Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
des denrées
*01017FA002ED*
Sommaire
Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 B. Les fruits exotiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17
C. Les agrumes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18
Leçon 1. Le matériel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 IV. Les fruits secs ou oléagineux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18
I. Le matériel de lavage, A. L’étiquetage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
débarrassage et stockage des denrées . . . . . . . . . . . 4 B. Le stockage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
A. La plaque à débarrasser . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 C. La préparation des fruits secs . . . . . . . . . . . . . . . . 19
B. Le bac gastronomique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
C. La calotte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 Leçon 3. Les produits laitiers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
D. La passoire et le chinois . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 I. L’étiquetage des produits laitiers . . . . . . . . . . . . . . . 21
II. Le matériel de découpe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 A. Le nom commercial . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
A. Les couteaux communs B. La dénomination de vente . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
à toutes les denrées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 C. Le lait . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
B. Les couteaux spécifiques D. La crème . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
aux légumes et aux fruits . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 E. Le beurre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22
C. Autre matériel de coupe II. Le stockage des produits laitiers . . . . . . . . . . . . . . 23
ou de préparation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
Leçon 4. Les œufs et ovoproduits . . . . . . . . . . . . . 24
Leçon 2. Les fruits, les herbes fraîches
I. L’étiquetage des œufs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24
et les légumes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
A. Les catégories d’œufs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24
I. L’étiquetage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
B. Le marquage des œufs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24
A. Les légumes, les herbes fraîches
C. L’étiquetage des œufs coquilles . . . . . . . . . . . . 24
et les fruits frais . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
II. Consignes d’utilisation et de stockage . . . . . 25
B. Les légumes secs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10
A. Les œufs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25
II. Lavage, préparation et stockage . . . . . . . . . . . . . . 10
B. Les ovoproduits . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25
A. Lavage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10
B. Préparations des fruits et légumes . . . . . . . . . 11 Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26
C. Le stockage des fruits, Check-list . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26
des légumes et des herbes fraîches . . . . . . . . . . . 14
III. La découpe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14
A. Découpes classiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14
C. La calotte
I. Le matériel de lavage,
débarrassage et stockage Les calottes sont souvent utilisées pour le lavage des
aliments, ainsi que leur trempage (ex : les légumes
des denrées secs). Elles permettent de débarrasser et de transporter
Le matériel qui sert à laver, débarrasser ou stocker les des produits volumineux.
denrées est non seulement commun à toute la cuisine
mais également à toutes sortes de produits. Il permet D. La passoire et le chinois
de respecter la « marche en avant » et de séparer les
denrées qui sont en cours de traitement des produits Les passoires sont de différentes tailles et leur
sales, épluchures, produits propres prêts à stocker. tamis peuvent être plus ou moins gros. La passoire
permet d’égoutter des aliments qui sont lavés ou qui
A. La plaque à débarrasser dégorgent.
La plaque à débarrasser ressemble beaucoup au bac Le chinois, qui est une passoire très fine, est soit
gastronomique à la différence près que ses bords sont composé d’une feuille de métal troué, soit d’une
inclinés et non droits, et moins hauts. Elle est indis- étamine métallique. Il permet de filtrer des particules
pensable au moment de l’épluchage, nettoyage ou fines.
parage des aliments. Elle permet également de trans-
porter les aliments d’un point à un autre de la cuisine. un bac
gastronomique
Il en faut au moins trois devant vous : une calotte une passoire
–– une plaque pour les produits bruts ; ou chinois
–– une plaque qui recevra les épluchures, parures et
autres produits souillés ;
–– une plaque pour déposer les produits prêts à être
lavés. une russe
II. Le matériel de découpe –– Tenir le couteau à pleine main, les doigts protégés
par la garde, ne placez pas l’index allongé sur le
Le couteau est un instrument indispensable au cuisi- dos du couteau.
nier. Certains couteaux sont d’usage courant et se
retrouvent dans toutes les tâches du cuisinier, d’autres
ont une utilisation spécifique.
Conseils de sécurité
–– Ne pas ranger les couteaux en vrac : au moment
d’en saisir un, vous risqueriez de vous couper.
Fig. 6
Fig. 10 Éplucheur.
Les cuillères à légumes : elles servent à tailler dans lors de la confection des tartes. Il se fixe au plan de
les légumes des formes rondes ou ovales. Elles se travail à l’aide d’une ventouse ou d’un serre joint.
nomment selon leur taille : la cuillère à ox-tail, la
cuillère à pommes noisettes et la cuillère parisienne
sont les plus courantes.
Le couteau à dents de loup : il sert à historier certains La mandoline : c’est une trancheuse manuelle qui
fruits en coupant directement en deux les fruits, tout permet de tailler les légumes ou les fruits. Selon
en leur créant des crénelures. le peigne qu’on y fixe, on peut ainsi préparer des
juliennes, des pommes frites de toute taille, des chips
C. Autre matériel de coupe et des gaufrettes.
ou de préparation
Conseil de sécurité
D’autres matériels sont utiles aux préparations préli- La lame de la mandoline est particulièrement tran-
minaires. Il peut s’agir de petit matériel ou de tout le chante et dangereuse. Bien utiliser le chariot qui
matériel électromécanique. protège les doigts.
Conseil de sécurité
Les appareils électromécaniques conjuguent des
Fig. 16 Le dénoyauteur. pièces mobiles très tranchantes, de l’électricité et
souvent de l’eau. Il faut les manipuler avec précaution
Le dénoyauteur : il sert, comme son nom l’indique, à et toujours débrancher l’appareil pour le démonter et
dénoyauter les fruits (olives, cerises principalement). le nettoyer.
Fig. 19 Le mixeur-plongeant.
Fig. 17 Le pèle pomme. Le mixeur plongeant : muni d’un long col, cet appa-
reil portatif permet de réduire les légumes en purée,
Le pèle pommes : c’est un petit matériel qui permet de mixer les potages et les coulis ou d’homogénéi-
de peler, évider et trancher les pommes en une seule ser les sauces. Il est utilisé également à la création
opération ce qui fait gagner un temps considérable d’écumes.
Fig. 20 La trancheuse.
Le cutter à cuve fixe : ces appareils de tailles diffé- Le broyeur : présent dans certains laboratoires, il se
rentes sont multifonctionnels. Outre une utilisation compose de cylindres dont l’écartement réglable
de coupe, ils peuvent selon leur équipement servir de permet de broyer plus ou moins finement de
presse fruits, de blender, de centrifugeuse ou de fouet. nombreuses préparations utiles en pâtisserie : praliné,
pâte d’amande, tant pour tant …
Fig. 22
II. Lavage, préparation
et stockage
On utilise beaucoup de fruits frais en pâtisserie, et
dans une moindre mesure, des légumes (pour la partie
traiteur) et des herbes fraîches (menthe, basilic, persil,
cerfeuil…) que ce soit pour aromatiser une prépara-
tion ou pour intégrer dans des mets salés.
Fig. 27 Les fruits doivent être correctement lavés.
Les fruits sont fragiles !
2. Les légumes
Il faut être vigilant en les manipulant. Les fruits
« fermes » comme les pommes sont sensibles aux Nous avons aussi l’occasion d’utiliser des légumes en
chocs : si vous faites tomber ces fruits, vous ne le pâtisserie, notamment pour la partie « traiteur ». Par
verrez pas tout de suite, mais le choc entraîne immé- exemple :
diatement la formation et le développement d’une –– des tomates, des concombres, de la salade pour
zone marron qui va finir par pourrir, et quand vous réaliser des salades ;
éplucherez la pomme par exemple, elle sera très –– des carottes pour un cake ;
endommagée. –– du potiron pour une ganache au potiron qui garni-
ra des macarons ;
Les fruits « mous » (fraises, abricots, framboises, –– des poivrons, des épinards, des brocolis, des cham-
figues…) se manipulent avec précaution, il ne faut pignons pour les quiches.
pas les entasser et les utiliser rapidement (dans les 24
à 48 h après réception). Ces légumes doivent eux aussi être soigneusement
lavés pour les mêmes raisons que les fruits. D’autre
part, on peut fréquemment trouver des insectes dans
les légumes feuilles comme la salade.
1. L’épluchage
On les utilise :
–– en décor sur les canapés (cerfeuil, coriandre,
persil) ;
–– en infusion dans certains coulis ou crèmes
(menthe, basilic, thym, romarin) ;
–– séchées et cristallisées en décor : c’est le cas des
feuilles de menthe qui sont badigeonnées de blanc
d’œuf, puis recouvertes de sucre et mises à sécher
en étuve (25-30°C). On les met en décoration sur
des pâtisseries, bonbons de chocolat, petits fours…
Pour les pommes, ou les ananas dont il faut ôter le Les ananas : ils possèdent à leur sommet des feuilles
cœur, on se sert d’un évideur. À noter que le pèle assez épaisses et recouvertes de pointes piquantes.
pommes épluche et évide en même temps la pomme. Pour les enlever, on fait tourner la queue d’un demi-
tour et elle se détache.
décor sur un entremets : dans ces cas là, la tige, la queue permet d’éviter que le fruit ne noircisse (car il s’oxyde
du fruit apporte un impact visuel ainsi qu’un contraste dès qu’il est au contact de l’air).
de couleur intéressant (la queue verte et la fraise rouge
font écho aux couleurs complémentaires d’un cercle Les fruits oxydés ne sont pas impropres à la consom-
chromatique). mation, mais pour des raisons esthétiques, on
De la même manière, les physalis servent souvent de souhaite garder le plus longtemps possible leur
décor car leurs feuilles forment un bel ensemble visuel. couleur de base.
Les feuilles dures des ananas constituent un volume
intéressant sur un entremets. 6. Le pressage et l’extraction
5. Le citronnage
On arrose les fruits épluchés (ou coupés) de jus de Fig. 36 Les fruits peuvent être mixés pour obtenir une purée de fruits.
citron : ceci se fait notamment sur les bananes, les
avocats, les pommes, les poires… Le jus de citron
TEMPÉRATURE
DENRÉE DURÉE DE STOCKAGE CONDITIONS
DE STOCKAGE
De quelques jours Dans un bac, sur une plaque, avec étiquette
Légumes 4-8°C
à 2 semaines d’origine du produit.
Dans un bac, sur une plaque, avec étiquette
Fruits 4-8°C De 48 h à 2 semaines
d’origine du produit.
Dans un bac, sur une plaque, avec étiquette
Fruits tropicaux 15-17°C 1 à 2 semaines
d’origine du produit.
Dans un bac, lavées et entourées de sopalin
Herbes fraîches 4-8°C 48 h
humidifié.
On coupe les fruits en tranches pour garnir des tartes Ces fruits servent en général à garnir des tartes. Ils
ou des entremets en général. L’épaisseur des tranches peuvent passer au four mais ce sont des fruits qui ne
est choisie avec soin et va induire : restent pas longtemps fermes à la cuisson, ils se trans-
–– le temps de cuisson ; forment facilement en compotée.
–– l’aspect du dessert.
3. En dés ou macédoine
En effet, on opte pour des tranches fines (comme
celles qu’on obtient avec un pèle pommes) pour Pour réaliser une salade de fruits, on coupe les
donner un aspect plus « raffiné » aux pâtisseries et produits en dés d’un centimètre de côté environ.
réduire le temps de cuisson. Cette taille permet de manger facilement la salade de
fruits, tout en identifiant facilement chaque élément.
Les tranches plus épaisses (on peut couper une Des dés trop petits rendraient également trop de jus et
pomme en 8 par exemple) confère à une tarte un s’apparenteraient plus à une compotée.
aspect plus « rustique » et il faudra en tenir compte
pour la durée de la cuisson. On coupe également en dés les fruits destinés à réali-
ser une compote, de la confiture, un coulis… Les dés
Cependant, ce type de tranches est en général poêlé peuvent être assez gros puisque ces fruits vont ensuite
avec du beurre et du sucre. Cette technique permet de être cuits.
précuire les fruits, les faire caraméliser et renforce le
côté « rustique » recherché. C’est le cas par exemple
des tartes normandes : les tranches de pommes sont
poêlées, sucrées en fin de cuisson voire déglacées
avec un alcool. Ensuite on garnit la tarte et on ajoute
un appareil fait de beurre fondu, crème et sucre.
5. En billes
Fig. 42 La découpe en dents de loup permet d’avoir une belle décoration.
7. En éventail
Fig. 41 Des fruits dont la chair est prélevée à l’aide d’une cuillère parisienne.
1. Ananas
2. Mangue
2. Zestes
1. Suprêmes
Ils méritent une partie à eux seuls car ils ont une
place très importante en pâtisserie : on les utilise sous
différentes formes, et ils entrent dans la composition
de nombreux produits. Bien qu’ils soient nommés
« fruits » leur traitement n’a rien à voir avec les fruits
classiques.
A. L’étiquetage
Les fruits secs ont un étiquetage plus simple que les
produits frais. Ce dernier doit comporter :
–– la dénomination du produit ;
–– le nom et l’adresse de l’expéditeur / emballeur ;
–– l’indication du poids net à l’emballage (en effet
c’est un produit qui peut perdre du poids car il
continue de sécher) ;
–– la provenance ou l’origine ;
–– l’indication de la DDM qui est optionnelle : la
date de durabilité minimale sous l’inscription « à
consommer de préférence avant… ».
2. Mondage
Le risque qui guette ces produits est qu’une trop forte Dans les deux cas la peau brune s’enlève ensuite très
chaleur fasse suinter les corps gras qui les composent facilement.
et donc qu’ils rancissent.
3. Torréfaction
C. La préparation des fruits secs
Les fruits secs gagnent à subir une torréfaction avant
1. Cassage des coquilles d’être utilisés, ainsi leur arôme sera multiplié.
Les fruits secs arrivent en général déjà débarrassés de Pour torréfier les amandes, cacahuètes, noix, pista-
leur coquille. Si ça n’est pas le cas, on utilise un casse ches, il suffit de les répartir en une couche uniforme
noix pour les briser. On consomme l’intérieur, appelé sur une plaque de cuisson. On les passe au four à
communément « amande » ou cerneau dans le cas 180°C durant 10 à 15 min.
des noix.
On torréfie aussi les amandes effilées pour dégager On broie aussi les fruits secs, mais à un diamètre plus
leur saveur et leur apporter une belle teinte cuivrée. fin, pour obtenir du praliné, de la pâte de pistache…
Le fait de les écraser avec des rouleaux permet d’ex-
4. Broyage traire leur matière grasse, et former ainsi une pâte.
Les fruits secs sont parfois utilisés entiers en pâtisserie : C’est avec les fruits secs que nous terminons ce
–– concassés dans des cookies, des sablés ; chapitre sur les fruits, légumes et herbes fraîches.
–– en décor ;
–– pour garnir des fruits dans la préparation des fruits Passons maintenant au traitement préliminaire des
déguisés ; produits laitiers.
–– en confiserie pour réaliser des pralines (ils sont
alors caramélisés).
En litres ou en grammes.
Toutes ces indications obligatoires permettent d’éviter II. Le stockage des produits
tout risque sanitaire.
laitiers
Lors de la réalisation de recettes, vous veillerez à Pour le stockage des produits laitiers, il convient de
conserver les différentes étiquettes des emballages respecter quelques règles :
des produits utilisés. –– le stockage a lieu en chambre froide, dont la
température est comprise entre 4 et 8°C ;
Si la qualité du lait, de la crème et du beurre –– les briques de lait, crèmes, ou seaux entamés
dépend beaucoup de son lieu et mode de fabrica- doivent être consommés rapidement et filmés avec
tion, elle découle aussi des conditions de stockage. indication de la date d’ouverture ;
Pour conserver ces qualités, il convient de respecter –– conserver les étiquettes des produits utilisés pour
quelques consignes. les recettes.
Check-list
À la fin de ce fascicule, je suis capable :