LA BOÎTE À MERVEILLES D'AHMED SEFRIOUI: CHAPITRES 4, 5 ET 6.

Chapitre 4 :
• Dans les premiers jours du printemps, Lalla zoubida et son fils se
rendent chez Lalla Aicha. Ils vont y passer toute la journée.
• Autour d’un thé, les deux femmes parlent de leurs voisins.
• Sur la terrasse, Sidi Mohamed joue avec les enfants de la maison à la
mariée. Mais le jeu devient dispute.
• Lalla Aicha et Lalla Zoubida se remettent à parler de Rahma, de Fatma
Bziouya et de Kenza la voyante. Lalla Zoubida évoque la beauté des trois femmes.
• Moulay Larbi, le mari de Lalla Aicha rentre à la maison. Il
s’entretient avec sa femme.
• Pendant ce temps, Lalla Zoubida, penchée sur la fenêtre qui donne sur
le patio, rencontre une voisine de Lalla Aicha. Les deux femmes évoquent le
printemps. La voisine de Lalla Aicha évoque le souvenir d’une nzaha.
• Lalla Aicha vient retrouver son amie. Les deux femmes discutent à voix
basse. Lalla Aicha pleure. Elle est consolée dans les bras de son amie.
• Le soir, Maalam Abdeslam vient chercher sa femme et son fils.
• Le lendemain, vendredi, après le déjeuner, Lalla Zoubida raconte à son
mari les malheurs de Lalla Aicha.
• Moulay Larbi, le mari de Lalla Aicha, a prêté quatre-vingt rials à son
associé Abdelkader. Mais ce dernier a nié. Il prétend même avoir versé la moitié du
capital de l’affaire de Moulay Larbi servant à l’achat du matériel …
• Sidi Mohamed qui écoutait la conversation de ses parents, entend jouer
Zineb. Il compare sa façon de jouer à la sienne.
• Il se souvient du récit de son père sur Abdallah l’épicier.
Chapitre 5 :
• C’est un mercredi. Le maître du Msid, de bonne humeur, annonce le début
des préparatifs pour la fête de l’achoura.
• Libéré, avec ses camarades, pour le reste de la journée, Sidi Mohamed
rentre à la maison. Sa mère est absente. Elle est sortie avec Lalla Aicha.
• Une fois de retour, elle raconte à sa voisine Fatma que Son amie a
vendu tous ses biens et bijoux pour venir en aide à son mari en détresse.
• Pendant qu’elle rapportait la même histoire à sa voisine Rahma sur la
terrasse, elles entendent des cris.
• Une vieille femme leur apprend que Sidi Mohamed Ben Taher est mort.
• Lalla Zoubida et son fils passent par-dessus le mur de la terrasse pour
aller dans la maison voisine où les femmes pleuraient le défunt.
• Sidi Mohamed est marqué par cet événement. Pour le consoler, son père
lui raconte une histoire.
• Le soir, il a de la fièvre et fait des cauchemars. Il imagine son
propre cortège funèbre.
• Le lendemain, l’enfant ne va pas au Msid. Pour l’occuper, sa mère lui
offre une chaînette.
• Pendant qu’il jouait avec les objets de sa boîte, le chat de Zineb est
entré dans la chambre. Sidi Mohamed lui met le petit bijou autour du cou. Mais le
chat part avec en courant.
• Sidi Mohamed est furieux contre le chat mais aussi contre Zineb avec
laquelle il se dispute.
Chapitre 6 :
• Huit jours avant la fête de l’Achoura, le maître forme des équipes et
nomme des chefs. On commence par blanchir les murs.
• Le lendemain, on lave le sol. Sidi Mohamed est nommé chef des
frotteurs.
• Le soir, il rentre à la maison fier de ses exploits. Ses parents le
félicitent.
• Le lendemain matin, sa mère décide de l’emmener à la Kissaria pour lui
acheter ses habits de fête. L’enfant est content.
• Lalla Kenza demande à lalla Zoubida de lui acheter une satinette.
• Sur son chemin, Lalla Zoubida rencontre une voisine de Lalla Aicha.
Celle-ci lui rapporte de bonnes nouvelles : l’affaire de Moulay Larbi s’est bien
terminée grâce à sa femme.
• Lalla Zoubida fait le tour de la Kissaria. Elle achète une cotonnade
pour la chemise et un gilet. Elle n’oublie pas la satinette de Kenza.
• Arrivée à Dar Chouafa, Lalla Zoubida remet la satinette à Kenza. Puis,
invitée par Rahma, elle lui montre ses achats.
• Au moment du déjeuner, Lalla Zoubida entend quelqu’un chanter. C’est la
voix de Lalla Khadija, la femme de l’oncle Othman, lui apprend Fatma.
• Pour leur expliquer comment la jeune femme traite son mari, Rahma
raconte à ses voisines une histoire amusante qui lui a été rappoortée par M’Barka,
l’ancienne esclave de l’oncle Othman.