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Extrait à la page 117-121 de "safrin ou duel au fouet"

En effet, la tradition est l’ensemble des mœurs des coutumes d’une communauté donné qui
se transmet de génération en génération au fil du temps.

Cependant l’Afrique pouvait pas se passer de cette authenticité traditionnelle . Ainsi ,au
Mandingue presque tout les villages avaient dans leurs environs des mares . Ces mares était
à quelques kilomètres du village et c’était une demeure de divinité.
D’ailleurs, c’était sur ces berges que l’ont faisait les sacrifices les plus mystérieux.

Safrin ou le duel au fouet publié en 2000 par Lamine kamara est l'une des œuvres révélant
les secrets spirituels et mystérieux de l’Afrique traditionnel ( Mandingue ) le passage de la
partie de l’œuvre intitulée << Dala-Djo>> de la page 117-121, cet extrait revient sur la
tradition et le coutume de l’Afrique.
Dans ce passage, l’auteur nous présente le héros (Safrin) à Dala-Djo Mandingue ( Dioma
banan ). Il nous montre que dans la tradition Mandingue tout les villages avaient presque
dans leur environs des mares dont se célébraient la fête de la mare. C’est mares étaient
considéré comme l’habitacle d'un génie, la demeure d’une divinité.
Cet extrait comprend trois partie qui sont les suivants :

1) << au Mandingue….. et culturel >>. L’auteur nous explique dans ce passage que la
structure des mares, l’emplacement.
Comment se tenait les sacrifices les plus mystérieux. Faut savoir aussi que ces mares
étaient très reconnaissant et poissonneuse. C’est mares qui appartient aux
patrimoine historique et culturel.
2) << En effet …. Bijoux>>.
Il nous montre comment le nom Magassouba est apparu dans la société Mandingue,
la signification de Dioma-banan : banan qui veut dire ( ancien ). Il nous parle de la
fondation et l’arrivée des Keita en provenance de( Mali ) à kita et le duel entre
Magassouba et les keita, et précise également les offrandes et et sacrifices faite par
la populations. Tout au long de l’année à l’habitacle de ses génies qui leurs donnait
de la pluie à l’abondance et la rareté, l’augmentation et la diminution des naissance.
3) <<Dans chaque ….. très bien fait>>
La troisième partie s’explique sur la célébration des mares et les répétition de la
danse.
Dala-Djo apparaît pour complimenter les coutumes, les tradition de l’Afrique (
Mandingue) comme en témoigne ce passage << Dala-Djo était un autel fétichiste du
grande renommée habitacle du génies qui réglait la vie de Djoma banan>>.
• Conclusion : en somme , le safrin ou le duel au fouet de Lamine kamara publié
en 2000 se présente comme une véritable récit qui relève de la tradition
Mandingue ( Djoma- Banan ), sur la mare. Lamine Kamara enfant de la savane
du claire pays évoque les mystérieux génies et l’habitacle de ce génie sur les
villages dans les différents mares dont la populations se préparais et faisait
des répétitions, des danse pour la mare de chaque année et les sacrifices.

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