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Présenté par :
Monsieur Ibrahima Coly Professeur de M.S.P
E-mail : icoly77@gmail.com / Tel : 77 030 41 46
PREMIER TRIMESTRE
ACTIVITES GEOMETRIQUES ACTIVITES NUMERIQUES
1).Introduction à la géométrie 1).Nombres décimaux arithmétiques
2).Addition de deux nombres décimaux
2). Le cercle arithmétiques
3) Soustraction de deux nombres
3). Droites perpendiculaires et droites décimaux arithmétiques
parallèles 4).Multiplication des nombres décimaux
arithmétiques
5).Division des nombres décimaux
arithmétiques
NOEL
DEUXIEME TRIMESTRE
4).Symétrie orthogonale par rapport à 6).Organisation d’un calcul
une droite donnée 7).Rangement des nombres décimaux
5).Angles arithmétiques
6).Polygones 8).Nombres décimaux relatifs
PAQUES
TROISIEME TRIMESTRE
7).Aires 9).Repérage sur la droite et le plan
8).Géométrie dans l’espace
9).Repérage sur la sphère 10).Proportionnalité
CHAPITRE I
DUREE : 3 HEURES
OBJECTIF GENERAL : Au terme de ce chapitre, l’apprenant devra maîtriser les concepts de
base sur les ensembles des nombres entiers naturels et décimaux arithmétiques.
OBJECTIFS SPECIFIQUES : Au terme de ce chapitre, l’apprenant devra être capable de :
Reconnaître les ensembles : des entiers naturels, des décimaux arithmétiques et leurs
notations.
Employer le vocabulaire: chiffre, nombre, unité, dizaine..., partie entière, partie
décimale, dixième, centième... afin de mieux asseoir les techniques opératoires.
Utiliser sur des exemples les symboles ∈; ∉ ; { } ;⊂; ⊄; ∪ 𝑒𝑡 ∩
Reconnaître la notation IN ⊂ D.
PRREQUIS : Nombres entiers, nombres décimaux arithmétiques, décomposition décimale
SOURCES :
Loi d’orientation 91. 22 du 16 Février 1991 ; Guide d’Usage de Maths 6e
Manuels : CIAM 6ème ; Excellence 6ème
Nouveau programme de Mathématiques 6e de Février 2006
Webographie : http://www.mathovore.fr, consulté le 15/ 04/ 2015 à 10 h 45 min.
http://www.maths-vidéos.com, consulté le 04/ 05/ 2015 à 20 h 00 min.
http://villemin.gerard.free.fr, consulté le 04/ 05/ 2015 à 20 h 22 min.
http://www.automaths.com, consulté le 14/ 10/ 2015 à 00 h 23 min.
http://www.maths-videos.com, consulté le 26/ 01/ 2015 à 14 h 15 min.
Encyclopédie des connaissances actuelles en Mathématiques.
PLAN DU COURS
I° Entiers naturels I – 6) Exercice d’application :
I – 1) Activité : II° Nombres décimaux arithmétiques :
I – 2) Ensemble IN des Entiers II – 1) Activité :
naturels : II – 2) Nombres décimaux arithmétiques :
I - 2- 1) Définition : II - 2 - 1) Définition :
I - 2 - 2) Exemples : II - 2 - 2) Exemples :
I - 2 - c) Appartenance (∈) – Non II – 3) Ensemble D des nombres décimaux
appartenance ( ∉) arithmétiques :
I – 3) Nombres entiers consécutifs : II – 4) Inclusion – Non inclusion :
I – 4) Nombres et chiffres : II – 5) Union et Intersection d’ensembles :
I – 5) Lecture - Ecriture de nombres : II – 6) Exercice d’application :
INTRODUCTION : (5min)
A l’aube des temps, avec les échanges, il y a eu la nécessité de compter les objets. De dire «
combien ? ». Et au-delà des échanges, la nécessité de calculer a posé la question de l’invention
des nombres et de leur écriture : ce fut la création d’un langage universel.
Du point de vue programme, l’étude des nombres décimaux arithmétiques, en 6e n’est qu’une
conséquence de l’étude déjà amorcée à l’Elémentaire, dans notre système de numération:
I° ENTIERS NATURELS :
I – 1) Activité :
24
Voici une liste de nombres : 54 ; 0 ; 132,98 ; 9 ; 5 ; 𝜋 ; …
a) Comment appeliez- vous les nombres : 54 ; 0 ; 9 ;…
b) Quel est l’entier naturel qui précède 54 ?
c) Quel est l’entier naturel qui suit 54 ?
d) Comment appelle- t- on des entiers naturels qui se succèdent ?
e) Avec quoi a- t– on écrit 54 ?
I – 2) Nombres entiers naturels :
I - 2- a) Définition :
Un entier naturel est un nombre positif sans virgule plus grand ou égal à 0.
Autrement dit, un entier naturel est un nombre décimal arithmétique dont la partie décimale
est nulle.
I - 2 - b) Exemples :
Les nombres 54 ; 0 ; 9 ; … sont des entiers naturels.
L’ensemble des entiers naturels se note : ℕ d’où ℕ = {0; 1; 3; 4; 5; … }
ℕ* est l’ensemble des entiers naturels non nul. On note ℕ* = { 1; 3; 4; 5; … } ou ℕ* = ℕ \ {0}
qui se lit « N privé de zéro »
I - 2 - c) Appartenance (∈) – Non appartenance ( ∉)
129 est un entier naturel d’où 129 est un élément de l’ensemble ℕ des entiers naturels.
On dit : 129 appartient à l’ensemble ℕ des entiers naturels.
On note : 129 ∈ ℕ
12,05 n’est pas un entier naturel. Il n’appartient pas à l’ensemble ℕ des entiers naturels.
On note : 12,05∉ ℕ. De même 0 ∉ ℕ*
Remarque : Les symboles d’appartenance ∈ (appartien) ou de non appartenance
∉ (n’appartient pas) sont utilisés pour matérialiser les relations entre un élément et un
ensemble.
I – 3) Nombres entiers consécutifs :
On dit que des nombres entiers sont consécutifs lorsqu’ils se suivent de 1 en 1.
Le nombre qui précède 54 est 53. Le nombre qui suit 54 est 55
Les nombres 53 ; 54 et 55 se suivent de 1 en 1, ils sont des nombres entiers consécutifs
Exemples : 11 ; 12 ; 13 et 14 sont des entiers naturels consécutifs car ils se suivent de 1 en 1.
I – 4) Nombres et chiffres :
Notre système de numération (notre façon de compter) est le système décimal. On va de 10
en 10.
Pour écrire les nombres, on utilise 10 symboles appelés chiffres : 0 – 1 – 2 – 3 – 4 – 5 – 6 – 7
–8–9
Exemple: 24 est le nombre correspondant à 2 dizaines et 4 unités
I – 5) Lecture - Ecriture de nombres :
Lecture :
Pour lire les nombres, on regroupe les chiffres par trois à partir du chiffre des unités.
45 754 324 se lit "quarante–cinq millions sept cent cinquante–quatre mille trois cent vingt–
quatre.
500 371 se lit "cinq cent mille trois cent soixante et onze"
Règle d’écriture :
Vingt et cent prennent un « s » au pluriel sauf quand ils ne sont pas suivis d’un
autre nombre.
Exemples : 380 s’écrit « trois cent quatre–vingts », ici « vingts » n’est pas suivi d’un autre
nombre, il s’accorde.
487 s’écrit « quatre cent quatre–vingt–sept », ici « vingt » n’est pas suivi d’un autre nombre.
Donc pas d’accord.
Un trait d’union se place entre les parties représentant les dizaines et les unités.
Exemple: 999 s’écrit « neuf cent quatre–vingt–dix–neuf»
Million et milliard sont des noms qui s’accordent au pluriel. Mille ne s’accorde
jamais.
Exemple : 3 453 500 s’écrit « trois millions quatre cent cinquante–trois mille cinq cents»
I – 6) Exercice d’application :
Soit C l’ensemble des chiffres de la numération décimale.
Soit E l’ensemble des entiers naturels pairs inférieurs à 20.
1) Complète par ∈ ou ∉
1… C ; 10 … C ; 7 … E ; 14 … E ; 10,00 … C ; 13 … E ; 18 … E ; 9 … C ; 17 … C ;
11 … E ; 20 … E.
2) Trouve trois nombres entiers consécutifs dont l’un est 17. Combien y a- t- il de
possibilités ?
II° NOMBRES DECIMAUX ARITHMETIQUES :
II – 1) Activité :
Un paysan a récolté 12345,125 kg de mil et 2375,5 kg d’arachides.
a) Comment appelle – t – on les nombres 12345,125 et 2375, 5 ?
b) Indique pour chacun d’eux ces différentes parties.
c) Ecris 194 avec une partie décimale.
d) 194 est – il un nombre décimal ?
e) Ecris ces nombres dans un tableau de numération.
II – 2) Nombres décimaux arithmétiques :
II - 2 - 1) Définition :
Un nombre décimal est composé en général d’une partie entière et d’une partie décimale
séparée par une virgule.
II - 2 - 2) Exemples : 103, 58 ; 12 ; 0, 056 ; …
II – 3) Ensemble 𝓓 des nombres décimaux arithmétiques :
L’ensemble des nombres décimaux arithmétiques est noté 𝒟
CHAPITRE II
ADDITION DE DEUX NOMBRES DECIMAUX
ARITHMETIQUES
DUREE : 2 HEURES
OBJECTIF GENERAL : Au terme de ce chapitre, l’apprenant devra maîtriser l’utilisation
des propriétés de l’addition pour résoudre des problèmes.
OBJECTIFS SPECIFIQUES : Au terme de ce chapitre, l’apprenant devra être capable de :
Réemployer le vocabulaire : addition, terme, somme.
Calculer la somme de deux nombres décimaux.
Réemployer la commutativité, l'associativité et le rôle de zéro dans l'addition.
Donner un ordre de grandeur d'une somme.
Utiliser l'addition pour résoudre un problème.
PREREQUIS : addition de nombre décimaux : sens et pratique
SOURCES :
Loi d’orientation 91. 22 du 16 Février 1991 ; Guide d’Usage de Maths 6e
Manuels : CIAM 6e ; Excellence 6e
Programme de mathématiques 6e de Février 2006.
Webographie : http://www.maths-videos.com, consulté le 26/ 01/ 2015 à 14 h 13 min.
: http://www.maths-et-tiques.fr, consulté le 26/ 01/ 2015 à 15 h 30 min.
Encyclopédie des connaissances actuelles en Mathématiques
PLAN DU CURS
I° - Addition, soustraction de deux nombres II – 1) Activité :
décimaux II – 2) Propriétés :
I – 1) Activité : Remarque :
I – 2) Vocabulaire et pratique du calcul. II – 3) Ordre de grandeur :
I – 3) Exercice d’application : II – 4) Exercice d’application :
II° - Propriétés de l’addition de deux décimaux/ III° Résolution de problème :
INTRODUCTION : (5 min)
Dans ces activités d’échange et de calcul, l’homme a souvent besoin d’user de techniques lui
permettant d’augmenter des unités d’où l’intérêt de l’addition de nombres décimaux.
Du point de vue programme, l’addition de nombres décimaux a été abordé à l’élémentaire. Il
s’agira alors de consolider la pratique de ces opérations d’une part et d’institutionnaliser leurs
propriétés d’autre part.
DEROULEMENT DU COURS
I° - ADDITION DE DEUX NOMBRES DECIMAUX :
I – 1) Activité :
La facture d’une librairie est en partie effacée
Quantité Articles Prix unité Total
Fournitures scolaires
2 Crayon 100
1 Gomme 100
Sac 4000
Total fournitures …….
Retrouve le total des fournitures scolaires, le prix du livre d’anglais, le montant total de la
facture.
I – 2) Vocabulaire et pratique du calcul.
Vocabulaire : Somme, addition :
Soit l’opération : 12,45 + 4,15 = 16, 60
Le nombre 16,60 est la somme de 12,45 et 4,15. Les nombres 12,45 et 4,15 sont les termes de
cette somme.
Soit a et b deux décimaux. Pour calculer la somme de a et b, notée a + b, j’effectue une
addition. a et b sont les termes de
cette somme.
Disposition pratique :
I – 3) Exercice d’application :
1) Pose puis effectue une addition dont les termes sont 32,57 et 45,83 ; 2035,45 et 0,025
2) Complète : le résultat de chaque opération est une …
On a 2 + 0 = 2 et pour tout décimal non nul a, on a : a + 0 = a. On dit que zéro (0) est l’élément
neutre pour l’addition.
Remarque :
L’addition peut être aussi représentée à l’aide du schéma de calcul ci-dessous :
CHAPITRE III
DUREE : 2 HEURES
OBJECTIF GENERAL : Au terme de ce chapitre, l’apprenant devra maîtriser l’utilisation
les propriétés de la soustraction pour résoudre des problèmes.
OBJECTIFS SPECIFIQUES : Au terme de la leçon, l’apprenant devra être capable de :
Réemployer le vocabulaire : soustraction, terme, différence.
Calculer la différence de deux nombres décimaux.
Compléter, avec des décimaux, des égalités du type : a + ... = b ; .... + a = b.
Donner un ordre de grandeur d'une différence.
Contrôler le résultat d'une somme par une différence et inversement.
Utiliser la soustraction pour résoudre un problème.
PREREQUIS : addition et soustraction de nombres décimaux sens et pratiques
SOURCES :
Loi d’orientation 91. 22 du 16 Février 1991 ; G. U. de Maths 6e
Manuels : CIAM 6e ; Excellence 6e
Programme de mathématiques 6e de Février 2006
Webographie : http://www.maths-videos.com, consulté le 26/ 01/ 2015 à 14 h 13 min.
: http://www.maths-et-tiques.fr, consulté le 26/ 01/ 2015 à 15 h 30 min.
Encyclopédie des connaissances actuelles en Mathématiques
PLAN DU COURS
I° - Soustraction de deux nombres II° - Propriété de la soustraction de deux
décimaux décimaux
I – 1) Activité : II - 1) Activité :
I – 2) Vocabulaire et pratique du calcul. II - 2) Propriétés :
I-3) Contrôle du résultat d’une addition, II - 3) Equation du type a + … = b
d’une soustraction : II - 4) Exercice d’application :
I - 4) Exercice d’application : III° - Résolution de problème :
INTRODUCTION : (5min)
Dans ces activités d’échange et de calcul, l’homme a souvent besoin d’user de techniques lui
permettant de diminuer des unités d’où l’intérêt de la soustraction de nombres décimaux.
Du point de vue programme, la soustraction de nombres décimaux ont été abordé à
l’élémentaire. Il s’agira alors comme avec l’addition, de consolider la pratique de ces
opérations d’une part et d’institutionnaliser leurs propriétés d’autre part.
DEROULEMENT DU COURS
I° - SOUSTRACTION DE DEUX NOMBRES DECIMAUX :
I - 1) Activité :
La facture d’une librairie est en partie effacée
Quantité Articles Prix unité Total
Livres scolaires
1 Livre de maths 3750
1 Livre d’anglais ………….
Total livres 6000
Retrouve le prix du livre d’anglais
I - 2) Vocabulaire et pratique du calcul.
Vocabulaire : différence, soustraction :
Soit l’opération : 75, 25 – 30 = 45, 25
Le nombre 45, 25 est la différence de 75, 25 et 30. C’est le nombre qu’il faut ajouter à 30
pour obtenir 75, 25
Les nombres 75, 25 et 30 sont les termes de cette différence.
Soit a et b deux décimaux (a plus grand que b). Pour calculer la différence de a et b, notée a –
b, j’effectue une soustraction. a et b sont les termes de cette différence.
Disposition pratique :
I - 3) Contrôle du résultat
d’une addition, d’une soustraction :
Pour contrôler le résultat de l’opération : 1234,75 + 205,05 = 1439,8 ; je vérifie que
1439,8 – 205,05 = 1234,75 ou bien que 1439,8 – 1234,75 = 205,05
Pour contrôler le résultat de l’opération : 345, 025 – 123,32 = 221,705 ; je vérifie que
221,705 + 123,32 = 345,025
I - 4) Exercice d’application :
1) Pose puis effectue une addition dont les termes sont 32,57 et 45,83
2) Complète : le résultat est une …
3) Sans nouveau calcul, recopie et complète 78,4 - 32,57 = ….
4) L’opération 78,4 - 32,57 est une …. . Son résultat est une ….
5) Vérifies le calcul en justifiant ta réponse: 306 + 13,56 = 319, 65 ; 56, 38 – 6,38 = 50
II - 2) Propriété :
On ne peut effectuer la soustraction de deux décimaux arithmétiques que si le
deuxième terme est inférieur au premier. Donc la soustraction n’est pas commutative.
Exemple : 30, 5 – 14 = …… alors que 14 – 30,5 est impossible dans 𝒟
La soustraction n’est pas associative.
Exemple : (30, 5 – 14) – 3 = 13,5 et 30,5 – (14 – 3) = 19,5. Donc (30, 5 – 14) – 3 ≠ 30,5 – (14
– 3)
II - 3) Equation du type a + … = b
Pour compléter une équation une égalité du type a + … = b, on calcule la différence (b – a)
Exemple : pour calculer 108 + …. = 130,5
On a : 130,5 – 108 = 22, 5
D’où 108 + 22,5 = 130,5
II - 4) Ordre de grandeur d’une différence :
On donne : a) 2008,07 – 30,1 b) 1288,35 - 808,035.
Donne l’ordre de grandeur de chaque terme puis en déduire celui de la différence.
II - 5) Exercice d’application :
1) Compléter les pointillés par les nombres décimaux qui conviennent : a) 27 + … = 50 ;
b) …+ 72 = 100.
2) Donne un ordre de grandeur du résultat : a) 135515 - 15505 ; b) 169,71 - 3,005.
III° - RESOLUTION DE PROBLEME :
Votre camarade va au marché hebdomadaire. Il donne 15000 F CFA à un commerçant pour
acheter un pantalon à 4000 F et deux chemises à 3250 F l’une.
Trouve la somme que doit lui rendre le commerçant.
CHAPITRE IV
RANGEMENT DES NOMBRES DÉCIMAUX
ARITHMÉTIQUES
DUREE : 2 HEURES
OBJECTIF GENERAL : Au terme de ce chapitre, l’apprenant devra maîtriser l’utilisation
de la comparaison des nombres (entiers naturels et décimaux arithmétiques) pour résoudre des
problèmes.
OBJECTIFS SPZCIFIQUES : Au terme de la leçon, l’apprenant devra être capable de :
Restituer le vocabulaire : égal, différent, inférieur strictement, supérieur strictement,
inférieur ou égal, supérieur ou égal.
Utiliser le vocabulaire : égal, différent, inférieur strictement, supérieur strictement,
inférieur ou égal, supérieur ou égal.
Utiliser la demi-droite graduée pour ranger des nombres décimaux.
Ranger des nombres décimaux dans l'ordre croissant, ou dans l’ordre décroissant.
Reconnaître les symboles : = ; ≠ ; ≥ ; ≤ ; < ; >.
Utiliser les symboles : = ; ≠ ; ≥ ; ≤ ; < ; > pour comparer des nombres.
PREREQUIS : Nombre décimaux arithmétique,
SOURCES :
Loi d’orientation 91. 22 du 16 Février 1991 ; Guide d’Usage de Maths 6e
Manuels : Excellence 6e ; CIAM 6e
Programme de mathématiques de Février 2006
Webographie : http://www.mathovore.fr, consulté le 20/ 01/ 2015 à 8 h 30 min.
Encyclopédie des connaissances actuelles en Mathématiques.
PLAN DU COURS
I° Comparaison de deux nombres entiers III - 3) Rangement de nombres entiers
naturels naturels :
I – 1) Activité : III - 4) Exercice d’application :
I – 2) Vocabulaire: IV° Ranger plusieurs nombres décimaux
I – 3) Exemples : IV - 1) Activité :
I - 4) Exercice d’application IV - 2) Graduation d’une demi-droite par des
II° Comparaison de deux nombres nombres décimaux ;
décimaux IV - 3) Rangement de nombres décimaux :
II – 1) Activité : Ordre croissant :
II – 2) Règles de comparaison de deux Ordre décroissant :
décimaux : IV – 4) Exercice d’application :
III° Ranger plusieurs nombres entiers V° Encadrement
naturels V - 1) Activité :
III - 1) Activité : V - 2) Exemples :
III - 2) Graduation d’une demi-droite par des V - 3) Exercice d’application :
nombres entiers naturels :
Ordre croissant :
Ordre décroissant :
INTRODUCTION (5min)
Du point de vue programme ce chapitre est une suite logique de la notion d’ordre dans
l’ensemble ℕ.
Ainsi nous renforcerons ces acquis.
Ce qui nous donnera donc l'occasion d'introduire : des propositions du type : « …est inférieur
ou égal à.. . », « …est strictement supérieur à… », « …est différent de… » Les symboles ≥
et ≤ , > et <.
Toutefois, nous ferons beaucoup d'activités, notamment de calcul mental, pour bien assimiler
la manipulation des parties décimales et les encadrements.
Du point de vue intérêt, nous veillerons à prendre en charge des problèmes portant sur des
situations de la vie courantes.
DEROULEMENT DU COURS
I° COMPARAISON DE DEUX NOMBRES ENTIERS NATURELS :
I – 1) Activité :
1) Entre les entiers naturels dit le plus grand :
a) 5 et 9 b) 124 et 120 c) 1054 et 1045
I – 2) Vocabulaire :
Comparer des entiers naturels c’est dire quel est le plus grand d’entre eux ou quel est le
plus petit d’entre d’eux
Pour cela on peut se servir de symbole : ≥ (supérieur ou égal) et ≤ (inférieur ou égal),
> (strictement supérieur) et < (strictement inférieur) et / ou =.
I – 3) Exemples :
a) 76 est plus grand que 67. On écrit : 76 > 67. On lit : 76 est strictement supérieur à
67.
b) 12 est plus petit que 18. On écrit 12 < 18. On lit : 12 est strictement inférieur à 18.
I – 4) Exercice d’application
Complète avec le symbole > ; < et = : 103 … 981 ; 001…1 ; 205… 205 ; 33456… 33455.
Exemple :
Pour graduer une demi-droite [𝐴𝑥) orientée par des nombres décimaux on procède comme dans
le III° - 2)
CHAPITRE V
MULTIPLICATION DES NOMBRES
DÉCIMAUX ARITHMÉTIQUES
DUREE : 2 HEURES
OBJECTIF GENERAL : Au terme de ce chapitre, l’apprenant devra maîtriser l’utilisation
des propriétés de la multiplication des nombres décimaux pour résoudre des problèmes.
OBJECTIFS SPECIFIQUES : Au terme de la leçon, l’apprenant devra être capable de :
Restituer le vocabulaire : multiplication, facteur, produit ; les propriétés : commutativité,
associativité, distributivité de la multiplication par rapport à l'addition et à la
soustraction, les rôles des nombres 1 et 0.
Réutiliser le vocabulaire : multiplication, facteur, produit ; les propriétés : commutativité,
associativité, distributivité de la multiplication par rapport à l'addition et à la
soustraction, les rôles des nombres 1 et 0 ; la multiplication pour résoudre des problèmes.
Calculer le produit de deux nombres décimaux.
Multiplier mentalement un décimal par : 10 ; 100 ; 1000; 0,1 ; 0,01 ; 0,001.
Donner un ordre de grandeur d'un produit.
PREREQUIS : addition de nombre décimaux.
SOURCES :
Loi d’orientation 91. 22 du 16 Février 1991 ; Guide d’Usage en Maths 6e
Manuels : CIAM 6e ; Excellence 6e
Programme de mathématiques 6e de Février 2006
Webographie : http://www.maths-videos.com, consulté le 26/ 01/ 2015 à 14 h 13 min.
: http://www.maths-et-tiques.fr, consulté le 26/ 01/ 2015 à 12 h 10 min.
Encyclopédie des connaissances actuelles en Mathématiques
PLAN DU COURS
I° - La multiplication : III – 1) Activités
I - 1) Activité : III - 2) Distributivité de la multiplication par rapport à
I - 2) Vocabulaire et pratique du l’addition :
calcul. III - 3) Distributivité de la multiplication par rapport à
I - 3) Exercice d’application : la soustraction :
II° Propriétés de la multiplication III - 4) Exercice d’application :
II° – 1) Activité : IV° Puissance : Carré d’un nombre Cube d’un
II – 2) Propriétés : nombre
II - 3) Exercice d’application : IV - 1) Activité :
III° Propriété de la distributivité IV - 2) Vocabulaires :
IV - 3) Exemples :
INTRODUCTION (5min)
Dans l’intérêt de satisfaire ses besoins économiques et commerciaux (estimation de patrimoine,
intérêts, arpentage, échanges,…), l’homme a créée plusieurs opérations, dont la multiplication.
Toutefois, ce chapitre vise à renforcer la pratique de la multiplication acquise à l’Ecole
Elémentaire. En outre, il vise aussi la découverte des propriétés permettant de simplifier
certains calculs. Dès lors, son intérêt sur la vie sera matérialiser concrètement lorsque, nous
introduirons intuitivement les puissances sur le calcul d’aire et de volume.
DEROULEMENT DU COURS
I° - MULTIPLICATION : FACTEURS, PRODUIT, NOTATION :
I° - 1) Activité :
La distance qui sépare un élève du collège est de 2,5 km. On désire connaitre la distance
parcourue en un jour par cette élève s’il l’a parcourt 4 fois par jour.
1) Quelle opération as-tu posé ?
2) Comment appelle- t- on 2,5 et 4 ?
3) Comment appelle –t – on le résultat de cette opération ?
I - 2) Vocabulaire et pratique du calcul.
Vocabulaire :
On a : 2,5 X 4 = 10
Le nombre 10 est le produit.
Les nombres 2,5 et 4 sont les facteurs du produit.
L’opération posée est la multiplication.
Pratique du calcule :
Pose et effectue les opérations suivantes : a) 1254 X 23 ; b) 243,06 X 5,4
Remarque :
L’ordre de grandeur d’un produit permet de déceler des erreurs évidentes.
Attention ! L’ordre de grandeur d’un produit ne permet pas d’affirmer qu’un résultat est
juste.
Preuve par neuf (voir pratique et calcul).
I - 3) Exercice d’application :
1. Soient p et q deux nombres décimaux arithmétiques tels que : p x q = 7,5.
a) Comment appelle- t-on les nombres p et q ?
b) Comment appelle- t-on le nombre 7,5 ?
2) Poser puis effectuer les produits suivants : a) 456 x 23 b) 7,81 x 9,6.
3) Calculer mentalement : a) 23,45 x 1000 = …………. b) 0,01 x 308,2009 =………….
2. Donne l’ordre de grandeur de chacun des produits : a) 305 x 98 b) 15,8 x 7,3.
Propriété 1 : Commutativité
Soit a et b deux nombres décimaux on a : a x b = b x a. On dit que la multiplication est
commutative.
Exemples :
14 X 2,3 = 2,3 X 14 ; 12306,05 X 24 = 24 X 12306,05
Propriété 2 : Associativité
Soit a, b et c trois décimaux, on a : (ax b) x c = a x (b x c). On dit que la multiplication est
associative.
Exemple : 4,5 x (6 x 9,06) = (4,5 x 6) x 9,06
Rôle de 1 (un) :
Le produit de tout décimal par 1 est égal à lui-même.
Soit a un nombre décimal, on a : a x 1= 1 x a = a.
Exemples : 807 x 1 = 807 ; 1 x 95,05 = 95,05
III° - 2) Vocabulaires :
Soit a un décimal.
Le carré de a, noté a² est le produit a x a. On lit « a au carré » ou « a exposant 2 »
Exemples : 5 x 5 = 5² ; 100 x 100 = 100² ; 15, 5 x 15,5 = (15,5)²
CHAPITRE VI
DIVISION DES NOMBRES DÉCIMAUX
ARITHMÉTIQUES
DUREE : 4 HEURES
OBJECTIF GENERAL : Au terme de ce chapitre, l’apprenant devra maîtriser l’utilisation
des propriétés de la division des nombres décimaux arithmétiques pour résoudre des
problèmes
OBJECTIFS SPECIFIQUES : Au terme de la leçon, l’apprenant devra être capable de :
Restituer le vocabulaire : dividende, diviseur, reste, quotient exact, quotient approché à
l'unité prés, aux dixièmes prés, etc. (par défaut, par excès) ; la définition de fraction, la
notation et le vocabulaire numérateur, dénominateur
Calculer le quotient et le reste dans la division d'un entier par un entier non nul ; le quotient
approché par défaut, par excès, d'un décimal par un autre, à l'unité près, au dixième près
etc…
Diviser mentalement par : 10 ; 100 ; 1000 ; 0,1 ; 0,01 ; 0,001 ; un décimal par : 0,25 ; 0,5 ;
0,75.
Passer d'une écriture décimale à une écriture fractionnaire et inversement.
𝑎 𝑎 𝑎 𝑋𝑑
Utiliser la formule : d x 𝑏= 𝑏 x d = 𝑏 ; la division pour résoudre des problèmes
Résoudre des problèmes concrets du type « prendre une fraction d'une quantité
donnée ».
PREREQUIS : addition des nombres décimaux ; les fractions ;
SOURCES :
Loi d’orientation 91. 22 du 16 Février 1991 ; Guide d’Usage de Maths 6e
Manuels : CIAM 6e ; Excellence 6e ; CIAM 6e
Programme de mathématiques 6e de Février 2006
Webographie : http://www.maths-videos.com, consulté le 26/ 01/ 2015 à 14 h 13 min.
: http://www.maths-et-tiques.fr, consulté le 26/ 01/ 2015 à 12 h 10 min.
Encyclopédie des connaissances actuelles en Mathématiques
PLAN DU COURS
I° Division d'un nombre décimal par un nombre II – 5) Division d’un décimal par 0,25 ; 0,5 ; 0,75
entier II – 6) Exercice d’application :
I - 1) Activité : III° Fractions : Écriture décimale et écriture
a) Quotient entier : fractionnaire
b) Vocabulaire et pratique du calcul. III° - 1) Activité :
c) Quotient exact: III – 2) Fraction :
d) Quotient approché : III – 3) Écriture décimale et écriture fractionnaire :
I – 2) Caractères de divisibilité : III – 4) Exercice d’application :
II° Division d’un nombre décimal par un IV° Multiplication d’une fraction par un
décimal non nul : nombre :
II – 1) Activité : IV° - 1) Activité
𝑎
II – 2) Propriétés : IV° - 2) Multiplication d’une fraction 𝑏 par un
II – 3) Division d’un décimal par 10 ; 100 ; nombre :
1000 ;… IV° - 3) Prendre une fraction d’une quantité
II– 4) Division d’un nombre décimal par donnée :
0,1; 0,01; 0,01
INTRODUCTION (5 min)
Dans l’intérêt de satisfaire ses besoins économiques et commerciaux (estimation de patrimoine,
intérêts, arpentage, échanges,…), l’homme a créée plusieurs opérations, dont la division.
Toutefois, ce chapitre vise à renforcer la pratique de la division acquise à l’Ecole Elémentaire.
En outre, il vise aussi la découverte des propriétés permettant de simplifier certains calculs.
DEROULEMENT DU COURS
I° DIVISION D'UN NOMBRE DECIMAL PAR UN NOMBRE ENTIER :
I – 1) Activité :
Une mère de famille est rentrée du marché avec 26 bonbons pour ces 4 enfants.
Dites combien de bonbons aura chaque enfant puis combien lui reste- t – il.
a) Quotient entier :
La division de 34 par 4 donne le nombre entier 8 comme quotient. Le reste est 2.
b) Vocabulaire et pratique du calcul.
Remarque :
Contrôle : 26 = 4 X 6 + 2
Dividende = Diviseur X quotient + reste
Le reste d’une division est toujours inférieur au diviseur.
Ici 2 < 4
c) Quotient exact:
Lorsque le reste de la division est nul (égal à 0) on dit que le
quotient est exact.
Exemple :
d) Quotient approché :
Lorsque le reste de la division n’est pas nul, on obtient un quotient approché.
Si le quotient est un nombre entier, alors il est dit quotient entier ou quotient approché à
l’unité près par défaut.
Exemple :
D'une manière plus générale il suffit de répéter l'opération ci-dessus et de vérifier que le résultat
final est un multiple de 7, connu.
17381 est divisible par 7 car:
1738 – 2 x 1 = 1736
173 – 2 x 6 = 161
16 – 2 x 1 = 14
On trouve un résultat final divisible par 7 donc 17381 est divisible par 7.
Caractère de divisibilité par 8
Un nombre est divisible par 8 si le nombre formé par ses trois derniers chiffres est divisible par
8.
Exemple : 100636136 est divisible par 8 car 136 est divisible par 8.
Caractère de divisibilité par 9 :
Un entier est divisible par 9 si la somme de ses chiffres est un multiple de 9
Exemple : 756 ; 9981 car la somme de leurs chiffres est un multiple de 9.
II - 2) Propriétés :
Lorsqu’on multiplie le dividende et le diviseur d’une division par un même nombre le
quotient ne change pas.
Exemples : 86 : 8,6 équivaut à 10 X 86 : 10 X 8,6
équivaut à 860 : 86
245,75 : 8,5 équivaut à 100 X 245,75 : 100 X 8,5
équivaut à 24575 : 850
On n’effectue pas la division avec un diviseur décimal.
II – 3) Division d’un décimal par 10 ; 100 ; 1000 ; …
diviser un nombre par 10 revient à le multiplier par 0,1
diviser un nombre par 100 revient à le multiplier par 0,01
diviser un nombre par 1000 revient à le multiplier par 0,001
Dans la pratique : diviser un nombre par 10 ; 100 ; 1000..., revient à décaler la virgule de 1,
2 ou 3 rangs de la droite vers la gauche, en complétant par le nombre de zéros nécessaires.
Dans la pratique : diviser un nombre par 0,1 ; 0,01 ; 0,001..., revient à décaler la virgule de 1,
2 ou 3 rangs de la gauche vers la droite, en complétant par le nombre de zéros nécessaires.
Exemples : 47 : 0,1 = 470 ; 45 : 0,01 = 4500 ; 46,7 : 0,01 = 4670 ; 5,89 : 1000 = 5890
II – 5) Division d’un décimal par 0,25 ; 0,5 ; 0,75
diviser un nombre par 0,25 revient à le multiplier par 4
diviser un nombre par 0, 5 revient à le multiplier par 2
diviser un nombre par 0, 75 revient à le multiplier par 4 puis diviser le résultat obtenu
par 3.
Exemples : 8 : 0,25 = 8 X 4 = 32 ; 50 : 0,25 = 50 X 4 = 200
12 : 0,5 = 12 X 2 = 24 ; 150 : 0,5 = 150 X 2 = 300
60 : 0,75 = (60 X 4) : 3 = 240 : 3 = 80
II - 6) Exercice d’application :
Sans poser l’opération complète :
a) 327 : 10 ; 1247,769 : 1000 ; 20789 : 100
b) 456 : 0,1 ; 145,5 : 0,01 ; 0,657 : 0,001
c) 17 : 0,25 ; 845 : 0,5 ; 400 : 0,75
III° FRACTIONS : ÉCRITURE DECIMALE ET ECRITURE FRACTIONNAIRE :
III° - 1) Activité :
254 ………. …………..
1) Complète : 254 : 10 = =… ; 567,89 = ; 827,04 =
10 10 100
𝑎
2) Ecris sous la forme 𝑏 avec a un entier naturel et b peut être égal à 1 ; 10 ; 100 ; 1000 ;
III°- 2) Fraction :
𝐚
Soit a un entier et b un entier non nul. Le quotient de est une fraction. a est le numérateur,
𝐛
b est le dénominateur.
Tout nombre décimal peut s’écrire sous la forme fractionnaire.
Remarque :
Le dénominateur d’une fraction n’est jamais nul (jamais égal à 0).
L’écriture d’une fraction doit être simplifiée si la fraction n’est pas irréductible.
Exemples : En collaboration avec les élèves.
III° - 3) Écriture décimale et écriture fractionnaire
4 4
Ecriture fractionnaire : 0,8 = 5 alors 5 est une écriture fractionnaire de 0,8.
4
Ecriture décimale : 0,8 est l’écriture décimale de 5
III° - 4) Exercice d’application :
1) Calculer mentalement : a) 135 :10 ; b) 127,4 :100 ; c) 7425 :1000 ; d) 278 : 0,1 ; e) 4328,1 :
0,01 et f) 7427: 0,001.
96 375 360
2) Simplifier les fractions suivantes en utilisant les caractères de divisibilités :12 ; 225 ; 210
3) Qu’est-ce- qu’une fraction décimale ?
4) a) Donner l’écriture fractionnaire de : 2,8 ; 8,75 ; 7,45 et 1,5.
b) Donner une écriture simplifiée de ces fractions.
𝒂
IV° MULTIPLICATION D’UNE FRACTION 𝒃 PAR UN NOMBRE C :
IV° - 1) Activité
1) Calcule puis compare 4x (3 : 5) et (4 x 3) : 5
2) Même question avec : 10 x (8 : 6) et (10 x 8) : 6
3) Donne l’écriture fractionnaire de 3 :5 ; 8 : 6
… …𝑋… …𝑋…
4) Recopie et complète : 4 x (3 :5) = 4 x … = 5 ; 10(8 : 6) = ……
5) Un gâteau de forme rectangulaire à pour dimensions L= 8 cm et l = 4 cm
a) Calcule son aire.
Votre mère le partage comme l’indique la figure puis donne la partie coloriée à votre frère.
CHAPITRE VII
DUREE : 4 HEURES
OBJECTIF GENERAL : Au terme de ce chapitre, l’apprenant devra maîtriser l’utilisation des
règles d’organisation de calcul pour résoudre des problèmes.
OBJECTIFS SPECIFIQUES : Au terme de ce chapitre, l’apprenant devra être capable de :
Restituer les règles de priorité des opérations.
Effectuer une suite d’'opérations en appliquant les règles de priorité ; un calcul
comportant des parenthèses
Traduire une écriture en ligne d'un calcul en schéma de calcul ; un programme de calcul
en ligne ou un schéma de calcul en énoncé mathématique ; un énoncé mathématique en
programme de calcul en ligne ou sous forme de schéma.
Calculer une somme, un produit, un quotient en utilisant les techniques de calcul rapide.
Utiliser les règles d'organisation pour calculer mentalement.
PREREQUIS : addition des nombres décimaux ; les fractions ;
SOURCES :
Loi d’orientation 91. 22 du 16 Février 1991 ; Guide d’Usage de Maths 6e
Manuels : CIAM 6e ; Excellence 6e
Programme de mathématiques 6e
Webographie : http://www.maths-videos.com, consulté le 26/ 01/ 2015 à 14 h 13 min.
: http://www.maths-et-tiques.fr, consulté le 26/ 01/ 2015 à 12 h 10 min.
Encyclopédie des connaissances actuelles en Mathématiques.
PLAN DU COURS
I° Règles de priorité des opérations II° Utilisation des parenthèses :
I° - 1) Activité : II° - 1) Activité :
I° - 2) Règles et Exemples: II° - 2) Règle :
I° - 3) Schéma de calcul : II° - 3) Calcul rapide :
I° - 4) Exercice d’application : II° - 4) Exercice d’application :
INTRODUCTION (5min)
Du point de vue programme, ce chapitre est nouveau pour vous chers apprenants. Toutefois,
vous aviez appris dans les chapitres : addition, soustraction et multiplication dans D, à déplacer ;
regrouper des termes ; d’une somme, des facteurs d’un produit pour calculer de manière rapide
et efficace.
Dans ce chapitre, il s’agira d’organiser des calculs en précisant les règles de priorité et les règles
de parenthèses.
A cet effet, nous utiliserons un schéma de calcul permettant de visualiser et de comprendre
l’ordre dans lequel, on effectue les opérations.
C’est dire que les questions de rapidité, d’ordres et d’efficacité occupent une place dans
l’activité mathématique, donc dans la vie quotidienne.
DEROULEMENT DU COURS
I° REGLES DE PRIORITE DES OPERATIONS :
I° - 1) Activité :
Une mère achète au marcher 100 F de cube magie et 5 sachets de poivre à 25 F.
a) Pose en ligne l’opération qu’elle doit effectuer pour connaître sa dépense totale.
b) Calcule la dépense totale
Au retour, elle amène 20 billes pour ces deux enfants Moussa et Salif. Après partage Moussa
l’aîné donne 3 billes à Salif.
c) Pose en ligne les opérations permettant de savoir le nombre de billes restant à Moussa.
d) Calcule le nombre de bille restant à Moussa.
I° - 2) Règles et Exemples:
Règle :
Dans une écriture en ligne sans parenthèses.
La multiplication est prioritaire sur l’addition et la soustraction.
La division est prioritaire sur l’addition et la soustraction.
Exemples :
a) 30 + 35 X 2 = 70 + 30 (je calcule d’abord 35 X 2 et j’ajoute 30
= 100
b) 150 : 3 - 5 = 50 – 5 (je calcule d’abord 150 : 3 et j’enlève 5
= 45
I° - 3) Schéma de calcul :
5
CHAPITRE VIII
INTRODUCTION (5min)
Du point de vue historique, c’est DIOPHANTE qui a émis l’idée de nombre relatif depuis plus
250 av JC. La réflexion ayant poursuit son cours, au VIIème siècle BRAHMAGUPTA précise :
« Une dette retranchée de 0 devient un gain ». En 1544 STIFEL fait adopter les signe + et –
aux nombres.
Mais il a fallu attendre 177O, pour qu’ils obtiennent grâce à EULER un statut de nombre et
pour leur caractère d’artifice de calcul.
Donc du point de vue programme, l’étude des nombres décimaux relatifs est tout à fait nouvelle
en 6e mais elle nécessite une réelle formalisation mathématiques afin de rendre désormais,
toujours possible la soustraction.
DEROULEMENT DU COURS
I° NOMBRE DECIMAL RELATIF :
I – 1) Activité :
Cinq élèves dont les initiales de leurs noms sont : A ; B ; C ; D et E ont reçu respectivement les
sanctions suivantes après un devoir de maths : (+4) ; (+2) ; (− 1) ; (− 2) et (+ 5)
1) Trace une droite graduée en cm d’origine O et dont le point I a pour abscisse (+1).
2) Place sur cette droite les points A (+4) ; B (+3) ; C (− 1) ; D (− 2) et E (+ 5)
3) Mesure les distances OB ; OD ; AE ; AC et OE.
4) Compare les distances OB et OD.
5) Que peut – on dire des abscisses des points B et D : sans leurs signes ? avec leurs signes ?
I – 2) signe d’un nombre décimal : nombre décimal positif, nombre décimal négatif
Tout nombre décimal précédé d’un signe (+) est un nombre décimal relatif positif,
plus grand que zéro.
Exemples : + 5 ; + 7, 5 ; …
Tout nombre décimal précédé d’un signe (−) est un nombre décimal relatif négatif,
plus petit que zéro.
Exemples : – 3, 5 ; – 100 ; – 0, 5
Remarque : le nombre 0 (zéro) est le seul décimal relatif qui soit à la fois positif et
négatif. On dit que zéro n’est ni + 0, ni – 0. On l’écrit toujours 0 sans aucun signe devant.
I – 3) Notation : Ensembles : IN ; Z et ID
L’ensemble des entiers naturels est noté IN
L’ensemble des décimaux arithmétiques est noté D
Tout entier naturel précédé d’un signe (+) ou (-) est appelé entier relatif. L’ensemble
des entiers relatifs est noté ℤ
L’ensemble des décimaux relatifs est noté ID
I – 4) Propriété :
IN ⊂ D ⊂ ℤ ⊂ ID
I – 5) Exercice d’application :
1) Compléter les pointillés par ∈ ou ∉ : (-7)… IN; (+1, 5)… ID; (+11)… Z +; (-7)… D; (- 7)…
Z; (- 15)… Z +;
(-13, 5)… ID ; 0… ID ; - 11, 5 … Z -
2) On considère les nombres décimaux relatifs ci-dessous : (- 1,3) ; (+ 10) ; (-3,8) ; (-1) ; (+ 1,3)
; (+ 18) ; (+1) ; (- 9 ,18) ; (-18) et (-10).
a) Ecrire l’ensemble A des décimaux relatifs positifs.
b) Ecrire l’ensemble B des décimaux relatifs négatifs.
c) Ecrire l’ensemble C des entiers relatifs.
Deux nombres décimaux relatifs de signes différents qui ont la même valeur absolue sont dits
opposés.
Soit a un décimal relatif. On note opp (a) et lit « opposé de a »
Exemples : l’opposé de + 9 est – 9 : opp (+9) = - 9 ; l’opposé de – 14,5 est + 14,5 : opp (-14,
5) = + 14 ; 5
Remarque :
Tout nombre décimal relatif a peut-être représenté sur une droite graduée orientée par
un point M.
Le nombre a est appelé abscisse du point M.
Exemple :
L’abscisse de A est – 2
L’abscisse de O est 0 et l’abscisse de C est + 2
II – 3) Exercice d’application :
1) recopie et compète : a) opp (-3) =…….. ; opp (+7,5) = ……. ; c) opp (-15,5) =……..
2) Ecrire les décimaux relatifs sans symbole de valeur absolue| |.
a) |−3|=…….. b) |+17,5|=…….. c) |−10,25|=……..
3) Détermine les abscisses des points K ; L et N puis place le point E d’abscisse - 1
CHAPITRE IX
DUREE: 4 HEURES
OBJECTIF GENERAL : Au terme de ce chapitre, l’apprenant devra maîtriser l’utilisation du
repérage sur une droite ; dans un plan pour résoudre des problèmes.
OBJECTIFS SPECIFIQUES : Au terme de ce chapitre, l’apprenant devra être capable de :
Restituer le vocabulaire: origine, unité, abscisse, axe; repère orthonormal, coordonnées
(abscisse, ordonnée).
Identifier : origine, unité, abscisse, axe; repère orthonormal, coordonnées (abscisse,
ordonnée).
Donner : l'abscisse d'un point sur une droite graduée ; les coordonnées d'un point dans
un repère orthonormal.
Placer : sur un axe un point dont on connaît l'abscisse ; dans un repère orthonormal un
point dont on connaît les coordonnées.
Repérer : sur une droite graduée un point ; un point dans le plan muni d’un repère
orthonormal.
Encadrer l'abscisse positive d'un point.
PREREQUIS : droite ; droites perpendiculaires ;
SOURCES :
Loi d’orientation 91. 22 du 16 Février 1991 ; Guide d’Usage de Maths 6e
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http://www.lewebpedagogique.com, consulté le 06 / 08 / 2019 à 11 h 38 min
Encyclopédie des connaissances actuelles en Mathématiques.
PLAN DU COURS
I° Repérage sur une droite II – 1) Activité
I – 1) Activité II – 2) Vocabulaires
I – 2) Vocabulaires II – 3) Méthode pour placer un point de
I – 3) Méthode pour placer un point sur une coordonnées connues dans un repère:
droite graduée: II – 4) Méthode pour trouver les coordonnées
I – 4) Exercice d’application: d’un point placé dans un repère orthonormal:
II° Repérage sur le plan I – 5) Exercice d’application:
INTRODUCTION (5 min)
Le concept de movement est fondamental pour caractériser la vie terrestre. Dès lors, pour fixer
un événement dans le temps ou se situer par rapport à sont milieu de vie, l’homme a besoin de
repère. Naturellement, le soleil, la lune, l’étoile polaire et les saisons sont des éléments qui
répondent à ce besoin.
Ainsi, pour parvenir à ce même fin, l’homme a inventé la boussole.
Dans ce chapitre, tu apprendras à te repérer sur une droite, sur un plan afin de mieux cerner ce
concept de repérage dans d’autres domaines de la vie comme la géographie, la physique; …
DEROULEMENT DU COURS
I – 2) Vocabulaires:
La droite (xx’) est appelée droite graduée de repère (O; I).
A tout point de cette droite (xx’) on peut associer un unique nombre relatif appelée
abscisse de ce point.
Le point O est appelé origine du repère, son abscisse est 0.
L’abscisse du point I est + 1.
L’abscisse du point A est + 3
L’abscisse du point B est – 4
La droite (xx’) munie du repère (O; I) est appelée axe.
Tout point situé avant l’origine du repère a une abscisse negative.
Tout point situé après l’origine du repère a une abscisse positive.
I – 3) Méthode pour placer un point sur une droite graduée:
Pour placer un point M d’abscisse n sur une droite graduée munie d’un repère (O ; I), on
procéde comme suit:
Trace la droite puis place le repère (O ; I)
A l’aide du compass, je reproduis n fois le segment [OI] sur une des demi – droite selon
le signe de n.
Exemple : Place le point M d’abscisse + 2 et le point N d’abscisse – 2.
I – 4) Exercice d’application:
On considère l’axe ci- contre
II – 2) Vocabulaires
Les deux axes perpendiculaires: (xx’) munie
du repère (O; I) et (yy’) munie du repère (O;
J) constituent un repère (O; I; J) appelé repère
orthonormal.
(xx’) est l’axe des abscisses
(yy’) est l’axe des ordonnées
Le point E a donc pour abscisse + 3 et pour
ordonnée + 2. On dit que E a pour
coordonnées: E (+3; +2)
Tout point situé sur l’un de ces axes a l’une
de ses coordonnées nulles:
Situé sur l’axe (xx’), le point I a pour coordonnées : I (1; 0)
Situé sur l’axe (yy’), le point J a pour coordonnées : J (0; 1)
II – 3) Méthode pour placer un point de coordonnées connues dans un repère:
Pour placer un point M (xM; yM) dans le plan muni d’un repère orthonormal (O; I; J) procède
comme suit:
Trace le repère (O; I; J)
Trace en pointillés la parallèle à l’axe (oy)
passant par l’abscisse xM.
Trace en pointillés la parallèle à l’axe (ox)
passant par l’ordonnée yM.
Le point que tu cherches à placer est alors le
point de rencontre de ces deux droites en
pointillés. Nomme- le maintenant.
Exemple : Place dans un repère orthonormal les points A (- 3; +1) et B (-2; -3)
II – 4) Méthode pour trouver les coordonnées d’un point placé dans un repère
orthonormal:
Pour trouver les coordonnées d’un point M dans le plan muni d’un repère orthonormal (O; I; J)
procède comme suit:
Trace en pointillés la parallèle à l’axe (oy) passant par le point M. Elle coupe l’axe (ox)
en xM abscisse du point M
Trace en pointillés la parallèle à l’axe (ox) passant par le point M. Elle coupe l’axe (oy)
en yM ordonnée du point M
Les coordonnées du point M que tu cherches sont alors retrouvées, lis et nomme-les.
Exemple: Indique les coordonnées des points M et N dans le plan muni du repère orthonormal
(O; I; J). Ainsi, on a: M (+ 4; + 3) et N (- 3; + 2)
II – 5) Exercice d’application:
1. Dans un repère orthonormé, marquer les points : M (-4 ;-3) ; N (-3 ;-4) ; P (+3 ;+4) et Q
(+4 ;+3).
2. Quelle est la nature du quadrilatère MNPQ ?
CHAPITRE X
PROPORTINNALITE
DUREE: 4 HEURES
OBJECTIF GENERAL: Au terme de ce chapitre, l’apprenant devra maîtriser l’utilisation de
la proportionnalité pour résoudre des problèmes.
OBJECTIFS SPECIFIQUES: Au terme de ce chapitre, l’apprenant devra être capable de:
Restituer le vocabulaire : tableau de correspondance, tableau de proportionnalité,
coefficient de proportionnalité, taux, pourcentage, échelle, agrandissement, réduction ;
la notation %.
Reconnaître une situation de proportionnalité à partir : d'un tableau de correspondance
d'un énoncé.
Exploiter une situation de proportionnalité à partir : d'un tableau de correspondance d'un
énoncé
Compléter un tableau de proportionnalité.
PREREQUIS: Pourcentage; taux d’intérêt; échelle; les 4 opérations
SOURCES:
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: http://www.mathovore.fr, consulté le 26 / 01 / 2015 à 14 h 15 min.
Encyclopédie des connaissances actuelles en Mathématiques.
PLAN DU COURS
I° Nombres proportionnels II – 2) Définition
I – 1) Activité II – 4) Échelle:
I – 2) Tableau de proportionnalité II – 5) Exercice d’application
I – 3) Reconnaissance d’un tableau de III° Egalité du type a x … = b
proportionnalité III – 1) Activité
I – 4) Exercice d’application III – 2) Méthode de résolution
II° Pourcentage: III – 4) Exercice d’application
II – 1) Activité
INTRODUCTION (5 min)
A l’école élémentaire, tu as eu à étudier de manière intuitive des situations de proportionnalité
à travers les concepts de pourcentage; d’échelle; de taux d’intérêt.
Dans ce chapitre, il s’agira alors d’une consolidation des acquis précédents en ce plaçant dans
des situations concrètes de proportionnalité où nous tâcherons à trouver un décimal c tel que:
a×c=b
Ainsi, vous arriverez à consolider l’étude de la proportionnalité que nous vivons
quotidiennement dans nos milieux de vie.
DEROULEMENT DU COURS
I° NOMBRES PROPORTIONNELS :
I – 1) Activité
A la boutique de Yoro, 5 paquets de biscuits coûtent 250 F
1) Recopie et complete le tableau
Nombre de paquets 1 2 5 8
Prix à payer en FCFA 250
2) Explique une méthode te permettant de compléter les valeurs de la deuxième ligne.
3) Par quelle opération peut – on retrouver les valeurs de la première ligne à partir de celles
de la deuxième?
I – 2) Tableau de proportionnalité:
Un tableau de proportionnalité est un tableau dans lequel, les valeurs d’une ligne s’obtiennent
en multipliant (ou en divisant) par un même nombre les valeurs de l’autre ligne.
Exemple : chez le boulanger, les deux grandeurs sont le nombre de baguettes et le prix à
payer
II – 3) Propriété :
Appliquer un taux de pourcentage à un nombre, c’est multiplier ce nombre par le taux de
pourcentage.
𝑥 𝑥
Autrement dit : Pour Calculer le pourcentage 100 d’une valeur a, on multiplie a par 100
Exemple : Calculons la quantité de matière grasse au taux de 20% dans un pot de 125 g ?
20
On applique le taux de pourcentage : 125 x 100 = 125 x 0,2 = 25 g
Remarque :
Prendre 50% d’une quantité, c’est en prendre la moitié. (on divise par 2)
Prendre 25% d’une quantité, c’est en prendre le quart. (on divise par 4)
Prendre 10% d’une quantité, c’est en prendre le dixième. (on divise par 10)
II – 4) Exercice d’application
Parmi 450 élèves du collège, 90 élèves sont en 6iéme et 40% des élèves sont au premier cycle
central (5ième et 4ième).
1. Combien y a-t-il d’élèves
a) Au cycle central ?
b) En 3ième ?
2. 60 % des élèves du cycle central sont en 5ième. Combien y a-t-il d’élèves
a) En 5ième?
b) En 4ième ?
III° EGALITÉ DU TYPE: a 𝑿 … = b
III – 1) Activité:
La masse d’un boeuf mis en embouche augmente de 25 g par jour.
1) De combien augmente – t – il en 7 jours? 30 jours?
2) En combien de jours sa masse augmente – t – elle de 2 kg? 5 kg?
III – 2) Méthode de résolution:
Pour compléter l’égalité a X … = b où a et b sont des décimaux relatif non nuls; on divise
b par a.
II – 4) Exercice d’application
Trouve les nombres qui manquent dans les égalités suivants: 6 x … = 1, 5 ; 0, 5 x … = 50 ;
15 x … = 7, 5
IV° ÉCHELLE:
IV – 1) Activité:
1
1) Dessiner à l’échelle 80 le plan d’une terrasse rectangulaire de 66 m sur 4,20 m.
2) Fais apparaître sur le plan, au centre de cette terrasse, une table ronde de 1,60m de
diamètre.
IV – 2) Propriétés
Dans un plan fait à l’échelle, les longueur sur le plan et les longueur réelles sont
proportionnelles.
L’échelle du plan est le coefficient de proportionnalité obtenu en divisant la
longueur sur le plan par la longueur réelle.
Exemples : Sur une carte une route de 30 km est représenté par un segment de 3 cm soit à
l’échelle de 1/10
IV – 3) Exercice d’application:
Sur une carte à l’échelle de 1/25 000, la distance d sur la carte correspond à une distance D sur
le terrain.
1. Exprime d en fonction de D, puis D en fonction de d.
2. A quelle distance sur le terrain correspond une distance de 12 cm sur la carte ?
3. A quelle distance sur la carte correspond une distance sur le terrain de 1,8 km ?
La géométrie qui se constitue à l’époque des débuts de l’écriture est assez peu différente
Ainsi, pas moins ! Personne n’ignore que PLATON avait fait inscrire au fronton de
l’entrée de son Académie « Que nul n’entre ici s’il n’est géomètre », et aujourd’hui, il est
rudimentaires.
Alors, faisons sien ce cri de cœur de PLATON afin d’amener nos apprenant à comprendre
à quel point la géométrie participe à la formation de l’esprit cartésien.
CHAPITRE I
INTRODUCTION A LA GEOMETRIE
DUREE: 10 HEURES
OBJECTIF GENERAL: Au terme de ce chapitre, l’apprenant devra maîtriser l’utilisation de
l’observation de l’espace pour résoudre des situations problèmes portant sur des parties du
plan.
OBJECTIFS SPECIFIQUES : Au terme de la leçon, l’apprenant devra être capable de :
Décrire un parallélépipède rectangle, un cube par les faces, les arêtes, les sommets ; un
cylindre par la base, et la hauteur ; une sphère par le centre et le rayon, ou le diamètre
Reconnaître : un parallélépipède rectangle, un cube, un cylindre, une sphère ℕ; ℤ ;
𝔻; ℚ ; sur une droite des demi-droites opposées ; dans une figure codée le milieu d'un
segment.
Restituer le vocabulaire : point, droite, demi-droite, origine d'une demi-droite, segment,
extrémités d'un segment, points alignés, ligne polygonale, polygone ; les notations [AB]
; (AB) ; (xy) ; (D) ; (d) ; [AB) ; [Ax) ; la notation AB pour la distance entre deux points
A et B ; les propriétés de l'inégalité triangulaire.
Utiliser le vocabulaire : point, droite, demi-droite, origine d'une demi-droite, segment,
extrémités d'un segment, points alignés, ligne polygonale, polygone ; les propriétés de
l'inégalité triangulaire ; les notations [AB] ; (AB) ; (xy) ; (D) ; (d) ; [AB) ; [Ax) ; un
compas pour comparer des longueurs de segments, justifier qu'un point est le milieu
d'un segment ; la règle graduée pour : mesurer la longueur d'un segment, tracer un
segment de longueur donnée, marquer le milieu d'un segment.
Vérifier que des points sont alignés, que des droites sont sécantes.
Marquer un point, des points alignés, des points non alignés.
Tracer un segment, une droite, une demi-droite, des droites sécantes, une ligne
polygonale, un polygone.
Nommer une droite, une demi-droite, un segment, une ligne polygonale, un polygone.
Reporter les côtés d'un polygone pour mesurer son périmètre.
Coder des segments de même longueur.
Calculer le périmètre d'un polygone
PREREQUIS : lignes : droite, brisée ; courbe ; droites horizontales, verticales,
perpendiculaires ; obliques ; parallèles ; polygones réguliers, irréguliers.
SOURCES :
Loi d’orientation 91. 22 du 16 Février 1991 ; Guide d’Usage maths 6e
Manuels : Excellence ; CIAM ;
Programme de mathématiques de Février 2006
Webographie : http://www.mathadoc.sesamath.net, 21 / 12 / 2011 à 06 h 57 min.
Encyclopédie des connaissances actuelles en mathématiques :
PLAN DU COURS:
I° Observation de l'espace : II – 7) Demi –plan :
I – 1) Parallélépipède II – 8) Points alignés:
rectangle II – 9) Points non alignés:
I – 2) Le cube II – 10) Ligne polygonale
I – 3) Le cylindre : II – 11) Polygone :
INTRODUCTION (5min)
La Géométrie est la science de l'espace. A cet effet, nous nous intéresserons à la géométrie
plane c’est-à-dire celle à deux dimensions.
Ainsi du point de vue programme, l’étude de ce chapitre vous permettra d’acquérir et /ou de
consolider les premiers éléments de base de la géométrie : vocabulaire, notation, construction,
mesure afin de mieux structurer votre espace.
DEROULEMENT DU COURS
I° OBSERVATION DE L'ESPACE :
I – 1) Parallélépipède rectangle
Un parallélépipède rectangle est un polyèdre qui a
6 faces rectangulaires dont les faces opposées et
parallèles sont égaux deux à deux.
La ligne commune à deux faces est appelée arête
Un parallélépipède rectangle a 12 arêtes
Un sommet du parallélépipède rectangle est un point
commun à trois arêtes
Un parallélépipède rectangle a 8 sommets.
Exemples:
Certain objets ont habituellement une forme parallélépipédique :
Un morceau de savon
Une boîte à carton contenant un tube dentifrice
Une boîte carton contenant un portable
Une boite de craie ; …
I – 2) Le cube
Le cube est un parallélépipède rectangle qui a :
6 faces de forme carrées
12 arêtes de même longueur
8 sommets
I – 3) Le cylindre :
Un cylindre droit à deux faces qui sont des disques
superposables.
La distance qui sépare les deux faces est la hauteur du
cylindre droit.
Exemples ;
Certains puits ont habituellement la forme d’un cylindre
droit ;
Certains pots de nescafé, de gloria ou de lait ont habituellement la forme de cylindre
droit
I – 4) La sphère :
Une sphère est une surface fermée admettant un centre, un
rayon et un diamètre.
Tous les points de la sphère sont à égal distance du centre.
Exemples : Le ballon de foot ou de tennis, le globe terrestre, les billes
ont habituellement la forme sphérique.
II – 2) Le point :
Le point est représenté par une croix et une lettre majuscule.
Exemple : Le sommet d’un cube est un point.
II – 3) Plan :
Le plan est un ensemble infini de points. On le X A
note P
La figure ci-contre représente un plan (P)
Le point A appartient au plan P. On note A∈ (P)
Exemple : La face d’un cube représente une portion de plan
II – 4) Droite
a) Définition (5
Une droite est une partie du plan définie par deux points.
Le segment [AB] peut- être prolongé autant que l’on veut de chaque extrémité.
b) Droites sécantes
Deux droites qui ont un point en commun sont dits
sécantes en ce point. (xy) et (D) sont sécante au point I.
Remarque :
Par un point du plan, il ; passe une infinité de droites.
Par deux points distincts du plan, il passe une et une seule droite.
c) Droites disjointes:
Deux droites disjointes sont deux droites qui n’ont aucun
point en commun.
d) Droites confondues:
Des droites confondues passent toujours par les
mêmes points.
Les droites (AB) et (D) sont confondues.
e) Secteurs :
Deux droites sécantes partagent un plan en quatre secteurs.
II – 5) Segment:
Un segment est une partie d’une droite limité par deux points
appelés extrémités.
On le note [AB] et on lit « le segment AB » Les points A et B sont les extrémités du segment
[AB]
Exemple : L’arête d’un cube représente un segment de droite
II – 6) Demi- droite :
En prolongeant le segment [AB] du côté de l’extrémité B, on
obtient la demi- droite d’origine A noté [𝐀𝐁)
A et B appartiennent à la demi- droite [AB), on note A 𝜖 [AB), B 𝜖 [AB)
II – 7) Demi –plan :
Une droite (∆) partage un plan P en deux parties appelées demi-plan de frontière (d).
II – 8) Points alignés
Les points situés sur une même droite sont alignés
alors les points A, B et C sont alignés.
II – 11) Polygone :
Une ligne polygonale fermée est appelée polygone.
Le segment qui joint deux sommets non consécutifs
est appelé diagonale du polygone.
ABCD est un polygone, [BC] et [AD] sont les diagonales
du polygone.
Codage :
Des segments de même longueur sont marqués avec un
même signe appelé code.
Applications
IV - 3) Exercice d’application :
1) Construis un triangle équilatéral IJK de 4 cm de côté.
2) Compare IJ et JK + IK
CHAPITRE II
LE CERCLE
DUREE: 6 HEURES
OBJECTIF GENERAL: Au terme de ce chapitre, l’apprenant devra maîtriser l’utilisation
des connaissances de bases sur le cercle pour résoudre des problèmes.
OBJECTIFS SPECIFIQUES : Au terme de la leçon, l’apprenant devra être capable de :
Restituer puis utiliser: le vocabulaire : cercle, centre, rayon, diamètre, corde, arc,
périmètre, disque, point à l'intérieur, à l'extérieur d'un cercle.et les notations C (O ; r),
AB, cercles sécants, tangents, disjoints, concentriques ; la formule du périmètre du
cercle pour calculer sa valeur exacte (c'est à dire avec 𝜋) ou une de ses valeurs
approchées (avec 𝜋 ⋍ 3,14…).
Utiliser le vocabulaire : cercle, centre, rayon, diamètre, corde, arc, périmètre, disque,
point à l'intérieur, à l'extérieur d'un cercle ; cercles sécants, tangents, disjoints,
concentriques
Justifier que deux cercles sont sécants, tangents ou disjoints
Tracer un cercle connaissant son centre et son rayon, ou un de ses diamètres ou son
centre et un de ses points.
PREREQUIS: Cercle et vocabulaire élémentaire relative au cercle
SOURCES:
Loi d’orientation 91. 22 du 16 Février 1991 ; Guide d’Usage de Maths 6e
Manuels : Excellence 6e ; CIAM ;
Programme de mathématiques de Février 2006
Webographie : http://www.educastream.com, consulté le 044/ 08/ 2019 à 18 h 10 min.
Encyclopédie des connaissances actuelles en Mathématiques
PLAN DU COURS
I° Notion de cercle : II° Intersection de deux cercles :
I° - 1) Vocabulaire et Définition II° - 1) cercles sécants,
I° - 2) Intérieur d'un cercle, extérieur d'un cercle II° - 2) cercles tangents,
II° - 3) cercles disjoints
INTRODUCTION (5min)
Du point de vue programme, l’étude de la notion de cercle n’est pas tout à fait nouvelle. Elle
l’a été depuis l’école élémentaire où vous aviez résolu des problèmes liés au cercle.
En 6ème, il s’agira d'approfondir la notion de cercle et de vous entraîner à la manipulation
d'intersection de cercles pour comprendre et effectuer des programmes de constructions
géométriques avec la règle et le compas.
Toutefois, une notion comme celle de rayon (ou de diamètre) représentera un segment ou la
mesure d'un segment ; un diamètre pourra désigner un segment de droite ou sa mesure. Le sens
à retenir dépendra du contexte
Dès lors, du point de vue intérêt, nous veillerons à prendre en charge des problèmes portant sur
des situations de la vie courantes.
DEROULEMENT DU COURS
I° NOTION DE CERCLE : VOCABULAIRE ET DEFINITION :
I - 1) Activité :
1) Trace un segment [AB] de longueur 5cm.
2) Place le point O milieu du segment [AB]
3) Trace le cercle de centre O passant par le point A.
4) Place les points M ; D et E tel que OM = 2,5 cm ; OD = 4 cm et OE = 2 cm
5) Situe les points A ; B ; M ; D et E par rapport au cercle
6) Comment appelle-t-on [OA] pour le cercle? [AB] pour le cercle ? [AM] pour le cercle ?
Remarque :
Soit [AB] un diamètre du cercle C (O ; r)
Arc de cercle :
Les parties du cercle (C) délimitées par les points A et B sont appelées arcs du cercle.
̂ est appelé arc mineur.
- l’arc qui a la plus petite longueur notée 𝐴𝐵
I° - 4) Propriétés :
Un cercle est entièrement déterminé soit par la donnée :
de son centre et de son rayon.
de son centre et d’un de ses points.
d’un diamètre [AB].
Il existe une infinité de cercles passant par deux points distincts A et B du plan.
I - 5) Notion de disque
Définition : Soit un cercle C (O ; r).
Le disque de centre O et de rayon r est l’ensemble des points M du plan tels que : OM ≤ r.
Aire d’un disque :
L’aire d’un disque de rayon r est égale 𝝅r²
I - 6) Exercice d’application :
1. Un cercle a un périmètre de 15 cm.
Calculer le rayon et le diamètre de ce cercle si 𝜋 = 3.
2. Un disque a une aire de 75 m2.
Calculer le rayon et le diamètre correspondant à ce disque si 𝜋 =3.
II° POSITIONS RELATIVES DE DEUX CERCLES :
II - 1) Activités :
1) Trace deux cercles distincts qui ont deux points en commun. Quelle est leur position
relative ?
2) Trace deux autres cercles qui n’ont aucun point en commun. Quelle est leur position
relative ?
3) Trace deux autres cercles qui ont un seul point en commun. Quelle est leur position
relative ?
Remarque :
Deux cercles ayant le même centre et Deux cercles disjoints ayant le même
le même rayon sont dits cercles centre sont dits cercles concentriques.
confondus.
II – 5) Exercice d’application :
1) Un cercle a un périmètre de 15 cm. Calculer le rayon et le diamètre de ce cercle si 𝜋 = 3.
2) Un disque a une aire de 75 m2. Calculer le rayon et le diamètre correspondant à ce disque si 𝜋
=3.
CHAPITRE III
DROITES PERPENDICULAIRES ET
DROITES PARALLELES
DUREE : 8 HEURES
OBJECTIF GENERAL : Au terme de ce chapitre, l’apprenant devra maîtriser l’utilisation des
propriétés de droites perpendiculaires et de droites parallèles pour résoudre des problèmes.
OBJECTIFS SPECIFIQUES : Au terme de ce chapitre, l’apprenant devra être capable de :
Construire avec la règle et l’équerre, avec la règle et le compas la droite perpendiculaire à
une droite donnée, passant par un point donné ; la médiatrice d'un segment ; la droite
parallèle à une droite donnée passant par un point donné : à la règle graduée et à
l'équerre ou à la règle et au compas ;
Vérifier à l'aide de la règle et de l'équerre que deux droites sont perpendiculaires.
Coder des droites perpendiculaires.
Restitue et utiliser : deux droites perpendiculaires dans des configurations géométriques ;
la notation ; la définition de la médiatrice d'un segment ; dans une figure codée la
médiatrice d'un segment.
Vérifier à l'aide de la règle et de l'équerre que deux droites sont parallèles.
Restituer et utiliser la notation // ; les propriétés du parallélisme et restituer deux droites
parallèles dans des configurations géométriques
PREREQUIS : Introduction à la géométrie ;
SOURCES :
Loi d’orientation 91. 22 du 16 Février 1991 ; Guide d’Usage de Maths 6e
Manuels : Excellence ; CIAM ;
Programme de mathématiques de Février 2006
Webographie : http://www.mathovore.fr, consulté le 17/ 01/ 2015 à 21 h 30 min.
: http://www.mathsvidéos.comm, consulté le 17/ 01/ 2015 à 21 h 30 min.
Encyclopédie des connaissances actuelles en Mathématiques
PLAN DU COURS
I° Droites perpendiculaires II° - 2) Définition :
I° - 1) Présentation, notation, codage II° - 3) Propriétés :
I° - 2) Construction de droite perpendiculaire à II° - 4) Exercice d’application :
une droite passant par un point donné III° Droites parallèles
I° - 3) Propriété : III° - 1) Activité
I° - 4) Exercice d’application III° - 2) Définition et Notation:
II° Médiatrice d'un segment [AB] III° - 3) Propriétés :
II° - 1) Activité : III° - 4) Exercice d’application :
INTRODUCTION (5min)
Du point de vue programme, vous aviez commencé depuis l’Ecole Elémentaire, à étudier la
notion de droites perpendiculaires et de droites parallèles.
En 6ème, ce chapitre vous permettra de consolider vos acquis et d’enrichir votre :
savoir (Vocabulaire et Propriétés) ;
savoir-faire (utilisation d’instrument géométriques pour faire des constructions, ainsi que
l’utilisation des propriétés pour des justifications)
Ceci étant, j’invite chacun de vous à accorder une importance particulière à ce cours.
DEROULEMENT D COURS
I° DROITES PERPENDICULAIRES :
I - 1) Présentation, notation, codage :
I - 1 – a) Présentation
Par un double pliage ou à l’aide de l’équerre, on fabrique des
droites perpendiculaires.
I - 1 – b) Notation :
Soit (D) et (D’) deux droites perpendiculaires.
On note : (D) ⊥ (D’). On lit (D) est perpendiculaire à (D’).
I - 2) Construction de droite perpendiculaire à une droite passant par un point donné
A l’aide de la règle et de l’équerre :
Pour construire deux droites perpendiculaires avec la
règle et l’équerre procéde comme suit :
Place l’équerre et trace bien l’angle droit
Utilise la règle pour prolonger de part et d’autre
chacune des demi-droites formant l’angle droit
Tu obtiens ainsi deux droite perpendiculaires.
A l’aide de la règle et du compas :
Pour construire deux droites perpendiculaires avec la règle et le compas procéde comme
suit :
Trace avec la règle la première droite (D)
Marque sur la droite (D) deux points
distincts A et B
Trace des arcs de cercles sur chaque demi-
plan de frontière (D), de centre A puis B
de même rayon r tel que
𝐴𝐵
r> 2
Trace la droite (D’) passant par
l’intersection des arcs de cercles. Elle
coupe (D) en angle droit.
Ainsi tu as (D) ⊥ (D’)
I - 3) Propriété :
Par un point du plan, il passe qu’une perpendiculaire à
une droite donnée.
I - 4) Exercice d’application :
1. Marque trois points A, B et H distincts du plan
2. Combien de droites peut-on tracer passant par H et perpendiculaire à (AB) ? Faire la figure.
II° MEDIATRICE D'UN SEGMENT [AB] :
II - 1) Activité :
1) Construire un segment[AB].
2) Construire le point I milieu du segment [AB] avec le compas.
3) Tracer la droite (∆) perpendiculaire à la droite (AB) support du segment [AB] passant
par I.
II - 3) Propriétés :
Tout point de la médiatrice d'un
segment [AB] est à égale distance
de A et B.
Si (D) est la médiatrice de [AB] et M ∈ (D)
alors AM = MB.
Tout point situé à égale distance de
A et B appartient à la médiatrice de
[AB]
Si AM = MB et si (D) est la médiatrice de
[AB] alors M ∈ (D).
II - 3) Exercice d’application :
1. Donner la définition de la médiatrice d’un segment.
2. a) Construire un segment [AB] tel que : AB= 6cm.
b) Construire avec la règle graduée et l’équerre la droite (d) médiatrice du segment [AB].
3. a) Construire un segment [MN] tel que : MN= 5,1cm.
b) Construire avec le compas et la règle la droite (d’) médiatrice du segment [MN].
Définition :
Deux droites sont parallèles lorsqu'elles sont
perpendiculaires à une même droite.
Notation :
Soit (d1) et (d2) deux droite parallèles. On note : (d1) // (d2)
III - 3) Propriétés :
Par un point du plan, il passe une et une seule droite parallèle à une droite donnée.
(AXIOME D’EUCLIDE)
Deux droites parallèles à une même troisième sont parallèles entre elles.
Lorsque deux droites sont parallèles, toute droite sécante à l'une est sécante à l'autre.
Cas particulier :
Lorsque deux droites sont parallèles, toute droite perpendiculaire à l'une est
perpendiculaire à l'autre.
CHAPITRE IV
SYMETRIE ORTHOGONALE PAR RAPPORT
A UNE DROITE DONNEE
DUREE: 8 HEURES
OBJECTIF GENERAL: Au terme de ce chapitre, l’apprenant devra maîtriser l’utilisation des
propriétés de la symétrie orthogonale par rapport à une droite donnée pour résoudre des
problèmes.
OBJECTIFS SPECIFIQUES : Au terme de la leçon, l’apprenant devra être capable de :
Restituer : deux figures symétriques par rapport à une droite ; dans une figure codée deux
points symétriques par rapport à une droite donnée ; qu'une droite donnée est un axe de
symétrie d'une figure.
Construire le symétrique d'un point par rapport à une droite donnée à l'aide :
- de la règle et de l'équerre
- du compas
Construire : le symétrique d'un segment, d'une droite, d'une demi-droite, d'un cercle ; quand
il existe, un axe de symétrie d'une figure simple.
Utiliser les propriétés de l'axe de symétrie pour des constructions ; pour justifier que deux
segments ont même longueur, un point est milieu d'un segment, des points sont alignés.
PREREQUIS : Notion de point ; droite et droites perpendiculaires ; cercle ; distance ;
médiatrice ; milieu ; points alignés
SOURCES
Loi d’orientation 91. 22 du 16 Février 1991 ; Guide d’Usage de Maths 6e
Manuels : CIAM 6e ; Excellence 6e
Programme de mathématiques 6e de Février 2006
Webographie : http://www.maths-videos.com, consulté le 26/ 01/ 2015 à 14 h 13 min.
: http://www.maths-et-tiques.fr, consulté le 26/ 01/ 2015 à 12 h 10 min.
Encyclopédie des connaissances actuelles en Mathématiques
PLAN DU COURS
I° Points symétriques par rapport à une II° - 4) Symétrique d’une demi- droite
droite : II° - 5) Symétrique d’un cercle
I° - 1) Activité : II – 6) Exercice d’application :
I° - 2) Définition : III° Axe(s) de symétrie d'une figure :
I° - 3) Vocabulaire : III° - 1) Activité :
I° - 4) Construction : III° - 2) Définition :
II° Symétrique d'une figure simple : III° - 3) Axe de symétrie d’un segment :
II° - 1) Activité : III° - 4) Axe de symétrie d’une droite :
II° - 2) Symétrique d’une droite III° - 5) Axe de symétrie d’un cercle :
II° - 3) Symétrique d’un segment : III° - 6) Exercice d’application :
INTRODUCTION (5 min)
Du point de vue programme, le concept de SYMETRIE AXIALE est tout à fait nouveau pour
vous. Toutefois, ce chapitre est un point fort de la géométrie.
Ainsi, son étude sera essentiellement expérimentale car reposant sur la manipulation. En
termes d’intérêt, il nous permettra de comprendre la notion de figures symétriques. D’ailleurs,
à y voir de près, les figures symétriques sont aujourd’hui très utilisées dans l’art décoratif, dans
la physique (en optique) ; dans la tapisserie ; la couture ;…
DEROULEMENT DU COURS
I° POINTS SYMETRIQUES PAR RAPPORT A UNE DROITE :
I - 1) Activité :
1) Tracer une droite (D) sur une feuille simple
2) Plier la feuille sur cette ligne (D)
3) Percer la feuille. Appelle A et A’ les points obtenus
4) Tracer la droite (AA’) puis en déduire la position relative de (D) et (AA’)
5) Que représente la droite (D) pour le segment [𝐴𝐴′] ?
I - 2) Définition :
Deux points M et M’ son symétriques par rapport à une droite (D) du plan, signifie que
(D) est la médiatrice du segment [𝑴𝑴′].
Tout point de la médiatrice (D) est son propre
symétrique par rapport à (D).
Configuration :
I - 3) Vocabulaire :
Si M et M’ sont symétriques par rapport à une droite (D), on dit aussi :
M’ est le symétrique de M par rapport à (D) ou encore
M est le symétrique de M’ par rapport à (D).
I - 4) Construction :
A la règle et à l’équerre :
Pour construire le symétrique d’un point A par rapport ç une droite (D) avec la règle et
l’équerre :
Trace la droite (D) puis marque le point A
hors de de la droite.
Trace la perpendiculaire à (D) passant par
A. Elle coupe (D) en un point I
Place le point A’ tel que le point I soit le
milieu du segment [𝐴𝐴′]
Le point A’ est le symétrique de A par rapport à la droite (D). On note : S(D) (A) = A’.
A la règle et au compas :
Pour construire le symétrique d’un point A par rapport à une droite (D) avec la règle et le
compas :
Trace la droite (D) puis
marque le point A hors de de
la droite.
Avec le même écartement du
compas place sur (D) les
points B et C équidistant de A
Sans changer l’écartement du
compas trace deux arcs de
cercles de centre B et C dans
le demi-plan ne contenant pas
le point A.
Leur point d’intersection est le point A’ symétrique du point A par rapport à (D)
On note : S (D) (A) = A’
II° SYMETRIQUE D'UNE FIGURE SIMPLE :
II - 1) Activité :
1) Tracer deux droites (D) et (∆) distinctes du plans.
2) Marque sur (D) deux points distincts A et B.
3) Construire les points A’ et B’ symétriques respectifs de A et B par rapport à (∆)
4) Quel est le symétrique du segment [𝐴𝐵] ; De la demi – droite [𝐴𝐵) ?
5) Tracer un cercle (C) de centre O et de rayon OA puis une droite (D’) disjointe de (C).
6) Construire le symétrique (C’) du cercle (C) par rapport à (D’).
Le symétrique d’un segment par rapport à une droite (D) est un segment
Propriétés :
Deux segments symétriques par rapport à une
droite ont même longueur.
La symétrie orthogonale conserve la
distance. AB = A’B’
Le symétrique du milieu d'un segment est le milieu du segment symétrique.
Exemple : les segments [𝐴𝐵] 𝑒𝑡 [𝐴′𝐵′] sont symétriques par rapport à (D).
Exemple :
[𝐴𝐵) et [𝐴′𝐵′) sont symétriques par rapport à
(D).
II - 6) Exercice d’application :
1. Construire un segment [MN] oblique tel que : MN=5cm ; I milieu de [MN].
2. Construire une droite (d) extérieur de (MN).
3. Construire les points M’ et N’ symétrique respectifs de M et N par rapport à (d).
4. a) Quel est le symétrique de I par rapport à (d) ? Justifier la réponse.
b) Quelle est la longueur du segment [MN] ? Justifier la réponse.
2) Procéder par pliage pour faire découvrir l’axe de symétrie de ces figures. On pourra se
servir du compas pour percer.
III - 2) Définition :
Une figure F admet un axe de symétrie (d) lorsque la figure F par rapport à (d) est la
figure elle-même. Elle se superpose à elle-même par pliage selon la droite (d).
III - 3) Axe de symétrie d’un segment :
Un segment admet toujours un axe de symétrie. C’est sa
médiatrice.
CHAPITRE V
LES ANGLES
DUREE : 8 HEURES
OBJECTIF GENERAL : Au terme de ce chapitre, l’apprenant devra maîtriser l’utilisation des
propriétés relatives aux angles pour résoudre des problèmes.
OBJECTIFS SPECIFIQUES : Au terme de la leçon, l’apprenant devra être capable de :
Réutiliser le vocabulaire : angle, sommet, côtés, angles adjacents ; angle droit, angle aigu,
angle obtus, angle plat, degré, grade, bissectrice, angles complémentaires, angles
supplémentaires et les notations : ̂
𝐴𝐵𝐶 ; ̂𝐵 ; (°) ; gr ; la configuration et tracer des angles
adjacents, un angle aigu, un angle droit, un angle obtus, un angle plat.
Utiliser : le vocabulaire « angle droit, angle aigu, angle obtus, angle plat, degré, grade,
bissectrice, angles complémentaires, angles supplémentaires. » ; le rapporteur pour mesurer
un angle en degré, en grades.
Déterminer la mesure d'un angle complémentaire à un angle donné.
Calculer la mesure d'un angle supplémentaire à un angle donné
Construire un angle de mesure donnée avec la règle et le rapporteur.
Reproduire un angle à l'aide de la règle et du rapporteur ou de la règle et du compas.
Construire la bissectrice d'un angle à l'aide de la règle et du rapporteur ou de la règle et du
compas.
Réutiliser la formule de correspondance degré grade pour faire des concertions ; la propriété
relative au symétrique d'un angle ; la propriété de conservation d'un angle..
Construire le symétrique d'un angle.
PREREQUIS : droites perpendiculaires ; distance ; médiatrice ; milieu ; points alignés ; demi
droites
SOURCES
Loi d’orientation 91. 22 du 16 Février 1991 ; Guide d’Usage de Maths 6e
Manuels : CIAM 6e ; Excellence 6e
Programme de mathématiques 6e
Webographie : http://www.maths-videos.com, consulté le 26/ 01/ 2015 à 14 h 13 min
: http://www.maths-et-tiques.fr, consulté le 26/ 01/ 2015 à 12 h 10 min
Encyclopédie des connaissances actuelles en Mathématiques
PLAN DU COURS
I° notion d’angle : II – 5) angles complémentaires :
I – 1) Activité : II – 6) angles supplémentaires :
I – 2) Définition : II – 7) Exercice d’application :
I – 3) Vocabulaire : III° - Symétrique d'un angle par rapport à
I – 4) Exercice d’application : une droite
II° Mesure d'angle : III – 1) Activité
II – 1) rapporteur unités : degré, grade : III – 2) Définition
II – 2) angles superposables : III – 4) Méthode de construction
II – 3) Bissectrice d’un angle III – 5) Propriété
II – 4) Angles particuliers : III – 6) Exercice d’application
INTRODUCTION (5min)
Du point de vue programme, vous vous êtes déjà familiarisés avec la notion d’angle depuis
l’élémentaire.
En 6e, nous mettrons l’accent sur la mesure des angles. Donc sur l’utilisation du matériel
géométrique par les élèves.
Ainsi, Il faudra vous entraîner à utiliser un rapporteur et nous utiliserons la même notation
pour l'angle et sa mesure. Un autre accent sera mis sur la notion de la bissectrice qui peut
désigner une droite, une demi-droite, un segment.
Enfin, pour matérialiser l’utilité de ce chapitre dans la vie courante nous veillerons à prendre
en charge des problèmes portant sur des situations de la vie courantes.
DEROULEMENT DU COURS
I° NOTION D’ANGLE :
I - 1) Activité :
1) Tracer deux droites (AB) et (AC) puis en déduire leur position relative.
2) Ces droites partagent le plan en combien de parties ? Colorie-les par des couleurs
différentes.
3) Comment appelle – t- on chacun des secteurs ?
I - 2) Notion d’angle:
Deux droites sécantes partagent un plan en quatre angles.
I - 3) Vocabulaire :
a) Angle :
L’angle délimité par les deux demi – droites [𝑂𝐴) et [𝑂𝐵) a
pour :
Sommet : le point O
Côtés : les demi – droites [𝑂𝐴) et [𝑂𝐵)
̂ ou BOA
On le note : AOB ̂
b) Angle adjacents
Deux angles sont dits adjacents s’ils :
Ont le même sommet ;
Ont un côté commun ;
Sont situés de part et d’autre de ce côté commun.
̂ et BOC
Les angles AOB ̂ sont adjacents.
̂ ou AOC
Attention !!! Les angles AOB ̂ ne sont pas adjacents car ils ne sont pas situés de part
et d’autre de leur côtés commun
I - 4) Exercice d’application :
̂ et CSR
1) Construis deux angles adjacents TSC ̂.
̂ et TSR
2) Les angles TSC ̂ sont-ils adjacents ? Justifie ta réponse.
II - 2) Angles superposables
Deux angles ayant même mesure sont
superposables.
Exemple :
̂ et Â
Les angles AOB ′ OB ′ sont superposable car ils
II - 5) Angles complémentaires :
1) Définition :
Deux angles sont complémentaires si leur somme fait 90°.
2) Exemples et configuration :
II - 6) Angles supplémentaires
1) Définition :
Deux angles sont supplémentaires si leur somme fait 180°.
2) Exemples et configuration :
CHAPITRE VI
LES POLYGONES
DUREE : 12 HEURES
OBJECTIF GENERAL : Au terme ce chapitre, l’apprenant devra maîtriser l’utilisation des
propriétés des différents polygones pour résoudre des problèmes.
OBJECTIFS SPECIFIQUES : Au terme de ce chapitre, l’apprenant devra être capable de :
Restituer dans un triangle les sommets, les côtés, les angles ; une hauteur, une médiane,
une bissectrice, une médiatrice.
Construire un triangle connaissant trois côtés, un angle et ses deux côtés, un côté et ses
deux angles adjacents.
Construire : dans un triangle à la règle et à l’équerre ou à la règle et au compas : une
hauteur, une médiatrice ; l’axe de symétrie d’un triangle isocèle ou les axes de symétrie
d’un triangle équilatéral ; dans un triangle une médiane, une bissectrice.
Utiliser : « un compas et une règle pour construire un triangle isocèle, un triangle
équilatéral ; pour restituer et construire un triangle isocèle, un triangle équilatéral » ;
« compas et une équerre pour restituer et construire un triangle rectangle, un triangle
rectangle isocèle »
Restituer le vocabulaire et la configuration d’un trapèze, d’un parallélogramme, d’un
rectangle d’un losange, d’un carré, d’un trapèze rectangle, et d’un trapèze isocèle.
Construire un parallélogramme et un trapèze ; un rectangle, un losange, un carré. à l’aide
de la règle et de l’équerre.
Restituer les axes de symétrie d’un rectangle, d’un losange, d’un carré et d’un trapèze
isocèle.
Restituer le vocabulaire et la configuration d’un hexagone et d’un pentagone réguliers.
Construire un hexagone et un pentagone réguliers
PREREQUIS : Notion : de point ; d’angle ; de sommet ; de polygone ; segment. Droites
perpendiculaire milieu d’un segment
SOURCES :
Loi d’orientation 91. 22 du 16 Février 1991 ; Guide d’Usage de Maths 6e
Manuels : CIAM 6e ; Excellence 6e
Programme de mathématiques 6e
Webographie : http://www.maths-videos.com, consulté le 14 / 04 / 2016 à 16 h 34 min
Encyclopédie des connaissances actuelles en Mathématiques
PLAN DU COURS
I° Triangles III – 1) Axe de symétrie du triangle
I – 1) Activité isocèle,
I – 2) Généralités : III – 2) Axe de symétrie du triangle
I – 3) Méthode de construction d'un triangle équilatéral.
a) Connaissant trois côtés III – 3) Exercice d’application
b) Connaissant deux côtés et un angle IV° Quadrilatères
c) Connaissant un côté et deux angles IV – 1) Activité
I – 4) Exercice d’application : IV – 2) Définition
II° Droites remarquables dans un triangle : IV – 3) Exemple et Vocabulaires
II – 1) Activité IV – 4) Quadrilatères particuliers:
II – 2) Hauteur d’un triangle IV – 4 – 1) Trapèze
I – 2) Généralités :.
Un triangle est un polygone qui a trois côtés.
La figure ci – contre est un triangle. On le note : ABC ou
BCA ou CAB
Les points A ; B et C sont ces trois sommets
̂ est un angle du triangle
𝐴𝐵𝐶
̂
[𝐴𝐶] est le côté opposé à l’angle 𝐴𝐵𝐶
̂
Les côtés [𝐀𝐁] et [𝐁𝐂] sont les côtés adjacents à l’angle 𝐴𝐵𝐶
I – 3) Méthode de construction d'un triangle
a) Connaissant trois côtés
Soit à construire le triangle ABC tel que AB = 2 cm ; AC =
4 cm et BC = 5 cm
Trace le segment [𝐵𝐶]
Trace un arc de cercle de centre B et de rayon 2 cm
Trace un arc de cercle de centre C et de rayon 4 cm
Les deux arcs de cercles se coupent en A
Déductogramme
(AH) ⊥ (BC) et A un sommet du triangle ABC
Déductogramme
̂
ABC est un triangle ; (D) bissectrice de 𝑨𝑩𝑪
II – 7) Exercice d’application
1. Construire un triangle ABC rectangle en A ainsi que sa médiane passant par A, tel que: AB
= 4cm et AC = 5cm.
2. Construire un triangle IJK isocèle en K ainsi que la hauteur issue de K, tel que: IJ = 4cm et
KJ = 6cm
3. Construire un triangle équilatéral MNP ainsi que ses trois médiatrices, tel que: MP = 5cm.
III° AXES DE SYMETRIE :
III – 1) Axe de symétrie du triangle isocèle,
Dans un triangle isocèle l’axe de symétrie est la droite passant par
le sommet principal et perpendiculaire au côté opposé.
Remarque :
Remarque :
IV° QUADRILATERES :
IV – 1) Activité
1) Marque trois points A ; B et C non alignés
2) Dans le demi –plan de frontière (AB) contenant C place un point D puis trace le
polygone ABCD.
3) Caractérise le polygone ABCD.
4) Nomme : deux sommet consécutifs ; deux sommets opposés ; deux côtés opposés ; deux
côtés consécutifs ; deux angles opposés ; deux angles consécutifs.
5) Trace puis nomme ses diagonales.
IV – 2) Définition :
Un quadrilatère est un polygone qui a quatre côtés.
Un quadrilatère a 4 sommets ; 4 angles et 2 diagonales.
IV – 3) Exemple et Vocabulaire
A, B, C et D sont des sommets,
A et C sont deux sommets opposés
A et B sont deux sommets consécutifs,
[𝐴𝐵] et [𝐷𝐶] sont deux côtés, opposés
[𝐴𝐵] et [𝐵𝐶] sont deux côtés
consécutifs,
̂ et 𝐶𝐷𝐴
𝐴𝐵𝐶 ̂ sont deux angles opposés,
̂ et 𝐵𝐶𝐷
𝐴𝐵𝐶 ̂ sont deux angles consécutifs
[𝐴𝐶] et [𝐵𝐷] sont les deux, diagonales.
Le quadrilatère est noté ABCD ou BCDA ou CDAB ou DABC
IV – 4) Quadrilatères particuliers:
IV – 4 – 1) Trapèze
a) Définition :
Un trapèze est un quadrilatère non croisé dont deux
côtés sont parallèles et deux cotés non parallèles.
b) Trapèzes particuliers
Trapèze rectangle,
Un trapèze rectangle est un trapèze qui a un angle droit.
IV – 4 – 2) Parallélogramme
Définition :
Le parallélogramme est un quadrilatère dont les côtés sont parallèles deux à deux.
Les côtés opposés d’un parallélogramme ont la même longueur.
IV – 4 – 3) Rectangle
Un rectangle est un quadrilatère qui a ses côtés opposés
parallèles de même longueur et ses quatre angles droits.
Un rectangle admet deux axes de symétrie perpendiculaires. Ce
sont les médiatrices de deux côtés consécutifs du rectangle.
IV – 4 – 4) losange et ses axes de symétrie
Un losange est un quadrilatère qui a ses côtés opposés parallèles
et ses quatre côtés de même longueur.
Un losange admet deux axes de symétrie perpendiculaires qui
sont ses diagonales.
IV – 3 – 5) carré et ses axes de symétrie.
Le carré est un quadrilatère qui a ses côtés opposés parallèles ;
ses quatre côtés de même longueur et ses quatre angles droits.
Un carré admet quatre axes de symétrie : les médiatrices de deux
côtés consécutifs et les diagonales.
IV – 4 – 5) Exercice d’application :
1) Construire un trapèze isocèle MNPQ connaissant les bases : MN= 4,5cm ; PQ= 8,5cm et Le
côté oblique mesure 4cm.
2) Les perpendiculaires à (PQ) passant respectivement par M en N la coupent respectivement
en H et K
3) Quelle est la nature des quadrilatères MNQH et MNKH ? Justifie.
V° PENTAGONE ET HEXAGONE REGULIERS :
V – 1) Activité
V – 3) Exercice d’application
1. Construire un cercle (C) de centre O et de rayon 3cm, [AB] et [CD] deux diamètres
perpendiculaires.
2. Le cercle de centre I de diamètre [OA] coupe (ID) en J et K ; J ∈ [DI]).
3. Le cercle de centre D passant par J coupe (C) en F et E.
4. Le cercle de centre D passant par K coupe (C) en G et H.
5. Vérifier que E, F, G, C, H sont les sommets d’un pentagone régulier.
CHAPITRE VII
LES AIRES
DUREE : 4 HEURES
OBJECTIF GENERAL : Au terme de ce chapitre, l’apprenant devra maîtriser l’utilisation
des formules d’aire pour résoudre des problèmes.
OBJECTIFS SPECIFIQUES : Au terme de ce chapitre, l’apprenant devra être capable de :
Calculer l’aire des figures usuelles : carré, rectangle, triangle, trapèze, disque.
Calculer une dimension dans une figure connaissant l’aire de celle-ci et éventuellement
une autre dimension.
Restituer et utiliser la propriété sur les aires de figures superposables.
Calculer une aire dans un pavé droit, dans un cube, dans un cylindre droit.
PREREQUIS : Introduction à la géométrie ; Polygone ; calcul d’aire
SOURCES :
Loi d’orientation 91. 22 du 16 Février 1991 ; Guide d’Usage de Maths 6e
Manuels : CIAM 6e ; Excellence 6e
Programme de mathématiques 6e
Webographie : http://www.maths-videos.com, consulté le 28 / 07/ 2019 à 20 h O4 min.
: http://www.maths-et-tiques.fr, consulté le 28 / 07/ 2019 à 19 h O4 min.
Encyclopédie des connaissances actuelles en Mathématiques
PLAN DU COURS
I° Surface, aire et unités d'aire. II° Calcul d’aire
I – 1) Activité II – 1) Rappel des formules des figures
I – 2) Définition II – 2) Aire de surfaces superposables.
I – 3) Unités d’aire II – 3) Exemples
INTRODUCTION (5min)
A l’école élémentaire vous aviez eu à résoudre des problèmes liés tantôt au calcule de
« surface » tantôt au calcul « d’aire ». Ce fut deux concepts qui n’ont pas connus de réelles
distinctions mathématiques.
En 6e, la distinction mathématique de ces deux concepts sera nette et leur étude sera
approfondie.
Toutefois, vous serez entraîné à évaluer le plus exactement possible l'aire d'une surface,
éventuellement avec une unité non usuelle.
Dès lors, vous ferez des applications pratiques sur des valeurs exactes et des valeurs
approchées.
A l'occasion de l'étude de surfaces superposables, nous traiterons l'aire de figures symétriques
par rapport à une droite.
DEROULEMENT DU COURS
I° SURFACE, AIRE ET UNITES D'AIRE :
I – 1) Activité :
Sur la figure quadrillée ci-contre, la partie coloriée représente la surface. Chaque carreau est
identique à celui représentant l’unité de mesure.
Quelle est l’aire de la figure ?
I – 2) Définitions :
La surface d’une figure est la partie qui se
trouve à l’intérieur de la figure.
L’aire d’une figure est la mesure de la
surface délimitée par cette figure.
I – 3) Unité d’aire :
L’unité d’aire utilisée est un carré.
L’unité d’aire officielle utilisée pour faciliter les échanges commerciaux et scientifiques
(système international) est le mètre carré. On le note m2.
Il existe d’autres unités d’aire que nous consignons dans le tableau de conversion ci-
contre.
Exemples : 1 km2 = 1 000 000 m2 ; 6 m2 = 0, 0006 hm2 ; 45, 07 m2 = 4507 dm2
km2 hm2 dam2 m2 dm2 cm2 mm2
1 0 0 0 0 0 0
0, 0 0 0 6
4 5, 0 7
En agriculture, on utilise des unités agraires tels que : l’are (a) et l’hectare (ha) : 1 a =
100m² et 1 ha = 10 a = 1000 m²
II° CALCUL D’AIRE :
II – 1) Formules des figures :
Figure géométrique Formule de calcul Exemple
Carré C = 3 cm
A= 3 cm x3 cm
Aire = côté x côté = C x C = C² A = 9 cm²
Rectangle L = 3 cm et l
Aire = Longueur x largeur = L x l = 2 cm
A=Lxl
A = 3cm x2cm
A = 6 cm²
Parallélogramme h = 2 cm et B = 4
Aire = Base x hauteur = B x h cm
A =Bxh
A = 4cm x 2 cm = 8 cm²
Triangle h = 2 cm et
B = 3 cm
𝐁ase X 𝐡auteur 𝐁X𝐡 𝐁X𝐡
Aire = = 2 A= 2
2
𝟑X𝟐
A= = 3 cm²
2
Trapèze b = 2 cm ;
grande Base+petite base
Aire = x hauteur B = 4 cm et
2
Aire =
𝐡 (𝐁+𝐛) h = 2 cm
𝟐 b+B
A= 2 xh
2+4
A = 2 x 2 = 6 cm²
Disque r = 3 cm
A = 𝜋r²
Aire = 𝜋 x rayon x rayon = 𝜋r² A = 3² 𝜋 et si 𝜋
= 3, 14
A = 3,14 x 3²
A = 28,26 cm²
Losange D=6
cm et d
Aire = = 4 cm
𝐠rande 𝐃iagonale X 𝐩etite 𝐝iagonale
2 𝐃X𝐝
𝐃X𝐝 A=
A= 2
2 𝟔X𝟒
A= = 12 cm²
2
Remarque :
Dans un triangle rectangle l’un des côtés de l’angle droit est considéré comme base et l’autre
comme hauteur.
𝐁ase X 𝐡auteur 𝐁 X 𝐡
Ainsi l’aire d’un triangle rectangle est : Aire = =
2 2
Exemple : base = 4 cm et hauteur = 2 cm
𝐁X𝐡
A= 2
𝟒X𝟐
A= = 4 cm²
2
CHAPITRE VIII
DUREE : 10 HEURES
OBJECTIF GENERAL : Au terme de ce chapitre, l’apprenant devra maîtriser la capacité de
développer sa perception spatiale et renforcer ses connaissances de calcul de volume et d’aire
pour résoudre des problèmes.
OBJECTIFS SPECIFIQUES : Au terme de ce chapitre, l’apprenant devra être capable de :
Restituer des droites perpendiculaires dans l’espace.
Construire et restituer le patron d’un parallélépipède rectangle.
Calculer l’aire latérale ou totale du pavé droit, d’un cube ; l’aire latérale ou totale d’un
cylindre droit.
Restituer et utiliser les formules de calcul du volume du pavé droit.
Restituer les représentations planes de parallélépipèdes rectangles ; les formules de
calcul du volume d’un cylindre droit.
Utiliser les formules pour calculer le volume.
PREREQUIS : position relative de droites dans le plan ; connaissances élémentaires des
solides de l’espace
SOURCES :
Loi d’orientation 91. 22 du 16 Février 1991 ; Guide d’Usage de Maths 6e
Manuels : CIAM 6e ; Excellence 6e
Programme de mathématiques 6e
Webographie : http://www.mathovore.fr, consulté le 20/ 01/ 2015 à 8 h 31min
: http://www.maths-et-tiques.fr, consulté le 20/ 01/ 2015 à 10 h 30 min
Encyclopédie des connaissances actuelles en Mathématiques
PLAN DU COURS
I° Représentation plane d’un solide II° Droites perpendiculaires dans l’espace
I – 1) Activité II – 1) Activité
I – 2) Pavé droit II – 2) Définition
I – 3) Le cube II – 3) Exercice d’application
I – 4) Cylindre droit III° Calcul d’aires et volumes
I – 5) Sphère et Boule : III – 1) Formules de calcul d’aires et de volumes
I – 6) Exercice d’application III – 2) Exercice d’application
INTRODUCTION (5min)
A l’élémentaire, vous aviez eu à résoudre des situations problèmes portant sur le
parallélépipède, le cube ; le cylindre.
En 6e, ce chapitre, vous aidera à consolider vos acquis d’une part et à faire des représentations
spatiale et plane de leur géométrie. Donc, du coup, vous serez capable :
de développer la perception spatiale chez l’élève, de l’initier à la représentation plane et
à la construction de patrons et de consolider ses connaissances du calcul des volumes
de servir de supports à des activités numériques
𝟒
Dès lors, nous admettrons que le volume d'une boule de rayon R est 𝝅R3 et que l'aire de
𝟑
la sphère de rayon R est 4 𝝅R2.
Enfin, nous appliquerons toutes ses formules dans des problèmes portant sur des situations de
la vie courante.
DEROULEMENT DU COURS
I – 4) Cylindre droit :
Un cylindre est un solide dont les deux bases sont des disques.
En ouvrant un cylindre par les deux bases et par la hauteur, on obtient son
développement ou son patron.
I – 5) Sphère et Boule :
Sphère : Une sphère est une surface continue constituée
de tous les points situés à une même distance appelé centre
de la sphère.
La valeur de cette distance au centre est appelée rayon de
la sphère.
Soit I le centre de la sphère et S un de ses points alors IS est
un rayon
On a : NS = 2 IS = 2R alors NS est un diamètre de la sphère
Boule : L’ensemble des points de l’espace dont la distance au point I est inférieure ou
égale au rayon est la boule de centre I et de rayon R.
Remarque
Il n’est pas possible de construire le développement ou le patron d’une sphère ou d’une
boule. Donc elles ne sont pas développables.
I – 6) Exercice d’application
Dessine le développement d’un cube d’arrête 4 cm.
II – 3) Exercice d’application
CHAPITRE IX
PLAN DU COURS
I° Repérage sur une droite III° Repérage sur la sphère
I – 1) Activité III – 1) Vocabulaire
I – 2) Repérage sur une droite Pôle Nord, Pôle Sud
I – 3) Méthode pour placer un point sur une droite Axe Nord-Sud
graduée: Équateur ; parallèles ; latitude ;
I – 4) Exercice d’application : Méridien; méridien
II° Repérage dans le plan origine ; longitude
II – 1) Activité III – 2) Latitude et Longitude :
II – 2) Rappel vocabulaire coordonnées Géographiques
II – 3) Méthode pour placer un point de III – 2 – 1) Lecture des coordonnées
coordonnées connues dans un repère: géographique
II – 4) Méthode pour trouver les coordonnées d’un III – 2 – 2) Comment localiser et
point placé dans un repère orthonormal: placer un point dans la sphère
I – 5) Exercice d’application
INTRODUCTION (5min)
Habituellement, pour fixer un événement dans le temps et dans l’espace, l’homme se servait
des éléments naturels tels que : le soleil ; la lune ; les étoiles et les saisons ;
Du point de vue moderne, pour parvenir aux mêmes fins l’homme a inventé la boussole et
d’autres instruments de mesure.
Ce chapitre, t’apprendra à utiliser la notion de repérage sur une droite pour se repérer dans le
plan et dans l’espace. Il trouvera alors son application en géographie.
DEROULEMENT DU COURS
I – 3) Exercice d’application:
On considère l’axe ci- contre
6) La parallèle à (yy’) passant par Ex et la parallèle à (xx’) passant par Ey, se coupent en E
II – 2) Rappel vocabulaires
Les deux axes perpendiculaires: (xx’) munie du repère (O; I) et (yy’) munie du repère
(O; J) constituent un repère (O; I; J) appelé repère orthonormal.
(xx’) est l’axe des abscisses
(yy’) est l’axe des ordonnées
Le point E a donc pour abscisse + 3 et pour ordonnée + 2. On dit que E a pour
coordonnées (3; 2).
Tout point situé sur l’un de ces axes a l’une de ses coordonneés nulles:
Situé sur l’axe (xx’), le point I a pour coordonnées : I (1; 0)
Situé sur l’axe (yy’), le point J a pour coordonnées : J (0; 1)
II – 3) Méthode pour placer un point de coordonnées connues dans un repère:
Pour placer un point M (xM; yM) dans le plan muni d’un repère orthonormal (O; I; J) procède
comme suit:
Trace le repère (O; I; J)
Trace en pointillés la parallèle à l’axe (ox)
passant par l’abscisse xM.
Trace en pointillés la parallèle à l’axe (oy)
passant par l’ordonnée yM.
Le point que tu churches à placer est alors le point
de rencontre de ces deux droites en pointillés
nomme- le maintenant.
Exemple: Place dans un repère orthonormal les points A (- 3; +1) et B (-2; -3)
II – 4) Méthode pour trouver les coordonnées d’un point placé dans un repère
orthonormal:
Pour trouver les coordonnées d’un point M dans le plan
muni d’un repère orthonormal (O; I; J) procède comme
suit:
Trace en pointillés la parallèle à l’axe (oy) passant
par le point M. Elle coupe l’axe (ox) en x M
abscisse du point M
Trace en pointillés la parallèle à l’axe (Ox) passant
par le point M. Elle coupe l’axe (0y) en yM
ordonnée du point M
Les coordonnées du point M que tu churches sont alors retrouvées, lis et nomme-les.
Exemple : Indique les coordonnées des points M et N dans le plan muni du repère orthonormal
(O; I; J). Ainsi, on a: M (+ 4; + 3) et N (- 3; + 2)
II – 5) Exercice d’application:
1. Dans un repère orthonormé, marquer les points : M (-4 ;-3) ; N (-3 ;-4) ; P (+3 ;+4) et Q
(+4 ;+3).
2. Quelle est la nature du quadrilatère MNPQ ?
III – 1) Vocabulaire :
La terre tourne sur elle-même
d’Ouest en Est autour d’une droite appelée
axe qui passe par les points N et S appelés
respectivement Pôle Nord et Pôle Sud.
L’équateur est un parallèle qui est
un grand cercle partageant la terre en deux
hémisphères Nord et Sud.
Les cercles passant par les deux
pôles sont appelés méridiens.
Le méridien origine de la sphère terrestre est le méridien de Greenwich (banlieue de
Londres en Angleterre) : il partage la terre en deux hémisphères Est et Ouest.
III – 2) Latitude et Longitude : Coordonnées
Géographiques
La longitude et la latitude d’un point sont les
coordonnées géographiques de ce point.
Soit M un lieu ses coordonnées géographiques seront
formé du couple (longitude ; latitude)
Les parallèles nous donnent les latitudes en degré,
minute et seconde. Les latitudes vont de O° à 90° au
Nord et de 0° à 90° au Sud.
Les méridiens nous donnent les longitudes en
degré, minute et seconde. Les longitudes vont de O° à
180° à l’Ouest et de 0° à 180° à l’Est.
Exemple : Le point M est à (50° E ; 40° N)
50° E est sa longitude.
40° N est sa latitude.
III – 2 – 1) Lecture des coordonnées
géographique
Lire les coordonnées d’un lieu ou
d’un point c’est déterminer sa longitude et
sa latitude.
Exemples :
Indiquer le mieux possible les coordonnées
géographiques des cinq villes situées sur la
sphère terrestre.
New York (80° O ; 40° N)
Castellion (0° ; 40° N)
Kaduqli (30° E ; 10° N)
Rio de Janeiro (40° O ; 20° S)
Le cap (20° E ; 30° S)
III – 2 – 2) Comment localiser et placer un
point dans la sphère
Tout point de la terre est localisé par deux nombres : sa longitude et sa latitude.
Pour localiser un lieu sur une sphère, il faut :
Lire ou placer sa longitude
lire ou placer sa latitude