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Sujet 1 : En tant qu’étudiant(e) en sciences technologiques, vous envoyez votre contribution à une

revue scientifique francophone qui, en vue d’un numéro spécial, a lancé un appel à ses lecteurs sur
le thème « 2050 : avec la robotique, une société de loisirs ? Quelle place pour les robots dans la
société du futur ? Révolution ou menace ? » À l’aide du dossier joint et d’arguments personnels,
vous rédigez un texte structuré dans lequel vous prenez clairement position sur la question et
proposez des solutions concrètes, en adoptant un style approprié et convaincant

« 2050 : avec la robotique, une société de loisirs ? Quelle place pour les robots dans la société du
futur ? Révolution ou menace ? »

Le film “Her”, la série “Black mirror”, les “Transformers”… des nombreux référents
cinématographiques et literaires nous montrent comment serait notre monde habité par des robots.
Mais, quelle place pour les robots dans la société du futur? La “robolution” va nous laisser le temps
dont nous rêvons pour nous consacrer à la “dolce vita”?

Il est humain d’avoir de la peur devant l’inconnu: la peur de voler touche milliers de citoyens, si la
plupart sachent comment un avion fonctionne, sûrement le nombre de personnes concernées par ce
problème diminuerait. De même, quand le train a fait son apparition, beaucoup de monde
craignaient cet engin bizarre. En conséquence, il est totalement normal que la population soit
réticent devant la “robolution”, mais cela n’a pas de sens de vivre en tournant le dos à l’évolution et
au progrès.

Un autre argument invoqué par une partie des citoyens contre la robotisation est celui de la perte de
lieux de travail. Tout au long de l’histoire des nombreuses professions ont été creés et disparues
selon les nécessitées. Les vendeurs d’eau ou les nourrices sont des exemples de ce processus
d’adaptation social et il n’a plus de sens de vivre cela comme un drame social: il faut former des
gens pour éxecuter les postes du futur. De plus, les robots peuvent nous aider en l’accomplissement
d’un considérable nombre de tâches. En Coreé du Nord existent dejà des robots instituteurs pour les
enfants autistes et il est sûr que ces machines ont beaucoup plus de patience que n’importe quel
humain. De plus, les robots humanoïdes qui assistent des personnes pas autonommes vont analiser
leurs habitudes, gestes et tonalité de voix pour mieux les aider. Des soldats pas humains
développent leurs missions en zones difficiles d’accès avec plus de mobilité et agilité que les êtres
humains. La “robolution” veut changer les perceptions du travail forcé et travail choisi, c’est-à-
dire, il est indéniable qu’avec la robotisation de la société, les trevails moins qualifiés et aussi la
partie plus automatisé des trevails que nous considerons aujoud’hui comme des trevails qualifiés va
disparaître si l’entreprise considère qu’il est plus rentable de mettre une machine à la place d’un
humain. Disons, à part les professions moins qualifiés et répétitives comme les caissiers et les
pompistes, aussi une partie des tâches d’autres professions plus qualifieés va disparaître et cela en
fait rien. Par exemple, rediger un contrat de location au cas d’un advocat. Ceux vont être les affaires
qui recquissent mois éffort intellectuel chez les professions. En révanche, comme nous avons dejà
dit, il faut former les gens pour exécuter les professions du futur sans drama: il est indéniable que
nous allons avoir besoin de nombreux programmateurs informaticiens et aussi des philosophes pour
faire face à des nouvelles questions éthiques qui vont surgir de cette “robolusion”. Nous pouvons
constater que le but de la plupart des êtres humains consiste à vivre sans travailler -ou à trevailler
moins- et ainsi pouvoir nos consacrer aux autres et à nos loisirs. Il faut reformuler notre rapport au
travail et à la distribution des richesses car la robotisation va représenter des énormes sommes
d’argent et il ne faut pas que ce soient toujours les mêmes qui se partagent le gatêau. Mais il est
indéniable que les robots sont venus pour faire réalité une grande partie de nos rêves.

En ce qui concerne notre acceptation de la “robolution”, aujoud’hui encore nous dérange qu’un
robot humanoïde se rassemble trop à un être humain, mais il est sûre que leur acceptation social va
augmenter quand la population comprenne toutes les avantages que la robotisation implique. Mais
au détriment de cela, il faut les débrancher de temps en temps et ne perdre pas de vue qu’il s’agit
simplement d’une machine qui nous aide.

En conclusion, il faut équilibrer: d’un coté il faut garder la specificité humaine. L’emotivité, la
sensibilité et l’imagination symbolique sont des caractéristiques exclusivement humaines
impossibles d’imiter par une machine. Mais de l’autre coté, il paraît véritablement intelligent de
profiter de les recherches scientifiques et le progrès pour avoir une vie meilleure.

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