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RAPPORT DE TP OSS
Comme on a mis un générateur de signal et on n’a pas modifié les paramètres, on a obtenu la
courbe avec les paramètres par défauts. Cette courbe a comme période 1 s et une fréquence de
1 Hz. Mais l’allure de la courbe a un faible pas de simulation.
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Modification des paramètres de simulation
Après avoir modifié les paramètres de simulation, on lance la simulation et on obtient la courbe
ci-dessous.
Cette courbe a aussi une période de 1 s et une fréquence de 1 Hz. On constate que l’allure des
deux courbes ne se ressemble pas. La première est un peu pointue tandis que la deuxième est
arrondie.
Cette différence est due au pas de simulation. Si cette dernière est faible, le nombre de points
pour tracer la courbe est peu nombreux, ce qui explique l’allure de la première courbe.
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I.2. Réalisons la figure suivante :
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La courbe en jaune est la consigne, celui en bleu est la réponse en boucle ouvert et le rouge est
la réponse en boucle fermé. On constate que la réponse indicielle en boucle fermé essaye
d’atteindre la consigne. Elle atteint le régime permanent à un moment donné dont la valeur
finale est plus proche de la consigne alors que la réponse indicielle en boucle ouvert a une valeur
finale différente de la consigne (dix fois plus grand).
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II.2. Considérons un système modélisé par la fonction de transfert suivante :
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G ( p) , où p est la variable de Laplace.
p p2
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Nous souhaiterions savoir comment le système réagit à une sollicitation de type échelon
unitaire. Pour cela, construisons un modèle Simulink afin de simuler la réponse indicielle de
notre système.
Nous avons donc besoin :
- D’un bloc pour représenter la fonction de transfert G(p),
- D’une source pour générer le signal échelon,
- Et un bloc permettant la visualisation graphique de la sortie du système.
Nous fixons un échelon de valeur initiale 0 (initial value), d’amplitude 1 (final value) et se
déclanchant à t=0 (step time).
Le résultat obtenu de la simulation est comme suit :
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Réalisons maintenant un asservissement avec une commande proportionnelle de gain K qui
vaut 5.
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On peut constater que plus le gain K augmente, plus la valeur finale se rapproche du consigne
mais le premier dépassement est important.
III. APPLICATION
On rappelle ici la modélisation du moteur à courant continu (MCC) dont l’étude va permettre
d’illustrer les concepts fondamentaux de la Control Toolbox de Matlab. La fonction de transfert
reliant la vitesse de rotation du rotor à la tension appliquée à l’induit s’écrit :
( s) K
G( s)
U (s) (1 Tel s)(1 Tem s)
Avec
K em
K , gain statique du système
Rf K em 2
RJ
Tem , constante de temps électromécanique
Rf Kem 2
L
Tel , constante de temps électrique
R
Tel que :
R 1, 44
L 5, 6.104 H
J 1, 29.104 kg.m 2
f 7, 2.105 m.N .s
Kem 0,10m.N.A1
On rappelle que dans ce modèle :
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- Création d’un fichier script dans le Matlab et définition des paramètres :
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- Création d’une figure pour la réponse indicielle et le diagramme de Bode du MCC
- Résultat de la simulation
Le script pour avoir la réponse indicielle et le diagramme de Bode du MCC est le suivant :
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CONCLUSION
Pour conclure, ce TP nous a familiarisés avec Simulink et Matlab. On a utilisé suffisamment de
commande courante utilisé dans Matlab et quelques blocs de fonction dans Simulink. On a pu
appliquer les commandes et les scripts pour modéliser et simuler la réponse indicielle d’un
moteur à courant continu. Ce TP a donc son importance car il permet aux étudiants de
familiariser avec un outil de modélisation et de simulation en ingénierie et d’interpréter les
résultats obtenus.
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