D08-Implanter La Construction Sur Le Terrain PDF

Gros-œuvre Tous Corps d'Etat, BN1 TEB
Livret N° D 08
Implanter la construction sur le terrain
LIVRET DE SEANCE
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Apprentissage
Période en
entreprise
Evaluation
CODE BARRE
Technicien d'Etudes Bâtiment
Implanter la construction sur le terrain
D1 Calculer les différentes surfaces.
D2 Remplir les formulaires administratifs.
D3 Définir les droits d’urbanisme des sols.
D4 Étudier le plan de situation.
D5 Étudier l’adaptation au sol d’une construction.
D6 Définir un système d’assainissement individuel.
D7 Dessiner un plan de masse.
D8 Implanter la construction sur le terrain.
D9 Réaliser un relevé altimétrique à l’aide d’un niveau à lunette.
D10 Dessiner les façades.
D11 Tracer les ombres en façades.
D12 Réaliser la perspective conique d’un ouvrage.
D13 Réaliser un relevé photographique.
D14 Établir le dossier d’intégration dans le site.
D15 Dessiner à la planche les documents graphiques du permis de construire.
D 16 Analyser le dossier APS du Maître d'œuvre.
D 17 Repérer et prédimensionner des éléments de structure.
D 18 Produire un dessin assisté par ordinateur.
D 19 Étudier les cloisons séparatives, de distribution, de doublages.
D 20 Étudier les évacuations EU-EV et alimentations.
D 21 Dessiner le plan de l'étage courant.
D 22 Étudier et dessiner le plan du rez-de-chaussée.
D 23 Prendre des notes et rédiger un compte rendu et une note de synthèse.

S O M M AI R E
I Présentation......................................................................................... 4
I.1 Objectif ..............................................................................................................4
I.2 Mise en situation................................................................................................4
I.3 Ressources........................................................................................................4
II Cheminement....................................................................................... 5
II.1 Guide .................................................................................................................5
III Ressources pédagogiques ................................................................ 6

III.1 Appui technique .................................................................................................6
Etudier l'adaptation au sol d'une construction..........................................................6
Matériels d'usage courant........................................................................................7
Implanter horizontalement le batiment.....................................................................8
Implanter verticalement le batiment .........................................................................9
Tracer a vue d'un alignement - jalonnement..........................................................10
Alignement dans ce plan vertical d’autant de jalons que nécessaire .....................11
Limite d'emploi du jalonnement a vue....................................................................13
Extension du procédé de l’alignement ...................................................................14
Procédés de mesure des distances.......................................................................15
Piquetage et implantation ......................................................................................17
Tracé des angles quelconques..............................................................................18
Positionner les chaises ..........................................................................................19
Utilisation des équerres optiques...........................................................................21
Utiliser une équerre de raccordement. ..................................................................23
Aligner un point sur une droite matérialisée par 2 jalons .......................................24
Elever une perpendiculaire à une droite en un point donné ..................................25
Définir les aménagements nécessaires à l’accessibilité ........................................27
Méthode de représentation du relief. .....................................................................28
Les profils ..............................................................................................................37
Positionner un projet sur un profil ..........................................................................39
Calcul d’une pente .................................................................................................40
III.2 Exercice d'application ......................................................................................41
IV Evaluation de formation à l’activité. ................................................. 41

V Annexe............................................................................................... 41
V.1 Feuille de suivi .................................................................................................41
Implanter la construction sur le terrain D 08 TEB

afpa  2008 – GO TCE – BN1
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I PRESENTATION
I.1 OBJECTIF
A l'issue de cette séance vous serez capable de réaliser l'implantation d'une

construction sur un terrain.
I.2 M ISE EN SITUATION
Vous travaillez en cabinet d’architecture.
Votre employeur vous confie la préparation d’un dossier de demande de permis de

construire.
Vous assurerez la relation avec le maître d’ouvrage.
I.3 RESSOURCES
Moyens mis à disposition :
1 à 6 : étudier l’adaptation au sol

• Appuis techniques
d’une construction
• Notice Technique Informative
• Vidéo
www.legifrance.fr
• Internet
www.equipement.gouv
• Documents fabricants
Niveau à lunette, mire, théodolite,
• Matériel jalons. chaîne d’arpenteur.
Plan d’implantation.
• D.T.U
• NORMES
• C.R.D Code de l’urbanisme

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II CHEMINEMENT
II.1 GUIDE
Etudier les appuis techniques.
Etudier les ressources.
Réaliser l’exercice d’appropriation
Réaliser l’exercice d’évaluation
Consulter l’aide à la correction.

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III RESSOURCES PEDAGOGIQUES
III.1 APPUI TECHNIQUE
ETUDIER L'ADAPTATION AU SOL D'UNE CONSTRUCTION
L’objectif de cette capacité est de situer et d’implanter sur un plan altimétrique de

géomètre une construction.
Ceci nécessite de :
S’informer du terrain :
• la topographie.
S’informer du bâtiment :
• les dimensions et différents accès du bâtiment.
Adapter un bâtiment au terrain signifie le positionner horizontalement et

verticalement pour informer des aménagements extérieurs à prévoir :
Définir le niveau d’implantation

• les déblais et remblais.
Définir les aménagements nécessaires à l’accessibilité au bâtiment

• les rampes pour véhicules et piétons,
• les murs de soutènement,
• le drainage,
• les talus,
• les escaliers d’accès.
Pour respecter une démarche cohérente, progressez en respectant les étapes

suivantes.
P7: Implanter horizontalement et verticalement

P9: Définir les aménagements
P 10 : Méthodes de représentation du relief
P 20 : Les profils
P 22 : Positionner un projet sur un profil
P 23 : Calcul d’une pente

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MATERIELS D'USAGE COURANT
Pour implanter physiquement un bâtiment, on utilise généralement les matériels

dont la liste ci-après, non exhaustive, vous donne une définition simple.
Jalons
Les lignes à mesurer sur le terrain doivent être matérialisées aussi
clairement que possible. On y parvient à l’aide de piquets fins en bois
ou en métal appelés ‘Jalons’.
Fiches
Les fiches sont des tiges de fer de 30 cm de longueur, destinées à
marquer les points déterminés par l’extrémité de l’instrument de
mesure.
Fil à plomb
En forme de cône appelé plomb d’axe.
Mètre et double mètre.
Décamètre, double décamètre.
Niveau à lunette.
Le niveau à lunette permet de déterminer sur de faibles distances des
différences altimétriques et des angles sur un plan horizontal.
Théodolite.
Le théodolite est semblable à un niveau à lunette mais permet en plus
de définir des angles sur le plan vertical.
Equerres optiques.
Les équerres optiques sont des appareils servant à repérer des points
à angle droit par renvoi d’une ligne de visée.

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IMPLANTER HORIZONTALEMENT LE BATIMENT
C'est fixer en plan, selon les contraintes urbanistiques et d'utilisation, la position du

bâtiment par rapport aux limites de la parcelle.
C’est par rapport aux bornes limites, aux constructions et murs voisins ou par rapport
aux alignements donnés par les services publics que s’implantent les constructions.
Les distances horizontales sont portées de manière à fixer les angles de la future
construction. Par précision et pour faciliter le contrôle, on procède toujours en
décrivant des triangles.
La ligne AB est la base d’implantation du bâtiment, les autres points seront
positionnés par rapport à cette ligne de référence.
Les alignements passeront par les points qui permettent de tracer le nu ou la face
extérieure des murs de façades

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IMPLANTER VERTICALEMENT LE BATIMENT
C'est fixer en coupe, selon les contraintes d'urbanisme et d'exploitation, l'altitude du

bâtiment.
C'est étudier les abords qui seront représentés :

en plan de masse
sur les façades.
Exemple : principe d'implantation d'un bâtiment
TA = terrain aménagé
TN = terrain naturel
h = hauteur à contrôler / POS ou PLU

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TRACER A VUE D'UN ALIGNEMENT - JALONNEMENT
Définition
Jalonner, tracer, un alignement AB, consiste à répartir sur celui-ci un

certain nombre d’objets :
• fiches
• jalons d’arpenteur
• trépieds
• piquets
qui facilitent :
• La mesure des distances
• Les opérations d’implantation
Principe du jalonnement
Le jalonnement d’un alignement – A – B – nécessite :
La matérialisation, par 2 jalons dressés en A et B, du plan vertical

passant par A et B.

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ALIGNEMENT DANS CE PLAN VERTICAL D’AUTANT DE JALONS QUE NECESSAIRE
L’opérateur réalisera successivement les visées O1 m m’ et O2 n n’ en plaçant son œil

en O1 et O2. Aligner un jalon intermédiaire C, consiste à la dresser en un point tel qu’il
paraisse à l’observateur compris entre les 2 plans tangents aux jalons extrêmes.
FIGURE VUE DE DESSUS
Exécution du jalonnement
Cas général : de A on voit B
L’opérateur placé à 2 m ou plus en arrière du jalon A aligne le nombre de jalons

nécessaire en commençant par le jalon le plus éloigné de lui.

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Cas particulier
Les extrémités ne sont pas visibles l’une de l’autre à cause d’un obstacle altimétrique.
On applique alors le procédé «du fourrier ». Les 2 opérateurs se placent en M et N de

façon à voir :
L’opérateur M, le jalon B
L’opérateur N, le jalon A
et ils s’alignent réciproquement jusqu’à ce que N et M soient alignés entre A et B.

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LIMITE D'EMPLOI DU JALONNEMENT A VUE
Distance extrême dans de bonnes conditions de visibilité : 200 m
Les jalons seront dressés

verticalement au moins dans la
direction de l’alignement, au moyen
d’un fil à plomb.
L’opérateur se recule de 2 m environ

et s’assure que le plan vertical
déterminé par le fil à plomb et l’axe de
la pointe du jalon contient aussi l’axe
du sommet du jalon.
Les jalons extrêmes seront souvent

dressés à l’extérieur de l’intervalle AB,
sur le prolongement de AB, le plus
près possible de AB.
Le jalon peut être dressé verticalement sur un

point au moyen d’un trépied porte jalons ou en
assurant sa stabilité grâce à 2 autres jalons
utilisés comme contre fiches.
Pour assurer la verticalité parfaite du jalon, on
rectifie sa position dans 2 plans verticaux,
perpendiculaires l’un à l’autre.

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EXTENSION DU PROCEDE DE L’ALIGNEMENT
Prolongement d’un alignement
Le jalon C est aligné sur AB.
Limite d’emploi : le prolongement d’un alignement ne doit pas dépasser le tiers de

l’alignement de base.
AB
C A inférieur à
3
Intersection de 2 alignements :
Opération qui consiste à déterminer le sommet de l’angle dont les côtés sont
constitués par les alignements considérés.
Limite d’emploi. L’intersection sera précise à condition que l’angle des 2 alignements
soit compris entre 60 et 120°.
120 ° > AEI > 60°

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PROCEDES DE MESURE DES DISTANCES
Mesure d’une distance
Chaînage à plat en terrain horizontal
Le chaînage doit se faire suivant un alignement reconnu à l’avance,

matérialisé par les jalons. Il nécessite l’utilisation de 11 fiches qui
serviront à marquer les décamètres, ou doubles décamètres.
La précision de l’opération dépend, pour la plus grande partie, de

l’habileté de l’opérateur et de son aide. Ce dernier précède l’opérateur
qui le dirige dans la direction voulue à l’aide du bras. Pour permettre à
l’opérateur de diriger la chaîne, l’aide doit être sur le côté en dehors de
l’alignement.
A chaque chaînée, l’aide, muni au départ de 11 fiches, en enfonce une.

Puis l’opérateur ayant pris comme base de départ la fiche placée par
l’aide, la retirera avant de passer à la chaînée suivante, chaque fiche
en main correspondant alors à une longueur de chaîne.
Enfin, lorsque la longueur de chaînage correspondra à un nombre de

chaînées épuisant les 11 fiches, l’opérateur remet 10 fiches à son aide,
la 11ème restant plantée au sol à l’endroit où l’on s’est arrêté ; c’est ce
qu’on appelle l’échange de fiches. Cet échange sera noté.
Distance AB = 10 fiches x 20 = 200 m + appoint 6,53 m = 206,53 m
Autre exemple :
Le carnet indique 2 échanges de fiches ; l’opérateur possède 5 fiches et la lecture
d’appoint est de 2,55 m.
La chaîne utilisée est de 20 m.
La distance chaînée est de :
200 x 2 + 20 x 5 +2,55 = 502,55 m

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Chaînage en terrain incliné, accidenté
Principe
On opère par portées ou chaînées successives horizontales du ruban,
l’horizontalité étant déterminée approximativement.
Exécution
On mesure de préférence en descendant de façon que l’extrémité du
ruban ait un appui ferme.
L’extrémité de la portée est projetée au sol au moyen d’un fil à plomb
maintenu au contact de la graduation avant.
L’appoint final, PL est mesuré, en maintenant le fil à plomb au-dessus
de l’extrémité N de la distance à mesurer.

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PIQUETAGE ET IMPLANTATION
Tracé des angles droits et visées dans les équerres à prismes

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TRACE DES ANGLES QUELCONQUES
Ce tracé peut s’opérer, si la précision requise n’est pas trop grande, en partant de la
base, et en portant la valeur de la tangente trigonométrique de l’angle donné. La
valeur des tangentes trigonométriques se lit dans des tables ou directement sur les
règles à calcul.
Reporter un angle de 22° par rapport à une base AX donnée
Plus la longueur de la base choisie sera

grande, plus le report de l’angle sera précis.
Exemple :
Reporter un angle de 22° par rapport
à la base AX (fig. 11)
Tg 22° = 0,40403 .
Pour reporter cet angle, il suffit de porter

cette valeur : 0,40403, perpendiculairement
à la base, à une distance de 1 m du
sommet. On se rend compte qu’une base de cette longueur n’offre pas une précision
suffisante. Celle-ci doit être au minimum de 10 m. Sur une base de 10 m, ce seront
4,04 m qui seront reportés perpendiculairement. Si la base a une longueur
quelconque, 12,50 m par exemple,
la distance devient alors :
12,50 0,404 = environ 5,05 m.
Le report des angles quelconques peut se réaliser au moyen du niveau à cercle

horizontal, du théodolite, des goniomètres, etc.
La précision de l’opération dépend de la valeur des appareils utilisés. Celle-ci peut

être de l’ordre de 1/10 de seconde, ce qui représente 1 mm d’écart sur une base de
2 km de longueur.
Implantation
Les points importants donnés par les plans, généralement les angles de la
construction, tracés et repérés sur le terrain par des jalons ou des piquets, fixent
définitivement la situation de la construction future.

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POSITIONNER LES CHAISES
Les chaises, constructions provisoires,

supportent le réseau de fils de fer.
L’intersection des fils de fer définit le nu
extérieur des murs finis.
Il est possible également de tendre plusieurs
fils, un pour le mur extérieur, un pour l’intérieur,
ainsi que pour les faces des semelles de
fondation.
Les alignements passant par ces points

permettent de tracer le nu, ou face extérieure
des murs de façade.
Afin que ce tracé demeure durant l’exécution des travaux, il importe de remplacer les
piquets par des points situés dans le même alignement, mais en dehors de l’emprise
de la construction.
Ce repérage s’effectue au moyen de chaises

ou banquettes (sortes de chevalets en bois).
Formée d’une traverse en planches maintenue
par des piquets fichés en terre d’au moins 50
cm, la chaise ou banquette fait une saillie
d’environ 2 m au-dessus du sol. Cette hauteur
doit permettre une libre circulation à la surface
du chantier. Cette construction provisoire doit
être contreventée et suffisamment solide pour
supporter sans déformation la charge des
contrepoids destinés à tendre les fils de fer.
(fig. 9).
Dans certains cas, pour des chantiers de peu

d’importance ou lorsque les circulations le permettent, les chaises peuvent être
établies à une hauteur moindre, 60 cm par exemple.
La distance entre la chaise et le nu du mur, d, doit être suffisante pour éviter les
éboulements, permettre le travail et la circulation.
Cependant les risques d’erreur, de déplacement et de détérioration sont autant

d’obstacles à cette manière de procéder.

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Sur la face supérieure des traverses, on fait une entaille à la scie ou on plante des
clous qui correspondent à l‘alignement des murs de façade ou à l’axe de
l’implantation des piliers.
Entre ces repères, d’une chaise à l’autre, on place des fils de fer, maintenus en
tension par des contrepoids. Sur ces fils de fer, les maçons pourront suspendre leur
fil à plomb en vue du traçage des semelles et pour l’exécution des murs.
C’est par rapport à ce plan réalisé par un réseau de fils que s’édifie le bâtiment. Il
importe donc de contrôler sérieusement le tracé avant d’entreprendre l’exécution.
Remarque :
Il ne faut pas perdre de vue, dans la mise en place des chaises ou banquettes, que
celles-ci vont situer les nus des murs de façade. A ces murs viennent s’ajouter
l’empattement des fondations, une petite banquette de 0,20 m afin d’éviter les
retombées de terre, ou une largeur plus grande afin de permettre l’exécution de
crépissage extérieur des murs (fig. 11).
Le réseau de fils de fer maintenu par les

chaises ou les banquettes matérialise
les alignements des murs durant
l’exécution des fouilles, des fondations
et des murs du sous-sol.
Remplacement d’un piquet d’aligne-

ment
Pour ce qui concerne les piliers, les fils

tendus en marquent généralement les
axes. Il en est de même bien souvent des
murs de refend.
Pour remplacer un piquet d’alignement, on
repère de la même manière, substituant les
chaises à quatre piquets, repérant la
situation exacte par des fils tendus en
croix.

20/42
UTILISATION DES EQUERRES OPTIQUES
Objectif : utiliser les deux types d’équerres optiques :
Equerre optique double et équerre de raccordement pour matérialiser une

parallèle, une perpendiculaire ou prolonger un alignement.
Cas d'utilisation
Pour implanter un ouvrage, nous avons à :

a) Aligner des points sur une droite donnée.
b) Remonter des perpendiculaires à une droite donnée.
c) Abaisser un point perpendiculairement à une droite donnée.
d) Implanter une courbe entre 2 alignements distincts.
Étape ‘a’ Étape ‘b’
Étape ‘c’ Étape ‘d’
L’emploi de l'équerre optique est plutôt indiqué pour l’implantation des terrassements
et des V.R.D. Il n’est pas assez précis pour l’implantation fine de bâtiments.
L’équerre optique est à utiliser essentiellement en terrain à faible dénivelée.

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Prérequis Savoir jalonner
Matériels 1 équerre optique.

1 fil à plomb ou une canne plombée.
Des jalons, des piquets.
2 piquets qui matérialisent la droite donnée.
Un aide.
Mode opératoire 1. Prendre en main l’équerre optique double.

2. Aligner un point sur une droite matérialisée par 2
jalons.
3. Elever la perpendiculaire d'une droite donnée en un
point donné.
4. Abaisser un point donné perpendiculairement à une
droite donnée.
5. Autres usages possibles de l’équerre optique :
a) Tracer un alignement entre 2 points
inaccessibles
b) Tracer une parallèle à un alignement
c) Prolonger un alignement au-delà d’un obstacle
de faibles dimensions
d) Tracer un alignement malgré un obstacle
e) Déterminer la mesure d’une distance non
parcourable.

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UTILISER UNE EQUERRE DE RACCORDEMENT.
C’est un instrument de faible dimension : un boîtier cylindrique d’environ 4 cm de

diamètre, de 5 cm de hauteur, maniement aisé, ne nécessitant pas de support.
Deux prismes, l’un sur l’autre, séparés par une fenêtre centrale.
L'observateur visionne, en permanence, trois images :
Le prisme 1 dévie, à l’équerre,

l’image provenant du jalon A.
L’observateur regarde
directement, par la fenêtre
centrale, l’image du jalon C.
Le prisme 2 dévie, à l’équerre,

l’image provenant du jalon B.
L’équerre optique se tient le plus près possible de l’œil, délicatement pour que le fil à
plomb ou la canne plombée la mette en position verticale.
On lui donnera un mouvement de va et vient vertical en touchant le sol pour la

stabiliser et marquer le point au sol.

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ALIGNER UN POINT SUR UNE DROITE MATERIALISEE PAR 2 JALONS
L’opérateur se place entre les 2 jalons et cherche dans les fenêtres haute et
basse de l’appareil à voir les 2 jalons.
Pour cela, il avance ou recule perpendiculairement aux 2 jalons.
En C1, les traits ne sont pas alignés

dans l’équerre.
En C2, on est passé de l’autre côté de

l’alignement.
En C, on est sur l’alignement, les jalons

sont alignés dans l’équerre
L’opérateur s’autocontrôle en faisant demi-tour, en stationnant sur le point C

obtenu et en vérifiant que l’alignement vertical des images A et B est réalisé dans
l’équerre.

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ELEVER UNE PERPENDICULAIRE A UNE DROITE EN UN POINT DONNE
Ce que l’on veut faire
1er procédé
L’alignement est déterminé par 2 jalons en A et B.

L’opérateur positionne son équerre en C, s’assure qu’il est bien sur l’alignement AB :
les jalons doivent apparaître alignés dans la fenêtre supérieure et inférieure (dito § 2).
Il fait déplacer, à gauche ou à droite, son aide qui présente un 3ème jalon.
Lorsque ce 3ème jalon, qui apparaît dans la fenêtre centrale est aligné avec les 2
autres, il est sur la perpendiculaire à AB en C.

25/42
2ème procédé
L’alignement est matérialisé par plusieurs jalons : H, J, K.

Ce procédé permet d’élever des perpendiculaires à droite et à gauche de l’alignement
sans se retourner.
L’opérateur met l’équerre en station sur le point K en visant dans le sens de

l’alignement et fait déplacer le jalon N jusqu'à ce que son image observée dans l’un
des prismes vienne dans le prolongement des jalons réels J et H.

26/42
DEFINIR LES AMENAGEMENTS NECESSAIRES A L’ACCESSIBILITE
Abords en plan
Abords en coupe
Abords en façade

27/42
METHODE DE REPRESENTATION DU RELIEF.
Profil excavation
Nous savons que la topographie a pour but la représentation par un plan de tous les
détails rencontrés sur le terrain. Il y a donc lieu de représenter les contours exacts du
terrain, mais aussi le relief du sol, c'est à dire d'indiquer les altitudes de certains points
par un dessin approprié.
Cette représentation des hauteurs permet :
De connaître les altitudes ou cotes de chaque point, de déterminer les

lignes de pentes,
De faciliter les études pour lesquelles le plan a été conçu, c'est à dire
déterminer les pentes de voies, chemins, etc., tracer la meilleure
implantation d'un bâtiment, et de faciliter les calculs de mouvements de
terres.
Méthodes de représentation du relief
Diverses méthodes sont à la disposition du géomètre pour traduire le relief du sol :

1- cotes ou altitudes de niveau inscrites sur le dessin planimétrique (plan
coté),
2- courbes de niveau,
3- profils en long et en travers

28/42
Plan coté
Cette méthode consiste à porter, sur un plan déjà exécuté, les altitudes des différents
points.
Elle s'exécute en complément du plan dressé en planimétrie.
Nous savons que ce plan est la projection verticale, sur le plan horizontal, de tous les
points trouvés sur place.
Si au regard de ces points nous inscrivons les cotes ou altitudes calculées sur le
carnet de nivellement, nous avons complété ce plan d'une façon rationnelle.
REMARQUE : Pour ne pas confondre les cotes de nivellement ou altitudes

avec celles se rapportant aux longueurs, il est d'usage d'écrire entre
parenthèse les cotes ou altitudes.

29/42
Courbes de niveau
Le plan coté ne fait pas ressortir le relief du

terrain, aucune généralisation n'est possible ; il
faut lire toutes les cotes pour avoir une idée de la
forme du relief du sol. Mais si nous joignons, par
la même ligne tous points d'une même altitude,
nous désignons de ce fait, la projection verticale
d'une coupe de terrain par un plan horizontal
d'altitude donnée.
Il est évidemment normal de choisir un plan de
cote ronde, par exemple : 1m, 2m, 5m, etc.
On dira qu'une courbe de niveau est une ligne imaginaire reliant les points de même
altitude, utilisée pour représenter le relief sur une carte (vue en plan).
On appelle équidistance la différence d'altitude entre deux courbes successives. Elle
est en principe la même sur l'ensemble du plan.
Pour que le plan soit lisible, on passe en trait plus fort une
courbe, généralement toutes les cinq d'entre elles, dite
courbe maîtresse.
On remarquera que plus les courbes sont rapprochées,

plus la pente du terrain est raide.
Si quelques une se confondent, c'est que le terrain, en cet
endroit, est à pic.
On appelle ligne de plus grande pente, une ligne telle que

AB, menée sur la surface du sol perpendiculairement à
deux courbes qui se suivent.
Sur quelques cartes (cartes au 1/80 000 ou 1/50 000 dites cartes d'Etat Major), on
emploie les lignes de plus grande pente pour représenter les accidents du terrain ;
elles forment des hachures que l'on serre d'autant plus que la pente est plus raide.
Ainsi, des hachures fines et espacées représentent des pentes douces, des hachures
larges et serrées, des pentes raides.
On appelle ligne de faîte d'un terrain, la limite de 2 versants appartenant à des
vallées différentes.

30/42
Profil d’une vallée
coupée perpendiculairement
à sa longueur
Elle va du sommet d'un accident de terrain (colline, montagne) au sommet

voisin, et passe par les points les plus élevés situés entre ces 2 points d'altitude
maximum.
On appelle thalweg la ligne de réunion des eaux qui ruissellent de 2 versants d'une
vallée.

31/42
1) Recherche d'une altitude située entre 2 courbes de niveau.
Altitude de M ?
a. Situer A et B tel que la ligne AB soit dans le sens de la plus grande pente,
c'est à dire que la droite passant par M et coupant les courbes en A et en
B devra être la plus courte possible.
b. Exemple de calcul des longueurs AB - AM - MB

AB = 2,8 cm soit sur le terrain AB = 28,00 m
AM = 1,6 cm soit sur le terrain AM = 16,00 m
MB = 1,2 cm soit sur le terrain MB = 12,00 m

32/42
2) Déduire l'altitude de M
Echelle des longueurs : 1 cm = 2,00 m
Echelle des hauteurs : 1 cm = 4,00 m
REMARQUE : on est souvent amené lors d'une coupe sur un terrain de

choisir des échelles différentes pour les longueurs et les hauteurs pour une
meilleure représentation, surtout dans le cas de terrains de faible pente.
h h1 h2
Calcul : = = inconnues : h1 et h2
l l1 l2
On peut écrire h1 = h×l1= 10x16,00 = 5,71 m

l 28,00
Altitude de M = altitude de A + 5,71 = 35,71 m

33/42
Méthode de tracé des courbes de niveau
On se sert du plan coté pour tracer des courbes de niveau en situant par interpolation
les cotes rondes entre les cotes de niveau indiquées qui ont été levées sur le terrain
en général suivant un quadrillage plus ou moins serré (fonction de la pente du terrain).
But : tracer les courbes de niveau équidistantes de 1,00 m sur ce terrain (114,00;
115,00; 116,00; 117,00).

34/42
Démarche
Entre chaque ligne de plus grande pente des altitudes connues à savoir :
AB - BC - DE - EF - GH - HI - CF - FI - BE - EH - AD - DG,
Rechercher l'altitude en cote ronde correspondante.
Exemple sur AB
AB = 10,00 m
Différence d'altitude entre A et B : 114,90 - 113,60 = 1,30
Cote ronde recherchée : 114,00 m (113,60 ≤ 114,00 ≤ 114,9)
Position de la cote d'altitude 114,00 :
10,00 x1 x2
= = soit : x1 = (environ) 3,00 m
1,30 0,40 0,90
x2 = (environ) 7,00 m
Il nous est maintenant possible de situer le point d'altitude 114,00 m sur la ligne AB.
Ce point sera à 3,00 m de A (1,5 cm sur le plan) et à 7,00 m de B (3,5 cm sur le

plan).

35/42
Ce travail est à réaliser sur tous les segments de droites.
SEGMENTS ALTITUDE COTE RONDE A CHERCHER
BC 115,00
DE AUCUNE
EF 116,00
GM 117,00
HI AUCUNE
CF 116,00
FI 117,00
BE 115,00
EH 116,00 et 117,00
AD 114,00 et 115,00
DG 116,00
Ce qui doit donner le plan suivant :
Il suffit de rejoindre par une ligne tous les points de même altitude.

36/42
En général un seul tracé est possible et il faut respecter les quelques règles suivantes
:
2 courbes ne
peuvent se couper
(un point ne peut
avoir deux altitudes
différentes),
Relier les points par

des lignes courbes et
régulières, les reliefs
naturels sont
rarement anguleux.
RESULTAT FINAL
LES PROFILS
Nous allons tracer la

ligne A et représenter les
points d'intersection avec
chaque courbe de
niveau, à savoir 1 - 2 - 3 -
4.
Au droit de chacun de
ces points nous ferons
correspondre leur altitude
respective.
Pour ne pas représenter
les altitudes à partir de la
cote 0,00 nous allons
choisir un plan horizontal
environ 2,00 m sous la
cote la plus basse. Ce
plan s'appelle plan de
comparaison et sera
dans ce cas à 110,00 m.
On appelle profil une coupe longitudinale de terrain suivant un plan vertical défini.
Les profils sont, soit relevés directement sur le terrain, soit tirés graphiquement d'un
plan topographique existant.
37/42
Exemple : aspect d'un profil
Nous travaillerons sur l'exercice précédent pour réaliser un profil du point A au point I.
Echelle distances : 1 cm = 2,00 m
Echelle hauteurs : 1 cm = 1,00 m
Nous obtenons ainsi une bonne représentation du Terrain Naturel au droit de la

ligne AB.

38/42
POSITIONNER UN PROJET SUR UN PROFIL
Positionner un projet sur un profil
Vous pouvez être amenés à travailler suivant différentes contraintes :
Vous avez l'ensemble des informations sur le Terrain Naturel et le

projet et vous voulez représenter le résultat final,
Vous avez l'ensemble des informations sur le Terrain Naturel, les

niveaux des réseaux et autres contraintes, et vous devez positionner
votre projet par rapport à ces informations.
Dans ce cas, il vous faudra choisir plusieurs axes de profils (les plus représentatifs) ;
dessiner le Terrain Naturel ; faire figurer les altitudes contraignantes (réseaux, routes
d'accès...) et dessiner votre projet.
Exemple :
Sur un même profil vous pourrez simuler plusieurs propositions du projet afin de
trouver celle qui répondra au mieux aux contraintes :
Parties enterrées,
Parties en terrasse sur TN,
Réduire les coûts de terrassement,
Satisfaire aux pentes d'évacuation de EV et EP, etc.

39/42
CALCUL D’UNE PENTE
Exemple :
Pour une distance horizontale de : 19.00 m

la différence d’altitude est de : 213.45 –212.24 =1,21 m.
La pente s'exprime en %, c'est à dire la différence d’altitude pour une

distance horizontale de 100.00 m.
Dans ce cas :
pour 19,00 m la différence d’altitude est de 1,21 m
p
nous avons donc : 1.21 =
19.00 100
p =1.21×100 =6.37
19
La pente (p) est donc de 6,37 %
Relation entre pente et tangente :
Soit le triangle :
α°
tgα = 1.21 =0.0637
19.00
1,21
19.00
α =3.64°

40/42
III.2 EXERCICE D'APPLICATION
A partir du document produit, le stagiaire doit effectuer l'exercice d'implantation in situ,

selon les conseils établis au cours de la séance.
IV EVALUATION DE FORMATION A L’ACTIVITE.

Suivant avancement du dossier.
V ANNEXE
V.1 FEUILLE DE SUIVI

41/42
FEUILLE DE SUIVI
Technicien Etude Bâtiment
Nom :...................... Prénom :......................... Date : ..........
Temps passé à réaliser cette séance : ...............heure(s) ........... minute(s)
Estimation du niveau de maîtrise :

1 2 3
acquis à confirmer non acquis
Dans la (1), ....... , au chapitre ....... , page........, je n’ai pas compris ..................
......................................................................................................................
......................................................................................................................
......................................................................................................................
......................................................................................................................
......................................................................................................................
......................................................................................................................
......................................................................................................................
Partie réservée au formateur

Estimation du niveau de maîtrise :
1 2 3
acquis à confirmer non acquis
Observations : ................................................................................................
......................................................................................................................
......................................................................................................................
......................................................................................................................
......................................................................................................................
(1) compléter
AT ............ Appui Technique
NT............ Notice Technique
DOC ......... Documentation (préciser laquelle)
EX ............ Exercice (préciser lequel)
ET ............ Evaluation (préciser laquelle)

42/42
Etablissement référent
Direction de l'Ingénierie
Equipe de conception
AFPA - FAGERH
Remerciements :
A l'ensemble des formateurs TEB du dispositif AFPA et FAGERH
Reproduction interdite
Article L 122-4 du code de la propriété intellectuelle.
«toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite
sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droits ou ayants
cause est illicite. Il en est de même pour la traduction, l’adaptation
ou la reproduction par un art ou un procédé quelconques.»
Date de mise à jour: 28/08/2008

afpa  Date de dépôt légal mois année
afpa / Direction de l’Ingénierie13 place du Générale de Gaulle / 93108 Montreuil Cedex

association nationale pour la formation professionnelle des adultes
Minist ère d es Aff air es so ci al es du Tr avail et de l a Solid ar it é

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Gros-œuvre Tous Corps d'Etat, BN1 TEB

Implanter la construction sur le terrain

D1 Calculer les différentes surfaces.

D2 Remplir les formulaires administratifs.

D3 Définir les droits d’urbanisme des sols.

D4 Étudier le plan de situation.

D5 Étudier l’adaptation au sol d’une construction.

D6 Définir un système d’assainissement individuel.

D7 Dessiner un plan de masse.

D8 Implanter la construction sur le terrain.

D9 Réaliser un relevé altimétrique à l’aide d’un niveau à lunette.

D10 Dessiner les façades.

D11 Tracer les ombres en façades.

D12 Réaliser la perspective conique d’un ouvrage.

D13 Réaliser un relevé photographique.

D14 Établir le dossier d’intégration dans le site.

D15 Dessiner à la planche les documents graphiques du permis de construire.

D 16 Analyser le dossier APS du Maître d'œuvre.

D 17 Repérer et prédimensionner des éléments de structure.

D 18 Produire un dessin assisté par ordinateur.

D 19 Étudier les cloisons séparatives, de distribution, de doublages.

D 20 Étudier les évacuations EU-EV et alimentations.

D 21 Dessiner le plan de l'étage courant.

D 22 Étudier et dessiner le plan du rez-de-chaussée.

D 23 Prendre des notes et rédiger un compte rendu et une note de synthèse.

III Ressources pédagogiques ................................................................ 6

IV Evaluation de formation à l’activité. ................................................. 41

Implanter la construction sur le terrain D 08 TEB

A l'issue de cette séance vous serez capable de réaliser l'implantation d'une

I.2 M ISE EN SITUATION

Vous travaillez en cabinet d’architecture.

Votre employeur vous confie la préparation d’un dossier de demande de permis de

Vous assurerez la relation avec le maître d’ouvrage.

1 à 6 : étudier l’adaptation au sol

Implanter la construction sur le terrain D 08 TEB

Etudier les appuis techniques.

Etudier les ressources.

Réaliser l’exercice d’appropriation

Réaliser l’exercice d’évaluation

Consulter l’aide à la correction.

Implanter la construction sur le terrain D 08 TEB

ETUDIER L'ADAPTATION AU SOL D'UNE CONSTRUCTION

L’objectif de cette capacité est de situer et d’implanter sur un plan altimétrique de

Adapter un bâtiment au terrain signifie le positionner horizontalement et

Définir le niveau d’implantation

Définir les aménagements nécessaires à l’accessibilité au bâtiment

Pour respecter une démarche cohérente, progressez en respectant les étapes

P7: Implanter horizontalement et verticalement

Implanter la construction sur le terrain D 08 TEB

Pour implanter physiquement un bâtiment, on utilise généralement les matériels

Mètre et double mètre.

Décamètre, double décamètre.

Implanter la construction sur le terrain D 08 TEB

C'est fixer en plan, selon les contraintes urbanistiques et d'utilisation, la position du

Implanter la construction sur le terrain D 08 TEB

C'est fixer en coupe, selon les contraintes d'urbanisme et d'exploitation, l'altitude du

C'est étudier les abords qui seront représentés :

Exemple : principe d'implantation d'un bâtiment

Implanter la construction sur le terrain D 08 TEB

Jalonner, tracer, un alignement AB, consiste à répartir sur celui-ci un

Le jalonnement d’un alignement – A – B – nécessite :

La matérialisation, par 2 jalons dressés en A et B, du plan vertical

Implanter la construction sur le terrain D 08 TEB