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On est maintenant dans la relation entre la satisfaction et pulsion.

Selon Freud, le but de la pulsion, c'est la satisfaction. Mais Freud ajout aussi dans la
sublimation, le sujet se satisfait quand la pulsion est inhibee quant au but. Ensuit pour
Marie Couvert, cette ajout de Freud par rapport a la sublimation, a permis lacan
mettre en question “ce qu'il en est de la satisfaction”

pour Lacan, satistaction est une nation ambivalant tel qu'on expreince. Parce qu'on est
capable de tirer une satisfaction de l'etat de non-satisfaction.

Couvert cite Lacan pour souligner cette position ambivalant:

« Les patients ne se satisfont pas, comme on dit, de ce qu’ils sont. Et pourtant, nous
savons que tout ce qu’ils sont, tout ce qu’ils vivent, leurs symptômes même, relèvent
de la satisfaction. Ils satisfont quelque chose qui va sans doute à l’encontre de ce dont
ils pourraient se satisfaire, ou peut-être mieux, ils satisfont à quelque chose. Ils ne se
contentent pas de leur état, mais quand même, en étant
dans cet état si peu “contentatif ”, ils se contentent. Toute la question est justement de
savoir qu’est-ce que c’est que ce se qui est là contenté 16. »

Donc au niveau de la pulsion, l'etat de satisfaction est a rectifier. Au gros, la pulsion


se satisfait justement de ne pas l'etre. Cette caractere paradoxalle de la pulsion vient
de se focaliser sur la finalite. Parce que a priori on ne peut pas attaindre la plaine
satisfaction. Donc elle reste toujours partielle. Mais Marie Couvert va en parler a les
pages suivants.
Selonn Couvert, si on pense que la pulsion est comme un moteur, le corburant de ce
moteur, il est donc la categorie de l'impossibilite. Je cite (page 46):

le carburant de ce moteur n’est autre que la catégorie de l’impossible. C’est vers cette
quête que la pulsion tend, c’est elle qui l’anime et c’est encore elle qui la maintient.

Donc, on est maintenant de la categorie de l'impossibilite, qui est une notion


fondementalle chez Lacan. Parce que l'impossible est lie a la notion de desir. On desir
toujours de queque chose que qui nous manque et qui est impossible a plainement
obtenir. Si on realise complete de notre desir, ça veut dire que on mettrait fin au desir
lui-meme. Donc le desir est structure par l'impossibilite.

l'impossibilite est aussi lie la categorie de Reel qui est un produit d'un ratage
promordial. Je cite (toujour dans la meme page, 46): un ratage absolument inaugural
sur lequel se fonde toute la dynamique pulsionnelle et par la suite celle de la
demande.

Donc, ratage de quoi dont Marie Couvert parle?


C'est un ratage entre la pulsion et son objet. Parce que la pulsion ne peux jamais saisir
son objet plainement.
Marie Couvert nous donne deux cas cliniques du bebe, plus precisement clinique de
l'oralite pour montre cette ratage.

Premier cas: C'est Ali, un petit bebe garçon de trois semaines. Sa mere le nourrit en
allaitant, dans un mode, il s'appele “a la demande”. C'est a dire que quand le bebe
reclaime, la mere donne le sein. Mais dans le cas d'Ali, c'est toute le temps,
quasiment sans cense. La mere lui donne toute le temps le sein. Ali ingurgite le lait
mais ne montre pas les signe de repletion. Je continue de Marie Couvert dans la page
47:
La mère me dit qu’elle fait tout ce qu’il faut ; elle voudrait tellement qu’il dorme, elle
voudrait tellement avoir la paix. Mais Ali, lui, ne s’y trompe pas. Et il répond à sa
façon ; ce n’est pas du lait qu’il veut, c’est d’elle.

Deuxieme cas: c'est Sacha. Quand il a faim, il ne peut pas attendre. il cri, il hurle. Sa
mere s'installe pour lui donner le sein mais cette fois-ci il s'interesse plus au sein.
Marie Couvert dit que il s'interresse bien aux sons de la mélodie maternelle. Alors
comme en écho, il va lui répondre par un « jasis » qui me fit fondre autant que sa
mère.

On voit dans ces deux exemple que l'appetite du bebe ne se satisfait pas d'avoir objet.
İci l'objet est le sein de mere. Comme Marie Couvert dit le bebe vise et appelle
d'abord de l'autre en citant Lacan:

« La pulsion saisissant son objet apprend justement que ce n’est pas par là qu’elle est
satisfaite. L’exigence pulsionnelle, c’est justement qu’aucun objet d’aucun Not,
besoin, ne peut satisfaire la pulsion »

On passe maintenant 3eme torsion: Objet devient cause du desir et vecteur d'angoise

on a vu dans ces deux cas que l'objet est exclu au sphere du besoin. Donc l'objet ici,
il est le sein de mere et le sein comme un objet ici “est tout entier à réviser quant à sa
fonction d’objet » dit Lacan. Il dit que le sein comme un objet est “ambocepteur 20
» plaqué, implanté sur le corps de la mère. Ça veut dire le sein appartient a la fois
mere et enfant comme plecenta qui forme une unite avec l'enfant.

Marie Couvert commence a parler ici de l'unite mamelon-bouche de Freud. Elle dit
que Lacan va aller plus loin de cette unite pour montre que l'objet fonctionne
structurelement autant comme objet du desir que comme point d'angoise. Si on tient
cette unite de mamelon-bouche, on peut pas voir le cote du desir, et d'ailleurs du cote
d'angoise, aussi.
Je cite dans la page 48, “Comment désirer ce qui nous appartient et dont nous
disposons ? Lacan nous a suffisamment appris que le désir procédait par la voie du
manque » en petit peut plus loin de meme page:
“Plutôt que de s’en tenir au mythe d’une unité d’avec l’objet, Lacan présente l’objet
dans sa fonction de scission. L’objet serait donc sécable »

Donc ici, si on garde dans la tete, les cas d'Ali et Sacha, le sein joue un role
intermediere entre l'enfant et la mere.

Ensuit Marie Couvert souligne que Lacan n'invent rien par rapport a scission. Elle dit
que Lacan ne fait qu'observation. Cette observation nous montre que le bebe se
detache du sein et il joue. Je voulais lire la souviant de cette observation que Mari
Covert nous trasmet dans la page 49:

“le nourrisson « après une première expérience de cession dont, le caractère déjà
subjectivé se manifeste, sensiblement par le passage, sur sa face des premiers signes
ébauchant, rien de plus, la mimique de la surprise, joue à se détacher du sein et à le
reprendre. » (fin de citation.)

Donc on voit objet a ici . l'objet partiel et secable qui est le sein dans le camp
d'oralite, le regarde dans specularite, la voix dans l'invocation et toucher pour ce qui
est du tactile devient relie a l'autre. C'est a dire que l'objet a nous relie a l'autre.

D'autre cote, il est pas seulement objet de convoitise, il est aussi un point d'angoise
pour la mere et pour bebe. Le sein devient un objet cause du désir parce qu’il a le
pouvoir de relier la mère et le nourrisson, comme dit Marie Couvert.
Mais le cote d'angoise se situe au-dela de cette reunion de l'enfant et le sein. Pour le
bebe, Il est au niveau de la mere alors que pour la mere il est au niveau du bebe.
Parce que pour Lacan le point d’angoisse se situe radicalement du côté de la grande
Autre.

Marie couvert souligne que l'object est scable donc on peut subsituer l'objet, par
exemple. On peut substituer le sein par le biberon ou la sonde a condition que cette
objet substituee circule de grande Autre. Donc le sein semble ici, je cite dans le page
50, “ il est une des formes de l’objet a, c’est-a-dire qu’il est, ce à partir de quoi, tout
démarre et autour duquel, nous ne cessons de tourner, en même temps, que ce sur
quoi on buttera toujours »

ensuit Mari Couvert nous dit que la clinique de la premature adope cette approche
quand les soignants nourissent les bebes. ces soignants utilise le concept d'objet a
cause desir avant et au moment du soin, en caressant les zones péri-orales du bébé
tout en lui parlant. Ils éveillent en lui le désir et le plaisir qui va provoquer salivation
et succion.

Avant finir cette torsion, elle aborde une autre notion de Lacan: circuit pulsionnelle.
Pour Lacan, la pulsion va trouver sa satisfaction, non pas en atteignant l’objet mais en
en faisant « le tour 32 ». Et elle donne l'exemple d'avoir plaisir en salivant a la lecture
de la carte du menu. Donc c'est pas la nurriture qui satisfait, c'est du plasir de la
bouche.

J'arrete ici pour que mes cammerades pouissent continuer la seance prochaine.

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