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Correction du problème 1
x
(b) S la tenson V est néatve, la orce s’oppose au mouvement selon +e#» et rene l’électron. Pour détermner la
tenson V nécessare pour l’empêcher d’attendre l’électrode, on écrt la conservaton de l’énere mécanque
entre les états :
• x 0 ; #»
v (M ) 2E c i /m e#»
x ; E pot 0
#»
pot
• x d ; #»
v (M ) 0 ; E −eV .
On obtent :
−E c i
E c i + 0 −eV + 0 → V . (2)
e
Les électrons ne peuvent alors plus traverser la cellule et le courant est alors nul.
Fig. 4 : Courbes du courant en oncton de la tenson. Les snes des tensons sont nversés par rapport à l’énoncé du
I.2. (a) La trajectore est parabolque. Avec l’accélératon détermnée au I.1a les calculs ats en cours donnent devor : le potentel d’arrêt y V0 y apparaît donc post. Les lonueurs d’onde sont λ 255,5 nm pour la courbe de
mmédatement : auche et λ 433,9 nm pour les deux courbes de drote.
eV y − y0 2 y − y0 η y − y0 2 y − y0
. (3) II.2. (a) Des trajectores pour lesquelles l’anle α0 est nulle peuvent « rater » l’anode en passant trop haut ou trop
#»
x + →x +
2d m v 0 sin(α) tan(α0 ) 4d sin(α) tan(α0 )
bas. Une tenson postve crée une accélératon selon e#» x qu peut « rabattre » ces trajectores vers l’axe e x .
Toutes les trajectores ssues de O attendront l’anode s c’est le cas pour celle d’anle α0 π/2. Dans le cas
(b) et ( c) Les trajectores sont représentées sur l’annexe. Il aut que η sot néat pour que l’électron rebrousse lmte, cette dernère dot parvenr en x d ; y H . L’équaton (3) donne alors :
chemn. Ce paramètre représente le quotent du traval reçu par l’électron quand l parvent à l’anode (s’l y
parvent) par son énere cnétque ntale. Plus η est élevé, plus l’eet du champ électrque sera mportant. ηH 2 4d 2 2mv i2 d 2
d →η 2
→ VM .
4d 4H eH2
II Caractéristique (b) Elle est ben d’autant plus élevée que les électrons sont énerétques (ie que mv i2 est élevée), que e (et donc
la orce électrque) est able et que d /H est élevé, ie que l’anode est vue sous un pett anle.
II.1. (a) Comme on l’a vu au I.1b une tenson susamment néatve permet d’annuler le courant.
L’allure est représentée sur la ure 4 (ssue de l’artcle ornal de Mllkan (1952)). (c) On reprend l’équaton (3), avec un anle quelconque post, et une trajectore partant de l’extrémté né-
reure de la cathode (x 0; y −H ) pour attendre le sommet de l’anode (x d ; y H ) :
Attention : Sur cet artcle, les tensons sont orentées en sens nverse et c’est donc pour une tenson positive
que le courant est annulé. η 2H 2H
d + .
Comme on le verra plus lon, le courant aumente avec l’ntensté du champ électrque et donc avec la valeur 4d sin(α0 ) tan(α0 )
2
absolue de V pusque une rande valeur de ce champ permet à une plus rande proporton des trajectores
non horzontales d’attendre l’anode. En utlsant 1/ sin(α0 )2 1 + 1/ tan(α0 )2 , on n’a plus que des tronométrques en 1/ tan(α0 ). En posant
Y 1/ tan(α0 ), on obtent, après quelques manpulatons :
On reconnaît l’allure de la caractérstque d’une dode.
(b) Les électrons rebroussent chemn en x max tel que E c i e |V |. On aura donc un az d’électrons entre les 2 2d d2 4(1 + η) − η2 H 2 /d 2 − 2
∆v
tan(D) 7,101 · 10−3 rad 0,41◦ . (11)
H v0
D D
II Secteur angulaire
R
#» D II.1. Le rayon de la trajectore dot être éal à x 0 pour que le asceau ressorte orthoonalement à la ace de sorte. Pour
B0 ′ avor x 0 R/2, l aut donc :
H
2mv 0
R 1,036 m (12)
2eB 0
`
II.2. On utlse la ormule des snus dans le tranle OO ′ M s′ de la ure 6. On a :
OO ′ O ′ M s′ OM s′
Fig. 5 : Dévaton D d’un asceau homocnétque d’ons charés postvement par un champ manétque unorme. .
sin(β) sin(θ0 ) sin(γ)
(b) On constate que les ons pourront traverser la zone s le rayon de leur trajectore (vor l’équaton (4)) est Posons M s0 M s′ ≡ ∆R . Comme OO ′ ∆x , on a alors :
supéreure à la lareur de la zone, sot st :
∆x R/2 R/2 + ∆x
mv 0 .
→ v 0 1,736 735 992 33 · 105 m · s−1 . sin(β) sin(θ0 ) sin(γ)
2eB 0
On en dédut :
Cette vtesse est ben larement néreure à la vtesse de la lumère, l est létme de ne pas consdérer
d’eets relatvstes. ∆x R sin(γ)R/2
sin(β) sin(θ0 ) + ∆R
R/2 2 sin(θ0 )
(c) On lt drectement sur la ure 5 que :
∆x R sin(θ0 + β)R/2
sin(β) sin(θ0 ) + ∆R car : γ π − θ0 − β
la dévaton D vére : sin(D) (5) R/2 2 sin(θ0 )
R
∆x R R R sin(β)
sin(θ0 ) (13)
2
sin(β) + ∆R + cos(θ0 ) → ∆R ∆x cos(θ0 ).
R/2 2 2 2 sin(θ0 )
la nouvelle lareur H ′ vére : H ′ H cos(D) H 1− 2
. (6)
√
R
On a utlsé pour cette dernère éalté le DL de sin(x) au vosnae de θ0 , avec β θ0 pusque ∆x R/2.
On calcule par alleurs :
R 0,518 213 478 602 m sot : D 35,4◦ . (7) II.3. (a) On constate sur la ure 7 que les vecteurs vtesse d’ons ncdent en R/2 et R/2 + ∆x émerent en conver-
eant. On lt drectement que leur pont d’ntersecton se stue à la dstance :
I.3. (a) La dévaton dépend de la vtesse par l’ntermédare du rayon. Le asceau sera donc dverent, délmté
pour la parte supéreure par les ons les plus rapdes (ie les mons dévés), et pour la parte néreure par M s0 M s′ ∆R ∆x cos(θ0 ) R∆x cos(θ0 ) cos(β)/2 R
M s0 F → M s0 F . (14)
les mons rapdes (ie les plus dévés). tan(β) tan(β) tan(β) ∆x sin(θ0 ) 2 tan(θ0 )
M′
M′s
2
M0 R/
β
β
O′ Ms0
γ
2
θ0
R/
O
Fig. 6 : Trajectores de deux ons de même vtesse v 0 ncdent sur deux ponts dérents du secteur manétque. L’on
ncdent en M décrt un arc de cercle de rayon R/2 et de centre O . Celu ncdent an P décrt un arc de centre de même
rayon R/2 mas de centre O P .
Comme cette dstance est indépendante de la poston ∆x , le dspost réalse ben l’analoue d’une lentlle
converente de dstance ocale M s0 F R/(2 tan(θ0 )) : toutes les trajectores d’un asceau onque ncdent
proche de R/2 s’ntersectent au même pont F , oyer mae.
(b) Chaque classe de vtesse v possède son propre oyer mae :
• stué sur la trajectore correspondant au rayon R v mv/(2qB ),
vR
.
0)
• à la dstance d v 2 tan(θ
On vére aclement que l’ensemble de ces oyers orme une drote passant par O .
M′s
#»
Ms0 vs′
β
v#»s β
O
F
Fig. 7 : Focalsaton d’un asceau onque. Un on ncdent normalement en R/2 émere orthoonalement en M s0 . Un
on ncdent normalement en R/2 + ∆x émere en ormant un anle β avec la normale.