 11

203 – La femme qui avait la voix d’homme s’appelait : - Mbarka – Khadija – Salama.
204 – La nouvelle visiteuse était : - une voyante – une marieuse professionnelle – une neggafa
professionnelle.
205 –Salama est venue pour annoncer : - une bonne nouvelle – un grand malheur – une mauvaise
surprise.
206 – La jeune fille qui s’est mêlé à la conversation : s’appelle : - Khadija – Salima – Zhor.
207 – La bonne nouvelle annoncé par les deux visiteuses est : - Moulay Larbi a l’intention de
répudier la fille du coiffeur – le père du narrateur est revenu de la compagne –Sidi Mohamed
apprend vite le Coran.

Chapitre 12 :

208 - Le petit enfant envoyé par le Fquih s’appelle : Hammoussa – Allal – Azzouz Berrada.
209 – le Fquih a envoyé un enfant au narrateur : pour lui demander de revenir au Msid – pour lui
offrir un cadeau – pour prendre de ses nouvelles.
210 – quelle est la bonne nouvelle dans ce chapitre ? : Le retour du père – la guérison de l’enfant
– la visite de Sidi El-Arafi ?
211 – qui a annoncé la bonne nouvelle ? : Hammoussa – Zineb – Allal Elyaakoubi ?
212 – le père tenait : 2 poulets – 3 poulets – 4 poulets.
213 – la personne qui est venue discuter avec le père du narrateur est : Driss El-Aouad – Driss le
teigneux – Allal le jardinier.

Quelques questions de compréhension et leurs réponses à propos de "La Boîte à Merveilles"


d'Ahmed Sefrioui.
■ Questions de Compréhension :
● #Extrait_du_Chapitre_1 :
1- Complétez :
Titre de l’œuvre - Nom de l’auteur - Genre de texte - Type de texte.
---> Titre de l’œuvre : La boîte à merveilles.
---> Nom de l’auteur : Ahmed SEFRIOUI.
---> Genre de texte : Un extrait de roman autobiographique.
---> Type de texte : Un texte narratif.
2- Qu'est ce qui montre que ce récit est une autobiographie ?
---> L'utilisation du pronom personnel "Je" / l'évocation de souvenirs / Relation de faits réels /
l'évocation de noms de lieux réels (derb Noualla, la rue jiaf) / Le narrateur = le personnage / en
comparant les faits relatés avec les éléments biographiques de l'auteur, on constate qu'il y a une
correspondance.
3- Où le narrateur habite-t-il ?
---> Le narrateur habite dans la maison dar chouafa au fond d’une impasse.
4) Pourquoi la maison porte-t-elle ce nom ?
---> Parce qu’une voyante y habite.
5- Quel est le trait de caractère saillant du narrateur ?
---> C'est un grand rêveur.
6- Quels sont les éléments qui ancrent le récit dans un contexte marocain ?
---> Il y a plusieurs éléments : la mention de patronymes et de noms marocains (Dris, Zineb,
Rahma ,etc.), l'évocation de faits de culture typiquement marocains (le fqih ,les voyantes ,les you-
yous,les talismans ,le bain maure ,etc.) ;l’utilisation de mots empruntés à l ‘arabe marocaine ou
classique (gnaouas, chouafa ,doum, jnouns, derb ,caftons, mansourias, haik, etc.).
7- Que contient la boîte à merveilles ?
---> Elle contient une foule d'objets hétéroclites : un bouton, des boules de verre, des anneaux de
cuivre, un minuscule cadenas sons clets, des clous à tête dorée, des boutons décorés, des encriers
vides, des boutons sans décor.
8- Pourquoi la mère du narrateur s'est-elle disputée avec sa voisine Rahma ?
---> Parce que la voisine a fait la lessive le lundi, jour qui est réservé à la mère du narrateur, vu
que les lieux sont étroits. par ailleurs, elle considère que la voisine a souillé ses habits.
9- Pourquoi le narrateur appréhende-t-il le mardi ?
---> Il l'appréhende car c'est un jour consacré au révisions : les écoliers doivent réciter les versets
appris depuis leur entrée au Msid.
10- Pourquoi lalla aicha conseille-t-elle à la mère de se rendre avec le narrateur au sanctuaire Sidi
Ali Boughaleb ?
---> Parce que la mère se sentait mal, et croit que son fils est frappé du mauvais oeil.
11- Quel métier le pére du narrateur exerce-t-il ?
---> Il exerce le métier de tisserand.
12- Qui a retrouvé Zineb ? Où ?
---> C'est la mère du narrateur et Fatma Bziouya, à la maison des idrissides, asile des filles
abandonnées.
● #Extrait_du_Chapitre_2 :
1- Présentez brièvement l'auteur et son roman.
---> C'est Ahmed Sefrioui, un écrivain marocain d'expression française. Il est né à Fès en 1915
de parents berbères.
---> Il est séduit depuis son enfance par l'école française qui l'a beaucoup marqué. Il a occupé
plusieurs fonctions dans l'administration publique. Son premier roman fut "Le chapelet d'ambre".
Il est mort en 2004.
---> "La boîte à merveilles" est son roman autobiographique dans lequel il retrace
le parcours d'une vie simple d'un enfant né dans la médina de Fès.
2- Situez le passage dans l'œuvre.
---> Ce passage est situé juste après le retour du petit enfant "Sidi Mohammed" du
Msid. C'était un mardi. A la maison, il a trouvé sa maman malade, elle soufrait d'une migraine.
Son amie Lalla Aïcha est venue lui rendre visite.
3- "C'était, en vérité un grand jour".
Pourquoi le narrateur parle-t-il d'un grand jour ?
---> Le narrateur parle d'un "grand jour", car, d'abord il n'irait pas à l'école coranique où il devait
réciter quelques versets de coran, et ensuite, il devait mettre sa djellaba blanche et partir visiter le
sanctuaire de Sidi Ali Boughaleb.
4- Le narrateur et sa mère éprouvent-ils le même sentiment à l'égard de Lalla Aïcha ? Justifiez
votre réponse par des expressions tirées du texte.
---> Le narrateur et sa mère m'éprouvent pas le même sentiment à l'égard de Lalla Aïcha.
Au narrateur, elle inspire un certain dégoût "son visage lisse et rond m'inspirait un certain dégoût.
Je n'aimais pas qu'elle m'embrassât".
Quant à sa mère, elle aime bien Lalla Aïcha : "une relation comme Lalla Aïcha flattait l'orgueil de
ma mère".
5- La mère du narrateur et son amie Lalla Aïcha ne se parlent pas de la même façon à l'intérieur
de la maison et dans la rue.
Illustrez mieux cette constatation en
complétant : A l'intérieur de la maison / Dans la rue.
---> A l'intérieur de la maison :
- Elles faisaient trembler les murs.
- Leurs cordes vocales étaient à toute épreuve.
---> Dans la rue :
- Les deux femmes marchaient à tout
petits pas, se penchant l'une sur l'autre
pour se communiquer leurs Impressions
dans un chuchotement.
- Elles devenaient aphones et gentiment
minaudières.
6- La description de Lalla Aïcha faite par le narrateur est-elle valorisante ou dévalorisante ?
justifiez votre réponse par des expressions tirées du texte.
---> La description de Lalla Aïcha faite par le narrateur est dévalorisante : "cette femme plus large
que haute, avec une tête reposait directement sur le tronc, des bras courts qui s'agitaient
constamment. Son visage m'inspirait un certain dégoût".
7- Pourquoi certains termes sont-ils écrits en gras ?
---> Certains termes sont écrits en italique comme djellaba, haïk, mansouria, car ils
sont d'origine arabe.
8- Identifiez la figure de style dans la phrase suivante : "J'attendais un bon moment avant de voir
surgir de la foule les deux haïks immaculés".
---> "l'attendais un bon moment avant de voir surgir de la foule les deux haïks immaculés". Il
s'agit d'une synecdoque.
9- Relevez les termes relatifs au champ lexical de la foule.
---> Le champ lexical de la foule: la cohue, un embouteillage, les passants, la foule.
● #Extrait_1_du_Chapitre_7 :
1- Présentez l'auteur de cette œuvre en quelques lignes.
---> Ahmed Sefrioui est un des grands romanciers marocains d'expression française. Il nait en
1915 à Fès où il fera toute sa scolarité avant d'intégrer le domaine de la fonction publique. Il reçoit
le Grand Prix du Maroc et publie plusieurs œuvres dont le Chapelet d'ambre, le Jardin des
sortilèges. Il meurt en 2004 laissant derrière lui une œuvre très riche bien que mal connue au
Maroc.
2- Situez ce passage dans l'œuvre dont il est extrait.
---> Ce texte est extrait de la Boite à Merveilles, premier roman marocain écrit en langue
française paru en 1954. Ce roman autobiographique est écrit par le romancier marocain
d'expression française Ahmed Sefrioui. Il relate les souvenirs d'enfance de son narrateur Sidi
Mohamed. Parmi ces souvenirs, on trouve celui de l'Achoura, fête musulmane, et ses préparatifs.
Ici, le petit enfant accompagne son père au marché pour acheter des jouets.
3- Quels sont les jouets cités dans le passage.
---> Beaucoup de jouets sont cités dans le texte. Parmi eux on trouve Des tambourins, des
bendirs , des tambours de basque, des trompettes , des pipeaux ,les grelots des hochets de fer
blanc et des flûtiaux.
4- Quel type de focalisation le narrateur utilise-t-il dans le texte ? Justifiez votre réponse.
---> La focalisation dans ce texte est interne, parce qu'on "voit" à travers les yeux du petit
enfant.C'est un point de vue interne au récit. Le petit enfant est un personnage du récit et non un
simple témoin extérieur.
5- Relevez du passage des indices d'énonciation.
---> L'indice d'énonciation qu'on trouve dans le texte est le pronom personnel "je".
6- Le père du narrateur sait-il acheter et vendre ? Relevez du texte un événement qui le prouve.
---> Le père ne sait rien dans l'art d'acheter et de vendre puisqu'il paie les prix sans les discuter
"Mon père me laissait choisir, payait sans discuter".
7- Relevez une hyperbole .
---> L'hyperbole contenue dans le passage est "un peuple de femmes "Cette expression qui veut
dire un groupe de femmes est amplifiée par l'emploi du mot peuple qui désigne plus qu'un simple
groupe de gens".
8- Quels marchandises le père du narrateur a-t-il acheté après ce tour au marché.
---> Le père a acheté pour son enfant un un tambour en forme de sablier, un petit chariot bizarre
en bois ,une nouvelle trompette avant d'acheter un cierge d'une livre de poids.
● #Extrait_2_du_Chapitre_7 :
1- Complétez le paragraphe suivant par les informations qui manquent :
Ce texte extrait de......est écrit en.....par......qui est l’undes premiers écrivains de.........
----> Ce texte extrait de La boîte à merveilles est écrit en 1952 par Ahmed Sefrioui qui est l’un
des premiers écrivains de la littérature maghrébine d’expression française.
2- Répondez aux questions suivantes pour situer le texte dans l’œuvre :
a)- L’histoire racontée dans ce texte se passe à quel moment de la journée ?
---> Le matin.
b)- De quel événement s’agit-il dans cette journée ?
---> La fête de l’Achoura.
3-
a)- À quel genre de roman appartient ce texte ?
---> Un roman autobiographique.
b)- Le pronom personnel "je" dans le texte renvoie :
- à l’auteur et au narrateur.
- au narrateur et au personnage principal.
- au personnage principal et à l’auteur.
- à l’auteur, au narrateur et au personnage principal.
Recopiez la bonne réponse.
---> Le "je" renvoie au narrateur et au personnage principal.
4-
a)- Remettez en ordre ces lieux dans lesquels évolue le narrateur : Le Msid – la maison – la rue.
---> La maison - La rue - Le Msid.
b)- Recopiez et faites correspondre à chacun de ces lieux une actiondu narrateur :
Les lieux : La maison - La rue - Le Msid.
Les actions du narrateur: J’entrai dans un univers de rêve - je précédai mon père dans l’escalier
- Je faisais de terribles efforts pour retenir mes babouches.
---> La maison : je précédai mon père dans l’escalier.
---> La rue : Je faisais de terribles efforts pour retenir mes babouches.
---> Le Msid : J’entrai dans un univers de rêve.
5-
a)- Choisissez dans la liste suivante, les deux champs lexicaux dominants dans le texte :
La fête – le rêve – le temps – la lumière.
---> La fête - la lumière.
b)- À partir du texte, relevez dans ce tableau, deux mots de chacun des deux champs
lexicaux choisis :
---> Le premier champ lexical (la fête) :
Neuf / cadeaux / gaîté / fête fabuleuse.
---> Le deuxième champ lexical (la lumière) :
Éclairées / scintillaient / flammes / brillait
6-
a)- Quel sentiment le narrateur exprime-t-il dans l’ensemble de ce texte ?
---> La joie et l’enthousiasme.
b)- Relevez de la ligne 8 à la ligne 17 trois mots qui expriment ce sentiment.
---> Heureux, souriaient, enthousiasme, fête, joie.
7- Que désigne chacune de ces expressions du dernier paragraphe : Le prince unique - jeunes
seigneurs - roi des légendes - un univers de rêve.
---> Le prince unique (Le narrateur-enfant).
---> Jeunes seigneurs (Les élèves).
---> Roi des légendes (Le maître d’école).
---> Un univers de rêve (Le Msid).
8-
a)- La figure de style utilisée dans toutes ces expressions est :La comparaison, la personnification,
l’hyperbole.
Recopiez la bonne réponse.
---> L’hyperbole.
b)- Quel effet le narrateur veut-il produire par l’emploi de cette figure de style ?
---> Amplifier le caractère fabuleux de la fête.
9- À la lumière de votre connaissance de l’œuvre, dites quel trait de caractère de l’enfant sedégage
du dernier paragraphe.
---> C’est un enfant rêveur - Il a beaucoup d’imagination -Il est attiré par le monde de l’invisible.
10-
a)- Dans ce texte, le narrateur exprime une vision positive ou négative sur son école ?
---> Une vision positive.
b)- Cette vision est-elle celle qui domine dans toute l’œuvre ? Justifiez votre réponse par
un exemple.
---> Non.
---> Exemples :
- le maître est autoritaire.
- L’atmosphère du Msid est étouffante.
- L’enfant redoute les heures du Msid et surtout le mardi.
- L’enfant est souvent mal à l’aise au Msid.
● #Extrait_du_Chapitre_9 : (Facebook.com/LaboiteAM)
1- Ahmed Sefrioui est un écrivain marocain d’expression française. Quand et où est-il né ? Citez
une de ses œuvres. Quand est-il mort ?
---> Ahmed SEFRIOUI est né en 1915, Fès. Il a écrit plusieurs récits dont le Jardin des sortilèges.
2- A quel genre littéraire appartient la boite à merveilles ? Justifiez votre réponse.
---> La Boite à Merveilles est une autobiographie. L’auteur, le narrateur ; le personnage principal
sont identiques. Il utilise le pronom personnel "je". Leurs noms sont presque identiques. D’autant
plus que l’auteur puise les éléments de son récit dans sa vie (vie à Fès, origines montagnardes de
ses parents, univers culturel...).
3- D’après votre lecture de l’œuvre :
a- Pour quelle raison le père quitte-t-il sa maison ?
---> Le père quitte sa maison pour aller travailler comme ouvrier agricole dans les compagnes de
Fès. Ce qui le pousse à ce départ c’est sa ruine : il a perdu son capital dans des circonstances
indéterminées.
b- Quel genre de travail le père compte-t-il faire ?
---> Il compte travailler comme faucheur (personne qui coupe le l’herbe, le blé avec une faucille).
4- Quand et où se passe la scène ?
---> La scène se passe à l’aube, dans la chambre qu’habite la famille du narrateur, au second étage
de la maison de la chouafa, située dans une impasse de la Médina de Fès.
5- "Le père, dans une famille comme la notre, représente, une protection occulte point n’est
besoin qu’il soit riche, son prestige moral donne force, équilibre, assurance et respectabilité"
Dans ce passage s’agit-il du récit ou du commentaire ? Justifiez votre réponse.
---> Il s’agit d’un commentaire. Ce n’est pas le narrateur ne raconte pas des événements ou des
faits, mais il émet et fait des réflexions. C’est pour cette raison qu’il emploie des temps du
discours, en l’occurrence le présent de l’indicatif, et non les temps du récit.
6- Donnez des sentiments éprouvés par le narrateur.
---> ("j’eus la sensation que nous étions abandonnés") - le chagrin ("nous étions devenus
orphelins").
7-
a-Relevez une comparaison dans le troisième paragraphe.
---> "il manifeste à notre égard une pitié ostentatoire plus humiliante que le pire mépris".
b- Quelle idée cette comparaison met en valeur ?
---> Cette comparaison montre que le narrateur préfère plutôt mépris à la pitié insolente des
voisins.
8- Pourquoi le mot haïk et qarchalas sont-ils écrits en italique ?
---> Ils sont écrits en italique parce qu’ils sont des monts empruntés à l’arabe marocain le
narrateur les utilise pour donner une couleur locale à son récit pour créer chez le lecteur l’illusion
de réalisme.
9- Quelle est la réaction de la femme au départ de son mari ?
---> La femme percluse du chagrin

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