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3 mars 2023
Table des matières
1 GENERALITE SUR LA METHODE DES ELEMENTS FINIS 4
1.1 Existence et unicité de la solution . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
1.1.1 Continuité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
1.1.2 Coercivité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
1.1.3 Théoreme de Lax-Milgram . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
1.2 Méthode de Galerkin. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
1
REMERCIEMENT
Avant tout propos, nous tenons à remercier tous les enseignants de l'ufr MI
pour le savoir qu'ils nous transmettent pendant toutes ces années, particulie-
rement au professeur KOUA BROU JEAN CLAUDE qui a travers de cet
exposé nous à permis de faire la prise en main de certains outils utiles tels que
latex que bon nombre d'entre nous ont négligé depuis notre arrivée à l'ufr MI, et
de passer en revue les techniques de redaction d'un mémoire. Cet apprentissage
nous sera utile dans la rédaction de nos mémoires de n de cycle.
2
INTRODUCTION
La méthode des eléments nis en abrégé MEF est l'un des outils mathe-
matiques utilisés pour résoudre des équations aux dérivées partiellles (EDP).
Elle consiste à remplacer un problème continu à priori insoluble par un pro-
blème discret que l'on peut resoudre moyennant une formulation du problème
appelée formulation variationnelle ou formulation faible. Sa mise en oeuvre sur
un domaine géometrique Ω donné, nécessite la donnée d'un maillage de Ω , de
noeuds et d'un espace fonctionnel qui doivent être choisis de manière cohérente.
Il en existe des éléments nis de type Lagrange qui font intervenir les valeurs
des fonctions de base aux noeuds et les éléments nis de type Hermite qui font
intervenir les derivées directionnelles en chacun des noeuds du maillage en plus
des valeurs de la fonction. On denit la nature d'un élément ni en fonction de la
nature du domaine géometrique et l'espace fonctionnel consideré. On parlera par
exemple d'elements nis de Lagrange triangulaire de type P2 lorsque le domaine
géometrique est un triangle et l'espace fonctionnel est l'espace des polynômes de
degré inférieur ou égal à 2. Dans ce travail, nous allons nous placer en dimension
2 et nous intéresser aux éléments nis quadriatéraux, c'est-à-dire, le domaine
consideré est un quadrilatère. Il est tout évident que la conception du maillage
d'un tel domaine n'est pas aisé. c'est d'ailleurs l'objet de notre travail.
ce travail va donc consister à présenter d'abord un aperçu général sur la méthode
des éléments nis et quelques notions de bases des éléments nis, ensuite étudier
les éléments nis quadrilatéraux et enn presenter l'element ni de FRAEIJS
DE VEUBEKE ET DE SANDER.
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Chapitre 1
GENERALITE SUR LA
METHODE DES
ELEMENTS FINIS
Introduction
Etant donnée une EDP linéaire avec conditions aux limites, en faisant le
produit scalaire L2 de l'équation dierentielle par une fonction w appartenant à
un espace fonctionnel W , par une intégration par partie, on obtient un problème
du type :
T rouver u ∈ V tel que :
(1.1)
a(u, w) = l(w) ∀w ∈ W
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1.1 Existence et unicité de la solution
1.1.1 Continuité
Etant donné deux espaces de Hilbert V et W , nous avons les dénitions
suivantes :
Dénition 1 Une forme linéaire l(.) sur V est continue ssi il existe une constante
K telle que, |l(u)| ≤ K∥u∥V ∀u ∈ V
Dénition 2 Une forme billinéaire a(., .) sur V × W est continue ssi il existe
une constante M telle que |a(u, w)| ≤ M ∥u∥V ∥w∥W ∀(u, w) ∈ V × W
1.1.2 Coercivité
Dénition 3 Une forme bilinéaire a(.,.) sur V × V est coercive ssi il existe une
constante α > 0 telle que a(u, u) ≥ α∥u∥2 , ∀u ∈ V .
a(u, v)
∃α > 0 tel que inf sup ≥α
v∈V w∈W ∥v∥V ∥w∥W
(1.2)
∀w ∈ W (a(v, w) = 0 ∀v ∈ V ) ⇒ (w = 0)
5
1.2 Méthode de Galerkin.
On considère le problème modèle (1.1) et on suppose qu'il est bien posé au
sens de Hadamard . La méthode de Galerkin permet d'approcher la solution u
de ce problème. L'idée consiste à remplacer dans (1.1) les espaces fonctionnels
V et W par des espaces de dimension nie, notés Vh et Wh , ce qui conduit au
problème suivant :
T rouver u ∈ V tel que
h h
(1.3)
a(uh , vh ) = l(vh ), ∀vh ∈ Wh
Dans ce cas, on parle de méthode de Galerkin standard, alors que si les espaces
discrets Vh et Wh sont diérents, on parle de méthode de Galerkin non-standard.
Le problème approché (1.4) est un système linéaire. En eet, on pose
N = dimVh et M = dimWh .
Soit {φ1 , ..., φN } une base de Vh et soit {ψ1 , ..., ψM } une base de Wh .
6
On décompose la solution approchée uh dans la base de Vh selon :
n
X
uh = Ui φi (1.5)
i=1
Fi = lh (ψi ).
AU = F (1.6)
7
Chapitre 2
8
P ∋ p 7→ (p(a1 ), ..., p(an ) est bijective).
On vérie aisement que (p1 ; ..., pN ) ainsi dénie forme bien une base de P.
K = F (K̂)
ai = F (aˆi ) i = 1, ..., N
P = {p̂ ◦ F −1 , p̂ ∈ P̂ }
9
Déniton 5 On appelle famille ane d'éléments nis une famille d'éléments
tous ane-équivalents à un même élément ni (K̂, Σ̂, P̂ ) appélé élémént de ré-
férence.
Remarque 2 D'un point de vue pratique, le fait de travailler avec une famille
ane d'éléments nis permet de ramener tous les calculs d'intégrales à des
calculs sur l'élément de référence.
10
Déniton 9 On appelle opérateur de P-interpolation sur Σ l'opérateur πK qui
à toute fonction v dénie sur K, associe la fonction πK v de P dénie par πK v =
i=1 σ(v)pi . πK v est donc l'unique élément de P qui prend les même valeurs
PN
11
Chapitre 3
12
3.2.1 les fonction de bases
Les fonctions de bases sont déterminés par :
1 si i = j
Pi (Âj ) = δij = (3.1)
0 sinon
ici P = Q1 (R2 ).
Déteminons P1
D'après ( 3.1), P1 s'annule sur les segment [Â2 Â3 ] et [Â3 Â4 ] . Donc
P1 (x̂, ŷ) = α(x̂ − 1)(ŷ − 1). Et comme P1 (Â1 ) = 1 on a α = 1 donc
P1 (x̂, ŷ) = (x̂ − 1)(ŷ − 1)
Déterminons P2
D'après ( 3.1), P2 s'annule sur les segment [Â1 Â4 ] et [Â3 Â4 ] . Donc
P2 (x̂, ŷ) = α(x̂)(ŷ − 1). Et comme P2 (Â2 ) = 1 on a α = −1 donc
P2 (x̂, ŷ) = −x̂(ŷ − 1)
Déterminons P3
D'après ( 3.1), P3 s'annule sur les segment [Â1 Â4 ] et [Â1 Â2 ] . Donc
P3 (x̂, ŷ) = αx̂ŷ . Et comme P3 (Â3 ) = 1 on a α = 1 donc P3 (x̂, ŷ) = x̂ŷ
Déterminons P4
D'après (3.1), P4 s'annule sur les segment [Â1 Â2 ] et [Â2 Â3 ] . Donc
P4 (x̂, ŷ) = αŷ(x̂−1). Et comme P4 (Â4 ) = 1 on a α = −1 donc P4 (x̂, ŷ) =
−ŷ(x̂ − 1)
X
La transformation FK permettant de passer de K̂ à K est FK (M̂ ) = pi (M̂ )Ai
i
13
3.2.2 unisolvance
On a Card(Σ) = 4 et d'après la rémarque 1, dim(Q1 (R2 )) = 4 donc
Déteminons P0
D'après ( 3.1), P0 s'annule sur les segments [Â11 Â22 ] ; [Â44 Â33 ] ; [Â44 Â11 ] ;
[Â33 Â22 ] d'équations resectives :ŷ = −1 ; ŷ = 1 ; x̂ = −1 et x̂ = 1. Donc
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P0 (x̂, ŷ) = α(ŷ + 1)(ŷ − 1)(x̂ − 1)(x̂ + 1). Et comme P0 (Â11 ) = 1 on a
α = 1 donc P0 (x̂, ŷ) = (x̂ − 1)(x̂ + 1)(ŷ − 1)(ŷ + 1)
On procède de la même manière et on obtient les fonctions de base suivantes :
P0 (x̂, ŷ) = (x̂ + 1)(ŷ + 1)(x̂ − 1)(ŷ − 1)
P11 (x̂, ŷ) = 41 x̂ŷ(x̂ − 1)(ŷ − 1)
P12 (x̂, ŷ) = 14 x̂ŷ(x̂ + 1)(ŷ − 1)
P22 (x̂, ŷ) = 14 x̂ŷ(x̂ + 1)(ŷ + 1)
P23 (x̂, ŷ) = 14 x̂ŷ(x̂ − 1)(ŷ + 1)
P33 (x̂, ŷ) = − 12 ŷ(ŷ − 1)(x̂ + 1)(x̂ − 1).
P34 (x̂, ŷ) = − 12 x̂(ŷ − 1)(ŷ + 1)(x̂ + 1).
P44 (x̂, ŷ) = − 12 ŷ(ŷ + 1)(x̂ − 1)(x̂ + 1).
P41 (x̂, ŷ) = − 12 x̂(ŷ + 1)(x̂ − 1)(ŷ − 1).
Unisolvance
n o
= Â1 ; ...; Â9 . Card(Σ) = 9 et dim(Q2 (R) = 9, d'après la rémarque 1 ;
P
donc
Card(Σ) = dim(Q2 (R)) (3.4)
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cas précédant où nous avons 9 dégrés de liberté.
Ainsi
K̂ = [−1, 1] × [−1, 1]
n o
Σ = Â11 (−1, −1); Â12 (0, −1); Â22 (1, −1); Â23 (1, 0); Â33 (1, 1); Â34 (0, 1); Â44 (−1, 1); Â14 (−1; 0) .
P = Q2 (R2 ), l'ensemble des polynômes de dégré inférieur ou égale à 2 par
rapport à chaque variables
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Chapitre 4
ELEMENT FINIS DE
FRAEIJS DE VEUBEKE ET
DE SANDER
Introduction
L'étude de la exion d'une plaque encastrée conduit à rechercher une fonction
u qui représente la déection verticale de la plaque dénie sur un domaine borné
Ω du plan ; la fonction u est continuement dérivable et satisfait des relations de
compatibilité intérieures à la plaque ne faisant intervenir que ses dérivées d'ordre
quatre.
une méthode consiste à utiliser dans la triangulation du domaine Ω des éléments
nis de classe C 1 qui soient unisolvents sur un espace de fonctions localement
polynomiales de degré inférieur ou égal à trois.Dans ce travail nous étudions les
propriétés d'unisolvence de l'élément nis de Fraeijs de Veubeke et Sander On
utilisera les notations suivantes :
u |A = restriction de la fonction u à la partie A
Pk = espace des polynômes à deux variables de degré inférieur ou égal à k
Qk = espace des polynômes à deux variables de degré inférieur ou égal à k par
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Figure 4.1
(4.1)
La condition de raccordement de classe C1 sur les diagonales de K est équiva-
lente aux deux conditions :
p |
2 [a2 ,a4 ] = p3 |[a1 ,a3 ] = 0
(4.2)
∂p2 |[a a ] = ∂p3
∂n 2 4 ∂n [a1 ,a3 ]
∂p2 ∂p3
|[a2 a4 ] =
∂τ ∂τ [a1 ,a3 ]
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et donc que la dérivée totale Dp2 ( respectivement Dp3 ) est nulle le long de la
diagonale [a2 a4 ] (respectivement [a1 a3 ])
Ainsi ,comme on le verra dans la suite , l'espace P est de dimension 16 ; il y
a en efet dix coecients dans l'expression de p1 et seulement trois pour chacun
des polynômes p2 et p3 . Si p est une fonction quelconque de l'espace P , on lui
associe l'ensemble des degrés de liberté
∂p ∂p
Σ= p(ai ), (ai ), 1 ≤ i ≤ 4; (aij ), 1 ≤ j ≤ 4} (4.3)
∂x ∂n
il nous faut démontrer que l'élément Σ est p-unisolvant c'est à dire que toute
fonctions p de l'espace P est déterminée de façon unique par les 16 dégrés de
liberté.
Démonstration 1 (voir gure 4.2 ci-dessous) Montrons que si tous les degrés
de liberté de σ sont nuls ,le polynôme du troisième degré correspondant est nul.
Il est clair que les conditions :
p(b) = p(c) = 0
Dp(b) = Dp(c) = 0
∂p
(d) = 0
∂n
entaine que que la dérivée totale Dpest nulle le long du côté [bc]. Soit x un point
∼
du triangle K et y l'intersection de la demi-droite [ax] avec le côté [bc] ; les
conditions : p(a) = p(y) = 0 et Dp(a) = Dp(y) = 0 entraine que p(x) = 0
19
Figure 4.2
On aura besoin dans la suite de l'expression d'un polynôme p ∈ P3 nul ainsi que
sa dérrivé Dp le long du côté [bc] ; elle est donnée par :
Pour démontrer (4.5) on remarque que p et Dp sont nuls sur le côté [bc]
d'équation λ = 0, donc que
p = λ2 q
q = αλ + βµ + γν
On a immédiatement
p(a) = q(a) = α
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puis on dérive l'expression de p au point a
Dλ = −D(µ + ν)
soit
Dp(a)(b − a) = β − 3α
et
Dp(a)(c − a) = γ − 3α
d'où β et γ .
Dp(ai ) = Dp(ai+1 ) = 0
∂p
(aij ) = 0
∂n
entraînent que le polynôme p et sa dérivée Dp sont nulles le long de l'arête ; ce
qui prouve bien que l'élément est de classe C 1 . Il est clair que les conditions
(4.2) sont équivalentes à
∂pi
pi (ai ) = pi (ai+2 ) = 0; Dpi (ai ) = Dpi (ai+2 ) = 0; (aii+2 ) = 0∀i = 2, 3 (4.6)
∂n
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p3 ) possède 3 paramètres libres p2 (a3 ) ; ; ∂p
∂y (a3 ) (respectivement p3 (a4 ) ;
∂p2
∂x (a3 )
2
16 = Card(Σ)
II sut donc de prouver que si tous les degrés de liberté de Σ sont nuls alors
la fonction p de l'espace P correspondante est nulle ; soit qi le polynôme de degré
inférieur ou égal à trois qui coïncide avec p sur le triangle Ki ; d'après le lemme
1 qi s'exprime en fonction des coordonnées barycentriques relatives aux sommets
du triangle Ki ; et des trois paramètres p(a0 ), Dp(a0 )(ai − a0 ),Dp(a0 )(ai + 1 −
a0 ) ; il sut donc de prouver que
p(a0 ) = 0 et Dp(a0 ) = 0
∂q1 ∂q4
|[a a ] = |[a a ] (4.8)
∂n 1 0 ∂n 1 0
∂q1 ∂q2
|[a a ] = |[a a ] (4.9)
∂n 2 0 ∂n 2 0
(Remarquons encore que les relations (4.8) et (4.9) impliquent la continuité de la
dérivée normale ∂n
∂p
sur les arêtes [a3 a0 ] et [a4 a0 ].) Le système de trois équations
à trois inconnues (2.6), (2.7), (2.8) est en règle générale assez compliqué à écrire
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et il n'est pas aisé de prouver que son déterminant est non nul ; on va se ramener
par un changement de variable classique à un système beaucoup plus simple. Soit
F l'unique application ane de R2 dans R2 vériant
F (a0 ) = (0, 0) ,F (a1 ) = (1, 0) ,F (a2 ) = (0, 1) ; puisque K est non dégénéré F
est inversible et on a (voir gure 4/3)
F (a3 ) = (−a, 0) ,F (a4 ) = (0, −b) , a > 0 et b > O
On pose K̂ = F (K) et p̂ = p ◦ F −1 on est ramené à demontrer que si
p̂ ∈ C 1 (K̂, p̂ | K̂1 = q̂i ∈ p̂3 , avec q̂3 = q̂2 + q̂4 − q̂1 .
la fonction p̂ ainsi que sa dérivée Dp̂ étant nulle le long de la frontiere ∂ K̂ de
l'élément K̂ , alors p̂ est nulle sur K̂ .
On vérie sans peine que la relation (4.5) donne ici
∂ p̂ ∂ p̂
q̂i = λ̂2i [(3 − 2λ̂i )p̂(0) + x (0) + (0)] , 1≤i≤4 (4.10)
∂x ∂y
x x y y
λ̂1 = 1 − (x + y) ; λ̂2 = 1 + − y; λ̂3 = 1 + + ; λ̂4 = 1 − x + . (4.12)
a a b b
Un calcul simple montre que les conditions 4.8 et 4.9 se réduisent ici à :
∂ q̂1 ∂ q̂4 ∂ p̂
sur y = 0, = ⇔ 3p̂(0) + (0) = 0 (4.13)
∂y ∂y ∂x
∂ q̂1 ∂ q̂2 ∂ p̂
sur x = 0, = ⇔ 3p̂(0) + (0) = 0 (4.14)
∂x ∂x ∂y
et la relation (4.7) donne
∂ p̂ ∂ p̂
3µ̂p̂(0) + xλ̂ (0) + y λ̂ (0) = 0 (4.15)
∂x ∂y
avec :
µ̂ = 13 [λ̂21 (3−2λˆ1 )+λ̂23 (3−λ̂3 )−λ̂22 (3−2λ̂2 )−λ̂24 (3−2λ̂4 )] et λ̂ = λ̂21 +λ̂23 −(λ̂22 +λ̂24 ).
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Figure 4.3
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CONCLUSION
Dans cet travail nous avons presenté quelques proriétés générales des élé-
ments nis de Lagrange et de Hermite. ces propriétés nous ont permi de montrer
l'unisolvance des éléments nis quadrilateraux à 4 et 9 dégrés de liberté ainsi
que l'element ni de FRAEIJS DE VEUBEKE ET DE SANDER. ces éléments
pourront nous servir à faire de l'interppolation ou de déterminer un espace d'ap-
proximation dans le cadre de l'application la méthode des éléments nis.
bibliographie
[1] J. F. CIAVALDINI et J. C. NEDELEC Sur l'élément de Fraeijs deVeu-
beke et Sander, Revue française d'automatique, informatique, recherche
opérationnelle. Analyse numérique, tome 8, no 2 (1974), p. 29-46.
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