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Électronique
Études
auteur
July 12, 2023
Sommaire
1 Search 1
2 Composants électroniques 3
I Cours sur l'amplicateur en électronique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
1.1 Etude des amplicateurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
II Cours sur l'amplicateur opérationnel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
2.1 Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
2.2 Etude de l'amplicateur parfait et réel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8

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Chapter 1

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2 CHAPTER 1. SEARCH
Chapter 2

Composants électroniques

3
4 CHAPTER 2. COMPOSANTS ÉLECTRONIQUES

source :
http://www.elektronique.fr/cours/amplificateur/amplificateur-cours.php

I Cours sur l'amplicateur en électronique

Introduction
Mise en situation
Un amplicateur électronique (ou amplicateur, ou ampli) est un système électronique
augmentant la tension et/ou l'intensité d'un signal électrique. L'énergie nécessaire à
l'amplication est tirée de l'alimentation du système. Un amplicateur parfait ne déforme pas
le signal d'entrée : sa sortie est une réplique exacte de l'entrée mais d'amplitude majorée.
Les amplicateurs électroniques sont utilisés dans quasiment tous les circuits électroniques
: ils permettent d'élever un signal électrique, comme la sortie d'un capteur, vers un niveau de
tension exploitable par le reste du système. Ils permettent aussi d'augmenter la puissance
maximale disponible que peut fournir un système an d'alimenter une charge comme une
antenne ou une enceinte.

Historique
Le premier amplicateur électronique fut réalisé en 1906
par l'inventeur américain Lee De Forest. En 1908, il
perfectionna son invention en lui rajoutant une électrode,
donnant ainsi naissance à la première triode. Elle fut vite
perfectionnée par l'ajout de deux grilles supplémentaires,
palliant certains eets indésirables. Ce tube pentode sera
rapidement adopté pour la plupart des amplicateurs à tubes,
pour son meilleur rendement.
Les amplicateurs à tubes sont aussi connus sous le nom d'amplicateurs à  lampes , en
raison de la forme des tubes et de la lumière qu'ils émettent lorsqu'ils fonctionnent.
Depuis le début des années 1960, grâce à l'apparition des premiers transistors de puissance
vraiment sûrs et au coût réduit, la majorité des amplicateurs utilise des transistors. On
préfère les transistors aux tubes dans la majorité des cas car ils sont plus robustes,
fonctionnent à des tensions plus faibles et sont immédiatement opérationnels une fois mis sous
tension (contrairement aux tubes électroniques qui nécessitent une dizaine de secondes de
chauage ).
Les tubes sont toujours utilisés dans des applications spéciques comme les amplicateurs
audio, surtout ceux destinés aux guitares électriques, et les applications de  très  forte
puissance ou à haute fréquence comme pour les fours à micro-ondes, le chauage par
radiofréquence industriel, et l'amplication de puissance pour les émetteurs de radio et de
télévision.

Principe de fonctionnement
Principe généraux
Un amplicateur électronique utilise un ou plusieurs composants actifs (transistor ou
tube électronique ) an d'augmenter la puissance électrique du signal présent en entrée. Les
composants actifs utilisés dans les amplicateurs électroniques permettent de contrôler leur
courant de sortie en fonction d'une grandeur électrique (courant ou tension), image du signal
à amplier.
I. COURS SUR L'AMPLIFICATEUR EN ÉLECTRONIQUE 5

Le courant de sortie des composants actifs est directement tiré de l'alimentation de

l'amplicateur. Suivant la façon dont ils sont implémentés dans l'amplicateur, les
composants actifs permettent ainsi d'augmenter la tension et/ou le courant du signal
électrique d'entrée.
Les amplicateurs peuvent être conçus pour augmenter la tension (amplicateur de tension ),
le courant (amplicateur tampon ou suiveur ) ou les deux (amplicateur de puissance ) d'un
signal. Les amplicateurs électroniques peuvent être alimentés par une tension simple (une
alimentation positive ou négative, et la masse ) ou une tension symétrique (une alimentation
positive, une négative et la masse ). L'alimentation peut aussi porter le nom de  bus  ou 
rail . On parle alors de bus positif ou négatif et de rail de tension positive ou négative.
Les amplicateurs sont souvent composés de plusieurs étages disposés en série an
d'augmenter le gain global. Chaque étage d'amplication est généralement diérent des
autres an qu'il corresponde aux besoins spéciques de l'étage considéré. On peut ainsi tirer
avantage des points forts de chaque montage tout en minimisant leurs faiblesses.
Bande Passante
La  bande passante à -3 dB  d'un amplicateur
est la gamme de fréquences où le gain en tension de
l'amplicateur est supérieur au gain maximum moins trois
décibels. La bande passante est habituellement notée B
ou BP. Occasionnellement on rencontre des bandes passantes
plus larges, par exemple la bande passante à -6 dB, gamme de
fréquences où le gain en tension est supérieur à la moitié du
gain maximum.
Linéarité
La linéarité d'un amplicateur correspond à sa capacité à garder son gain constant quel que
soit l'entrée. La plus grande limitation de linéarité vient de l'alimentation de l'amplicateur:
la tension d'entrée ainsi que celle de sortie ne peuvent dépasser la tension d'alimentation de
l'amplicateur. Lorsque cela arrive, on parle de saturation de l'amplicateur. La linéarité
d'un amplicateur est aussi limitée par sa vitesse de balayage (ou Slew rate ) qui représente
la vitesse de variation maximale qu'il peut reproduire. Lorsque que la variation du signal
d'entrée d'un amplicateur est supérieure à sa vitesse de balayage, sa sortie est une droite de
pente SR (La vitesse de balayage est exprimée en V /µs).

1.1 Etude des amplicateurs

Le bruit
En électronique, le bruit désigne les signaux aléatoires et non
désirés, voire parasites, se superposant aux signaux utiles.
Dans un amplicateur ces signaux parasites peuvent venir
de son environnement ou des composants le constituant. Il
existe 5 types de bruit en électronique: le bruit thermique,
le bruit grenaille, le bruit icker, le bruit en créneaux et
le bruit d'avalanche. Il est possible de réduire le bruit dans
un amplicateur en s'attaquant directement a ces origines,
mais aussi en limitant le plus possible la bande passante de
l'amplicateur, an d'éliminer le bruit présent en dehors des
fréquences de travail de l'amplicateur.
Rapport signal sur bruit
Le rapport signal-bruit est un terme utilisé en ingénierie, en traitement du signal ou en
théorie de l'information pour désigner le rapport entre la grandeur d'un signal (information
6 CHAPTER 2. COMPOSANTS ÉLECTRONIQUES

utile, signicative ) et celle du bruit (information inutile, non signicative ). Comme de

nombreux signaux ont une échelle dynamique élevée, les rapports signal-bruit sont souvent
exprimés en décibels. Le rapport signal sur bruit désigne la qualité d'une transmission
d'information par rapport aux parasites. On dénit ainsi la qualité d'un amplicateur, quel
que soit son type et la catégorie de signaux qu'il traite.
Plus le rapport est élevé, moins l'appareil dénature le signal d'origine.

Classication
Il existe une foule de classications, elles découlent souvent des diérentes caractéristiques du
schéma d'un amplicateur. Toutes ces caractéristiques ont une inuence sur les paramètres et
les performances de l'amplicateur. La conception d'un amplicateur est toujours un
compromis entre plusieurs facteurs comme le coût, la consommation énergétique, les
imperfections des composants et, le besoin de rendre l'amplicateur compatible avec le
générateur du signal d'entrée et la charge en sortie. An de décrire un amplicateur, on parle
généralement de sa classe, de la méthode de couplage qui a été utilisée entre ces diérents
étages ainsi que la gamme de fréquences pour laquelle il est prévu.
II. COURS SUR L'AMPLIFICATEUR OPÉRATIONNEL 7

source : http://www.elektronique.fr/cours/AOP/aop-cours.php

II Cours sur l'amplicateur opérationnel

2.1 Introduction
Mise en situation
Un amplicateur opérationnel (aussi dénommé ampli op, AO, AOP, ALI ou AIL) est un
amplicateur diérentiel : c'est un amplicateur électronique qui amplie une diérence de
potentiel électrique présente à ses entrées. Il a été initialement conçu pour eectuer des
opérations mathématiques dans les calculateurs analogiques : il permettait de modéliser les
opérations mathématiques de base (addition, soustraction, intégration, dérivation, ). Par la
suite, l'amplicateur opérationnel est utilisé dans bien d'autres applications comme la
commande de moteurs, la régulation de tension, les sources de courants, les oscillateurs, ...
Physiquement, un amplicateur opérationnel est constitué de transistors, de tubes
électroniques ou de n'importe quels autres composants amplicateurs; on le trouve
communément sous la forme de circuit intégré.
Le gain en tension très important d'un amplicateur opérationnel fait de lui un composant
utilisé dans une grande variété d'applications (voir aussi le cours : AOP - Montages de base
de l'amplicateur opérationnel). Certains amplicateurs opérationnels, de par leurs
caractéristiques (temps de montée, faible distorsion harmonique, etc...), sont spécialisés dans
l'amplication de certains types de signaux comme les signaux audio ou vidéo.
Physiquement, un amplicateur opérationnel est constitué de transistors, de tubes
électroniques ou de n'importe quels autres composants amplicateurs; on le trouve
communément sous la forme de circuit intégré.
Le gain en tension très important d'un amplicateur opérationnel fait de lui un composant
utilisé dans une grande variété d'applications (voir aussi le cours : AOP - Montages de base
de l'amplicateur opérationnel ). Certains amplicateurs opérationnels, de par leurs
caractéristiques (temps de montée, faible distorsion harmonique, etc...), sont spécialisés dans
l'amplication de certains types de signaux comme les signaux audio ou vidéo.

Historique
On doit le terme d'amplicateur opérationnel (Operational Amplier en anglais) à John R.
Ragazzini en 1947. Les amplicateurs opérationnels ont été initialement développés à l'ère des
tubes électroniques, ils étaient alors utilisés dans les calculateurs analogiques. Actuellement,
les amplicateurs opérationnels sont généralement disponibles sous forme de circuits intégrés.

Généralités
Les paramètres des amplicateurs opérationnels varient généralement dans de faibles
proportions précisées par le constructeur, et sont disponibles sous des formats, brochages, et
niveaux de tensions d'alimentation standardisées. Avec quelques composants externes, ils
peuvent réaliser une grande variété de fonctionnalités utiles en traitement du signal. La
plupart des AO standard ne coûtent que quelques dizaines de centimes d'euros, mais un AO
discret ou intégré avec des caractéristique non-standard et de faible volume de production
peut coûter plus de 100 pièce.
Les principaux fabricants d'amplicateurs opérationnels sont : Analog Devices, Linear
Technology, Maxim, National Semiconductor, STMicroelectronics et Texas Instruments.
8 CHAPTER 2. COMPOSANTS ÉLECTRONIQUES

Brochage
Un AOP dispose au minimum de deux entrées, de deux broches d'alimentation et d'une sortie.
L'entrée notée V+ est dite non-inverseuse tandis que l'entrée V− est dite inverseuse en raison
de leur rôle dans les relations entrée/sortie de l'amplicateur. La diérence de potentiel entre
ces deux entrées est appelée tension diérentielle d'entrée.
La broche d'alimentation positive repérée VS+ est parfois aussi appelée VDD , VCC , ou VCC+
. La broche d'alimentation négative repérée VS− est parfois aussi appelée VSS , VEE , ou VCC−
. Les appellations VCC et VEE sont généralement réservées aux AOP bipolaire tandis que les
appellations VDD et VSS sont généralement réservées aux AOP à eet de champ.
Le C de VCC signie que l'alimentation est reliée au collecteur d'un transistor bipolaire tandis
que le E de VEE signie que l'alimentation est reliée à l'émetteur d'un transistor bipolaire. Le
D de VDD fait référence au drain d'un transistor à eet de champ tandis que le S de VSS fait
référence à la source de ce même transistor.
Suivant les applications, l'AOP peut aussi être doté de deux broches pour la compensation
d'oset ainsi que d'une broche pour le réglage de la compensation fréquentielle.

2.2 Etude de l'amplicateur parfait et réel

Amplicateur opérationnel parfait
L'amplicateur opérationnel parfait possède un gain diérentiel, une impédance d'entrée, ainsi
qu'une vitesse de balayage innie et un gain de mode commun ainsi qu'une résistance de
sortie nulles. De plus, il ne possède pas de tension d'oset ni de courant de polarisation. Ces
caractéristiques traduisent le fait que l'amplicateur opérationnel parfait ne perturbe pas le
signal qu'il va amplier et que sa tension de sortie dépend uniquement de la diérence de
tension entre ses deux entrées.
La présence d'un gain diérentiel inni implique que la moindre diérence de potentiel entre
les deux entrées de l'amplicateur l'amènera à saturer. Si l'on ne désire pas que la tension de
sortie de l'amplicateur soit uniquement limitée à ±Vsat suivant le signe de la diérence de
potentiel entre les deux entrées de l'amplicateur, l'utilisation d'une contre-réaction négative
est obligatoire.
La contre-réaction sur l'entrée inverseuse (ou contre-réaction négative) d'un AOP permet
de soustraire une partie du signal de sortie au signal d'entrée de l'amplicateur. On parle alors
de mode linéaire car on peut faire varier la tension de sortie entre ±Vsat suivant la tension
appliquée en entrée de l'amplicateur. L'absence de contre-réaction ou une contre-réaction sur
l'entrée non-inverseuse de l'AOP amènera l'amplicateur en saturation positive ou négative
suivant le signal appliqué en entrée. On parle alors de mode comparateur (ou saturé).

Amplicateur opérationnel réel

Introduction
Bien que le modèle parfait de l'AOP permette de calculer la fonction de transfert et de
comprendre la plupart des montages à base d'AOP, les AOP réels possèdent un certain nombres
de limitations par rapport à ce modèle.
L'AOP présente les défauts suivants : présence d'un oset en entrée, inuence de la tension
de mode commun sur la tension de sortie, impédance non nulle en sortie, impédance non innie
en entrée et variation en fréquence du gain. De plus, la tension de sortie peut être inuencée
par des variations de tensions d'alimentation et possède une vitesse de balayage nie.
Caractéristiques
II. COURS SUR L'AMPLIFICATEUR OPÉRATIONNEL 9

Propriété Ordre de Bipolaire BiFET Bimos Cmos

grandeur (LM741) (TL081) (CA3140) (LMC6035)
Propriété Ordre de Bipolaire BiFET Bimos Cmos
grandeur (LM741) (TL081) (CA3140) (LMC6035)
Gain Ad > 104 2 · 105 2 · 105 105 106
Impédance d'entrée (en Ohms ) > 10 M Ω 2 · 106 1012 1.5 · 1012 > 1013
Impédance de sortie Rs (en Ohms ) < 200 Ω 75 100 60
fréquence de coupure f1 10 Hz 20 Hz
Courants de fuite i+ ,i− < 500 nA 80 nA 30 pA 10 pA 0.02 pA
Tension d'oset Vof f (en mV ) < 10 mV 1 mV 3 mV 8 mV 0.5 mV
TRMC Ad/Amc (en dB ) > 70 dB 90 86 90 96
Tension de bruit 18 40 27
Classication
Ces amplicateurs ont une foule d'applications. Applications qui dépendent essentiellement
de leurs caractéristiques les plus remarquables, citons pour exemple :

ˆ Amplicateur diérentiel (R des entrées et rapport S/B).

ˆ Amplicateur très grand gain (R de l'ampli de sortie et rapport S/B).

ˆ Amplicateur suiveur (bande passante et rapport S/B).

ˆ Amplicateur d'erreur (R des entrées et bande passante).

ˆ Comparateur de tension (mode logique uniquement).

ˆ Oscillateur (mode logique généralement).

ˆ Filtre actif analogique.

ˆ Amplicateur inverseur de tension.

ˆ Amplicateur à résistance négative.

Utilisations
L'utilisation se fait soit en mode continu ou en mode linéaire
Le choix du mode s'eectue par la diérence des contre réactions des entrées e+ et e− sur
la sortie s (impédance que l'on notera Z+ et Z− en Ohm).

ˆ Z− < Z+ : on est en régime linéaire

ˆ Z− = Z+ : on est en régime commutation

Mode linéaire (Amplicateur)

La remarque particulière pour ce mode c'est que les potentiels e+ et e− sont égaux.
Une fois cette donnée prise en compte pour les calculs de gain, la théorie la plus appropriée
est l'utilisation de la relation de Millman.
10 CHAPTER 2. COMPOSANTS ÉLECTRONIQUES

Supposons que l'on veuille rendre audible un signal de 500 milliVolts sur un haut-parleur
de 10 Watts 4 Ohms (impédance ou résistance).
Il sut d'appliquer le signal à un amplicateur opérationnel dont le montage spécie un
facteur d'amplication de 10, pour que la tension de sortie qui pilote le haut-parleur vale 10
fois la tension d'entrée.
On aura donc en sortie un signal de 5 volts sous 4 ohms, en respectant la condition de rester
dans le domaine de puissance de sortie de l'amplicateur (ici pratiquement 7W).
Mode comparateur (ou saturé)
Un AOP possède deux entrées repérées + et −.
Dans son mode opérateur logique, on utilise sa propriété de très grand gain (Av) pour
comparer deux signaux. Le facteur d'amplication n'est donc plus externe mais interne et l'on
obtient :
Tension de sortie = Av· [(tension entrée +) − (tension entrée -)]
Il ne fonctionne plus en  amplication  traditionnelle, mais en tout ou rien logique ou
comparateur de tension (car le coecient d'amplication interne Av est très grand ; assimilé à
la valeur innie pour un AO idéal), c'est-à-dire qu'en sortie il n'y a que 2 états stables possibles
:

ˆ Si l'entrée + est supérieure (en tension) à l'entrée - : la sortie = +Vsat.

ˆ Si l'entrée + est inférieure (en tension) à l'entrée - : la sortie = -Vsat.
Il s'agit en fait d'un fonctionnement  en boucle ouverte  ou sans contre réaction, c'est-à-
dire sans contrôle du gain de l'amplicateur.
En théorie, lorsque les potentiels électriques des deux entrées sont strictement égaux, la
tension de sortie devrait être nulle. En pratique, cet état n'est jamais atteint car il est
extrêmement instable : le moindre déséquilibre interne à l'amplicateur ou la moindre
variation de température sut à provoquer le basculement de la sortie de l'amplicateur vers
l'état saturé positif ou négatif.