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Introduction générale :
On l'assimilait souvent à l'entretien autrement dit aux réparations et aux dépannages des
outils de production. Durant les dernières décennies, il s'est produit une évolution de la notion
d'entretien vers la notion de maintenance.
L'entretien se limitait souvent à subir les défaillances et les contraintes des machines et des
installations de production alors que la maintenance englobe de plus en plus la maîtrise
économique de la disponibilité des outils de production.
Donc la question posée, est comment améliorer la production d'une entreprise productive
par l'optimisation de la fonction maintenance.
Définition de la maintenance
La maintenance est l'ensemble de toutes les actions techniques, administratives et de
management durant le cycle de vie d'un bien, destinées à le maintenir ou à le rétablir dans un
état dans lequel il peut accomplir la fonction requise. Une fonction requise est une fonction, ou
un ensemble de fonctions d'un bien considérées comme nécessaires pour fournir un service
donné.
1.2.1. Les objectifs de la maintenance
Selon la politique de maintenance de l'entreprise, les objectifs de la maintenance sont :
- la disponibilité et la durée de vie du bien.
- la sécurité des hommes et des biens.
- la qualité des produits.
- la protection de l’environnement.
- l’optimisation des coûts de maintenance.
La politique de maintenance conduit, en particulier, à faire des choix entre :
- maintenance préventive et/ou corrective, systématique ou conditionnelle ;
- maintenance internalisée et/ou externalisée.
Etude
Préparation
Les fonctions de la
maintenance ordonnancement
Réalisation
Gestion
Figure 1 : tableau montrons les fonctions de service de maintenance
Etude
Sa mission principale est l'analyse du travail à réaliser en fonction de la politique de
maintenance choisie. Elle implique la mise en œuvre d'un plan de maintenance avec des
objectifs chiffrés et des indicateurs mesurables.
Préparation
La préparation des interventions de maintenance doit être considérée comme une fonction à
part entière du processus maintenance. Toutes les conditions nécessaires à la bonne réalisation
d’une intervention de maintenance seront ainsi prévues, définies et caractérisées. Une telle
préparation devra bien sûr s’inscrire dans le respect des objectifs généraux tels qu’ils sont
définis par la politique de maintenance : coût, délai, qualité, sécurité,…
Quel que soit le type d’intervention à réaliser, la préparation sera toujours présente. Elle sera :
- implicite (non formalisée) : dans le cas de tâches simples, l’intervenant assurera lui-même,
par expérience et de façon souvent automatique la préparation de ses actions ;
- explicite (formalisée) : réalisée par un préparateur, elle donne lieu à l’établissement d’un
dossier de préparation structuré qui, faisant partie intégrante de la documentation technique,
sera utilisé chaque fois que l’intervention sera réalisée. Il sera donc répertorié et conservé sous
réserve de mises à jour ultérieures. [2]
Ordonnancement
L'ordonnancement représente la fonction "chef d'orchestre". Dans un service maintenance
caractérisé par l'extrême variété des tâches en nature, en durée, en urgence et en criticité,
l'absence de chef d'orchestre débouche vite sur la cacophonie quel que soit le brio des solistes.
Réalisation
La réalisation consiste à mettre en œuvre les moyens définis dans le dossier de préparation
dans les règles de l'art, pour atteindre les résultats attendus dans les délais préconisés par
l'ordonnancement.
Gestion
La fonction gestion du service maintenance devra être capable d'assurer la gestion des
équipements, la gestion des interventions, la gestion des stocks, la gestion des ressources
humaines, et la gestion du budget.
1.3.2. Domaines d'action du service maintenance
Voici la liste des différentes tâches dont un service maintenance peut avoir la responsabilité :
- la maintenance des équipements : actions correctives et préventives, dépannages, réparations
et révisions.
- l’amélioration du matériel, dans l’optique de la qualité, de la productivité ou de la sécurité.
- les travaux neufs : participation au choix, à l’installation et au démarrage des équipements
nouveaux.
- les travaux concernant l’hygiène, la sécurité, l’environnement et la pollution, les conditions
de travail, …
- l’exécution et la réparation des pièces de rechanges.
- l’approvisionnement et la gestion des outillages, des rechanges, ...
- l’entretien général des bâtiments administratifs ou industriels, des espaces verts, des
véhicules,
Ce qui prouve le bien-fondé d’une formation polyvalente. [1][2]
La maintenance est de plus en plus concernée par la qualité des produits, qui passe par la
qualité des machines. La TPM (Total Productive Maintenance) japonaise montre l’intérêt
qu’il y a à confier à des conducteurs de machines les actions de maintenance de 1 er et 2 e
niveaux. Dans la même logique, le TRS (taux de rendement synthétique) est un indicateur de
gestion qui prend en compte à la fois des performances de production et de maintenance.[1]
Organisation géographique du service maintenance :
Deux types d'organisation peuvent être mis en place selon la spécificité et la taille de l'entreprise
- Un service maintenance centralisé (atelier
- Des services maintenance décentralisés à proximité de chaque secteur d’activité.
Dans les petites entreprises, même aujourd'hui, tous les métiers de dépannage sont sous
l'autorité d'un seul contremaître. On propose parfois que le groupage se fasse soit par domaines,
soit par métiers, soit par une combinaison des deux. Pourtant, avec la croissance de taille
actuelle des usines, et par conséquent l'introduction de nombreuses complications, le
département peut être correctement divisé en groupes plus spécialisés. Pour obtenir la meilleure
organisation de l'équipe, les fonctions de maintenance peuvent être classées comme suit :
- les spécialités : notamment mécaniques, électriques, bâtiment, instrumentation, etc.
- les types de service : notamment lubrification, inspection, réparation, révision, etc.,
- les domaines ou groupes d’équipements,
- le planning des services : notamment réparations d’urgence, service régulier, etc.[2]
STRUCTURE DES ACTIVITES DU DEPARTEMENT DE
MAINTENANCE
Donc les fonctions qui peuvent être assumées par le département de maintenance ou le
service d’entretien sont :
MANAGEMENT DE LA MAINTENANCE
Le management de la maintenance est à la charge d’une (ou plusieurs) personne(s)
désignée(s) dont les responsabilités et autorité doivent être définies.
Il appartient au management et aux responsables de :
Définir les profils d’emploi nécessaires à l’accomplissement de la mission de la fonction
maintenance;
Gérer les ressources disponibles en interne dans cet esprit et en particulier de prendre des
dispositions pour assurer la formation, La qualification et l’habilitation du personnel en
vue de :
- lui permettre d’assurer les tâches de maintenance avec un optimum d’efficacité.
- s’assurer que les règles de sécurité sont connues et mises en œuvre.
- être conforme aux exigences réglementaires en matière d’habilitation ; etc.
POLITIQUE DE MAINTENANCE
1.7.1. DEFINITION
Ce concept implique des moyens définis, compris, admis et réalisables par l'équipe de
maintenance.
SRTATEGIE DE MAINTENANCE
Une fois la politique de maintenance préventive et corrective et son plan de maintenance
(liste des gammes) établis, il reste à définir qui va la mettre en œuvre. Soit tout est fait en interne
avec des ressources spécifiques, soit l’ensemble est externalisé, soit la solution est mixte. Ce
sont ces choix qui vont orienter l’organisation à mettre en place. En général, on fait tout à
l’envers : on part de l’organisation (sur un avis de la direction, de la production, de la
LA MAINTENANCE PREVENTIVE
DEFINITION :
La maintenance préventive est une maintenance effectuée avant la détection d'une
défaillance d'un bien, à des intervalles prédéterminés ou selon des critères prescrits (suite à
l'analyse de l'évolution surveillée de paramètres significatifs) et destinée à réduire la probabilité
de défaillance d'une entité ou la dégradation du fonctionnement de l’équipement informatique.
Outre, elle intervient sur un équipement avant que celui-ci ne soit défaillant, afin de tenter de
prévenir la panne et les différentes dégradations matérielles. La maintenance préventive est
utilisée parce que les conséquences d’une défaillance sont inacceptables et que la sécurité doit
être toujours élevée. D’une façon brève, la maintenance préventive désigne le remplacement, la
révision, ou la réfection d'un élément matériel avant que celui-ci n'entraîne une avarie.
La maintenance systématique :
C’est une maintenance obéissant à un échéancier établi en fonction du temps et du nombre
d'unités d'exploitation. Mais selon la définition de la « norme européenne » : c’est celle exécutée
à des intervalles de temps préétablis ou selon un nombre défini d'unités d'usage mais sans
contrôle préalable de l'état de l’équipement informatique ».
La maintenance conditionnelle :
C’est une maintenance subordonnée à l'apparition d'indices révélateurs de l'état (angl.
condition) d'un élément matériel. Consacrée par l'usage, cette expression est une traduction
fautive, l'anglais « conditional » signifiant ici non pas « conditionnel » (au sens de soumis à des
conditions) mais « reposant sur l'état » du matériel (comme dans l'expression anglaise
équivalente condition-based maintenance).
Selon la définition de la norme européenne : « Maintenance préventive basée sur une
surveillance du fonctionnement du bien et/ou des paramètres significatifs de ce fonctionnement
intégrant les actions qui en découlent ».
La maintenance prévisionnelle :
C’est une maintenance partant de la surveillance de l'état du matériel et de la conduite
d'analyses périodiques pour déterminer l'évolution de la dégradation du matériel et la période
d'intervention. La « maintenance prédictive » est à éviter car en maintenance, on prévoit, on ne
prédit pas). Selon la définition de la norme européenne : « Maintenance conditionnelle exécutée
en suivant les prévisions extrapolées de l'analyse et de l'évaluation de paramètres significatifs
de la dégradation du bien ».
AVANTAGES ET INCONVENIENTS
La maintenance systématique a plusieurs avantages : elle est facile à gérer, les périodes
d'intervention étant fixes, elle permet d'éviter les détériorations graves, elle diminue les risques
d'avarie imprévue. L'inconvénient d'une telle stratégie est qu'elle repose sur l'hypothèse d'un
temps moyen de bon fonctionnement constant, ce qui implique un taux de défaillances constant,
alors qu'en réalité un équipement vieillit (phénomènes d'usure), ce qui se traduit par une
diminution du temps moyen de bon fonctionnement
ECHELONS DE MAINTENANCE
Il est important de ne pas confondre les niveaux de maintenance avec la notion d’échelon
de maintenance qui spécifie l’endroit où les interventions sont effectuées. On définit
généralement trois échelons qui sont :
- la maintenance sur site : l’intervention est directement réalisée sur le matériel en place.
- la maintenance en atelier : le matériel à réparer est transporté dans un endroit, sur site,
approprié à l’intervention ;
- la maintenance chez le constructeur ou une société spécialisée : le matériel est alors
transporté pour que soient effectuées les opérations nécessitant des moyens spécifiques. Bien
que les deux concepts de niveau et d’échelon de maintenance soient bien distincts, il existe
souvent une corrélation entre le niveau et l’échelon. Les opérations de niveaux 1 à 3, par
exemple, s’effectuant sur site, celles de niveau 4 en atelier, et celles de niveau 5 chez un
spécialiste hors site (constructeur ou société spécialisée). Si cela se vérifie fréquemment (dans
le domaine militaire par exemple), il convient cependant de ne pas en faire une généralité.
On peut rencontrer en milieu industriel des tâches de niveau 5 effectuées directement sur
site.[1][7]
Conclusion :
facteurs exogènes que la plupart des documents analogiques : eau, lumière, humidité et chaleur
excessive, courants d’air et pollution, manipulation et méthodes de stockage. Afin de vous aider
à prendre des décisions sur le plan du stockage en dépôt ou de la mise en exposition, voici
quelques indications générales sur les grandes familles de procédés d'impression et les
problématiques relatives à leur conservation.
Procédés électrostatiques
Ces procédés consistent à fixer, par chaleur et pression, le, une encre en poudre thermoplastique,
sur la surface d’un substrat, le plus souvent un papier non chargé, ou une feuille plastique. Les
endroits imprimés semblent un peu plus luisants que la surface non imprimée, et projettent une
certaine épaisseur. Autres noms : impression laser, copie laser, photocopie, xérographie, Xerox.
Xerox photocopieur (électrostatique) 30X HP Laser (électro photographique) 30X Xerox laser
couleur 30X Les impressions laser couleur, apparues vers 1995, sont à base d’encre en poudre
pigmentée fusée en surface du substrat papier. Copie laser couleur, impression laser couleur,
photocopie couleur sont les termes fréquemment utilisés.
2.5.1. Problèmes de conservation
Une imprimante mal ajustée (problème fréquent) peut causer des problèmes d'adhésion de
l’encre, et les plages imprimées restent généralement sensibles à la manipulation. En cela, des
différences notables, selon les manufacturiers, ont été relevées par les chercheurs. Les encres
poudreuses fixées en surface du papier peuvent se transférer sur les feuilles adjacentes, surtout
lorsque les papiers sont comprimés et que la température est élevée. Le noir se conserve
habituellement bien mais la stabilité des poudres colorées est réduite par leur sensibilité à la
lumière, qui varie selon les compagnies et le type de papier utilisé. Manipulation, pliage et
abrasion occasionnent la perte d’encre par abrasion. Il est important de ne pas laisser les
impressions en contact avec des protecteurs transparents en vinyle ou en polyéthylène, et les
couvertures plastifiées de cahiers anneaux, ils dégagent des substances plastifiantes, substances
qui ramollissent les couches imprimées et les font adhérer au film plastique: problèmes de
transfert et perte d’information garantis! [8] [10]
2.5.2. Recommandations
• Les impressions numériques ne sont pas facilement reproductibles. Traiter chacune comme
un original, avec soin.
• Conserver en tête dès le début que ces impressions sont instables
. • Pour le stockage, éviter la proximité des enveloppes et autres protections plastiques.
• Les encres et les apprêts sont habituellement acides : utiliser des intercalaires de papier et/ou
chemises neutres ou tamponnées, au choix.
• Éviter de comprimer les impressions dans les chemises et dans les boîtes.
• Conserver au noir, au frais et au sec, à l’abri des courants d’air.
• Emballer, pour le transport, avec des matériaux isolant contre l’humidité ou dans un
encadrement scellé.
• Au niveau de la permanence, les impressions couleur et N & B peuvent ne pas être similaires,
ces derniers résistants mieux aux effets délétères de la lumière.
• Au moment de l’acquisition, consigner les informations relatives aux données techniques :
procédé, imprimante, type d’encre, substrat, couches de protection et apprêts de surface s’il y a
lieu.
• Utiliser la terminologie normalisée (n’existe pas encore…, cependant l’Office de la langue
française propose quelques traductions).
• Vérifier la bonne marche de votre imprimante à l’aide du Bulletin technique no.22 de l’Institut
canadien de conservation, et suivre les directives du manufacturier.
• Renseignez-vous auprès de votre fournisseur, afin d’éviter l’achat d’encres en poudre à base
de sels ferreux, moins stables. [9]
mécanisme exige donc des formulations d'encre et des papiers ou autres supports différents,
éléments qui peuvent affecter la qualité et la stabilité de l'image. Le résultat est généralement
décrit comme une impression par jet d’encre.
La plus commune des technologies, l’imprimante thermale à jet d’encre, fut la première à se
répandre sur le marché en 1984. On retrouve maintenant cette technologie dans les marques
CANON (bubble jet, patenté en 1988), DEC, HP, Lexmark et Texas Instruments. La
production de chaleur dans la tête d’imprimante vaporise, par de petites buses, l’encre
liquide à base d’eau vers le substrat. Contrairement au procédé en continu expliqué plus bas,
l’encre liquide est générée seulement si elle doit faire partie de l’image, d'où le terme <drop-
on-demand>.
Les encres utilisées sont à base de teintures et de pigments. En fait, les couleurs sont à faible
concentration de teintures tandis que le noir est à base de pigments.
Les papiers enduits ou couchés retiennent les teintures en surface tandis que les papiers
poreux ont tendance à diffuser l’encre le long des fibres, ce qui agit directement sur la qualité
visuelle de l'image. Des enduits sur certains substrats sont réputés conférer une certaine
résistance à l’eau. Les impressions qui en résultent sont moins stables que les impressions
photographiques, électro photographiques ou électrostatiques. Les autres substrats
habituellement utilisés sont le canevas, les films plastiques et les papiers résinés. Les
impressions se retrouvent sur bannières et autres gadgets publicitaires, en production artistique
ou servent à la reproduction d’œuvres d’arts. Certaines imprimantes de bureau destinées à la
Les substrats papier varient de mats à glacés, et certains papiers chiffons de type aquarelle sont
spécialement traités pour la production artistique (estampe numérique, giclée print, IRIS print).
Le procédé rend difficile la formulation d’encres pigmentées car les particules doivent être
assez fines pour passer par les minuscules buses. Pourtant, certaines compagnies de fabrication
d’encre offrent maintenant des encres pigmentées ou en mélanges mixtes teintures et pigments
qui sont réputées durer, dans des conditions de préservation idéales, plus de cent ans sans perte
de stabilité (voir le site de Whilhem research cité plus haut).
Encres liquides :
Une atmosphère trop chargée d’humidité causera la diffusion de l’encre et un
changement dans la densité de la couleur. Selon les substrats, les impressions deviendront
collantes et les risques de transfert seront accentués. Puisque les colorants sont solubles à l’eau,
maculages, taches et auréoles d’humidité sont à prévoir. Certaines impressions peuvent avoir
été fixées ou laminées avec des produits développés pour protéger les colorants contre
l’humidité, l’eau ou la radiation des ultraviolets. Ces applications sont irréversibles, et
modifient les caractéristiques des surfaces. À la noirceur, les couches d’apprêt peuvent jaunir,
il faut éviter l’exposition aux polluants, à l’eau et à la chaleur. Les impressions vont s’affadir
plus vite si exposées aux courants d’air. Les encres à base de teintures sont sensibles à la lumière
et provoquent des changements parfois très rapides dans la couleur. Les utilisateurs ont forcé
les compagnies à se pencher sur la fabrication d’encres moins fugaces. Les encres pigmentées
plus stables, ont récemment été développées pour les productions en couleur, plus stables.
Quelques compagnies préparent des encres mixtes teintures-pigments.
Les encres solides sont moins sensibles à l’eau mais restent quelque peu fragiles à l’exposition
à la lumière. Manipulation, pliage et abrasion occasionnent la perte de colorant. Restant en
surface, les encres solides peuvent se transférer sur les documents adjacents en situation de
compression, effet accéléré par la chaleur car les encres sont thermoplastiques. L’effet de
diffusion des plastifiants et autres additifs dans les encres, ajoutés pour en contrôler la
dispersion et éviter les bouchons dans les buses, ne sont pas encore connus. [8] [4]
2.6.4. Recommandations :
• Les impressions numériques ne sont pas facilement reproductibles. Traiter chacune
comme un original, avec soin.
• Conserver en tête dès le début que ces impressions sont instables.
• Au moment de l’acquisition, consigner les informations relatives aux données techniques
: procédé, imprimante, type d’encre, substrat, couches de protection et apprêts de surface
s’il y a lieu.
• Utiliser la terminologie normalisée (n’existe pas encore…, cependant l’Office de la langue
française fournit quelques traductions).
• Consulter les données sur la sensibilité à la lumière au site de Henry Wilhelm donné ci-
haut.
• Si l’encre et le papier sont inconnus, traiter l’impression comme étant très sensible à la
lumière.
• Rester vigilants quant à la sensibilité à l’eau.
• Stocker à la noirceur, au frais et au sec.
• Stocker entre intercalaires de papier neutre ou dans des protections réduisant les courants
d’air.
• Stocker les grands formats préférablement à plat, séparés par des protecteurs neutres, en
évitant la surcharge de poids; sur tube, enrouler face à l’extérieur, avec intercalaire de
papier neutre.
• Éviter les protecteurs plastiques pour les impressions à encres solides.
• Exposer avec protection de verre ou polycarbonate offrant la filtration des rayons
ultraviolets.
• Emballer, pour le transport, avec des matériaux isolant contre l’humidité ou dans un
encadrement scellé [5].
Les fax (direct thermal transfer) font partie de la catégorie des procédés thermiques. Ce
sont les réactions des produits chimiques (teintures, noire ou brune) imprégnés dans le papier,
sensibles à la chaleur, qui forment l’image. Non fixés, ces papiers, habituellement couchés, sont
très instables, réagissent à la chaleur, même celle transmise par les doigts. Les informations
s’affadissent avec le temps et les papiers tendent à jaunir, verdir ou bleuir. Certaines
compagnies affichent leur logo à l’endos.
Ce type d’impression peut aussi être imprimé en procédé continu et en couleur, pour les
mêmes besoins de qualité d'images que les procédés à jet d'encre. Les encres solides à base de
cires, pigmentées ou non selon les fabricants, sont transférées au substrat à partir de rubans. Ils
servent habituellement en milieu médical. Il faut conserver ces documents dans des lieux secs
et frais. Certains procédés donnent des résultats presque semblables à la photographie. La
stabilité n'est cependant pas au rendez-vous, aussi va-t-il mieux éviter, en cas de doute, d'utiliser
les pochettes transparentes en polyéthylène et autres protecteurs vinyliques [9] [10].
conclusion :
• Les impressions numériques ne sont pas facilement reproductibles. Traiter chacune
comme un original, avec soin. Cependant, transférer immédiatement les papiers fax sur
papier permanent.
• Conserver en tête dès le début que ces impressions sont instables.
• Au moment de l’acquisition, consigner les informations relatives aux données techniques
: procédé, imprimante, type d’encre, substrat, couches de protection et apprêts de surface
s’il y a lieu [3][2].
• Utiliser la terminologie normalisée (n’existe pas encore…, cependant l’Office de la langue
française fournit quelques traductions).
• Consulter les données sur la sensibilité à la lumière au site de Henry Wilhelm donné ci-
haut.
• Si l’encre et le papier sont inconnus, traiter l’impression comme étant très sensible à la
lumière.
• Rester vigilants quant à la sensibilité à l’eau.
• Stocker à la noirceur, au frais et au sec.
• Stocker entre intercalaires de papier neutre ou dans des protections réduisant les courants
d’air. Éviter les protecteurs plastiques pour les impressions à encres solides.
• Exposer avec protection de verre ou polycarbonate offrant la filtration des rayons
ultraviolets.
• Emballer, pour le transport, avec des matériaux isolant contre l’humidité ou dans un
encadrement scellé.
Après avoir discuté avec le client, vous pouvez élaborer une théorie sur les causes
probables. L’étape 2 indique certaines causes probables habituelles pour les problèmes
d'imprimantes.
Figure 14: les causes probables habituelles pour les problèmes d'imprimantes
Après avoir élaboré une théorie sur l'origine du problème, passez à la pratique afin de
déterminer la cause exacte. La figure 3 répertorie les procédures rapides qui aident à déterminer
la cause exacte d'un problème et à le résoudre. Si l'une d'elles permet de résoudre le problème,
vous pouvez passer à l'étape 5 pour vérifier le fonctionnement de l'ensemble du système. Sinon,
vous devrez peut-être effectuer des recherches complémentaires en vue de déterminer la cause
exacte.
Figure 15: les procédures rapides qui aident à déterminer la cause exacte d'un problème
Après avoir déterminé la cause exacte du problème, établissez un plan d'action en vue
de le résoudre et d'implémenter la solution. L’étape 4 indique certaines sources d'informations
qui vous aideront à rassembler les données complémentaires nécessaires à la résolution d'un
problème.
Figure 16: les sources d'informations qui vous aideront à rassembler les données complémentaires nécessaires à la
résolution d'un problème.
Exemple de réparation :
- Imprimante matriciel EPSON LQ 2090
Problème impression illisible et pas de continue dans l’écriture sur papier
On détecter un problème au niveau de la tête d’impression qui est endommagé
Réparation a effectué : changement de la tête d’impression
Etape à suivre :
1. mettre l’imprimante hors tension
2. enlever le ruban d’impression
Installez votre imprimante débranchée sur un plan de travail dégagé et enlevez soigneusement
toutes les parties amovibles pour les nettoyer.
1. Commencez par retirer le ruban d’impression et nettoyez la zone de contact des têtes
d’impression puis les rampes de la tête d'impression, Utilisez un embout en mousse ou
d'un chiffon neuf et non pelucheux.
2. Nettoyez les zones intérieures à l’aide d’un embout ou d’un aérosol de gaz
dépoussiérant prévu à cet effet.
3. Une fois le grand nettoyage terminé et tous les éléments remis en place, rebranchez
votre imprimante et imprimez une page de test.
3. Nettoyez les surfaces avec siffleur pour éliminer les petits morceaux de papier.
Conclusion :
Conclusion générale :
BIBIOGRAPHIE :
1. Raphael Yende. SUPPORT DE COURS DE MAINTENANCE INFORMATIQUE.
Licence. Congo-Kinshasa. 2018.
2. PrintersIs Your Printer Spying On You? Sur le site eff.org
3. How to Reset your Printer? Sur le site printresetter.com
Maintenance informatique - Université d'Antananarivo – 2010
4. https://fr.wikipedia.org/wiki/Imprimante
5. Combined Service Manual HP LaserJet 4/4M/4+ 5/5M/5N : C3916-90984, USA,
Hewlett-Packard Company, mars 1996, 1re éd., 453